ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you can't play on broken strings @Faith Palmer + Samuel Wellington lieu: résidences, west end
La première pensée qui te passe par la tête lorsque tu lis le prénom de Faith sur ton téléphone, c’est que tu es sûrement du pour un ménage des contacts dans ton téléphone. Ce n’est pas que tu gardais un mauvais souvenir de la jeune femme, ni même que l’on pouvait trouver des dizaines de numéros d’anciennes conquêtes dans ton téléphone. Non, de voir son nom s’afficher au sein de tes textos récents, entre ta fille et Anna te rappelait seulement qu’il y avait longtemps que tu n’avais pas fait un ménage quelconque, que tu avais pratiquement l’impression qu’une vie en entier s’était dessiné sous tes yeux depuis qu’Anna et Oscar faisaient partis de ta vie. Avec Delilah, ils étaient devenus ton centre, ta raison d’être et c’était un drôle de rappel que de devoir te souvenir de celui que tu étais avant, de toutes ces années que tu avais vécu sans la présence de la Constantine pour venir apaiser tes angles souvent trop rigides. Tu n’étais pas complètement changé toutefois, comme le prouvait tes réponses sûrement trop franches à Faith, mais au moins, tu étais certain de ne pas te retrouver au milieu d’une situation que tu n’avais pas envie de gérer. Un piano, tu savais faire. Faire face à quelqu’un qui avait des attentes différentes de ce que tu étais prêt à offrir? Pas vraiment. Vous vous étiez bien entendus sur ce point-là, Faith et toi, quand vos vies s’étaient croisés il y a quelques années de ça. Une histoire pas compliquée et sans attache, c’est ce dont vous aviez besoin tous les deux à ce moment-là. Quelque chose qui s’était effiloché avec le temps, sans conséquence et sans drame. Alors évidemment que tes pensées se dirigent automatiquement sur un rappel de ce qui vous avait lié autrefois. Tu aurais pu poser la question avec plus de délicatesse sans doute, mais tu n’étais pas connu pour faire dans la dentelle. L’aider pour son piano toutefois, tu pouvais faire, même si ça faisait deux ans que tu ne l’avais pas vu. Tu aurais pu lui donner le nom de quelques personnes, mais pourquoi lui envoyer quelqu’un qui allait lui charger quelque chose que tu pouvais faire facilement et gratuitement? Tu ne sais pas si c’était une bonne idée d’aller souper avec elle, mais comme tu étais seul ce soir, Anna ayant des cours et Delilah partie avec des amis, tu n’étais pas du genre à cracher sur un repas gratuit et un peu de compagnie en échange de ton aide. Comme tu le lui avais écrit, tu n’avais pas eu de mal à retrouver son appartement à West End, tes pas te menant nonchalamment jusqu’à sa porte d’entrée contre laquelle tu portas quelques coups pour lui témoigner de ta présence. « Ça fait longtemps. » Et peut-être finalement qu’il y a un peu de gêne dans l’air, alors que tu restes planté là, dans le cadre de porte, sans trop savoir où te mettre.
Faith Palmer
les démons endormis
ÂGE : Cinquante ans bien assumé (14.09.1973) SURNOM : Fay est ton surnom le plus couramment utilisé STATUT : L'anneau toujours autour de son doigt témoigne encore de la présence de Noah alors que Russell est maintenant dans son coeur et officiellement dans sa vie depuis un peu plus d'un mois. MÉTIER : Assistante sociale pour l'association Beauregard LOGEMENT : 243 Dornoch Terrace, un petit appartement dans le West End que tu as décoré façon pinterest POSTS : 302 POINTS : 80
TW IN RP : Grossesse adolescente :: Garde d'enfant retiré :: Maladie :: Suicide :: Alcoolisme :: Dépression GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Maman d'une petite fille. :: Elle travail dans un café et dans un club de strip-tease à partir de ses 18 ans. :: Ella est prise par la DPJ alors qu'elle n'a que 1 an. :: Déménage à Brisbane en 1994, sans sa fille. :: Fait quatre fausses couches et une grossesse ectopique entre 2001 et 2008. On doit lui retirer son utérus. :: Fait une dépression majeure et tombe dans l'alcool suite à son opération. :: Son mari se suicide suite à l'annonce d'un cancer du cerveau le 25 décembre 2019. :: Officiellement sobre depuis le 6 juin 2021.CODE COULEUR : Faith parle en deeppink RPs EN COURS : Russell I know that if we give this a little time, It'll only bring us closer to the love we wanna find. It's never felt so real, it's never felt so right #1#2#3#4
Ella There's a truth in all that pain I ain't facing. Guess that's why I do the things I do. I'm choosing my addictions over you. #1
Autumn Auntie, someone who loves like a mother, keep secrets like a sister and give great advice like a true friend. Like a mother but cooler. #1#2#3
you can't play on broken strings Faith Palmer + @Samuel Wellington lieu: résidences, west end
La veille de cette journée-là, elle avait tenté de s’asseoir à son piano, de laisser aller ses doigts pour laisser redescendre la tension qu’elle ressentait depuis qu’elle avait croisé Ella. Les paroles que sa fille lui avait dites lui avaient tellement fait mal qu’elle avait eu l’envie de retomber dans la bouteille, d’engourdir cette douleur si profonde et ne plus y penser pendant un bref moment. À la place, elle avait été à des réunions des alcooliques anonymes tous les jours et avait tenté de se remettre à son piano qu’elle avait abandonné depuis trop longtemps. Ce dernier était encore une fois désaccordé. Même si elle tentait de l’accorder du mieux qu’elle le pouvait, il perdait la justesse de ses notes aussitôt qu’elle arrêtait d’y jouer. À la place de la détendre, ça la mettait en colère et elle n’avait pas besoin de ces émotions négatives. Alors qu’elle était à son bureau cette après-midi-là, un nom lui vint en tête : Samuel. Cet homme avec qui elle avait partagé de l’intimité il y a quelques années de ça s’y connaissait bien dans les instruments de musique et il saurait probablement lui régler son problème. Bien qu’elle jouait extrêmement bien, elle ne connaissait rien de la mécanique de son instrument et elle ne voulait pas risquer de le briser en tentant de le réparer. Elle fut toutefois surprise qu’il lui réponde aussi vite qu’elle lui avait envoyé un SMS, tout comme elle avait été surprise de voir son nom encore dans le répertoire de son téléphone. Un sourire prit place sur ses lèvres lorsqu’elle vit son message. Est-ce que c'est une vraie demande, ou c'est une manière déguisée de demander un plan cul? Elle avait toujours apprécié ce côté tranchant de Samuel. Elle en avait eu besoin lorsqu’elle avait parfois eu envie de retourner boire alors qu’elle était sobre depuis plusieurs mois. Contente de pouvoir le revoir, avoir de ses nouvelles, elle l’invita à venir souper avec elle. Elle était seule, Russell ayant un engagement ailleurs. Ce serait une manière pour elle de le remercier de réparer son piano. Quelques coups sourds à la porte de son appartement lui firent attraper un linge pour s’essuyer les mains en se dirigeant vers son entrée. Lorsqu’elle ouvrit la porte, c’est un Samuel qui n’avait pas changé d’un poil qui se tenait devant elle. « Ça fait longtemps. » Un grand sourire étirait les lèvres de Faith. « Je ne compte plus les années. Allez, ne reste pas sur le pas de la porte ! » Elle se dépêcha de prendre place derrière son four pour brasser le poulet au beurre qui était en train de terminer de cuire. Elle avait déjà tout placé les assiettes et verres sur la table, la salade y prenait place également. « Je peux t’offrir eau pétillante, boisson gazeuse, eau plate ou encore un petit mocktail pamplemousse-tonic ? » Bien qu’elle ait été au début de sa sobriété, Samuel était bien sûr au courant qu’elle tentait d’arrêter de boire à l’époque. Elle n’avait pas d’alcool à lui offrir, mais elle était contente d’avoir plusieurs options sans alcool. Elle ferma le rond de son four et se dirigea vers la table pour prendre les deux assiettes, les apporter à son plat de travail et y déposer riz et poulet. [color=deeppink]« Ça t’ennuie si on commence par manger ? Comme ça on n’aura pas à faire réchauffer le tout. »[/color ] Et elle pourrait prendre de ses nouvelles par le fait même. Elle était curieuse de savoir avec qui il était désormais alors qu’il avait lui-même annoncé qu’il était en couple depuis un moment.
soulmate
Deux âmes ne se rencontrent jamais par hasard... Le hasard n'existe pas. Si on s'est rencontré alors sache que c'était prédestiné. Et si nos chemins sont amenés à se séparer, alors n'oublie pas, c'était écrit aussi...
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you can't play on broken strings @Faith Palmer + Samuel Wellington lieu: résidences, west end
Si tu te sentais légèrement mal à l’aise de te retrouver face à Faith, cette dernière ne semblait pas partager ton malaise et ça te rappelait exactement pourquoi elle avait su te plaire, ces quelques années en arrière. « Je ne compte plus les années. Allez, ne reste pas sur le pas de la porte! » Si Faith est plus vieille que toi de quelques années et que deux ans se sont écoulées depuis la dernière fois que tu l’as vu, on ne peut pas dire que le temps ait été mauvais pour la femme. Sans connaître tout de son passé, tu étais au courant que la Palmer combattait son alcoolisme du temps que vous vous fréquentiez, les tentations encore grandes à ce moment-là et si tu devais simplement juger sur son apparence actuelle, tu dirais qu’elle a vaincu ses démons, tant elle te paraît plus jeune et plus en santé qu’elle ne l’était il y a deux ans. Tu acceptes de la suivre à l’intérieur de l’appartement qui lui non plus ne semble pas avoir grandement changé dans les deux dernières années. « Je peux t’offrir eau pétillante, boisson gazeuse, eau plate ou encore un petit mocktail pamplemouse-tonic? » Sans te le confirmer en tant de mots, tu adores entendre qu’il n’y a aucun alcool de disponible dans l’appartement. Tu ne peux pas savoir sans lui demander si elle est sobre depuis tout ce temps, mais tu as envie de croire que oui. Tu as envie de croire que son teint plus lumineux et le sourire qui semble venir habiller son visage plus facilement est dû à ces changements. Non, elle n’a pas fait partie de ta vie très longtemps, mais ce n’est pas pour autant que tu ne lui souhaitais pas le mieux, même sans pouvoir le lui dire. « Une boisson gazeuse, c’est parfait, merci. » Elle est l’hôte parfaite, Faith, et tu ne peux t’empêcher de t’en vouloir pour les messages un peu brusques que tu lui as envoyé alors qu’elle avait réellement besoin d’aide pour son piano. Piano qui ne semble pas être la priorité de suite alors qu’elle s’attelle aux fourneaux, avec une recette qui sent assez bon pour te faire saliver. « Ça t’ennuie si on commence par manger? Comme ça on n’aura pas à faire réchauffer le tout. » Tu fais signe que non de la tête, lui offrant un léger sourire. « Tu sais, tu n’avais pas à te donner tout ce trouble pour moi. Ça m’aurait fait plaisir de simplement venir t’aider avec ton piano. » Même si maintenant que tu étais là, tu n’allais pas passer à côté de la chance de goûter à sa cuisine de nouveau, en plus d’avoir la chance de prendre de ses nouvelles. « Je peux faire quelque chose pour t’aider? » Tu lui demandes, tentant de te rendre utile pour mettre la table et servir le repas. « Je savais même pas que tu jouais du piano. » que tu ne peux t’empêcher de commenter alors que vous vous installez à la table joliment dressée par Faith, un léger sourire s’affichant sur ton visage. « T’as l’air bien. Qu’est-ce que tu deviens? »
Faith Palmer
les démons endormis
ÂGE : Cinquante ans bien assumé (14.09.1973) SURNOM : Fay est ton surnom le plus couramment utilisé STATUT : L'anneau toujours autour de son doigt témoigne encore de la présence de Noah alors que Russell est maintenant dans son coeur et officiellement dans sa vie depuis un peu plus d'un mois. MÉTIER : Assistante sociale pour l'association Beauregard LOGEMENT : 243 Dornoch Terrace, un petit appartement dans le West End que tu as décoré façon pinterest POSTS : 302 POINTS : 80
TW IN RP : Grossesse adolescente :: Garde d'enfant retiré :: Maladie :: Suicide :: Alcoolisme :: Dépression GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Maman d'une petite fille. :: Elle travail dans un café et dans un club de strip-tease à partir de ses 18 ans. :: Ella est prise par la DPJ alors qu'elle n'a que 1 an. :: Déménage à Brisbane en 1994, sans sa fille. :: Fait quatre fausses couches et une grossesse ectopique entre 2001 et 2008. On doit lui retirer son utérus. :: Fait une dépression majeure et tombe dans l'alcool suite à son opération. :: Son mari se suicide suite à l'annonce d'un cancer du cerveau le 25 décembre 2019. :: Officiellement sobre depuis le 6 juin 2021.CODE COULEUR : Faith parle en deeppink RPs EN COURS : Russell I know that if we give this a little time, It'll only bring us closer to the love we wanna find. It's never felt so real, it's never felt so right #1#2#3#4
Ella There's a truth in all that pain I ain't facing. Guess that's why I do the things I do. I'm choosing my addictions over you. #1
Autumn Auntie, someone who loves like a mother, keep secrets like a sister and give great advice like a true friend. Like a mother but cooler. #1#2#3
you can't play on broken strings Faith Palmer + @Samuel Wellington lieu: résidences, west end
Faith avait cette capacité à se sentir à l’aise avec les gens assez rapidement sans toutefois faire confiance aveuglément. Malgré le lien intime qu’elle avait entretenu avec Samuel, les hauts et parfois les bas qu’ils avaient eu ensemble, elle n’était pas gênée de l’avoir devant elle. Le SMS qu’il lui avait envoyé à savoir si c’était seulement pour coucher avec lui qu’elle faisait surface dans sa vie l’avait ébranlé, mais en même temps, elle savait qu’ils étaient maintenant sur la même longueur d’onde. Sa franchise l’avait parfois heurtée alors qu’ils se fréquentaient, mais elle lui avait souvent servie également alors qu’elle se battait avec l’idée de reprendre de l’alcool. Elle était à peu près sûre que s’il n’avait pas été présent, elle n’aurait jamais réussi à rester complètement sobre et elle lui en était reconnaissante, même si elle ne lui avait jamais dit. C’est d’ailleurs pourquoi elle agissait avec lui comme s’ils avaient toujours eu des contacts pendant les deux années où ils ne s’étaient pas vu. Elle sentait qu’il était moins à l’aise qu’elle, mais la quinquagénaire était à peu près sûre que ça viendrait rapidement. « Une boisson gazeuse, c’est parfait, merci. » Elle lui servit un verre de sa boisson bien froide et se fit par la suite son fameux mocktail composé de tonic, de jus de pamplemousse et d’une tranche de ce fruit. Rien de bien compliqué, mais ça lui avait souvent servit les fois où elle avait le goût d’un dry martini. Elle ferma les ronds de son four, prête à servir les assiettes. « Tu sais, tu n’avais pas à te donner tout ce trouble pour moi. Ça m’aurait fait plaisir de simplement venir t’aider avec ton piano. » Elle se retourna vers lui avec un sourire au visage. « J’avais déjà prévu de manger ça ce soir. Ça me fait juste plaisir que tu te joigne à moi. C’est ma manière de te remercier pour ton aide. » Elle savait que Samuel était quelqu’un de généreux et qu’il ne lui demanderait rien pour son travail sur son piano. De plus, Russell devait rester à la caserne ce soir et elle n’avait pas le goût de manger toute seule. Depuis qu’elle avait croisé Ella à son lieu de travail, ses pensées avaient tendances à devenir sombres et lourdes. Elle essayait de s’occuper le plus possible pour y échapper. « Je peux faire quelque chose pour t’aider? » Elle pointa les assiettes qui étaient déjà sur la table. « Apporte-moi les assiettes, je suis prête à servir. » Riz jasmin disposé dans le fond, poulet au beurre sur le dessus, la salade déjà sur la table, Faith n’avait pas perdu de temps. Elle s’assit à la table et prit une première bouchée de son repas, bien contente de ce qu’elle avait préparé. « Je savais même pas que tu jouais du piano. » L’instrument trônait dans le salon depuis bien des années, mais Faith ne lui avait jamais mentionné que c’était parce qu’elle jouait et qu’il ne faisait pas seulement office de décoration ou encore qu’il appartenait à Noah. « J’ai appris quand j’étais enfant, mais j’ai arrêté pendant bien des années. C’est probablement seulement un manque d'entretien, son problème en fait, mais autant je suis à l’aise d’en jouer, autant je ne suis pas bonne pour l’accorder et régler les problèmes mécaniques. » Elle avait tenté d’en jouer plus régulièrement dernièrement, mais elle se décourageait à chaque fois que les touches ne jouaient pas les notes de la bonne manière. « T’as l’air bien. Qu’est-ce que tu deviens? » Elle hocha la tête de haut en bas. Oui, elle avait l’impression que sa vie était maintenant sur les bonnes rails, même si elle se sentait parfois un peu chambranler suite à la discussion qu’elle avait eu avec Ella. « Il n’y a pas beaucoup de choses qui ont changé depuis la dernière fois qu’on s’est vu si ce n’est que j’ai fêté mes trois ans de sobriété en juin. Je travaille toujours pour l’association Beauregard. Et je suis en couple depuis quelques mois aussi. » Son sourire à la mention de Russell était beau à voir. Cet homme lui apportait beaucoup de simplicité et de soutien. Leur relation était encore nouvelle, mais il comptait tellement pour elle. « Mais parle-moi de toi ! Tu es en couple aussi que tu me disais ? C’est génial ! »
soulmate
Deux âmes ne se rencontrent jamais par hasard... Le hasard n'existe pas. Si on s'est rencontré alors sache que c'était prédestiné. Et si nos chemins sont amenés à se séparer, alors n'oublie pas, c'était écrit aussi...
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you can't play on broken strings @Faith Palmer + Samuel Wellington lieu: résidences, west end
« J’avais déjà prévu de manger ça ce soir. Ça me fait juste plaisir que tu te joignes à moi. C’est ma manière de te remercier pour ton aide. » Tu n’as encore rien fait, mais tu acceptes facilement cette forme de remerciement, l’odeur de la nourriture plus qu’agréable. Tu prends une longue gorgée de ton breuvage, amusé de la voir faire son mocktail qui semble tout aussi élaboré qu’un cocktail, sans ces liquides que Faith évite, ceux dont tu connais trop bien le poison pour les avoir vu faire leurs effets sur ton père qui s’est lui aussi perdu à cette addiction. Si tu ne sais pas ce qui advient de ton père aujourd’hui, si tu te fous bien de savoir s’il continue de pourrir sous l’alcool, tu ne peux pas en dire autant pour Faith et tu es heureux de voir qu’elle semble avoir gagné la bataille, sans jamais oser lui poser la question directement. Tu as tendance à être très franc de nature, mais tu sais tout de même faire preuve d’assez de savoir vivre et ne pas t’enquerir d’un tel sujet après à peine cinq minutes en sa compagnie. « Apporte-moi les assiettes, je suis prête à servir. » Elle te pointe du bout des doigts l’armoire où trouver les assiettes, en attrape deux que tu déposes sur la table avant de t’installer sur l’une des chaises alors qu’elle s’attarde à bien les remplir de riz et de poulet, avant que tu n’ajoutes un peu de la salade maison faite par la Palmer. Un repas bien meilleur que ce que tu te serais fait toi-même si tu avais été seul à la maison. Si ce n’était pas de ta fille, d’Anna et d’Oscar, tu aurais très certainement retrouvé ta diète d’antan, composé de pizza froide et de toast le trois-quart du temps. « J’ai appris quand j’étais enfant, mais j’ai arrêté pendant bien des années. C’est probablement seulement un manque d’entretien, son problème en fait, mais autant je suis à l’aise d’en jouer, autant je ne suis pas bonne pour l’accorder et régler les problèmes mécaniques. » Tu pouvais facilement comprendre que quelqu’un n’en jouant que de manière aléatoire, en tant que passe-temps ne puisse pas connaitre l’instrument sous toutes ces coutures, et surtout dans tous ces caprices. « Le piano n’est pas mon instrument de choix, mais quand tu te spécialises dans la musique classique comme c’est mon cas, tu finis par savoir faire avec un peu tous les instruments. » Si tu avais un éternel faible pour ton violoncelle, tu devais toutefois admettre que le piano dans ton sous-sol était sans aucun doute le deuxième instrument à recevoir le plus d’amour de ta part au quotidien. « C’est quelque chose en particulier qui t’a donné envie de renouer avec ce vieil amour? » Lorsqu’il était question de musique, tout devenait régit par l’amour à tes yeux. Tu étais conscient que ce n’est pas tout le monde qui vivait cette passion, ou ce simple intérêt, de la même manière, mais jamais cela ne viendrait changer la manière dont tu en parles. Et puis tu étais si habitué d’être entouré d’amoureux que le langage était simplement naturel pour toi. « Il n’y a pas beaucoup de choses qui ont changé depuis la dernière fois qu’on s’est vu si ce n’est que j’ai fêté trois ans de sobriété en juin. Je travaille toujours pour l’association Beauregard. Et je suis en couple depuis quelques mois aussi. » Ton sourire se fait sincère pour elle, heureux de n’entendre que de bonnes nouvelles de sa part, et cette confirmation qu’elle n’avait eu aucune rechute depuis la dernière fois que vous vous étiez vus. « Trois ans Faith, wow. Je suis vraiment fier de toi. » Et tu le pensais vraiment. Tu l’avais vu avoir des moments de faiblesse, où la tentation était grande, mais elle n’avait jamais flanché et aujourd’hui, elle pouvait se vanter d’être plus forte que son addiction. « Je suis vraiment content d’entendre que tout va bien pour toi. Tu mérites d’être heureuse. » C’est quelque chose que tu lui avais dit, lorsque vos chemins s’étaient séparés. Vos chemins ne s’étaient pas séparés du a des divergences quelconques, simplement que vous ne cherchiez pas à vous attacher et qu’il fallait mieux mettre fin à ce semblant de quelque chose avant que quelqu’un ne se retrouve blessé dans cette histoire. « Mais parle-moi de toi! Tu es en couple aussi que tu me disais? C’est génial! » Ton sourire se fait naturellement plus niais alors que tes pensées filent vers Anna. « Oui, depuis quelques années maintenant. Je l’ai rencontré pas longtemps après notre histoire, en fait. » Et si tu étais persuadé de ne pas vouloir t’engager dans quoique ce soit, Anne était venue chambouler toutes tes convictions. « C’est une musicienne aussi. Elle enseigne le piano. Elle s’entend bien avec ma fille, et je pense que je fais une pas pire job avec son garçon. » Puisqu’Oscar était avec vous à temps plein, tu prenais ton rôle de beau-père très au sérieux. « Je sais pas si tu te souviens de mon groupe de musique? » Tout était encore nouveau pour Broken Strings lorsque tu avais commencé à frequenter Faith, votre premier album commençant tout doucement à gagner en popularité après de nombreux covers postés sur les réseaux sociaux, mais rien de comparable à ce que vous pouviez vivre aujourd’hui. « On a pas mal gagné en popularité, surtout dans la dernière année. Je reviens justement de plusieurs mois passés à tourner partout au pays et en Europe. » Une rêve devenu réalité, bien que tu peinais encore aujourd’hui à te faire à ce nouveau statut de célébrité.
Faith Palmer
les démons endormis
ÂGE : Cinquante ans bien assumé (14.09.1973) SURNOM : Fay est ton surnom le plus couramment utilisé STATUT : L'anneau toujours autour de son doigt témoigne encore de la présence de Noah alors que Russell est maintenant dans son coeur et officiellement dans sa vie depuis un peu plus d'un mois. MÉTIER : Assistante sociale pour l'association Beauregard LOGEMENT : 243 Dornoch Terrace, un petit appartement dans le West End que tu as décoré façon pinterest POSTS : 302 POINTS : 80
TW IN RP : Grossesse adolescente :: Garde d'enfant retiré :: Maladie :: Suicide :: Alcoolisme :: Dépression GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Maman d'une petite fille. :: Elle travail dans un café et dans un club de strip-tease à partir de ses 18 ans. :: Ella est prise par la DPJ alors qu'elle n'a que 1 an. :: Déménage à Brisbane en 1994, sans sa fille. :: Fait quatre fausses couches et une grossesse ectopique entre 2001 et 2008. On doit lui retirer son utérus. :: Fait une dépression majeure et tombe dans l'alcool suite à son opération. :: Son mari se suicide suite à l'annonce d'un cancer du cerveau le 25 décembre 2019. :: Officiellement sobre depuis le 6 juin 2021.CODE COULEUR : Faith parle en deeppink RPs EN COURS : Russell I know that if we give this a little time, It'll only bring us closer to the love we wanna find. It's never felt so real, it's never felt so right #1#2#3#4
Ella There's a truth in all that pain I ain't facing. Guess that's why I do the things I do. I'm choosing my addictions over you. #1
Autumn Auntie, someone who loves like a mother, keep secrets like a sister and give great advice like a true friend. Like a mother but cooler. #1#2#3
you can't play on broken strings Faith Palmer + @Samuel Wellington lieu: résidences, west end
Ça ne faisait que quelques dizaines de minutes que Samuel était arrivé chez elle et malgré cette gêne qu’elle avait pu sentir lorsqu’il avait passé la porte de l’entrée, Faith sentait maintenant qu’il était déjà plus à l’aise. Elle comprenait parfaitement qu’il n’avait pas su immédiatement comment se comporter avec elle après ces deux années sans se parler, sachant que leur lien avait été plus que seulement amical pendant les courtes semaines qu’ils s’étaient fréquentés, mais Faith était passé à autre chose. Elle avait certes bien apprécier les moments intimes qu’ils avaient pu partagé, retrouvant une légèreté avec lui qu’elle n’arrivait pas à ressentir lorsqu’elle se retrouvait seule dans son appartement à cette époque, mais le but n’était pas celui-là en cette soirée de retrouvaille. Le repas qu’ils étaient en train de partager semblait leur délier la langue, leur permettant de se mettre à jour dans la vie l’un de l’autre. « Le piano n’est pas mon instrument de choix, mais quand tu te spécialises dans la musique classique comme c’est mon cas, tu finis par savoir faire avec un peu tous les instruments. » Un doux sourire prit place sur ses lèvres. C’était une vraie chance qu’il avait de savoir toucher à un peu tous les instruments. Faith avait été forcée d’apprendre le piano adolescente et même si elle appréciait beaucoup jouer, elle avait des souvenirs amers de la relation avec cet instrument. Les soirées passées à pleurer, assise sur son banc avec sa mère qui la forçait à répéter jusqu’à ce que la mélodie qui lui sortait des doigts soit parfaite étaient encore bien fraîches dans sa mémoire. « C’est quelque chose en particulier qui t’a donné envie de renouer avec ce vieil amour? » Faith releva les yeux vers Samuel, termina d’avaler sa bouchée avant de lui répondre. Il n’était pas au courant de tout son passé, mais il savait certes qu’elle avait dû faire face à beaucoup d'épreuves. « J’ai toujours eu une relation un peu difficile avec le piano. J’adore jouer, mais il est associé à des périodes difficiles, à des moments où j’essayais de m’y mettre sérieusement pour me changer les idées, mais ça finissait toujours par m’apporter de la colère. Maintenant, je veux faire la paix totalement avec mon passé. Je suis prête à lui laisser la chance de devenir synonyme de douceur. » Elle eût un sourire désolé qui prit place sur ses lèvres. « C'est lourd comme confession pour notre première soirée depuis longtemps. Excuse-moi. » Si Samuel était doté d’une franchise déconcertante pour plusieurs, Faith en était aussi capable. Elle avait tellement menti à tout le monde, aux inconnus comme à ses proches, elle s’était promise qu’avec la sobriété, elle ne répèterait pas les mêmes erreurs. « Trois ans Faith, wow. Je suis vraiment fier de toi. Je suis vraiment content d’entendre que tout va bien pour toi. Tu mérites d’être heureuse. » Elle leva son verre de son mocktail au pamplemousse pour trinquer à ces paroles. Elle était fière de pouvoir lui montrer qu’elle n’était pas la femme torturée et au prise avec des démons bien ancrés qu’il avait connu. « Merci. Je ne dis pas que c’est facile à tous les jours encore, mais ça le devient de plus en plus. » Le sourire qui prit place sur le visage de Samuel lui fit plaisir à voir. Il semblait tellement heureux en parlant de sa famille. « Oui, depuis quelques années maintenant. Je l’ai rencontré pas longtemps après notre histoire, en fait. C’est une musicienne aussi. Elle enseigne le piano. Elle s’entend bien avec ma fille, et je pense que je fais une pas pire job avec son garçon. » Une famille reconstituée… Ça la faisait rêver. Elle rêvait de pouvoir se retrouver autour d’une table un soir de Noël avec Russell, Angus, Samuel et Ella, mais Faith avait l’impression que c’était totalement utopique. Elle avait beaucoup de travail à faire avec sa fille avant d’en arriver là et c’était pareil chez les Sutton. « C’est à elle donc que j’aurais dû faire appel ce soir pour mon problème. » Faith fit un petit clin d’oeil taquin à Sam. Elle le taquinait bien sûr, étant convaincue qu’il serait capable de l’aider avec son problème. « Je sais pas si tu te souviens de mon groupe de musique? » Faith hocha de la tête positivement. « On a pas mal gagné en popularité, surtout dans la dernière année. Je reviens justement de plusieurs mois passés à tourner partout au pays et en Europe. » Une expression surprise prit place sur le visage de la quinquagénaire. Non pas qu’elle doutait des talents des membres du groupe, mais elle n’avait pas entendu parler de celui-ci. Probablement seulement parce qu’elle n’était pas vraiment active sur les réseaux. « Mais c’est génial ! Félicitations. Je vais devoir aller écouter ça. J’imagine que je peux trouver sur internet ? » Le repas allait bon train pendant leur discussion. Faith se rendit compte que l’assiette de Samuel était pratiquement vide. « Tu as encore faim ? Je n’ai pas de dessert, mais il reste encore du riz et du poulet si jamais. »
soulmate
Deux âmes ne se rencontrent jamais par hasard... Le hasard n'existe pas. Si on s'est rencontré alors sache que c'était prédestiné. Et si nos chemins sont amenés à se séparer, alors n'oublie pas, c'était écrit aussi...
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you can't play on broken strings @Faith Palmer + Samuel Wellington lieu: résidences, west end
« J’ai toujours eu une relation un peu difficile avec le piano. J’adore jouer, mais il est associé à des périodes difficiles, à des moments où j’essayais de m’y mettre sérieusement pour me changer les idées, mais ça finissait toujours par m’apporter de la colère. Maintenant, je veux faire la paix totalement avec mon passé. Je suis prête à lui laisser la chance de devenir synonyme de douceur. » Tu hoches doucement la tête, comprenant parfaitement le sentiment que te partageait celle que tu t’efforçais de voir comme une vieille amie. « C’est lourd comme confession pour notre première soirée depuis longtemps. Excuse-moi. » Tu viens poser une main sur son bras, dans un geste rempli de compassion. « T’as pas à t’excuser, je comprends parfaitement. » Sans doute plus qu’elle ne pouvait se l’imaginer. « Quelques mois après la naissance de ma fille, j’arrivais pu à toucher mon violoncelle. » que tu lui admets, offrant une toute petite fenêtre sur ta propre expérience compliquée avec la musique sans toutefois vouloir creuser plus longuement les raisons qui ont rendu toute ta musique si amère pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. Une période où chaque note semblait teintée par l’absence d’Hadley, où chaque composition dégoulinait de la douleur qui t’habitait, celle que tu tentais de cacher dans toutes les autres sphères de ta vie, pour le bien-être de ta fille qui n’avait plus que toi dans la vie. « C’est pas toujours facile de renouer avec son instrument, mais avec un peu de bonne volonté normalement, on y arrive. » Et si tu pouvais jouer ta part dans ce renouveau, permettre à Faith de renouer avec son piano sans la frustration que celui-ci continue de se dérégler constamment, alors c’était d’autant plus un plaisir pour toi que de lui faire ce service-là.
« Merci. Je ne dis pas que c’est facile à tous les jours encore, mais ça le devient de plus en plus. » Et c’est tout ce que tu voulais entendre. Que chaque jour était un peu plus facile que le précédent. Qu’elle était sur la pente montante plutôt que sur une pente descendante, comme ça avait été le cas lors de votre première rencontre. Malgré cela, elle t’était tombée dans l’œil, la blonde, le temps d’une nuit et puis d’une autre. Vous vous étiez compris sans avoir besoin de trop en dire, l’envie était réciproque et le besoin de panser les plaies, d’oublier le passé avaient pris le dessus sur tout le reste. Mais c’était une histoire qui appartenait au passé désormais, et tu étais heureux de pouvoir lui partager les bonheurs de ton quotidien, entre ta fille, Anna et Oscar, ta vie était bien plus remplie aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a deux ans de cela. « C’est à elle donc que j’aurais dû faire appel ce soir pour mon problème. » Un rire t’échappe, tentant d’imaginer les deux jeunes femmes dans la même pièce. « C’est elle la pro oui, mais tu vas devoir te contenter de moi j’ai bien peur. » que tu lances d’un ton amical, continuant de piquer dans ton assiette. « Et toi alors? Tu as rencontré quelqu’un aussi, tu me disais? » La discussion est facile, ça coule comme avant, sans les sous-entendus et les regards trop longs d’antan. Tu la mets au courant du succès de ton groupe, une fierté qui ne vient pas sans son lot de complications, mais ça, c’est quelque chose que tu glisses sous le tapis, ne voulant pas avoir l’air ingrat de la chance que tu as. « Mais c’est génial! Félicitations. Je vais devoir aller écouter ça. J’imagine que je peux trouver sur internet? » Tu fais signe que oui de la tête. « Partout où on peut downloader de la musique. » que tu précises avec un nouveau sourire. Malgré l’épuisement d’une tournée et cette adaptation à une notoriété nouvelle, tu n’en demeurais pas moins fier des accomplissements de ton groupe dans la dernière année. « Tu as encore faim? Je n’ai pas de dessert, mais il reste encore du riz et du poulet si jamais. » « Reste assise, je vais me resservir. » Tu lui fais signe de ne pas bouger avant de te lever, assiette en main pour reprendre un peu de tout. Jugeant mal ta distance, tu accroches le frigo, faisant tomber un aimant et une photo. « Ah zut, désolé. » que tu commentes, déposant ton assiette sur la table avant de te pencher pour attraper le portrait du bout des doigts. « Ah, c’est une jolie photo. Ta nièce? » que tu lui demandes, le regard attardé sur la photo sur laquelle tu vois une Faith avec probablement une quinzaine, voire une vingtaine d’années en moins et une petite fille.
Faith Palmer
les démons endormis
ÂGE : Cinquante ans bien assumé (14.09.1973) SURNOM : Fay est ton surnom le plus couramment utilisé STATUT : L'anneau toujours autour de son doigt témoigne encore de la présence de Noah alors que Russell est maintenant dans son coeur et officiellement dans sa vie depuis un peu plus d'un mois. MÉTIER : Assistante sociale pour l'association Beauregard LOGEMENT : 243 Dornoch Terrace, un petit appartement dans le West End que tu as décoré façon pinterest POSTS : 302 POINTS : 80
TW IN RP : Grossesse adolescente :: Garde d'enfant retiré :: Maladie :: Suicide :: Alcoolisme :: Dépression GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Maman d'une petite fille. :: Elle travail dans un café et dans un club de strip-tease à partir de ses 18 ans. :: Ella est prise par la DPJ alors qu'elle n'a que 1 an. :: Déménage à Brisbane en 1994, sans sa fille. :: Fait quatre fausses couches et une grossesse ectopique entre 2001 et 2008. On doit lui retirer son utérus. :: Fait une dépression majeure et tombe dans l'alcool suite à son opération. :: Son mari se suicide suite à l'annonce d'un cancer du cerveau le 25 décembre 2019. :: Officiellement sobre depuis le 6 juin 2021.CODE COULEUR : Faith parle en deeppink RPs EN COURS : Russell I know that if we give this a little time, It'll only bring us closer to the love we wanna find. It's never felt so real, it's never felt so right #1#2#3#4
Ella There's a truth in all that pain I ain't facing. Guess that's why I do the things I do. I'm choosing my addictions over you. #1
Autumn Auntie, someone who loves like a mother, keep secrets like a sister and give great advice like a true friend. Like a mother but cooler. #1#2#3
you can't play on broken strings Faith Palmer + @Samuel Wellington lieu: résidences, west end
« T’as pas à t’excuser, je comprends parfaitement. Quelques mois après la naissance de ma fille, j’arrivais pu à toucher mon violoncelle. » Faith lui fit un sourire compatissant. Elle savait qu’il avait vécu lui aussi des moments difficiles, mais ils n'en avaient jamais vraiment parlé. Ils avaient tenté de mettre de côté leurs malheurs, d’essayer de partir en neuf avec leur relation et se bâtir un bonheur auquel les deux n’avaient jamais vraiment goûté. Ils s’étaient rendu compte rapidement que même s’ils s’entendaient bien et qu’ils se faisaient du bien, ce n’était pas suffisant pour permettre à l’autre de prendre une aussi grande place dans leur vie. Toutefois, revoir Samuel ce soir-là, dans son appartement lui faisait du bien. Elle se rendait bien compte qu’il lui avait manqué. « C’est pas toujours facile de renouer avec son instrument, mais avec un peu de bonne volonté normalement, on y arrive. » - « Ce sera toutefois plus facile lorsqu’il arrêtera de me donner de fausse note à tout moment. » Un petit rire s’échappa de sa cage thoracique, tentant de redonner de la légèreté à ce repas. Après tout, c’était la base même de leur relation : la légèreté. Entendre parler Samuel de sa copine la remplissait de joie pour lui. C’était une bonne personne. Elle lui souhaitait du bonheur, une relation sans prise de tête et avec seulement de l’amour. Il avait été écorché dans le passé, même si elle ne mesurait pas l’ampleur de ce qu’il avait pu vivre. « Et toi alors? Tu as rencontré quelqu’un aussi, tu me disais? » Un sourire niais prit place sur son visage. Penser à Russell et à votre début de relation lui donnait l’impression d’être revenu à ses quinze ans, à ce moment où elle était tombée amoureuse du père d’Ella. Elle avait cette gêne de parler de lui, de ses sentiments, mais en même temps, elle avait l’impression qu’elle pouvait maintenant se donner le droit d’aimer et d’être aimer en retour. « Ça fait un petit bout que je le connais. On s’est rencontré dans les AA. Mais officiellement, nous sommes ensemble depuis quelques mois. C’est facile avec lui. Il connaît mon passé, je connais le sien, on est encore là. C’est rassurant. » Elle savait que souvent les gens autour de vous ne voyaient pas ça du bon oeil que vous soyez deux alcooliques en rémission en couple. La peur que l’un d’entre vous tire l’autre vers une rechute était compréhensible, mais elle savait qu’ils étaient au contraire plus fort ensemble et que si le goût de boire devenait trop fort, l’autre allait être présent et savoir quoi faire pour l’aider. Faith n’avait aucune crainte face à une éventuelle rechute causée par Russell. La quinquagénaire regarda le blonde se lever lorsqu’elle lui demanda s’il avait encore faim et se diriger vers la cuisine. « Ah zut, désolé. » Faith se raidit légèrement. Elle savait exactement quelle photo il avait fait tomber. C’était celle avec Ella bébé, juste avant qu’elle décide d’arrêter d’aller la voir, à peine quelques mois avant son déménagement en Australie. Cette photo qu’elle avait en double dans son portefeuille pour l’avoir avec elle à tout moment. « Ah, c’est une jolie photo. Ta nièce? » Elle savait que la vérité ferait mal, mais elle s’était promise de ne plus mentir à qui que ce soit, peu important la relation avec la dites personne et le sujet. « Non. Ma fille. » Elle espérait qu’il ne pose pas de question, qu’il remette la photo à sa place et passe à un autre appel. Toutefois, elle avait l’impression que ce ne serait pas le cas. En même temps, elle ne lui avait jamais parlé de son passé autre que du décès de Noah et de son alcoolisme. Elle savait qu’il serait légitime de tenter d’en savoir plus après cette bombe qu’elle venait de lui lâcher.
soulmate
Deux âmes ne se rencontrent jamais par hasard... Le hasard n'existe pas. Si on s'est rencontré alors sache que c'était prédestiné. Et si nos chemins sont amenés à se séparer, alors n'oublie pas, c'était écrit aussi...
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you can't play on broken strings @Faith Palmer + Samuel Wellington lieu: résidences, west end
« Ce sera toutefois plus facile lorsqu’il arrêtera de me donner de fausse note à tout moment. » Tu fais signe que oui de la tête, ton rire se mêlant à celui de Faith. Dans tous les cas, tu trouves que c’est une bonne chose, qu’elle ait envie de renouer avec son instrument, que ce dernier soit une source de bonheur et non pas de stress, attaché à de mauvais souvenirs. Tu n’as pas encore eu l’occasion de t’attarder sur le piano puisque Faith a insisté à te nourrir avant – chose pour laquelle tu ne t’es pas fait prier, bien honnêtement – mais tu espères que ce sera quelque chose de simple que tu pourras régler facilement pour elle. Tu lui parles candidement d’Anna, avant de venir aux nouvelles de sa propre relation qui débute. « Ça fait un petit bout que je le connais. On s’est rencontré dans les AA. Mais officiellement, nous sommes ensemble depuis quelques mois. C’est facile avec lui. Il connaît mon passé, je connais le sien, on est encore là. C’est rassurant. » « Vous partez sur de très bonnes bases, c’est l’essentiel. » que tu confirmes avec un sourire, avant de prendre une gorgée de ton verre. Tu ne doutais pas qu’elle devait faire face à des jugements constamment, surtout face à sa sobriété, mais tu voulais croire qu’elle se sentait assez solide pour faire ce choix-là, et que si elle avait envie de donner une chance à cette relation, c’est qu’elle se savait assez forte pour le faire. « J’te souhaite que ça dure. » Parce qu’elle méritait d’être heureuse, parce qu’elle méritait de mettre le fantôme de son mari derrière elle, de le voir devenir un doux souvenir plutôt qu’un poids, comme il l’était visiblement du temps où vous vous étiez fréquenter.
L’ambiance change du tout au tout sans que tu ne puisses te l’expliquer, lorsque tu fais tomber une vieille photo de Faith et d’un bébé au sol. Tu as fréquenté Faith assez longtemps pour que vous parliez vaguement de vos entourages, de vos familles. La Palmer était au courant pour ta fille, savait que tu l’avais élevé seul, qu’elle était rendue grande maintenant et que Delilah demeurait ta plus grande fierté. Mais jamais tu n’aurais pu t’imaginer qu’à ta question, à ta supposition que la photo était de Faith et d’une petite nièce, qu’elle te réponde d’un air bien trop sombre : « Non. Ma fille. » Tu fronces légèrement les sourcils, et plutôt que de remettre la photo sur le frigo comme tu en avais l’intention, tu t’attardes sur le portrait de Faith. Elle paraît jeune, à peine sortie de l’adolescence, et tu te demandes si c’est de ça que tu as l’air toi aussi, sur tes premières photos avec Delilah, un grand enfant avec un bébé dans les bras. Tu te râcles légèrement la gorge, avant de tourner ton regard vers Faith. « Ta fille? Je savais pas, que tu avais des enfants. » Un ou des, tu ne sais même plus soudainement, l’impression que tout ce que tu savais de la blonde soudainement incertain. « Vous êtes proches? Comment elle s’appelle? » Tu poses des questions qui se veulent innocentes, en espérant que cela suffira à démentir cette impression qui te serre la gorge au point de t’en étouffer, quand tu penses ne serait-ce que quelques instants que Faith puisse être comme Hadley, le genre à abandonner une petite fille derrière à cause de ses problèmes, ou de ses peurs, ou peu importe les raisons qu’elle se donne pour se justifier. Tu espères avoir tort, tu as besoin d’avoir tort parce que soudainement, tu ne sais plus du tout comment tu vas réagir s’il se trouvait que tes craintes étaient véridiques et que tu avais malheureusement raison.
Faith Palmer
les démons endormis
ÂGE : Cinquante ans bien assumé (14.09.1973) SURNOM : Fay est ton surnom le plus couramment utilisé STATUT : L'anneau toujours autour de son doigt témoigne encore de la présence de Noah alors que Russell est maintenant dans son coeur et officiellement dans sa vie depuis un peu plus d'un mois. MÉTIER : Assistante sociale pour l'association Beauregard LOGEMENT : 243 Dornoch Terrace, un petit appartement dans le West End que tu as décoré façon pinterest POSTS : 302 POINTS : 80
TW IN RP : Grossesse adolescente :: Garde d'enfant retiré :: Maladie :: Suicide :: Alcoolisme :: Dépression GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Maman d'une petite fille. :: Elle travail dans un café et dans un club de strip-tease à partir de ses 18 ans. :: Ella est prise par la DPJ alors qu'elle n'a que 1 an. :: Déménage à Brisbane en 1994, sans sa fille. :: Fait quatre fausses couches et une grossesse ectopique entre 2001 et 2008. On doit lui retirer son utérus. :: Fait une dépression majeure et tombe dans l'alcool suite à son opération. :: Son mari se suicide suite à l'annonce d'un cancer du cerveau le 25 décembre 2019. :: Officiellement sobre depuis le 6 juin 2021.CODE COULEUR : Faith parle en deeppink RPs EN COURS : Russell I know that if we give this a little time, It'll only bring us closer to the love we wanna find. It's never felt so real, it's never felt so right #1#2#3#4
Ella There's a truth in all that pain I ain't facing. Guess that's why I do the things I do. I'm choosing my addictions over you. #1
Autumn Auntie, someone who loves like a mother, keep secrets like a sister and give great advice like a true friend. Like a mother but cooler. #1#2#3
you can't play on broken strings Faith Palmer + @Samuel Wellington lieu: résidences, west end
« Vous partez sur de très bonnes bases, c’est l’essentiel. » Faith hocha de la tête. Elle avait tout raconté à Russell avant même qu’ils commencent à se fréquenter puisqu’il était présent dans la plupart des réunions où elle avait parlé de son passé. Il avait décidé d’apprendre à la connaître alors qu’il savait parfaitement qu’elle avait abandonné sa fille dans un autre pays, qu’elle avait fait une dépression sévère qu’elle avait eu de la difficulté à soigner, qu’elle avait sombré dans l’alcool pendant trop longtemps et que son mari s’était passé la corde au cou, à bout des épreuves qui leur tombait sur la tête trop souvent. Et Faith avait également décidé d’apprendre à connaître Russell malgré l’abandon de ses enfants lui aussi, malgré son passé d’alcoolique et son sentiment d’avoir causé la mort de sa femme. Leur histoire était semblable tout en étant différente et ils étaient présents l’un pour l’autre et c’était tout ce qui importait. « J’te souhaite que ça dure. » - « J’te souhaite la même chose… Pour vrai. » Il était une bonne personne. Et même si elle n’avait peut-être pas eût le droit au meilleur de lui-même, elle savait qu’il pouvait rendre une femme complètement heureuse. Il le méritait amplement.
Puis, il fit tomber cette photo d’elle et d’Ella. Cette photo qu’elle avait fait faire en plusieurs exemplaires et qu’elle avait mis sur le réfrigérateur, dans son portefeuille, sur son bureau à l’association, dans le tiroir de sa table de chevet et sur le pare-soleil de sa voiture. Son coeur se mit à battre à tout rompre et l’envie de lui mentir et d’affirmer que c’était effectivement une nièce dans ses bras était forte. Elle s’était toutefois promise lors de sa décision de devenir sobre que plus jamais elle ne mentirait. Elle ne voulait pas commencer cette soirée-là puisqu’elle aurait l’impression que ce serait de mettre un pied dans l’engrenage de la rechute. Non, elle devait assumer ses gestes, peu importe comment c’était douloureux de le faire. Lorsqu’elle lui annonça que c’était sa fille, elle vit les sourcils de Samuel se froncer et constata qu’il regardait la photo avec encore plus d’attention. Il lui poserait des questions, elle en était convaincue. « Ta fille? Je savais pas, que tu avais des enfants. » Comment aurait-il pu savoir ? Elle n’en avait jamais parlé. Il n’y avait pas beaucoup de gens au courant qu’elle avait une fille puisque ce sujet était trop douloureux. Il lui rappelait un passé trop difficile, une adolescence dans la religion et un abandon de la part de ses parents alors qu’elle avait tellement besoin d’eux. « Seulement une. Je n’ai jamais réussi à porter à terme une grossesse par la suite. » Elle espérait que cette révélation le porterait à changer de sujet ou encore à la questionner sur ses fausses couches et non sur Ella. Les deux sujets étaient douloureux, mais elle préférait le deuxième si elle avait à choisir. « Vous êtes proches? Comment elle s’appelle? » Faith prit une grande inspiration. Samuel ne s’arrêterait pas là, elle le sentait. Elle passa sa main dans ses cheveux essayant de choisir ce qu’elle allait lui dire ou non. Elle savait que si elle était évasive, il allait se douter de quelque chose. Elle préférait lui en révéler suffisamment pour assouvir sa curiosité, mais pas assez pour lui donner envie de poursuivre sa petite enquête. « Pas vraiment… Ella est en Irlande. » Dit de cette manière, il y avait possibilité qu’il croit qu’elle était retournée dans son pays natal lorsqu’elle fut assez vieille pour prendre la décision seule de l’endroit où elle voulait vivre. Et ça pouvait expliquer la lourdeur de l’ambiance depuis que Samuel avait commencé à poser des questions sur cette dernière. Faith se leva pour aller porter son assiette dans le lave-vaisselle. Elle arrêta vis-à-vis les chaudrons qui étaient posés sur la cuisinière. « Est-ce que tu manges autre chose finalement ou je peux ranger le tout ? » Elle tentait d’attirer son attention vers autre chose, un peu maladroitement certes, que sur la photo d’elle et Ella.
soulmate
Deux âmes ne se rencontrent jamais par hasard... Le hasard n'existe pas. Si on s'est rencontré alors sache que c'était prédestiné. Et si nos chemins sont amenés à se séparer, alors n'oublie pas, c'était écrit aussi...
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
you can't play on broken strings @Faith Palmer + Samuel Wellington lieu: résidences, west end
Tout allait bien dans le meilleur des mondes, jusqu’au moment où ce n’était subitement plus le cas. Tu n’aurais pas su dire pourquoi, tu n’aurais pas su l’expliquer, mais dès le moment où ton attention s’est arrêtée sur la photo d’une jeune Faith avec une petite fille dans les bras, tu as l’impression que tout a changé autour de vous. Tu ne connais pourtant pas assez la femme assise à quelques mètres de toi pour pouvoir juger de quelque chose d’aussi gros, d’aussi majeur. Il y a trop de temps qui s’est écoulé depuis votre dernier tête-à-tête, et même avant ça, votre relation retournait plus d’une fréquentation qui s’est étendue sur quelques semaines, du bon temps sans attache, sans promesse et surtout, sans la nécessité de se mettre complètement à nu et vulnérable devant l’autre. Alors pourquoi est-ce que ça te choque soudainement, de réaliser que tu ne connaissais pas tout d’elle? Que cette fille – sa fille -, le fait qu’elle soit mère, te semble être un mensonge, une vérité qu’elle t’a caché plutôt que seulement être une part d’elle qu’elle a volontairement choisi de ne pas t’exposer? « Seulement une. Je n’ai jamais réussi à porter à terme une grossesse par la suite. » « Oh. Je suis désolé. » Ça devrait être le signe de te reculer, d’arrêter de poser des questions, de te mêler de tes affaires, parce que ce n’est pas ta place de la questionner sur si oui ou non elle a tenté de fonder une famille, quand elle l’a fait, te parler de ses grossesses qui n’ont pas été poursuivi ou quoique ce soit d’autre dans ce genre-là. Non, ce n’est pas de tes affaires, et tu vois bien que tu es en train de créer un malaise avec tes questions, en abordant le sujet de sa fille, et c’est ce malaise justement qui t’alarme, qui t’alerte, qui te renvoie dans des retranchements qui n’ont rien à voir avec la Palmer, mais tu en oublierais où tu es, ce que tu fais, prisonnier de souvenirs, de rancœurs qui n’ont rien à voir avec le moment présent. Tes doigts agrippent trop fortement la photo, et c’est dans une tentative de t’ancrer dans le présent que tu viens la replacer sur le frigidaire. « Pas vraiment… Ella est en Irlande. » Tu fronces les sourcils une fois encore, parce que tu as beau ne pas la connaître si bien que ça, la blonde, tu ne peux t’empêcher de remarquer qu’elle se fait volontairement évasive et courte dans ses réponses à ce sujet, alors qu’elle était bien plus volubile sur d’autres sujets que tu jugeais bien plus sensibles que la question de sa famille. « Elle y est depuis longtemps? » C’est ta façon plus ou moins subtile de lui poser ce qui plane pourtant entre vous : est-ce qu’elle a grandi avec toi? Est-ce que tu t’occupes d’elle? Est-ce que tu l’aimes comme une mère se doit d’aimer son enfant? Les questions se transforment dans ta tête, et soudainement, ton monologue interne n’est pas dirigé vers Faith, mais bien vers Hadley. Est-ce qu’elle a gardé la moindre photo de Delilah, quand elle était un bébé? Est-ce qu’elle en garde une copie sur son frigidaire, dans son portefeuille, en fond d’écran de son téléphone? Est-ce qu’elle pense à sa fille, à ce qu’elle est devenue, à tout ce qu’elle a manqué dans les vingt dernières années? Tu ne bouges plus soudainement, tu en as oublié de te resservir, tu en as même oublié ce que tu voulais faire. C’est seulement lorsque la voix de Faith s’élève à nouveau, avec un ton nouveau qui confirme le malaise qui s’est installé entre vous que tu te souviens de ce qui a déclenché cette spirale de pensées indésirables et involontaires. « Est-ce que tu manges autre chose ou je peux ranger le tout? » « Pourquoi est-ce que j’ai l’impression d’avoir créer un malaise en parlant de ta fille? » que tu la questionnes plutôt pour toute réponse, incapable de danser plus longuement autour du sujet. « Je t’ai déjà dit que j’ai élevé ma fille tout seul? » Ne va pas là, Wells. Tu vas le regretter. « Sa mère nous a abandonné. Delilah avait quelques mois à peine. » Tu déglutis. Fuck. Tu ne sais pas pourquoi tu viens de lui dire ça. Tu ne sais pas pourquoi tu la regardes avec une telle appréhension. Tu ne sais pas où ça va mener, tout ça, mais une chose est certaine : tu regrettes déjà la légèreté de votre conversation autour de la table.