ÂGE : 32 ans (01.10.1992) STATUT : Être célibataire, c'est pouvoir écouter des vieux tubes ringards dans son appartement sans que personne ne nous critique. MÉTIER : Avocat pénaliste & expert en relations publiques LOGEMENT : Une villa au 240 edward street (spring hill) POSTS : 516 POINTS : 500
Rps abandonnés : Lara #1 ; Nova #1AVATAR : Taron Egerton CRÉDITS : mel-graph (avatar) solosand (signa) DC : Aucun pour le moment PSEUDO : Barcyoda INSCRIT LE : 29/06/2024
Kehlani Mayfield et Maeve Mayers adorent ce message
30 juin 2024
Il y avait des moments où l’arrivée d’un nouvel événement dans notre vie était comme une bouffée d’air frais, réanimant l’esprit et rappelant que chaque jour était une nouvelle chance de renaître. Une philosophie qu’adoptait le jeune avocat en décidant d’ouvrir sa villa à une colocation. Il s’était levé un matin en se disant « une si grande villa pour juste une personne, c’est con non ? » et prit la décision sur un coup de tête. Blague à part, cette décision avait été mûrement réfléchi et découlait d’une séance qu’il avait faite avec la psychologue qu’il voyait. Durant cette séance, l’idée de voir de nouvelles personnes avait émergé pour essayer de renouveler son quotidien et de toujours entretenir cet objectif de ne pas se tourner vers le passé, mais aller de l’avant. Et la colocation pouvait permettre cela, car il allait rencontrer une autre personne et pourquoi pas tisser un lien amical avec celle-ci. Enfin il valait mieux que le lien soit amical s’ils devaient être amenés à vivre ensemble. Cependant, en postant l’annonce, il ne s’attendait pas à recevoir non pas une, mais deux candidatures de deux jeunes femmes. Une bonne chose ? Lincoln l’ignorait pour le moment et à vrai dire, il hésita au début quant au fait d’accueillir de nouvelles personnes sous son toit. C’était la première fois qu’il tentait l’expérience alors peut-être que deux personnes en même temps n’allait pas être une bonne chose. Mais finalement, le jeune homme prit ce risque, un minimum calculé, et se dit au fond de lui que plus il y avait de fous et plus ils allaient s’amuser. Enfin s’amuser tout en respectant une limite raisonnable, car il n’avait pas envie que sa villa se transforme en parc d’attraction non plus. Quoique … Cela pouvait être rentable. Mais oublions cela.
Lincoln avait décidé non pas de prendre sa journée, mais plutôt de faire du télétravail en cette douce journée de fin juin. En effet, c’était aujourd’hui que les deux nouvelles personnes devaient débarquer dans sa villa, avec leurs affaires et que la colocation allait donc démarrer. Stressé ? Bien sûr qu’il l’était. C’était une situation à laquelle il avançait à l’aveugle et donc sur laquelle il n’avait aucune emprise. Et pourtant, une certaine excitation se fit sentir en lui, heureux de s’embarquer dans cette nouvelle aventure. Le calme avant la tempête disait-on non ? Lincoln arpentait les couloirs et les pièces vides, non pas de meubles, mais plutôt d’humains, avant que les cartons, les paroles et un nouveau chapitre débarquent dans sa villa. On pouvait entendre simplement le bruit des pas de l’avocat qui se déplaçait de pièce en pièce, non pas pour faire une inspection, mais simplement par envie de contempler le vide qui lui faisait face. Car on ne dirait pas en voyant le jeune homme, mais cette colocation était un tournant majeur dans sa vie, lui qui avait vécu pendant cinq années seul dans cette grande bâtisse qu’était sa demeure. Après son petit tour de la propriété, il se retrouva alors seul dans le grand espace qu’était sa pièce à vivre, au rez-de-chaussée. Il resta immobile, juste ses yeux bougèrent de droite à gauche et de gauche à droite. A quelques reprises, son corps pivota sur lui-même, mais il resta à la même place. Puis son regard se figea sur une photo, une photo sur laquelle se trouvait son père, son frère ainsi que sa mère. Il s’avança vers celle-ci avant de s’arrêter net devant avant de la prendre en main. Il la contempla dans un premier temps avant de dire quelques mots à voix basse. « Tu vois maman, toi qui disais que je ne pourrais jamais vivre avec quelqu’un, car j’étais trop solitaire. Il faut croire qu’on finit toutes et tous par changer finalement … J’espère que de là où tu es, tu es fier de moi. » Il se mit à sourire tout simplement avant de remettre la photo familiale à sa place, sur un meuble dans un coin de la pièce. Il fallait savoir que Lincoln avait toujours eu du mal à vivre avec d’autres personnes, même à l’époque où il vivait avec ses parents et son petit frère. Pourquoi ? Le manque de silence, le niveau de sociabilité élevé qu’il fallait avoir. Il avait besoin de son calme, de sa tranquillité et de sa solitude pour se poser, réfléchir, s’évader.
La journée semblait filer en un éclair aux yeux du jeune homme qui vit alors ses nouvelles colocataires arriver dans sa cour. Il ouvrit alors la porte, écartant alors les bras comme pour les accueillir avant de clamer haut et fort : « Bienvenue officiellement à la villa Reddington ! » Dans une autre vie, Lincoln aurait pu être acteur ou les personnes qui accueillaient les invités pour un événement. Il vint faire la bise à Kehlani puis à Maeve qu’il avait rencontré quelques jours auparavant pour une visite de la villa et voir si une cohabitation entre eux pouvait faire l’affaire. A première vue oui, mais seul l’avenir le leur dira. Quoiqu’il en soit, cette journée n’était pas une journée banale et par conséquent, il fallait la vivre comme telle. « Alors ce que je vous propose, c’est que nous déposions vos affaires dans l’entrée et qu’on s’occupe du gros rangement demain. Car je pense qu’aujourd’hui, nous devons avant tout fêter le début de cette nouvelle aventure n’est-ce pas ? » Acclama-t-il d’un ton joyeux, commençant à les aider à porter leurs affaires dans la villa. Lincoln n’était peut-être pas la personne la plus fêtarde, celle qui s’amusait le plus en soirée, mais il savait recevoir, s’amuser et faire en sorte de passer un bon moment. Et pour ce faire, le jeune homme avait concocté quelques activités depuis quelques jours pour accueillir, comme il se devait, les deux nouvelles femmes dans sa vie de loup solitaire.
Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.
Maeve Mayers
la danse des ombres
ÂGE : vingt-six ans (16.04) STATUT : le coeur semblable à un pissenlit sur lequel des lèvres impitoyables auraient soufflé ; ses sentiments fugaces courent dans le vent, effleurent parfois les autres sans jamais s’attarder sur leurs peaux, insaisissables pétales qui s’évaporent sitôt qu’on essaye de les attraper MÉTIER : des effusions de couleurs et de matières, l’art comme exutoire, le dessin comme façon de représenter le (son) monde, artiste peintre qui commence à se faire un petit nom dans le pays LOGEMENT : vient de quitter la coloc de lincoln, vit désormais dans son atelier le temps de trouver autre chose POSTS : 215 POINTS : 1060
TW IN RP : désamour parental, violences verbales et physiques, empoisonnement, peine de prison, maltraitances, relation toxique, violences conjugales. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : malvoyante sévère : perçoit la lumière mais trop peu les formes et les contours avec précision ¤ se déplace à l’aide d’une canne, n’hésite pas à taper les gens avec lorsque c’est nécessaire ¤ pratique la poterie, le crochet et la fabrication de bijoux ¤ tête dans les nuages malgré son 1m57 ¤ chaussettes dépareillées vibes ¤ grande sensibilité aux odeurs chimiques et aux bruits trop forts ¤ accroc aux papouilles dans les cheveux ¤ une passion pour le thé matcha et les milkshakes à la framboise ¤ pot-de-colle professionnelleDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #a15f99 RPs EN COURS :
BRYAVE#3 ¤ now and then i think of when we were together, like when you said you felt so happy you could die, told myself that you were right for me but felt so lonely in your company, but that was love and it's an ache i still remember
LANEÏ ¤ long live the walls we crashed through, how the kingdom lights shined just for me and you, i was screaming long live all the magic we made and bring on all the pretenders, one day we will be remembered
Disparaissant presque sous les deux cartons qu’elle porte, Maeve resserre ses bras menus autour de sa charge en incurvant légèrement son dos vers l’arrière, debout sur le trottoir devant la villa qu’elle s’apprête à investir avec un pied de conquérant, aidée par ses innombrables peluches, plantes, livres, outils de dessins et pelotes de laines qui ont été transportés dans le coffre de la voiture. ’’C’est bon ?’’ qu’elle demande en ayant la joue presque écrasée contre le carton du haut, sans savoir si cela l’aide à le maintenir contre son corps ou si le poids la déséquilibre un peu trop. Une fois la réponse de sa meilleure amie obtenue, la petite rêveuse s’éloigne en prétendant qu’elle n’a pas besoin d’aide : hors de question de laisser les deux autres faire tout le travail ! Ce n’est pas son handicap qui va la rendre paresseuse, Meï, et quand bien même le chemin jusqu’à l’entrée de la villa lui donne l’impression de passer par un véritable chemin de croix, elle est fière de se rendre compte qu’elle gravit les marches du perron sans avoir reversé les cartons confiés par Lani. En entendant la porte s’ouvrir sans qu’elle n’ait besoin de toquer pour manifester leur présence, la brune esquisse un petit sourire chaleureux que son hôte n’est probablement pas capable de discerner puisque, la seule chose qu’il peut voir est sa silhouette menue engoncée sous les deux cartons qui la surplombent, et ses deux petites mains nouées sur le devant pour les maintenir - par miracle - contre son buste féminin. « Bienvenue officiellement à la villa Reddington ! » comme elle le localise aisément grâce au son de sa voix, Maeve fait quelques pas supplémentaires pour lui flanquer les cartons dans les bras, sans véritablement se soucier de savoir si elle facilite la passation ou non : elle a bien senti que ses bras commençaient à trembler sous l’effort et, ne sachant pas vraiment ce que contiennent les boites, elle a jugé plus sage de les confier à l’homme venu l’accueillir. ’’Coucou !’’ qu’elle lance d’un ton jovial en malaxant brièvement ses bras l’un après l’autre, accentuant les contours de son sourire lorsqu’elle pénètre dans la villa en essayant d’établir ses premiers repères avec les meubles qu’elle rencontre. « Alors ce que je vous propose, c’est que nous déposions vos affaires dans l’entrée et qu’on s’occupe du gros rangement demain. Car je pense qu’aujourd’hui, nous devons avant tout fêter le début de cette nouvelle aventure n’est-ce pas ? » - ’’Il faut sortir mes peluches des cartons, au moins.’’sinon, comment elles vont faire pour respirer ? Il pense à rien, Lincoln glissant ses petites mains dans les poches arrières de son jean, elle pivote sur ses converses dépareillées - l’une rose et l’autre jaune, en gonflant une joue puis la deuxième, pas franchement d’avis de négocier ce point. ’’On commence par quoi ?’’ qu’elle demande en se rapprochant de Lani si celle-ci les a rejoint entre temps, curieuse de savoir ce qu’ils vont faire si les cartons ne sont pas la priorité du maître des lieux.
crédits/arispov
clipped wings, i was a broken thing, had a voice, had a voice but i could not sing. but there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, but i don't wanna die, i don't wanna die.
Kehlani Mayfield
la clé des champs
ÂGE : vingt-quatre ans, née le 31.10.2000, le jour de sa fête préférée. SURNOM : keh ou k, rien d'autre. STATUT : « they say i come and i go. tell me all the ways you need me. i'm not here for long, catch me or i go » ♫ MÉTIER : employée polyvalente du cinéma « Twelve Happy Spectators » depuis peu et a repris ses études en biologie marine. LOGEMENT : en coloc au 240 edward street (spring hill) avec lincoln et billy le chat (mais elle hésite à rester). POSTS : 436 POINTS : 350
TW IN RP : décès et deuil d'un proche, mention de drogue douce (cannabis). TW IRL : cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : grande fan de films d'horreur (« scream » en particulier) › buffy (tvs) est sa série préférée et elle adore tout particulièrement le personnage de tara › excellente nageuse, elle a gagné plusieurs compétitions dans le passé. › a fait également de la compétition de bateau à voile › a vécu pendant deux ans sur son bateau avant de rejoindre brisbane › possède un chat bengal du nom de billy › adore l'Halloween et fait du cosplayDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : la râleuse écrit en #cc6666 RPs EN COURS : you said that we would always be. without you i feel lost at sea. through the darkness you'd hide with me. like the wind we'd be wild and free.(kehlel #2 )
Kehlani s’était levée du mauvais pied cette journée-là. Elle n’avait aucune envie de déménager et elle se demandait même si cela était nécessaire. Elle ne rouspétait pas par rapport à elle-même, mais bien en lien avec Meï, sa meilleure amie, qui allait perdre volontairement tous ses repères dans l’aventure. Le fait qu’elle veuille porter elle-même ses boîtes lui donnait une pression supplémentaire. Mais Lani ne montrait rien à Meï, comme d’habitude, mais elle était inquiète. Elle savait cependant que la personne chez qui elles déménageaient était importante pour la brunette qui ne s’en serait probablement pas sorti sans son aide. La native d’Hawaï prenait donc sur elle-même, parce que pour elle, ces changements étaient mineurs et ne l’affectaient pas sur le plan personnel. « tu vas te faire mal! mais oui, c’est bon! tu y es presque !» prévint Lani en serrant les dents. Elle se demandait même où était Lincoln et pourquoi il ne venait pas les aider. En fait, la mécanicienne était bien capable de se débrouiller elle-même, mais elle n’avait aucune envie de voir son amie tomber avant même de rentrer dans la villa. Et on en parle de cette baraque? Elles allaient se perdre dans le dédale des corridors. Qui pouvait penser de manière clair que de vivre seul dans tout ça était une bonne idée?!? « Bienvenue officiellement à la villa Reddington ! » que l’homme leur dit en les faisant entrer chez lui. Lani déposa ses propres boîtes sur le sol tandis qu’elle regardait tout autour d’elle. Ouais, non, il manquait clairement de chaleur dans cette maison. C’était comment dire aseptisé? Tandis que Meï souriait de plus belle après s’être défaite de ses boîtes dans les bras de son hôte, ce dernier vint lui faire la bise. Elle se recula d’un pas et grimaça. calme toi keh. ne te fais pas jeter dehors dès le premier jour. Ses réflexes étaient une question de survie. Elle ne souhaitait pas s’attacher à qui que ce soit, même s’il y avait déjà de trop nombreuses exceptions à la règle. « bonjour! » se força-t-elle à dire en écoutant son hôte leur exposer le plan de match de la journée. « Alors ce que je vous propose, c’est que nous déposions vos affaires dans l’entrée et qu’on s’occupe du gros rangement demain. Car je pense qu’aujourd’hui, nous devons avant tout fêter le début de cette nouvelle aventure n’est-ce pas ? » Kehlani pinça ses lèvres ensemble et n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit, puisque Maeve s’en chargeait déjà. Un petit sourire s’installa finalement sur ses lèvres, puis elle sourit véritablement, chassant l’irritation qui l’agaçait depuis le matin. « On va les sortir tout de suite! tu me montres sa chambre s’il te plait? à moins qu'on les installe sur le divan? » demanda-t-elle à Lincoln avant de se tourner vers Meï. « tu préfères quoi toi? » demanda-t-elle à sa meilleure amie. Lani savait qu'elle ne serait pas capable de les garder dans les cartons plus longtemps. Ça lui avait tout pris pour pouvoir les y ranger. ’’On commence par quoi ?’’ demanda Meï en se rapprochant de Lani qui prit son bras et se serra tout contre elle.
ÂGE : 32 ans (01.10.1992) STATUT : Être célibataire, c'est pouvoir écouter des vieux tubes ringards dans son appartement sans que personne ne nous critique. MÉTIER : Avocat pénaliste & expert en relations publiques LOGEMENT : Une villa au 240 edward street (spring hill) POSTS : 516 POINTS : 500
Rps abandonnés : Lara #1 ; Nova #1AVATAR : Taron Egerton CRÉDITS : mel-graph (avatar) solosand (signa) DC : Aucun pour le moment PSEUDO : Barcyoda INSCRIT LE : 29/06/2024
Etait-ce une bonne idée que d’accueillir deux nouvelles personnes dans sa villa ? Sur le papier, cela paraissait être un concept assez alléchant. Dans la réalité, cela allait peut-être une tout autre histoire. Lorsqu’il entendit le bruit de véhicules dans sa cour, l’avocat savait que ses nouvelles colocataires venaient d’arriver et qu’il était temps pour lui de les accueillir comme il se devait. Et la première à être devant la porte fut Maeve qui transporta des cartons qu’elle ne tarda pas à donner à Lincoln qui les prit dans ses bras, les déposant assez rapidement près de l’entrée de la demeure. Maeve semblait heureuse quant à cette nouvelle aventure au vu du ton qu’elle prit pour saluer le jeune homme. Ce qui n’était pas le même son de cloche pour Kehlani qui eut un « bonjour » plutôt froid, ou en tout cas, c’était ainsi qu’il l’avait ressenti. Lincoln garda cependant le sourire. Le jeune homme était au courant du handicap de Maeve et savait pourquoi Kehlani était là et surtout avait suivi son amie dans cette nouvelle étape de leur vie. Et en cela, Lani avait acquis le respect de Lincoln, même si celle-ci n’en avait peut-être rien à faire. L’avocat appréciait les personnes présentes pour leurs ami.e.s, que ce soit dans les bons comme dans les mauvais moments. Mais le sujet n’était pas celui-là. Annonçant alors qu’il avait concocté un petit programme de bienvenue, il proposa alors de mettre les cartons dans l’entrée pour s’en occuper le lendemain. Une proposition qui ne rencontra pas beaucoup d’hostilité aux premiers abords. Maeve pensait à cet instant, à tout autre chose, que de s’amuser : les peluches. Et Lincoln pouvait le comprendre, ayant lui-même un ours en peluche avec lequel il dormait encore – car oui dormir avec un doudou n’avait pas une limite d’âge, et ceux et celles qui disaient le contraire n’y connaissaient rien. « Très important les peluches ! » Dit-il d’un ton sérieux, montrant qu’il comprenait parfaitement l’urgence de la situation. Mais ne sachant pas dans quel carton se trouvait les peluches, il ne préféra pas les toucher lui-même, laissant Lani s’en occuper. Il voulait éviter tout incident diplomatique dès le premier jour de la cohabitation. Enfin incident diplomatique, le terme était peut-être un peu fort quand même. Lani proposa alors de montrer où se situait les chambres pour mettre les peluches, évoquant l’idée de les mettre sur le divan. Une idée qui amusa le jeune homme. « Comme vous le sentez. Si les peluches vont sur le divan, je descendrai peut-être Simba pour qu’ils apprennent à se connaître. » Dit-il en haussant les épaules, tout en gardant cette allure sérieuse. Même s’ils ne connaissaient pas encore très bien les deux nouvelles venues, il comprit assez rapidement qu’on ne devait pas plaisanter avec les peluches. Chose qu’il respectait. « Cependant, je pense que vous montrer vos chambres est une bonne idée quand même pour que vous sachiez dès à présent où vous allez dormir. Et puis Maeve, tu pourras décider après si tu veux. » Lincoln n’avait pas forcément prévu cela dans ses plans, mais l’idée était bonne et il n’allait pas à l’encontre d’une bonne idée. Puis, un peu d’improvisation n’allait pas faire de mal non ? Laissant donc les cartons à l’entrée après les avoir sortis du véhicule, Lincoln conduisant directement les deux jeunes femmes à l’étage, faisant attention à Maeve, bien que Kehlani paraissait être plus que compétente pour gérer la situation. Première chambre donc, grand espace vide avec un lit deux places et un grand dressing. « Voici donc la première chambre. La deuxième est juste en face, ici. » Indiqua-t-il en ouvrant la seconde porte pour laisser entrevoir la seconde chambre qu’il mettait à leur disposition. « Je vous laisserai choisir laquelle veut telle ou telle chambre. La mienne se trouve au fond du couloir. Et à cette étage, vous avez à l’autre bout du couloir des toilettes car bon, soyons honnête, monter descendre pour aller faire ses besoins, un peu chiant. Donc il y en a ici, en haut et aussi une salle de bain. » Plusieurs informations furent données et Lincoln préféra se taire, sauf si une question lui était directement adressée. Alors dans ces cas-là, il allait répondre volontiers. Il laissa un temps à ses deux colocataires de visiter, en quelque sorte, les chambres et de faire leur choix d’attribution. Un moment durant lequel il se mit à l’écart pour ne pas être de trop et regarda vite fait son téléphone pour voir s’il n’avait pas de messages qui provenaient du cabinet. Et ce fut le cas. Jetant un coup d’œil rapide à la chambre qui se trouvait en face de lui, Lincoln répondit au mail qui venait d’un de ses clients, demandant des informations sur l’avancée du dossier. Ayant l’habitude de répondre rapidement, il écrivit son mail de réponse en quelques instants avant d’appuyer sur le symbole pour envoyer, checkant une dernière fois ses messages et remettant son téléphone dans sa poche. Il leva ensuite sa tête, adressant l’un de ses plus beaux sourires. « Alors, les peluches ? Dans la chambre ou sur le divan ? Ou peut-être ailleurs. Après tout, c’est votre nouveau chez vous et je veux que vous vous sentiez le plus possible chez vous. D’ailleurs sachez que la décoration de vos chambres est à votre guise. » Dit-il plus pour essayer de plaire, sans se rendre compte qu’en disant cela, il allait peut-être le regretter. Car peut-être que dans deux jours, il allait se réveiller et voir le mur d’une des deux chambres peint d’une multitude de couleur. Après, pour l’avocat, cela allait être qu’un détail vu que c’était sa villa et que, par conséquent, il pouvait bien faire ce qu’il voulait dedans.
Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.
Maeve Mayers
la danse des ombres
ÂGE : vingt-six ans (16.04) STATUT : le coeur semblable à un pissenlit sur lequel des lèvres impitoyables auraient soufflé ; ses sentiments fugaces courent dans le vent, effleurent parfois les autres sans jamais s’attarder sur leurs peaux, insaisissables pétales qui s’évaporent sitôt qu’on essaye de les attraper MÉTIER : des effusions de couleurs et de matières, l’art comme exutoire, le dessin comme façon de représenter le (son) monde, artiste peintre qui commence à se faire un petit nom dans le pays LOGEMENT : vient de quitter la coloc de lincoln, vit désormais dans son atelier le temps de trouver autre chose POSTS : 215 POINTS : 1060
TW IN RP : désamour parental, violences verbales et physiques, empoisonnement, peine de prison, maltraitances, relation toxique, violences conjugales. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : malvoyante sévère : perçoit la lumière mais trop peu les formes et les contours avec précision ¤ se déplace à l’aide d’une canne, n’hésite pas à taper les gens avec lorsque c’est nécessaire ¤ pratique la poterie, le crochet et la fabrication de bijoux ¤ tête dans les nuages malgré son 1m57 ¤ chaussettes dépareillées vibes ¤ grande sensibilité aux odeurs chimiques et aux bruits trop forts ¤ accroc aux papouilles dans les cheveux ¤ une passion pour le thé matcha et les milkshakes à la framboise ¤ pot-de-colle professionnelleDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #a15f99 RPs EN COURS :
BRYAVE#3 ¤ now and then i think of when we were together, like when you said you felt so happy you could die, told myself that you were right for me but felt so lonely in your company, but that was love and it's an ache i still remember
LANEÏ ¤ long live the walls we crashed through, how the kingdom lights shined just for me and you, i was screaming long live all the magic we made and bring on all the pretenders, one day we will be remembered
« tu vas te faire mal! mais oui, c’est bon! tu y es presque ! » derrière sa montagne de cartons, Maeve discerne aisément les contours piquants de la contrariété qui percent dans la voix de sa meilleure amie, mais sachant fort bien que cette tension agacée n’est point dirigée contre sa personne, la petite rêveuse ne s’y attache guère. Lani est probablement bousculée dans ses habitudes par le déménagement devenu concret et cela se répercute dans la patience qu’elle peut fournir dans le déroulé des évènements ; rien de bien préoccupant pour la peintre qui, connaissant l’hawaïenne depuis des années, sait que cette apparence froide ne reflète en rien la bonté et la beauté de son âme. ’’Merciiiiiii !’’ qu’elle lui lance d’une voix joyeuse, qui contraste durement avec la façon dont la brune lui a répondu, avant de s’échapper vers l’entrée de la villa, parvenant (presque) par miracle devant la porte sans renverser les cartons qu’elle porte à bout de bras. Mais elle ne les garde pas bien longtemps, les fourguant plutôt à l’avocat qui se fait un plaisir de l’en délester, lui permettant ainsi de dévoiler le sourire enfantin qu’elle porte, tout en replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille sertie d’une boucle d’oreilles en forme d’étoile. Si elle est surexcitée à l’idée d’investir un lieu de vie plus grand que son appartement — lieu qui possède un jardin de surcroit, sa réjouissance ne semble pas être partagée par Lani, qui se targue d’un pauvre « bonjour! » que l’on sent forcé. Glissant ses pouces dans les poches arrières de son jean en croisant ses chevilles, le bout de son pied s’appuyant sur le sol tandis qu’elle tord sa bouche en une petite grimace sur le côté, un peu gênée pour deux raisons : elle se doute que Lincoln va se sentir lui-même mal-à-l’aise devant l’attitude peu affable de la mécanicienne mais, également, Maeve s’en veut de causer une telle contrariété à sa meilleure amie. Peut-être que ce déménagement n’était pas une bonne idée, finalement ?
Heureusement que Lincoln ne semble pas se poser la même question, ou alors, il est suffisamment maître de lui-même pour ne pas le laisser entendre lorsqu’il invite ses nouvelles colocataires à remettre le rangement à plus tard, ayant visiblement d’autres idées en tête ; c’est sans compter sur l’attachement tout particulier de Maeve pour ses peluches « Très important les peluches ! » elle hausse ses sourcils en hochant son menton de haut en bas, aussi sérieuse que son interlocuteur à ce sujet « On va les sortir tout de suite! tu me montres sa chambre s’il te plait? à moins qu'on les installe sur le divan? tu préfères quoi toi? » elle hésite, Meï, ne sachant pas tellement si elle est capable de porter ses cartons jusqu’à sa chambre — puisque la villa décrite par Lincoln lui apparaît comme immense, et elle n’ose pas décréter que le divan est la nouvelle estrade pour ses peluches. N’est-ce pas trop tôt pour lancer l’offensive de l’envahissement ? « Comme vous le sentez. Si les peluches vont sur le divan, je descendrai peut-être Simba pour qu’ils apprennent à se connaître. » aussitôt que la mention de Simba est faîte, Maeve arrondit ses lèvres en décroisant ses jambes, se rapprochant de Lincoln en levant machinalement le menton, puisqu’elle le sait bien plus grand que sa petite taille ’’Il ressemble à quoi, Simba ? Est-ce que c’est un lion ?’’ ce serait logique, pas vrai ? « Cependant, je pense que vous montrer vos chambres est une bonne idée quand même pour que vous sachiez dès à présent où vous allez dormir. Et puis Maeve, tu pourras décider après si tu veux. » - ’’Je te suis !’’ euh ’’Enfin, je vais essayer.’’ elle rehausse ses épaules en ayant l’air de tourner en dérision sa propre incapacité à simplement suivre quelqu’un sans le toucher, et même si elle sait qu’elle peut compter sur Kehlani pour la guider, elle n’oublie pas qu’elle sera amenée à déambuler seule entre ces murs, alors autant qu’elle prenne ses marques, pas vrai ? Acceptant l’aide de sa meilleure amie pour la conduire jusqu’aux escaliers, c’est en étant la dernière que la petite rêveuse les grimpe, sa paume glissant le long de la rambarde en essayant d’imprimer la hauteur entre chaque marche pour que son corps commence à apprendre le geste par coeur, puisqu’elle n’a que moyennement envie de se casser la figure en montant dans sa chambre. « Voici donc la première chambre. La deuxième est juste en face, ici. » laissant Lani être la première à investir la chambre, elle hausse de nouveau ses épaules en tendant sa main jusqu’à rencontrer le moelleux du matelas, sur lequel elle s’assoit. ’’Je te laisse prendre celle qui te plaît le plus, moi, je m’en fiche.’’ et ce n’est guère une formule de politesse, puisqu’elle a bien conscience qu’elle profitera bien moins de la chambre que sa comparse. « Je vous laisserai choisir laquelle veut telle ou telle chambre. La mienne se trouve au fond du couloir. Et à cette étage, vous avez à l’autre bout du couloir des toilettes car bon, soyons honnête, monter descendre pour aller faire ses besoins, un peu chiant. Donc il y en a ici, en haut et aussi une salle de bain. » la dernière pièce est probablement la pièce qui lui demandera le plus d’acclimatation avec la cuisine mais, pour l’heure, elle s’attache à savoir si sa chambre sera celle de gauche ou de droite, et cela dépend entièrement du choix de Kehlani. ’’Alors, tu préfères laquelle ?’’ qu’elle demande en étant toujours assise sur le lit, son pied remuant dans le vide tandis qu’elle bascule son menton sur le côté jusqu’à ce que sa joue rencontre sa clavicule, un doux sourire flottant sur ses lèvres nacrées. « Alors, les peluches ? Dans la chambre ou sur le divan ? Ou peut-être ailleurs. Après tout, c’est votre nouveau chez vous et je veux que vous vous sentiez le plus possible chez vous. D’ailleurs sachez que la décoration de vos chambres est à votre guise. » ce n’est assurément pas tombé dans l’oreille du sourde, mais la malvoyante du lot se redresse en souriant d’un air un peu trop ravi pour que cela ne paraisse pas suspect ’’Ils sont de quelles couleurs, les murs ? On peut les peindre ?’’ nul doute qu’elle a déjà mille projets en tête quand elle se lève du lit en tendant machinalement ses petites mains vers l’avant pour trouver la sortie, n’ayant pas le désir de se prendre un mur ’’Dans ma chambre ! Ils doivent être fatigués du voyage et ils n’aiment pas trop le changement, un peu comme Lani.’’ elle tente de justifier le comportement grincheux de sa meilleure amie en souriant avec toute la bonne volonté du monde, n’ayant pas oublié le détail le plus important de leur conversation, en arborant soudainement l’air sérieux et concerné nécessité par sa demande ’’Il est où, Simba ?’’
crédits/arispov
clipped wings, i was a broken thing, had a voice, had a voice but i could not sing. but there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, but i don't wanna die, i don't wanna die.
Kehlani Mayfield
la clé des champs
ÂGE : vingt-quatre ans, née le 31.10.2000, le jour de sa fête préférée. SURNOM : keh ou k, rien d'autre. STATUT : « they say i come and i go. tell me all the ways you need me. i'm not here for long, catch me or i go » ♫ MÉTIER : employée polyvalente du cinéma « Twelve Happy Spectators » depuis peu et a repris ses études en biologie marine. LOGEMENT : en coloc au 240 edward street (spring hill) avec lincoln et billy le chat (mais elle hésite à rester). POSTS : 436 POINTS : 350
TW IN RP : décès et deuil d'un proche, mention de drogue douce (cannabis). TW IRL : cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : grande fan de films d'horreur (« scream » en particulier) › buffy (tvs) est sa série préférée et elle adore tout particulièrement le personnage de tara › excellente nageuse, elle a gagné plusieurs compétitions dans le passé. › a fait également de la compétition de bateau à voile › a vécu pendant deux ans sur son bateau avant de rejoindre brisbane › possède un chat bengal du nom de billy › adore l'Halloween et fait du cosplayDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : la râleuse écrit en #cc6666 RPs EN COURS : you said that we would always be. without you i feel lost at sea. through the darkness you'd hide with me. like the wind we'd be wild and free.(kehlel #2 )
Comme d’habitude, Kehlani y avait peut-être été un peu trop fort en voulant protéger Meï. Le ton de ses paroles ne représentait en rien ce qu’elle ressentait vraiment, c'est-à-dire de la bienveillance mélangée avec un brin d’inquiétude. okay, beaucoup d’inquiétude…. C’était qu’elle souhaitait protéger sa meilleure amie à tout prix et elle était souvent maladroite dans sa mission. Heureusement l’australienne ne sembla pas lui en tenir rigueur puisqu’à son habitude, elle employa un ton plus que joyeux. Elle semblait bien décidée à habiter dans cette villa et Lani n’allait pas être celle qui allait la contrarier. Après tout, il ne s’agissait que d’une habitation. L’important, c’était les gens qui y vivaient, non? Lorsqu’elles furent toutes les deux dans la maison de Lincoln et que Meï s’accrocha de nouveau à son bras, la native d’Hawaï se détendit enfin. Son sourire légendaire reprit place sur ses lèvres et elle se fit un peu plus amicale. Après tout, elle ferait n’importe quoi pour sa meilleure amie, quitte à sacrifier ses propres envies dans l’aventure. Lani n’avait qu’elle et elle représentait tellement pour sa personne. Il s’agissait presque d’une nécessité que de vouloir lui plaire à tout prix. Reportant son attention sur le jeune homme qui allait désormais leur servir de colocataire, elle fut agréablement surprise d’apprendre son intérêt pour les peluches. En fait, elle était loin de se douter qu’en fait il en possédait une du nom de Simba. « Très important les peluches ! » Kehlani acquiesça, heureuse de savoir qu’en fait, elles étaient tombées sur quelqu’un de bien. D’ailleurs Meï sembla tout aussi surprise qu’elle d’apprendre que Lincoln aimait tout autant les peluches qu’elle, alors elle retint sa question qu’elle avait sur le bout des lèvres. Maintenant, il suffisait de savoir s’ils allaient libérer les peluches de Maeve sur le divan ou dans sa chambre. « Comme vous le sentez. Si les peluches vont sur le divan, je descendrai peut-être Simba pour qu’ils apprennent à se connaître. » Sa meilleure amie ne lui ayant pas encore répondu, étant plutôt occupée à questionner Lincoln sur l’apparence de Simba, Lani décida par elle-même de prendre le carton dans ses bras dans le but de le mettre dans la chambre de la brunette. Ce n’était pas comme s’il était bien lourd de toute façon.
Leurs pas se dirigèrent vers les chambres. Ils durent monter les escaliers et Kehlani abandonna temporairement le carton en bas des marches pour éviter que Maeve ne se fasse mal en la tenant et la guidant. Après cette étape un peu plus dangereuse, la mécanicienne la laissa continuer, puisqu'elle devait trouver ses marques. Elle la regarda évoluer dans les corridors avec attention tout au long du processus juste au cas où. « Voici donc la première chambre. La deuxième est juste en face, ici. » Déposant de nouveau le carton dans le corridor, la native entra dans la première chambre que son interlocuteur lui présenta, suivi de Meï qui posa ses fesses sur le matelas déjà en place. ’’Je te laisse prendre celle qui te plaît le plus, moi, je m’en fiche.’’ Les deux lui semblaient totalement identiques. Au moins, elles allaient être tout près l’une de l’autre, et c’était tout ce qui comptait. Tandis que Lincoln continuait ses explications, Kehlani regarda par la fenêtre et la vue était magnifique. Elle eut tout de même une hésitation, mais elle savait pertinemment que Meï ne pourrait pas en profiter malheureusement. Son sourire s’effaça quelques secondes tandis qu’elle se tourna vers Lincoln. « je vais prendre cette chambre. » Voilà, c’était décidé. Il ne restait plus qu’à savoir maintenant où ils allaient mettre les peluches. «… D’ailleurs sachez que la décoration de vos chambres est à votre guise. » Kehlani eut un immense sourire, parce qu’elle aurait quand même été triste de garder les murs blancs comme ils étaient. Il manquait cruellement de couleur dans cette maison. La mécanicienne savait que Meï allait leur arranger cela à sa façon. « ils sont blancs, petite cacahuète. » lui mentionna-t-elle avec un sourire. Maeve décida alors qu’on allait mettre les peluches dans sa chambre à elle et Lani s’empressa de la suivre pour ne pas qu’elle ne s’enfarge dans le carton qu’elle avait laissé lâchement dans le corridor. Elle eut un petit rire lorsque Meï la qualifia de grincheuse. « hey oh, je suis toujours là, hein » Mais elle était loin d’être réellement offusquée par le commentaire de sa précieuse amie. « la râleuse va aller les installer sur ton lit pendant que tu vas à la rencontre de Simba, ok? » Elle avait été assez impolie pour le moment, alors elle les laissa tous les deux pendant quelques minutes histoire de se détendre un peu seule. Elle ravala quelques larmes, même si elle ne savait aucunement pourquoi elles avaient coulé en premier lieu. Il y avait deux ans de cela, son monde s’était écroulé, elle avait du mal avec les changements. Ce n’était pas facile pour elle tout ça, Meï avait totalement raison. Après avoir installé toutes les peluches sur le lit de sa meilleure amie, elle reprit le chemin en sens inverse, se laissant guider par la voix de Lincoln et de Meï pour savoir où ils en étaient. Un sourire sur les lèvres, elle les retrouva sans problème et décida d’afficher son plus beau sourire en guise d’excuse envers son hôte. Elle n’en était toujours pas parvenue à s’excuser verbalement auprès des autres. Une étape à la fois.
ÂGE : 32 ans (01.10.1992) STATUT : Être célibataire, c'est pouvoir écouter des vieux tubes ringards dans son appartement sans que personne ne nous critique. MÉTIER : Avocat pénaliste & expert en relations publiques LOGEMENT : Une villa au 240 edward street (spring hill) POSTS : 516 POINTS : 500
Rps abandonnés : Lara #1 ; Nova #1AVATAR : Taron Egerton CRÉDITS : mel-graph (avatar) solosand (signa) DC : Aucun pour le moment PSEUDO : Barcyoda INSCRIT LE : 29/06/2024
Kehlani Mayfield et Maeve Mayers adorent ce message
Elles venaient de franchir le pas de la porte et Lincoln proposa de remettre l’emménagement des cartons dans les chambres à plus part. Une proposition qui semblait convenir aux deux jeunes femmes. A un détail près : les peluches. Une histoire de peluches qui amusa le jeune homme, bien qu’il la prenait au sérieux pour autant. Il fit alors mention de Simba, une peluche qu’il avait depuis sa tendre enfance et avec laquelle il ne s’était pas séparé. A chaque voyage qu’il faisait, chaque déplacement, il la prenait. C’était un peu comme son objet qui le réconfortait le soir, avant d’aller rejoindre les bras de Morphée. Cette peluche lui avait été offerte par ses parents alors, bien évidemment, elle avait une valeur sentimentale, surtout depuis leur mort. Maeve questionna, sans trop de surprise à vrai dire, sur Simba, pensant que c’était un lion. Comme de beaucoup de personnes à vrai dire au vu de la référence au Roi Lion à laquelle le prénom s’apparentait. « Ce n’est pas un lion. Je ne voulais pas être dans le total cliché. Non, c’est un ours, un ours vieux, usé avec le temps, mais c’est ce qui fait son charme. » Dit-il en esquissant un sourire avant de guider les deux demoiselles dans sa villa pour monter à l’étage et leur montrer leurs chambres. N’ayant pas l’automatisme d’aider Maeve, il laissa faire Lani le faire, montant doucement les marches pour être sûr de ne pas aller trop vite. Il allait devoir prendre en compte maintenant le handicap de Maeve et l’intégrer dans ses paroles, dans ses gestes et dans ses propositions également. Cela allait se faire naturellement, petit à petit. Une fois à l’étage, Lincoln présenta les deux chambres, laissant alors le choix à ses colocataires pour les chambres. Les abandonnant sans trop s’éloigner d’elles, il répondit à un appel du bureau quelques minutes. Puis, ayant raccroché, il revint vers elles puis demande si elles avaient choisi au niveau des chambres, entendant alors Maeve demander si elle pouvait repeindre les murs. Dire qu’elles pouvaient décorer comme elles le souhaitaient, ne paraissait pas être une si bonne idée finalement. Et pourtant, Lincoln semblait réceptif quant à la demande de sa nouvelle colocataire en répondant : « Oui, nous pourrons repeindre les murs de ta chambre. Après tout, cela sera ton espace donc libre à toi d’en faire ce que tu veux. Et pareil pour toi Lani. » Ajouta-t-il en lançant un regard en directeur de la jeune femme, accompagnée d’un sourire. Revenant alors sur l’endroit où ils allaient mettre les peluches, car il fallait bien prendre une décision à ce sujet, Maeve décida de les poser dans sa nouvelle chambre, expliquant qu’elles devaient être fatiguées de leur voyage. Dans les propos de Maeve, Lincoln sentait de l’innocence, comme celle qu’avaient les enfants. Et Dieu que ça faisait un bien fou pour l’avocat qui prenait très au sérieux les mots de la demoiselle. Il n’était pas dans une posture de moqueur, bien au contraire. Puis cela aurait été l’hôpital qui se fichait de la charité vu qu’il avait lui-même un ours en peluche qu’il chouchoutait comme Maeve avec ses propres peluches. Lincoln rigolait légèrement quant à la pique que lança Maeva à Lani concernant le fait que cette dernière n’aimait pas le changement. « Je n’avais pas remarqué que Kehlani n’aimait pas le changement tiens. » Dit-il dans un premier temps sur un ton léger pour montrer qu’il ne se moquait pas, mais plutôt qu’il plaisantait en disant cela, avant de reprendre la parole et de faire du Lincoln tout craché. « Le changement de foyer... C'est un bouleversement, parfois plus profond qu'on ne l'imagine. On se dit, au départ, que ce n'est qu'une question de murs, de fenêtres, d'endroits où poser ses affaires. Mais c'est bien plus que ça. Ce n'est pas juste un changement d'adresse, c'est tout un monde qui se modifie. Il y a des odeurs familières qui disparaissent, des bruits qu'on avait fini par apprivoiser, comme le crépitement des radiateurs ou le grincement d'une porte. Tout ce qui faisait notre quotidien se volatilise, laissant un vide étrange. Les repères s'effondrent. On cherche à retrouver ces petits détails qui, en silence, nous réconfortaient : la lumière du matin qui perçait toujours au même angle, la vieille chaise qu’on avait l’habitude de voir chaque jour en rentrant. Et puis, il y a la sensation que l’on abandonne un peu de soi en chemin. L'ancien foyer, c'est un morceau de notre histoire. C’est là qu'on a vécu des joies, des chagrins, des moments insignifiants qui, pourtant, tissaient le fil de nos jours. Quand on part, on laisse tout ça derrière. Les souvenirs restent bien sûr, mais ils sont liés à cet endroit, à ces quatre murs. Et même s'ils voyagent avec nous, ils perdent un peu de leur éclat. Le nouveau foyer. Il faudra du temps avant qu’il ne devienne familier, avant qu'il sente notre présence, notre chaleur. On va tâtonner, essayer de créer de nouvelles habitudes, mais ce n’est pas immédiat. Ce n’est jamais immédiat. On se sent parfois étranger chez soi, comme si l’on habitait chez quelqu’un d’autre. Ce qui peut est peut-être le cas maintenant et c’est déroutant. Mais, en même temps, c’est une chance, non ? Le changement, aussi difficile soit-il, permet de repartir. C’est une page blanche où l’on peut réécrire son histoire. Il faut juste accepter de passer par ce moment d’incertitude, ce flottement où rien ne semble vraiment à sa place. Parce qu’un jour, sans qu’on ne s’en rende compte, ce nouveau lieu deviendra un foyer à son tour. » Lincoln se montra inspiré par cette question de changement. Peut-être même un peu trop. « Désolé, il m’arrive de m’emporter un peu et de beaucoup parler. » Mais à la longue, elles allaient certainement s’y faire. Enfin Lincoln l’espérait en tout cas. « Allons voir Simba, très bonne idée ! » Lincoln plaça son bras sans dessous dessus avec celui de Maeve pour la guider jusqu’à sa propre chambre pour lui faire les présentations. Et après quelques pas, les voilà dans la tanière de l’avocat, laissant entrer sa colocataire avant de la lâcher en quelque sorte pour récupérer Simba, l’ours en peluche, et le lui donna. « Et voilà Simba ! » Fit-il en voyant peu de temps après Lani qui pointa le bout de son nez avec un sourire aux lèvres, ce qui fit plaisir au jeune homme. « Bienvenue dans mon repaire Kehlani. Tout s’est bien passé durant l’installation des peluches ? » Dit-il pour engager une conversation avec la demoiselle avec qui le contact ne paraissait pas aussi simple qu’avec Maeve. Mais qui sait, la situation allait évoluer rapidement.
Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.
Maeve Mayers
la danse des ombres
ÂGE : vingt-six ans (16.04) STATUT : le coeur semblable à un pissenlit sur lequel des lèvres impitoyables auraient soufflé ; ses sentiments fugaces courent dans le vent, effleurent parfois les autres sans jamais s’attarder sur leurs peaux, insaisissables pétales qui s’évaporent sitôt qu’on essaye de les attraper MÉTIER : des effusions de couleurs et de matières, l’art comme exutoire, le dessin comme façon de représenter le (son) monde, artiste peintre qui commence à se faire un petit nom dans le pays LOGEMENT : vient de quitter la coloc de lincoln, vit désormais dans son atelier le temps de trouver autre chose POSTS : 215 POINTS : 1060
TW IN RP : désamour parental, violences verbales et physiques, empoisonnement, peine de prison, maltraitances, relation toxique, violences conjugales. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : malvoyante sévère : perçoit la lumière mais trop peu les formes et les contours avec précision ¤ se déplace à l’aide d’une canne, n’hésite pas à taper les gens avec lorsque c’est nécessaire ¤ pratique la poterie, le crochet et la fabrication de bijoux ¤ tête dans les nuages malgré son 1m57 ¤ chaussettes dépareillées vibes ¤ grande sensibilité aux odeurs chimiques et aux bruits trop forts ¤ accroc aux papouilles dans les cheveux ¤ une passion pour le thé matcha et les milkshakes à la framboise ¤ pot-de-colle professionnelleDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #a15f99 RPs EN COURS :
BRYAVE#3 ¤ now and then i think of when we were together, like when you said you felt so happy you could die, told myself that you were right for me but felt so lonely in your company, but that was love and it's an ache i still remember
LANEÏ ¤ long live the walls we crashed through, how the kingdom lights shined just for me and you, i was screaming long live all the magic we made and bring on all the pretenders, one day we will be remembered
« Ce n’est pas un lion. Je ne voulais pas être dans le total cliché. Non, c’est un ours, un ours vieux, usé avec le temps, mais c’est ce qui fait son charme. » elle fait entendre un petit « mhmm » qui, de toute évidence, émet un jugement hâtif sur les choix de Lincoln : l’ours aurait dû s’appeler Winnie, Baloo, ou encore Kinaï ou Koda, dans sa grande mansuétude Maeve aurait même accepté Lotso mais un ourson qui s’appelle Simba lui semble être une infamie ’’C’est original.’’ parce qu’elle est définitivement trop gentille pour dire « bizarre », même si elle n’en pense pas moins. Heureusement, elle oublie rapidement le prénom de l’ours en peluche sitôt qu’elle pénètre dans la première chambre à l’étage, dans laquelle Kehlani semble y être à son aise « je vais prendre cette chambre. » les paumes enfoncées dans le moelleux de la couette, elle esquisse un petit sourire en inclinant son menton vers son épaule, heureuse d’entendre que la chambre convient à sa meilleure amie qui, il faut bien l’avouer, a eu bien des difficultés à se décrisper depuis leur arrivée. Réfractaire aux changements, Lani accorde peut-être enfin un doute favorable à ce déménagement ? Maeve ne doute pas que lorsqu’elles se seront accommodées de cette nouvelle maison, qu’elles auront matériellement installé leur personnalité dans leurs chambres respectives, Lani se sentira enfin chez elle. « ils sont blancs, petite cacahuète. » - ’’Oh.’’ elle ne peut qu’imaginer les murs blancs mais, ce qu’elle se figure derrière ses pensées lui apparaît comme monstrueusement triste. Néanmoins, elle ne perd pas son sourire puisque Lincoln vient rapidement contrebalancer cette information « Oui, nous pourrons repeindre les murs de ta chambre. Après tout, cela sera ton espace donc libre à toi d’en faire ce que tu veux. Et pareil pour toi Lani. » l’avocat fait de son mieux pour que ses deux jeunes colocataires se sentent parfaitement à l’aise dans la villa, et inutile de dire que la petite rêveuse n’a pas besoin de l’entendre deux fois pour l’imprimer dans son cerveau qui fourmille déjà d’idées : dans la chambre de Lani, il faut impérativement peindre les murs sur le thème maritime, puisque c’est la grande passion de la belle râleuse « hey oh, je suis toujours là, hein » elle s’offusque d’être qualifiée en ces termes, Lani, mais peut-elle renier le caractère tout à fait grincheux qu’elle arbore depuis le matin ? « Je n’avais pas remarqué que Kehlani n’aimait pas le changement tiens. » Maeve se lève du lit pour la rejoindre, n’ayant aucun mal à trouver les contours de son corps afin d’enlacer son bras à l’aide des siens, comme pour se faire pardonner de cette appellation point dénigrante ’’Je plaisante ! Elle irradie de bonheur depuis son arrivée, pas vrai Lincoln ?’’ elle appelle l’avocat comme témoin en se câlinant contre sa meilleure amie, profitant de leurs tailles similaires pour appuyer sa tempe contre son épaule. « la râleuse va aller les installer sur ton lit pendant que tu vas à la rencontre de Simba, ok? » entendant quelques accents grinçants dans la voix de l’hawaïenne, la peintre redresse sa nuque pour écraser un baiser contre le bas de sa joue, en lui murmurant un doucereux ’’Ça va aller.’’ avant de la laisser toute seule, comprenant qu’il faut lui accorder un petit moment de répit en solitaire avant de poursuivre l’emménagement, même si elle ne quitte pas tout de suite son bras puisque Lincoln, soupçonnant sans nul doute le malaise intérieur de sa comparse, se lance dans un monologue qui perd celle qui, progressivement, cligne de plus en plus ses paupières avec une expression perplexe, même si elle trouve que le discours est bien joli à écouter. « Désolé, il m’arrive de m’emporter un peu et de beaucoup parler. » esquissant un petit sourire qui dévoile le coeur de ses dents blanches, elle fronce son joli minois en disant, joueuse ’’Tu es un formidable orateur, en tous cas… T’aurais dû être avocat !’’
Plaquant un dernier baiser contre la joue de Lani, elle se laisse volontiers guider par Lincoln jusqu’à la chambre de ce dernier, afin d’y faire la rencontre de la peluche qui porte un nom tout à fait inadéquat « Et voilà Simba ! » elle l’attrape entre ses deux petites mains aux ongles pailletés pour le palper, maniant le coton sous le tissu doucereux en jouant un instant avec ses bras, un sourire enfant flanqué aux lèvres. ’’Il est tout doux ! Il n’a pas l’air si abîmé que ça.’’ du moins, sous sa peau, elle ne sent aucune trace d’usure. ’’Il ne s’ennuie pas trop, tout seul, ici ?’’ autrement dit : elle viendra le chaparder en journée pour qu’il soit avec ses autres peluches ! C’est important de socialiser, même pour les peluches, ouais « Bienvenue dans mon repaire Kehlani. Tout s’est bien passé durant l’installation des peluches ? » Pivotant sur ses jambes pour accueillir sa meilleure amie avec un sourire grandiose, elle remonte la peluche en la tenant avec ses deux mains, l’approchant ensuite de sa meilleure amie — du moins, de sa position, afin qu’elle puisse faire sa connaissance à son tour. ’’Et voilà Simba ! Il est mignon, pas vrai ?’’ ce n’est pas le sien mais elle le garde sous le bras quand elle propose, d’une voix enjouée ’’On peut visiter le jardin ?’’ si jamais : oui, Simba ira visiter le jardin aussi. Faut bien qu'il prenne un peu l'air, non ?
crédits/arispov
clipped wings, i was a broken thing, had a voice, had a voice but i could not sing. but there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, but i don't wanna die, i don't wanna die.
Kehlani Mayfield
la clé des champs
ÂGE : vingt-quatre ans, née le 31.10.2000, le jour de sa fête préférée. SURNOM : keh ou k, rien d'autre. STATUT : « they say i come and i go. tell me all the ways you need me. i'm not here for long, catch me or i go » ♫ MÉTIER : employée polyvalente du cinéma « Twelve Happy Spectators » depuis peu et a repris ses études en biologie marine. LOGEMENT : en coloc au 240 edward street (spring hill) avec lincoln et billy le chat (mais elle hésite à rester). POSTS : 436 POINTS : 350
TW IN RP : décès et deuil d'un proche, mention de drogue douce (cannabis). TW IRL : cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : grande fan de films d'horreur (« scream » en particulier) › buffy (tvs) est sa série préférée et elle adore tout particulièrement le personnage de tara › excellente nageuse, elle a gagné plusieurs compétitions dans le passé. › a fait également de la compétition de bateau à voile › a vécu pendant deux ans sur son bateau avant de rejoindre brisbane › possède un chat bengal du nom de billy › adore l'Halloween et fait du cosplayDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : la râleuse écrit en #cc6666 RPs EN COURS : you said that we would always be. without you i feel lost at sea. through the darkness you'd hide with me. like the wind we'd be wild and free.(kehlel #2 )
Simba était un ourson. Au moins, Lincoln ne l’avait pas appelé Teddy, donc oui, en effet, il faisait preuve d’une certaine originalité. Bien malgré elle, la râleuse eut un sourire et elle s’abstint de tout commentaire. « c’est original» La mécanicienne eut un petit sourire en coin. Elle avait bien compris que sa meilleure amie était bien trop gentille pour passer un commentaire. Elle sentait qu’elle trouvait ce prénom pour un ourson… disons le, spécial? Kehlani trouvait la situation assez mignonne en vrai. Elle avait mal jugé l’avocat. La brunette avait beaucoup à apprendre sur le propriétaire des lieux, qui n’était peut-être pas aussi poussiéreux qu’elle le pensait à la base. Alors qu’elle l’avait jugé sur son environnement froid, blanc et stérile, voilà qu’elle découvrait en fait quelqu’un de chaleureux. Elle n’allait pas reconnaître à voix haute qu’elle s’était trompée, du moins, pas pour le moment. il fallait pas trop lui en demander quand même! Lorsque Lincoln revint quelques instants plus tard après s’être éclipsé, il leur mentionna qu’elles pouvaient toutes les deux repeindre leur chambre respective, ce qui plut immédiatement à Maeve. Mais à l’entente de ce surnom qui était réservé à peu de personnes, Kehlani fit la grimace. « je vais encore faire ma râleuse, mais je préfère que tu m’appelles Keh s’il te plait, pas Lani… Jamais Lani… » La brunette n’avait pas pu se retenir, mais elle l’avait dit sur un ton diplomatique et non agressif pour une fois. Les erreurs pouvaient arriver. Après tout, Lani sonnait vachement mieux que Keh, mais non, il n’était pas question que Lincoln la surnomme ainsi. Cela n’était pas possible. La mise à jour faite, elle se força à sourire pour ne pas paraître plus mesquine qu’elle ne l’était en réalité. Mais elle fronça tout de même les sourcils lorsque Maeve la taquina, puis Lincoln à son tour. La brunette avait soudainement envie de souffler. Lorsque l’attention était trop sur elle, elle avait besoin de se mettre à l’écart et elle ne souhaitait pas exploser en face de ses deux interlocuteurs. Bien que Maeve vint l’embrasser sur la joue en lui disant « ça va aller. , Kehlani n’était pas trop convaincu. Elle leur suggéra d’aller voir Simba pendant qu’elle installait les peluches sur le lit de Meï, laissant les émotions sortir pour le bien de tout le monde. Mais elle dut se coltiner un discours de la part de Lincoln juste avant. L’intention était bonne, mais elle ne fut pas déçue de les voir disparaître dans le corridor.
Prenant le temps de respirer et de reprendre également contenance, Kehlani alla finalement retrouver les deux comparses dans la chambre de leur hôte, un sourire sur les lèvres. « Bienvenue dans mon repaire Kehlani. Tout s’est bien passé durant l’installation des peluches ? » - « oui, tout s’est bien déroulé, merci. » Elle alla faire un câlin à Meï parce qu’elle avait besoin d’un peu d’amour. Cette dernière lui montra ensuite la fameuse peluche de Lincoln. ’’Et voilà Simba ! Il est mignon, pas vrai ?’’ - « oui, il est très mignon… » dit Kehlani en souriant. Elle n’était même pas sarcastique. ’’On peut visiter le jardin ?’’ Un sourire sur les lèvres, la native d’hawaï eut un immense sourire. « je serais ravie d’aller visiter le jardin moi aussi! » Probablement qu’il serait très joli et elle espérait qu’il ait un peu plus de couleur que l’intérieur de la villa.
ÂGE : 32 ans (01.10.1992) STATUT : Être célibataire, c'est pouvoir écouter des vieux tubes ringards dans son appartement sans que personne ne nous critique. MÉTIER : Avocat pénaliste & expert en relations publiques LOGEMENT : Une villa au 240 edward street (spring hill) POSTS : 516 POINTS : 500
Rps abandonnés : Lara #1 ; Nova #1AVATAR : Taron Egerton CRÉDITS : mel-graph (avatar) solosand (signa) DC : Aucun pour le moment PSEUDO : Barcyoda INSCRIT LE : 29/06/2024
Kehlani Mayfield et Maeve Mayers adorent ce message
Lincoln avait une vision du début de cette nouvelle aventure bien à lui. Il pensait à de la festivité, des sourires et une maison qui allait déborder de joie en un instant. Mais il avait l’impression que les choses ne se passaient pas réellement comme il avait pu les penser. Après, peut-être n’était-ce qu’une impression et qu’à vouloir chercher la perfection, il voyait davantage les petites imperfections. La réalité semblait le rappeler quelque peu à l’ordre et lui dire « redescends un peu sur Terre Lincoln, tu as peut-être de nouvelles colocataires, mais il va falloir un temps d’acclimatation. » Et cette phrase qui raisonna dans sa tête, il comptait bien la prendre en compte pour la suite de la visite et essayer de mettre la barre un peu moins haute. Ce n’était en rien la faute de Kehlani ou Maeve, mais plutôt la sienne, ne sachant pas trop quoi attendre ou comment agir finalement. Essayant de se montrer détendu, le sourire qu’il avait sur son visage disparut le temps d’un instant lorsqu’il entendit Kehlani le reprendre sur la manière dont il venait de l’appeler. Rien d’offenser aux premiers abords car ce n’était pas le style de l’avocat. Cependant, la nommer Lani semblait soit la déranger, soit être réservé qu’à certaines personnes dont ne faisait pas partie Lincoln, et cela il pouvait le comprendre. « Désolé Kehlani, je prends note et j’éviterai de t’appeler ainsi à l’avenir. » Dit-il sur un ton diplomatique, ne voulant pas se montrer froissé par la remarque car ce n’était pas le cas. Simplement, il eut l’impression que la sympathie avec Kehlani allait être plus difficile à s’installer qu’avec Maeve. Bon après, cela restait qu’une impression et elle pouvait s’avérer fausse. Décidant d’être un peu blagueur, il rebondit alors sur la remarque faite par Maeve sur le fait que Keh n’aimait guère le changement, mais vit qu’il aurait mieux de se taire pour le coup, ayant l’impression d’enchaîner en quelque sorte les boulettes avec la demoiselle. Heureusement Mae tendit une perche pour que le jeune homme puisse se rattraper, affichant une mine sérieuse pour ne pas que ses propos passent pour de l’ironie. « En effet, je la trouve radieuse. Charmante même. Et je le dis avec tout le sérieux dont je peux faire preuve. » Lincoln pouvait comprendre que le fait d’habiter dans une nouvelle maison pouvait s’avérer être difficile à accepter et d’ailleurs, il ne manqua pas de faire un petit monologue sur le sujet, se perdant un peu dans ce qu’il disait avant d’y mettre un terme, ne voulant pas passer pour un fou aux yeux de ses colocataires. Pour une première impression, il pouvait tellement faire mieux. La remarque de Maeve le fit rire. « Avocat dis-tu ? Bonne idée ! » Fit-il en ironisant ses propos, étant déjà avocat. Au moins, cela voulait dire qu’il avait bien choisi sa voie et qu’il avait au moins une compétence pour exercer ce métier, même si dans le fond, il savait qu’il en avait bien plus qu’une seule.
Laissant alors Kehlani s’occuper de ranger les peluches, il invita Maeve à le suivre dans sa chambre pour aller à la rencontre de Simba. En présentant Simba, l’avocat avait avertit sur le fait de sa vieillesse et qu’il n’était plus dans le même état qu’au début où il avait eu. Ce qui ne voulait pas non plus dire qu’il était dans un état de décomposition, simplement il avait de l’âge quoi. Heureux de voir que sa peluche arrivait encore à plaire, les propos de Maeve fit sourire le jeune homme qui s’apprêtait à répondre à la question qu’elle venait de lui poser concernant le possible sentiment de solitude que pouvait éprouver Simba, se retrouvant, il fallait l’avouer, souvent seul à la villa. « Simba est heureux de voir qu’on le considère encore comme non usé. Il sourit même ! » Dit-il d’un air amusé avant de reprendre la parole. « Simba est comme moi. Nous aimons nos moments de solitude tout comme nos moments à deux. Mais connaissant son niveau élevé de socialisation, je pense qu’il ne sera pas contre un peu de compagnie. » Une personne extérieure à la conversation pouvait penser que les deux jeunes adultes parlaient d’un être humain ou même d’un animal, mais pas du tout : d’une peluche. Avec un ton très sérieux en plus. Kehlani fit son entrée et put, à son tour, faire la connaissance de Simba, précisant que l’installation des peluches de Maeve s’était bien passé, en réponse à la question que venait de lui poser Lincoln. Les pièces du haut venaient d’être visitées et les deux demoiselles semblaient vouloir voir l’extérieur. « Direction le jardin qui, je vous promets, sera un peu plus coloré que les pièces blanches de cette villa, j’en conviens. » Lincoln n’était pas né de la dernière pluie. Il savait que sa villa comportait bien trop de pièces où le blanc était la couleur dominante, voire l’unique couleur. Mais il aimait le blanc, c’était pour lui une couleur passe-partout. Mais il avait donné le choix aux deux jeunes femmes de changer la couleur de leur chambre au cas où. Descendant les escaliers, Lincoln attendit ses deux colocataires en bas, en profitant pour lâcher une petite plaisanterie. « J’ai l’impression d’être dans une émission où l’on fait visiter les maisons. C’est plutôt chouette ! J’espère m’en sortir pour le moment. » Demanda-t-il avant de les emmener sur la terrasse à l’extérieur qui donnait sur une partie du jardin qui était aussi grand que la villa. « Alors, nous sommes sur la terrasse où nous pouvons prendre parfois des repas lorsqu’il fait chaud par exemple. Il y a également une piscine extérieur pour les moments détentes ou autre. Et sinon, il y a des transats et des fauteuils de jardin comme vous pouvez le voir. » Dit-il avant d’ajouter une petite précision cependant. « Comme tu peux le voir Kehlani, mais je te le dis aussi à toi Maeve, il y a une petite haie qui sépare avec mes voisins. Je les connais plutôt bien, c’est un couple de retraité avec qui il m’arrive de bavarder et de prendre un apéritif de temps à autres. Je vous les présentais volontiers. » Lincoln s’entendait plutôt bien avec ce couple et il ne voulait pas que cela change. D’ailleurs, il n’y avait même aucune raison pour que cela change car après tout, les deux nouvelles personnes qui allaient vivre sous son toit semblaient être des personnes respectueuses avant tout. « Alors que pensez-vous du jardin ? » En demandant cela, il espérait faire mieux que le blanc des pièces de sa villa, mais se doutait bien qu’il y avait encore des choses qui manquaient certainement.
Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.
Maeve Mayers
la danse des ombres
ÂGE : vingt-six ans (16.04) STATUT : le coeur semblable à un pissenlit sur lequel des lèvres impitoyables auraient soufflé ; ses sentiments fugaces courent dans le vent, effleurent parfois les autres sans jamais s’attarder sur leurs peaux, insaisissables pétales qui s’évaporent sitôt qu’on essaye de les attraper MÉTIER : des effusions de couleurs et de matières, l’art comme exutoire, le dessin comme façon de représenter le (son) monde, artiste peintre qui commence à se faire un petit nom dans le pays LOGEMENT : vient de quitter la coloc de lincoln, vit désormais dans son atelier le temps de trouver autre chose POSTS : 215 POINTS : 1060
TW IN RP : désamour parental, violences verbales et physiques, empoisonnement, peine de prison, maltraitances, relation toxique, violences conjugales. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : malvoyante sévère : perçoit la lumière mais trop peu les formes et les contours avec précision ¤ se déplace à l’aide d’une canne, n’hésite pas à taper les gens avec lorsque c’est nécessaire ¤ pratique la poterie, le crochet et la fabrication de bijoux ¤ tête dans les nuages malgré son 1m57 ¤ chaussettes dépareillées vibes ¤ grande sensibilité aux odeurs chimiques et aux bruits trop forts ¤ accroc aux papouilles dans les cheveux ¤ une passion pour le thé matcha et les milkshakes à la framboise ¤ pot-de-colle professionnelleDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #a15f99 RPs EN COURS :
BRYAVE#3 ¤ now and then i think of when we were together, like when you said you felt so happy you could die, told myself that you were right for me but felt so lonely in your company, but that was love and it's an ache i still remember
LANEÏ ¤ long live the walls we crashed through, how the kingdom lights shined just for me and you, i was screaming long live all the magic we made and bring on all the pretenders, one day we will be remembered
« je vais encore faire ma râleuse, mais je préfère que tu m’appelles Keh s’il te plait, pas Lani… Jamais Lani… » elle n’est pas surprise d’entendre la demande de sa meilleure amie, qu’elle juge parfaitement légitime puisqu’elle est dans la confidence du surnom portée par une bouche maternelle disparue, mais elle ne peut s’empêcher d’éprouver un petit pincement au coeur vis-à-vis de Lincoln, étranger à la dureté de cette perte et des syllabes qui persistent à la faire vivre chaque fois qu’on nomme sa fille ainsi ; heureusement que l’avocat est porteur d’une indulgence suffisamment grande pour ne pas s’en offusquer outre mesure. « Désolé Kehlani, je prends note et j’éviterai de t’appeler ainsi à l’avenir. » Lincoln et son éternelle diplomatie… Elle n’est pas non plus surprise de la clémence dont il fait preuve, et Maeve tente de lui accorder un sourire de gratitude même si elle n’est pas sûre qu’il puisse le saisir au vol, puisque la conversation ne s’éternise pas. Kehlani semble avoir besoin d’un petit moment en solitaire et, sourire flanqué aux lèvres sous la malice dont fait preuve son ami, elle le suit jusque dans sa chambre pour faire connaissance avec le fameux Simba-qui-n’est-pas-un-lion. Mais est-ce que cette dissonance dénominative l’empêche d’immédiatement tomber en amour avec lui ? Absolument pas. Maeve le tient entre ses deux petites mains aux ongles vernis, palpant la douceur de son tissu et des restes de mousses à l’intérieur en nourrissant déjà le projet de le rallier à ses autres peluches, histoire qu’ils forment une belle bande de copains. « Simba est heureux de voir qu’on le considère encore comme non usé. Il sourit même ! » délicatement, la peintre remonte ses pouces jusqu’à la tête de l’ourson afin de faire coulisser l’un d’eux sur le sourire tissé qui est dessiné sur le visage de Simba, afin de vérifier si c’est vrai ’’Et toi, tu souris ? Je ne peux pas le voir mais je peux l’entendre, je crois…’’ il y a quelque chose, dans la voix, comme une inflexion, un tintement joyeux, qui signale quand un sourire accompagne l’élocution, mais elle n’est pas sûre de pouvoir discerner tout cela dans le timbre de Lincoln, alors elle préfère demander pour être sûre « Simba est comme moi. Nous aimons nos moments de solitude tout comme nos moments à deux. Mais connaissant son niveau élevé de socialisation, je pense qu’il ne sera pas contre un peu de compagnie. » tenant toujours l’ourson entre ses deux mains délicates, elle tord sa bouche sur le côté avant de demander, sans attendre une réponse particulière puisque, dans tous les cas, il n’y aura ni vexation ni moquerie de sa part ’’Est-ce un moyen détourné de me dire que tu as besoin d’être seul ?’’ auquel cas, Maeve s’éclipsera sans en tenir rigueur à Lincoln ; elle est envahissante et bavarde mais pas au point de l’être avec ceux qui ne le veulent pas !
Après ces ajustements d’envahissement, Lani fait son grand retour et Maeve l’accueille en lui présentant Simba, qu’elle tend en sa direction pour récolter un « oui, il est très mignon… » qui accentue le sourire qu’elle porte, et qu’elle conserve lorsqu’ils prennent tous les quatre — avec Simba, la direction du jardin. Peluche appuyée contre son buste et tenue par l’un de ses bras repliés, elle descend les escaliers une marche après l’autre en faisant glisser sa paume libre le long de la rambarde « J’ai l’impression d’être dans une émission où l’on fait visiter les maisons. C’est plutôt chouette ! J’espère m’en sortir pour le moment. » - ’’Tu es parfait ! On aurait presque envie de s’installer ici avec toi…’’ Elle l’appuie avec un sourire sincère, glissant sa main libre autour du bras de Kehlani afin de la suivre à travers la maison pour rejoindre l’extérieur, et même si elle n’est guère en mesure de se rendre compte du paysage qui lui fait face, la lumière du jour traverse sa vision par un éclat suffisamment fort pour qu’elle plisse légèrement ses paupières « Alors, nous sommes sur la terrasse où nous pouvons prendre parfois des repas lorsqu’il fait chaud par exemple. Il y a également une piscine extérieur pour les moments détentes ou autre. Et sinon, il y a des transats et des fauteuils de jardin comme vous pouvez le voir. » non, elle ne peut pas vraiment le voir mais elle ne le précise pas, c’est pas très grave : elle l’imagine et c’est déjà bien « Comme tu peux le voir Kehlani, mais je te le dis aussi à toi Maeve, il y a une petite haie qui sépare avec mes voisins. Je les connais plutôt bien, c’est un couple de retraité avec qui il m’arrive de bavarder et de prendre un apéritif de temps à autres. Je vous les présentais volontiers. Alors que pensez-vous du jardin ? » difficile de le dire mais, en resserrant ses doigts autour du bras de Lani, elle ose pencher son menton sur le côté en demandant, très sérieuse et concernée : ’’Est-ce qu’il y a la place pour un trampoline ?’’ pour être convaincante, elle brandit un sourire aussi réjoui qu’attendrissement, auquel personne ne peut résister ; c’est l’arme secrète des jolis minois comme le sien.
crédits/arispov
clipped wings, i was a broken thing, had a voice, had a voice but i could not sing. but there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, but i don't wanna die, i don't wanna die.
Kehlani Mayfield
la clé des champs
ÂGE : vingt-quatre ans, née le 31.10.2000, le jour de sa fête préférée. SURNOM : keh ou k, rien d'autre. STATUT : « they say i come and i go. tell me all the ways you need me. i'm not here for long, catch me or i go » ♫ MÉTIER : employée polyvalente du cinéma « Twelve Happy Spectators » depuis peu et a repris ses études en biologie marine. LOGEMENT : en coloc au 240 edward street (spring hill) avec lincoln et billy le chat (mais elle hésite à rester). POSTS : 436 POINTS : 350
TW IN RP : décès et deuil d'un proche, mention de drogue douce (cannabis). TW IRL : cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : grande fan de films d'horreur (« scream » en particulier) › buffy (tvs) est sa série préférée et elle adore tout particulièrement le personnage de tara › excellente nageuse, elle a gagné plusieurs compétitions dans le passé. › a fait également de la compétition de bateau à voile › a vécu pendant deux ans sur son bateau avant de rejoindre brisbane › possède un chat bengal du nom de billy › adore l'Halloween et fait du cosplayDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : la râleuse écrit en #cc6666 RPs EN COURS : you said that we would always be. without you i feel lost at sea. through the darkness you'd hide with me. like the wind we'd be wild and free.(kehlel #2 )
Il était évident que Kehlani ne se faisait pas souvent des amis là où elle passait. Elle semblait difficile d’approche, râlait pour un tout et un rien, mais sous sa carapace, elle était quelqu’un d’adorable. Peut-être qu’avec Lincoln, ça allait clasher? En fait, sûrement, c’était déjà en train de se produire. Cependant, lorsque l’on grattait les couches, Lani était quelqu’un d’adorable et de foncièrement gentil. Il fallait cependant être persévérant et ceux qui y parvenaient étaient en mesure de découvrir la vraie Kehlani. Il était certain que lorsqu'on la comparait avec Maeve, elles contrastaient dramatiquement l’une avec l’autre. La brunette n’était pas comme sa meilleure amie qui respirait la joie enfantine et qui était facile d’approche. Heureusement pour Lincoln, puisque si elles étaient pareilles, elles se seraient probablement déjà retrouvées en bordure de trottoir sans aucun toit pour dormir. Lincoln fut tout de même diplomate dans sa réponse concernant sa façon de la surnommer. La mécanicienne n’avait pas voulu être méchante. Si l’homme connaissait les réelles raisons de ce choix, il aurait été en mesure de comprendre, mais elle n’était pas prête à lui en faire part. Peut-être plus tard? Sait-on jamais? Les quelques minutes suivantes où elle se retrouva seule lui firent le plus grand bien. Lorsqu'elle retourna auprès d’eux, Kehlani essaya du mieux qu’elle le pouvait de montrer qu’elle était appréciative des lieux et de l’accueil de leur hôte dans cette colocation hors de l’ordinaire, si on pouvait l’appeler ainsi. Lorsque l’on parla du fameux jardin, la brunette se montra immédiatement enthousiaste à l’idée, un contraste assez élevé avec ses réactions précédentes. Mais elle s’était dit que cela ne donnait rien de broyer du noir plus longtemps. Elles habitaient désormais ici toutes les deux alors autant essayer de s’intégrer. Elle allait faire de son mieux pour ne pas être trop chiante, oui, promis.
Ils prirent donc la direction du jardin, après avoir affronté de nouveau l’obstacle que représentaient les escaliers. « J’ai l’impression d’être dans une émission où l’on fait visiter les maisons. C’est plutôt chouette ! J’espère m’en sortir pour le moment. » - ’’Tu es parfait ! On aurait presque envie de s’installer ici avec toi…’’ Un sourire étira les lèvres de la jeune femme tandis qu’elle sentait la main de Maeve se glisser autour de son bras. « je crois que tu pourrais peut-être vendre des maisons si un jour ta carrière d’avocat ne fonctionne plus. » Cette fois-ci, elle était sincère. Il était tout de même doué pour présenter son chez-soi. Arrivés à l’extérieur, la brunette fut quand même bluffée par le décor. Si la maison était aseptisée, voilà que le jardin était bien tout l’inverse. Il était accueillant et chaleureux. Kehlani apprécia que Lincoln prenne la peine de décrire un peu les lieux à Maeve qui évidemment ne pouvait pas voir ce qui se trouvait devant ses yeux. « je sens que je vais passer beaucoup de temps dans cette piscine moi… » fit la jeune femme en regardant le décor enchanteur. « tant qu’ils ne se plaignent pas du bruit à tout bout de champ, moi ça me va. » En vrai, Lani aimait bien les personnes âgées surtout celles qui étaient râleuses comme elle. Elle se considérait comme une vieille avant son temps. « moi je trouve ça magnifique! » elle se tourna vers sa meilleure amie. « si tu veux, tout à l’heure quand on sera seule, je te décrirai les lieux avec plus de détails. Mais tu peux me croire quand je te dis que c’est splendide. » Rien que pour le jardin, l’endroit était tout de suite plus attrayant. Kehlani le savait, elle allait passer tout son temps ici. ’’Est-ce qu’il y a la place pour un trampoline ?’’ Un sourire illumina le visage de Kehlani qui était parfaitement en accord avec la demande de Meï. « ça tombe bien il y a de la place » Elle se tourna vers Lincoln en lui faisant un immense sourire elle aussi. Par contre, ce dernier était un peu moins attrayant que l’expression que pouvait avoir Maeve à l’instant même. Sa meilleure amie était en mesure de tout obtenir avec son sourire attendrissant. Kehlani, bah, elle avait un peu l’air d’une tueuse en série lorsqu’elle s’y mettait. « allez! dis oui! s’il te plait! » Évidemment, avec l’attitude qu’elle avait eu depuis le début, elle ne s’attendait pas à ce qu’il dise oui pour ses beaux yeux, mais bien pour ceux de Maeve.
ÂGE : 32 ans (01.10.1992) STATUT : Être célibataire, c'est pouvoir écouter des vieux tubes ringards dans son appartement sans que personne ne nous critique. MÉTIER : Avocat pénaliste & expert en relations publiques LOGEMENT : Une villa au 240 edward street (spring hill) POSTS : 516 POINTS : 500
Rps abandonnés : Lara #1 ; Nova #1AVATAR : Taron Egerton CRÉDITS : mel-graph (avatar) solosand (signa) DC : Aucun pour le moment PSEUDO : Barcyoda INSCRIT LE : 29/06/2024
Kehlani Mayfield et Maeve Mayers adorent ce message
« Et toi, tu souris ? Je ne peux pas le voir mais je peux l’entendre, je crois… » Lincoln esquissa à nouveau un sourire avant de répondre à la demoiselle. « Lorsque l’on parle de Simba, cela me fait toujours sourire. » Admit-il en posant son regard sur son ours en peluche. Une peluche qui lui était chère. Garder son ours en peluche d'enfance, c’était comme préserver une petite partie de soi, celle qui connaissaît encore l'innocence et les rêves simples. Cet objet, tout utilisé qu'il soit, a été témoin silencieux de moments d'insouciance, de réconfort et de chagrin. Il était le gardien des souvenirs doux et des nuits où, serré contre lui, le monde semblait moins grand et moins effrayant. En le gardant, on conservait une passerelle vers cet enfant que l'on était, rappelant que même en grandissant, on pouvait toujours trouver du réconfort dans les choses qui ont su nous apaiser autrefois. L’avocat admit devant sa nouvelle colocataire que sa peluche était comme lui, à aimer la solitude à certains moments de la vie. En disant cela, il ne voulait pas dire qu’il désirait retrouver la solitude à ce moment précis, bien au contraire d’ailleurs. Mais que parfois, il en avait et en aurait besoin. « Ta présence m’est agréable Maeve. Alors pour répondre à ta question, je dirai que non. Simplement, à travers mes propos, je voulais souligner que nous aimions la solitude. Ce qui n’empêche pas d’aimer être entouré. Cela aurait été ironique d’inviter deux nouvelles personnes sous mon toit si c’était pour leur dire que je voulais être seul, tu ne trouves pas ? Ironique et étrange. » S’amusa-t-il à dire en rigolant légèrement avant que Kehlani ne les rejoignit après avoir fait sortit les peluches de Maeve.
Fin de la visite de l’étage, direction l’extérieur. Et en chemin, en descendant les escaliers pour revenir au rez-de-chaussée, l’avocat plaisanta sur le fait qu’il avait l’impression d’être dans la peau d’un agent immobilier, à vendre un bien. Kehlani lui parla d’une possible reconversion si sa relation avec le droit devait se terminer tandis que Maeve le félicita de sa présentation, donnant presque envie de s’installer. « Presque ? Mince, j’aurai presque bien fait mon taff d’agent immobilier alors. » Dit-il sur un ton plaisantin avant de reprendre la parole. « En tout cas, merci du tuyau Kehlani. En plus, les reconversions professionnelles semblaient être à la mode en ce moment. » Pourquoi pas un jour se reconvertir ? Même si l’immobilier n’allait pas être son premier choix. Ce n’était pas un domaine qui l’intéressait. De plus, il avait l’impression que le mensonge paraissait de mise pour vendre des biens. En tout cas un maximum de bien. Ce qui était compréhensible vu que les agents immobiliers pouvaient toucher une commission lors d’une vente. Mais trop peu pour lui. Une fois arrivé à l’extérieur, Lincoln prit le temps d’exposer ce qui se trouvait dans le jardin pour Maeve qui ne pouvait pas voir ce qu’il y avait. Il en profita également pour souligner qu’il avait un voisin avec qui il s’entendait plutôt bien et qu’il comptait bien que cette relation continue sur cette voie. Il esquissa un sourire en écoutant les propos de Lani sur le voisinage. Des propos un peu brutaux, il fallait le reconnaître, mais qui semblait amuser le jeune homme cependant. « Jusqu’à présent, ils ne se sont jamais plains. Donc aucune raison que ça change. Après tout, la villa ne va pas se transformer en grand parc d’attraction non ? » Demanda-t-il d’un air amusé, espérant au fond de lui que la certaine tranquillité qui se trouvait chez lui, allait rester un minimum. Car oui, l’avocat savait qu’il allait y avoir davantage de bruits vu qu’ils étaient trois personnes dès à présent à vivre sous le même toit. Mais, il n’avait guère envie que cela se transforme en bordel sonore dirons-nous. La présentation de l’extérieur finie, il attendit l’avis de ces deux nouvelles colocataires, un avis qui semblait positif pour Kehlani, ce qui semblait réjouir le propriétaire de la villa. « Finalement, mon jardin rattrape l’intérieur n’est-ce pas Kehlani ? » Maeve paraissait également aimer ce qu’elle avait pu entendre, Lani allant lui faire une description plus précise par la suite. Cependant, il ne s’attendait pas à ce qu’une histoire de trampoline vienne sur le tapis. De la place pour un trampoline ? Finalement peut-être aurait-il fallu qu’il se taise avec son histoire de parc d’attraction. L’idée pouvait paraître loufoque, mais en voyant la réaction quelque peu étrange de Lani et le beau sourire de Maeve, peu de solutions se présentaient à lui. « Je vais dire … Oui. Parce que Kehlani, j’ai l’impression que sinon, tu vas me tuer. Et parce que comment dire non à ton sourire Maeve. Mais sachez mesdames, que je ne dirai pas oui à tout avec un simple sourire. » Précisa-t-il, ne voulant pas non plus que cela devienne un argument dans une négociation. « Allons donc pour un trampoline. Et de un ! Autre chose peut-être ? Un bateau pirate ? Des toboggans ? Ou que sais-je ? Je suis sûr que vu votre inventivité, vous pourriez encore me surprendre. » Car oui, avec cette histoire de trampoline, il ne s’y attendait pas. Alors oui, Lincoln était suicidaire car il venait d’ouvrir une porte qu’il n’était pas sûr de pouvoir refermer. Mais advienne que pourra. « En attendant, je vais préparer un petit apéritif pour conclure cette visite et je vous laisse toutes les deux pendant quelques minutes. » Dit-il pour apporter une nouvelle touche de légèreté, et proposer un moyen d’apprendre à se connaître également. Il rentra de nouveau dans la villa, prenant la direction de la cuisine et laissa les deux demoiselles parler entre elles. En tout cas, il avait l'impression que cette visite s'était bien passée. Il était curieux de voir ce que l'avenir allait lui donner avec cette nouvelle colocation.
Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.