ÂGE : 33 ans. Il est né le 31 octobre 1990. SURNOM : Andy pour les intimes STATUT : Célibataire et incapable de s'engager MÉTIER : Avocat POSTS : 95 POINTS : 320
TW IN RP : Deuil, accident de voiture, cancer GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : Rencontre à l'abri des greens - Liliana
Lorsqu’Andrew arriva au bureau ce matin-là, il n’avait aucune idée de ce qui l’attendait. Honnêtement, dans son métier, chaque journée était une surprise. Il ne pouvait jamais prédire quand l’un de ses clients ferait une connerie ou encore serait victime d’une injustice. Il aimait le côté imprévisible de son métier, même si ça voulait aussi dire qu’il passait plusieurs heures à essayer de faire pencher la loi en faveur de ses clients. Parfois, ce n’était juste pas possible, alors il s’efforçait de trouver le meilleur compromis possible. Il détestait perdre, mais ça faisait partie du métier tout comme les clients qui refusaient de s’aider. Un homme commettait un crime puis se retrouvait en prison. À sa sortie, il promettait de rester sur le droit chemin, mais quelques mois plus tard, on l’arrêtait de nouveau. Sa raison : il ne méritait pas mieux de toute façon. Andrew n’y croyait pas, mais redonner confiance en quelqu’un qui était persuadé qu’il ne méritait pas une main tendue, c’était difficile et parfois décourageant.
Le cabinet de son père se trouvait au cœur de Spring Hill et occupait le quart d’un étage d’une des tours en verre qui hérissait le quartier des affaires. Il gara sa voiture dans le stationnement sous-terrain de l’immeuble avant de prendre l’ascenseur, café americano à la main, pour se rendre au quinzième étage. Lorsque la porte s’ouvrit, il aboutit devant le bureau de l’agent de sécurité, un jeune homme dans la vingtaine, mignon et en poste depuis trois semaines seulement. Andrew lui adressa un brillant sourire auquel l’agent répondit avec une touche de timidité. Il devrait l’inviter à prendre un café un de ces jours. Il se dirigea vers la porte double en verre qui menait au cabinet. Juste à côté, sur une plaque en laiton, on pouvait lire : McKinley, McKinley et Associés. Avocats. Juste avant qu’il ne pose la main sur la poignée, il entendit un déclic. Le gardien venait de la déverrouiller depuis son poste. Andrew lui adressa un dernier sourire puis passa la porte. De l’autre côté se trouvait le bureau d’accueil à proprement parler où la réceptionniste était déjà arrivée et assurait la distribution de la collation du jour. Il n’était pas rare qu’un des employés s’arrête en chemin pour prendre un petit quelque chose pour tout le monde. Le plus souvent c’était du café, des pâtisseries ou des bonbons, mais parfois quelqu’un prenait la santé de ses collègues à cœur et apportait des fruits.
« Nous avons droit à quoi ce matin? »
Gladys travaillait pour son père depuis dix ans déjà. Non seulement elle s’occupait de l’accueil, mais elle était également son adjointe ainsi que celle d’Andrew. Ses tâches étaient variées, mais consistaient surtout en la résolution de problèmes en tout genre en plus de s’assurer qu’aucun de ses oisillons ne rate un rendez-vous important. À la veille de la soixantaine, elle traitait les McKinley comme ses fils. Que son employeur soit plus âgé qu’elle ne faisait aucune différence.
« Beignes. Quelqu’un s’est arrêté au Rebel Donuts et nous a ramené ça. Je t’en prie, fais-les disparaître de ma vue avant que je ne cède de nouveau. » Au ton de sa voix, c’était un véritable exercice de volonté. Andrew souleva le couvercle de la boîte. « Oooh, j’aime ce que je vois. À ton avis, combien faut-il de temps sur un tapis roulant pour compenser une seule de ces petites merveilles? »
« Au moins une heure, je dirais. Tu n’es pas le seul à aimer ce qu’il voit. Le gardien de sécurité te regarde depuis que tu as passé les portes de l’ascenseur. Je crois que tu lui plais. »
« Naturellement, j’ai les plus belles fesses du bureau. » Elle s’esclaffa alors qu’Andrew prenait l’un des beignes de la boîte. « La vie est trop courte pour se priver. À plus tard! » Il se dirigea vers son bureau. « Une minute! Ton père t’a laissé un dossier sur ton bureau avant de partir pour le palais de justice. »
« Ah? Il a dit pourquoi? » Elle haussa les épaules. « Non, il a juste dit que ça allait probablement t’amuser. J’ai vu le truc, il est volumineux. » Andrew sourit. « Exactement comme je les aime. Je vais voir ça tout de suite. »
« Essaie de ne pas renverser ton café dessus cette fois. »
« Promis. »
Quelques minutes plus tard, Andrew épongeait les dernières gouttes du café qu’il venait de renverser sur son bureau. Heureusement, le dossier avait évité la catastrophe de justesse, mais il ne pouvait pas en dire autant de la moquette. Il s’installa sur sa chaise, beigne à la main, et feuilleta le volumineux dossier. Sérieusement, ils devraient envisager de faire numériser tout ça même si le papier avait son charme. Ollie Gallagher… Il avait déjà entendu ce nom. Son père s’occupait de son cas. Apparemment, il avait décidé de lui passer le flambeau. Ça ne le surprenait pas. Edwin vieillissait et n’avait plus autant d’énergie à consacrer aux cas difficiles alors que son fils les adorait. Andrew appuya sur une touche de son téléphone. Du haut-parleur, la voix de Gladys s’éleva.
« Alors, tu as renversé ton café? »
« Oui, mais ce n’est pas pour ça que je t’appelais. Je voulais savoir si monsieur Gallagher a été notifié de son changement d’avocat. »
« C’est fait. Qu’est-ce que tu es maladroit. Tu sais qu’il existe des gobelets anti-renversement pour les bébés. Ma fille en a un pour le sien. Tu devrais penser à t’en acheter un pour ton café. »
« Ah. Ah. Ah. Très drôle. Bon, je suppose que je devrais quand même l’appeler pour me présenter. Peux-tu me bloquer du temps cet après-midi. Disons 30 minutes, il va peut-être avoir des questions. »
« Ton après-midi est déjà chargé, mais tu as un peu de temps demain en fin d’avant-midi. »
« D’accord. Avertis-moi quand madame Sullivan va arriver. »
Finalement, il n’eut pas à attendre au lendemain. En soirée, alors qu’il prenait un café avec le gardien de sécurité, on l’appela depuis un commissariat de police où il devait aller récupérer monsieur Gallagher lui-même, fraichement placé en garde à vue. Ça promettait d’être amusant!
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 432 POINTS : 730
TW IN RP : suicide, dépression, violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (03)harleen #1 › olive › andrew › cleo #2 › connor #1
olliwood #1 › oh good god, i'm tongue-tied, i'm a landslide when you move. hey, girl, with your head in the clouds, i wanna love you. wrapped up in her again, i was starting to spin a record i can't pause, an all-time heroine with an angel's skin and a human's flaws
cleo #2 › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
RPs TERMINÉS : (2024)jo #1 › cleo #1AVATAR : paul mescal CRÉDITS : fassylovergallery (avatar), kreacher1x1 (gif signa & profil) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse) PSEUDO : paindep INSCRIT LE : 29/05/2024
La douleur dans sa mâchoire devient lancinante. Rappel entêtant du coup qu’il s’est pris par inadvertance. Erreur de débutant qu’il ne doit plus se reproduire alors qu’il rejoue l’instant comme un film en boucle. Il n’a pas su se baisser à temps, l’autre a pu asséner son coup avec violence avant que la véritable colère d’Ollie ne se déchaîne. Ses doigts fins cherchent à masser la zone quand il sait d’avance que demain un joli bleu viendra parsemer sa barbe de quelques jours. La cellule refoule une vieille odeur de pisse mêlée à de la transpiration, mais cela n’arrête pas Ollie qui s’est déjà allonger sur le banc, un peu comme chez lui. L’adage se veut à moitié vrai. Il passe un peu trop de temps de ce côté de la grille parfois. La dernière fois pour excès de vitesse, cette fois pour trouble à l’ordre public. L’excuse est bidon, c’est le vieux Chris qui l’a cueilli pour mieux remplir son quota du soir et rentrer fissa au commissariat pour s’enfiler un carton de beignet devant une série à la con. Il entend d’ici le son du programme devant lequel l’autre s’extasie. Pour une fois, il n’a pas de compagnon de fortune, personne à emmerder et, si Chris a juré d’avoir appelé les bonnes personnes, Ollie se prépare à passer la nuit dans ce trou pourri.
Il a compté une centaine de gouttes s’échappant de la fontaine à eau de l’autre côté du couloir, la lumière a clignoté une vingtaine de fois et le vieux de l’accueil a probablement fini par s’endormir devant son émission. En résumé, Ollie s’ennuie, profondément. Et il est encore si tôt dans la soirée. Il s’accorde encore une demi-heure de répit avant de provoquer un scandale ou quelque chose du même acabit. C’est finalement le bruit, presque familier, des portes qui claquent qui le font émerger de sa sieste. Il se redresse, pressé de voir qui est le remplacement du vieil Edwin. On lui a mentionné un changement d’avocat, c’est Harleen qui a reçu l’appel. L’information était automatiquement sortie de son esprit jusqu’à ce moment précis. « Yes, j’ai hérité du clown en costume de pingouin ! » Il s’amuse de l’allure de l’avocat, un jeune, qui ressemble étrangement à l’ancien. Il se relève pour venir faire face à l’homme. Peut-être allait-il pouvoir s’amuser avec celui-là ? « Tu peux me faire sortir maintenant ? » Il n’a pas non plus toute la soirée et l’odeur devient assez terrible.
just a young gun with a quick fuse. i was uptight, wanna let loose. i was dreaming of bigger things and wanna leave my own life behind. not a "yes, sir," not a follower, fit the box, fit the mold, have a seat in the foyer, take a number i was lightning before the thunder
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Andrew McKinley
ÂGE : 33 ans. Il est né le 31 octobre 1990. SURNOM : Andy pour les intimes STATUT : Célibataire et incapable de s'engager MÉTIER : Avocat POSTS : 95 POINTS : 320
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La journée s’était pourtant bien passée. Certes, il n’avait pas eu une minute à lui, mais Andrew aimait se garder occupé. Quelque part en après-midi, il avait soulagé Gladys de sa tentation en allant donner le dernier beigne de la boîte au gardien de sécurité. Il en profita pour l’inviter à prendre un café après son quart de travail. Andrew savait plus ou moins à quelle heure il finissait et pouvait s’arranger pour partir en même temps que lui. Il accepta. C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent dans un petit établissement non loin du bureau qu’Andrew ne connaissait pas, mais qui, selon Thiago, servait le meilleur café du coin. La conversation avec le jeune homme était facile. Il avait dix ans de moins que lui et ça expliquait probablement son côté un peu timide. Il n’était probablement pas habitué à avoir devant lui quelqu’un d’aussi entreprenant qu’Andrew. Il n’allait pas le forcer à quoi que ce soit non plus, mais il le trouvait excessivement mignon, même sans son uniforme de gardien de sécurité. Apparemment, il était à moitié colombien du côté de sa mère et il étudiait pour devenir policier. La soirée s’annonçait prometteuse lorsqu’il reçut un appel qui mit brusquement fin à leur rendez-vous.
« Très bien, j’arrive. Dites à monsieur Gallagher d’être patient… » Andrew soupira et glissa son téléphone dans sa poche. « Qu’est-ce qu’il y a? » Demanda Thiago devant la mine déconfite de l’avocat. « Un client à sortir de garde à vue. J’ai bien peur de devoir mettre fin à notre rendez-vous. » Andrew vida d’une traite le reste de son café qui avait refroidi à force de trop parler. « Je comprends, ce n’est pas grave », l’assura Thiago. Cela dit, Andrew voyait bien que quelque chose le tracassait. Il haussa un sourcil. « Quelque chose ne va pas? » Thiago secoua la tête négativement. « Non, non, pas du tout. Je me demandais seulement… » Il grimaça, gêné par sa propre question. « Est-ce que ça arrive souvent? Je veux dire, aller sortir les gens de prison comme ça? » « Techniquement, il n’est pas en prison. Il est simplement détendu au centre de police pour une raison que j’ignore encore. Mon travail c’est de le faire sortir, mais c’est possible que je ne puisse pas le faire. Si on l’a arrêté sur une scène de crime et que la police estime qu’il représente une menace, elle peut se présenter devant un juge à la première heure demain et demander une détention provisoire le temps de l’enquête, mais j’estime qu’on me l’aurait dit si c’était le cas. Maintenant, est-ce que ça m’arrive souvent… » Il haussa les épaules. « Ça dépend. L’ironie dans cette histoire, c’est que j’ai hérité de ce dossier ce matin. J’espère juste que ce n’est pas un avant-goût de ce qui m’attend. »
Quelques minutes plus tard, Andrew suivait le vieux policier à l’arrière du commissariat où l’attendait son nouveau client. Il n’était pas le seul à avoir été embarqué. Plus d’un regard se posa sur lui alors qu’il s’avançait dans le couloir. La plupart le regardaient avec dédains. Dans la liste des professions les plus appréciées, policier et avocat ne figuraient pas très haut sur la liste. D’autres l’ignoraient entièrement et attendaient le matin pour sortir avec une tape sur les doigts et une promesse à comparaitre. Peut-être un ou deux parmi eux espéraient qu’il était là pour eux. Le policier s’arrêta devant l’une des cellules. Un homme les observait depuis un banc et à son expression, savait qu’on venait pour lui. « Yes, j’ai hérité du clown en costume de pingouin! » Super… Costume de pingouin, costume de pingouin, Andrew n’avait pas eu le temps de se changer avant son rendez-vous avec Thiago. Il avait toutefois retiré son veston et abandonné sa cravate quelque part, probablement au bureau. Il avait détaché deux boutons de sa chemise et roulé ses manches dévoilant ses avant-bras. S’il avait l’air de quelque chose, c’était plutôt d’un jeune professionnel qu’on avait arraché à un cinq à sept qui s’éternisait. « Tu peux me faire sortir maintenant? » Loin de se laisser démonter par le ton condescendant de son nouveau client — merci, papa — Andrew lui offrit son plus charmant sourire, le genre qui agacerait certainement monsieur Gallagher. « Vous êtes extrêmement chanceux, monsieur Gallagher. J’étais en train de passer une excellente soirée en charmante compagnie quand j’ai reçu, de ce gentleman ici présent », il désigna le policier d’un geste de la main, « un appel. Heureusement, nous étions encore tous les deux habillés, car dans le cas contraire, vous auriez attendu, sans doute jusqu’à demain matin où ils n’auraient pas eu le choix de vous faire sortir de toute façon. Donc, si vous n’avez rien de plus à ajouter — je vous conseille de vous taire — laissez-moi quelques minutes le temps de faire opérer ma magie. » Le policier regardait Andrew, la mâchoire pendante. Sans se départir de son sourire, Andy ajouta. « D’habitude, c’est le moment où vous me faites signer des papiers. » Ça suffit à le ramener à la réalité. « Heu, oui… Suivez-moi. » Quelques signatures plus tard, Ollie fut enfin libéré de sa cellule. « Je ne dirais pas non pour aller manger quelque part. J’ai avalé depuis ce midi que des beiges et du café et nous avons à discuter, tous les deux. »
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 432 POINTS : 730
TW IN RP : suicide, dépression, violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (03)harleen #1 › olive › andrew › cleo #2 › connor #1
olliwood #1 › oh good god, i'm tongue-tied, i'm a landslide when you move. hey, girl, with your head in the clouds, i wanna love you. wrapped up in her again, i was starting to spin a record i can't pause, an all-time heroine with an angel's skin and a human's flaws
cleo #2 › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
RPs TERMINÉS : (2024)jo #1 › cleo #1AVATAR : paul mescal CRÉDITS : fassylovergallery (avatar), kreacher1x1 (gif signa & profil) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse) PSEUDO : paindep INSCRIT LE : 29/05/2024
Le banc paraît plus collant que la minute d’avant à chaque soupir qu’il pousse. Ce n’est pas son premier rodéo dans ce genre d’endroit, il s’en remettra, mais son programme de la soirée se voulait plus intéressant qu’observer un plafond complètement moisi. Il connait toute la procédure, on a probablement appelé le vieil avocat qui s’occupe régulièrement de lui et vu l’heure, il ne se pointera pas. Il est prêt à passer sa soirée dans cette cage, dans cinq minutes il commencera à chanter à tue-tête juste pour emmerder l’autre gros con qui se gave de beignets à l’accueil. Rien qui ne sort trop de l’ordinaire, ce n’est pas lui qui allait supplier qu’on le sorte de là, il a des principes tout de même. Enfin. Jusqu’à ce qu’il remarque que sa soirée pourrait s’animer un peu avec la cavalerie qui franchi la porte. Ce n’est pas le vieillard, mais une version plus jeune et engoncée dans un costume affreux. Un sourire amusé se dessine sur ses lèvres, voilà enfin un peu d’animation. Et il a bien l’intention de s’amuser. « Vous êtes extrêmement chanceux, monsieur Gallagher. J’étais en train de passer une excellente soirée en charmante compagnie quand j’ai reçu, de ce gentleman ici présent, un appel. » Il éclate de rire, levant les yeux au ciel. « Personne t’oblige à rien. » Bon. Techniquement il doit devoir des heures à la ville ou une connerie dans le genre, mais c’est pas Ollie qui en attends beaucoup. « Je te paye pas. » Et il n’a pas l’intention de commencer par la même occasion. Se relevant, il avance jusqu’à la grille pour observer de plus près son nouveau chevalier servant. « Heureusement, nous étions encore tous les deux habillés, car dans le cas contraire, vous auriez attendu, sans doute jusqu’à demain matin où ils n’auraient pas eu le choix de vous faire sortir de toute façon. Donc, si vous n’avez rien de plus à ajouter — je vous conseille de vous taire — laissez-moi quelques minutes le temps de faire opérer ma magie. » - « Tu pouvais tirer ton coup, mon gars. » Pourquoi est-ce qu’il lui raconte tout ça ? Ce n’est pas comme s’il en avait quelque chose à foutre. Il n’a pas toute la nuit non plus. « Impressionne-moi, cowboy. » Comme s’il ne sait déjà pas exactement ce qui va se dérouler dans les prochaines minutes.
Une histoire de paperasses plus tard et Ollie peut de nouveau respirer un air propre et non infester par tout un tas de crasse. Faisant rouler ses épaules, il l’observe la rue, se demandant bien où il avait pu laisser sa moto avant de se faire entraîner dans ce début de soirée chaotique. « Je ne dirais pas non pour aller manger quelque part. J’ai avalé depuis ce midi que des beiges et du café et nous avons à discuter, tous les deux. » - « T’avais pas quelqu’un à baiser ? » Mais c’est qui ce clown ? Comme s’il avait la moindre envie de passer un moment avec son avocat. « Perso j’avais des plans et c’était pas de nourrir la justice. » Il lui adresse un clin d’œil, cherchant déjà de quel côté il allait pouvoir s’échapper.
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Andrew McKinley
ÂGE : 33 ans. Il est né le 31 octobre 1990. SURNOM : Andy pour les intimes STATUT : Célibataire et incapable de s'engager MÉTIER : Avocat POSTS : 95 POINTS : 320
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Andrew commençait à comprendre pourquoi son père lui avait passé le dossier. N’étant pas spécialement patient dans la vie, il ne devait juste plus avoir envie de travailler pour lui, en fait. Andrew aurait payé très cher pour les voir interagir ces deux-là. Guère impressionné par l’attitude d’Ollie, Andy fit la sourde d’oreille à ses remarques pour se concentrer à le faire sortir de prison. Il n’était pas le premier client difficile à croiser sa route et les commentaires désobligeants, il les avait déjà tous entendus. Pourquoi l’avoir appelé si sa présence le dérangeait à ce point? Avoir su, il aurait profité de sa soirée avec Thiago plutôt que de se faire insulter. « T’avais pas quelqu’un à baiser? » Andrew regarda sa montre en grimaçant. « Trop tard, il doit être rentré chez lui à l’heure qu’il est. » Il regarda ensuite Ollie, l’expression sur son visage soudainement très sérieuse. « Avoir su que je me ferais accueillir de la sorte, je ne me serais pas pressé pour te faire sortir. Tu es celui qui a demandé que je vienne te sortir de là, à ce que je sache. Sinon je peux toujours retourner à l’intérieur et demander à notre ami de te garder au chaud jusqu’au matin. Légalement parlant, il en avait le droit. » Si Ollie voulait qu’Andy l’aide, il devrait revoir un peu son attitude. Rien ne l’obligeait à faire appel à un avocat. Il devrait simplement laisser la justice se faire et en subir les conséquences si ça avait si peu d’importance pour lui.
« Perso j’avais des plans et c’était pas de nourrir la justice. » Andrew croisa les bras sur son torse. « Je vais payer et je n’avais pas l’intention de te charger mon temps non plus. C’est mon père qui s’occupait de son dossier jusqu’à ce matin où je l’ai retrouvé sur mon bureau. Il ne manquait que le ruban cadeau. J’ai envie de savoir à qui j’ai affaire et surtout, comment je peux t’aider. » Il leva les bras. « Écoute, tu n’es même pas obligé de m’apprécier, juste de me faire confiance. Il y a un resto mexicain pas loin d’ici et j’ai envie d’enchiladas. » Il pointa du doigt. En diagonale du poste de police, à environ 200 mètres, se trouvait le restaurant en question.
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 432 POINTS : 730
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L’autre lui a raconté sa vie, en large et en travers, comme si Ollie en avait quelque chose à faire. Il avait qu’à tirer son coup avant de venir, ce n’est pas comme si cela aurait changé sa propre soirée. Il aurait peut-être eu le droit à un avocat de meilleure humeur. « Trop tard, il doit être rentré chez lui à l’heure qu’il est. » Comme si, en plus, il avait besoin de connaître l’orientation sexuelle de ce dernier. « Eh, je suis pas ton pote. » Il ferait mieux d’arrêter de vider ses poches comme ça. Ce n’est pas ce qui amènera Ollie à lui adresser le moindre sourire, bien au contraire. « Avoir su que je me ferais accueillir de la sorte, je ne me serais pas pressé pour te faire sortir. Tu es celui qui a demandé que je vienne te sortir de là, à ce que je sache. Sinon, je peux toujours retourner à l’intérieur et demander à notre ami de te garder au chaud jusqu’au matin. Légalement parlant, il en avait le droit. » Il le prend pour un gamin ? « Ça va t’emballe pas, je serais sage. » Il n’a clairement pas l’intention de passer la nuit ici, il sent déjà la pisse et la sueur, c’est bien suffisant.
« Je vais payer et je n’avais pas l’intention de te charger mon temps non plus. C’est mon père qui s’occupait de ton dossier jusqu’à ce matin où je l’ai retrouvé sur mon bureau. Il ne manquait que le ruban cadeau. J’ai envie de savoir à qui j’ai affaire et surtout, comment je peux t’aider. » Ah super, en plus on se le refile de père en fils. « Le vieux était plus sympa. » Qu’il marmonne sans se démonter alors que l’avocat insiste pour l’emmener dîner. « Écoute, tu n’es même pas obligé de m’apprécier, juste de me faire confiance. Il y a un resto mexicain pas loin d’ici et j’ai envie d’enchiladas. » Son ventre, ce sale traitre, dénonce l’appétit qui le guette depuis plusieurs heures déjà. « Tu tireras pas ton coup avec moi. » Il spécifie avec un sourire en coin, amusé de sa propre remarque. « Bah aller, je te suis. » Puisqu’il semble connaître le chemin et que clairement, Ollie ne va pas rechigner contre un repas gratuit. « T’auras même le droit de me poser 5 questions. » Pas plus, il ne faut pas abuser non plus. Il a faim, il veut bien se faire payer à bouffer, mais il ne va pas non plus se mettre à raconter sa vie contre quelques enchiladas.
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Andrew McKinley
ÂGE : 33 ans. Il est né le 31 octobre 1990. SURNOM : Andy pour les intimes STATUT : Célibataire et incapable de s'engager MÉTIER : Avocat POSTS : 95 POINTS : 320
TW IN RP : Deuil, accident de voiture, cancer GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : Rencontre à l'abri des greens - Liliana
Andrew a toujours été une grande-gueule, il le fallait pour être un bon avocat. Ses professeurs parlaient plutôt d’éloquence, mais dans son cas, il parlait juste beaucoup trop. « Eh, je suis pas ton pote. » Andrew cligna des yeux. « Je le sais et je ne suis pas ici pour ça. » Au moins, il avait fait mouche en disant qu’il pourrait toujours le ramener à l’intérieur du poste de police s’il ne faisait pas preuve d’un peu plus de gratitude. « Ça va t’emballe pas, je serais sage. » Andrew sourit. « C’est tout ce que je voulais entendre. » Autant ne pas placer la barre trop haute. Il ne le connaissait pas encore et comme chaque cas est différent, il ne savait pas à quoi s’attendre avec lui. Il y avait une raison pour quoi son père ne voulait plus de son dossier. Pourtant, Ollie semblait l’avoir apprécié. « Le vieux était plus sympa. » Andrew haussa un sourcil. « J’ai un peu de mal à y croire, mais si tu le dis. » Demain, il devait absolument parler à son père. Il aura peut-être le temps entre deux rendez-vous… Dans l’immédiat, il était affamé et, apparemment, Ollie aussi. Il pouvait entendre son ventre gargouiller, mais il se garda d’en faire la remarque. Il ne voulait pas l’effaroucher plus encore. « Tu tireras pas ton coup avec moi. » Andrew n’était pas le seul à ne pas pouvoir se taire. « Je suis ton avocat. Je sais que là, tout de suite, je n’en ai pas l’air, mais je suis professionnel. » Il y avait une certaine fermeté dans sa voix. Andrew n’aimait pas qu’on remette en doute ses aptitudes. Il avait commis des erreurs dans sa vie, mais quand ça touchait son métier et son professionnalisme, il savait se tenir. Certes, il y avait une exception qui concernait, justement, une femme d’exception, mais elle était aussi avocate. Non, Andrew ne franchira jamais cette ligne avec un client. Ça marquerait la fin de sa carrière.
« Bah aller, je te suis. T’auras même le droit de me poser 5 questions. » « Il y a un début à tout. Suis-moi. » Inutile de prendre la voiture. Il la laissa dans le stationnement du commissariat pour se rendre au restaurant à pied. Plutôt exiguë et nécessitant une couche de peinture fraiche, l’odeur qui se dégageait des cuisines était cependant alléchante et l’estomac d’Andrew gronda en réponse. L’endroit était surtout fréquenté par des habitués et, par expérience, c’était souvent dans de petits restaurants comme celui-là qu’on trouvait la nourriture la plus authentique. Il avait parlé d’enchiladas un peu plus tôt, mais les tacos semblaient tout aussi divins. Andrew choisit un coin en retrait et invita Ollie à s’installer face à lui. « Prend ce que tu veux, je paye. Bon, je ne vais pas passer par quatre chemins, tu m’as dit que j’avais droit à cinq questions, voici la première : est-ce qu’il y a quelque chose que je devrais savoir? Et là, avant que tu me répondes, tu peux mentir à ta copine, tes parents et tes amis, mais il y a deux personnes en ce monde à qui tu ne dois rien cacher : ton médecin et ton avocat. Aide-moi à t’aider. Je sais que tu ne m’aimes pas, mais je suis de ton côté. »
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 432 POINTS : 730
TW IN RP : suicide, dépression, violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (03)harleen #1 › olive › andrew › cleo #2 › connor #1
olliwood #1 › oh good god, i'm tongue-tied, i'm a landslide when you move. hey, girl, with your head in the clouds, i wanna love you. wrapped up in her again, i was starting to spin a record i can't pause, an all-time heroine with an angel's skin and a human's flaws
cleo #2 › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
RPs TERMINÉS : (2024)jo #1 › cleo #1AVATAR : paul mescal CRÉDITS : fassylovergallery (avatar), kreacher1x1 (gif signa & profil) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse) PSEUDO : paindep INSCRIT LE : 29/05/2024
« C’est tout ce que je voulais entendre. » Et parce qu’il reste un gamin effronté, Ollie lui adresse un immense sourire de vainqueur. Il promet de bien se tenir, sans non plus s’étendre sur la durée de cette fameuse promesse. Il n’a jamais été du genre à tenir quoi que ce soit de toute façon. Tout ce qu’il veut, ce n’est pas remettre les pieds dans cette cellule miteuse. « J’ai un peu de mal à y croire, mais si tu le dis. » Il se retient de rire, donc le fils n’encense pas son père ? Est-ce qu’il pourrait creuser pour quelques détails alléchants ? Il pourrait s’en amuser, mais ce n’est pas vraiment le thème du moment. L’autre insiste lourdement pour lui payer à manger, et qui serait Ollie pour refuser une telle invitation ? Il a clairement la dalle, mais quelque chose le retient malgré tout. Il ne voudrait pas que l’avocat pense pouvoir l’attirer dans ses filets, cherche à le draguer ou une connerie dans le genre. « Je suis ton avocat. Je sais que là, tout de suite, je n’en ai pas l’air, mais je suis professionnel. » Convaincu par la réponse, il lève ses deux pouces dans sa direction, sans jamais se défaire de son sourire insolent. « Parfait alors. » Bien sûr qu’il s’entêtera à toujours avoir le dernier mot. Il ne va pas non plus laisser un pingouin gagner.
Ce n’était clairement pas dans ses plans que de finir par suivre un avocat jusqu’à un restaurant, mais s’il peut gratter un plat gratuit et des semaines de répit, il ne va pas dire non. Ce n’est pas une première non plus, il en a connu d’autres, des hommes de loi qui cherchent à le sauver, à le faire entrer dans le droit chemin. Il connait tous les discours et il s’en fiche toujours autant. « Prend ce que tu veux, je paye. » Il n’avait pas l’intention de sortir son portefeuille, ça tombe bien. Ollie sait par avance qu’il se fera plaisir avec une bière et, puisque l’autre avait parlé d’enchiladas, il se laisserait bien tenter. Mais il semblerait qu’il n’aura pas non plus le droit à un repas en paix, après tout, il l’avait un peu cherché. « Bon, je ne vais pas passer par quatre chemins, tu m’as dit que j’avais droit à cinq questions, voici la première : est-ce qu’il y a quelque chose que je devrais savoir? Et là, avant que tu me répondes, tu peux mentir à ta copine, tes parents et tes amis, mais il y a deux personnes en ce monde à qui tu ne dois rien cacher : ton médecin et ton avocat. Aide-moi à t’aider. Je sais que tu ne m’aimes pas, mais je suis de ton côté. » Levant les yeux au ciel, Ollie abandonne son menu pour se laisser tomber sur le dossier de sa chaise. « J’ai été arrêté pour trouble sur la voie publique, il n’y a pas de secret de polichinelle et j’ai aucun secret noir à cacher. » Il n’a tué personne après tout, ce n’était qu’une petite bagarre. « Le vieux Chris adore me jeter dans sa vieille cellule miteuse, ça lui donne l’impression de bien faire son taff. » Il faut dire que c’est toujours lui qui finit par intervenir lorsque Ollie cherche des noises. Il devrait peut-être changer un peu de secteur. « Pas besoin de me regarder comme ça, je me suis juste un peu battu. » Ce n’est pas la première fois et ce ne sera clairement pas la dernière.
just a young gun with a quick fuse. i was uptight, wanna let loose. i was dreaming of bigger things and wanna leave my own life behind. not a "yes, sir," not a follower, fit the box, fit the mold, have a seat in the foyer, take a number i was lightning before the thunder
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Andrew McKinley
ÂGE : 33 ans. Il est né le 31 octobre 1990. SURNOM : Andy pour les intimes STATUT : Célibataire et incapable de s'engager MÉTIER : Avocat POSTS : 95 POINTS : 320
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Andrew en avait rencontré des insolents dans sa carrière et Ollie se classait aisément dans les pires. Il donnait l’impression de s’en moquer entièrement, comme si ça n’avait pas la moindre importance qu’on vienne de le sortir de détention. En fait, c’était probablement le cas. Vu l’épaisseur de son dossier, ce genre de soirée devait être la routine pour lui. La majorité des gens faisait tout pour éviter de se retrouver dans de pareilles situations, puis il y avait ceux qui s’y trouvaient régulièrement comme s’ils étaient incapables de s’en défaire. « J’ai été arrêté pour trouble sur la voie publique, il n’y a pas de secret de polichinelle et j’ai aucun secret noir à cacher. » Andy n’avait pas l’intention de pousser son interrogatoire trop loin. Ollie se méfiait ouvertement de lui. Il en faudrait peu pour qu’il se referme comme une huitre et le laisse en plan au milieu du restaurant. Pour l’instant, Andrew visait plutôt à établir un lien de confiance. Enfin, si c’était possible… « Oui, j’ai lu. C’était dans les papiers que m’a fait signer notre copain du poste de police. » « Le vieux Chris adore me jeter dans sa vieille cellule miteuse, ça lui donne l’impression de bien faire son taff. » Andrew pinça les lèvres. « C’est possible, mais peu probable. Je sais qu’il y a certains policiers qui exagèrent, mais ne viens pas me dire qu’on t’a cueilli dans la rue sans raison valable. » Il lui jeta un coup d’œil, un vague sourire aux lèvres, avant de rapporter son attention sur le menu. « Pas besoin de me regarder comme ça, je me suis juste un peu battu. » « Je vois… » Il était venu ici avec l’intention de choisir les enchiladas, mais les tacos lui faisaient vraiment envie. Plus loin, un couple en mangeait et ils avaient l’air vraiment délicieux. « Finalement, je vais y aller pour les tacos. » Il referma le menu. Andrew s’était déjà battu une fois, alors qu’il étudiait en Angleterre voilà quelques années déjà. Ça s’était passé dans un pub fréquenté principalement par des étudiants et certains y avaient organisé une grosse soirée pour célébrer la fin du trimestre. Naturellement, l’alcool coulait à flots. Andrew n’avait jamais été du genre violent et il évitait autant que possible les conflits. Il n’hésitait pas à utiliser son charme pour se sortir des situations tendues. Toutefois, les esprits s’étaient échauffés et Andrew, très alcoolisé, fut incapable de se taire comme à son habitude et provoqua l’autre type. Le gars chercha à le frapper, mais lui-même tenait à peine sur ses pieds. Il bascula et s’écrasa tête première au sol. Techniquement, on ne pouvait pas dire qu’il s’était vraiment battu, mais il ne voyait pas le mal à enjoliver un peu la situation. Après tout, c’était son unique fait de guerre. À le voir, on devinait qu’il n’était pas du genre à sortir les poings. « Puis-je savoir ce que l’autre à fait pour te provoquer? J’imagine que tu ne te promènes pas dans la rue, prêt à cogner le premier dont la tête ne te revient pas. » Sinon, il l’aurait probablement frappé depuis longtemps! Un problème de gestion de la colère, peut-être? En posant ses questions, Andrew essayait de cerner la personnalité d’Ollie. Il devra impérativement en discuter avec son père. Il voulait ses impressions sur ce monsieur Gallagher et pour quelles raisons il pensait que son fils serait en mesure de l’aider.
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
ÂGE : vingt-sept ans (04.08) STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours. MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères. LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs POSTS : 432 POINTS : 730
TW IN RP : suicide, dépression, violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : (03)harleen #1 › olive › andrew › cleo #2 › connor #1
olliwood #1 › oh good god, i'm tongue-tied, i'm a landslide when you move. hey, girl, with your head in the clouds, i wanna love you. wrapped up in her again, i was starting to spin a record i can't pause, an all-time heroine with an angel's skin and a human's flaws
cleo #2 › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
RPs TERMINÉS : (2024)jo #1 › cleo #1AVATAR : paul mescal CRÉDITS : fassylovergallery (avatar), kreacher1x1 (gif signa & profil) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse) PSEUDO : paindep INSCRIT LE : 29/05/2024
Il a bien du mal à comprendre pourquoi l’avocat semble faire tout un plat d’une histoire qui ne mérite aucun débat. Certes, ce n’est pas la première fois qu’Ollie termine en détention, mais il n’allait pas en faire tout un drame malgré tout. C’est une décision probablement méritée, cela dépend seulement des points de vue de chacun. De son opinion, les flics ont exagéré et en même temps… Si on lui demandait son avis, il donnerait le même à chaque nouvelle arrestation. Tout simplement parce qu’Ollie ne pense pas être du mauvais côté. Il se bat, certes, il ne s’en est jamais caché, mais est-ce que cela fait de lui un grand criminel ? Est-ce que la justice n’a pas bien d’autres batailles à mener que celle-ci ? « Oui, j’ai lu. C’était dans les papiers que m’a fait signer notre copain du poste de police. » - « Il sait lire en plus ! » Bien sûr qu’il se moque, il jouera la carte de la provocation jusqu’au bout s’il le faut pour que l’avocat ne soit pas déçu du voyage. Ce serait dommage tout de même. « C’est possible, mais peu probable. Je sais qu’il y a certains policiers qui exagèrent, mais ne viens pas me dire qu’on t’a cueilli dans la rue sans raison valable. » À ses yeux, la raison ne se voulait pas réellement valable. Il ne s’agissait que d’une bagarre après tout. « Donc, c’est normal que, parce qu’il m’a reconnu, Chris ait choisi de me cueillir et que l’autre ait pu repartir tranquille ? » Il avait initié l’échange verbal, mais son adversaire avait asséné quelques coups également, comme en témoigne sûrement sa mâchoire qui doit avoir bleui depuis le temps.
L’avocat s’attarde sur la bouffe quand Ollie semble bien plus déterminé à s’amuser de la situation. C’est malgré tout avec politesse qu’il s’adresse à la serveuse, parce qu’il connaît la merde que ça peut être de se retrouver dans ce genre de job où les clients n’ont, bien souvent, aucune considération. Finalement, son attention se reporte sur son avocat du jour. « Puis-je savoir ce que l’autre a fait pour te provoquer ? J’imagine que tu ne te promènes pas dans la rue, prêt à cogner le premier dont la tête ne te revient pas. » - « C’est vraiment mal me connaître. » Qu’il affirme dans un sourire provocateur, parce que c’est la seule chose qu’il sait faire. « Il l’avait mérité, crois moi. » Il n’a pas spécialement envie de se justifier, mais le fera si l’avocat continue à insister. Se penchant sur la table, il observe l’homme qui lui fait face. « Sérieux, t’as pas mieux à faire qu’un petit outrage à l’ordre public ? » Ils ont déjà statué sur le fait que la soirée de l’avocat a été écourtée à cause de lui. « Genre des causes qui en vaillent vraiment la peine, comme un père qui passe ses gosses à tabac ou un dealer qui vend de la merde à des mineurs ? » Ollie sera toujours en colère contre la justice pour s’attarder sur des histoires sans conséquences, mais jamais pour les causes qui comptent réellement.
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Andrew McKinley
ÂGE : 33 ans. Il est né le 31 octobre 1990. SURNOM : Andy pour les intimes STATUT : Célibataire et incapable de s'engager MÉTIER : Avocat POSTS : 95 POINTS : 320
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Andrew essayait simplement de comprendre l’homme qui se tenait en face de lui. Ce n’était pas la première grand-gueule à croiser son chemin. Il en était une lui-même. Ainsi, les petites remarques cinglantes ne l’impressionnaient plus et s’il voulait le faire mordre à l’hameçon, Ollie devra y mettre plus d’effort. « Donc, c’est normal que, parce qu’il m’a reconnu, Chris ait choisi de me cueillir et que l’autre ait pu repartir tranquille? » Selon le rapport qu’Andy avait lu, Ollie aurait initié l’agression et l’autre aurait été bien amoché par les poings de son client. La police l’avait laissé repartir, car les agents ne voyaient aucune raison de le retenir contrairement à ce que semblait penser son client. « Si vous croyez avoir été arrêté injustement, nous pouvons porter plainte pour violence policière et faire ouvrir une enquête. Ce n’est pas simple comme procédure, mais si vous pensez avoir un bon dossier, je peux vous représenter. En fait, je vous représente déjà, vous n’avez qu’à me donner le feu vert et j’entame les procédures. Chris sera confiné à son bureau le temps de faire la lumière sur cette histoire et il ne vous embêtera plus. J’ai toujours eu un faible pour les affaires qui touchent la déontologie. » Le point de vue d’Ollie n’était qu’une version de l’histoire, mais s’il se sentait lésé d’une quelconque façon, son travail était de le représenter.
C’était intéressant de voir Ollie interagir avec la serveuse lorsqu’elle vint prendre leur commande. En s’adressant à elle, il était poli et respectueux à l’opposé du ton qu’il employait avec lui. Il avait donc du mal avec les figures d’autorité. Il ne leur faisait pas confiance sans doute parce qu’à plusieurs reprises, des gens en position d’autorité lui avaient causé des préjudices. Bon, Andrew était loin de penser qu’Ollie soit dans la réalité un agneau incompris, il avait visiblement un problème d’attitude, mais il commençait à mieux le comprendre. « C’est vraiment mal me connaître. Il l’avait mérité, crois moi. » « Alors, expliquez-moi ce qui est arrivé. Mon job, c’est de te défendre. Si l’autre gars mérite d’être arrêté, j’ai besoin de cette information pour aller voir Chris et lui rappeler de faire son boulot correctement. » La serveuse revint avec leurs boissons. Andrew en profita pour boire quelques gorgées. « Sérieux, t’as pas mieux à faire qu’un petit outrage à l’ordre public? Genre des causes qui en vaillent vraiment la peine, comme un père qui passe ses gosses à tabac ou un dealer qui vend de la merde à des mineurs? » Andrew s’esclaffa. « Je t’ai dit que j’étais avec quelqu’un avant qu’on m’appelle pour te faire sortir? » Son sourire s’élargit. « La question n’est pas de savoir si j’ai quelque chose de mieux à faire, je pense que la réponse est évidente, mais c’est mon travail et j’ai l’intention de bien le faire même si vous ne me facilitez pas la tâche. » L’instant d’après, on leur apportait leur repas. Ça sentait vraiment très bon et Andrew commença à manger avec appétit. « Quant aux causes plus importantes… Je voue ma carrière à aider les gens, pas pour la gloire. Sans rentrer dans les détails, je m’occupe beaucoup des victimes d’abus, des gens qui ont du mal à être représentés dans le système judiciaire, beaucoup de membres de la communauté LGBTQ. J’ai aussi un certain pourcentage de mon temps qui va à l’aide juridique. Je suis l’avocat commis d’office pour ceux qui ne peuvent pas se permettre de payer un avocat. Là, j’avoue, je peux en voir de toutes les couleurs. » Andrew se redressa sur sa chaise, le regard fixé sur Ollie. « Êtes-vous en train d’essayer de me dire que vous ne valez pas suffisamment la peine pour que je m’occupe de vous? Parce que si c'est le cas, permettez moi d'en douter. »