ÂGE : 27 ans bientôt 28, elle souffle ses bougies avec enthousiasme tous les 3 août. SURNOM : ça va de Harls à Honey en passant par Harley et Woody - elle aime changer d'identité selon la personne devant elle. STATUT : célibataire/mariée/divorcée/etc : toutes ces réponses, plusieurs fois par semaine. Harls et Ollie ont une relation pleine de relief, on dira ça comme ça. MÉTIER : de jour, elle vend des vinyles et des fringues vintage dans un petit commerce qui sent bon le thé à la menthe et les fleurs sauvages. De soir, elle se crée des boutiques Etsy selon ses envies. Savons faits main, bijoux naturels, sacs à main brodés, Harley moule sa carrière à ses hobbies. LOGEMENT : son van sert de petite cachette sous les étoiles à qui le veut bien, mais elle est docile et domiciliée la plupart du temps dans une modeste villa au #343 beachcrest road à bayside. POSTS : 60 POINTS : 0
TW IN RP : opinions arrêtées sur l'avortement, la vaccination, la médecine, la contraception, entre autres. TW IRL : rien à signaler.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. CODE COULEUR : rosybrown RPs EN COURS : olive (fb) + ollie #1 + midas #1 + cleo (fb) + bffs
MONEY - take your silver spoon, dig your grave. see, your sunrise loves to go down. lousy babies pick their prey but they never cry out loud.
OLLIWOOD - hey kid, you're gonna hear electric music, solid walls of sound. have you seen them yet? oh, but they're so spaced out, oh, but they're weird and they're wonderful.
RPs EN ATTENTE : pen la parfaite + daisy jones + the six
AVATAR : margaret qualley. CRÉDITS : nuit d'orage (avatar) PSEUDO : hub INSCRIT LE : 27/05/2024
Harleen est encore en retard, mais elle assurera les yeux brillants la bouche en coeur avoir entendu 11 heures et non 9 si jamais quelqu'un la confronte sur son incapacité évidente d'être ponctuelle.
Du haut de ses plateformes fleuries, elle fait des allers et des retours entre son van et la porte de la villa de Midas, les bras chargés comme une mule de sacs et autres affaires de Posy. Sous les nouvelles lubies de sa fille, Honey a décidé d’organiser une séance de camping dans la cour arrière de papa. Woody n’allait pas manquer l’opportunité de faire les choses en grand pour convertir véritablement sa gamine à son amour de la nature. Oui, Posy a l’habitude de dormir à la belle étoile dans le hamac qu’Harleen installe parfois entre un arbre et son pare-choc - mais rien ne peut lui faire plus plaisir que d’entendre sa fille, la bouche pleine de céréales sans gluten trempées dans du lait sans lactose, lui affirmer qu’elle a envie d’avoir sa propre tente et son propre sac de couchage. C'est tout ce dont Woody avait besoin pour orchestrer une nuit dont Posy se souviendra bien longtemps.
La carte bleue renflouée mensuellement et prévue pour les dépenses entourant leur fille est complètement vide lorsqu’Honey se stationne devant l’adresse de Midas. Posy encore à la garderie, elle a le champ libre pour lui installer son campement de reine de la nature dans le jardin de son ex. Tout y est, Harls a même prévu ajouter au programme une chasse au trésor improvisée entre les arbres et les buissons. Elle ira porter les indices à l’intention de Midas sur sa table de nuit pour que Posy ne les trouve pas et se gâche la surprise.
À peine entrée dans la maison, elle fait un détour par la cuisine pour se faire couler un café, râle du contenu du réfrigérateur de Midas qui contient des fromages d’exploitation et des oeufs qui le sont tout autant, finit par avoir un doute sur la provenance des grains de café, se retient de jeter le liquide à la poubelle par revendication tant il goûte bon. La tasse fumante entre les mains, elle grimpe les escaliers enveloppe d’indices en poche, pose la main sur la poignée, ouvre la porte de la chambre de Midas et -
« Hey! » sa voix chante, absolument rien dans son ton ni sur son visage ne pourrait semer la moindre parcelle d’hypocrisie. Elle est véritablement heureuse de croiser Jo ici. Ignorant depuis quand elle est de retour, Harls ne cherche pas plus loin, se contente de croire que la chanteuse a fait la paix avec Sterling et qu’ils filent maintenant et à nouveau le parfait amour. Tout va bien dans le meilleur des mondes et Harleen n'est pas là pour autre chose que pour célébrer le bonheur et les gens heureux qui vont avec. « C’était cool, Ibiza? » qu’elle demande, distraitement, déposant l’enveloppe sur la table de nuit de Midas comme prévu, le nom du chanteur bien en vue sur le papier. Appuyée maintenant dans l'embrasure de la porte, elle s’accorde une longue et savoureuse gorgée de café équitable, dira-t-elle, si on le lui demande. Ils ne l’ont juste pas suffisamment précisé sur l’emballage qu’elle a caché de honte d’aimer l'arabica un peu trop au goût de son anti-capitalisme.
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Jo avait été prévenue que Harleen se pointerait à un moment donné de la matinée ; elle s’était dit que la baraque était assez grande pour qu’elle ne soit pas obligée de la croiser, encore moins de lui dire bonjour. Restait qu’elle avait particulièrement pris son temps pour se préparer ce matin, pas encombrée par son planning du jour qui ne comptait pas autant d’entrées que d’habitude malgré l’imminence de ses premières dates de concert pour lesquelles elle répétait sans relâche depuis son retour d’Espagne. Elle était de bonne humeur, tailler la bavette avec la mère de Posy, c’était exclu de son agenda pour le rester, et parce qu’elle avait arrêté de courir droit vers ce qui lui faisait du mal, elle avait préféré s’exclure elle-même de la vie de la maison pour la matinée, et en effet, rester dans cette partie du domaine pour prendre le temps de se recentrer, puis de travailler. Elle irait au studio de la maison juste après, avec son ordinateur sous le bras pour répondre à ses mails et peaufiner son moodboard à destination de sa maison de disque qui avait accepté son idée pour son prochain clip, gagnant au moins la satisfaction de ne pouvoir rien entendre de ce qui se passerait à sa proximité, l’endroit qu’elle convoitait étant bien insonorisé pour la protéger de l’intrusion programmée de Harleen. Mais bien sûr, certainement à cause de son karma de merde, il fallait qu’on lui impose de supporter l’insupportable. Et elle l’était, Harleen, que personne ne lui soutienne le contraire.
Elle sécurisait le fermoir du bracelet qu’elle avait passé à son poignet lorsqu’elle l’entendit ouvrir la porte de la chambre de Midas. Elle serra les dents à s’en faire péter toute une rangée en se rendant compte qu’elle entrait sans gêne. Elle ne le voulait pas, mais elle tourna tout de même la tête vers la porte, la voyant s’avancer avec une tasse fumante à la main, l’aisance d’être partout chez elle la faisant déambuler jusqu’à la table de chevet du côté de Midas sans se soucier un seul instant d’avoir dérangé quelqu’un, ou interrompu quelque chose. Respire Jo, c’est ce qu’elle se somma de faire, ne prenant pas la peine de répondre à son hey qu’elle lui aurait bien enfoncé profond dans l’orifice de son choix. Elle ne posa pas son regard sur elle, elle savait déjà que les deux seules envies qui s’imposeraient alors à elle si elle le faisait maintenant, c’était de lui en coller une, ou de lui passer un putain de peigne dans les cheveux — pas nécessairement dans cet ordre, d’ailleurs, mais vous voyez l’idée. Respire Jo, c’est ce qu’elle se répéta en se raclant la gorge, replaçant ensuite successivement la rangée de bracelets qu’elle avait sur les poignets pour les agencer selon un ordre précis. Jo n’aimait pas l’odeur du café, ça rendait l’intrusion de l’autre encore plus désagréable ; aussi par-dessous ses longs cils maquillés, elle leva brièvement les yeux vers l’enveloppe qu’elle venait de déposer et qui portait le nom de Midas. Respire Jo, elle ne demanderait pas de quoi il s’agissait, elle n’irait même pas l’ouvrir cette putain d’enveloppe. Elle avait ses limites, quoi qu’on en disait, mais ça la gonflait bien comme il fallait, était-ce utile de le préciser ?
Par tic nerveux ordinaire chez elle, elle estompa la matière de son rouge à lèvres en les roulant l’une sur l’autre, espérant qu’elle aurait assez de jugeote pour retourner à ses affaires et lui foutre la paix. Mais là encore, le karma se rappela à son déplaisir, cet enfoiré. L’impatience se lisait dans la manière qu’elle eut de brusquement relever la tête dans une inspiration profonde pour, cette fois, la tourner vers Harleen qui lui parlait d’Ibiza. Elle tiqua "Comment tu sais ça toi ?" Qu’elle était là-bas ? On lui rabattait assez les oreilles sur l’idée qu’elle était un esprit libre, qu’elle vivait au-delà des considérations actuelles (tout en grattant à mort du fric à un mec qu’elle avait côtoyé trois jours, soi disant… ouais, ouais, ils avaient une gamine ensemble, elle a pigé, merci), elle était à peu près sûre qu’elle n’avait pas pêché la destination de son séjour dans les lignes d’un compte Instagram, d’un blog spécialisé, ou d’un putain de magazine pour ce qu’elle en savait. Elle claqua sa langue contre son palais Jo, pas sûre d’avoir envie d’avoir la réponse à sa question en vérité, alors elle lui en posa une autre dans la foulée pendant qu’elle s’activait pour rejoindre la salle de bain où elle comptait chasser l’odeur de café par quelques pschitt de son parfum signature "Qu’est-ce que tu fous là, en fait ?" Une façon plus ou moins polie de l’enjoindre à retourner faire ce qui l’avait amenée ici, de dégager de cette chambre dans laquelle elle n’avait pas un pied à mettre — le fait qu’elle soit la mère de la fille de Midas, ça ne lui donnait pas tous les droits non plus. Mais certainement que si elle en faisait la réflexion, on lui répondrait que ce n’était pas une question de droit, mais de choix, elle commençait à connaître la chanson.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Harleen Honeywood
la muse éthérée
ÂGE : 27 ans bientôt 28, elle souffle ses bougies avec enthousiasme tous les 3 août. SURNOM : ça va de Harls à Honey en passant par Harley et Woody - elle aime changer d'identité selon la personne devant elle. STATUT : célibataire/mariée/divorcée/etc : toutes ces réponses, plusieurs fois par semaine. Harls et Ollie ont une relation pleine de relief, on dira ça comme ça. MÉTIER : de jour, elle vend des vinyles et des fringues vintage dans un petit commerce qui sent bon le thé à la menthe et les fleurs sauvages. De soir, elle se crée des boutiques Etsy selon ses envies. Savons faits main, bijoux naturels, sacs à main brodés, Harley moule sa carrière à ses hobbies. LOGEMENT : son van sert de petite cachette sous les étoiles à qui le veut bien, mais elle est docile et domiciliée la plupart du temps dans une modeste villa au #343 beachcrest road à bayside. POSTS : 60 POINTS : 0
TW IN RP : opinions arrêtées sur l'avortement, la vaccination, la médecine, la contraception, entre autres. TW IRL : rien à signaler.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. CODE COULEUR : rosybrown RPs EN COURS : olive (fb) + ollie #1 + midas #1 + cleo (fb) + bffs
MONEY - take your silver spoon, dig your grave. see, your sunrise loves to go down. lousy babies pick their prey but they never cry out loud.
OLLIWOOD - hey kid, you're gonna hear electric music, solid walls of sound. have you seen them yet? oh, but they're so spaced out, oh, but they're weird and they're wonderful.
RPs EN ATTENTE : pen la parfaite + daisy jones + the six
AVATAR : margaret qualley. CRÉDITS : nuit d'orage (avatar) PSEUDO : hub INSCRIT LE : 27/05/2024
Jo aurait pu montrer les crocs qu’Harleen n’aurait même pas bronché tant elle trouve ridicule la rage que la petite amie de Midas entretient envers elle. Oh, bien sûr qu’elle les voit, les coups d’oeil hautains, les roulements d’yeux masqués par ses lunettes de diva, les sourires narquois au passage. Mais elle les ignore avec amusement, petite hippie qui adore particulièrement porter l’étiquette de la nana peace & love quand ça l’arrange. Ça l’arrange à merveille ce matin, le café réchauffant sa gorge et par le fait même la pièce lorsque Jo décide de répondre à une question par une autre. "Comment tu sais ça toi ?" dans le monde où vit Harls au quotidien, tout le monde sait tout sur tout. Personne ne se cache quoi que ce soit, on assume et on ne complique pas les choses. Le comment est évident, Woody refuse de croire que Jo est stupide au point de ne pas faire un + un, mais elle se garde de pousser le coupable au bûcher. C'est triste, de se dire que Midas et Jo ne sont pas sur la même longueur d'ondes et qu'il ne lui a pas parlé de sa conversation avec Harleen. Utilisant plutôt la même tactique que la chanteuse, elle rétorque, appuyant sa tête contre l’embrasure de la porte. « T’as des recos de restos? » pour qu’Honey s’y intéresse, ils devront être vegan, sans lactose, sans gluten, locaux et dirigés par des femmes mais cela va de soi, voyons. Elle attend impatiemment les tuyaux.
Devant l’empressement de Jo, Harleen donne l’impression d’être un long fleuve tranquille. ”Qu’est-ce que tu fous là, en fait ?" qu’est-ce qu’elle fout là chez Midas, ou directement dans sa chambre, maintenant qu’elle quitte la porte pour entrer pour de vrai dans la pièce? Honey ne lit pas les signes parce qu’ils l’ennuient, elle préfère se fier à son intuition. Et son intuition lui souffle de faire un tour des lieux le temps de valider que les meubles sont tous en position feng shui. Ce serait affreux, si Posy venait dormir dans la chambre de son père et que ses pieds pointaient au Nord. D’un coup d’oeil, elle cherche les plantes, le rouge, la pièce de monnaie sur le rebord de la fenêtre, prend une note mentale de revenir avec un bâton de sauge pour purifier la chambre de l’odeur latente d’un parfum infusé aux pesticides qu’elle reconnaît très bien être celui de Jo.
« Je prépare une surprise pour Posy. » et comme à son habitude, Harls ne fait jamais les choses à moitié pour sa fille. Son village entier de camping attend encore dans la cour arrière, elle se promet de finir sa petite discussion et son café avant d'aller s’y mettre d’ici une minute ou deux. Pour le moment, elle se détourne de son enquête, retrouve les prunelles de Jo par le fait même. Le sourire que Woody lui renvoie frappera sûrement un mur mais elle ne pourrait pas plus s’en ficher tellement elle se crée son propre bonheur et n’en a rien à battre de celui des autres. D’une autre, en particulier. « Tu peux aider, y’a encore pas mal de trucs à faire. » sans le vouloir, le sourire en coin qui creuse une fossette dans ses joues pourrait porter à confusion. À Midas, elle dirait sûrement qu’elle s’imaginait déjà la surprise et le bonheur sur le visage de leur fille lorsqu’elle découvrirait l’état dans lequel le jardin était à son retour de la garderie. À Ollie par contre, elle ne se gênerait pas pour confirmer qu’elle se marrait intérieurement d’imaginer Jo et ses faux ongles de dix-huit pieds tenter de fermer la toile d’une tente après avoir passé quatorze ans à mettre en place. « Si t'en as envie bien sûr. » c’est fou, quand on y pense, la palette d’émotions que Carter fait ressentir à Honey.
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Elles pourraient jouer très longtemps au jeu des questions posées à la place des réponses attendues. Jo n’était pas patiente, mais elle était joueuse, compétitrice, encore plus. En partant de là, elle était câblée que pour une seule chose en terme de défense : ne pas lâcher l’affaire lorsqu'il s’agissait d’obtenir le dernier mot. Alors OK, la question qu’elle s’apprêtait à lui renvoyer à la gueule était basse, seulement elle était à la hauteur de ce que lui inspirait l’intruse qui, elle le voyait, elle aussi, évitait soigneusement de mentionner sa source d’informations "Pourquoi ça t’intéresse ?" Petit mouvement de sourcil, l’arc du gauche devenant circonflexe quand elle ajouta "T’as l’intention de t’incruster la prochaine fois, peut-être ?" Référence aux Fidji à peine dissimulée. Jo ne cachait son mépris pour Harleen que lorsque Posy était présente. Autrement, elle ne jouait pas à l’hypocrite. Ce qu’elle pensait de la jeune femme, ça valait en face d’elle comme derrière elle. Une chose était sûre, c’était qu’avant les Fidji, elle tolérait vaguement l’idée de devoir la côtoyer. Elle restait une adulte, elle comprenait l’importance d’une relation paisible entre deux co-parents, et même si ça avait beau la faire souffrir sans que des explications ne lui soient ni demandées ni entendues, accusée d’être tout juste jalouse étant donné qu’en surface, c’était bel et bien ce qu’elle était, elle entendait qu’étant liés à vie, elle devrait se faire à la proximité de Midas et Harleen sans pour autant l’accepter aveuglément non plus, au courant des limites, prenant juste sur elle pour mieux l’envisager. Après les Fidji ? Elle s’était rendue compte combien ça lui était imposé, combien son ressenti était méprisé aussi, alors que l’une des premières choses qu’elle avait demandé à Midas quand elle avait su pour la gamine, c’était qu’il ne la force pas à être copine avec sa mère. De fait, elle ne supportait plus d’entendre son nom. Non, elle n’en finirait pas de ramener cette histoire sur la table chaque fois qu’elle le pourrait tant qu’elle ne recevrait pas d’excuses sincères, tant qu’on ne comprendrait pas à quel point c’était injuste de la traiter comme le partie la plus immature de l’histoire alors que, dans un autre univers (ou pas, il suffisait de remonter quelques mois en arrière), on aurait traité la présence d’un ex lors des premières vacances qu’ils passaient en tant que couple — la petite Posy conviée sous l’idée d’une seule et unique personne, et c’était Jo elle-même, devait-elle le rappeler ? — comme un affront, pas comme une anecdote.
Elle s’échappa dans la salle de bain attenante, ne supportant pas l’aura éthérée de la jeune femme qui déambulait dans la chambre comme si c’était la sienne. On l’accuserait de voir le mal partout si elle se mettait à commenter l’aisance avec laquelle elle le faisait, aussi elle se tut pour se parfumer, espérant que le nuage de cerise et de rose viendrait purifier ce qui tournait dans sa tête à ce moment-là — des questions à direction de Midas du type tu parles de moi avec elle ? C’était bête et naïf, elle aurait espéré que non, pourtant. Maintenant, elle s’imaginait à peu près la conversation qu’ils avaient eue et ça lui faisait mal au coeur de se dire que sa politique de garder leur vie privée privée, de ne jamais, Ô grand jamais, pencher vers la critique devant quelqu’un d’autre que le principal concerné, elle était la seule à la tenir. Visiblement, si en ce moment, elle avait autant les oreilles qui sifflent, ce n’était pas à cause du choc de la perte de sa meilleure amie, du stress, des angoisses, de la fatigue et de l’anxiété, mais peut-être bien parce qu’on parlait d’elle pour quoi faire, la vilipender ?
Elle pinça les lèvres, estompant à nouveau la matière de son rouge à lèvres en leur centre tandis que de l’autre côté, elle entendait la réponse d’Harleen dont elle se foutait royalement au fond "J’ai pas le temps là." Sans bluffer, elle ferait beaucoup de choses pour Posy, Jo. Mais s’imposer la présence de sa mère pour lui faire plaisir ? Il ne fallait peut-être pas pousser le bouchon non plus, et puis elle ne mentait pas : elle avait autre chose à faire sur le moment. Ça ne l’empêcherait pas de jeter un oeil à la gamine une fois qu’elle serait là pour la regarder s’amuser comme elle faisait toujours, avec enthousiasme et gaieté, mais sur l’instant, elle préférait battre en retraite ; autre chose que ça ne l’empêcherait pas de faire, c’était de revenir sur sa toute première question. Elle n’avait pas envie qu’elle la taraude davantage, alors lorsqu’elle sortit de la salle de bain pour aller récupérer son laptop sur la table de chevet de son côté du lit, ses yeux accrochant très brièvement l’enveloppe posée du côté de Midas, elle dit à Harleen vers qui elle finit par tourner la tête "Je t’ai posé une question, tu pourrais y répondre ?" Autant avoir toutes les cartes en main pour préparer le moment où elle demanderait à Midas pourquoi c’était à elle qu'il avait préféré parler — d’elle, précisément, elle s’en cognait qu’il lui parle d’autre chose, c’était le sujet de leur discussion qui la heurtait, pas le simple fait qu’il lui parle, elle avait dépassé ça — plutôt qu'à Olive, pour ne citer qu’elle. Rencontrant ses yeux, elle lui répéta finalement sa question, glissant son ordinateur portable sous son bras en même temps "Comment tu sais pour Ibiza ?"
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Harleen Honeywood
la muse éthérée
ÂGE : 27 ans bientôt 28, elle souffle ses bougies avec enthousiasme tous les 3 août. SURNOM : ça va de Harls à Honey en passant par Harley et Woody - elle aime changer d'identité selon la personne devant elle. STATUT : célibataire/mariée/divorcée/etc : toutes ces réponses, plusieurs fois par semaine. Harls et Ollie ont une relation pleine de relief, on dira ça comme ça. MÉTIER : de jour, elle vend des vinyles et des fringues vintage dans un petit commerce qui sent bon le thé à la menthe et les fleurs sauvages. De soir, elle se crée des boutiques Etsy selon ses envies. Savons faits main, bijoux naturels, sacs à main brodés, Harley moule sa carrière à ses hobbies. LOGEMENT : son van sert de petite cachette sous les étoiles à qui le veut bien, mais elle est docile et domiciliée la plupart du temps dans une modeste villa au #343 beachcrest road à bayside. POSTS : 60 POINTS : 0
TW IN RP : opinions arrêtées sur l'avortement, la vaccination, la médecine, la contraception, entre autres. TW IRL : rien à signaler.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. CODE COULEUR : rosybrown RPs EN COURS : olive (fb) + ollie #1 + midas #1 + cleo (fb) + bffs
MONEY - take your silver spoon, dig your grave. see, your sunrise loves to go down. lousy babies pick their prey but they never cry out loud.
OLLIWOOD - hey kid, you're gonna hear electric music, solid walls of sound. have you seen them yet? oh, but they're so spaced out, oh, but they're weird and they're wonderful.
RPs EN ATTENTE : pen la parfaite + daisy jones + the six
AVATAR : margaret qualley. CRÉDITS : nuit d'orage (avatar) PSEUDO : hub INSCRIT LE : 27/05/2024
"Pourquoi ça t’intéresse ?" pour absolument rien et Harleen n’écoutera plus jamais sa petite voix intérieure qui sonne parfaitement comme celle de Midas l’encourager à chercher des points communs et des sujets de conversation simples et fun avec Jo. Elle est trop compliquée pour elle, trop prompte à s’enrager de tout. Elle dégage une aura de colère en permanence et la journée est trop belle, le soleil brille trop fort pour qu’Harls ait envie de passer une seconde de plus à brouiller son énergie aux côtés de celle de Jo. La lettre posée sur la table de nuit, elle regrette momentanément d’avoir laissé sa sauge à la maison. La chambre aurait bien besoin d’être purifiée un brin de toutes les mauvaises ondes qui y flottent. ”T’as l’intention de t’incruster la prochaine fois, peut-être ?” Woody ne fronce même pas les sourcils, elle ne roule pas des yeux. Elle aurait pu si elle avait capté la référence. Mais sa naïveté la sauve aujourd’hui, et de sa voix la plus chantante, elle rétorque aussi vite. « T’as l’air fâchée, j’ai fait quelque chose de mal? » les Fidji pour Harleen n’ont jamais pris autant d’ampleur que pour Jo et visiblement, la chanteuse est la seule qui s’y accroche. Honey y a vu un séjour au soleil aux côtés de sa fille, une manière de s’assurer qu’elle ne développait pas un traumatisme face à l’avion. Quelques heures à créer des souvenirs mémorables de vacances que Posy pourra chérir parce qu’elle était avec ses deux parents à la fois. Les occasions sont rares, où elle a papa et maman dans la même pièce en même temps. Et bien qu’elle ne s’en plaigne pas et comprenne parfaitement (mieux que bien des gens) la structure parentale avec laquelle elle grandira, n’en reste que le moment était bon et doux. Du moins, c’est l’impression avec laquelle Honey navigue depuis.
Au point où elle propose à Jo d’enterrer la hache de guerre - la sienne - pour participer à l’organisation de la journée de Posy. Elle fait des efforts et se promet une grande glace vegan à la framboise pour se féliciter une fois cette grande épopée terminée. ”J’ai pas le temps là." ne lisant pas du tout la pièce, ou l’ignorant volontairement avec candeur, Harls renchérit. « Je peux aider avec tes trucs, si tu veux. » elle se rêve utile, elle tente et on ne pourra jamais lui dire qu’elle n’est pas allée au bout de ses ressources. Elle a des défauts, Honey, mais ils sont nombreux les gens qui diront qu’elle facilite, qu’elle allège les choses lorsqu’elle entre dans une pièce. Quelque chose souffle pourtant en arrière-plan que jamais Jo ne sera de cet avis. Surtout pas lorsqu’elle revient dans la chambre, parfumée et brusque, les lèvres rougies et les yeux noirs. ”Je t’ai posé une question, tu pourrais y répondre ?" elle en a posé des tas et Harleen n’est pas particulièrement douée pour retenir les choses par coeur. Elle prenait sagement sa dernière gorgée de café, visait la cour, y était presque rendue avec ses pieds nus tatoués d’henné qu’elle fixait la seconde d’avant comme si la réponse s’y trouvait. ”Comment tu sais pour Ibiza ?” oh, franchement. Elle peut bien être niaise, parfois, Harleen. Mais Jo sait très bien d’où l’ex de Midas aura entendu parler de la copine de Midas. Elle sait très bien et Honey le sait tout autant et l’odeur du piège qu’on dresse autour d’elle ne lui plaît pas particulièrement. « J’ai pas envie de gérer ça. » le plus honnête du monde, elle soupire devant tant de manigances, de stratagèmes, de non-dits. Il y a des serpents dans la pièce et Honey n’aime pas ressentir l’agacement que Jo lui inspire là de suite. « Mais je vais le faire quand même parce que Midas est quelqu’un de bien. » qu’elle assombrisse sa bonne humeur de la journée pour parler de ça et pour s’abaisser à la hauteur des ragots et des reproches en dit long sur l’amour qu’elle porte à Midas et sur le bien-être qu’elle lui souhaite. Ses épaules pèsent deux fois plus lourd, on aurait dit, tant elle serait mille fois ailleurs qu’ici. « Pourquoi tu fixes sur qui me l’a dit plutôt que d’assumer que ça lui a fait du mal et qu’il avait besoin d’en parler? » la question lui donne une réponse, à Jo. Mais Honey est presque persuadée que ce ne sera pas suffisant, et que pour faire encore plus de mal Jo la forcera à épeler chaque lettre du prénom de Midas rien que pour avoir autant de munitions contre lui qu’elle en a contre Harls. Ce sont des enfantillages, jamais elle ne ferait ça à Ollie. Aller voir son entourage, aller chercher des armes contre lui, revenir avec un arc et des tas de flèches prises hors contexte. Ça l’épuise, Honey. Jo et Midas l’épuisent. « Ça ressemble à une chasse à la sorcière, ton truc. » clairement, Woody ressent les questions de Jo comme une manière bien claire et évidente de la mettre sur un bûcher comme étant la cause de tant de maux dans sa relation. Jo lui accorde bien trop d’importance, à Honey, et l’inverse n’est pas aussi vraie. Harleen s’en fiche un peu pas mal beaucoup d’Ibiza, et de tout le reste.
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Ça ne prend pas avec elle, la fausse naïveté. Ça l’énerve même un peu plus, faisant palpiter le coeur d’une multitude de bestioles sous sa peau bronzée. Pour autant, elle prend sur elle, gardant en tête une idée plutôt simple en vérité : avoir une réponse à sa putain de question. Elle ne veut pas de son aide à Harleen, elle ne veut même pas lui parler davantage ou avoir à sentir l’odeur qui se dégage d’elle et de sa tasse fumante, elle veut juste qu’elle lui confirme que Midas est venu discuter avec elle de son départ d’Ibiza, et ensuite, ce sera à elle de décider de ce qu’elle fera de ça. Peut-être rien, peut-être tout, elle n’en a pas la moindre foutue idée si ce n’est que ça la confortera dans celle qu’elle n’est qu’un plus dans la vie de Midas, qu’elle occupe une demi-place, l’autre moitié étant gracieusement accordée à celle qu’il n’aime certainement pas plus qu’elle, mais qu’il aime suffisamment pour que ça le rende stupide au point de l’entretenir sans broncher, de lui laisser une place démesurée dans sa vie sous le prétexte — pas mauvais, certes, il n’a cependant pas défini leur relation comme étant celle que Jo observe depuis une année désormais — qu’elle est la mère de sa fille. Elle n’a rien à dire sur ça, elle n’en dira jamais rien ; elle imagine bien toutes les craintes qui se cachent derrière la tolérance de Midas, elle ne lui reproche pas de vouloir protéger ses arrières. Là, elle ne lui reproche rien en l’occurence, elle veut juste une réponse, bordel de merde.
Et elle l’obtient après avoir roulé des yeux, s’étant retenue de dire à la mère de Posy que c’est marrant, mais quand Midas est venu la trouver pour lui parler d’elle, elle avait envie de le gérer "ça", comme elle dit. Ce serait une réplique de cour récré, elle n’a pas envie de faire dans cette rhétorique là aujourd’hui, sans doute par fierté. Elle ne s’en défendra à personne — elle ne se défendra pas non plus d’avoir fait le choix qu’elle a fait en partant devant personne d'autre que Midas, chose qu’elle a faite, exploré en long et en large avec lui, et lui seul. L’affaire est close, personne n’a à s’en mêler, et surtout pas celle qui se trouve là, à jouer la niaise alors que Jo sait parfaitement qu’elle l’est beaucoup moins qu’elle essaye de le faire croire. D’un mouvement, elle lève les mains devant elle, lui faisant dans la foulée, sentant sa limite dépassée par la brune qu’elle regarde de là où elle se trouve "Oh non non non non, on va pas faire ça." Elle en rit un peu. Ça ne dure pas toutefois étant donné que déjà, elle reprend "Je t’ai posé une question, j’ai eu ma réponse." Putain de point final "Je compte pas épiloguer davantage en me défendant de quoi que ce soit, surtout pas auprès de toi." Elles sont au moins d’accords sur un point, ceci étant : Midas est quelqu’un de bien. Harleen en profite largement d’ailleurs, c’est donc plutôt drôle que ce soit elle qui le soulève avec autant de désinvolture, probablement convaincue d’avoir rien à se reprocher quand Jo le voit : le train de vie qu’elle mène grâce à Midas, les faux airs de fleur des champs qu’elle se donne alors qu’elle vit dans une baraque dans laquelle la maison de sa propre grand-mère tient, de l’étage au jardin. Elle pourrait le lui dire, elle choisit de ne pas le faire, continuant plutôt "C’est ma vie privée, d’accord ? J’ai pas choisi de te l’exposer, on l’a fait à ma place. Je t’autorise pas à présumer de ce que j’assume ou pas." Que les choses soient bien claires entre elles : elle a envie de la juger ? Qu’elle le fasse avec Midas, elle en aura pour son argent puisque visiblement, c’est à elle qu’il préfère se confier plutôt qu’à ses soeurs — la famille, mon cul, c’est quand ça l’arrange. Calme Jo, calme "T’es pas dans ma tête, fin du débat." qu’elle ajoute. Et honnêtement, ça s’arrête là. Elle ne plaisante pas lorsqu’elle dit qu’elle ne veut pas discuter avec elle. Jo n’est pas venue la chercher, c’est elle qui s’est pointée ici en sachant pertinemment qu’elle serait là puisqu’elle l’est quasiment tout le temps depuis qu’elle est rentrée d’Ibiza. Ce n’est pas elle non plus qui a abordé ce sujet-là, oserait-elle dire le contraire ?
Elle s’en fout. Elle fait un pas pour contourner le lit qui trône au milieu de la pièce, vient ramasser le bracelet en or rose qui appartient à sa grand-mère et qu’elle accroche au poignet de sa main dominante en espérant qu’elle aura saisi le message, l’autre, et qu’elle fera son truc dans son coin sans l’emmerder davantage. Mais elle l’ouvre à nouveau, et Jo lui rétorque, pince sans rire, dégageant ses épaules dénudées de ses longs cheveux bruns qui retombent en rideau entre ses omoplates "Ouais, c’est ça." Non, elle n’a pas fini, le sarcasme éraillant le son mélodieux de sa voix "D’ailleurs, tu devrais penser à presser le pas pour rentrer chez toi, parce que j’ai parqué ma fourche et mon flambeau sur la terrasse." Salope, qu’elle se retient de lui cracher à la gueule, passant à côté d’elle en ne lui adressant pas un regard de plus.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.