ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
Ash avait perdu un temps fou à se poser des questions, alors que la personne qui était la plus importante dans sa vie se trouvait juste à ses côtés. Le regardant du coin de l'œil, alors qu’il conduisait le même véhicule qui leur avait permis de se rencontrer pour la première fois, il était toujours totalement et complètement en admiration devant la beauté de son visage. Il ne pouvait pas voir l’entièreté des traits de son compagnon, mais il s’imaginait son grain de beauté qui trônait en haut de son sourcil, chaque trait d’expression qui se dessinait sur sa peau, la petite cicatrice vis à vis son sourcil gauche et ses cheveux noirs bouclés qui ornaient son front. Un tout petit grain de beauté se situait également à la naissance de sa chevelure. Rien que penser à mettre sa main dans ses cheveux lui donnait des frissons. Sa main était toujours en contact avec la sienne et l’anglais la serra davantage, la rapprochant de son genou. Depuis qu’ils s’étaient retrouvés, il ne pouvait plus s’empêcher de le toucher. Il détaillait encore et encore son corps, enregistrant chaque détail. Même lorsqu’il était en sa présence, il n’y avait que lui dans son esprit. Izan était son oxygène et il se considérait chanceux de pouvoir respirer le même air que son compagnon. Il y avait un an de cela, Ash ne pouvait pas s’imaginer que le faire entrer dans son uber allait les mener jusqu’à ce moment précis. Ils en avaient parcouru du chemin. Ils s’étaient aimés, brisés, ressoudés et maintenant, ils se redécouvraient. Et Ash avait bien envie de partir sur de bonnes bases. Il souhaitait qu’ils aient de nouveaux souvenirs, encore plus parfaits que les précédents et que plus jamais il n’y ait d’ombre sur leur relation. Ils allaient s’aimer profondément pour le restant de leur vie, mais également dans la vie suivante et ainsi de suite. Ash avait toujours été terre à terre, mais depuis qu’il était avec Izan, il croyait au destin et aux âmes sœurs. L’hispanique était la sienne et il ne le laisserait jamais filer. Il avait même l’impression de le connaître depuis toujours, ou bien même dans une autre vie? Parfois, même il se disait que possiblement Izan et lui tombaient amoureux l’un de l’autre dans tous les univers. Cette pensée le fit sourire.
« à quoi penses-tu? » demanda l’anglais avant d’embrasser la main qui était dans la sienne. Les paysages de la ville défilaient devant ses yeux. Ils étaient encore et toujours dans leur petite bulle, là où personne ne pouvait les atteindre. Ash aurait aimé pouvoir y rester pour l’éternité. Cette dernière les protégeait contre vents et marées, mais la réalité finissait toujours par les rattraper. En l'occurrence, on avait rappelé à Izan que le concours « cleveland international piano competition » approchait à grand pas. De ce que Ash avait compris, c’était qu’il avait intérêt à performer là-bas. Il eut un petit soupir triste bien malgré lui. Il n’appréciait pas toute la pression que son label lui mettait sur les épaules et ce, même s’il avait signé pour cela et que c’était sa vie depuis toujours. Quand est-ce que Izan prendrait soin de lui? Il semblait au bord du précipice, mais Ash ferait tout en son pouvoir pour le garder sur Terre et lui servir de bouclier contre l’adversité. D’ailleurs, il n’avait pas hésité à lui dire « oui » pour l'y accompagner. Ash souhaitait plus que tout être là pour l’homme de sa vie. Il sentait également qu’il aurait besoin de lui. Sans le vouloir, il serra un peu plus fort sa main dans la sienne. « je crois qu’on arrive bientôt. » Ce n’était pas encore le temps de penser au fameux concours. Aujourd’hui, ils étaient là pour s’amuser à l’endroit même où ils avaient eu leur premier rendez-vous qui n’en était pas tout à fait un au départ. En plein milieu de la fête foraine, la Grande Roue trônait fière et solide dans l’immensité de Brisbane. Même si Ash avait toujours le vertige, étonnamment cela restait son endroit préféré de toute la ville. Il s’agissait de l’emplacement précis où ils avaient échangé leur premier baiser et l’endroit même où Ash était définitivement tomber sous le charme d’Izan. « je suis heureux d’être ici avec toi! » Ils n’y avaient pas remis les pieds en un an, alors ce moment était bien significatif pour eux. Et cette fois-ci, ils étaient bien que tous les deux prêts à reprendre leur histoire à neuf, sans que les ténèbres ne viennent gâcher leur lumière.
crédits gif/willowsallen, codage/idril
Dernière édition par Asher Thornhill le Dim 25 Aoû 2024 - 5:16, édité 1 fois
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1313 POINTS : 2180
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Qu’importe la médisance de certains, Izan est resté un moment sur son petit nuage après ses retrouvailles avec Asher, sans véritablement chercher à savoir si leur réconciliation remplissait la satisfaction de ses proches ou non : il n’a pas informé ses ami.e.s dans le but d’obtenir leur approbation (autant le dire tout de suite, il s’en contrefout), mais simplement pour qu’ils ne l’apprennent pas de la bouche d’autrui. Pour autant, il n’est pas totalement aveugle à l’idée qu’il fait un pari risqué et il a bien conscience que cette histoire lui a déjà coûté deux ruptures qui l’ont sacrément abîmé ; mais en amour, il ne sait pas faire l’économie sur ses engagements et encore moins sur ses sentiments, Izan, et il sait très bien que son coeur ne sera jamais plus capable d’aimer de la même façon qu’il aime l’homme qui se tient à ses côtés en cet instant. On peut lui reprocher, oui, mais doit-il vraiment se défendre d’une faute qu’il ne contrôle pas ? Il y a-t-il une jauge que l’on peut appliquer aux sentiments ? Une quelconque échelle capable de mesurer l’intensité ? Une espèce de formule mathématique qui voudrait qu’on soustrait les erreurs de l'autre à l’amour qu’on lui porte pour savoir si, oui ou non, se battre en vaut encore la peine ? Car l’amour qu’il lui voue est comparable à un flingue chargé qu’il a déposé entre ses mains en lui faisant promettre de ne pas appuyer sur la détente ; il lui a déjà tiré deux fois dessus, Ash, mais cela ne l’empêche pas de prier pour qu’il arrête. Mais il arrête maintenant, n’est-ce pas ? Un peu perdu dans ses pensées, qui oscillent entre le concours à venir et son histoire d’amour qui tente de se réparer, il ne réagit pas vraiment lorsque ses doigts, captifs entre ceux de son compagnon, sont guidés vers son genou, concédant volontiers un peu plus son bras pour suivre le mouvement en laissant son regard s’échapper à travers la fenêtre de sa portière, en rêvant peut-être de pouvoir filer aussi librement que le vent qui se faufile entre les branches dégarnies, invisible, insaisissable et muet, semant la poussière de sa tristesse et soulevant les feuilles mortes qui siègent aux pieds des arbres pour signer une révolte que personne ne peut empêcher. « à quoi penses-tu? » dehors, le vent continue de fuir en tourbillonnant contre la vitre comme pour l’appeler, mais il s’en détourne pour porter ses billes mordorés sur le visage de son homme, qui embrasse la surface de sa main en lui arrachant un sourire de grande tendresse, si bien que même son coeur s’émeut de la douce affection qui lui est offerte. ’’Au concours.’’ dire qu’il pensait en être épargné avec le succès de son nouvel album, c’est plutôt raté ’’Si je perds…’’ il préfère ne pas finir cette phrase, et il appuie plutôt l’arrière de son crâne contre le dossier de son fauteuil en mordant cruellement l’intérieur de sa joue, expédiant un peu de sa nervosité presque maladive par ce geste anxieux. Il sait très bien ce qu’il se passera s’il perd : l’on remettra en cause toute sa carrière en disant qu’il est sur le déclin, et qu’il ferait mieux de composer pour les autres, maintenant. Puisque c’est ce que l’on attend des prodigues, n’est-ce pas ? Qu’ils brillent sans jamais s’éteindre, sans jamais faiblir, sans jamais chuter. Il est facile de faire luire sa lumière quand on est une étoile isolée mais, ce concours réunis les meilleurs pianistes du monde entier ; c’est à l’étoile qui brillera le mieux, et il n’est pas certain d’être celle-là, Izan. Heureusement, l’idée que son homme l’accompagne le rassure un peu, puisqu’il sait que l’amour de Ash ne dépend pas de sa victoire ou de sa défaite, et cette simple pensée le pousse à serrer davantage sa main dans la sienne. « je crois qu’on arrive bientôt. » hochant son menton de haut en bas en fermant très brièvement les yeux, il tente d’émietter ses pensées corrosives pour se concentrer sur cette journée, loin des batailles musicales, loin du tumulte, de la pression et des angoisses. Il n’y a que le chagrin qu’il ne peut pas laisser derrière lui mais, qui sait, il pourra peut-être le perdre au détour d’un manège ? C’est la grande roue qui attire instantanément son regard, et la vision de cette dernière soulève une rafale de nostalgie qui étire discrètement un côté de sa bouche, comme s’il se retrouvait plongé presque un an en arrière. S’il avait su… Est-ce qu’il serait quand même monté dans cette voiture ? Probablement que oui. « je suis heureux d’être ici avec toi! » - ’’Moi aussi…’’ caressant la peau lisse et douce de sa main à l’aide de son pouce, il lui adresse un petit sourire complice avant de se détacher lorsque la voiture s’immobilise enfin sur une place de parking. ’’Je veux des bonbons !’’ qu’il lance avec malice en sortant de la voiture, balayant rapidement les alentours d’un regard circulaire avant d’attirer Ash contre lui, ses deux mains entourant son visage pour qu’il vienne déposer un baiser sur ses lèvres, n’étant visiblement toujours pas lassé de l’embrasser — il ne le sera jamais, comme si chaque baiser partagé leur permettait de renouer, de se retrouver, de ne pas se perdre davantage ’’On fait l’impasse sur le train fantôme ?’’ de mémoire, ils n’ont que trop peu apprécié la dernière expérience, et il glisse sa main dans celle du guitariste pour entrelacer de nouveau leurs doigts, l’entraînant à sa suite vers l’entrée du parc, en se remémorant, presque par petites vagues suaves, leur première conversation. Ce devrait être un jour joyeux, puisque malgré les épreuves, malgré les séparations, malgré les blessures, un an plus tard, ils sont de retour sur les lieux de leur rencontre en étant ensemble. Mais malgré la conviction profonde d’être là où il devrait être, l’une de ses pensées néfastes échappe à la sélection qu’il tente d’appliquer à ses idées et, se détachant des autres, vient s’imposer devant ses yeux comme un voile de tristesse qu’il ne parvient pas à déchirer : s’il assimile ce lieu à quelque chose de romantique, c’est tout de même ici qu’il a été embarqué dans un triangle amoureux sans même le savoir. Il sent son coeur s’ébrouer à cette pensée mais, il encaisse en continuant de sourire et de tenir sa main dans la sienne, puisqu’il ne compte pas refaire le procès de l’anglais aujourd’hui ; il l’a déjà acquitté, mais il ne s’est pas défait lui-même de la peine qu’on lui a imposé. Ça viendra. Peut-être.
crédits/willowsallen
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
Il n’y avait pas de mots pour décrire le bonheur que Ash ressentait à chaque moment qu’il passait dans le même espace que son compagnon. Il se fichait bien de ce que le reste du monde pouvait penser de leur réconciliation. Il n’y avait qu’eux qui comptaient. Ils étaient ensemble et il ne laisserait plus personne se mettre au travers de leur chemin qui les menait au bonheur. Certes, il y avait eu quelques embûches dont la confrontation qu’il avait eu avec Samuel, mais l’entourage d’Izan allait finir par comprendre que Ash ne traiterait plus jamais l’homme de sa vie comme un deuxième choix. Il n’avait aucune intention de le blesser à nouveau. Ils allaient finir par comprendre que leur couple était sérieux et qu’ils étaient heureux ensemble. Ils étaient tout simplement faits l’un pour l’autre et depuis qu’ils s’étaient ressoudés, Ash se sentait à nouveau entier. Ash osa un regard franc vers son compagnon avant de reposer ses yeux verts sur la route. Il se demandait à quoi il pouvait penser, lui qui semblait très loin de lui en ce moment. Son regard doré semblait perdu dans les paysages qui défilaient à toute vitesse. Cela inquiétait Ash qui ne pouvait se résoudre à le voir ainsi. Izan revint cependant vers lui lorsque Ash embrassa sa main et il lui fit un sourire empli de tendresse avant de lui répondre qu’il pensait au fameux concours. Les semaines qui allaient suivre allaient être difficiles pour lui et Ash allait essayer du mieux qu’il le pouvait de le garder ancré dans la réalité. Il essayait de se montrer calme et surtout, apaisant. Tous ses gestes envers son compagnon étaient d’une douceur absolue pour lui éviter le moindre stress lorsqu’il était à ses côtés. ’’Si je perds…’’ commença à dire son pianiste, mais le restant de ses mots se perdirent au loin. L’anglais ne dit rien, mais décida plutôt de caresser le dos de sa main avec son pouce dans un geste qui se voulait rassurant. Il y avait bien des enjeux dans le résultat de ce concours, mais le pire d’entre eux, était la santé d’Izan. Il avait tellement peur que son compagnon ne sombre dans l’épuisement professionnel. Il espérait que tout se passe bien, mais dans tous les cas, il sera là pour lui. Il serait toujours là pour sa personne préférée au monde. « je suis avec toi. » Il lui fit un tendre sourire. Non seulement, il serait physiquement là pour le concours, mais son esprit allait être également présent à ses côtés lorsqu’il allait être sur scène. « toujours» ajouta-t-il. Il caressa l’anneau qui était à son doigt pour se rappeler qu’il ne s’agissait toujours pas d’un rêve. Izan était réel, il était à ses côtés et il l’aimait. Et Ash était avec lui, il était éperdument amoureux de lui et Izan était toute sa vie.
Le guitariste réalisa qu’ils étaient presque arrivés et justement, la fête foraine était bien là, au même endroit où elle se trouvait il y a un an presque jour pour jour de cela. Ash signifia à son âme sœur qu’il était heureux d’être de retour à cet endroit précis, là où tout avait commencé. ’’Moi aussi…’’ Izan eut le même geste tendre qu’Ash eut avec lui quelques instants plus tôt. Cette marque d’affection signifiait beaucoup pour eux et pour l’anglais, cela le faisait toujours sourire un peu bêtement. ’’Je veux des bonbons !’’ Un sourire immense étira les lèvres d’Ash lorsqu’il sortit de sa voiture pour aller immédiatement retrouver Izan sur la terre ferme. Ce dernier l’attira tout contre lui pour entourer son visage de ses mains pour finir par déposer un baiser sur ses lèvres. Ash ne se lasserait jamais de ces moments. Le goût des lèvres de son compagnon rendait ses jambes légèrement molles et son odeur le rendait un peu fou. ’’On fait l’impasse sur le train fantôme ?’’ « tu m’enlèves les mots de la bouche! » Il était soulagé de ne pas réitérer l’expérience. Après tout, cela n’avait pas été la meilleure de leurs idées. « on va tout de suite chercher des bonbons cette fois-ci. » lui mentionna-t-il avant de lui faire un clin d'œil. Un Izan rempli de sucre était un Izan heureux et tout ce que Ash souhaitait, c’était qu’il sourit et oublie tous ses soucis. La main l’une dans l’autre, ils se dirigèrent vers l’entrée et la fête foraine les accueille à grand coup de rire d’enfants et de sourires des plus grands. « Un endroit où je ne voudrais pas faire l’impasse, c’est la Grande roue. La dernière fois, je n’ai pas pu admirer le paysage de la ville. Je n’avais que toi en tête et je n’ai rien pu admirer d’autre que ton visage tout près du mien. » Il sentait que c’était important de lui dire qu’à partir de ce moment précis dans le temps, son esprit n’allait que retourner sans cesse vers Izan, qu’il se lèverait le matin en ne pensant qu’à lui et que le soir avant de se coucher, il n’allait penser qu’à lui à nouveau. Ash savait que probablement une partie des pensées de son compagnon revenait vers les ténèbres, même s’il n’en montrait rien. Mais en haut de la grande roue, ils n’avaient été que tous les deux, toujours. « qu’as-tu en vie de faire cette fois-ci pour commencer? auto tamponneuse? Arcade? je te laisse choisir! » et il eut un immense sourire. « je sais pas si je te l’ai dit encore aujourd’hui, mais tu sais que j’ai de la chance de t’avoir dans ma vie? » et il alla déposer un baiser tendre au coin de sa mâchoire, un des endroits préférés du visage de son compagnon.
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Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1313 POINTS : 2180
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
« je suis avec toi. toujours. » qui se répercute à ses oreilles avec douceur, comme la promesse évidente que tout ira pour le mieux désormais, que le pire est derrière eux et qu’ils seront (sont) assez forts pour affronter ce que l’avenir leur réserve. La perspective d’avoir son homme à ses côtés durant tout l’évènement du concours lui confère un sentiment de sécurité ô combien précieux puisqu’il sait que, là-bas, personne ne lui fera de cadeau. L’enjeu n’est pas seulement de tomber du piédestal qu’il occupe depuis de longues années, jouissant de l’attribut glorieux du prodigue qui réussit tout ce qu’il entreprend, raflant les prix au nez des concurrents qui, bien que forcés de reconnaître son talent, ne doivent pas le porter dans leur coeur ; qu’on se le dise, il n’a pas que des amis, Izan, et son caractère peu affable ne l’aide pas vraiment à se faire apprécier de ses pairs. Mais décidant d’abandonner ces sombres pensées dans l’habitacle de la voiture, il referme la portière pour attirer son compagnon contre lui, ses deux mains glissant sur ses joues lisses avant de chuter contre sa gorge, ses pouces caressant tendrement le contour ciselé de sa mâchoire tandis que ses lèvres recouvrent les siennes dans un baiser suave, qui tente peut-être d’étouffer quelques idées tortueuses qui ne veulent pas le quitter, malgré tous ses efforts pour les dissoudre. L’on pourrait croire qu’il se fourvoie avec l’idée du pardon, mais il n’est plus vraiment question de la clémence qu’il accorde ou non aux erreurs de son compagnon, puisqu’il a bien emprunté la voie de la réconciliation avec l’intention d’abandonner toute sa rancoeur, mais elle n’était pas la seule à lui tenir compagnie durant son périple ; maintenant, il lui faut quitter la tristesse liée à toutes les questions qu’il n’ose pas poser, par peur des réponses qu’on pourrait lui donner. Ne pas savoir lui semble plus facile que d’affronter la vérité, même si les interrogations le clouent sur place en l’empêchant d’avancer « tu m’enlèves les mots de la bouche! » il remonte légèrement ses épaules en souriant avec amusement, détaillant attentivement le beau visage de son compagnon en faisant chuter ses mains jusqu’à ses hanches, dans le seul but de prolonger le contact physique qu’ils partagent « on va tout de suite chercher des bonbons cette fois-ci. » glissant sa main dans la sienne, ils mélangent leurs doigts sans attendre tout en lui rappelant, d’une voix presque boudeuse ’’La dernière fois, t’as pas voulu que j’en prenne…’’ les rires et les exclamations des enfants lui semblent être un écho lointain lorsqu’ils passent les grilles de l’entrée, ses yeux balayant le décor familier avant de s’arrêter sur le morceau de grande roue qu’il aperçoit entre deux manèges, étant presque aussitôt assailli par une sensation qu’il ne connaît que trop bien ces derniers temps, mais qu’il obtient généralement lorsqu’il se trouve derrière son piano ; il a un soulèvement de coeur qui est provoqué par une forme de dégoût de chagrin, l’indigestion de la vérité lui faisant, un court instant, froncer les sourcils et détourner le regard vers un stand de tir. « Un endroit où je ne voudrais pas faire l’impasse, c’est la Grande roue. » il l’avait anticipé alors il n’est pas franchement surpris, mais il tourne plutôt de nouveau son menton vers Ash en caressant sa main à l’aide de son pouce « La dernière fois, je n’ai pas pu admirer le paysage de la ville. Je n’avais que toi en tête et je n’ai rien pu admirer d’autre que ton visage tout près du mien. » entendre qu’ils n’étaient pas trois, dans la nacelle, ce jour-là, ça le soulage d’un poids qui pesait sur son être et, surpris d’entendre très précisément des mots qui viennent l’apaiser, il dévisage son interlocuteur en plissant légèrement ses paupières, sans douter de la sincérité de ce dernier. Il n’est même pas tenté de remettre en cause ce qui vient d’être dit, préférant se noyer dans la certitude qui atténue la brûlure de ses tourments, en même temps qu’elle le conforte dans l’idée que la magie de leur première rencontre et de leur premier baiser n’a pas a être corrompue. Il veut continuer à chérir ce souvenir, comme l’évidence même qu’ils étaient destinés l’un à l’autre. « qu’as-tu en vie de faire cette fois-ci pour commencer? auto tamponneuse? Arcade? je te laisse choisir! » resserrant inconsciemment sa main autour de celle de son homme, il se rapproche même de lui en se sentant bien plus léger, débarrassé du poids morne que lui imposait la vision faussée de cet endroit ’’Ça existe encore, les jeux d’Arcade ? J’étais super fort au Air Hockey, j’ai peut-être pas tout perdu.’’ n’étant pas sûr du projet, il regarde machinalement à droite et à gauche pour déterminer quel côté emprunté, choisissant plutôt la droite et, si, c’est curieusement le chemin où se trouve le stand de bonbons, c’est simplement un heureux hasard « je sais pas si je te l’ai dit encore aujourd’hui, mais tu sais que j’ai de la chance de t’avoir dans ma vie? » difficile de savoir si ce sont les mots ou le baiser qui le fait le plus sourire, mais il adoucit considérablement l’expression de son visage en guidant sa main libre contre les côtes de son homme, ne pouvant pas résister à l’envie d’échouer un nouveau baiser contre ses lèvres, sans nul doute excessivement amoureux de la moindre parcelle de son être ’’Je ne sais pas si je te l’ai déjà dit aujourd’hui mais, tu sais que je t’aime ?’’ ses yeux soufflant une caresse doucereuse pendant quelques secondes, il l’attire finalement contre lui pour le serrer contre son torse, sa bouche se faisant mutine quand elle vient murmurer à son oreille, d’une voix espiègle : ’’Ce qui ne m’empêchera pas de te foutre une raclée.’’ songeant qu’il faut peut-être le déstabiliser un peu avant — sait-on jamais qu’il ait perdu de sa superbe au jeu, il penche son menton pour déposer un chaste baiser à la naissance de sa gorge, n’éveillant aucun soupçon jusqu’à ce que ses dents, dans un geste aussi rapide que furieusement taquin, mordille ce petit morceau de peau sensible pendant quelques secondes. ’’C’est parti ?’’ il le demande d’un air totalement innocent une fois qu’il a redressé sa nuque, esquissant un sourire hautement malicieux tandis qu’il abandonne sa main pour se positionner de l’autre côté de la table de Air Hockey, attrapant son poussoir en se penchant légèrement au-dessus de la surface de jeu, sans le quitter des yeux, avec des étincelles joueuses dans le regard. ’’Prêt, mon amour ?’’
crédits/willowsallen
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
’’La dernière fois, t’as pas voulu que j’en prenne…’’ Leurs doigts étaient entrelacés et Ash caressa d’instinct la paume de sa main. « c’est vrai… je me souviens. mais je me souviens aussi que je t’avais dit que tu pourrais en prendre plus tard. On ne voulait pas être encombré de sacs dans les manèges. » mentionna Ash en venant embrasser sa joue. Mais aujourd’hui, cela ne le dérangeait pas le moins du monde. Le seul fait de voir un sourire sur les lèvres de son compagnon suffisait à le remplir de bonheur. Ash aurait voulu protéger Izan contre le monde entier. S’il l’aimait à la folie, ce n’était rien en comparaison de son désir infini de le voir heureux. L’hispanique était doué pour cacher ses émotions et bien que l’anglais avait une facilité à interpréter celles d’autrui, celles d’Izan représentaient parfois un défi. Lorsqu’il grattait une surface, il y avait souvent une autre couche juste en dessous. Mais cela n’avait jamais fait peur à l’anglais qui aimait toujours en découvrir plus sur son compagnon. Chaque aspect de sa vie était important pour lui et lorsque son pianiste le laissait en découvrir une nouvelle partie, il n’en était que plus heureux encore. Aujourd’hui, ils suivaient les mêmes pas qui avaient mené à leur premier baiser, mais également, ce qui leur avait permis d’être ce qu’ils étaient aujourd’hui. Ash était déterminé à le faire sentir comme la personne la plus importante au monde, pour qu’il en oublie le monde extérieur qui pouvait s’avérer bien cruel. Ils n’étaient que tous les deux dans leur univers. L’anglais crut important de le mentionner à voix haute lorsqu’il parla de la grande roue. Lorsqu’il y était monté en compagnie d’Izan pour la première fois de sa vie, ce dernier lui avait fait voir un monde nouveau et lorsque leurs lèvres s’étaient touchées pour la première fois, leur bulle avait commencé à se former. À partir de ce moment, Izan était devenu son univers. Il se levait le matin en pensant à son pianiste, chaque seconde de son existence tournait autour de l’homme de sa vie et le soir, lorsqu’il s’endormait dans ses bras, ses dernières pensées allaient encore vers Izan. Probablement que dans ses rêves, il pensait même toujours à lui. Ash essayait de lui signifier à chaque moment qu’ils passaient ensemble. Son regard plongé dans le sien, il crut voir une lueur de soulagement transparaître, ce qui lui valut un sourire attendri. Voir les nuages se disperser tranquillement au-dessus de la tête de l’amour de sa vie n’avait pas de prix.
Son attention se porta de nouveau sur ce qui l’entourait, même si Ash ne pouvait pas détourner le regard bien longtemps de son compagnon. Le sentir se rapprocher de sa personne ramenait la chaleur en lui, comme un baume sur son cœur. ’’Ça existe encore, les jeux d’Arcade ? J’étais super fort au Air Hockey, j’ai peut-être pas tout perdu.’’ le questionna son pianiste tandis que leurs pas se dirigeaient vers le stand de bonbons, même si leurs pas menèrent plutôt vers un autre endroit. « je pense bien que oui. » lui dit l’anglais en haussant les épaules, mine de rien. Probablement que son pianiste allait le voir comme un défi? Ah Izan et les défis… Ash eut un immense sourire amusé à cette pensée et, bien sûr, ce sentiment de bien-être fut accentué par la caresse au niveau de ses côtes. ’’Je ne sais pas si je te l’ai déjà dit aujourd’hui mais, tu sais que je t’aime ?’’ Ash savait qu’ils étaient en public, mais à chaque fois qu’il était avec Izan, c’était comme si le restant du monde n’existait pas. Il ferma les yeux quelques secondes lorsque les lèvres de son compagnon vinrent murmurer ’’Ce qui ne m’empêchera pas de te foutre une raclée.’’ à son oreille avant de venir déposer un baiser à la naissance de sa gorge, un geste peut-être anodin pour Izan, mais qui donnait des frissons à Ash qui avait bien du mal à se contrôler. « je n’ai aucun doute là-dessus… » arriva-t-il cependant à prononcer avant que les dents de son pianiste vienne lui mordiller la peau. Alors là, cela suffit à le déstabiliser totalement et il eut du mal à reprendre pied dans la réalité. ’’C’est parti ?’’ ce qui fit sourire bêtement Ash qui acquiesça de la tête avant de le laisser aller se positionner de l’autre côté de la table. ’’Prêt, mon amour ?’’ Ash eut un petit rire. « oui… oui… » avant de lui faire un clin d'œil. Peut-être que par désir de montrer à Izan qu’il était doué à quelque chose, il avait peut-être omis de lui mentionner qu’il était en fait très doué au Air Hockey. Lorsque son compagnon était venu chez ses parents, il n’avait pas mis les pieds au sous-sol. Cet endroit était sacré pour son père et lui. Ils avaient tous les jeux de table ou presque et ils étaient très doués aux jeux de société également. S’il n’avait pas les échecs en commun, ils avaient au moins cela. « ça va mon coeur? » demanda-t-il après quelques minutes. « on peut arrêter si tu veux? » Il lui fit un petit sourire amusé. « mon père semble bien sérieux comme ça, mais il est encore plus doué que moi. tu devrais voir le sous-sol chez mes parents. Ma mère est découragée… » Il alla du côté d’Izan pour aller enlacer sa taille. « si tu veux, je te montrerai la prochaine fois. mes parents sont toujours amoureux de toi, tu sais? tu es comme leur troisième enfant. des fois, quand je parle à ma mère au téléphone, elle me parle de toi pendant une bonne quinzaine de minutes avant que j’aie pu placer un seul mot. si moi, je serai un Da Silva, toi, tu auras toujours ta place chez les Thornhill. » Ash alla déposer un baiser au coin de sa mâchoire avant de lui murmurer un énième « je t’aime », parce qu’il ne pourrait jamais arrêter de le faire.
crédits gif/willowsallen, codage/idril
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1313 POINTS : 2180
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
« c’est vrai… je me souviens. mais je me souviens aussi que je t’avais dit que tu pourrais en prendre plus tard. On ne voulait pas être encombré de sacs dans les manèges. » fronçant ses sourcils au-dessus de ses yeux qui glissent lentement sur le côté, il cligne plusieurs fois des paupières avant de demander, exagérément sérieux ’’C’est qui ce « on » ?’’ ne résistant pas à l’envie de sourire avec malice, il glisse sa paume libre contre la hanche de son homme, dans un besoin de conservation puisqu’il est encore bien trop marqué par leur (trop) longue séparation pour admettre la plus minuscule distance entre leurs deux corps ’’J’en voulais et t’as dit non, c’est ça, la vérité. J’ai été d’ailleurs beaucoup trop docile, j’me demande pourquoi…’’ oh non, il sait très bien pourquoi, et la réponse est bien évidente lorsqu’on voit avec quelle affection sans borne il le considère, ses iris caressant la peau de son visage avant qu’il ne lève légèrement son menton pour effleurer le bout de son nez à l’aide du sien. Mais la tendresse ne s’éternise pas face à la rivalité que provoque le jeu, et même la tentative de corruption d’Izan ne l’aide pas à rafler la victoire puisque, il s’en rend compte bien assez vite, son compagnon a dû obtenir un doctorat en Air Hockey dans le plus grand des secrets ’’Tu te fous de moi ?’’ qu’il lui demande entre deux ricochets de rire désabusé, un sourire déconfit mais néanmoins amusé trônant sur ses lèvres alors qu’il secoue son menton de gauche à droite, bien surpris de l’affaire, il est forcé de reconnaître qu’il ne l’avait pas vu venir, ce talent caché « ça va mon coeur? » - ’’Pas du tout’’ qu’il lance d’une voix désespérée avant de faire une petite moue, n’ayant que trop peu d’attrait pour la défaite mais « on peut arrêter si tu veux? » il en a encore moins pour le déshonneur ’’Jamais de la vie ! À vaincre sans péril on triomphe sans gloire ça te dit quelque chose ?’’ il ne sait plus qui a prononcé cette phrase célèbre mais il est presque sûr que c’était un mauvais perdant comme lui. N’ayant cependant pas d’autres choix que d’admettre la victoire de son homme, il le suit du regard lorsqu’il se rapproche de lui, affichant une moue tout à fait déçue et presque boudeuse tandis que ses mains s’appuient sur le bord de la table. ’’T’as triché, c’est tout.’’ parce qu’il ne peut définitivement pas perdre sans une excuse comme celle-ci, n’est-ce pas « mon père semble bien sérieux comme ça, mais il est encore plus doué que moi. tu devrais voir le sous-sol chez mes parents. Ma mère est découragée… » pivotant sur son propre corps pour faire face a Ash, il affiche une mine sincèrement étonnée puisque, il est clair qu’il n’imaginait pas franchement son beau-père en amateur de ce type de jeux ’’Sérieux ? Je croyais que ton père étant branché Échecs et Dames, moi.’’ ses paumes glissant sur les avants-bras de l’anglais jusqu’à atteindre ses coudes, il plonge son regard dans le sien en oubliant presque qu’il vient de perdre — presque, il ne faut pas abuser non plus « si tu veux, je te montrerai la prochaine fois. mes parents sont toujours amoureux de toi, tu sais? tu es comme leur troisième enfant. des fois, quand je parle à ma mère au téléphone, elle me parle de toi pendant une bonne quinzaine de minutes avant que j’aie pu placer un seul mot. si moi, je serai un Da Silva, toi, tu auras toujours ta place chez les Thornhill. » les mots atténuent considérablement l’expression de son visage, qui se voile progressivement de douceur. À ne pas s’y méprendre, Izan aurait très bien compris que leurs ruptures et leurs déchirures entachent considérablement l’image de leur couple auprès de Noam et Emerie mais, entendre qu’ils sont bien plus bienveillants et indulgents que ne le seront jamais ses propres parents, ça le soulage et le réconforte à la fois. Il réalise alors, presque avec une tristesse éphémère, qu’ils sont l’un et l’autre le reflet des parents qu’ils ont eu ; Asher est aussi patient, doux et compréhensif que ceux qui l’ont élevé, et Izan est aussi intransigeant, égoïste et impassible que les siens. ’’Ça me touche… Tu sais que je les aime beaucoup aussi.’’vraiment beaucoup ce n’est pas une révélation puisqu’il n’a jamais caché son affection pour eux, mais le prononcer à voix haute le perturbe un peu. Il aurait aimé, dans le fond, avoir des parents aussi affables. « je t’aime » ses mains remontant le long de ses bras pour glisser sur ses épaules et dans son dos, il lui offre un sourire suave avant de fondre un baiser amoureux sur ses lèvres, en oubliant le reste du monde pendant quelques secondes.
‘’J’aime pas trop ce jeu, finalement…’’ qu’il marmonne, le mauvais perdant, en effectuant une grimace qui fronce le milieu de son nez pendant qu’il attire son homme en dehors de la salle-des-jeux, sa main logée dans la sienne. Profitant de ce lien entre leurs deux corps, il l’attire d’abord au stand de bonbons pour acheter un paquet qui rend tous les enfants présents jaloux — évidemment, avant de l’entraîner vers la grande roue. ’’Cette fois, j’aurais mes bonbons.’’ et il ne perd pas de temps avant de piocher dans son sachet pour en glisser quelques uns entre ses lèvres, jusqu’à ce que ce soit leur tour de monter dans la nacelle colorée. S’installant presque à la même place que la première fois qu’ils sont venus, il lui lance un regard espiègle en haussant légèrement ses sourcils sur son front, demandant un ’’Tu veux que je te reparle de Beethoven qui est devenu sourd à 27 ans ?’’ leur nacelle se met à grincer avant d’entamer son ascension, sans que cela n’inquiète le pianiste, même s’il se souvient que son homme n’apprécie que moyennement d’être perché là-haut. ‘’La dernière fois, ça t’a bien aidé, avoue tu t’es dit « c’est sûr qu’avec lui j’vais jamais m’ennuyer »’’ s’amusant volontiers de cette conversation qui a conduit à leur premier baiser — il ne savait pas que la surdité de Beethoven pouvait offrir un tel bonheur, il se rapproche de son homme pour lui tendre le sachet de bonbons en regardant rapidement autour d’eux. ’’Des compositeurs sourds, j’en ai plusieurs en stock. Tu me demandes et j’te raconte l’histoire.’’
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tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
« c’est vrai, je te l’accorde, c’était moi et moi seul. Mais j’ai appris depuis le temps que ce n’est jamais une bonne idée de te refuser des bonbons. Et je te préfère largement plein de sucre que boudeur… » mentionna Ash avec un sourire amusé. « mais oui, tu étais étrangement docile cette fois précise… ce devait être mon charme indéniable! » ou le fait incontesté qu’ils se plaisaient déjà à ce moment précis dans le temps. Ils avaient véritablement eu le coup de foudre l’un pour l’autre. Cela n’arrivait qu’une fois dans une vie de trouver son âme sœur et Ash ne remercierai jamais assez le destin d’avoir fait en sorte que l’homme de sa vie entre dans son uber en lui proposant de partir à l’aventure tous les deux. Sans ça, ils ne seraient jamais allé à la fête foraine, ne se seraient jamais embrassés et ne seraient jamais tombés amoureux l’un de l’autre. Cela aurait été tragique et ils ne l’auraient jamais su. La vie faisait parfois bien les choses et leur histoire continuait désormais de s’écrire et il n’y avait qu’eux qui en étaient les dignes écrivains. Ash se mordit la lèvre inférieure lorsque son compagnon fut forcé de constater que lui aussi était doué en air hockey. Il avait bien caché son jeu et il n’en était pas peu fier. Mais même si la satisfaction de voir la surprise sur les traits de son homme était une petite victoire en soit, il savait qu’il ne fallait pas trop abuser. Ash savait pertinemment que Izan était mauvais perdant, mais pour l’instant, son sourire éclairait la pièce et son rire sonnait doux à ses oreilles. L’anglais le regardait à chaque occasion, détaillant chaque trait de son visage amoureusement. Il ne savait pas détacher son regard de son homme, ce qui lui valut quelques fois de faire des erreurs dans son jeu. Mais la victoire restait tout de même à lui. Ash lui proposa cependant d’en arrêter là pour qu’il ne creuse pas davantage sa tombe. ’’Jamais de la vie ! À vaincre sans péril on triomphe sans gloire ça te dit quelque chose ?’’ L’anglais eut un haussement d’épaule et alla tout de même à sa rencontre de son côté de la table de jeu. « tu sais que tu es vraiment beau quand tu fais la moue… » mentionna Ash avec un doux sourire. ’’T’as triché, c’est tout.’’ L’anglais le toisa du regard quelques secondes, mais choisit de ne rien dire. Il ne savait pas comment il était possible de tricher à ce jeu, mais il allait céder à son explication pour sa défaite. Il avait appris à ne pas s’en faire avec des détails comme ceux-là. Heureusement pour Izan, Ash n’était pas mauvais perdant. Le carnage que ce serait s’il était aussi compétitif que lui! Une personne qui l’était cependant était son père. ’’Sérieux ? Je croyais que ton père étant branché Échecs et Dames, moi.’’ - « oui, il le cache bien, n’est-ce pas? » Ils en avaient passé des heures et des heures chaque dimanche à jouer à des jeux ensemble. D’ailleurs, il faudrait qu’ils se refassent une soirée bientôt. L’occasion ne s’était pas présentée depuis bien deux mois à présent. Noam allait sûrement lui poser des questions sur Izan, tout comme sa mère le faisait à chaque fois qu’elle l’appelait. Ash ne put s’empêcher d’en glisser un mot à son homme. Il souhaitait également le rassurer sur le fait que ses parents l’appréciaient toujours autant et qu’ils le considéraient comme leur fils. Emerie avait bien compris qu’il avait besoin de l’amour d’une mère et s'il lui laissait la possibilité, elle allait agir comme tel avec lui. ’’Ça me touche… Tu sais que je les aime beaucoup aussi.’’ Ash lui fit un doux sourire. « oui, je sais, et je crois bien qu’ils le savent aussi. » Les lèvres de son compagnon vinrent rejoindre les siennes et tout comme lui, le monde autour d’eux disparut. ‘’J’aime pas trop ce jeu, finalement…’’ « on fait autre chose alors… » lui dit Ash en se laissant entraîner en dehors de la salle d’arcade.
Leur prochain arrêt fut sans grande surprise le fameux stand de bonbons, puis ils se dirigèrent vers la grande roue. Ash la regarda avec une légère appréhension, puisque la peur des hauteurs ne l'avait pas quitté en un an. Cependant, avec Izan à ses côtés, il savait que rien n’était en mesure de lui faire peur. Ils s’installèrent ensemble dans la nacelle, celle-là même peut-être qu’ils avaient pris il y a un an désormais. ’’Tu veux que je te reparle de Beethoven qui est devenu sourd à 27 ans ? La dernière fois, ça t’a bien aidé. avoue tu t’es dit « c’est sûr qu’avec lui j’vais jamais m’ennuyer »’’ Ash le regarda amusé, tentant tant bien que mal de ne pas serrer la mâchoire tandis que la nacelle s’élevait dans les airs dans un tintamarre de grincements. « non, en effet, avec toi, je ne m’ennuie jamais. » et il prit sa main libre dans la sienne tandis que les paysages changeaient et que les manèges disparaissaient sous leurs pieds. Bien qu’il avait bien envie cette fois de regarder l’immensité de la ville de Brisbane, il n’y avait qu’Izan qui l’intéressait. Il l’observait du coin de l'œil manger ses bonbons. « en fait, je me souviens parfaitement de l’histoire que tu m’as raconté. je veux dire, je ne me souviens pas des mots exacts, mais je sais que tu avais plongé ton regard dans le mien et j’en avais oublié où j’étais. tu as réussi avec cette simple histoire, bien que très intéressante, à faire en sorte que je sois plus courageux. tu as réussi à me calmer juste en touchant à mes mains comme ça avec tes doigts. » et Ash se mit à reproduire exactement ce que Izan avait fait pour l’étourdir à un tel point qu’il en avait presque oublié comment il s’appelait. « mon cœur battait la chamade dans ma poitrine comme cela. » continua l’anglais en prenant sa main dans la sienne pour venir la déposer sur son cœur. Il tourna sa tête vers lui et plongea son regard dans le sien. « je me demandais même comment il était possible que tu ne l’entendes pas. » il eut un petit sourire amusé à cette pensée. « et j’avais vraiment envie de t’embrasser. » Il approcha son visage du sien, mais il savait désormais qu’il n’avait plus besoin de sa permission pour s’exécuter. « à ce moment précis, le temps s’est vraiment arrêté et j’ai vraiment saisi ce que voulait dire un coup de foudre. » Encore aujourd’hui, le temps semblait s’être arrêté. Ash ne souhaitait qu’il ne reparte jamais, qu’ils soient tous les deux pour l’éternité tout en haut de la grande roue, dans leur bulle d’amour et que rien n’y personne ne vienne plus jamais les déranger. « j’ai su à ce moment-là que je ne pourrai plus jamais te laisser partir. je savais que notre histoire ne faisait que commencer. Je ne veux plus qu’on soit simplement Ash et Izan, je désire que nous ne fassions plus qu’un, pour toujours…. » La vérité, c’était que Ash n’avait absolument rien préparé. Il n’avait pas d’anneau de promesse cette fois-ci, pas de banderole, pas de possibilité de poser un genou sur le sol. Il n’y avait que des paroles d’amour et un désir absolu d’unir sa vie pour toujours à celle d’Izan. Il n’y avait pas de doute dans son esprit, pas de petites voix qui disaient que c’était trop tôt, qu’ils venaient tout juste de se remettre ensemble. Ash savait tout simplement. Il savait que Izan était l’homme de sa vie et qu’il l’aimerait pour tout le restant de la sienne.
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Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1313 POINTS : 2180
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Les bonbons, achetés en surnombre pour compenser la privation de la dernière fois, amortissent considérablement la défaite cuisante qu’il vient d’essuyer, et même s’il accuse sans vergogne son homme d’avoir honteusement triché, Izan sait, au fond, qu’il n’en est rien. Mais le pianiste préférerait offrir tout son sachet de sucreries au premier enfant envieux qui croise son chemin plutôt que de le reconnaître alors, il embarque le-faux-tricheur dans la grande roue, sans aucune intention de se venger même s’il le sait être porteur d’un vertige particulièrement marqué ; mais Ash n’a-t-il pas dit lui-même qu’il était tout bonnement hors de question de faire l’impasse sur cette attraction si symbolique dans leur histoire ? Après tout, c’est ici que tout a commencé entre eux et, même s’ils n’ont officialisé leur relation qu’un mois plus tard, il est difficile de nier que c’est dans une nacelle parfaitement semblable à celle-ci que leur idylle est née, et y retourner un an après, toujours ensemble, lui paraît être une merveilleuse façon de poursuivre ce qu’ils ont commencé à écrire tous deux. « non, en effet, avec toi, je ne m’ennuie jamais. » l’étirement de ses lèvres est à la fois amusé et complice, et il incline faiblement son menton sur le côté en le regardant avec une infinie douceur, accolant sa paume contre la sienne en faisant glisser son pouce contre son jumeau, comprenant peut-être que l’altitude commence à nourrir l’anxiété de son compagnon. ’’Ça va ?’’ qu’il demande sans moquerie aucune dans la voix, préférant se rapprocher de lui en tendant le paquet de bonbons en sa direction pour le divertir mais, son homme a d’autres intentions au bout des lèvres « en fait, je me souviens parfaitement de l’histoire que tu m’as raconté. je veux dire, je ne me souviens pas des mots exacts, mais je sais que tu avais plongé ton regard dans le mien et j’en avais oublié où j’étais. tu as réussi avec cette simple histoire, bien que très intéressante, à faire en sorte que je sois plus courageux. tu as réussi à me calmer juste en touchant à mes mains comme ça avec tes doigts. » se laissant surprendre par l’étonnante douceur de son discours qui désarme aisément l’écorce de la malice pour ne laisser que l’émotion pure et brute, qui ne peut que rarement s’exprimer chez le pianiste qui tient maladivement à en garder les secrets, Izan délaisse progressivement son paquet de bonbons pour se concentrer sur les paroles et les caresses de son anglais, qui réactivent quelques images préservées qui sortent du lac gelé de ses souvenirs afin de le replonger un an en arrière. À cette même place et avec le même homme, dans ce décor familier qui lui fait réaliser à quel point ils se sont battus pour sauver leur histoire, pour être encore là, ensemble. « mon cœur battait la chamade dans ma poitrine comme cela. » présentement, c’est le sien qui bat un peu vite, et il n’envisage même pas ce qui va suivre « je me demandais même comment il était possible que tu ne l’entendes pas. » il partage son sourire amusé comme un écho suave, sans pouvoir détacher ses yeux de son visage, véritablement bercé par l’histoire, leur histoire, qu’il lui raconte « et j’avais vraiment envie de t’embrasser. » - ’’Je crois même que tu l’as fait…’’ il le souffle contre ses lèvres en n’ayant aucun intérêt pour le paysage qui doit pourtant être grandiose, puisque toute son attention est entièrement portée sur l’homme qui se tient à ses côtés, et dont il admire chaque trait avec une ferveur amoureuse qui n’a jamais faibli, en dépit de tout ce qu’il a voulu faire croire au monde entier, mais surtout à lui-même. Une vie toute entière ne serait sans doute pas suffisante pour qu’il cesse de l’aimer. « à ce moment précis, le temps s’est vraiment arrêté et j’ai vraiment saisi ce que voulait dire un coup de foudre. » sa main étant toujours l’heureuse prisonnière des caresses de son homme, l’autre, encore libre, allonge son bras sur le contour de la nacelle tandis que ses doigts viennent se déposer sur la joue du guitariste, caressant quelques secondes sa peau effleurée par le vent frais qui souffle en hauteur. Il a un peu oublié le reste, Izan, exit le concours qui le stresse et toute la panoplie de mauvaises choses qui alourdissent son coeur et ses pensées ; il n’y a plus que lui, il n’y a plus que eux. « j’ai su à ce moment-là que je ne pourrai plus jamais te laisser partir. je savais que notre histoire ne faisait que commencer. Je ne veux plus qu’on soit simplement Ash et Izan, je désire que nous ne fassions plus qu’un, pour toujours… » ses iris ancrés dans ceux de son homme, il rehausse le coin de ses lèvres en clignant plusieurs fois des paupières, sans trop savoir comment interpréter sa dernière sentence ; la phrase reste suspendue dans l’usine de sa compréhension pour y être décortiquée, mais ce sont finalement ses yeux qui vont chercher des réponses en traversant le visage de son interlocuteur, comme si la vérité se trouvait à mi-chemin entre sa bouche et ses sourcils. Sous l'idée ô combien mélodieuse qui commence à germer, il sent que les battements de son coeur s'emballe en sonnant le clairon de l'impatience amoureuse, une euphorie tenue muette parce qu'il parvient à la bâillonner, n'étant même pas sûr d'avoir correctement interprété ce qui lui a été dit ‘’Qu’est… Qu’est-ce que tu veux dire ?’’ sans perdre le sourire tout à fait indomptable qui refuse de quitter ses lèvres, il maintient le contact visuel en continuant de caresser le coin de sa mâchoire avec son pouce, incapable de ne pas se projeter dans ce qu’il croit comprendre et, même si on lui dira que c’est tout bonnement précipité et inconscient, il sait déjà que c’est un engagement qu’il est prêt à prendre, avec lui, la promesse de toute une vie à ses côtés.
crédits/willowsallen
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Dernière édition par Izan Da Silva le Mar 27 Aoû 2024 - 9:25, édité 1 fois
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
Il n’y avait plus aucune trace d’une quelconque peur dans les traits du guitariste. L’anxiété l’avait quitté dès qu’il s’était assis aux côtés de son pianiste dans la nacelle. Il n’avait aucunement prévu son discours, comme il n’avait jamais prémédité cette soirée là où il avait donné pour la première fois l’anneau jumeau à Izan. Il s’était simplement laissé guidé par son instinct. Son père lui avait dit lorsqu’il les lui avait remis entre les mains plusieurs mois auparavant qu’il saurait le moment venu. Il saurait le remettre à la personne qui comptait le plus pour lui. Ash lui avait souri parce qu’il savait déjà à ce moment-là qu’un jour il passerait l’anneau au doigt d’Izan. Il savait qu’un jour, ils en seraient là à ce moment précis. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’était les épreuves qu’ils allaient traverser par la suite. Dans son coeur, Ash n’avait pourtant jamais abandonné cette idée. Elle était ancrée dans son esprit et elle ne le quittait jamais. Ses parents lui avaient montré ce qu’était l’amour véritable. Il avait grandi dans l’idée qu’un jour lui aussi vivrait un amour si grand qu’il souhaiterait se marier. Bien qu’il soit déjà tombé amoureux par le passé, ce n’était rien en comparaison des sentiments qu’il éprouvait pour Izan. Il n’y avait pas assez de mots dans le dictionnaire pour exprimer à quel point il était amoureux de son pianiste. ’’Ça va ?’’ Ash l’avait regardé et lui avait fait un oui de la tête avant de commencer le discours qui lui brûlait les lèvres. Les mots s’enchaînaient avec une infinie tendresse, ses doigts dansant sur la main d’Izan, reproduisant presque les mouvements exacts qui avaient servi à le rassurer lorsqu’ils étaient montés dans la nacelle de la grande roue la première fois. Les gestes et leurs rythmes étaient gravés en lui. Il ne savait pas comment il était possible pour lui de s’en rappeler, mais son cerveau avait l’étonnante faculté d’enregistrer des détails importants comme ceux-là dans son inconscient. Il se souvenait par la suite qu’il lui avait mentionné l’envie de l’embrasser et la réponse d’Izan le fit sourire. « oui, je me souviens parfaitement de ce baiser, je me souviens qu’il était doux au départ, parce que je ne savais pas si tu m’embrasserais en retour, mais mon cœur s’est emballé lorsque j’ai senti que c’était réciproque. je n’avais jamais ressenti cela pour quiconque dans ma vie. je veux dire… mon cœur s’est littéralement embrasé. » il eut un petit sourire à cette pensée. Dans sa vie, Ash avait eu quelques baisers, bien évidemment, tout comme probablement Izan également, mais aucun n’avait compté comme celui-là. « Il s’agissait d’un baiser inattendu suite à une rencontre inattendue, mais je crois au destin depuis que je suis à tes côtés. Je sais que cette journée-là il y avait une bonne raison pour que tu entres dans ma voiture, il y avait une bonne raison pour qu’on parte dans cette aventure-là. Et je sais maintenant que cette aventure n’était que le commencement de quelque chose de plus grand. » Si près de son visage comme cela, Ash sentait le souffle de son pianiste contre sa peau. Sa main libre vint caresser sa joue, ce qui confirma au guitariste qu’il n’allait aucunement cessé de parler. Il en avait visiblement beaucoup à dire et il n’aurait jamais l’envie d’arrêter de dire toutes ces choses à l’homme de sa vie. Il prit les deux mains d’Izan dans les siennes et caressa le fameux anneau jumeau de son pouce. « tu te souviens des promesses qui étaient rattachés à cet anneau? je t’avais dit qu’on allait construire une vie à deux dans l’honnêteté et le respect? Je t’avais dit aussi que ce n’était pas une demande en mariage, puisque à cet instant précis dans le temps, tu ne m’avais pas pardonné et tu n’avais plus confiance en moi. Mais je savais déjà que je voulais passer ma vie avec toi, je savais déjà que j’allais toujours être à toi. Même lorsqu’on était séparé, il n’y avait que toi, je ne pensais qu’à toi. Tu n’as jamais quitté mon esprit. » Il n’y avait pas de tristesse dans sa voix, seulement une forme distante de nostalgie. « j’espère qu’un jour j’aurai entièrement ton pardon. » ajouta Ash avec un doux sourire. Izan ne le lui avait jamais formulé verbalement, mais il avait tout de même l’espoir d’être sur la bonne voie. Cependant, cela n’allait pas l’arrêter. Il ne put s’empêcher de lui dire qu’il désirait plus que tout qu’ils ne soient plus seulement Ash et Izan. Il voulait qu’ils ne fassent plus qu’un pour toujours. Il s’agissait d’un sentiment naturel, comme s’il en avait toujours été ainsi. « je crois que nous deux, c’était inscrit quelque part que nos destins étaient liés. je t’aime d’un amour infini et je sais que tu es ma destinée. je sais que je veux vivre ma vie à tes côtés. je sais que je veux vieillir à tes côtés. je sais que je veux fonder une famille à tes côtés. je ne me verrai pas vivre toutes ces choses avec une autre personne que toi. tu es et tu seras pour toujours ma personne. »
Les mots restèrent suspendus quelques secondes dans les airs et l’expression de son pianiste changea quelque peu, puisqu’il se demandait peut-être où il voulait en venir. Ash ne pouvait cependant pas se défaire de son regard. Il était perdu dans ce dernier, dans l’immensité de leur univers. Bien que la nacelle soit l’endroit parfait et qu’il s’était imaginé maintes et maintes fois faire sa grande demande dans la Grande roue, il n’avait pas prévu ne pas pouvoir se mettre à genoux, l’endroit n’étant pas aussi spacieux que dans ses souvenirs. Alors il n’y aurait que les mots qui l’accompagneraient, comme une douce mélodie parmi le bruit du vent et des cris de joie des enfants au sol. ‘’Qu’est… Qu’est-ce que tu veux dire ?’’ le sourire ne quitta ni les lèvres de son pianiste ni celles de Ash. « Izan Gabriel Mateo Da Silva, voudrais-tu faire de moi l’homme le plus heureux et comblé au monde et m’épouser? » Ses mots qui brûlaient ses lèvres depuis tant de temps s’étaient échappés avec la plus grande des sincérités et sur le ton le plus doux qu’il ait été donné d’entendre. Ash n’avait jamais été aussi certain de quelque chose dans sa vie. « tu es et tu seras pour toujours et à jamais la personne la plus importante dans mon cœur et dans mon esprit. Tu es mon âme sœur et je t’aime d’un amour qui ne pourra jamais s’éteindre. Tu es tout pour moi et je veux me donner coeur, corps et âmes à toi, pour toujours. » Pour Asher Thornhill, l'ultime accomplissement d'un tel amour et sa consécration était le mariage. Il s'agissait de la plus belle chose qui soit que cet engagement qui unissait pour toujours deux êtres qui étaient reliés par leur âme jusqu'à n'en faire qu'une.
crédits gif/willowsallen, codage/idril
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1313 POINTS : 2180
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Dire qu’il n’a pas commencé à spéculer dans l’intimité de ses pensées en effervescence serait mentir mais, incapable de statuer véritablement sur le message qui se cache derrière ces formules poétiques pour le moins mystérieuses, Izan détaille minutieusement l’expression de son interlocuteur en essayant de déloger le voile de l’énigme pour faire apparaître la vérité, sans réellement savoir ce qu’il espère entendre. Mais subjugué par la déclaration d’amour qui lui est faite, attaché à chaque flexion de cette voix masculine rehaussée par le sourire qui fait voyager le grain de beauté qu’Ash porte au coin de ses lèvres, attendrit par l’accent anglais qui souligne souvent la fin de ses mots, Izan l’écoute en le regardant d’une façon toute particulière, comme si son visage était le ciel étoilé de sa vie. « oui, je me souviens parfaitement de ce baiser, je me souviens qu’il était doux au départ, parce que je ne savais pas si tu m’embrasserais en retour, mais mon cœur s’est emballé lorsque j’ai senti que c’était réciproque. je n’avais jamais ressenti cela pour quiconque dans ma vie. je veux dire… mon cœur s’est littéralement embrasé. » il partage le même sourire à la fois doucereux et presque nostalgique de cette première rencontre qui allait devenir si déterminante dans leurs vies, et dont il se remémore les circonstances en se laissant bercer par cet enchevêtrement d’images et de sensations qui n’ont point fané avec le temps, puisqu’il a su les garder, précieusement, jalousement et soigneusement tout contre son coeur. La mémoire peut oublier, mais pas le coeur, non, jamais. « Il s’agissait d’un baiser inattendu suite à une rencontre inattendue, mais je crois au destin depuis que je suis à tes côtés. Je sais que cette journée-là il y avait une bonne raison pour que tu entres dans ma voiture, il y avait une bonne raison pour qu’on parte dans cette aventure-là. Et je sais maintenant que cette aventure n’était que le commencement de quelque chose de plus grand. » en caressant délicatement la courbe de sa mâchoire avec son pouce, il accompagne l’élocution de son homme d’un sourire appuyé et complice, étant secrètement envieux de la facilité avec laquelle Asher parvient à poser des mots sur ce qu’il ressent, le faisant avec une éloquence dont le pianiste se sait malheureusement dépourvu. Et même s’il éprouve un brin de culpabilité à ne pas savoir comment lui retourner la faveur de cette déclaration amoureuse, il se sait tout bonnement incapable de formuler des phrases aussi transparentes que doucereuses, qui sont à la fois caresses et baume pour celui qui les reçoit, et qui les accueille en les nommant avec le rang sacré des mots qu’on ne veut jamais oublier. Il convoque pourtant toute sa bonne volonté et la certitude de son amour sans borne pour celui qui capture ses mains dans les siennes mais, en baissant les yeux sur leurs phalanges confondues, il ne sait même pas comment entamer son propre recueil amoureux : voilà que, sans son piano, il a égaré sa poésie. « tu te souviens des promesses qui étaient rattachés à cet anneau? je t’avais dit qu’on allait construire une vie à deux dans l’honnêteté et le respect? Je t’avais dit aussi que ce n’était pas une demande en mariage, puisque à cet instant précis dans le temps, tu ne m’avais pas pardonné et tu n’avais plus confiance en moi. Mais je savais déjà que je voulais passer ma vie avec toi, je savais déjà que j’allais toujours être à toi. Même lorsqu’on était séparé, il n’y avait que toi, je ne pensais qu’à toi. Tu n’as jamais quitté mon esprit. » il se souvenait parfaitement des mots prononcés à la sortie de la galerie d’Aubrey, mais les entendre à nouveau ne le prive nullement du réconfort qu’ils évoquent, si bien qu’il presse ses lèvres dans un sourire presque amusé lorsqu’il relève ses longs cils vers son interlocuteur, lui répondant d’une voix presque basse, que le vent vient chahuter en y mêlant son propre murmure ’’Toi non plus… Même si je disais le contraire. Il n’y a toujours eu que toi.’’ ce ne sont que de pauvres et maigres syllabes données en comparaison au sublime témoignage amoureux qui lui est fait, il en a bien conscience, Izan, et il happe le coeur de sa lèvre inférieure en essayant de remettre les lettres de son lexique dans le bon ordre pour former des phrases tout aussi expressives que celles qu’il entend mais, rien. Ce n’est pas qu’il manque de sentiments, c’est plutôt qu’il ne sait pas quoi en faire verbalement : Izan est un silence qui déborde d’un amour infernal pour l’anglais, mais qui n’arrive pas à s’exprimer correctement. « j’espère qu’un jour j’aurai entièrement ton pardon. » instinctivement, il resserre ses mains autour des siennes en permettant à ses pouces de caresser les doigts courbés de son guitariste, en soutenant son regard comme pour lui dire de ne plus y penser ; il ne compte pas mentir en affirmant que tout est derrière eux puisque ce n’est pas le cas, mais il n’est plus alimenté par la colère et la rancoeur depuis leurs retrouvailles. Il ne ment pas quand il lui murmure qu’il l’aime, pendant qu’il l’embrasse ou qu’il le caresse, il ne triche pas non plus quand il se blottit tout contre lui la nuit, encore moins quand il le retient dans ses bras pour ne pas qu’il lui échappe ; il ne s’aveugle dans aucune simulation pour se faciliter la vie ou se bercer d’illusions, puisqu’il n’y a rien de plus vrai, de plus sincère et de plus naturel que l’amour qu’ils partagent.
« je crois que nous deux, c’était inscrit quelque part que nos destins étaient liés. je t’aime d’un amour infini et je sais que tu es ma destinée. je sais que je veux vivre ma vie à tes côtés. je sais que je veux vieillir à tes côtés. je sais que je veux fonder une famille à tes côtés. je ne me verrai pas vivre toutes ces choses avec une autre personne que toi. tu es et tu seras pour toujours ma personne. » c’est à cet instant précis que son coeur s’emballe et que ses pensées s’emmêlent dans un tourbillon de théories qui se mélangent comme un monticule de feuilles mortes bafoué par le vent de l’automne, et les rafales affolées passent jusque dans ses yeux qui papillonnent comme si cela pouvait permettre de désencombrer à la fois son esprit et sa vision, puisqu’il a la curieuse impression que quelque chose de pourtant évident lui échappe. Il ne comprend pas — ou alors, il croit comprendre mais il n’ose pas s’avancer, et le temps lui paraît infiniment long entre le moment où il le questionne et celui où il obtient une réponse, si bien qu’il a l’impression d’avoir passé une éternité toute entière dans cette nacelle « Izan Gabriel Mateo Da Silva, voudrais-tu faire de moi l’homme le plus heureux et comblé au monde et m’épouser? »il l’a dit et tout à coup, c’est presque comme un feu d’artifices intérieur qui explose à mille endroits à la fois, l’assommant d’émotions qu’il ne parvient pas tout à fait à endiguer puisqu’il est submergé par quelque chose qui ressemble à un bonheur euphorique, qu’il n’avait, jusqu’ici, jamais rencontré. Le ciel sombre de l’attente incertaine s’est éclairé d’un coup de foudre tel un baiser furieux, et il ne sait pas tellement où l’éclair a jailli mais il est presque sûr que c’est tout près de son coeur puisque celui-ci a d’abord manqué quelques battements avant de repartir à toute vitesse, lui coupant le souffle en même temps que les jambes. Il respire un peu trop vite - il le sait, tout comme il sait qu’il tarde à donner une réponse alors qu’il n’a même pas besoin de réfléchir pour statuer sur celle-ci, n’ayant aucune considération pour la prétendue précipitation ou impétuosité que l’on pourrait accorder à la brusquerie de cette demande, puisqu’il s’en moque des convenances, il s’en moque d’être raisonnable, il se moque de tout le monde et tout le reste sauf de celui qui est désormais son fiancé, et dont il tient toujours les mains en les serrant un peu trop fort et en entendant les nouvelles paroles que Ash prononce, mais qu’il n’écoute pas vraiment, Izan, puisqu’il est encore sur le coup de l’émotions grandioses qui finit par détacher ses lèvres dans un sourire beaucoup trop franc, beaucoup trop incontrôlable et surtout beaucoup trop heureux. Sous l’agitation euphorique qui règne dans son esprit chamboulé, le pianiste n’a pas tellement conscience que ses mains se sont mises à trembler en s’accrochant à leurs jumelles, ni même que la nacelle recommence à bouger sous les éclats joyeuses des voix autour d’eux, si bien qu’il lui semble nécessaire de rétablir un peu d’ordre et de calme dans son esprit sous peine d’être désormais incapable de construire une phrase simple, et c’est alors qu’il se rend compte que sa vue est étrangement brouillée, comme si on avait appliqué un voile humide sur ses yeux ’’C’est…’’ ne comprenant pas tout de suite tant sa clarté d’esprit est corrompue par la joie immense qu’il éprouve, il lui faut libérer l’une de ses mains pour l’apporter au coin de sa paupière afin d’effleurer ses longs cils quelque peu collés sous les perles salées s’étant échappées de celle-ci, récupérant l’empreinte des larmes au bout de son index afin de les considérer avec un étonnement presque invisible, puisque tout se passe derrière le froncement minime de ses sourcils ; il ne se rappelle même pas la dernière fois qu’il a pleuré, Izan. Il sait juste qu’il a très tôt appris à ne pas le faire, jusqu’à s’en croire tout bonnement incapable ; il faut croire que Ash répare tout ce qui a été détruit en lui.
Ne se préoccupant pas tellement de ce débordement d’émotions qui s’opère dans ses yeux, il reprend ses mains dans les siennes en entrelaçant leurs doigts, reportant toute son attention sur celui qui est et sera à jamais l’homme de sa vie. ’’Oui, Asher Maxwell Thornhill, je veux t’épouser.’’ leur union, leur amour, a élaboré présentement un sacrément géographique : ce n’est pas ici qu’ils ont décrété qu’ils allaient essayer de construire quelque chose ensemble mais, à cet endroit précis, avec cette vue imprenable sur la ville, devient soudainement le symbole de leur histoire, presque un lieu sacré, le temple des sentiments naissants qui ont été le présage d’un amour que rien ni personne ne pourrait détruire, et qui se concrétise à présent par l’engagement solennel qu’ils prennent l’un envers l’autre. ’’Je t’aime, si tu savais à quel point je t’aime…’’ il aimerait bien, lui, pouvoir décrire cet amour démesuré, infatigable et incurable, mais comme il n’est plus tellement capable de définir quoique ce soit, il l’approche plutôt pour pouvoir l’embrasser avec une force amoureuse qui déploie à quel point il est heureux, et à quel point il est irrévocablement amoureux de lui. Pour toujours.
crédits/willowsallen
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
Étaler ses sentiments comme cela au grand jour était facile pour le guitariste, parce qu’il avait toujours de la facilité à exprimer ses émotions. Il avait toujours été encouragé à le faire. On ne l’avait jamais empêché de parler un peu trop, on ne lui avait jamais interdit de pleurer et surtout, on ne l’avait jamais empêché d’être lui-même. L’anglais avait toujours été proche de ses émotions. Il ne s’était jamais caché pour pleurer et bien évidemment, il ne s’était jamais empêché d’être un grand romantique. L’anglais savait bien sûr que pour Izan, tous ses grands épanchements étaient difficiles vu comment il avait vécu son passé. Mais Ash pouvait parler pour deux, ils pouvaient exprimer ses sentiments pour deux. Tout au long de son discours, le guitariste observait avec attention tous les moindres changements dans le corps de l’homme de sa vie. Ash voyait tout l’amour qu’il avait pour lui et c’était suffisant. Qu’il ne puisse pas l’exprimer par des mots ne l’avait jamais dérangé, mais ses gestes parlaient souvent bien plus que des paroles prononcées. Sa main qui caressait sa mâchoire en était justement un et ce geste aurait dû déconcentrer le guitariste qui était enivré par le discours qu’il prononçait. Il n’avait désormais plus qu’un but en tête et bien qu’il ait une envie presque irrésistible d’embrasser son homme, ses lèvres étaient occupées par quelque chose d’encore plus important. « Il n’y a toujours eu que toi. » ces simples mots suffirent à lui réchauffer le cœur. Il se sentait bien avec Izan, en sécurité et il n’avait peur de rien. Il lui faisait ressentir des choses qu’il n’avait jamais ressenti auparavant. À ses côtés, il se sentait entier, comme s’il lui avait toujours manqué quelque chose et que désormais cette partie de son puzzle lui avait été restituée. Mais il ne sera cependant jamais entier à 100% tant et aussi longtemps que l’homme de sa vie ne lui aurait pas entièrement pardonné. Lorsque vint ce fameux sujet, Ash fut rassuré par le fait que Izan resserre ses mains autour des siennes, comme pour lui confirmer qu’il n’avait plus besoin d’y penser. Cependant, l’anglais était comme cela. Il n’allait pas arrêter jusqu’à ce que ce soit le cas à 100%. Il espérait que lorsqu’il serait devant l’hôtel, devant témoins, que son pianiste lui ait entièrement pardonné et que ce mariage serait le début d’une nouvelle partie de leur histoire et qu’elle ne serait plus tâchée des erreurs du passé. Il lui fit un doux sourire pour lui signifier qu’il avait compris.
Il voyait bien l’impatience se lire également sur les traits de son compagnon et il prononça enfin les mots qui allaient les changer de nouveau et à jamais. Si le temps s’était déjà arrêté, voilà que c’était les battements du cœur de Ash qui étaient désormais en suspens tant et aussi longtemps qu’Izan n’ouvrirait pas la bouche pour lui donner une réponse. Une chose à laquelle Ash ne s’attendait pas, c’était de voir couler sur les joues de son amoureux ce qu’il perçut comme des larmes de joie? Il s’agissait du plus beau des cadeaux. Savoir que ce qu’il lui disait le rendait heureux à un point fou qu’il arrivait à extérioriser ses émotions représentaient pour Ash tellement plus que toute autre réaction qu’il aurait pu avoir. Le pianiste entrelaça ses doigts entre ceux de l’anglais et fournit enfin sa réponse; ’’Oui, Asher Maxwell Thornhill, je veux t’épouser.’’ D’un seul coup, un immense sourire se dessina sur les lèvres d’Ash qui prit quelques secondes tout de même à réaliser que désormais Izan n’était plus seulement son amoureux, son âme sœur, sa personne, l’homme de sa vie, mais également son fiancé. fiancé Ce mot résonna en lui comme une caresse infini et les mots que son désormais fiancé prononça par la suite scellèrent définitivement leur engagement. ’’Je t’aime, si tu savais à quel point je t’aime…’’ Ash plongea son regard dans l’immensité du sien et vint essuyer les larmes qui perlaient sur les joues de son compagnon. « je sais, tu n’as pas besoin de le dire avec des mots, je sais. » Lui aussi, pleurait désormais, mais il n’y aurait plus jamais de tristesse dans son cœur. L’homme de sa vie lui avait fait le plus beau des cadeaux, il avait accepté d’unir son cœur avec le sien et ce, pour toujours. Le sourire sur les lèvres de Ash ne pourrait plus jamais s’éteindre et les battements de son cœur témoignaient de tout l’amour qu’il lui portait. Ash s’abandonna au baiser d’Izan avec la passion dévorante d’un cœur qui était comblé. Aujourd’hui était définitivement le plus beau jour de sa vie, de leur vie. « je t’aime. » Il ne voudrait plus jamais décrocher son regard du sien, mais étonnamment, il voulait aussi cette fois-ci regarder le paysage. Brisbane était magnifique dans les bras de l’homme qui allait partager sa vie pour toujours et il n’avait jamais remarqué à quel point la vue était splendide. Tout était étonnamment plus beau lorsqu'on se sentait aimé d'un amour aussi pure et véritable qu'était celui que partageait Ash et Izan.