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Anthony ☆   @Pénélope Danbury    

fin août 2024
Penelope a déposé les jumeaux chez les Lewis pour la soirée. Tony, lui, il a pris la direction de leur nouvelle demeure pour préparer cette soirée. Ils s’étaient mis d’accord pour passer la soirée ensemble, à deux, dans cette demeure et que les grands-parents passeraient le lendemain avec les jumeaux pour prendre un brunch. Il jette un coup d’œil par la fenêtre en voyant la voiture de Penelope se garer dans l’allée… signal pour le faire sortir et la rejoindre directement à la sortie de sa voiture. Ok, il est enthousiaste. Pas de doute là-dessus. « Surtout ne va pas t’imaginer quelque chose d’exceptionnel --- c’est juste notre premier nuit dans notre chez nous --- à nous », Tony fait demi-tour pour pouvoir lui faire face. Dos contre la porte d’entrée, il affiche un sourire amusé et taquin tout en parlant avec les mains, les gardant bien devant lui. il essaie d’avoir l’air sérieux mais son enthousiasme est bien trop grand. Il est bien trop enthousiaste à l’idée de pouvoir passer cette soirée avec elle, rien qu’à deux. Le début d’une nouvelle aventure après des semaines passées à se mettre d’accord sur la couleur des murs, le choix des meubles et la disposition de ces derniers. A croire que Tony avait fait des études de Feng shui, tant il avait un avis sur tout, tout le temps. « Prête ? », demande-t-il en attendant la confirmation de Pen et c’est une fois que celle-ci lui confirme être prête qu’il ouvre finalement la porte.

Il avance d’un pas pressé vers la cuisine ouverte et il tend le bras vers cette table préparée avec le plus grand soin. Une nappe. Quelques bougies. Un repas préparé avec le plus grand soin par un chef cuisinier : rien de chic, des pizzas faites maison mais il sait comment conquérir sa petite-amie, sa meilleure amie. L’odeur des pizzas s’échappe du four et annonce déjà la couleur. Une bouteille de vin. Ses lèvres s’étirent en un large sourire et il se dirige vers la chaise qui sera sienne pour la tirer légèrement : « si madame veut bien venir prendre place … » La voix est rieuse. Le ton plaisantin, enfantin. Il la laisse prendre place et s’empare de la bouteille de vin.

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@anthony lewis ☆ Pénélope

Fin août 2024 Une soirée rien qu’à nous et dans notre maison à nous. Après avoir passé le mois d’août entre les cartons et les pleurs de bébés, nous y sommes. Le déménagement ne s’est pas fait en un jour bien sûr et il a aussi fallu se mettre d’accord sur la couleur des murs, le choix des meubles et leur disposition. Je n’aurais jamais cru possible que Tony puisse avoir un avis sur tout. Il était aussi enthousiaste que moi, aussi investi … On se poussait vers le haut et c’était allé encore plus vite que je ne l’aurais pensé. Alors, évidemment ça n’allait jamais assez vite quand on était dans les cartons, entre deux maisons mais bon sang ! ça valait le coup parce que ce soir, c’était notre première nuit chez nous. Je devais déposer les jumeaux chez ses parents et après les avoir remercié encore des milliers de fois les Lewis, je suis partie chez nous. Notre véritable chez nous, une maison dans laquelle nous avons investi tous les deux du temps, de l’argent… Pendant ce mois, j’ai réalisé à quel point ça avait été important pour lui cette étape parce qu’il se voyait plus comme un squatteur au #339 que comme chez lui. C’était faux mais en un sens, je comprenais ce point de vue.

Je me gare dans l’allée et je suis toujours aussi émerveillée par la maison. Il va me falloir encore un peu de temps pour me dire pleinement que c’est notre maison. Je sors de la voiture et vois apparaître Tony. « Surtout ne va pas t’imaginer quelque chose d’exceptionnel --- c’est juste notre premier nuit dans notre chez nous --- à nous » - « Je m’attends à tout avec toi, tu m’as quand même dit que j’étais interdite de passer ici pour la journée ! » lui précisais-je, masquant tellement mal mon enthousiasme pour découvrir sa surprise. Je le suis jusqu’à la porte d’entrée devant laquelle il s’arrête pour me faire face. Son vif demi-tour me fait rire, ainsi que son sourire taquin. « Prête ? » Me demande-t-il, je me penche pour donner un chaste baiser sur ses lèvres puis me recule : « Maintenant oui ! » Je ne l’avais quasiment pas vu ce matin parce qu’il avait fini de rapporter tout son matériel de cuisine à la maison et l’avait directement rangé. On avait mangé ensemble à midi et il était reparti juste après pour préparer cette surprise.

Il ouvre la porte et mon sourire s’agrandit quand je vois son empressement à se diriger vers la cuisine Cette fameuse cuisine qui a été l’élément déclencheur de son coup de cœur pour cette maison. Il tend le bras pour me montrer la table mise avec soin avec une jolie nappe, des bougies, une bouteille de vin et … une délicieuse odeur de pizza qui arrive jusqu’à mon nez. « Woaw ! » C’est la seule chose que j’arrive à dire tout en retirant ma veste et en posant mon sac sur le canapé plus loin. J’avais vraiment dans l’idée qu’il m’aurait fait des tacos qu’on aurait grignoté rapidement avant de continuer à déballer des cartons mais non, il a tout prévu ce soir. Mon regard se promène de la table jusqu’à lui. Je me mordille l’ongle du pouce et lui adresse en même temps un sourire émerveillé. J’avais pas besoin d’un restaurant 5 étoiles, une soirée comme ça, c’était ça la perfection à mes yeux. « si madame veut bien venir prendre place … » Je lui fais une petite courbette avec un petit malicieux, et m’assois sans le quitter du regard. Il s’empare de la bouteille qu’il ouvre pour nous en verser deux verres. Je lève mon verre et nous trinquons : « On trinque à quoi ? » Il faut dire qu’il y avait tellement de choses à fêter ! « A cette superbe maison … notre superbe maison et à toi qui a tout manigancé pour qu’on passe une bonne soirée ? » dis-je en soutenant son regard.

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Anthony ☆   @Pénélope Danbury    

fin août 2024
il prend place face à elle après leur avoir servi un verre de vin. ce soir, ils mangent à deux, en tête à tête. bientôt les enfants seront eux-aussi à table. il peut même s’imaginer partager des repas en famille, rire en les écoutant raconter leurs anecdotes, marmonner en les voyant bouder et parfois même rouler des yeux quand ils se lèveront de table, agacés, énervés, comme de vrais adolescents. ils grandiront autour de cette table et il avait hâte d’être aux premières loges. mais pour l’heure, c’est penelope et anthony. eux et rien qu’eux. « on trinque à quoi ? a cette superbe maison … notre superbe maison et à toi qui a tout manigancé pour qu’on passe une bonne soirée ? » ils ont pas mal d’idées pour trinquer ce soir. a eux. leur amour. cette maison. ce projet. le repas. les enfants. leur futur. tout ce qui leur reste à vivre. aucune idée. il hausse les épaules et tend le bras pour faire en sorte que son verre rencontre le sien : « tout ce que tu voudras ; l’important est de boire et manger, tu sais comment je suis … », un éclat de rire et il porte son verre à ses lèvres pour en boire une gorgée. il se redresse sur sa chaise pour jeter un coup d’œil vers la cuisine, le four et il repose son verre pour aller chercher une salade qu’il avait évidemment préparé et les pizzas également préparées avec le plus grand soin --- la cuisine lui manquait un peu. sans doute. « et voilà --- » il reprend place en face d’elle. « tout s’est bien passé avec mes parents ? tu vas vouloir les appeler en cours de soirée ou tu crois que ça va aller, mama bear ? », qu’il demande en portant son verre à ses lèvres pour en boire une gorgée, malicieux et taquin.

« ils t'ont déjà dit à quelle heure ils pensaient venir demain? »

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@anthony lewis ☆ Pénélope

Fin août 2024 Une fois assise, Tony prend place en face de moi, et nous sert du vin. Je pousse un long soupir. On est que tous les deux … jusqu’à demain midi ! J’ai l’impression d’être en vacances et d’être une mauvaise mère d’être si soulagée de me dire que je n’aurais pas à me lever cette nuit. Il avance son verre et nous pouvons trinquer, un sourire complice au coin des lèvres. On trinque à notre superbe maison, à lui qui nous a fait ce petit repas de roi. On pourrait trinquer à pleins d’autres choses mais ça, c’est déjà très bien non ? « tout ce que tu voudras ; l’important est de boire et manger, tu sais comment je suis … » Je ris en même temps que lui et je porte le verre à mes lèvres. « je sais oui. Ce qui est bien avec toi, c’est que j’aurais jamais l’estomac vide ! » plaisantais-je tout en le regardant se lever de sa chaise. Il jette un coup d’œil au four et en sort les pizzas préparées avec soin, j’en suis sûre. Il amène également de la salade et dépose le tout sur la table. « et voilà --- » -  « Il te tarde de retourner en cuisine plus souvent. » Oh, ce n’était pas une question, je me doutais qu’il avait hâte de retourner à temps plein en cuisine. Chose qu’il ne pouvait pas faire pour l’instant parce qu’il faisait pas mal de télétravail pour les enfants. Mais je voyais là, les réflexes et habitudes du cuistot à l’œuvre. J’avais hâte de le voir s’épanouir dans ce qui le passionnait. Et honnêtement, je trouvais ça charmant … j’avais été séduite par son joli minois bien sûr mais un homme derrière les fourneaux, j’ai toujours trouvé ça très sexy.

« tout s’est bien passé avec mes parents ? tu vas vouloir les appeler en cours de soirée ou tu crois que ça va aller, mama bear ? » J’éclate de rire sans le quitter des yeux. Puis je roule brièvement des yeux tout en me grattant la nuque : « ils étaient ravis que je dépose les grumeaux et ta mère m’a bien dit que je pouvais les leur confier plus souvent parce qu’elle se régalait. » Un rire, « J’ai pas de doute là-dessus. Je savais que ta mère avait aimé s’occuper de ses petites filles mais alors là, deux d’un coup, j’ai l’impression qu’elle vit un rêve éveillé. Et ton père est aussi gaga. » Lui confiais-je avec un clin d’œil malicieux. Je bois une gorgée de vin puis je me sers de la salade. « Et non, je vais pas les appeler … Ils ont ton numéro ou le mien s’il y a un problème … » Je fais une moue coupable avec ma bouche, et admets en sentant mes joues rosir, « Et ils m’ont promis de nous envoyer des photos alors … je suis entièrement avec toi ce soir ! » ris-je.

« ils t'ont déjà dit à quelle heure ils pensaient venir demain? » - « Vers 13 heures. Ils veulent faire un tour avec les bébés au restaurant. Il paraît que tes collègues des cuisines veulent absolument rencontrer les petites terreurs qui t’empêchent de dormir … Moi je pense qu’ils veulent juste se pavaner avec les enfants mais chut, on dit rien ! » lui dis-je sur le ton de la confidence. « Pourquoi ? Y’a des peintures à finir ? Des meubles à finir de monter ? Je croyais que tout était bon … »  l’interrogeais-je.

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Anthony ☆   @Pénélope Danbury    

fin août 2024
« je sais oui. Ce qui est bien avec toi, c’est que j’aurais jamais l’estomac vide !» « j’sais que c’est ce qui m’a fait anéantir la concurrence, oui », dit-il en se levant de sa chaise pour aller chercher le repas. « il te tarde de retourner en cuisine plus souvent » et il répond à cette remarque par un sourire. Il a hâte de pouvoir retourner au tasty tazzy, hâte de pouvoir de nouveau se mettre une serviette sur l’épaule et concocter les plats de sa jeunesse, de son adolescence et ceux qu'il avait lui-même mis sur la carte. L’emploi était une passion. La cuisine était une passion. Parfois, le stress de la cuisine et des rushs. Bientôt.

« ils étaient ravis que je dépose les grumeaux (il acquiesce, pas vraiment surpris de cette information) et ta mère m’a bien dit que je pouvais les leur confier plus souvent parce qu’elle se régalait. » « quelle surprise ! », marmonne-t-il d’une voix rieuse. « J’ai pas de doute là-dessus. Je savais que ta mère avait aimé s’occuper de ses petites filles mais alors là, deux d’un coup, j’ai l’impression qu’elle vit un rêve éveillé. Et ton père est aussi gaga. Et non, je vais pas les appeler … Ils ont ton numéro ou le mien s’il y a un problème … » Tony la fixe en plissant doucement les yeux, l’air suspicieux. « Et ils m’ont promis de nous envoyer des photos alors … je suis entièrement avec toi ce soir ! » Il claque des doigts comme un eurêka et finit par rire, pas vraiment surpris qu’elle ait envie d’avoir un œil sur sa progéniture. ça n’enlevait rien au fait qu’elle ait confiance en la mère lewis, elle restait juste une maman. « Ok, tu m’as fait peur – pendant un moment, j’ai cru que tu avais été enlevé par des aliens et remplacée --- mais là, ça va, je retrouve ma Penne »

« Vers 13 heures. Ils veulent faire un tour avec les bébés au restaurant. Il paraît que tes collègues des cuisines veulent absolument rencontrer les petites terreurs qui t’empêchent de dormir … Moi je pense qu’ils veulent juste se pavaner avec les enfants mais chut, on dit rien ! » « pas possible d’être aussi gaga », il secoue la tête et un sourire amusé prend place sur ses lèvres. Leur aîné était papa. Un papa particulier mais un papa quand même. Il s’empare d’un morceau de pizza tout en relevant la tête vers Penelope. « Pourquoi ? Y’a des peintures à finir ? Des meubles à finir de monter ? Je croyais que tout était bon … » «Hm, pas vraiment, j’étais en train de calculer combien de temps on a devant nous avant qu’on sente de nouveau les couches pleines --- si je rêve d’une nuit de sommeil et d’une grasse matinée --- », il penche la tête sur le côté car parler de grasse matinée est presque devenu un fantasme, « je rêve encore plus de te sauter dessus … et de ne pas te lâcher jusque … disons treize heures donc. »

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@anthony lewis ☆ Pénélope

Fin août 2024 « j’sais que c’est ce qui m’a fait anéantir la concurrence, oui » - « ça et ton amie pâtissière qui fait les meilleurs Donuts du monde bien sûr. » ajoutais-je, l’air de rien en me retenant de glousser. Mon amour pour les Donuts n’avait pas disparu après mon accouchement. Ça m’aurait bien arrangé pour être tout à fait honnête mais non, ces pâtisseries grasses et sucrées à souhait, faisaient toujours autant frétiller mes papilles. De même qu’il me connaissait suffisamment pour se douter que je n’allais pas résister à l’envie d’avoir des nouvelles des bébés pendant la soirée. « Ok, tu m’as fait peur – pendant un moment, j’ai cru que tu avais été enlevé par des aliens et remplacée --- mais là, ça va, je retrouve ma Penne » Je plisse mon nez et me mets à rire : « C’est leur première nuit en dehors de la maison et sans nous je te signale ! C’est pas rien ! » m’écriais-je faussement indignée. Il comprenait très bien que j’avais une confiance aveugle en sa mère mais je restais une maman. Une mama bear comme il s’amusait si bien à dire, et au final je trouvais que ça me correspondait plutôt bien. Je n’allais pas harceler maman et papa Lewis, je me l’étais promis mais je crois qu’ils avaient clairement compris que j’étais ce genre de maman : surprotectrice  mais qu’il allait aussi falloir que je lâche du lest. Et je suis certaine que la mère de Tony allait m’y aider même si, elle aussi – et son mari – étaient complètement gagas des jumeaux. « pas possible d’être aussi gaga » - « Ils profitent à fond du privilège d’être les seuls grands-parents. » pouffais-je alors que je finissais ma salade. Je me sers une part de pizza puis je bois une gorgée de vin tout l’écoutant. Je l’interroge : il y a encore des meubles à monter ou des peintures à finaliser pour qu’il me demande à quelle heure débarque ses parents ? «Hm, pas vraiment, j’étais en train de calculer combien de temps on a devant nous avant qu’on sente de nouveau les couches pleines --- » Je grimace, pas vraiment pressée de me ré-habituer à cette odeur. Oui les bébés, c’est pas seulement la peau douce c’est aussi des cacas et du vomi ! « si je rêve d’une nuit de sommeil et d’une grasse matinée --- » Je roule des yeux et soupire longuement, « Et moi dont … » murmurais-je avant de manger un morceau de pizza, « je rêve encore plus de te sauter dessus … et de ne pas te lâcher jusque … disons treize heures donc. » J’éclate de rire et viens poser ma main sur la sienne, posée sur la table, « Ca, c’est un rêve qu’on peut réaliser facilement ! » lui répondis-je malicieusement tout en posant ma part de pizza. Sans le quitter des yeux, je finis mon verre de vin et m’avance vers lui. Je viens me mettre entre ses jambes et me baisse pour déposer un baiser sur ses lèvres. Ensuite, je me recule et tends ma main pour qu’il se lève. Une fois qu’il est débout j’attrape déjà ses lèvres dans un baiser enflammé, « Les pizzas… » Mes mains se posent sur ses côtes, puis sa chemise que je lui retire sans lâcher ses lèvres, « … peuvent attendre hmm ? » Je saisis également son tee shirt et ne détache mes lèvres des siennes que pour passer le tee-shirt au-dessus de sa tête et le jette sans regarder où il atterrit. « On a une maison à baptiser … » lui soufflais-je sensuellement à l’oreille, alors que je recule, essayant de nous amener dans la chambre. Peu importe jusqu’où nous irons, il n’y a personne ici. Rien que nous deux. Des retrouvailles de couple. Un jeune couple dans la folie du désir …

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Anthony ☆   @Pénélope Danbury    

fin août 2024
«ça, c’est un rêve qu’on peut réaliser facilement ! » il affiche un sourire amusé, levant néanmoins un sourcil tout en observant les traits de son visage … comme pour essayer de découvrir ce qui se cache derrière sa tête. il la voit terminer son verre de vin, s’installe un peu plus contre le dossier de sa chaise. il la suit du regard quand elle se lève, se place devant lui pour finalement lui prendre la main et l’attirer à se lever à son tour. il se lève, lui fait face et réponds à son baiser avec envie et gourmandise. « les pizzas… peuvent attendre hmm ? » il sourit contre ses lèvres et s’amuse à la voir le libérer de ses vêtements alors que ses mains font de même. «quelles pizzas ? je ne vois pas de quoi tu parles », dit-il dans un éclat de rire amusé … faisant mine d’avoir oublié les pizzas préparées avec soin. il n’a désormais d’yeux que pour elle, rien que pour elle...

« on a une maison à baptiser … » le souffle au creux de son oreille, il laisse échapper un éclat de rire. il fait mine de se frotter les mains comme en train de préparer un mauvais coup et il se dirige au pas de course vers elle, pour venir enrouler ses bras autour de sa taille et de déposer une ribambelle de baisers dans le creux de son cou. ils ne se sont peut-être pas encore jetés dans leur lit, ils sont néanmoins sur le pas de la porte.

« tu m’as manqué, penne », même s’ils se voient tous les jours, pas comme ça, ses baisers glissent sur son épaule alors que ses mains dansent sur sa silhouette pour finalement la faire se retourner et se retrouver face à lui, son sourire s’étire et il capture de nouveau ses lèvres pour l’embrasser avec cette passion qui le dévore depuis toujours, cette envie d’être avec elle, toujours, tout le temps.

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@anthony lewis ☆ Pénélope

Fin août 2024 J’avais déjà connu ça : la passion qui s’essouffle au fur et à mesure que le temps passe, mais avec Tony c’était l’inverse qui se produisait. «quelles pizzas ? je ne vois pas de quoi tu parles » Notre connexion est indéniable, son éclat de rire amusé me fait frissonner d’anticipation. Nos lèvres s’unissent enfin avec gourmandise tandis que je pose doucement mes mains sur ses joues. Oubliées les pizzas, je ne suis obnubilée que par ses lèvres sur les miennes, son souffle chaud sur ma joue alors que je lui murmure qu’on a une maison à baptiser. Il fait mine de se frotter les mains tel un ado qui s’apprête à faire une connerie puis presse le pas pour me rejoindre alors que je me mets à glousser d’amusement. Nos mains se sont déjà affairées à retirer une partie de nos vêtements et lorsqu’il enroule son bras autour de ma taille, je savoure d’autant plus le contact de sa peau contre la mienne. C’est peut-être cliché et ça fait sûrement de moi une nunuche, mais je suis absolument certaine que jamais je ne me lasserais de son odeur et encore moins de de ses lèvres embrassant tendrement le creux de mon cou. « tu m’as manqué, penne » On se voit tous les jours mais je sais où il veut en venir et un petit sourire en coin se dessine sur mes lèvres alors que je penche la tête en fermant les yeux pour lui donner un meilleur accès à mon cou. Ses baisers se font plus brûlants et plus insistants à mesure qu’ils descendent jusqu’à mon épaule. « Tu m’as manqué toi aussi.. » je souffle alors qu’il pose ses mains sur mes hanches pour me tourner vers lui. Mon regard se plonge dans le sien et la seconde suivante, il capture mes lèvres dans un empressement et une passion dévorante. J’enroule mes bras autour de son cou et je le laisse nous guider jusqu’à hauteur du lit ou nous nous laissons tomber dans un grand éclat de rire. Je l’emprisonne à l’aide de mes jambes autour de sa taille de façon à le garder contre moi, et dépose des baiser brûlants dans son cou en lui murmurant d’une voix chaude : « J’avais tellement envie qu’on se retrouve tous les deux… juste tous les deux. » Je dépose de nouveaux baisers sur son torse puis tout aussi lentement sur son ventre pour le torturer encore un peu plus alors que mes doigts s’activent fiévreusement pour défaire les boutons de son pantalon et l’en débarrasser. L’urgence de sentir sa peau contre la mienne, son odeur, ses baisers, son toucher électrisant … C’est de ça dont j’ai besoin, dont j’ai envie … dont nous avons envie.

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Anthony ☆   @Pénélope Danbury    

fin août 2024
comment peut-il douter ?
comment peut-il avoir des doutes sur ce qu’ils sont ? des âmes sœurs. il le sait. il le ressent. ce genre de truc, ça ne s’explique pas et il sait que ça rend certaines personnes folles … d’inquiétude. des amis s’inquiètent. des inconnus les considèrent comme imprudents. mais lui, il en est certain. il lui suffit de poser son regard dans le sien, d’entendre son rire, de la voir sourire, et il sait. il sait que c’est elle et personne d’autre. à bien y réfléchir, ça avait toujours été pénélope. elle avait été la référence féminine avec laquelle il comparait la terre entière. aujourd’hui, ils sont ensemble. officiellement. un couple. ils ont même acheté cette maison, leur petit nid d’amour donc et plus rien ni personne ne semble pouvoir les séparer. oh, il n’a pas la candeur d’imaginer qu’aucune embûche se mettra sur leur chemin mais il sait qu’ils pourront les surmonter. ils y sont toujours parvenus après tout. l’étreinte se resserre, les baisers se multiplient : « j’avais tellement envie qu’on se retrouve tous les deux… juste tous les deux. » il ne peut qu’acquiescer en l’embrassant avec tendresse. se retrouver rien qu’à deux. ils ont la maturité de les juger importants ces instants … se retrouver pour davantage apprécier les instants passés avec les enfants.

une première fois dans ces draps. une première dans ce lit. les corps se retrouvent et il semblerait que le sentiment d’avoir trouvé leur demeure, leur vraie demeure est présent. c’est la respiration saccadée par leur ébat, la peau brûlante qu’ils se retrouvent enlacés dans les bras l’un de l’autre. les doigts du cuisinier se mêlent aux siens, il porte sa main à ses lèvres pour y déposer un tendre baiser, les paupières closes avant de tourner la tête dans sa direction. « c’est fou mais j’ai le sentiment que la vie, elle commence vraiment maintenant … ici, ensemble » finit-il par dire après un instant de silence au cours duquel ils ne se quittent pas. ses doigts viennent jouer avec quelques mèches blondes de sa dulcinée. « j’ai hâte de découvrir ce qui nous attend, ce qui arriver tout comme j’ai envie de mettre sur pause et de savourer cet instant --- cornélien, le choix », dit-il dans un éclat de rire.

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@anthony lewis ☆ Pénélope

Fin août 2024 L’urgence avait laissé place à la tendresse, la précipitation à la douceur parce qu’on avait tout le temps qu’on voulait pour se retrouver… En tout cas, tout le temps que l’on voulait jusqu’à demain 13h parce que c’était à cette heure-là que les parents de Tony ramenaient les jumeaux à la maison. C’était la première nuit qu’ils passaient loin de nous et même si j’avais été inquiète – en bonne mamabear que je suis – j’étais aussi beaucoup trop heureuse de pouvoir passer ces quelques heures avec l’aîné des Lewis. A profiter. Juste tous les deux. Parce que ça sera pas tous les jours que l’on pourra se permettre ça.

Et nous voilà, enlacés dans ces draps, dans cette nouvelle chambre … La respiration saccadée, la peau brûlante, mais terriblement bien dans ses bras, la tête posée sur son torse. Il prend ma main dans la sienne avant de la porter à ses lèvres dans un geste tendre. « c’est fou mais j’ai le sentiment que la vie, elle commence vraiment maintenant … ici, ensemble » J’acquiesce d’un bref signe de tête. Je comprends ce qu’il veut dire, c’est un nouveau départ pour nous cette maison. Une maison à nous pour construire et voir évoluer notre famille à nous. Ses doigts viennent ensuite jouer avec une mèche de mes cheveux, « j’ai hâte de découvrir ce qui nous attend, ce qui arriver tout comme j’ai envie de mettre sur pause et de savourer cet instant --- cornélien, le choix » Je ris en même temps que lui sans pour autant bouger d’un millimètre, « J’ai aucune envie de bouger d’ici moi non plus. » lui répondis-je avant de me mettre à rire.

Paresseusement, je lève la tête vers lui : « C’est une sorte de nouveau départ pour nous. Notre chez-nous, à nous deux avec les enfants et nos enfants poilus. » Oui, il ne fallait pas oublier mes tigres et Bandit. « Et ça te fait paniquer ? » Lui demandais-je en plantant mon regard clair dans le sien, « … de découvrir ce qui nous attend ? » je rajoute, « Moi pas du tout. J’ai paniqué surtout quand t’as commencé à laisser ta brosse à dent dans l’autre maison. » Et je ris en y pensant parce que je me souviens que lui, par contre, il avait pas du tout paniqué, il m’avait même rassurée ! « Plus sérieusement, je pense qu’on a pris la meilleure des décisions en achetant cette maison. »

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Anthony ☆   @Pénélope Danbury    

fin août 2024
« j’ai aucune envie de bouger d’ici moi non plus. » « oh mais ne t’en fais pas, je ne t’aurais pas laissé le choix …» dit-il alors que son rire vient finalement se mêler au sien.

les regards se retrouvent. « c’est une sorte de nouveau départ pour nous. notre chez-nous, à nous deux avec les enfants et nos enfants poilus. Et ça te fait paniquer ? » la tête se penche sur le côté, surpris (presque) par la question. « me faire paniquer ? non, bien sûr que non ! je te jure que j’ai le sentiment d’être à ma place pour la première fois de ma vie et je me sens invincible --- avec mon gang », dit-il tout en lui décochant un clin d’œil, amusé. « … de découvrir ce qui nous attend ? » il acquiesce. « moi pas du tout. J’ai paniqué surtout quand t’as commencé à laisser ta brosse à dent dans l’autre maison. » il fait mine d’être choqué en écarquillant les yeux alors que ses lèvres s’étirent en un sourire amusé. « ah ouais ?! », lâche-t-il comme si cela le surprenait alors que tout comme elle, il y avait été à pas feutré dans leur couple et dans la construction de leur relation. Mais tone avait été sur d’une chose : il n’avait pas à paniquer ou stresser, tout irait pour le mieux car il était avec pen. « plus sérieusement, je pense qu’on a pris la meilleure des décisions en achetant cette maison. » « en fait, on n’a pas arrêté de prendre des bonnes décisions --- », un sourire et il soulève la tête de l’oreiller pour déposer un baiser sur ses lèvres, la main posée sur son joue. « c’est devenu notre nouvelle petite habitude je crois, non ? », nouveau baiser pour conclure sa phrase.

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@anthony lewis ☆ Pénélope

Fin août 2024 « oh mais ne t’en fais pas, je ne t’aurais pas laissé le choix …» Mon rire se mêle au sien alors que je me mets à caresser du bout des doigts son torse tout en fermant les yeux quelques secondes. Quand je lève la tête, c’est pour que mon regard couleur glace rencontre le sien. Tout comme moi, il a hâte de découvrir ce qui nous attend dans cette nouvelle maison, symbole d’une nouvelle vie, une nouvelle chance qui s’offre à nous. Est-ce que ça le fait paniquer ? Parce que moi pas du tout. Je lui avoue que j’ai surtout paniqué quand il a commencé à amener sa brosse à dent parce que c’était la première fois qu’un homme s’installait de cette manière chez moi mais après, la panique est bien vite partie. Ça me faisait peur parce que j’aimais mon indépendance, que j’avais toujours été autonome et que … Il fallait être honnête, j’avais toujours bien apprécié ma vie de célibataire mais, au fil des mois, Tony m’avait fait changer d’avis. Fini les craintes quand au fait qu’on pourrait s’étouffer ou se marcher dessus … C’était simple avec le brun. C’était logique en fait. La suite logique de ce qu’on vivait, tout comme cette maison qu’on avait acheté ensemble. « me faire paniquer ? non, bien sûr que non ! je te jure que j’ai le sentiment d’être à ma place pour la première fois de ma vie et je me sens invincible --- avec mon gang » Son clin d’œil me fait pouffer de rire, « Un gang ouai ! » répétais-je amusée. C’était ça qu’on était désormais :un gang, une famille. Peu importe ce que nos amis pouvaient penser, ou encore nos familles, on était tous les deux et c’était ça le plus important. Nous n’étions plus un simple duo de choc mais un gang. « ah ouais ?! » Je n’avais pas été capable de lui cacher la panique que j’avais ressenti alors que c’était moi qui avait suggéré qu’il apporte des affaires chez moi. C’était plus simple – au niveau organisation – mais je me souviens avoir été tellement surprise qu’il prenne la chose de manière si sereine. Les rôles s’étaient inversés , il m’avait rassuré, assuré qu’on prenait la bonne direction tous les deux. Aujourd’hui, il est clair que je n’ai absolument aucun doute sur les décisions que nous avons pris dernièrement. « en fait, on n’a pas arrêté de prendre des bonnes décisions --- » J’acquiesce à ses paroles tandis qu’il soulève la tête de l’oreiller pour déposer un baiser sur mes lèvres. « c’est devenu notre nouvelle petite habitude je crois, non ? »  Je le laisse m’embrasser une fois de plus et prolonge le baiser jusqu’à ne plus avoir de souffle. Lorsque nous nous séparons, j’en ai profité pour me mettre à califourchon sur ses cuisses. Je dépose des baisers dans son cou et mes mains se perdent une fois de plus dans sa chevelure brune : « On assure sur tous les points ! » fanfaronnais-je avant de rire. « Peut-être qu’on devrait instaurer ce genre d’habitudes justement. Se bloquer des soirée juste tous les deux ? Pas forcément des nuits entières mais deux heures pour faire un restau en amoureux, ou un cinéma ou pour profiter du jacuzzi dans le jardin ? » proposais-je d’une voix innocente, « Pour qu’on ne soit pas uniquement le cliché de papa et mama bear ? » gloussais-je et en même temps, je trouvais que c’était plutôt une bonne idée. Hors de question qu’on se perde tous les deux, qu’on s’éloigne parce que la vrai vie nous engloutit. « Je vais reprendre le boulot très bientôt et je vais être overbookée, toi aussi avec le restau, plus les enfants, il nous faudra des moments à nous t’en dis quoi ? »

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Anthony ☆   @Pénélope Danbury    

fin août 2024
les bras de l’aîné lewis s’enroulent autour de sa silhouette pour la maintenir un peu plus contre lui. les paupières se ferment sous ses baisers, sous ses caresses. « on assure sur tous les points ! peut-être qu’on devrait instaurer ce genre d’habitudes justement. se bloquer des soirées juste tous les deux ? pas forcément des nuits entières mais deux heures pour faire un restau en amoureux, ou un cinéma ou pour profiter du jacuzzi dans le jardin ? » il cherche son regard, pour acquiescer. évidemment ! ils ne doivent pas changer. Ils peuvent grandir, devenir parents mais ils ne doivent pas perdre cette flamme qui les unit depuis toujours, cette complicité aussi. désormais, ils sont quatre … et ils doivent la préserver. tony y tient en tout cas, et apparemment penelope aussi. « pour qu’on ne soit pas uniquement le cliché de papa et mama bear ? » « pas uniquement, ouais --- ça me semble être une bonne idée, une très bonne idée même --- je vais continuer à t’emmener à quelques rendez-vous galants, continuer à te séduire --- promis ! », dit-il avec un sourire angélique aux lèvres, laissant sa main caresser ses cheveux, se perdant même dans sa crinière blonde qui repose sur sa poitrine dénudée. son regard retrouve le sien. « je vais reprendre le boulot très bientôt et je vais être overbookée, toi aussi avec le restau, plus les enfants, il nous faudra des moments à nous, t’en dis quoi ? » « le retour à la réalité va être pas mal violent, je te l’accorde --- et on a intérêt à faire attention à ne pas nous noyer. va falloir trouver un nouveau rythme mais je pense qu’on va y arriver --- on est une bonne équipe, on est malins, on trouve souvent des solutions, je nous fais confiance. » il se redresse tout en la gardant près de lui, un bras s’enroulant autour de sa taille et l’autre venant se poser sur sa joue, son regard se plonge dans le sien et c’est tout contre ses lèvres qu’il vient murmurer avec un sourire malicieux : « par contre, papa bear a très envie de mama bear --- » et ses lèvres s’emparent de nouveau des siennes. ils n’ont pas les enfants ce soir. ils ont donc toute la nuit devant eux.

FIN