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 (maxyn #2) if these walls could talk

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AuteurMessage
Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
la muse des cauchemars
En ligne
(maxyn #2) if these walls could talk 9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
(maxyn #2) if these walls could talk 399a3a0adac30bc9c964a5ffaa4d4e7f3494aae0
POSTS : 33449 POINTS : 2950

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : indianred.
RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―

(07) cecilia #1chad #3atlasspencer #14danaë #3katherinemaxwell #2

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

(maxyn #2) if these walls could talk 616bfddbfe3ceeca1b184a6faaa744d1a87adae5
maxyn #2 ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 12

(maxyn #2) if these walls could talk 3a44d144a8bde068fb9bbf98d07bff96bdb42f25
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

(maxyn #2) if these walls could talk 30
danalyn #3 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

(maxyn #2) if these walls could talk 297a714e8dfbe2965870bfed0f152606f9c9e175
cecilia #1 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

(maxyn #2) if these walls could talk Tumblr_inline_pq7a8g2DmG1u9urvd_400
miles (scénario libre) ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

(maxyn #2) if these walls could talk 0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyJeu 22 Aoû 2024 - 0:07

Maxwell Eames adore ce message


west end → at nate's jazz club


if these walls could talk  
Raelyn Blackwell & @Maxwell Eames ☆ crédit/harley

Le premier des deux messages m’étant adressé au Casino est resté sans réponse et, nul besoin de le préciser, sans que j’honore la "convocation" à me rendre dans les bureaux de monsieur le procureur pour une petite discussion. Bien sûr, le formalisme ne rendait pas la chose très officielle mais j’ai compris que discussion équivalait à questions et que la cordialité n’était qu’une façade. Se tenir résolument du mauvais côté de la barrière ou, en tout cas, du côté illégal signifie assez ironiquement par la même occasion connaître ses droits sur le bout des doigts. En l’occurrence, je ne m’exposais à rien en refusant d’honorer le rendez-vous qui a été fixé par l’intriguant sans me consulter au préalable et je crois que, même si cela avait été le cas, ma fierté m’aurait poussée à refuser de me déplacer. Je ne suis pas un chien que l’on siffle. On ne convoque pas Raelyn Blackwell. Et puisque je soupçonne tout ceci de n’être rien de moins qu’une démonstration de force et de pouvoir, je n’ai pas l’intention de donner à l’homme de loi de quoi jubiler.

Lorsque je passe les portes du loft, ma condition de veuve se rappelle à moi et je dors mal, quand je dors. La plupart du temps, le sommeil se refuse à moi et la douleur me dévore l’estomac et les entrailles pendant ces longues heures que je passe à tourner dans mon lit. Lorsque je me résous à chercher de l’aide dans des solutions artificielles, les somnifères sont ma délivrance. Micah pleure beaucoup. Elle pleure en appelant son père ; elle n’a pas vraiment compris les raisons pour lesquelles il ne revenait pas. J’ai tenté d’expliquer la mort à ma fille avec des mots qu’elle peut comprendre, des mots qui ne la briseront pas non plus. Le concept reste nébuleux pour une enfant de deux ans et demi. Deux choses me permettent de garder l’esprit clair et de ne pas sombrer dans une folie destructrice : ma princesse, et l’idée d’obtenir si pas justice pour Amos, au moins une forme de vengeance. Les manigances de Maxwell Eames – une fois qu’il a quitté le casino, retrouver son identité n’a été qu’une formalité – ont au moins le mérite d’octroyer un peu de repos à mon esprit et mon cœur en deuil. De se focaliser sur autre chose que le vide ignoble et la douleur qui grandissent au fond de mon estomac. Le temps aidera. Foutaises. Chaque seconde qui passe sans Amos me fait un peu plus mal que la précédente. Je voudrais être capable d’éteindre mes sentiments et de ne devenir plus qu’un robot aux instructions basiques ; l’avoir tant aimé prend des allures de malédiction.

Le second message a pris une forme plus originale. Toujours adressé à mon nom, le courrier a été déposé sur le bureau en ébène que j’occupe à l’Octopus et s’il n’a pas été fait un secret de l’expéditeur – l’enveloppe provenait à nouveau du bureau du procureur – son contenu était pour le moins surprenant. Un simple prospectus. Un flyer distribué par l’un des clubs de jazz de la ville pour vendre une soirée à thème ayant lieu le surlendemain. Audacieux, ai-je pensé en retournant le papier glacé à la recherche d’une annotation que je n’ai pas trouvée. J’ai envisagé pendant un instant de ne pas y foutre les pieds. Mais intriguée par la démarche, j’ai envisagé l’avantage qu’un lieu neutre offrait : là-bas, peut-être Eames serait-il moins sur ses gardes. Peut-être aurait-il le sentiment d’avoir pris l’ascendant en m’ayant débusquée de ma tanière et serait-il plus facile à percer à jour. Alors le jour désigné par le prospectus, j’ai enfilé une robe et une paire d’escarpins et ai délaissé mon casino pour un établissement bien plus modeste.

Les nappes en velours rouge sont à mes yeux de mauvais goût, je le note alors que mes bracelets tintent contre ma montre hors de prix tandis que je pivote mon poignet pour regarder l’heure. Il est ponctuel. Je le suis tout autant, bien trop efficace pour envisager de me faire désirer en arrivant avec un quart d’heure de retard. Je n’ai pas besoin de ce genre d’esbrouffe pour asseoir ma domination sur une situation. Je me dirige au contraire d’un pas décidé et le menton levé bien haut vers la table où le procureur est installé. Comme à mon habitude, je toise les autres occupants de la pièces d’un air qui en dit non sur le sentiment de supériorité qui m’a toujours habitée, aussi loin que je me souvienne en tout cas. Sans un mot mais après l'avoir dévisagé de pieds en cap, je tire la seconde chaise présente à la table pour m’installer. D’un geste gracile, je fais glisser l’invitation en papier glacé dans sa direction. « C’est à ça que sert l’argent du contribuable ? » Je lève un sourcil, avant de désigner d’un tour de main nonchalant la salle dans laquelle nous nous trouvons. « A que vous puissiez vous payer des soirées au casino et des rendez-vous dans des clubs de jazz ? » J’appuis mon dos contre le dossier de mon fauteuil, avant de croiser mes poignet sur mes cuisses. « Pas étonnant que la côte de popularité du service public soit si basse. »




:gniark: :


Dernière édition par Raelyn Blackwell le Jeu 5 Sep 2024 - 23:11, édité 2 fois
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Maxwell Eames
Maxwell Eames
le silence des agneaux
ÂGE : quarante-quatre ans.
SURNOM : eames, si on peut considérer ça comme un surnom. max, de temps à autres, mais ne pas se laisser tenter sans qu'il ait donné l'accord avant (d'autres ont essayé avant, pas satisfait ni remboursé).
STATUT : il faudrait déjà qu'il y trouve un quelconque intérêt pour en venir à porter la moindre étiquette.
MÉTIER : procureur pour l'état du queensland depuis plus de trois ans, anciennement avocat de la défense, le tribunal est son terrain de jeu favori et l'endroit où il est autant appréciable que terrifiant de l'y croiser.
LOGEMENT : une maison mitoyenne à celle de rose, quante-vingt cinq ans, où la poussière s'entasse dans toutes les pièces et où la chaise de son bureau aurait besoin d'être changée tant il passe du temps assis dedans.
POSTS : 114 POINTS : 760

TW IN RP : abandon d'enfant et intervention sociale liée, domaine judiciaire, manipulation, mention du monde de l'illégalité, troubles psychologiques (alcoolisme, abus émotionnel, dépression), violences physiques et verbales (dont domestiques et envers des enfants) (j'étofferai pour être plus précise si besoin mais c'est pas joyeux-joyeux quoi).
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
CODE COULEUR : mediumblue.
RPs EN COURS : (deux) norahraelyn #2
RPs EN ATTENTE : andrea
RPs TERMINÉS : 2024: raelyn
AVATAR : matt smith.
CRÉDITS : harley (avatar) › starsjumper (userbars) › hannahcommissions (signature gifs).
DC : ezra beauregard, le coeur navré (ft. sam claflin) › damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le poids des regrets (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, le fantôme du présent (ft. zendaya coleman).
PSEUDO : luleaby.
INSCRIT LE : 20/07/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t55146-living-for-the-thrill-of-hitting-you-where-it-hurts-maxwell
https://www.30yearsstillyoung.com/t55186-maxwell-a-perfect-case-for-my-certain-skill-set

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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyJeu 29 Aoû 2024 - 18:51

Raelyn Blackwell adore ce message



if these walls could talk
lieu: at nate's jazz club, west end.
(c): harley (gif), luleaby (codage).

***

« Pas de nouvelles ? » Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis qu’il avait envoyé le courrier, et il n’avait pas eu de retour. Personne ne s’était présenté non plus, ce qui n’était pas là la démarche ordinaire lorsque quelqu’un recevait une enveloppe provenant de son bureau. Loin d’être déstabilisé - il lui en fallait plus, tout de même -, cela le faisait quelque peu perplexe: il avait pensé qu’elle lui ferait parvenir, qu’importait la forme, un retour de sa présence ou non. « Rien du tout. » La secrétaire fit un petit sourire presque désolé, alors qu’il grogna quelque peu, attrapant le reste du courrier avant de retourner dans son bureau. Sa boite mails restait elle aussi à l’image du reste: vide de considération à son égard. Son égo était important, mais pas assez pour s’en formaliser réellement. Presque et surtout même: c’était de la déception qu’il percevait. Il pensait qu’elle aurait d’avantage de cran que ça, et qu’elle se serait pointée dans tous les cas - peut-être pas à l’heure ou la date indiquée, qu’elle le ferait selon ses propres règles, mais qu’elle l’attendrait à un moment inopiné dans son propre bureau en lui soulignant qu’il avait trainé à arriver.

La seconde idée lui parvint alors qu’il écoutait distraitement une discussion entre deux avocats entre deux affaires au tribunal. Il n’était pas du genre à profiter de la moindre soirée organisée, mais il pouvait avouer qu’au moins cela avait au moins un certain panache. Esquissant un petit sourire, il annota le dossier qu’il tenait devant ses yeux en s’en servant comme bloc note; une fois sur le chemin retour du tribunal, il passa par l’endroit mentionné pour récupérer l’un des flyers qui annonçaient justement la soirée à venir. « Même adresse que l’autre fois. Sans rien ajouter, envoyez juste ça. » Parfois, sa secrétaire se demandait pourquoi elle avait accepté l’offre d’emploi qui lui avait été proposée.

Il était arrivé quelques minutes avant elle - rien de bien spectaculaire, il tenait simplement à ce qu’elle ne soit pas déjà présente lorsqu’il se pointerait sur place puisque c’était lui qui l’avait invité et non le contraire. Ne faisant même pas l’effort de se lever de la chaise sur laquelle il se tenait, il haussa quelque peu un sourcil en lui indiquant d’un geste presque las de sa main de s’installer face à lui. Il avait bien vu que son regard avait analysé les environs, les tables alentours et le lieu de manière plus général où ils se trouvaient ce soir. « C’est à ça que sert l’argent du contribuable ? A que vous puissiez vous payer des soirées au casino et des rendez-vous dans des clubs de jazz ? » En guise d’introduction, elle lui avait glissé l’invitation qu’il lui avait envoyé, comme pour justifier sa présence sur place; comme s’il ne savait pas déjà que ce n’était pas un simple hasard. « Pas étonnant que la côte de popularité du service public soit si basse. » Avec un petit rire, il secoua quelque peu sa tête de gauche à droite, interpelant le serveur le plus proche d’un signe de la main. « Ca aurait pu être l’argent du contribuable, effectivement. Personne me l’aurait reproché, sauf effectivement la population générale qui trouverait que c’est un gaspillage colossal. » Il ne saurait blâmer le reste de la population de le penser: à leur place, il le ferait. Il fit rouler ses lèvres l’une sur l’autre. « C’est moi qui vous invite ce soir. Ca change pas grand chose parce-que je suis payé par le contribuable, mais la facture sera à mon nom. » Son regard accrocha celui de la blonde face à lui. « Il vous est revenu d’ailleurs ? Mon nom ? » Il n’était pas dupe, s’était imaginé la manière dont les choses s’étaient passées après son départ et était à peu près sur d’avoir raison sur la question. « Après notre entrevue, et avant qu’il soit inscrit sur la première invitation à laquelle vous avez pas daigné répondre. Il vous ait revenu ? » L’avez-vous cherché ? surtout, demandait son regard. Parce-qu’il était sur qu’elle avait du le chercher, ses souvenirs des fois où ils s’étaient déjà retrouvés dans la même pièce n’étant pas assez susceptibles de lui apporter l’information - sinon, elle l’aurait eu bien plus aisément ce soir là au casino, lorsqu’il était face à elle. Ses souvenirs de lui étaient étroitement liés à ceux de son mari - de son feu-mari - et surtout à la partie la moindre agréable de sa misérable vie, elle ne devait pas leur prêter une douce attention mais plutôt les refouler pour ne pas les voir resurgir quand bon leur semblait.




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Raelyn Blackwell
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MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
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PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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danalyn #3 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #1 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyJeu 29 Aoû 2024 - 20:48

Maxwell Eames adore ce message



if these walls could talk  
Raelyn Blackwell & @Maxwell Eames ☆ crédit/harley

Observer la pièce d’un regard circulaire n’est pas qu’une façon de chercher l’homme que je suis supposée retrouver. Ce n’est pas non plus une manière pour moi de découvrir les lieux et de me faire une idée à leur sujet. Si j’étais n’importe qui d’autre, le geste aurait été anodin, mais parce que je suis moi, il est révélateur de ma personnalité. Méfiante, je scanne la pièce du regard ainsi que chacun de ses occupants à la recherche d’une potentielle menace, ou d’un indice indiquant que je serais tombée dans un guet-apens. Oh, je doute qu’il aurait été orchestré par monsieur le procureur, les méthodes des représentants de la loi sont bien plus prévisibles que ce genre de manigances. Non, je suis simplement consciente qu’en tout temps, des ennemis ou des rivaux peuvent être au coin de la rue ou, dans le cas présent, s’être installés sur une table d’un club de jazz pour me tendre un piège pour me supprimer de façon plus ou moins indolore. Personne de suspect ne capte mon regard et, autour d’une table et discrètement, ce sont deux de mes gardes du corps à moi qui s’installent. Ils sont là, toujours, quelles que soient les circonstances et, point primordial ce soir : ils sont habitués à se fondre dans la masse et à ne pas se faire remarquer. Qu’une femme d’affaires soit si étroitement surveillée n’est certes pas impossible, mais assez insolite pour attirer l’attention. Je ne souhaite pas éveiller le moindre soupçon et inviter mon interlocuteur à se poser plus de questions sur ma personne que cela est nécessaire. Les deux agents de sécurité sont arrivés plusieurs minutes avant moi - je les repère sans mal sans m’attarder sur eux. Rassurée quant au fait que la mort ne m’attende pas au tournant, je repère la petite table à la nappe en velours rouge à laquelle Maxwell Eames s’est installé, et je m’y dirige d’une démarche princière.

« Ça aurait pu être l’argent du contribuable, effectivement. Personne me l’aurait reproché, sauf effectivement la population générale qui trouverait que c’est un gaspillage colossal. » - « Voyons, qui n’a pas envie de mettre la main au portefeuille pour que monsieur le procureur décompresse dans un jazz-club en bonne compagnie ? » L’ironie perce sans grand mal. La compagnie en question n’est d’ailleurs pas particulièrement déterminée à être bonne, bien plus intéressée par le fait de comprendre ce que me veut ce foutu type avec ses foutus yeux verts à la forme insolite. « C’est moi qui vous invite ce soir. Ça change pas grand-chose parce-que je suis payé par le contribuable, mais la facture sera à mon nom. » S’il attend un merci de ma part, alors il aura le temps de redevenir poussière avant de l’obtenir. Je ne remercierai pas un homme responsable de la mort d’Amos, je peux le plumer en commandant le plus cher des whisky de la carte, mais il me reste toutefois des principes.

Des principes, ainsi qu’une soif de vengeance profondément ancrée. « Il vous est revenu d’ailleurs ? Mon nom ? » Oh, monsieur le procureur se demande s’il m’a assez intéressée pour que j’apprenne son patronyme ? Dieu que c’est touchant. Bien sûr, le message à destination de mon avocat actuel a été envoyé à peine a-t-il quitté l’Octopus, et l’information m’a été remise. Toutefois, j'abhorre l’idée qu’il m’imagine ayant moi-même tapé la requête dans un moteur de navigation comme la première demoiselle en recherche de l’identité d’un minot lui ayant tapé dans l'œil. S’il n’avait renchéri, un sourire énigmatique aurait été ma seule réponse. « Après notre entrevue, et avant qu’il soit inscrit sur la première invitation à laquelle vous avez pas daigné répondre. Il vous est revenu ? » - « Maxwell est piqué que je n’ai pas répondu à sa petite invitation ? Frustré que je n’ai pas accepté de venir visiter ses bureaux ? » Il est fier et, si je l’avais deviné, qu’il aborde ce sujet me le confirme. Il n’a sûrement que très peu apprécié le fait que l’on défie son autorité de la sorte. Parfait. Je n’ai pas apprécié qu’il fasse de mon époux un monstre face au jury. « Il m’est revenu. En quelque sorte. » Ainsi, j’omet volontairement de préciser que je me suis renseignée. Personne ne sera dupe, mais je ne prononcerai pas la phrase à voix haute. « Qu’est-ce que c’était ? Mon charme irrésistible ? Mon culot ? Le fait que je ne vous mange pas dans la main ? » Je surjoue volontairement, penchant la tête comme en proie à une profonde réflexion. « Qu’est ce qui vous a tant donné envie de me revoir ? » Je sais que les choses sont bien différentes. Il a probablement appris que j’avais sollicité les meilleurs avocats de l’état pour des conseils juridiques dans le cas du meurtre - déguisé, je n’en démords pas - d’Amos, et il se doute certainement que je suis déterminée à lui pourrir la vie. Toutefois, je m’interroge : qu’espère-t-il tirer de ces échanges que l’on peut à présent qualifier de répétés ?




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Maxwell Eames
Maxwell Eames
le silence des agneaux
ÂGE : quarante-quatre ans.
SURNOM : eames, si on peut considérer ça comme un surnom. max, de temps à autres, mais ne pas se laisser tenter sans qu'il ait donné l'accord avant (d'autres ont essayé avant, pas satisfait ni remboursé).
STATUT : il faudrait déjà qu'il y trouve un quelconque intérêt pour en venir à porter la moindre étiquette.
MÉTIER : procureur pour l'état du queensland depuis plus de trois ans, anciennement avocat de la défense, le tribunal est son terrain de jeu favori et l'endroit où il est autant appréciable que terrifiant de l'y croiser.
LOGEMENT : une maison mitoyenne à celle de rose, quante-vingt cinq ans, où la poussière s'entasse dans toutes les pièces et où la chaise de son bureau aurait besoin d'être changée tant il passe du temps assis dedans.
POSTS : 114 POINTS : 760

TW IN RP : abandon d'enfant et intervention sociale liée, domaine judiciaire, manipulation, mention du monde de l'illégalité, troubles psychologiques (alcoolisme, abus émotionnel, dépression), violences physiques et verbales (dont domestiques et envers des enfants) (j'étofferai pour être plus précise si besoin mais c'est pas joyeux-joyeux quoi).
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
CODE COULEUR : mediumblue.
RPs EN COURS : (deux) norahraelyn #2
RPs EN ATTENTE : andrea
RPs TERMINÉS : 2024: raelyn
AVATAR : matt smith.
CRÉDITS : harley (avatar) › starsjumper (userbars) › hannahcommissions (signature gifs).
DC : ezra beauregard, le coeur navré (ft. sam claflin) › damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le poids des regrets (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, le fantôme du présent (ft. zendaya coleman).
PSEUDO : luleaby.
INSCRIT LE : 20/07/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t55146-living-for-the-thrill-of-hitting-you-where-it-hurts-maxwell
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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyLun 2 Sep 2024 - 20:35

Raelyn Blackwell adore ce message



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lieu: at nate's jazz club, west end.
(c): harley (gif), luleaby (codage).

***

« Voyons, qui n’a pas envie de mettre la main au portefeuille pour que monsieur le procureur décompresse dans un jazz-club en bonne compagnie ? » Bien sur que la remarque qu’elle se permit étira un petit sourire au procureur - c’était là tellement sarcastique qu’il ne pouvait pas mal le prendre, pas réellement. Et puis, il n’était pas dupe, et ne vivait pas loin de la réalité si bien qu’il se rendait bien compte à quel point elle pouvait avoir on ne pouvait davantage raison sur ce point. « Monsieur le Procureur espère surtout que le compagnie sera effectivement bonne. » Après tout, si c’était lui qui se voyait aligner les billets à la fin de l’entrevue, il espérait au moins que la soirée pourrait effectivement être qualifiée de bonne - car si la compagnie l’était, le reste suivrait sans trop de soucis.

Et parce-qu’ils abordaient plus ou moins le sujet, il se permit de lui poser une question qui, à elle, lui était restée en tête et sur laquelle elle avait insisté pendant tout le temps où ils avaient pu discuter la dernière fois. Si Raelyn insistait autant sur un monsieur le procureur qui ne savait faire autrement que d’étirer un sourire discret, presque amusé chez lui à chaque fois qu’elle y ajoutait une touche d’amertume de son côté, il savait que ce n’était pas là par gaité de coeur qu’elle utilisait ces mots là et qu’elle aurait voulu connaitre son nom déjà la dernière fois. L’avait-elle retrouvé, depuis ? « Maxwell est piqué que je n’ai pas répondu à sa petite invitation ? Frustré que je n’ai pas accepté de venir visiter ses bureaux ? » Lentement, mais avec assurance et certitude, son sourire se figea sur ses lèvres alors que ses prunelles accrochaient celles de la femme face à lui, désormais. « Eames, s’il vous plait. » Il ajoutait même la formule de politesse, si ce n’était pas magnifique. « Même ma mère m’appelle pas Maxwell. » Sa mère était morte et il n’avait pas eu de ses nouvelles directement depuis qu’il avait quitté le foyer à dix-huit ans, n’en ayant pas grand chose à faire de ce qu’elle devenait ou non. « E effectivement, j’étais frustré de pas vous voir arriver l’autre jour. Mais bien joué de votre part, j’ai envie de dire ? » Parce-que ce n’était pas du hasard, c’était calculé avec précision de sa part - il n’était pas assez dupe, une fois de plus, pour ne pas comprendre tout ce qui se tramait en silence et dans les angles morts. « Il m’est revenu. En quelque sorte. » - « Tant mieux. »

« Qu’est-ce que c’était ? Mon charme irrésistible ? Mon culot ? Le fait que je ne vous mange pas dans la main ? Qu’est ce qui vous a tant donné envie de me revoir ? » Elle manquait donc de modestie: il trouvait cela plutôt charmant chez la gente féminine, puisque ces dames avaient tendance à davantage se mettre en avant et présenter correctement lorsque c’était le cas. Il avait l’occasion d’en croiser, de celles qui manquaient de prestance et d’attitude: au moins, ce ne serait pas le cas lorsqu’il aurait besoin de croiser le chemin de Raelyn. « Le charme, indéniablement. » Le pire ? Il ne mentait même pas: il n’y était pas insensible, et ne comptait pas le cacher; autant parce-qu’elle le savait déjà, qu’elle en possédait et que ce dernier était opérationnel lorsque nécessaire, que parce-qu’il aurait bien d’autres terrains où ils se prendraient le nez, autant profiter de peu d’entente que leur permettait l’entrevue. « Et le travail, aussi, bien entendu. Vous seriez déjà au courant, si vous aviez répondu à ma première invitation. » Il secoua quelque peu la tête de gauche à droite, presque un air désolé accroché au visage - il n’en était rien en réalité -, alors qu’il pinçait les lèvres. « Vous préférez qu’on commence par quoi, du coup ? Votre charme ou le travail ? » Après tout, si elle voulait jouer encore un peu, il pouvait bien la prévenir qu’une des deux réponses contenait une fin à ce semblant de jeu; oh, le chat et la souris était là une action bien connue entre deux personnes, même entre deux personnages fictifs, et il savait que c’était d’une certaine manière ce qui était en place ici à petite dose pour le moment. Mais d’ici à ce qu’il soit lassé d’être coincé dans ce rôle là - donc d’ici à peu de temps - et qu’il ne puisse plus avancer dans son travail, il n’y avait qu’un pas. Alors, que voulait-elle réellement ? Faire en sorte que les choses se passent presque en douceur ou user de sa patience ?




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Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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maxyn #2 ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 12

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #3 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #1 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles (scénario libre) ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyLun 2 Sep 2024 - 23:01

Maxwell Eames adore ce message



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Raelyn Blackwell & @Maxwell Eames ☆ crédit/harley

« Monsieur le Procureur espère surtout que la compagnie sera effectivement bonne. » La compagnie est capable d’être bonne comme elle est capable de déchaîner les sept plaies d’Egypte sur son interlocuteur si elle est déterminée à faire de sa vie un enfer. La différence entre les deux personnes que je suis capable d’être est s’est creusée depuis que mon coeur a appris à aimer, mais le basculement d’un visage à l’autre est parfait déclenché par bien peu. Une phrase que je n’ai pas appréciée. Un regard en direction de ma fille que j’aurais jugé équivoque ou pire, inquiétant. Une menace envers moi, ma famille ou mon empire reste le meilleur moyen d’avoir à faire aux pires aspects de ma personnalité et… Ciel, il vaut mieux éviter de se retrouver dans ce genre de cas de figure.

Maxwell Eames joue de malchance : il me rencontre dans une période où mes bons côtés - déjà rares - ont été balayés par la perte et le deuil. Il me rencontre dans une période où j’ai laissé le monstre dévorer la femme, l’amante, et parfois même la mère. « La compagnie sera ce que vous en ferez. » Il aurait tort d’interpréter ma déclaration comme une reddition ou un acte de soumission. Il s’agit plutôt d’un avertissement. Étonnement, je me surprend à désirer que la soirée, si pas ne s’éternise, dure au moins un minimum : je n’ai pas envie de me retrouver entre les quatres murs de mon domicile, seule et en proie à mes démons. Ils sont aussi dangereux et malveillants que je le suis. Ces derniers jours, ils me chuchotent à l’oreille de trouver une alternative à la douleur mentale et je résiste à la tentation - au besoin impétueux - d’ouvrir la boîte de pandore. « Eames, s’il vous plait. » Le fait qu’il s’estime en droit de quémander que je choisisse une autre appellation est aussi surprenant que preuve de son culot. Que m’a-t-il répondu, lorsque je lui ai demandé d’utiliser mon prénom plutôt qu’un diminutif de ce madame dont j’abhorre la sonorité ? « Même ma mère m’appelle pas Maxwell. » - « Grand bien lui fasse. » Ah, voilà. Dommage pour lui, ma mémoire et mon besoin de provoquer sont inversement proportionnels à la quantité de compassion que je suis capable d’offrir à mon prochain. Je le laisserai à l’occasion deviner laquelle de ces choses est faible et laquelle est l’une des pierres angulaires de ma personnalité. « Raelyn. » Voyons s’il est capable de céder du terrain pour obtenir lui aussi ce qu’il désire. Dans le cas présent, être appelé par son nom de famille plutôt que son prénom. Je me demande ce que cela dit sur lui. « Entendu ? » Peut-être m’arrivera-t-il de manquer à ma parole à une occasion ou une autre, mais pour ce soir au moins, je respecterai sa volonté s’il respecte la mienne.

« Et effectivement, j’étais frustré de pas vous voir arriver l’autre jour. Mais bien joué de votre part, j’ai envie de dire ? » Je laisse échapper un rire amusé, avant d’adresser un bref signe de la main à un serveur qui passe pour qu’il vienne prendre ma commande. J’ai l’habitude d’être servie sans avoir patienter pendant de trop longues minutes, tout comme j’ai l’habitude de prendre les choses en main plutôt que de compter sur la galanterie. Je ne suis pas le genre d’idiote qui désespère d’un jour rencontrer un homme - son prince charmant - capable d’en faire étalage. J’exècre ce trait de personnalité ; je ne suis ni plus faible qu’un homme ni moins capable. Je n’ai pas besoin de courbettes et de baisemains. « Vous avez l’habitude qu’on vous obéisse au doigt et à l'œil. » Ce n’est pas une question, c’est un constat que je tire avec la suffisance et l’assurance qui sont miennes. « Je ne suis pas un chien que l’on siffle. » Et s’il s’obstine à s’inscrire dans mon paysage - pour une raison que je devine en partie - il faudra qu’il apprenne à composer avec mon insolence. Amos me reprochait de me mettre sur la défensive dès que je supposais qu’il tentait de me couper les ailes. Ce dont je suis aujourd’hui certaine, c’est que plus personne ne fera ne serait-ce qu’imaginer la chose possible. « Tant mieux. » Sans doute s'enorgueillit-il de supposer que j’ai fait des recherches, que je lui ai alloué ne serait-ce qu’un peu de mon temps. Peut-être découvrira-t-il un jour qu’il vaut mieux ne pas être sur mon radar.

« Le charme, indéniablement. » - « La flatterie donc. L’angle d’approche est intéressant. » Nouveau, puisqu’il n’a cessé de faire en sorte d’asseoir un semblant de pouvoir lors de notre premier et unique face à face. Peut-être a-t-il compris qu’il ne parviendrait à rien sans un minimum de doigté. Toutefois, je reste méfiante. « Et le travail, aussi, bien entendu. Vous seriez déjà au courant, si vous aviez répondu à ma première invitation. » - « Convocation. » Bien que rien ne m’obligeait légalement à l’honorer, c’est ce que c’était. On n’invite pas quelqu’un dans les bureaux du procureur du Queensland pour converser autour du sujet de son défunt mari. On la convoque. On exige. Personne n’exige rien de moi. « C’est la première fois que vous m’invitez. » J’ajouterai bien "si vous l’aviez fait la première fois, je serais venue" mais c’est faux. Il se trouve que le pouvoir est à moi aussi mon péché mignon. « Vous préférez qu’on commence par quoi, du coup ? Votre charme ou le travail ? » - « J’adorerais vous entendre sur mon charme. » Il n’en est pas dépourvu, du reste. Je suis toutefois trop endeuillée pour être émoustillée d’une quelconque façon. Non, c’est la lutte pour le pouvoir, encore lui et toujours lui qui me fait me sentir vivante pour la première fois depuis plusieurs semaines. Il me fait me sentir vivante là où - j’ai honte de l’admettre - même Micah a échoué. « Si vous arrivez à me convaincre, disons… De moitié, ou même d’un quart de votre sincérité, alors on pourra passer au travail. » Le serveur tarde à venir prendre ma commande : pas de chance pour Maxwell Eames, il ne reste à l’employé du club de jazz qu’une poignée de secondes avant que l’impatience n’entame mon humeur du soir.




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Maxwell Eames
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MÉTIER : procureur pour l'état du queensland depuis plus de trois ans, anciennement avocat de la défense, le tribunal est son terrain de jeu favori et l'endroit où il est autant appréciable que terrifiant de l'y croiser.
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TW IN RP : abandon d'enfant et intervention sociale liée, domaine judiciaire, manipulation, mention du monde de l'illégalité, troubles psychologiques (alcoolisme, abus émotionnel, dépression), violences physiques et verbales (dont domestiques et envers des enfants) (j'étofferai pour être plus précise si besoin mais c'est pas joyeux-joyeux quoi).
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ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
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RPs EN COURS : (deux) norahraelyn #2
RPs EN ATTENTE : andrea
RPs TERMINÉS : 2024: raelyn
AVATAR : matt smith.
CRÉDITS : harley (avatar) › starsjumper (userbars) › hannahcommissions (signature gifs).
DC : ezra beauregard, le coeur navré (ft. sam claflin) › damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le poids des regrets (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, le fantôme du présent (ft. zendaya coleman).
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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyMer 4 Sep 2024 - 21:52

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« La compagnie sera ce que vous en ferez. » Cette réponse là lui fit pincer les lèvres et plisser un brin du nez - un mouvement imperceptible pour toute personne ne l’observant pas ou n’étant pas désireuse de savoir quelle allait être sa réaction à cette réponse là. La compagnie serait donc bonne en première partie de discussion, surement un peu moins par la suite et ce n’était pas pour lui plaire: il aurait préféré qu’elle soit délicieuse tout du long; il n’était cependant pas toujours possible d’obtenir ce que vous souhaitiez dans la vie. « Grand bien lui fasse. » Sur un second sujet, cela semblait tirer dans cette direction également: elle n’était pas femme à se laisser facilement faire et le fait qu’il pointe du doigt un détail qu’elle se devait de modifier pour s’accommoder à lui n’était pas là pour lui plaire. C’était aisément entendable dans le ton et le choix des paroles qu’elle faisait. « Raelyn. » Il pencha quelque peu sa tête sur le côté, son regard déviant de l’horizontal sans pour autant se déloger du sien. « Entendu ? » Il se contenta d’inspirer légèrement plus longtemps, d’expirer de manière plus appuyée, tout en dodelinant quelque peu de la tête. « C’est envisageable. » Il ne fallait pas être sorti de Saint Cyr pour comprendre qu’ils compromettraient rapidement tous les deux l’idée à laquelle ils tendaient à s’accorder.

« Vous avez l’habitude qu’on vous obéisse au doigt et à l’œil. » - « J’ai l’habitude d’être en position pour que ce soit le cas, surtout. » De part le poste occupé et les fonctions qui s’y associaient, il avait l’habitude que les personnes autour de lui aient plutôt tendance à courber l’échine voire même à craindre sa présence - selon la catégorie désignée. Elle n’appartenait à ni l’une, ni l’autre ni la troisième; elle serait de ceux qui préféraient tordre le fer sans forcément qu’il soit chaud, simplement parce-qu’il menaçait de rester droit. « Je ne suis pas un chien que l’on siffle. » - « Je prends note. » Il aurait donc besoin d’imaginer d’autres méthodes pour qu’elle finisse par être à l’endroit attendu, contrairement à d’autres personnes. « Tant mieux. » Qu’il appuya une seconde fois: au moins, cela permettrait des échanges intéressants et stimulants.

« La flatterie donc. L’angle d’approche est intéressant. » Il haussa les épaules de façon nonchalante, comme si c’était trois fois rien et qu’elle ne devrait pas s’étonner pour presque si peu. Après tout, il fallait savoir tenter certaines manières d’être et d’aborder les personnes en fonction de qui était devant vous, et s’adapter surtout selon ce dernier critère. Si elle lui tendait une perche qu’il sentait devoir prendre, il la prendrait - et cela se confirma avec la manière qu’elle eut de rebondir sur la seconde raison, bien plus prenante en réalité dans cette situation que la première citée, qu’il mit en avant. « Convocation. » Tomato, tomahto. « C’est la première fois que vous m’invitez. » - « Je considère la convocation comme une invitation aussi. » Qu’il releva; si ce n’était pas le point de vue qu’elle semblait avoir, c’était pourtant une invitation pour le travail qu’il avait envoyé - certes, de celles qui arrivaient dans des enveloppes estampillées du gouvernement, mais cela restait une invitation malgré tout. « Une invitation pour le travail. » Qu’il précisa malgré tout à haute voix, alors, une fois qu’il eut laissé quelques secondes d’un silence qui n’était en rien pesant stagner entre eux encore un instant. Par quoi voulait-elle qu’ils commencent, alors ? La raison de la première ou de la seconde invitation ? « J’adorerais vous entendre sur mon charme. » Il esquissa un fin sourire: il aurait pu se douter de la réponse. « Si vous arrivez à me convaincre, disons… De moitié, ou même d’un quart de votre sincérité, alors on pourra passer au travail. » Oh, il aimait l’idée de rendre cet échange, cette entrevue amusante et presque ludique. Ce ne serait pas le cas tout le long de cette dernière, mais s’ils pouvaient garder un instant de répit pour eux, pourquoi s’empêcher de le saisir ? Croisant les mains devant lui en les posant sur la table, basculant quelque peu son buste vers l’avant comme s’il s’apprêtait à avouer un secret, il laissa son regard s’accorder à celui de la blonde. « C’est rare, de rencontrer une femme avec votre… aura. » Plusieurs mots avaient défilé devant ses yeux - tempérament, comportement, prestance - mais ces derniers n’étaient pas assez justes, il le savait. « Disons qu’en vous regardant dans un premier temps, on s’y attend pas. » Il avait lui-même été berné par les premières fois où leurs chemins s’étaient croisés - de loin, en rien comme c’était le cas aujourd’hui -; il s’était rapidement repris par la suite lorsque ses observations avaient suffi à lui faire comprendre que ce n’était qu’une image qu’il projetait seul car c’était ce qu’il s’attendait à croiser. « Je me doutais que ce serait encore différent en vous parlant de vive voix, je m’étais pas trompé. » Le sourire qu’il tirait au coin de ses lèvres se voila d’un certain amusement. « Vous savez que les gens s’écartent sur votre passage, non ? Parce-qu’ils savent pas s’ils doivent avoir peur ou se laisser attraper dans votre filet ? » Il avait surtout ça lorsqu’elle s’était déplacée à travers la foule au casino - son terrain de jeu, plus aisé pour elle - mais il l’avait également vu lorsqu’elle était arrivée ici ce soir. « Naturel ou calculé, cet effet ? » La sympathie de sa part à lui, en revanche, était calculée; certes, le charme qu’elle laissait planer autour d’elle était indéniable et attirait l’attention, mais les apparences ne gagnaient pas des procès; pas celle de la veuve éplorée en tous cas.




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Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
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(maxyn #2) if these walls could talk 9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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maxyn #2 ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 12

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #3 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #1 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles (scénario libre) ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyJeu 5 Sep 2024 - 12:51

Maxwell Eames adore ce message



if these walls could talk  
Raelyn Blackwell & @Maxwell Eames ☆ crédit/harley

« C’est envisageable. » C’est envisageable, mais pas par bonté et bienveillance. Je ne suis pas assez naïve pour ne pas reconnaître que j’ai face à moi quelqu’un qui, certes, joue de l’autre côté de la barrière, mais quelqu’un me ressemble certainement plus qu’il ne veut bien le montrer. Moi aussi je ne donne rien sans rien obtenir en retour. Moi aussi, rien ne m’intéresse davantage que de tirer mon épingle du jeu lorsqu’une discussion et, puisqu’il a cédé le premier ou en tout cas puisque c’est ainsi que les choses se dessinent dans mon esprit, je m’enorgueillis de la certitude d’avoir emporté notre premier bras de fer.

Et pas uniquement parce que son prénom lui est si désagréable à entendre qu’il est revenu sur sa précédente décision – m’appeler et me qualifier exactement tel qu’il avait envie de le faire – mais parce que mon absence l’a agacé, je le sens. Jouer avec les mots ne me permet que de continuer à jouer à la plus maligne mais le constat est le même quelle que soit l’appellation que l’on attribue à sa missive restée sans réponse : j’ai posé un lapin à un homme dans son genre et cela l’irrite. Cela l’irrite assez pour enrober son ton d’une couche de mielleux certainement vouée à me faire baisser ma garde pour reprendre l’avantage. « J’ai l’habitude d’être en position pour que ce soit le cas, surtout. » - « Je vois. » Il est presque décevant de constater qu’il se reposer habituellement sur ses lauriers ou, plutôt, sur ce que son titre et son rôle dans notre belle république lui confère sans qu’il n’ait à ramer ou à fournir le moindre effort pour ça. « Vous n’avez pas l’habitude d’avoir à fournir le moindre effort pour avoir obtenir ce que vous voulez. » Et dans ma bouche, la déclaration n’a rien d’un compliment. Vous êtes fainéant. Je pourrais ajouter qu’il manque de combativité s’il avait baissé les bras. Mais il s’est creusé la tête pour trouver une autre idée, pour réfléchir à des moyens d’attirer l’attention de quelqu’un là où, habituellement, il n’a pas à le faire. Peut-être a-t-il l’étoffe d’un adversaire convenable. « Je prends note. Tant mieux. » Un sourire étire mes lèvres. « Tout le monde veut rencontrer une femme qui a du caractère jusqu’à effectivement en rencontrer une. » Et je ne parle pas d’une femme avec un minimum de répondant, de celles qui ne résistent que pour se rendre plus désirables. Je joue dans une catégorie bien à part : moi, j’ai ce qu’il faut pour faire de la vie d’à peu près qui un enfer, et plutôt que d’en avoir honte ou de rougir à cette idée, j’en tire une indéniable fierté. « Je considère la convocation comme une invitation aussi. » - « Alors il aurait fallu dire s’il vous plait. » L’ironie dans mon ton est palpable et pour cause : comme moi, je doute que ces quatre petits mots passent souvent la barrière de ses lèvres. Comme moi, je suppose qu’ils lui brûlent la gorge lorsqu’il est contraint pour une raison ou d’une autre à de s’y abaisser. « Une invitation pour le travail. » - « Votre travail. Pas le mien. » Les raisons de son "intérêt" pour moi se dessinent avec un peu plus de clarté, mais je ne suis pas surprise. Pour quoi d’autre que le meurtre de mon époux Maxwell Eames se serait-il résolu à approcher une femme comme moi ? Sans doute l’a-t-on déjà mis en garde à mon sujet. Peut-être au moins maintenant sera-t-il forcé de – et plus enclin à – me délivrer ses desseins.

« C’est rare, de rencontrer une femme avec votre… aura. » Mon orgueil me pousse même à penser qu’il n’existe pas une autre personne – femme ou homme – qui me ressemble. Et en toute modestie – ou pas – je ne pense pas qu’il ait déjà rencontré qui que ce soit qui m’arrive à la cheville. « Disons qu’en vous regardant dans un premier temps, on s’y attend pas. » Le rire qui s’échappe de ma gorge est un peu plus sincère, un peu plus authentique que les précédents, pour la plupart calculés. J’abhorre cet homme et tout ce qu’il représente. Mais il y a longtemps que je ne m’étais pas entendue rire. La parenthèse se refermera toutefois, je ne me voile pas la face. Lorsque je retrouverai la solitude du loft, où chaque pièce est chargée de souvenirs et où je n’ai fait aucune modification depuis l’incarcération puis la mort de mon époux, le deuil me dévorera à nouveau toute entière. « J’ai appris à ne plus rougir ou me vexer d’être sous-estimée ou méjugée. » J’ai surtout appris qu’il n’y avait rien de plus jouissif que de faire se décrocher la mâchoire aux hommes tels que les rustres du Club ou du monde de la pègre lorsqu’ils comprennent quel genre de femme je suis vraiment. Qui je suis vraiment. Je n’ai jamais prétendu être qui que ce soit que celle que je suis réellement – dans toute ma laideur – et il est amusant de voir que, malgré ça, la plupart des hommes ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et se font prendre malgré tout. Quant à moi, je ne sous-estime pas. Je sais qu’une ordure ou une meurtrière peuvent tout aussi bien se cacher sous une petite blonde menue que derrière un colosse à la mine patibulaire. « Je me doutais que ce serait encore différent en vous parlant de vive voix, je m’étais pas trompé. » Le serveur choisi ce moment là pour nous délivrer de l’interminable attente et prendre nos commandes. La mienne ne diffère pas de ce que j’ai bu en compagnie d’Eames la première fois et, lorsque le jeune homme se retire, je constate que le procureur ne pas m’a quittée des yeux, comme s’il notait chaque détail pour sa future analyse. « Vous savez que les gens s’écartent sur votre passage, non ? Parce-qu’ils savent pas s’ils doivent avoir peur ou se laisser attraper dans votre filet ? » Bien sûr que je le sais. J’aime être terrifiante autant que j’aime être fascinante. Entre être méprisée, crainte, haïe, adulée ou désirée à en mourir, je n’ai pas la moindre préférence. Ce qui compte à mes yeux, c’est de produire un effet d’une rare intensité et, jusque-là, j’y parviens plutôt bien. L’indifférence est le sentiment qui m’effraye le plus. « Naturel ou calculé, cet effet ? » A la mort d’Aaron, je me suis promis d’être si terrifiante que plus jamais personne n’oserait m’atteindre ou me faire du mal d’une quelconque façon. J’ai réalisé que non seulement je n’étais pas bien douée pour attirer des émotions saines et bienveillantes du nom de compassion, tendresse, douceur et instinct de protection – je tenais plus de l’ignoble chat de gouttière maigre et dégarni que du mignon chaton abandonné que l’on veut prendre dans ses bras et ne plus le lâcher – mais qu’en plus de ça, je m’en moquais. Que je n’avais que faire des ces émotions et réactions-là. « Bien sûr que les gens s’écartent sur mon passage. » Ceux qui me connaissent savent qu’il vaut mieux rester dans mes bonnes grâces ou, encore mieux, éviter que je m’intéresse à eux de trop près. Ceux qui n’ont pas la moindre idée de mon identité sont simplement rebuté ou magnétisés – en fonction des individus – par mon attitude princière. J’ai conscience d’attirer la majorité des regards lorsque j’entre dans une pièce. Toutefois, ce serait mentir que de prétendre que cela a toujours été le cas. « Vous êtes procureur de l’état du Queensland. » Vous savez qui je suis. Mon rôle dans le Club du temps de Mitchell n’est qu’un secret de polichinelle. Interrogée lors de son arrestation, je n’ai été relâchée que par manque de preuves ou de témoignages m’incriminant directement dans les affaires du gang. Dans la ligne de mire des autorités après ça, j’ai détrôné le roi en signant un accord d’immunité avec les forces de l’ordre. Bien sûr, après ça, les activités du Club ont officiellement cessé. Toutefois, personne de son standing n’ignore ce à quoi j’ai pris part, au moins au passé. « Nous n’avons pas besoin de jouer le jeu des faux-semblants. » Ce n’est évidemment pas tout à fait vrai. « Travaillé. Pas exactement calculé, pas exactement naturel. » Développé avec les années qui, l’une après l’autre, m’ont toute rendue un peu plus froide, magnétique et hautaine encore. Mon regard brûlant affronte le sien un instant. Ce que j’y lis me convaincs : il pense, ou en tout cas en partie, ce qu’il dit. « Bien. Le travail alors. Vous voulez savoir à quel point je vais vous pourrir la vie. » J’affirme plus que je ne pose la question. L’éventualité que je me trompe existe encore, mais je ne l’envisage jamais. Dit avec assez d’aplomb, tout devient réalité.





:gniark: :
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Maxwell Eames
Maxwell Eames
le silence des agneaux
ÂGE : quarante-quatre ans.
SURNOM : eames, si on peut considérer ça comme un surnom. max, de temps à autres, mais ne pas se laisser tenter sans qu'il ait donné l'accord avant (d'autres ont essayé avant, pas satisfait ni remboursé).
STATUT : il faudrait déjà qu'il y trouve un quelconque intérêt pour en venir à porter la moindre étiquette.
MÉTIER : procureur pour l'état du queensland depuis plus de trois ans, anciennement avocat de la défense, le tribunal est son terrain de jeu favori et l'endroit où il est autant appréciable que terrifiant de l'y croiser.
LOGEMENT : une maison mitoyenne à celle de rose, quante-vingt cinq ans, où la poussière s'entasse dans toutes les pièces et où la chaise de son bureau aurait besoin d'être changée tant il passe du temps assis dedans.
POSTS : 114 POINTS : 760

TW IN RP : abandon d'enfant et intervention sociale liée, domaine judiciaire, manipulation, mention du monde de l'illégalité, troubles psychologiques (alcoolisme, abus émotionnel, dépression), violences physiques et verbales (dont domestiques et envers des enfants) (j'étofferai pour être plus précise si besoin mais c'est pas joyeux-joyeux quoi).
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
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RPs EN COURS : (deux) norahraelyn #2
RPs EN ATTENTE : andrea
RPs TERMINÉS : 2024: raelyn
AVATAR : matt smith.
CRÉDITS : harley (avatar) › starsjumper (userbars) › hannahcommissions (signature gifs).
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PSEUDO : luleaby.
INSCRIT LE : 20/07/2024
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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptySam 7 Sep 2024 - 20:07

Raelyn Blackwell adore ce message



if these walls could talk
lieu: at nate's jazz club, west end.
(c): harley (gif), luleaby (codage).

***

« Je vois. Vous n’avez pas l’habitude d’avoir à fournir le moindre effort pour avoir obtenir ce que vous voulez. » Oh, elle ne manquait pas une occasion de lui offre un tacle d’une manière ou d’une autre, et il mentirait s’il ne s’en doutait pas autant qu’il n’appréciait pas ça. « Pas ces derniers temps non. » Avait-elle besoin de savoir qu’il avait du cependant le faire pendant de longues années ? Il ne jugeait pas cela nécessaire, pas en ce moment là de la conversation ou même de la situation dans laquelle elle et lui se trouvaient. Qu’elle le pense fainéant, ce n’était pas important; cela pourrait qu’au pire jouer en sa faveur à lui. « Tout le monde veut rencontrer une femme qui a du caractère jusqu’à effectivement en rencontrer une. » - « Je vais pas partir maintenant en courant, si vous vous posez la question. » Il n’était pas effrayé à l’idée de rencontrer une femme de caractère pour de vrai, effectivement, tant il en faudrait plus pour l’impressionner en réalité.

« Alors il aurait fallu dire s’il vous plait. » - « La case existe pas sur l’invitation. » Convocation, comme elle souhaitait l’appeler. « Votre travail. Pas le mien. » Peut-être effectivement que ce n’était pas son travail à elle, mais le sine l’impliquait forcément alors elle devrait s’en soucier malgré tout. Parce-que c’était là la nuance: lorsqu’Eames travaillait, les gens autour travaillaient aussi malgré eux puisqu’ils ne pouvaient se mettre à la tache si d’autres personnes n’étaient pas impliquées, la plupart du temps. En l’occurence, son travail à lui dans cette situation allait forcément en partie dépendre de son implication à elle, active ou non, consciente ou non. « Peu importe. » Parce-que en plus par défaut, si vous étiez convoqué par le procureur, vous ne cherchiez pas d’autre porte de sortie que celle menant à son bureau.

Le rire qu’il réussit à lui tirer sonnait bien plus doux aux oreilles que ceux qu’il avait récolté jusque maintenant - il ne savait pas si cela se devait d’être un compliment ou non à son égard, mais il notait la nuance tout de même dans un coin de son esprit. « J’ai appris à ne plus rougir ou me vexer d’être sous-estimée ou méjugée. » Ce qui devait arriver bien plus que de mesure, dans le milieu dans lequel elle évoluait. « Ca doit même vous aider la plupart du temps, je suppose. » C’était plus simple de cacher son jeu de cette manière, si les autres autour la sous-estimaient et ne prenaient pas le temps de se dire qu’elle pouvait être davantage que ce qu’elle représentait de prime abord. De son côté, Eames avait eu le temps de se rendre compte de l’erreur qu’il avait fait en penser aussi de cette sorte - et leurs conversation actuelle était simplement l’exemple de tout ceci. La manière qu’elle avait d’être, de faire et d’agir réellement était bien plus parlante lors d’un tête à tête de cette sorte que lors de toutes les autres fois où leurs chemins s’étaient croisés.

Le serveur déposa leurs boissons - il nota mentalement dans un coin de son esprit ce qu’elle avait demandé pour l’avoir à portée de main pour plus tard, non sans jamais décrocher son regard de son visage. Ses réactions étaient plus importantes que la boisson qu’ils s’apprêtaient à boire.

« Bien sûr que les gens s’écartent sur mon passage. » - « C’est presque impressionnant à voir. » Presque: il n’allait pas non plus pousser le bouchon trop loin et accorder des compliments là où il n’en donnait pas vraiment. Simplement tout le monde n’était pas capable de produire cet effet là, surtout par simple présence autour de personnes n’ayant aucune idée de qui vous pouviez bien être. Lui faisait cet effet là mais au milieu de personnes qui connaissaient son statut; lorsque ce n’était pas le cas, les gens ne l’abordaient pas simplement parce-qu’il n’avait pas particulièrement l’air aimable mais rien à voir avec sa fonction ou sa prestance. « Vous êtes procureur de l’état du Queensland. » Il eut un maigre rire par le narines. « Que quand ça vous arrange, apparemment. » Mais le regard qu’elle lui accordait laissait sous-entendre ce qu’il y avait à comprendre; si ce n’était pas le cas depuis bien longtemps, il traînait depuis assez longtemps côté justice de la loi pour savoir les quelques affaires qu’il y avait à connaitre de ce côté là. « Nous n’avons pas besoin de jouer le jeu des faux-semblants. » Il dodelina quelque peu de la tête: cela restait applicable pour certaines choses, pour d’autres c’était un brin plus complexe que cela et ils le savaient tous les deux. Encore une fois, c’était selon ce qui arrangeait la princesse. « Travaillé. Pas exactement calculé, pas exactement naturel. » - « Ca a du vous prendre des années pour le maitriser. » Ce n’était pas un reproche, même davantage un compliment plutôt. Ce n’était pas donné à tout le monde de maitriser quelque-chose de cette manière là, surtout en public et le maintenir dans des circonstances qui vous brisaient de l’intérieur.

« Bien. Le travail alors. Vous voulez savoir à quel point je vais vous pourrir la vie. » Le rire qu’Eames échappa était proche de celui qu’elle lui avait offert et qu’il avait savouré, bien sur, quelques minutes plus tôt. « C’est marrant, j’allais dire la même chose mais dans l’autre sens. » A quel point il s’apprêtait à lui pourrir le peu de vie qui lui restait à elle, justement. Son regard vint se raccrocher de nouveau à celui de la blonde, alors qu’il faisait tinter son verre contre le sien et en buvait une gorgée. « Mais vous savez d’avance donc qu’on va tout faire pour se déchirer et devenir l’épine dans le pied de l’autre, c’est bien déjà. » Au moins, ils avaient avancer tous les deux en terrain ennemi et miné. « Chacun à sa manière, hm ? » Parce-que lui jouait du bon côté de la loi - qu’importait ce qu’elle aurait à dire sur ce sujet là, c’était effectivement le cas. Glissant sa main dans sa veste, il en sortit une nouvelle convocation qu’il glissa sur le bois de la table au rythme de la musique jouant en fond. « S’il vous plait. » Son sourire était moqueur. « C’est plus ou moins la même convocation que vous avez déjà reçu, si jamais vous ne l’avez pas encore lu c’est le moment de le faire. » Parce-que sur cette dernière, celle qu’il venait de lui glisser, quelques détails avaient été ajoutés. Comme la raison qui le poussait lui à la poursuivre elle de cette manière ces dernières semaines. Oh, ce n’était pas pour son charme indéniable - ce dernier était une touche supplémentaire qu'il ne refusait pas et appréciait même, mais n’était pas la raison principale. « Vous pourrez pas me dire que vous êtes surprise de me voir sur votre dos et surtout sur celui de votre feu-mari, maintenant. » Elle avait souligné que les faux-assemblant n’étaient pas nécessaires là où il lui avait déjà dit ne pas aimer perdre son temps, alors autant donner le ton à la mélodie dès maintenant, non ?




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SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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POSTS : 33449 POINTS : 2950

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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― raelyn's theme ―

(07) cecilia #1chad #3atlasspencer #14danaë #3katherinemaxwell #2

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

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maxyn #2 ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 12

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #3 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #1 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

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miles (scénario libre) ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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2024 ☆ 202320222021

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptySam 7 Sep 2024 - 22:40

Maxwell Eames adore ce message



if these walls could talk  
Raelyn Blackwell & @Maxwell Eames ☆ crédit/harley

« Pas ces derniers temps non. » - « C’est masculin, ou bien c’est lié à votre profession ? » Je laisse ma phrase en suspens un instant, avant de préciser le fond de ma pensée. « Cette façon que vous avez de toujours tenter de tourner une affirmation à votre avantage ? » Si j’étais honnête, j’admettrais que cela n’a rien de réservé au genre masculine et que nous partageons cette singularité. Pire, je fais de chaque phrase une opportunité pour non seulement sortir vainqueur de chaque conversation puisqu’elles sont toutes, à mes yeux, des joutes verbales. « Je vais pas partir maintenant en courant, si vous vous posez la question. » Mon sourire - il a quelque chose de carnassier, presque cruel - s’étire encore d’un iota. « Cela aurait été beaucoup d’efforts pour pas grand-chose. » Sans compter que, s’il avait fui sans demander son reste à la première complication causée par ma personnalité et mon sale caractère, il aurait perdu toute trace d’intérêt à mes yeux. Au-delà de ça, il n’aurait pas fait un très bon avocat.

« La case existe pas sur l’invitation. »
« Peu importe. »

Peu importe oui, et sans doute l’affirme-t-il parce que mon regard ne flanche pas, que je maintiens mes billes de jades dans les siennes, d’une couleur finalement assez proche et que mon sourire supérieur ne me quitte pas. Cette joute là, il ne la gagnera pas : il n’aura certainement aucun grand gagnant puisqu’aucun de nous deux ne semble décidé à bouger de sa position, même de quelques centimètres. Tu peux dire ce que tu veux Maxwell, ta tête semble aussi dure que la mienne. « Ça doit même vous aider la plupart du temps, je suppose. » Je hausse les épaules, avant de finalement lui accorder une réponse. Son raisonnement est le bon et je suis plutôt bien cernée. « Les gens qui vous sous-estiment ne vous voient pas venir. » Je ne lui apprends rien et il s’agit là d’une vérité universelle. Mon cas présent n’est exceptionnel qu’à cause de la largeur du fossé entre l’impression que je laisse - une jolie petite blonde menue - et le niveau réel dans ma dangerosité. Au moins lui ne tombera pas dans le panneau. Bien, cela n’en sera que plus jouissif de les écraser, lui et sa suffisance. Et le fait de le faire sur son propre terrain de jeu - le tribunal - ne rendra la chose que plus satisfaisante encore. « Je joue avec les cartes que j’ai tirées. » La métaphore entre la situation et mon gagne-pain - l’officiel - est la cerise sur le gâteau qu’est cette vérité. Je n’ai pas choisi de naître femme. Je n’ai pas non plus choisi mes fines articulations et ma croissance relative. En revanche, j’estime que je n’aurais pas pu faire mieux que ce que j’ai fait de ma situation de départ. « Et oui, je le fais plutôt bien. » La modestie ne m’a jamais étouffée, ce n’est pas maintenant, alors que mon sourire s’étire un peu plus, qu’elle le fera.

« C’est presque impressionnant à voir. » Ca l’est entièrement. Pas "presque". Pas "un peu" et je l’ai vu dans ses yeux qui ont suivi mon trajet entre la porte d’entrée du jazz club et la table à laquelle nous sommes installés. Monsieur le procureur n’est qu’un homme comme un autre, et je ne suis pas naïve quant à l’effet que je suscite chez ces derniers. Certains contiennent simplement un peu mieux que d’autre leur désir et la flamme d’envie qui s’allume dans leur regard, mais ils ne sont au fond pas bien différents. Amos était possessif, mais il adorait ça, l’effet que je provoquais chez ses congénères. Cela le gorgeait de fierté, de savoir que je m’accrochais à son bras, que c’était lui que j’accueillais entre mes cuisses et personne d’autre. Une pensée et je recentre mon esprit. Une esprit et Maxwell Eames redevient l’homme à abattre plutôt qu’une plaisante - et bienvenue - distraction. « Que quand ça vous arrange, apparemment. » - « Vous savez ce qu’on dit, là d’où je viens ? » A savoir les bas-fonds de la ville. Je peux au moins admettre qu’ils sont mon point de départ - il le sait - tant que je n'admets pas à voix haute ne m’en être jamais extirpé. « Qu’un bon procureur est un procureur mort. » Le sourire qui étire mes lèvres tente de faire passer la phrase comme un trait d’esprit, le genre de chose que j’aurais certes entendue par le passé sans jamais le penser à mon tour. Bien sûr, il ne sera pas dupe : tout l’intérêt de nos échanges, je le découvre, réside dans la certitude que nous savons tous les deux interpréter les sous-entendus et les non-dits. « Ça a dû vous prendre des années pour le maîtriser. » - « Quand je suis arrivée en ville, j’étais une fille de dix-sept ans sans la moindre éducation. » Bien sûr, j’étais capable de faire preuve d’esprit et je possédais déjà une répartie mordante. Certaines choses ne s’apprennent pas. En revanche, la gamine décharnée et désillionnée que j’étais n'aurait pas impressionné le procureur qu’il est ou n’importe quel homme à côtoyer des personnes de pouvoir. « A votre avis ? » Oui, cela a pris des années d’observation, des années à progresser dans l’échelle du Club, des années à jouer avec la gente masculine et à mépriser les femmes avant de devenir celle que je suis aujourd’hui.

« C’est marrant, j’allais dire la même chose mais dans l’autre sens. » Surprise, piquée, je fronce les sourcils. Que peut-il bien me vouloir ? Si j’acceptais la version qui m’a été servie des circonstances de la mort de mon âme-sœur, quel intérêt aurait-il à continuer à me harceler ? Lui faut-il tout me prendre avant d’être satisfait ? Sou coupable, il l’a trouvé. Son coupable est mort. Son affaire devrait, en toute logique, être bouclée. « Mais vous savez d’avance donc qu’on va tout faire pour se déchirer et devenir l’épine dans le pied de l’autre, c’est bien déjà. » Oh Maxwell, tu n’as pas la moindre idée du genre d’extrême dans lequel je suis capable de sombrer. « Chacun à sa manière, hm ? » - « Si vous le dites. » Dévoiler ma main avant de déterminer les règles du jeu ne fait pas partie de ma stratégie. Règles du jeu qu’il s’apprête en partie à me dévoiler puisqu’à nouveau, il pousse une enveloppe dans ma direction. Je me permets un commentaire sur un ton mi-amusé mi-agacé. « C’est une obsession. » Si j’accorde un regard à la missive, je n’esquisse pas le moindre geste pour m’en saisir. Les doigts de ma main gauche restent enroulés autour de mon verre de scotch et, quant à ceux de la droite, ils restent suspendus en l’air, légèrement recourbés, mon coude posé sur la table. Face à mon immobilisme, il passe à table. « S’il vous plaît. C’est plus ou moins la même convocation que vous avez déjà reçue, si jamais vous ne l’avez pas encore lue c’est le moment de le faire. » Mes yeux ne quittent pas les siens, aussi perçants que s’ils cherchaient à lire - ou à lui arracher - son âme. « Vous pourrez pas me dire que vous êtes surprise de me voir sur votre dos et surtout sur celui de votre feu-mari, maintenant. » Mon sourire se fade progressivement. Pas défaite mais amère, je porte mon verre à mes lèvres et j’en bois une gorgée pour masquer une déglutition, signe d’irritation. « Amos a été condamné. Il est mort. » Le dire accélère le rythme des battements de mon cœur, écrase mon estomac, me coupe pratiquement le souffle alors qu’une chaleur synonyme de colère progresse lentement de ma poitrine jusqu’à ma gorge. « Que vous faut-il de plus ? » Détruire ma famille ? Priver ma fille de toute chance de se raccrocher à la mémoire de son père et la certitude que je voudrais qu’elle garde, à savoir qu’il était un homme bon et qu’il l’aimait de tout son être ? « Je me pose une question, Maxwell. » Notre pacte semble oublié puisque ma méthode de défense de choix sera toujours l’attaque. « Si on vous avait servi une version des faits aussi ridicule que celle à laquelle j’ai eu le droit. Vous auriez avalé ça ? » A quel point est-il idiot ? A quel point est-il honnête ?




:gniark: :
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Maxwell Eames
Maxwell Eames
le silence des agneaux
ÂGE : quarante-quatre ans.
SURNOM : eames, si on peut considérer ça comme un surnom. max, de temps à autres, mais ne pas se laisser tenter sans qu'il ait donné l'accord avant (d'autres ont essayé avant, pas satisfait ni remboursé).
STATUT : il faudrait déjà qu'il y trouve un quelconque intérêt pour en venir à porter la moindre étiquette.
MÉTIER : procureur pour l'état du queensland depuis plus de trois ans, anciennement avocat de la défense, le tribunal est son terrain de jeu favori et l'endroit où il est autant appréciable que terrifiant de l'y croiser.
LOGEMENT : une maison mitoyenne à celle de rose, quante-vingt cinq ans, où la poussière s'entasse dans toutes les pièces et où la chaise de son bureau aurait besoin d'être changée tant il passe du temps assis dedans.
POSTS : 114 POINTS : 760

TW IN RP : abandon d'enfant et intervention sociale liée, domaine judiciaire, manipulation, mention du monde de l'illégalité, troubles psychologiques (alcoolisme, abus émotionnel, dépression), violences physiques et verbales (dont domestiques et envers des enfants) (j'étofferai pour être plus précise si besoin mais c'est pas joyeux-joyeux quoi).
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
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RPs EN COURS : (deux) norahraelyn #2
RPs EN ATTENTE : andrea
RPs TERMINÉS : 2024: raelyn
AVATAR : matt smith.
CRÉDITS : harley (avatar) › starsjumper (userbars) › hannahcommissions (signature gifs).
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PSEUDO : luleaby.
INSCRIT LE : 20/07/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t55146-living-for-the-thrill-of-hitting-you-where-it-hurts-maxwell
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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyLun 9 Sep 2024 - 23:37

Raelyn Blackwell adore ce message



if these walls could talk
lieu: at nate's jazz club, west end.
(c): harley (gif), luleaby (codage).

***

« C’est masculin, ou bien c’est lié à votre profession ? » Il haussa brièvement un sourcil. « Cette façon que vous avez de toujours tenter de tourner une affirmation à votre avantage ? » - « Ah. » Ca aurait pu honnêtement l’amuser, comme remarque, dans d’autres circonstances. « De métier, voyons. C’est notre rôle à nous que de tout tourner à notre avantage, les hommes de loi. » Pas que les affirmations, mais les situation de manière générale.

« Les gens qui vous sous-estiment ne vous voient pas venir. » - « Et comme ça, vous pouvez tourner la situation à votre avantage. » C’était là une technique qui n’était pas nouvelle, ni tant surprenante que cela; mais il fallait savoir la maîtriser et surtout l’appliquer au bon endroit, au bon moment, avec les bonnes personnes.  « Je joue avec les cartes que j’ai tirées. Et oui, je le fais plutôt bien. » S’il avait pu en douter la première fois, s’il avait encore un doute persistant lors de leur dernière et seule véritable entrevue, désormais ce n’était plus le cas; pas parce-qu’elle le lui confirmait à voix haute, mais parce-qu’il avait su voir au delà de ce que ses yeux s’attendaient à trouver et qu’il avait vite compris que la sous-estimer sans prendre en compte qu’elle avait justement y faire, c’était peine perdue et surtout perte assurée de son coté. Il connaissait mieux, il avait mieux appris que tout ça: il ne se ferait pas avoir de la sorte.

« Vous savez ce qu’on dit, là d’où je viens ? » - « Eclairez ma lanterne. » - « Qu’un bon procureur est un procureur mort. » Le sourire qu’il portait désormais n’était pas plus amusé que le rire qu’il avait soufflé l’instant d’avant. « J’ai déjà entendu ça, oui. » Il avala une gorgée. « Je dois pas être très bon procureur, alors. » Comme si ça l’importait ce qu’elle pouvait en penser, ou ce que les gens d’où elle venait pouvaient en penser. Ce qui importait ici, c’était les apparences qu’ils donnaient chacun de leur côté, l’image qu’ils renvoyaient, ce que ça donnait comme informations à leur interlocuteur. Ils savaient tous les deux aussi bien que cela pouvait retourner des situations, manipuler des circonstances. « Quand je suis arrivée en ville, j’étais une fille de dix-sept ans sans la moindre éducation. » Il haussa un sourcil, soulignant en silence qu’il se demandait si les choses avaient vraiment changé. « A votre avis ? » Il haussa quelque peu les épaules. « Grand bien vous a fait de pouvoir apprendre en cours de route. »

Il vit dans son regard, dans son expression qu’elle ne s’attendait pas à une telle remarque de sa part; le retournement de la conversation ne faisait pas partie de ce qu’elle avait pu envisager pour sa soirée avec monsieur le procureur. Tant mieux: s’il réussissait à la prendre de court un instant, c’était toujours ça de pris et surtout cela soulignait que c’était réalisable. Il aimait prouver des points, même si personnes d’autre ne s’en apercevait qu’il était en train de le faire. « Si vous le dites. » Une enveloppe glissée sur le bois de la table plus tard: « C’est une obsession. » - « J’aime quand les choses sont…cadrées. » Bien faites, respectueuses de certains protocoles - jusqu’au moment où cela n’allait pas dans son sens, mais surtout il savait que les choses qui étaient bien faites pouvaient être un atout considérable dans certains temps. Et si elle ne voulait pas lire ce qu’il avait à lui transmettre, il le lui dirait, tant pis - ils auraient tous deux pu éviter l’embarras de ce moment là, si elle s’était contentée de récupérer l’enveloppe pour lire les quelques lignes apposées sur la lettre. Mieux: si elle était venue la première fois chez lui. « Amos a été condamné. Il est mort. » - « Oui. » Cette partie là ne pouvait être niée, effectivement. « Que vous faut-il de plus ? » - « A moi, personnellement, absolument rien de plus. J’en ai strictement rien à foutre en réalité d’Amos, comme vous l’avez déjà compris. » Lui était là pour faire son travail, de manière la plus correcte ou au moins arrangeante possible, et le reste lui passait au dessus. « Je me pose une question, Maxwell. » Il claqua ses dents, serra les mâchoires, croisa ses mains sur la table. « Si on vous avait servi une version des faits aussi ridicule que celle à laquelle j’ai eu le droit. Vous auriez avalé ça ? » Son sourire n’était là qu’un réflexe musculaire plus qu’autre chose, puisqu’il n’était pas vraiment amusé. « Sauf que je me serais pas retourné à votre place, on m’aurait pas servi… ce que vous appelez une version ridicule des faits. » Il haussa lentement l’un de ses sourcils, penchant davantage son buste en avant alors que ce dernier touchait maintenant le bord de la table. « Pourquoi sont-ils ridicules, à vos yeux, faites moi rêver. » Parce-que pour lui, c’était l’unique version des faits qui lui avait été présentée; et même s’il n’y croyait pas, il n’en avait que faire puisque ce n’était pas son avis à lui qui comptait ici mais la version officielle et qui apparaissait dans les rapports.




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Raelyn Blackwell
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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptyMar 10 Sep 2024 - 14:28

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« Ah. De métier, voyons. C’est notre rôle à nous que de tout tourner à notre avantage, les hommes de loi. » Ma question était rhétorique : je nourris la certitude que chercher à avoir le dernier mot est certes une caractéristiques plus prononcé chez le sexe masculin que féminin, mais que le concernant, cela vient certainement d’une vie à tenter de convaincre un jury ou un juge qu’il a raison, que ce qu’il dit est vrai. S’intéresse-t-il vraiment à la vérité ? Est-ce que le fait de savoir que, parfois, il ne sait rien l’empêche de dormir la nuit ? La certitude qu’il a beau avoir retourné l’affaires et les faits, il ne fera que vendre une version erronée de la réalité le torture-t-elle de temps à autre ? Ou bien est parfaitement à l’aise avec le fait que son boulot à la cour ne soit qu’une foutue mascarade ? A sa place, je crois que cela me tuerait. Il a condamné Amos, il a mis quelqu’un derrière les barreaux pour le meurtre d’Aberline, mais oui, si j’étais Maxwell Eames, cela me tuerait d’avoir la certitude que la femme assise en face de moi en saura toujours davantage sur l’affaire que moi. « Et comme ça, vous pouvez tourner la situation à votre avantage. » - « J’aurais presque pu être avocate, n’est-ce pas ? » Si je n’avais pas choisi une voix radicalement opposée à celle de la justice. Dans celle que j’ai choisie, seule la loi du plus fort l’emporte et la morale n’est bien souvent qu’un détail négligeable. Bien sûr, l’humour est perceptible dans le ton de ma voix, rendant clair le fait que je ne l’ai jamais envisagé sérieusement, s’il ne l’était pas déjà pour lui.

« J’ai déjà entendu ça, oui. Je dois pas être très bon procureur, alors. » - « Comme quoi, les expressions voyagent. » Je note le tressaillement de sa mâchoire, je note ses doigts qui se resserrent presque imperceptiblement autour de son verre. « Grand bien vous a fait de pouvoir apprendre en cours de route. » Son sourire reste accroché sur ses lèvres puisque, comme moi, il est un bon acteur, mais il quitte ses yeux. Il est bien plus difficile de faire mentir un regard. Je suis toutefois surprise : lors de notre dernière rencontre, j’ai mentionné des lettres de menace, supposant à voix haute qu’il en recevait à coup sûr des tas. Cela a eu l’air de l’amuser. Cette fois, mon trait d’esprit n’amuse pas Eames une seule seconde. « Détendez-vous. » Je me penche légèrement vers lui et, audacieuse, je risque même une tape provocatrice sur son genou. « Je croyais que nous avions attesté la dernière fois que je n’avais pas l’intention de vous assassiner en public. » Je n’ai pas l’intention de l’assassiner tout court : l’envie ne manque pas, mais cela reviendrait à signer le meurtre de ma main. Je serais la suspecte évidente, la coupable par défaut. Je laisserais Micah seule et orpheline, ce que je n’ai pas l’intention de laisser arriver un jour. A regret et tant que je suis rationnelle, je dois bien admettre qu’il ne risque rien.

« J’aime quand les choses sont…cadrées. » - « Vous a-t-on déjà dit que vous gagneriez à vous détendre un peu ? » A sortir de votre cul le balai qui semble y être logé est la formulation que je pense, mais pas celle que je choisis. Véritable métamorphe, je sais à quel interlocuteur servir quelle attitude et mon petit doigt me dit que la vulgarité n’impressionnera pas autant Maxwell Eames qu’elle peut impressionner les gangsters, plus habitués à percevoir les femmes comme des êtres fragiles que des individus capables de jurer et d’insulter aussi fort qu’eux. Je ne suis pas tendue, tandis qu’il glisse son enveloppe jusqu’à moi. En revanche, je suis perceptiblement agacée par son entêtement. « La musique et le cadre sont agréable, mais vous préférez tout gâcher. » Je pousse un soupir travaillé, bref et porteur d’une exaspération que j’exagère volontairement.

« A moi, personnellement, absolument rien de plus. J’en ai strictement rien à foutre en réalité d’Amos, comme vous l’avez déjà compris. » J’ai conscience que prononcer le prénom de mon époux avec autant de dédain est un calcul de la part du procureur. Je sais qu’il a identifié son décès comme l’une des rares choses susceptibles de me toucher et qu’il en use et abuse sans rougir. Si je n’étais pas concernée et à fleur de peau, je l’applaudirais des deux mains pour ce manque d’humanité que je respecterais et qui m’amuserait. Je tente de maîtriser les battements de mon cœur, d’empêcher ma respiration de s’emballer et ma gorge et poitrine de rougir de rage mais force est de constater que je n’en suis pas encore capable. L’image du corps d’Amos sur cette table en fer s’imprime contre ma rétine, et mes narines se gonflent de colère. La sensation de sa peau froide sous mes doigts lorsque j’ai posé mes mains sur se joues me fait déglutir. Oh, aucune larme ne roule sur mes joues ou ne menace de le faire. Face à lui, je ne suis que rage et colère. « Sauf que je me serais pas retrouvé à votre place, on m’aurait pas servi… ce que vous appelez une version ridicule des faits. » Je n’en suis pas si sûre. Chez Maxwell Eames, je sens une touche de perversité non assumée qui, dans un autre monde, aurait pu faire de lui un excellent truand. Son cœur ne souffre pas souffrir de la répugnante faiblesse dont Mitch faisait preuve bien trop souvent, en son temps. Cet enfoiré ferait un excellent fils de pute, voilà ce à quoi je songe alors que je porte mon verre à mes lèvres pour calmer mon ire à l’aide de la brulure du scotch contre mon palais et dans mon œsophage. « Pourquoi sont-ils ridicules, à vos yeux, faites-moi rêver. » - « Parce que je ne suis pas plus idiote que vous l’êtes. Et que je suis certainement moins crédule que la moyenne. » Mes ongles manucurés pianotent doucement sur la table et je n’esquisse toujours aucun geste pour me saisir de la missive. « Parce qu’il faudrait être un arriéré pour croire à une histoire où des portes déverrouillent comme par magie au moment où une bande de détenus qui en voulaient à mon mari au point de vouloir le supprimer passaient par là. » Parce que dix-sept coups de couteau ne sont pas du hasard ou un règlement de compte. Quelqu’un avait pour mission de l’éliminer et de s’assurer qu’il ne se relève pas. Moi, je veux trouver ce quelqu’un et tout ceux qui ont participé de loin à cette mise à mort pour les empêcher définitivement de nuire à ma famille. « Et parce qu’il est encore plus impossible qu’aucun gardien n’ait entendu des cris. Que personne ne l’ait entendu hurler et soit intervenu. » Il faut au moins me donner ça : ma voix ne chevrote pas alors que j’évoque l’assassinat de mon époux. Mon cœur, lui, se recouvre d’une couche de glace supplémentaire et je bats des cils pour chasser toute velléité de laisser paraître mon émoi. Parce que j’ai des ennemis. « Je ne suis pas complètement conne. » Je tranche, plus sèchement que je ne l’aurais voulu, puis je désigne l’enveloppe d’un geste du menton. « Si vous voulez que j’en prenne connaissance, il faudra me dire vous-même ce qu’elle contient. Je n’ai pas l’intention de la toucher. » Encore moins de l’ouvrir, donc.




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Maxwell Eames
Maxwell Eames
le silence des agneaux
ÂGE : quarante-quatre ans.
SURNOM : eames, si on peut considérer ça comme un surnom. max, de temps à autres, mais ne pas se laisser tenter sans qu'il ait donné l'accord avant (d'autres ont essayé avant, pas satisfait ni remboursé).
STATUT : il faudrait déjà qu'il y trouve un quelconque intérêt pour en venir à porter la moindre étiquette.
MÉTIER : procureur pour l'état du queensland depuis plus de trois ans, anciennement avocat de la défense, le tribunal est son terrain de jeu favori et l'endroit où il est autant appréciable que terrifiant de l'y croiser.
LOGEMENT : une maison mitoyenne à celle de rose, quante-vingt cinq ans, où la poussière s'entasse dans toutes les pièces et où la chaise de son bureau aurait besoin d'être changée tant il passe du temps assis dedans.
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TW IN RP : abandon d'enfant et intervention sociale liée, domaine judiciaire, manipulation, mention du monde de l'illégalité, troubles psychologiques (alcoolisme, abus émotionnel, dépression), violences physiques et verbales (dont domestiques et envers des enfants) (j'étofferai pour être plus précise si besoin mais c'est pas joyeux-joyeux quoi).
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
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RPs EN COURS : (deux) norahraelyn #2
RPs EN ATTENTE : andrea
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AVATAR : matt smith.
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PSEUDO : luleaby.
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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptySam 14 Sep 2024 - 12:58

Raelyn Blackwell adore ce message



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lieu: at nate's jazz club, west end.
(c): harley (gif), luleaby (codage).

***

« J’aurais presque pu être avocate, n’est-ce pas ? » Il esquissa un petit sourire. « Vous auriez eu le mordant pour. » Simplement pas la sympathie pour la justice que lui avait, et qui était nécessaire pour faire appliquer cette dernière. Mais cette partie là mise de côté, effectivement, elle aurait été une redoutable avocate que même lui aurait pu prendre plaisir à croiser au tribunal.

« Comme quoi, les expressions voyagent. » Si elles restaient des expressions, cela pouvait être une bonne chose effectivement - seulement, il état à peu près sur que ce n’était pas qu’une manière de parler pour la blonde. Elle ne cachait en rien qu’elle avait du apprendre à se débrouiller seule pour s’en sortir, et ce n’était pas toujours bon signe; si certaines personnes comme Eames se servait de cette volonté de fer pour faire le bien, il n’avait pas l’impression que c’était là dans ses intentions à elle. « Détendez-vous. » Il vit venir la petite tape sur le genou, ce qui évita le mouvement de recul ou un réflexe mal placé de sa part. « Je croyais que nous avions attesté la dernière fois que je n’avais pas l’intention de vous assassiner en public. » - « Heureusement que j’ai eu la bonne idée de vous inviter ici alors. » Comme s’ils ne savaient pas tous les deux que les choses pouvaient toujours être tournées au meilleur avantage, dans ce type d’affaire là, et que selon ce qu’elle souhaitait faire dire elle pourrait largement se permettre de l’exécuter en public. Parce-qu’elle venait de le dire: il serait davantage utile s’il était mort, et ce ne serait pas la première fois que des menaces à l’encontre de quelqu’un occupant son poste se verraient devenir vraies. Ce n’était pas pour autant que cela lui faisait peur - il n’était simplement pas tant amusé que cela par la chose.

« Vous a-t-on déjà dit que vous gagneriez à vous détendre un peu ? » - « Vous, quelques minutes plus tôt. » - « La musique et le cadre sont agréable, mais vous préférez tout gâcher. » Elle aurait pu faire une bonne actrice de cinéma. « Je vous ai dit: je suis là pour bosser. » Même si les choses n’étaient pas bien plus amusantes si ce n’était pas le cas.

Lorsqu’elle comprendrait qu’il ne cherchait rien à titre personnel, dans cette situation ou dans une autre, peut-être qu’ils pourraient enfin avancer et discuter plus sérieusement. Parce-qu’Eames n’en avait que peu à faire de ce qui était arrivé à Amos, de ce qui pouvait lui arriver à elle, ou à leur famille, ou à celle de millions d’australiens à côté de ça. Lui, ce qui lui importait, c’était de mener au bout de ce qu’avaient à dire les cas sur lesquels on lui demandait de travailler. Ici en l’occurence, il ne faisait que commencer et il était on ne pouvait davantage certain que s’il devait tracer toutes les choses qu’il allait découvrir, cela allait faire couler de l’encre. La grande question était maintenant de savoir ce que elle aurait à dire de son côté, et si cela l’intéressait d’entendre ce que le procureur pouvait apporter de son côté. Si elle ne collaborait pas, ce serait grandement dommage et en rien pratique, mais il ferait sans; laisserait-elle cependant le nom de mari être utilisé comme il était question dans la missive qu’elle refusait d’ouvrir ? Il en doutait franchement. « Parce que je ne suis pas plus idiote que vous l’êtes. Et que je suis certainement moins crédule que la moyenne. » Il haussa un sourcil, la laissa continuer. « Parce qu’il faudrait être un arriéré pour croire à une histoire où des portes déverrouillent comme par magie au moment où une bande de détenus qui en voulaient à mon mari au point de vouloir le supprimer passaient par là. » Et il dut produire un effort surhumain pour ne pas laisser un petit sourire apparaitre sur ses lèvres à ce moment là; il avait l’habitude, il avait l’expérience donc cela ne laissa aucune trace sur son visage, mais ce n’était pas l’envie qui manquait ici. « Et parce qu’il est encore plus impossible qu’aucun gardien n’ait entendu des cris. Que personne ne l’ait entendu hurler et soit intervenu. »

« Je ne suis pas complètement conne. » Elle oubliait que c’était également son cas, surement. « Si vous voulez que j’en prenne connaissance, il faudra me dire vous-même ce qu’elle contient. Je n’ai pas l’intention de la toucher. »

Alors, enfin peut-être, un véritable sourire apparu sur les lèvres de Maxwell. C’était rare, mais de toute manière certains faux semblants n’avaient pas leur place ici - alors peut-être que se permettre une telle réaction n’était pas le pire crime qu’il pouvait commettre pour aujourd’hui. Ils parlaient de pire, après tout. « Je fais pas dans la charité. » La veuf, l’orphelin, toutes ces choses là étaient des concepts mis en avant pour toucher le coeur des gens - il faudrait que le sien puisse être réceptif à ce genre de choses pour que cela le touche, ce n’était pas le cas. En temps normal, il ne se serait pas abaissé à effectivement à un ordre qu’elle lui donnait là, puisque la démarche se serait apparentée à de la charité que de prendre en compte son discours qui pourrait presque être touchant. Néanmoins, il ne mettrait pas de côté qu’il sentait que les choses étaient différentes ici: il se sentait presque à devoir répondre à la question, tant pis pour l’image que ça pouvait lui donner un instant. « Réussirez-vous à vous tenir droite sans intervenir, sans vouloir le défendre, le jour du procès ? Quand j’exposerai les raisons qui prouvent que votre mari est responsable de sa propre mort ? » Ou laisserait-elle les émotions la traverser, l’emporter, la faire sortir de ses gonds ? « Vous dites avoir appris à la dure, grand bien vous fasse. » Il croisa ses mains sur la table, penchant quelque peu sa tête sur le côté, cherchant à agripper son regard du sien pour en apprendre par coeur toutes les nuances qu’il pouvait proposer lorsqu’elle l’écoutait parler. « J’ai hâte de voir si vous allez réussir à tirer une leçon de tous ces apprentissages une fois qu’on se retrouvera au tribunal. » Parce-que là-bas, les nuances n’existeraient pas chez lui: il irait au bout du plaidoyer, il irait au bout de ce qu’il avait à prouver, et il ne comptait pas s’en sortir autrement qu’en position de victorieux. L’empêcherait-il d’atteindre ce but là ? Se compromettrait-elle ou saurait-elle garder ce masque qu’elle s’appliquait chaque jour depuis des années maintenant ?




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Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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maxyn #2 ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 12

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #3 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #1 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

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miles (scénario libre) ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Femme (elle)
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Message(#)(maxyn #2) if these walls could talk EmptySam 14 Sep 2024 - 22:01


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Raelyn Blackwell & @Maxwell Eames ☆ crédit/harley

« Vous auriez eu le mordant pour. » Du mordant, j’en ai à revendre, dans toutes les situations à tous les sens du terme, au plus terre à terre au plus ambigu qu’il soit mais, pour éviter de choquer un homme si peu enclin aux sens cachés et aux sous-entendus je tais toutes les remarques qui me viennent à l’esprit. Toutes auraient pour vocation de le mettre terriblement mal à l’aise. son sens de l’humour mériterait d’être aiguisé, nous nous sommes déjà entendus à ce sujet ou, plutôt, je l’ai déclaré et en ai fait une vérité universelle à mes yeux. Je me contente d’un sourire carnassier et d’un « Vous ignorez à quel point. » qui flotte entre nous un instant, pareil à une menace voilée.

« Heureusement que j’ai eu la bonne idée de vous inviter ici alors. » Le personnel laisse à désirer - il suffit que je le pense pour qu’un serveur qui semble vouloir disparaître sous terre, sans doute a-t-il entendu nos deux dernières phrases, dépose nos boissons sur la table avant de partir sans demander son reste - mais ce n’est de toute façon pas du tout ce qu’il sous entend. « Pour quelqu’un qui s’échine à faire croire qu’il a peur que je m’en prenne à lui, vous me collez drôlement aux basques. » Je m’interroge sérieusement : ne devrait-il pas être accompagné de gardes du corps ? Les gens dans sa profession ne sont-ils pas protégés lorsqu’ils travaillent sur des enquêtes impliquant le crime organisé ? Je suis soit vexée - qu’il n’ait pas jugé nécessaire de s’entourer de protecteurs armés pour me rencontrer moi - soit sérieusement atterré par le manque de sérieux avec lequel les hommes de lois gèrent les menaces. « Et pour quelqu’un de prétendument inquiet de mes intentions, vous êtes peu entouré. » J’aime penser que je suis assez observatrice pour prétendre que, s’il avait été protégé, j’aurais repéré ses agents. « Vous savez ce que cela dit sur vous ? » Je penche la tête de façon presque imperceptible sur le côté, à la recherche d’une lueur de n’importe quoi dans ses billes noisette.

«  Vous, quelques minutes plus tôt. [...] Je vous ai dit: je suis là pour bosser. » Je lis les courriers officiels que je reçois. S’il avait été question d’une citation à comparaître j’en aurais pris connaissance et je n’aurais pas traité sa paperasse avec autour de légèreté. Il n’est donc là que pour prendre la température et, pour ce faire, je trouve qu’il tourne un peu trop autour du pot. Ma foi, peut-être les choses seraient-elles différentes si je ne me bornais pas à refuser de toucher l’enveloppe entre nous.

Je n’irais pas jusqu’à dire que la conversation était agréable avant qu’il ne parle d’Amos. Toutefois, elle était assez distrayante et divertissante pour que, l’espace d’une minute ou deux, mon esprit soit focalisé sur autre chose que le deuil et la douleur. Ces affirmations sont toutefois loin derrière nous puisque l’amertume point bien vite dans le ton de ma voix et ma mâchoire, alors qu’il me répond avec une désinvolture qui me donne envie de planter mes griffes manucurées dans sa chair et de les utiliser pour lui crever les yeux, se contracte à nouveau. « Je fais pas dans la charité. » - « Voilà qui nous fait un point commun. » Ma voix, quelques minutes avant chaude et sirupeuse, est plus sèche et froide à présent qu’il apporte sur la table ce sujet avec lequel il adore visiblement me torturer. « Réussirez-vous à vous tenir droite sans intervenir, sans vouloir le défendre, le jour du procès ? Quand j’exposerai les raisons qui prouvent que votre mari est responsable de sa propre mort ? » Sans doute a-t-il bien fait de choisir un lieu public, finalement. Mes doigts se resserrent autour de mon verre de scotch au point que mes jointures blanchissent et, si j’en avais eu un sous la main, c’est autour de la crosse d’un pistolet ou du manche d’un couteau que j’aurais préféré les refermer. Qu’à cela ne tienne : j’abreuve mon esprit d’images mettant en scène son assassinat de ma main. La chose est loin d’être aussi satisfaisante que si mes fantasmes prenaient corps dans le réel, mais il faudra que je m’en contente pour l’instant. « Vous dites avoir appris à la dure, grand bien vous fasse. » J’admirerais son insolence et cette nonchalance qui semble travaillée, si j’avais le cœur et l’âme à admirer quoi que ce soit le concernant sur l’instant. Il sait que je suis dangereuse et, pourtant, il ne se contente pas d’évoquer à voix haute les faits. Il en rajoute et me provoque. Se doute-t-il d’à quel point il joue à un jeu dangereux ? J’ai affirmé que je n’avais pas l’intention de le supprimer. Toutefois, mes intentions pourraient être inconsistantes et volatiles s’il continuait à me provoquer de la même façon que l’on agite sans main au-dessus du museau d’un chien en espérant qu’il ne morde pas. Moi, je mors. Je croyais que nous l’avions établi. « J’ai hâte de voir si vous allez réussir à tirer une leçon de tous ces apprentissages une fois qu’on se retrouvera au tribunal. » Je suis à présent certaine qu’il prend son pied et cette certitude est tout ce qu’il me faut pour ne pas lui offrir la satisfaction de lire sur mon visage que je m’écroule. Mon cœur souffrira en silence, comme il a appris à le faire sans se plaindre pendant toute une vie passée à ne pas laisser mes émotions s’afficher sur mon visage. « C’est amusant. Lorsque je vous ai donné les raisons pour lesquelles, à mon sens, Lou Aberline était responsable de sa propre mort - » Certes, je n’ai pas pu lui dévoiler la plus cruciale à mon sens : qu’elle projetait d’attenter à la vie de ma gamine. « - vous avez parlé de justice. A tort, j’ai mis ça sur le compte de votre sens moral. » Je ponctue ma phrase d’une gorgée de whisky que je ne prends pas le temps de déguster : elle me brûle la gorge lorsque je l’avale sans grimacer. « Si ce n’est pas la justice, la quête de vérité qui vous anime, qu’est-ce que c’est ? » Puisqu’il ne semble pas assez con pour croire en la version officielle mais qu’il semble prêt à la défendre, je m’interroge sur ses réelles motivations. « L’ambition ? » Le fait de progresser et de se construire une renommée en se moquant bien du côté de la barrière où il se trouve ? « L’argent ? » Un homme honnête détestera m’entendre sous-entendre qu’il est question de pots de vin. La vérité, c’est que je peux comprendre l’une ou l’autre de ces motivations. Mais pour savoir avec quelles armes jouer, j’ai besoin de cerner Maxwell Eames et la tâche est aussi compliquée que doit l’être la réciproque. « Je vais vous dire ce que je vais faire. » Je repose le verre sur la table. Ma seconde main l’entoure à son tour tandis que je plonge un regard d’acier dans les yeux du procureur. « Je me moque de laver le nom d’Amos. Non, ce que je vais faire, c’est vous humilier comme personne ne vous a jamais humilié. » J’ambitionne de le battre à son propre jeu. Je suis pour l’instant incapable de me prononcer quant à l’existence d’un égo prononcé chez lui, toutefois je doute qu’il aime ça. « Je vais utiliser mes ressources quasi illimitées et tous les moyens à ma disposition - » Parmi eux, le chantage, l’intimidation et le passage à tabac. Quant à mes ressources, j’empeste la fortune à plein nez, je suppose ne pas avoir besoin d’expliciter. « - pour découvrir l’entière vérité quant à ce qu’il s’est passé cette nuit-là et connaître le nom de chaque personne qui a été impliquée. Et puisque vous aimez la justice je traînerai dans la boue le pénitencier, son directeur et cette parodie de cour de justice où vous plaidez. » Bien sûr, les petites frappes payées pour être la main armée seront liquidées en prison : moi aussi, j’y ai mes contacts et mes entrées. Ces hommes là m’importent peu : ils sont de la chair à canon avec une date d’expiration toute proche. « Vous avez obtenu la réponse à vos questions ? Est-ce que vous avez toujours hâte de voir ça ? » De ma main gauche, je porte mon verre de scotch à mes lèvres pour le vider d’un trait. Non, je ne laverai pas le nom d’Amos. La vengeance a bien meilleur goût.




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