 ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : même si ça paraît précipité, il est tellement heureux d'être fiancé à ash qu'il le répète vingt fois par jour MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : #547 Bayside, un appartement qu'il partage avec son fiancé et leurs trois chats  POSTS : 1020 POINTS : 2130 TW IN RP : crise d'angoisse, pression familiale, désamour parental, burn-out, addiction aux médicaments. TW IRL : maltraitances animales.
GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : cynophobe depuis l’âge de six ans, et oui même les petits chiens sont concernés ›› accroc aux bonbons acidulés ›› insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ›› adore insulter les gens en espagnol ›› très mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ›› ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ›› vit avec 3 chats : sol, luna & eclipse ›› éperdument amoureux de son anglais ›› porte un anneau à l'annulaire gauche, même s'il n'est pas encore marié à ash.
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS : 
ashan #15, #17, #18 & UA • tell me that you want me and i'll be yours completely, for better or for worse. i know we have our disagreements, fighting for no reason, i wouldn't change it for the world cause the first time that i met you i was never gonna let you, let you slip away. you make my heart feel like it's summer when the rain is pouring down, you make my whole world feel so right when it's wrong, that's how i know you are the one, that's why i know you are the one
izen #6 & #8 • lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. please swallow your pride if have things you need to borrow, for no one can fill those needs that you won't let show. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load if you call me
jayzan #3 & #4 • and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before, i'll be there for you 'cause you're there for me too. no one could ever know me, no one could ever see me seems you're the only one who knows what its like to be me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
samzan #2 • if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
charlie #1 › lincoln #2 › nizan #1 › nicholas #1 › elena #1 › min #1 › shaun #1 › kippan #1 › momo #1
AVATAR : taylor zakhar perez. CRÉDITS : daikunart (profil) › ninzied (ashan) › baiedor (jayzan) › mulderscully (sign) DC : maeve wang.  INSCRIT LE : 11/06/2024     |  (#)Sam 10 Aoû 2024 - 16:44 | |
| endless summer @Mokare Unaipon  • septembre 2024
 Délaissé le piano, ses touches blanches et noires, les conventions du monde classique qui dictent le cadre en même temps qu’elles l’écrasent : les vagues sont présentement sont unique terrain de jeu. C’est un sport particulier, le surf, puisque les vagues sont à la fois une présence vénérée, le pire ennemi possible et, l’adversaire redoutable. En cette fin d’après-midi, sa planche glisse dans les tuyaux de vagues aux humeurs changeantes, où s’entrelacent les remous mousseux de la surface et l’écho des profondeurs que l’oeil ne peut atteindre ; se retrouver prisonnier au milieu des grosses vagues a un côté à la fois euphorisant et terrorisant, mais l’adrénaline est telle qu’il a redemande sans se lasser, mais sans oublier le complice qui l’accompagne, et qu’il observe depuis sa planche entre deux accalmies. ’’Tout va comme tu veux ?’’ qu’il lui demande d’un ton jovial, puisqu’il est pour l’heure obnubilé par les vagues qui se succèdent en les faisant chahuter au milieu de l’eau, puisque le sel marin recouvre, pour l’instant, ses plaies. Il ne parvient pas totalement à semer le poids de la fatigue au milieu de l’écume, mais il trouve un peu de réconfort à concentrer son esprit sur quelque chose qui n'est pas assombrie par l'ombre de l'angoisse. Pendant quelques heures, la vie féroce, furieuse, intrépide, palpite dans les veines du gamin désaimé de ses parents et renié de sa famille, et il a l’impression de retrouver son souffle. Ce n’est que lorsque le soleil, descendant sur l’horizon qui lui barre la route, embrase le ciel de couleurs chaudes et que la plage se vide progressivement de ses visiteurs qu’il revient sur la terre ferme, abandonnant sa planche en la plantant dans le sable, lui donnant l’allure d’une grosse lame noire qui tranche l’océan, là où glissent les vagues qui se brisent l’une contre l’autre en poursuivant leur ballet salé. ’’J'ai plus d'énergie...’’ dit-il en se laissant tomber à côté de Mokare, mais même s'il est totalement abattu par la fatigue, cette session de surf est une réussite, puisqu’il a l’impression d’être plus apaisé que lors de son arrivée sur la plage. Pressant ses lèvres dans un sourire suave en enfonçant aussi bien ses orteils que ses doigts dans le sable tiède, il contemple le décor pendant quelques secondes avant de tourner le menton vers Mokare, reprenant le fil de la discussion pour ne pas laisser ses pensées l'envahir, surtout pas ’’Et toi, ça va ?’’ comme parade, il y a mieux, sachant qu’il lui a déjà posé la question lorsqu’ils se sont retrouvés quelques heures auparavant. ’’Enfin, je veux dire… Qu’est-ce que j’ai manqué dans ta vie, depuis la dernière fois ?’’ rien de tel pour noyer le poisson et, cela tombe bien, il est au bon endroit pour ça.
crédits/surphile
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