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 (Mokare#1) Flown to the sixth heaven

Mokare Unaipon
Mokare Unaipon
le gré du vent
le gré du vent
  
Absent
ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995)
SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare.
STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là.
MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même
LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city
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POSTS : 176 POINTS : 320

TW IN RP : abandon de sa sœur jumelle à la naissance
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
RPs EN COURS : (Mokare#1) Flown to the sixth heaven  - Page 2 8ce1eca105ada6edf09251a7e4a1598a5d73d414
MOKARINA #2 › you missed to my life and i found you back (#1)
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MOMEÏ #1#2 ~ you can't see, but i can see the true you


RPs TERMINÉS : › Liste mise à jour le 02/11.

AVATAR : booboo stewart
CRÉDITS : ganeshastuff (avatar) - loveallthegays (gifs) - anaelle (signature)
DC : Helen Stenfield, le tyran & Andréa Eames
PSEUDO : JUJU
Femme (elle)
INSCRIT LE : 05/07/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t54908-believer-mokare
https://www.30yearsstillyoung.com/t54930-don-t-belong-to-no-city-mokare

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Message(#)(Mokare#1) Flown to the sixth heaven  - Page 2 EmptyMar 22 Oct 2024 - 22:52


Flown to the sixth heaven
@Lincoln Reddington - mount coot-tha - août 2024
¤¤¤
crédits gifs (emziess) / code (boté du sud :l:)



Votre petit jeu du chat et de la souris s'est poursuivi sur le trajet jusqu'à la villa de Lincoln, ce qui a continué de faire monter la pression entre vous. Tu as préféré éviter sa question au sujet du pouvoir magique que tu souhaiterais le plus avoir, ne voulant pas faire retomber l'ambiance en parlant de ta défunte mère. A la place, tu lui as retourné la question, intéressé par ce qu'il pensait lui de cette impossible éventualité d'avoir un jour un tel pouvoir. Tu finis par lui avouer que tu as très hâte que vous arriviez, et c'est justement le cas, après quelques minutes seulement. L'avocat n'habitait vraiment pas loin du Mount Coot-Tha, et tant mieux. Lorsqu'il te laisse pénétrer dans son humble demeure, tu es tout de suite émerveillé par le côté grandiose des lieux. Tu n'as pas coutume de fouler ce type d'hébergement, tu dois bien l'avouer. Même si la maison de Charlie est très impressionnante également, la villa de Lincoln transpire vraiment l'argent, il faut l'admettre. « Je dois avoir une passion pour les costumes que veux-tu. » C'est une passion comme une autre après tout. Tu as bien rencontré une femme qui collectionnait les paires de chaussures à talons. Alors tu n'es pas vraiment étonné pour les costumes. « Très entreprenant à ce que je vois. J’aime ça. Je pense que la visite peut attendre en effet. Rien ne va bouger d’ici à ce qu’on finisse cet essayage de costume non ? » Tu secoues légèrement la tête, avec un petit sourire en coin. Rien ne va bouger, et tu ne comptes pas non plus décamper si vite. Tu as juste envie de visiter avant toute chose l'étage, où tu as déjà plein d'idées d'activités en compagnie de l'avocat. Mais tu t'inquiètes de l'éventualité qu'on vous interrompt, et Lincoln te rassure à ce sujet très rapidement : « Il fut un temps où je vivais seul. Mais maintenant, j’ai deux colocataires. Mais t’en fais pas elles sont parties pour la journée donc nous sommes tous seuls pour quelques heures. » - « Parfait. » Souffles-tu, en te frottant les mains. Tu es impatient de la suite, et ton corps le traduit facilement aux yeux de Lincoln qui s'approche des escaliers. « Bon maintenant suis moi, on va monter à l’étage car la plupart de mes costumes sont dans ma chambre. » Les choses sérieuses allaient enfin commencé, ouf ! « Je te suis. » Et tu ne vas pas te faire prier pour le suivre, ça, c'est certain. Tu te fais violence pour ne pas te jeter sur Lincoln dans le couloir, tu en profites d'ailleurs pour déposer ton sac à dos sur le bas des marches avant de les monter deux par deux. Une fois à l'étage, l'avocat te guide rapidement jusque dans sa chambre, que tu observes l'espace de deux secondes, avant de rapporter ton attention sur lui. La pièce n'est qu'un prétexte, c'est lui dont tu as envie depuis tout à l'heure, pas d'une visite en profondeur de son antre de repos. « Et voici mon havre de paix. Et le placard là-bas, c’est là où sont mes costumes. Je dis ça, je dis rien. Mais je crois que tu ne peux plus reculer pour en essayer un. » En le voyant s'asseoir sur le bord du lit, tu ne résistes pas plus longtemps à la tentation de te rapprocher de lui, en lui adressant une petite moue confuse. « A vrai dire, je n'ai plus très envie d'essayer des costumes, là tout de suite. » Tu viens te caler entre ses jambes, sans aucune pudeur, tandis que tu entoures ses épaules musclées de tes bras un peu plus frêles que les siens. « MAIS. ça ne veut pas dire qu'on ne va pas s'amuser, car j'ai bien une petite idée en tête de ce qu'on peut faire, tous les deux. » Tes phalanges caressent distraitement sa tête, pour descendre ensuite dans sa nuque, que tu cherches à agripper pour avoir une meilleur emprise. Tu sens que ton désir est partagé à ce moment-même, alors tu ne fais pas durer plus longtemps le suspense. Tes lèvres viennent capturer celles de l'avocat, pour un baiser suave, doux et envieux à la fois. Tu laisses tes pulsions parler, qui invitent tes mains à se faufiler sous ses vêtements pour y découvrir l'agréable toucher de sa peau, et découvrir la finesse de ses muscles. Dans un mouvement encore plus entreprenant, tu finis par venir le surplomber, bien décidé à vivre ce moment que tu attends depuis que ton regard s'est posé sur lui, durant l'ascension du mont.




ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight.

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Lincoln Reddington
Lincoln Reddington
le maestro de l'image
  
Présent
ÂGE : 32 ans (01.10.1992)
STATUT : Être célibataire, c'est pouvoir écouter des vieux tubes ringards dans son appartement sans que personne ne nous critique.
MÉTIER : Avocat pénaliste & expert en relations publiques
LOGEMENT : Une villa au 240 edward street (spring hill)
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POSTS : 516 POINTS : 500

TW IN RP : Psychologie/santé mentale
TW IRL : Aucun
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : La mort change un homme
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #cc6666
RPs EN COURS : Axel #1 ; Phoebe #1 ; Harper #2 ; Scarlett #1 ; Kehlani #2 ; Lily #1 ; Yasmin #2
RPs TERMINÉS : Rp terminés :
Helen #1 (flashback) ; Izan #1 ; Harper #1 (SMS) ; Bran #1 ; Helen #2 (SMS) ; Coloc #1 ; Izan #2 ; Mokare #1 ; Jesse #1 ; Yasmin #1 ; Jayden #1

Rps abandonnés :
Lara #1 ; Nova #1
AVATAR : Taron Egerton
CRÉDITS : mel-graph (avatar) solosand (signa)
DC : Aucun pour le moment
PSEUDO : Barcyoda
Homme (il/lui)
INSCRIT LE : 29/06/2024
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Message(#)(Mokare#1) Flown to the sixth heaven  - Page 2 EmptySam 2 Nov 2024 - 11:45

Mokare Unaipon adore ce message


Une fois à la villa de l’avocat, ce dernier expliqua alors, en guise de réponse à Mokare, qu’il fut un temps où il vivait seul. Un temps révolu vu que maintenant, deux jeunes demoiselles partageaient son toit. Mais aujourd’hui, elles se trouvaient à l’extérieur de la villa, faisant des deux jeunes hommes, les seuls occupants de ce grand espace pendant quelques heures. Autant dire qu’ils allaient pouvoir faire tout un tas de choses sans pour autant être dérangé. Sauf imprévu. L’invitant donc à monter à l’étage, là où se trouvaient la plupart de ses costumes, le guidant alors jusqu’à sa chambre. Et une fois à l’intérieur de la pièce qui était un peu son petit nid à lui, l’avocat s’installa sur son lit, indiquant alors à son invité surprise l’endroit où se trouvaient les quelques tissus qu’il allait devoir essayer. Cependant, et sans que cela ne semble pas être une surprise pour le jeune homme, Mokare eut une autre envie. « Ah bon ? » Dit-il en affichant une mine faussement étonnée, écoutant alors son invité qu’il avait une autre idée en tête. Bizarre ? Pas vraiment et cela semblait bien amuser l’avocat qui esquissa alors un large sourire sur son visage en rétorquant : « Tant que l’on s’amuse, cela me va. » L'avocat sentit les doigts remonter le long de sa nuque, d'abord légers, presque hésitants, puis plus fermes, se refermant doucement comme pour ancrer l'instant. Une chaleur douce, électrique, irradiait de ce simple contact, parcourant sa peau d'un frisson incontrôlé. Il ferma les yeux, s'abandonnant à cette entreprise, ses propres mains s'élevant par réflexe pour effleurer le dos de celui qui, de toute évidence, n'avait aucune intention de reculer. Quand leurs lèvres se rejoignaient, c'était comme une réponse silencieuse à toutes les promesses inavouées entre eux. Le baiser, d'abord prêté et précautionneux, se transforme en une danse plus audacieuse. Chaque geste de l'autre semblait calculé, mesuré, mais derrière cette maîtrise, il devinait la faim, l'impatience soigneusement contenue. Il répondit avec une ardeur égale, et la sensation de leurs souffles mêlés acheva de faire céder la dernière barrière de sa retenue. Sous le tissu de sa chemise, il sentit des doigts glisser, brûlants contre sa peau, une caresse directe et possessive, révélant une curiosité insatiable. Le contact fit naître en lui un plaisir brut, presque troublant, tandis que les mains de l'autre dessinaient la courbe de ses épaules, la ligne subtile de ses muscles. C'était une découverte presque minutieuse, un examen silencieux où chaque mouvement semblait se graver dans sa mémoire, comme si ce moment était fait pour être savouré lentement, intensément. Dans un élan instinctif, ses mains glissèrent sur les hanches de l'autre, l'attirant un peu plus contre lui. Un souffle échappa à ses lèvres, comme une invitation muette à aller plus loin, à franchir les limites de la simple tentation. Lorsque l'autre s'installe au-dessus de lui, il ouvre les yeux, capturant son regard avec une intensité qui lui échappa presque. Il n'y avait plus de place pour les mots, simplement ce désir silencieux et palpable, qui les enveloppait, les poussait l'un vers l'autre. Il repensa au premier moment où leurs regards s'étaient croisés, là-haut, lors de l'ascension ; à cette première étincelle qui l'avait déjà laissé imaginer, presque malgré lui, ce que serait la chaleur de ce corps contre le sien. Et maintenant qu'il pouvait la sentir, maintenant qu'il pouvait vivre pleinement cette pulsion, il lui semblait que tout était encore plus puissant, plus irrépressible. Sa main remonta le long de son dos, le pressant contre lui avec une ferveur qui se voulait à la fois douce et possessive, déterminé à s'abandonner entièrement à ce moment, comme s'il pouvait enfin laisser libre cours à tout ce qu'il avait jusque-là tenté de dissimuler. L’avocat laissa le plaisir prendre le contrôle de son corps, profitant simplement de ce moment. Profiter. Il avait toujours vu la vie comme une succession de rencontres imprévues, de chemins qui se croisaient pour un instant avant de s'éloigner à nouveau. Ces moments suspendus, où deux regards se captaient dans une curiosité partagée, avaient pour lui une saveur particulière, une intensité rare. Parfois, ces rencontres, nourries de regards volés et de sourires esquissés, prenaient une tournure plus intime, et il se laissait emporter par l'attirance qui flottait dans l'air comme une promesse silencieuse. Il se souvenait de ces instants volés, de ces étreintes où la tension se libérait en un mélange d'urgence et de douceur. Dans l'obscurité d'une pièce ou sous la lumière tamisée d'une soirée qui s'achevait, il goûtait chaque caresse, chaque souffle échangé comme s'il capturait là l'essence même de la vie. C'était dans cette vulnérabilité partagée, dans la chaleur de ces instants éphémères, qu'il sentait battre ce quelque chose de vibrant et de vrai. Ces rencontres imprévues étaient pour lui une façon de savourer le présent, de plonger dans l'instant avec une intensité rare, se rappelant que la vie, au fond, était faite de ces moments brûlants, fugaces, mais inoubliables. Et Lincoln profita de ce moment avec Mokare, un moment intense et sensuel. Un moment magique.

FIN DU RP

@Mokare Unaipon :l:


Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.
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(Mokare#1) Flown to the sixth heaven

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