(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure

Landry Chamberlain

sûr que c'est pas gagné mais j'assure mes arrières

Pièce d'identité

NOM ≈ Chamberlain. Référence à ses origines françaises, la consonnance harmonieuse voire prestigieuse n’est qu’une façade. La réalité est toute autre, les griffes du passé comme une malédiction qui les empêche d’avancer, un poids dont il aimerait se délester. PRÉNOM(S) ≈ Landry. Prénom qu’il partage avec un de ses ancêtres dont il ne sait rien, il le porte avec une certaine amertume. Non pas parce qu’il est rare, plutôt parce qu’il lui rappelle son géniteur. Mâchoire verrouillée et poing serré, la colère émane à sa simple mention. ÂGE ≈ Trente-deux ans. Un numéro plus qu’un élément de son identité, il est mature depuis bien des années. Il se contente de sourire, souffler les bougies et accepter les cadeaux le jour de son anniversaire, puis passe au lendemain comme si de rien n’était. LIEU DE NAISSANCE ≈ Brisbane, born and raised. Il connait très bien la ville, tant les beaux quartiers que les coins de rue moins fréquentables. Un terrain de jeu, un échiquier grandeur nature, il vague et divague parmi les souvenirs du passé et ceux qu’il se crée encore. STATUT SOCIAL ≈ Célibataire. Malgré les rencontres, il n’a toujours pas trouvé la bonne personne. A vrai dire, il ne la cherche pas activement car être seul ne semble pas le déranger. En apparence, tout du moins. MÉTIER ≈ Neurochirurgien. Un des nouveaux talents du St Vincent's Hospital, il a su trouver sa place et compte bien la garder. Même, il souhaite évoluer et atteindre les sommets, sans pour autant s’en cacher. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Hétérosexuel. Les courbes féminines le font vibrer, arrivent à le faire chavirer. GROUPE ≈ 30 ans sinon rien AVATAR CHOISI ≈ Dacre Montgomery. CREDITS GIFS ≈ kiwd, harleygif.

Les informations en vrac

(tw : alcoolisme, abandon familial, dépression, deuil, drogue)

La famille Chamberlain trouve ses racines en Europe, plus précisément en France. Ce sont les arrières arrières grands parents de Landry qui ont foulé les terres du pays-continent pour la première fois, à la suite d’une opportunité professionnelle. Les Chamberlain, malgré la distance, gardent toujours des liens avec l’hexagone : ils y ont une maison de vacances et tous parlent couramment le français. Ils font également partie de la communauté des francophones d’Australie, même si Landry est beaucoup moins assidu que ses ancêtres. ≈ Fils unique, Landry est venu au monde alors que ses parents étaient très jeunes, sa mère Maria ayant 19 ans et son père Edouard 20 ans. Edouard était mécanicien et Maria étudiait la médecine. Brillante, elle était parvenue à concilier ses études et sa grossesse, jouissant de quelques aménagements dans son emploi du temps. Elle avait la profonde vocation de sauver des gens et rêvait d’une carrière entière dans le milieu médical. Surtout que le couple n'était pas aidé et que ce choix constituait un espoir indéniable pour la famille. ≈ Edouard était un grand fêtard, aimait sortir avec ses amis et revenir le lendemain. Si la plupart des jeunes parents mesuraient rapidement l’arrivée de leur enfant, ce ne fut pas le cas pour lui qui se réfugiait dans les fêtes et l’alcool. Il commençait à être absent au travail, les quelques fois où il y allait il était complètement ivre. Son patron finit par le virer et Edouard a sombré. ≈ Maria a dû mettre ses études entre parenthèses pour subvenir aux besoins de sa famille, maintenant que son conjoint a perdu son travail. Elle cumulait les petits boulots : le matin elle était femme de ménage, la journée serveuse dans un café et le week-end caissière dans une supérette. Un crève-cœur pour la mère qui se séparait de son fils pendant qu’Edouard côtoyait les bars. Landry, lui, était gardé par des voisins et ce depuis ses premiers jours. ≈ Pendant quelques années, la situation n’a pas évolué et le climat de souffrance s’ancrait de plus en plus. Maria préservait Landry au maximum mais il comprenait ce qu’il se passait. Edouard enchaînait les cures pour se sortir de son alcoolisme, sans succès. Landry finit par entrer à l’école, s’imposant comme une échappatoire. Il a adoré sa scolarité, si bien qu’il a même sauté une classe. A côté, il se faisait des amis, paraissait heureux. Peut-être le faisait-il pour que sa mère soit rassurée, pour qu’elle ne finisse pas comme son père. ≈ L’année de ses 17 ans, Landry a appris l’hospitalisation de son père, sans vouloir de détails. Quelques jours plus tard, Edouard est décédé d’une cirrhose alcoolique. Si les larmes ou la colère sont des réactions très communes, cela ne lui faisait ni chaud ni froid. En revanche, Maria eut du mal à supporter son deuil, s’enfonçant dans un état dépressif tel qu’elle fut admise dans un hôpital spécialisé. ≈ En parallèle de ses études, Landry a travaillé pour payer les traitements de sa mère. Au départ, il avait eu besoin d’une somme conséquente et un ami l’a fait tremper dans le milieu de la drogue. Il a dealé de la cocaïne quelques semaines le temps d’amasser l’argent dont il avait besoin puis a tout arrêté, déjà parce qu’il se sentait mal à l’aise mais aussi parce qu’il ne voulait pas prendre le risque de se faire prendre. Puis, il a été game master dans un escape game – beaucoup moins risqué – jusqu’à commencer son internat. ≈ Landry rend visite à sa mère tous les jeudis matins à la même heure avant d'aller au travail, avec un bouquet de fleurs et une tablette de son chocolat préféré. Personne n'est au courant pour sa mère et c'est tant mieux. ≈ Il soigne son image au travail, se montre sous son meilleur jour. Il est serviable auprès de ses patients – et même ceux des autres – et demande des faveurs à ses collègues. Car l'intérêt le porte au quotidien, les bénéfices en tête. D'ailleurs, Landry s’adresse à ses collègues par leur nom de famille, pratique qu'il tend même à appliquer en dehors du cercle professionnel. ≈ Landry a la fâcheuse tendance à être là au bon endroit et au bon moment. Il a par exemple croisé de nombreuses célébrités lorsqu'elles faisaient une escale à Brisbane, a pu être témoin de plusieurs événements célestes mais aussi découvrir un de ses collègues dans les bras de sa maîtresse. Situations dans lesquelles il se crée des souvenirs ou des avantages. ≈ Passionné de photographie, il se réveille très tôt pour capturer le levé du soleil alors que ses pieds s'enfoncent dans le sable. Il a par ailleurs un appareil quasi professionnel, qu'il nettoie après chaque utilisation. De plus, il a la main verte et sait très bien cuisiner, ce qu'il doit à sa mère. ≈ Le silence le stresse et il a toujours besoin d'un fond sonore pour se concentrer.

personnalité : carriériste, égocentrique, sérieux, calme, bon acteur, intéressé, séducteur, déterminé, prudent, secret, observateur, rusé

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle SPF, mais appelez-moi LEO. J'ai 25 ans, et je viens de la belle france. J'ai découvert 30YSY grâce à PRD, et j'ai cédé à m'inscrire parce que la tentation du dc était beaucoup trop grande (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 2340009788

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. Pour me faire ma place, j'ai PAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) le weekend minimum. Mon personnage est un PRÉ-LIEN OFFICIEUX DE @Ruben Hartfield & @Nina Sterling :l:

(apparemment ils avaient pas assez de drama Rolling Eyes

). Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et pourquoi napoléon n'a jamais déménagé ???
parce qu'il a un bon appart.
(des bisous (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 873483867

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).

Pour recenser votre avatar

Code:: <pris>dacre montgomery ≈</pris> @"landry chamberlain"

à remplir si vous refusez le doublon de prénom

Code:: <pris>LANDRY</pris>

--- lonely together

i might hate myself tomorrow, but I'm on my way tonight, at the bottom of a bottle, you're the poison in the wine

Il était une fois, mon histoire

Il faudra que je coure tous les jours

l'enfance

Les souvenirs d’enfance de Landry sont teintés de solitude et d’une étrange routine. Il se rappelle les matinées grises où il était déposé chez les voisins dès l’aube, encore à moitié endormi, dans un manteau trop grand pour lui. Il n’aimait pas leur appartement sombre où flottait une odeur persistante de tabac froid et de vieilles tapisseries. La vieille Simona Delcastel avec son visage ridé et sa voix rauque veillait sur lui d’un regard distrait, plongée dans ses feuilletons télévisés tandis que Landry s’occupait seul dans un coin, feuilletant des livres aux pages jaunies ou dessinant sans grande conviction. Ces heures passées chez les voisins lui donnaient une impression d'éternité, comme si le temps s’étirait à l’infini, ponctué seulement par les rares visites de ses parents. Il savait, même enfant, que quelque chose clochait. Les éclats de voix à la maison, les regards peinés de sa mère et les absences prolongées de son père faisaient partie d’un quotidien qu’il apprenait déjà à endurer avec résilience. Pourtant, au milieu de tout cela, Landry développait une capacité à observer, à analyser les gestes, les émotions de ceux qui l’entouraient. Il découvrait comment s’effacer, comment devenir une ombre pour éviter les conflits ou attirer l’attention. De ces années-là, il ne garde ni rancœur ni tristesse apparente, simplement une impression de vide et l’instinct de devoir se débrouiller seul.

l'adolescence

L’adolescence de Landry fut marquée par un double jeu constant et pourtant nécessaire. À la maison, il voyait sa mère s’étioler peu à peu, se battant entre plusieurs petits boulots pour maintenir un semblant de stabilité tandis que son père s’enfonçait de plus en plus dans l’alcoolisme. Landry ne supportait plus les cris de colère ou de désespoir qui résonnaient à travers les murs trop fins de leur appartement. Depuis sa chambre, il entendait absolument tout et il n'était pas rare qu'il monte le volume de sa musique lorsque ses géniteurs s'emportaient. Mais à l’extérieur, tout était différent. Il s’était construit une carapace solide et à l'école il donnait l’image d’un jeune homme sociable et ambitieux, toujours souriant, entouré d’amis. Avec eux, il passait des après-midis à traîner dans les parcs ou à rire devant des jeux vidéo, cultivant l’image du garçon 'bien sous tous rapports'. À sa manière, il prenait un malin plaisir à cette dualité : le fils sérieux et appliqué à la maison, le jeune insouciant et populaire à l’école. Cette façade était rassurante, pour lui autant que pour sa mère. Il savait qu’elle se raccrochait à ses réussites scolaires, espérant que son fils aurait un avenir plus radieux que celui auquel elle était condamnée. Landry, de son côté, développait un pragmatisme froid, presque glaçant, convaincu que la vie était un jeu d’équilibre entre apparences et intérêts, une idée qui ne ferait que se renforcer au fil des années.

la perte

Landry se souvient du jour où il a appris la mort de son père comme d’un moment curieusement banal. Il était rentré du lycée lorsqu’un coup de téléphone avait annoncé qu’Edouard, hospitalisé depuis plusieurs jours, venait de succomber à une cirrhose. Maria était effondrée, brisée par la nouvelle, mais Landry n’avait ressenti qu’un vague soulagement, mêlé à une froide indifférence. Pour lui, Edouard n’était plus qu’une ombre lointaine, une présence absente, un homme qui n’avait jamais vraiment été là pour lui ou pour sa mère. La perspective de sa mort ne provoquait aucune émotion forte, aucune révolte. C’était juste un fait de plus, un événement inévitable. Il se souvient avoir serré sa mère dans ses bras, mais sans réellement savoir quoi dire. « Ça va aller. », répétait-il alors que ses lèvres se collaient à la chevelure de sa mère. « On est tous les deux, ensemble. » Les mots semblaient inutiles, vides de sens face à ce que Maria traversait car elle, était bouleversée. Dans un coin de sa tête, Landry pensait déjà à l’après, à ce que cela changerait pour eux. Son père était mort, certes, mais la vie devait continuer. C’était une leçon qu’il avait apprise très tôt : les émotions, les regrets, tout cela ne faisait qu’entraver le chemin vers ce qui comptait vraiment. Il continua son quotidien sans jamais vraiment se laisser atteindre, gérant les formalités avec un détachement qui surprit même les rares proches venus soutenir Maria. Pour lui, c’était une page qui se tournait, rien de plus.

le dessein

Lorsqu’il débuta ses études de médecine, Landry savait qu’il n’avait pas le choix : il devait travailler en parallèle pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère, maintenant hospitalisée. Chaque semaine, il jonglait entre ses cours intensifs et des petits boulots plus ou moins lucratifs. Il avait appris à cacher sa fatigue sous un masque d’efficacité et de courtoisie. La médecine, pour lui, n’était pas seulement une manière de faire vivre la vocation de sa génitrice – c’était aussi un moyen de gravir les échelons, d’accéder à un statut et à une sécurité financière qui lui avaient toujours échappé. Sa mère était enfermée dans son propre enfer – enfer qu'elle parvenait à quitter de temps à autre avant de rechuter – et Landry faisait en sorte de régler les frais médicaux, tout en évitant de s’attacher trop à cette situation désespérée. Il avait brièvement trempé dans la vente de drogue, juste assez longtemps pour amasser l’argent nécessaire, mais il s’était vite retiré de ce milieu. Son intuition ou sa belle étoile, l'ami qui lui avait introduit cette activité fut arrêté par la police quelques semaines plus tard. L’expérience lui avait laissé un goût amer, renforçant sa conviction que la ligne entre éthique et opportunisme était fine, parfois invisible. La dualité entre réalité et ostentation se renforçait davantage, comme un modèle qui faisait ses preuves avec les années.

le docteur

Au sein de l’hôpital où il entama son internat, Landry devint rapidement une figure appréciée pour sa rigueur et sa disponibilité. Toujours bien habillé, toujours poli, il était le collègue modèle, prêt à rendre service mais toujours en calculant ce qu’il pouvait en tirer. Il avait compris que dans cet univers compétitif, chaque interaction pouvait être une opportunité. Les patients l’aimaient pour son empathie apparente, son écoute attentive, mais Landry ne faisait que jouer un rôle. Il savait que l’image qu’il renvoyait était son meilleur atout. Avec ses collègues, il cultivait des relations stratégiques, échangeait des faveurs mais restait toujours prudent, peu étaient proches de lui. Landry prenait soin de dissimuler cette part plus sombre de sa personnalité sous un professionnalisme irréprochable, justement pour que cela ne se retourne pas contre lui. Il n'avait confiance en personne, n'évoquait jamais son passé – ou en inventait un qui était complètement faux – et ne parlait absolument pas de ma mère. Il maîtrisait l’art de mener une double existence, celle du médecin exemplaire et celle de l’homme intéressé, déterminé à avancer coûte que coûte dans un monde où seuls les plus rusés survivent.

--- lonely together

i might hate myself tomorrow, but I'm on my way tonight, at the bottom of a bottle, you're the poison in the wine

C'est joli par ici (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 893420793

Rebienvenuuue (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 1526047202

Et amuse toi bien de nouveau (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 3373067906

When I look at you

[...]I see the truth.
You love me for who I am, like the stars hold the moon, right there where they belong and I know I'm not alone.

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BONCHOUUUUR VOUS (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 4052937387

C’est qu’il est beau en plus (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 206649278

J’ai hâte hâte hâte de toutes les carabistouilles qui vont arriver, tu fais deux heureuses avec ce choix (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 1484806105

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Par contre va falloir nous remplir cette fiche (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 2078041801

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Re bienvenue à la maison :l:

while you were out building other worlds, where was i? where's that man who'd throw blankets over my barbed wire? i made you my temple, my mural, my sky. now i'm begging for footnotes in the story of your life.

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Purée mon bébé Dacre. (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 2954228499

Rebienvenue à la maison. (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 206649278

Tu aurais dû rester loin de cette zinzine de Ruben, toutes mes condoléances. :drama:

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)

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Rebienvenue avec cette petite bouille (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 1949770018

I have to get out of this place but instead I'm at peace with staying (grow into love ; half moon run)

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C’est donc lui ce monsieur qui promet, hâte d’en savoir plus (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 199959295

Bienvenue de nouveau à la maison, je suis impatiente de suivre vos aventures ici :l:

i'm stronger now

Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..

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rebienvenue parmi nous avec ce personnage qui promet du drama si j'ai bien compris. (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 206649278

bonne rédaction pour ta fiche. (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 1949770018

c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.

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(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure AgDflBz

Re bienvenue ici :l:

Bon courage pour ta fichette ! (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 1949770018

Que la chasse commence

Zorya

(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure Duni6bp

(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure CWRZ1Ra

:

rebienvenue :l:

drama is coming again si j'ai bien compris, j'aime ça (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 4222248358

it's gonna be weeks 'til I breathe again

Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.

(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure RKZDipO

(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure WGgQd3n

son équipement:

Re bienvenue parmi nous I love you

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(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure FhycjZK

(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 1Ok5bCC

rebienvenue à toi (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 2954228499

I'm done hating myself for feeling

(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure NiqjIvU

(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure ZQccd0b

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Re bienvenue chez toi et bon courage pour ta fiche. (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 3836688744

Ce qu'il peut être joli ce Dacre n'empêche !!!

Hâte d'en savoir plus sur ce beau Monsieur :l:

▬ the night breeze carries something sweet, a peach tree

(landry) partir à la conquête d'une vie moins dure AeKBfAq

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rebienvenue à la maison (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 1949770018

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Alors là, J’ai hâte de voir ce que vous allez nous faire encore comme drama. (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 3217047551

*Se prépare déjà du pop corn.*

J’adore ce choix d’avatar et j’ai hâte d’en apprendre un peu plus sur lui. :l:

Rebienvenue à toi. (landry) partir à la conquête d'une vie moins dure 763064237

Quand j'brûle, j'deviens meilleur

J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.

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