Romane Hatkins - How to save a life?

Romane Hatkins

"Si on veut obtenir quelque chose que l'on n'a jamais eu, il faut tenter quelque chose que l'on n'a jamais fait."

Pièce d'identité

NOM ≈ Hatkins. PRÉNOM(S) ≈ Romane. ÂGE ≈ 29 ans. LIEU DE NAISSANCE ≈ Brisbane. STATUT SOCIAL ≈ Célibataire. MÉTIER ≈ Infirmière. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Hétérosexuelle. GROUPE ≈ AU SECOURS, J'AI 30 ANS. AVATAR CHOISI ≈ Barbara Palvin. CREDITS GIFS ≈ Tumblr.

Les informations en vrac

• Elle écoute constamment de la musique. Que ce soit en se préparant le matin, durant le trajet vers l'hôpital St-Vincent, pendant son quart de travail, lorsqu'elle fait les courses, alors qu'elle fait son jogging matinal. Bref elle adore tout genre musicaux et se permet d'aller voir des artistes et des groupes sur scène lorsqu'ils viennent faire un tour en Australie. De plus, elle pratique la guitare et s'accompagne au chant, mais elle n'a partagé à personne son petit talent. Elle préfère le garder pour elle et s'en servir comme échappatoire lorsqu'elle vit une trop grande pression. • Elle aime faire du sport. Malgré le fait qu'elle manque de temps dû à son métier d'infirmière, elle s'est fait un programme d'entraînement à travers ses semaines de travaille. Elle fait son jogging à tous les matins sans exception et au moins trois fois semaines, elle va faire des longueurs dans la piscine municipale de son quartier ou bien à la plage lorsque la température le permet. Elle était sauveteuse avant de devenir infirmière. Elle a pratiqué ce métier durant tout son parcours scolaire jusqu'à l'obtention de son diplôme. Elle était sauveteuse à la plage artificielle construite en plein centre de Brisbane. • Elle a fait plusieurs sacrifices au courant de son adolescence pour réussir ses études. Malheureusement, elle n'avait pas autant de faciliter que certains camarades de classe pour retenir la matière émise par les professeurs. Très tôt, ses parents lui ont inculqué l'importance d'être assidue et persévérante. La constance fut son meilleur outil pour la réussite de son programme. Depuis quelques années, elle travaille à l'hôpital St-Vincent aux urgences. • Sa vie amoureuse à toujours été assez... Désastreuse. Comme Romane est une personne très investie dans son travail, elle ne donne pas beaucoup de son temps à ses proches. Ce fut souvent une des raisons qui faisait en sorte que la relation qu'elle entreprenait avec ses copains se terminait après seulement quelques mois. Maintenant, elle réfléchis de plus en plus à s'investir en amour, car la trentaine approche et elle veut absolument fonder une famille. C'est un cri du cœur qui commence sincèrement à prendre beaucoup de place dans sa tête. • Elle a une peur bleue des araignées. Depuis sa jeunesse, elle est incapable d'affronter sa peur. Lorsqu'elle croise un arthropode, elle fige, elle se cache, elle tremble. Son entourage ne comprend pas qu'elle puisse être autant effrayée par une si petite bestiole alors qu'elle s'occupe de cas sanglant en pleine urgence à l'hôpital St-Vincent. • Romane adoooore la nourriture. Manger est un petit plaisir de la vie. Il y a quelques mois, elle s'est fabriquée un petit pot et à inscrit tout les restaurants intéressants de Brisbane et de ses alentours sur de petits morceaux de papier. Ainsi, une fois par semaine, elle pige un nouvel endroit à découvrir. Ayant aussi la dent sucrée, il lui arrive occasionnellement de faire un petit détour à la pâtisserie du coin. C'est une façon de récompenser ses bonnes actions. • Durant son adolescence, Romane a eu un chien du nom de Bonzo. Il l'a accompagné pendant plus de 10 ans. Dix belles années dont Romane s'ennuie énormément. Il était comme son meilleur ami. Il adorait les câlins, la faisait rire constamment, dormait collé contre elle. Son départ fut tellement difficile qu'elle ne parvint jamais à le remplacer. Pourtant, ce n'est pas l'envie qui manque d'avoir un nouvel animal de compagnie. Par contre, avec son travail et ses heures supplémentaires, elle sait que ce n'est pas le moment idéal d'adopter un chiot.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Roxanne, mais appelez-moi Rox. J'ai 31 ans, et je viens de Canada/Québec. J'ai découvert 30YSY grâce à des recherches internets , et j'ai cédé à m'inscrire parce que cela faisait un petit bout que je pensais à me remettre à RP. Le forum semble parfait et hyper accueillant

. Pour me faire ma place, je n'ai PAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présente 2 à 3 fois semaine. Mon personnage est un INVENTÉ. Je suis contente de vous rejoindre dans l'aventure et j'espère retrouver la flamme que j'avais autrefois en écrivant avec des gens formidables

.

Pour recenser votre avatar

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Il était une fois, mon histoire

"La vie est un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter."

FAMILLE

"Allez Romane, ouvre le courriel, je suis incapable d'attendre une seconde de plus..." Je vois ma mère donner un coup de coude dans les côtes de mon père. "Paul, voyons... Laisse lui le temps de se préparer à toute éventualité... Ce n'est pas qu'un petit courriel de promotion de ton restaurant préféré, c'est son avenir qui est en jeu." Je sens dans mon dos mon père sur le point d'exploser sous la pression du stress et j'imagine ma mère rouler des yeux durant qu'elle sermonne son mari. Je prend une grande inspiration avant d'ouvrir ce fameux message. Je commence à lire l'introduction et aussitôt 3 mots viennent me percuter de plein fouet ; Vous êtes acceptée.... La joie qui m'emplie est tellement grande et incontrôlable que j'échappe un cri de surprise, me soulevant d'un bon de ma chaise, portant une main à ma bouche. Je retiens mes larmes lorsque je sens l'étreinte d'amour que mes parents m'ont toujours offert autant dans les moments difficiles que dans les moments les plus doux. J'ai été accepté à l'université de Brisbane en technique de soin infirmier pour devenir infirmière. Je rêve. C'est pas possible. J'ai présentement 17 ans et d'ici mes 25 ans, je pourrai contribuer à sauver des vies à l'hôpital St-Vincent. Depuis que je suis toute petite, plus précisément suite à une visite à ma grand-mère à l'hôpital, j'ai su que je voulais aider les gens, plus spécifiquement au niveau infirmier. J'avais été tellement impressionnée par la rapidité d'exécution de l'équipe qui avait pris en charge ma grand-mère et par leur efficacité à tout entreprendre pour la maintenir en vie. Je vais me rappeler toute ma vie de cette infirmière qui m'avait demandé de tenir la main de ma grand-mère et de lui parler. Que d'entendre ma voix et de sentir ma présence l'aiderait certainement à rester avec nous. C'est se côté humain qui m'a interpelé et la raison pour laquelle j'ai envoyé ma candidature à l'université.

Ma mère pleure et sourit à la fois, mon père renifle et essuie les larmes qui roulent sur ses joues du revers de la main. Je prend le temps de lire la lettre avec attention lorsque mes émotions reviennent à la normal. Dès janvier prochain, j'entamerai un nouveau chapitre de ma vie.

AMOUR

"Noooon... Tu déconnes? Comment t'as réussis à te dégoter des billets pour ACDC?" Je n'arrive pas à croire ce qu'il m'a tendu entre les mains. Je relie à mainte reprise le nom du groupe qui a mis l'Australie sur la map du monde grâce à leur musique légendaire. Je regarde l'homme qui fait battre mon cœur depuis quelques mois avant de lui sauter au cou et de plaquer mes lèvres contre les siennes. "Merci milles fois... Je suis tellement heureuse, tu ne peux pas t'imaginer à quel point je voulais les voir sur scène! Merci, merci, merci, merciiiiii!" Je sautille de joie, incapable de contenir ma bonne humeur. "C'est quand la date?" "Demain..." Ma joie de vivre diminue peu à peu. Je regarde mon copain d'un air incrédule, haussant un sourcil, le défigurant presque. "DEMAIN? Tu plaisantes j'espère? Tu sais que s'est ma remise de diplôme... T'avais oublié?" Je le vois prendre son air nonchalant. Cet air qui me rend complètement folle de le voir se foutre des mes réelles ambitions, de mes valeurs. "Romy... Même si tu n'es pas présente à ta remise de grade, tu sais que tu vas obtenir quand même ton petit bout de papier qui indique que t'as réussis ton BAC." Je peux pas croire qu'il ose me dire un truc pareil. Je me recule, créant un certain écart entre nous deux. Je me prend la tête, fermant les yeux en essayant de garder mon calme. Je prend une grande inspiration, avant de dire sur un ton condescendant. "Tu sais à quel point j'ai travaillé fort pour obtenir mon diplôme. Que les places étaient limitées vue le nombre de gradués cette année et que j'ai déjà payé les billets de ma famille, dont le tiens... J'ai magasiné pour ma robe, mes parents ont engagé un photographe pour l'occasion... T'es au courant de tout ça? Alors pourquoi putain de merde tu joue le con à m'invitant au concert du siècle en sachant TRÈS BIEN que je ne peux pas y aller?" Je le fusille du regard, serrant la mâchoire, envahi d'une frustration incommensurable. "Justement Romy, c'est le concert du siècle. Vois ça comme une récompense suite à tous tes efforts. Décoince toi un peu et profites de la vie. Elle est entrain de te filer entre les doigts parce que t'as toujours le nez dans tes bouquins..." Mon cœur palpite, se sert, se tord de douleur. Ce qu'il me dit, ça me fait un mal de chien. Je comprends son geste, mais je croyais qu'il comprenait pourquoi j'en ai autant arraché durant mes études et pourquoi demain est une journée spéciale pour moi. Je regarde les billets et puis d'un air triste je les tends vers lui. "Désolé... Tu devras te trouver un autre accompagnateur." Il me regarde, avec un air stupéfait. "T'es sérieuse?" Sans dire un mot de plus, je lui montre la porte, l'invitant à quitter les lieux. Il soupire, m'arrachant les billets des mains en me toisant du regard, il me dévisage et me dit, avec un sourire odieux "Tu fais pitié". Je m'effondre en un rien de temps, m'emmitouflant sous mes couvertures, pleurant à chaudes larmes. En ce moment, je voudrais que Bonzo soit encore vivant pour qu'il puisse me réconforter. Je m'ennuie tellement de mon chien. Je pleure de plus belle, ne réalisant pas vraiment tout ce qui vient de se passer. Ce n'est pas ma première peine d'amour. En fait, ce qui me chamboule le plus, c'est la vérité de ses mots.

TRAVAIL

"Romane, le patient de la chambre 415 te demande encore..." Je regarde ma collègue avec un air découragé, roulant des yeux et soupirant bruyamment. Elle me sourie avant de me faire un clin d'oeil. Qu'est-je fais pour que se vieux bougon s'acharne sur moi. Je me dirige vers la chambre d'un pas décidé. En pénétrant dans la pièce, j'aperçois le vieux bonhomme couché sur son lit dans sa jaquette d'hôpital me faisant signe de s'approcher. "Qu'est-ce que je peux faire pour vous?" dis-je d'un ton un peu trop détaché. L'homme me regarde, me souriant de ses dents jaunies par la cigarette. "As-tu réfléchis à ma proposition?" Je me braque aussitôt, essayant de garder mon calme. "Monsieur Hupper, vous êtes dans un hôpital pour obtenir des soins, ce n'est pas une maison de débauche ici..." Avant que je puisse m'écarter, le quinquagénaire m'agrippe le bras et m'attire près de lui, glissant son autre main sur ma fesse et la pétrir avec agitation. "Voyons jeune fille, je demande juste de petits câlins." Je tente de me défaire de sa poigne, mais malgré sa convalescence, il a une force surprenante. "Lâcher moi." dis-je en cherchant rapidement le bouton d'urgence accroché au lit. La voix de ma collègue retentit par l'émetteur de la pièce et sans attendre, je prononce un code de sécurité qui fait en sorte qu'en moins de deux minutes, le personnel soignant le plus proche doit débarquer à la vitesse grand V pour venir me secourir. Heureusement des collègues, médecins comme infirmier, retentissent dans la pièce pour maîtriser le patient, me libérant enfin de ses mains baladeuses. Je quitte la pièce comme une flèche pour m'adosser contre un mur et respirer un bon coup. Je tremble, des larmes se traces un chemin sur ma peau, atterrissant sur mon uniforme. Je suis rapidement prise en charge par des gens autour de moi, mais je suis encore trop sous le choque pour comprendre ce qui vient réellement de se passer.

/////

Je me précipite à l'entrée des urgences, accompagné d'un médecin urgentiste, accueillant une ambulance avec un passager à l'intérieur. L'ambulancier nous défile les informations importantes sur la cause de l'accident et ses blessures majeures. "Homme dans la trentaine, il a été fauché par une voiture en délit de fuite. Il a une fracture au bras gauche et une bonne lésion au niveau de la tête. Il est dans les vapes." Mon regard se pose sur l'homme en question et mon corps se crispe lorsque je reconnais un ancien camarade de classe. Il m'avait déjà demandé de faire un projet en équipe. Je sais que ça lui avait pris tout le courage du monde pour venir à ma rencontre, car il avait le béguin pour moi. "Je le connais" dis-je en un souffle. Le médecin me regarde et capte tout de suite ma détresse. "Est-ce que tu vas être capable d'intervenir? Si oui, il faut que tu te ressaisisses immédiatement. Ce mec à besoin de toi Romane." Je plonge mon regard dans les yeux de mon collègue, j'avale difficilement ma salive, mais je reprend mes esprits et je lui fais signe de la tête, prête à sauver mon ami. On se dirige à l'intérieur du bâtiment. Le médecin me défile une liste de chose à faire pour installer convenablement le patient. D'autres infirmiers retentissent dans la pièce et en un rien de temps, on pourrait se croire dans une fourmilière. Tout le monde vogue à sa tâche, prêt à tout pour sauver l'homme. Je découpe son chandail au ciseau, découvrant un corps abîmé. Le médecin entreprend aussitôt une analyse de son thorax et de ses côtes. "Ok Romane, appelle tout de suite au bloc opératoire, il fait une hémorragie interne." Je lance l'appelle et me positionne avec mes autres collègues autour du blessé pour faire le transfert de la civière au lit d'hôpital. "Ok tout le monde à un, deux, TROIS!" Une fois bien installé, je déclenche les barrures pour pousser le lit dans les couloirs, me dirigeant in extremis vers le bloc opératoire. Je vois mon ami retrouver ses esprits, gémissant de douleur. "Ça va aller, c'est Romane, on est à l'hôpital St-Vincent, on va s'occuper de toi..." Je le sens repartir, je souhaite qu'il puisse passer la nuit. Une fois au bloc, je le laisse au bon soin du médecin en charge de l'opération.

Plusieurs heures passent sans avoir de nouvelle. Lorsque je croise enfin le chirurgien, je me dirige en sa direction pour lui soutirer de l'information. Il m'explique que l'opération n'a pas été de tout repos, mais que malgré tout, le patient va s'en sortir avec quelques séquelles minimes, ce qui relève du miracle. J'ignore pourquoi, mais une vague de soulagement tombe sur mes épaules et des larmes se pointe au coin de mes yeux. Faire ce métier est une montagne russe d'émotion, mais ô combien gratifiant lorsqu'on apprend une bonne nouvelle comme celle-ci.

AUJOURD'HUI

L'alarme de mon cellulaire me tire de mon sommeil. 5h00 du matin et la routine commence. Je prend le temps de regarder les dernières actualités sur mon profil facebook avant de sortir de mon lit et de me vêtir de mon kit de sport. J'attache mes espadrilles, j'enfonce mes écouteurs dans le creux de mes oreilles et j'entame ma playlist de motivation pour débuter ma course. Je prend un chemin routinier dont mon sens de l'orientation se souvient par cœur. À mon retour, je saute sous la douche pour me rafraîchir. En sortant, je vois sur mon cellulaire qu'un mec que je fréquentais m'a écrit. Je roule des yeux en me disant qu'il veut un plan cul et veux seulement savoir comment je vais pour parvenir à ses fins. Je décide d'ignorer son message et de me préparer pour ma journée de travail. Je met de la musique dans mon petit système de son portatif avant de faire ma routine de soin beauté. Une fois prête, je me prépare un petit déjeuner et je décide de le manger sur mon balcon pour profiter des premiers rayons de soleil qui viennent réchauffer mon visage. J'apprécie ce moment de tranquillité avant de mettre le cap jusqu'à l'hôpital. Aujourd'hui, je suis assignée à l'urgence, alors je m'attends à avoir du pain sur la planche. Je vais ranger mes effets personnels dans mon casier avant de ramasser mes cheveux en une queue de cheval et de commencer ma journée. Je salue mes collègues et demande les dernières nouvelles. Heureusement, l'équipe de nuit n'a pas eu de cas extrême, tout semble sous contrôle.

Ma journée se passe relativement bien. Mon plus gros cas est un homme qui s'est coupé l'index en faisant des rénovations chez lui. C'est toujours très plaisant de voir un petit bout de doigt dans un sac de plastique à travers de la glace - car non ce n'est pas la première fois que je vois ça dans ma courte carrière. Au moins, il a eu l'intelligence de le récupérer. J'ignore si le chirurgien va pouvoir lui rabouter le tout, mais au moins, l'homme a été pris en charge rapidement. En terminant mon quart de travail, je décide d'arrêter à un restaurant asiatique. J'ai une folle envie de manger un repas typique de l'Asie. Je prend le tout en take-out pour revenir à la maison et déguster le tout devant une émission. En savourant mon repas, j'entend frapper à la porte. Je valide l'heure sur mon cellulaire, constatant qu'il est seulement 19h12. Tout en me dirigeant vers l'entrée, je croise les doigts pour ne pas que ce soit mon ancienne fréquentation qui tente sa chance une seconde fois vue que j'ai ignoré ses textos toute la journée. Une fois devant l'œillet, je jette un coup d'œil pour y découvrir une jeune femme. J'entrouvre la porte en haussant un sourcil, scrutant l'invité dans mon portique. "Je peux vous aider?" dis-je poliment. "Vous êtes bien Romane? Romane Hatkins?" J'acquiesce prudemment, ne sachant pas vraiment si je dois confirmer mon nom devant cette inconnue. "À qui ai-je l'honneur?". "Est-ce possible de vous parler à l'intérieur? C'est un sujet assez délicat..." Je reste incrédule devant sa demande. Je l'analyse de la tête aux pieds. "Je ne crois pas non... Si vous avez quelque chose à me dire, faite le ici et maintenant, aussi non je vous demanderais de partir." La femme me regarde longuement avant de prendre une grande inspiration. "Je m'appelle Charlie et si mes recherches m'ont mené jusqu'à vous, cela veut dire que nous sommes probablement sœurs..." Je reste sans voix. Je me sens basculé légèrement, m'obligeant à prendre appuie dans le cadre de porte. Je cligne des yeux, essayant de comprendre ce qu'elle vient de me dire, mais mon cerveau ne fait que répéter le dernier mot sortie de sa bouche... Soeur.

Finalement, ma journée qui me semblait banale n'est plus si banale que ça..

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ashan — you and i stargazing intertwining souls.

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Très belle chanson pour le titre :l:

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Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.

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There's somethingI'm having nightmares about

️ EXORDIUM.

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