ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Izan a très bien compris le sous-entendu lorsque, au détour de leur visite au Planétarium, Helen lui a nonchalamment suggéré qu’il serait judicieux que son ex-mari consulte pour ses problèmes liés à l’alcool. Elle ne souhaitait pas — ou ne pouvait pas, il n’a pas très bien saisi la nuance, se charger d’être la bonne samaritaine de Sam, alors c’est lui qui a hérité de la mission sacrée de ramener l’infidèle sur le droit chemin, sans même savoir où commencer, et encore moins par quoi commencer. Et comme à chaque fois qu’il ne sait pas comment endiguer un problème, c’est vers Jayden qu’il se tourne, lui refourguant la sale besogne afin qu’il lui dise quoi faire et comment le faire : c’est donc son meilleur ami qui lui a conseillé de conduire le vilain petit canard à une réunion des alcooliques anonymes, avec l’espoir que cela le vaccine définitivement contre la bouteille. Un optimisme que le pianiste ne partage pas vraiment mais, puisqu’il s’est engagé à le faire — il faut dire qu’il n’a pas eu le choix, comme d’ordinaire avec sa meilleure amie, ce n’est pas franchement de gaieté de coeur qu’il se retrouve une nouvelle fois devant l’ancienne demeure d’Helen, en redoutant un peu la façon dont il va trouver la maison mais aussi l’occupant, puisqu’on ne peut pas dire que sa dernière visite lui a laissé un souvenir véritablement positif. Soupirant bruyamment avant même de manifester sa présence, il hésite à envoyer un sms à Helen pour lui dire que Sam n’était pas chez eux (chez lui ?) mais qu’il a honoré sa promesse en passant à l’improviste puisque, bien sûr, il n’a jamais pris la peine de prévenir Sam qu’il allait se pointer au domicile des Stenfield au beau milieu de l’après-midi. ’’Bon allez…’’ qu’il adresse à lui-même pour se donner du courage, se rapprochant finalement de la porte pour toquer d’abord quelques coups tranquilles contre le panneau de bois, avant de perdre patience bien trop rapidement et de marteler son poing en plusieurs rafales, se disant que si son hôte est encore dans une relation passionnelle avec les liqueurs, il ne risque pas de l’entendre. ’’Bon Sam,’’ qu’il gueule littéralement à travers la porte en se fichant pas mal de la quiétude des voisins ’’T’as deux secondes pour rappliquer sinon j’me barre !’’ il n’a pas interrompu ses méticuleuses et rigoureuses sessions d’entraînements au piano pour moisir devant la porte d’entrée pendant que l’autre végète sur son tapis sale, alors il a intérêt à rappliquer, le mari éploré, sinon le pianiste va décamper et cela ne l’empêchera nullement de dormir.
crédits/daikunart
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Assis à mon bureau, dans une pièce a l’étage de mon logement, j’étais sobre et en mode travaille. Pour l’heure je devais préparer et planifier la future sortie scolaire de ma classe. Et comme bien souvent en ce moment jai un peu du mal a me projeter dans le future. Je ne maîtrisais plus grand-chose en ce moment et heureusement que cela n’impacte pas sur ma situation professionnel car si je viens a perdre mon emplois ou la direction de l’asso a cause de mes problème d’alcool je risque de m’enfoncer encore plus et de ne plus savoir m’en sortir. On en était pas encore la, je suis effondré sentimentalement parlant mais reste professionnel comme quoi je n’ai pas que des mauvais coté.
Je soupire car je galère a trouver l’itinéraire parfait, et c’est encore plus difficile lorsque tu te fais interrompre par une personne impatiente. Fenêtre entre ouverte, j’entends parfaitement l’arrivé de mon visiteur et reconnaît assez vite sa voix. Je réfléchis un moment et me demande ce qu’il peut bien venir récupérer cette fois ci. Je me lève alors de mon siège, ouvre la fenêtre de manière a pouvoir mieux regarder ce qui ce passe plus bas et me penche pour finalement voir le haut du crane du jeune musicien. ’’T’as deux secondes pour rappliquer sinon j’me barre !’’ Il vient a peine d’arriver, sans invitation et me menace de ne pas rester … je rigole et pose mes coudes sur le rebord de fenêtre. « L’impatience est un vilain défaut Da Silva ! » Il est déjà pressé de repartir, visiblement il ne vient pas ici de son plein gré. « Madame Stenfield a besoin de quoi cette fois ci ? …. » dis je en soupirant ne laissant pas répondre « la porte est ouverte fais comme chez toi écoute ! » ajoute avant de me retirer, de fermer la fenêtre et de regagner mon bureau afin de poursuivre mes recherche.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Alors qu’il est sur le point de tourner les talons en balayant purement et simplement sa promesse, puisqu’on ne pourra pas lui reprocher de ne pas avoir essayé et sa meilleure amie ne saura jamais qu’il a fait preuve d’une patience peu déterminée, la voix de Sam résonne au-dessus de sa tête en lui faisant lever le menton vers l’une des fenêtres de la bâtisse, et froncer ses sourcils en plissant ses paupières pour supporter le soleil venu l’éblouir. « L’impatience est un vilain défaut Da Silva ! » les mains appuyées sur ses hanches, il soupire en remontant finalement l’une de ses paumes pour la tendre au-dessus de ses sourcils, le profit de l’ombre engendrée par ses doigts lui permettant de se rassurer sur l’état de l’ancien compagnon d’Helen : il n’a pas l’air d’être sous l’emprise de l’alcool et, bienheureux soit le destin, il ne donne pas l’impression d’être sur le point de rendre son déjeuner, cette fois. ’’Ravi de te voir sobre, Stenfield.’’ sobre et habillé, qu’il se retient de rajouter en laissant sa main retomber le long de son corps « Madame Stenfield a besoin de quoi cette fois ci ? …. » difficile d’expliquer le plan de la chirurgienne sans le braquer, l’infantiliser ou lui renvoyer ses addictions en pleine figure ; non pas que le pianiste tienne particulièrement à épargner le peu de dignité qu’il reste au professeur mais, il n’a pas envie de se compliquer la tâche en commençant sur de mauvaises bases ’’Descends et tu sauras.’’ est-ce qu’il va mordre à l’hameçon, Sam ? Izan espère parce qu’il n’a que moyennement envie de négocier pendant des heures, mais il se rend rapidement compte que son interlocuteur n’est pas franchement disposé à lui faciliter la vie « la porte est ouverte fais comme chez toi écoute ! » - ’’Oh putain…’’ qu’il marmonne avec agacement en espaçant ses bras de quelques degrés en manifestation de son mécontentement, que le principal concerné ne peut pas voir puisqu’il s’est déjà calfeutré chez lui en refermant la fenêtre. ’’Connard.’’ ça vient du coeur même si personne ne peut l’entendre — alors qu’il a fait l’effort de ne pas l’insulter en espagnol, un comble, alors qu’il passe le seuil de la porte pour grimper à l’étage, ne tardant pas à poser les yeux sur celui qui, visiblement, est en plein travail. ’’Prends une veste, on va faire un tour.’’ accolant son épaule contre l’embrasure de la porte, il hausse l’un de ses sourcils en s’attendant à un refus et, pour gagner du temps, il avance l’argument qu’il pense imparable ’’Helen m’a chargé de te conduire là-bas, alors ne discute pas. J’ai pris sur mon temps libre pour venir et j’en ai pas des masses, du temps.’’ reste que, malgré l’air austère qu’il brandit pour le moment, Izan est rassuré de constater que Sam a l’air d’aller beaucoup mieux que la dernière fois… Pas de bouteilles d’alcool qui trainent, pas de vomis (dieu merci) qui tache le tapis, des vêtements propres sur lui… Il encaisse mieux la rupture, ou il est devenu maître dans l’art de la dissimulation ? En tous cas, Izan se demande finalement si c’est bien nécessaire de le conduire à une réunion des alcooliques anonyme mais, puisqu’il s’est engagé, il va le faire. Si Sam ne l’emmerde pas trop.
crédits/daikunart
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Je lève à peine les yeux de mes documents en entendant Izan entrer dans la pièce. Son irritation est évidente, mais je ne peux m’empêcher de sourire intérieurement. Il a beau être agacé, il est là, fidèle au poste, malgré son envie manifeste d’être ailleurs. "Prends une veste, on va faire un tour." Cet ordre déguisé me fait froncer les sourcils. Je laisse tomber mon stylo sur la pile de papiers devant moi et m’appuie contre le dossier de ma chaise, croisant les bras. Sortir ne m’enchante pas vraiment, surtout sans savoir où il veut m’emmener. Rien que l’idée de quitter la maison me donne l’impression d’être poussé dans une direction que je n’ai pas choisie. "Helen m’a chargé de te conduire là-bas, alors ne discute pas. J’ai pris sur mon temps libre pour venir et j’en ai pas des masses, du temps." Je l’observe un instant, essayant de deviner ce qui peut bien se passer dans sa tête. Je vois bien l’exaspération sur son visage, mais il y a aussi quelque chose d’autre, peut-être une lueur de curiosité ou même d’espoir. Je dois admettre que l'effort est louable, mais cette aide imposée a du mal à passer. "Je vois que t’as toujours le don de balancer des ordres, même quand tu fais semblant de demander gentiment," dis-je, plus taquin qu’amer. Finalement, je me lève, faisant mine de réfléchir. "Mais tu sais, je vais pas te mentir, Izan. J’ai pas vraiment envie de sortir aujourd’hui. Ni un autre jour, d’ailleurs." Je fais quelques pas dans la pièce, le regard perdu dans mes pensées, puis je me tourne de nouveau vers lui. "Je comprends que tu fais ça pour Helen, et je respecte ça, vraiment. Mais si tu veux vraiment m’aider, me forcer la main, c’est pas le meilleur moyen. Je suis ici, sobre, parce que j’essaie de reprendre le contrôle, à ma manière." Ou pas ! En journée je ne picole pas, je me dois de rester sobre face à mes élèves. C’est juste le soir, quand je me retrouve seul ou le week end, que je m’ennuie ou tourne en rond, là, les souvenirs remonte à la surface et je me mets a boire. Je prends une profonde inspiration, cherchant les bons mots. "Si t’as envie de discuter, je suis partant. Mais on va éviter les plans surprises et les détours imprévus, d’accord ?" Je lui lance un regard mi-sérieux, mi-amusé, espérant qu'il comprenne que j’ai besoin de soutien, mais pas de la manière traditionnelle.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Qu’on se le dise en toute franchise : son élocution tient davantage de l’ordre que de la proposition, puisqu’il n’est pas connu pour sa grande patience et encore moins pour une quelconque délicatesse, le pianiste, et ceux qui peuvent se vanter de le côtoyer sous une forme de tendresse peuvent se compter sur les doigts d’une main et, après des années à se lancer des regards hargneux, Sam n’a pas le luxe d’être parmi les privilégiés. Alors, certes, il aboie plus qu’il ne parle, l’hispanique, mais puisqu’il a daigné se déplacer pour accomplir sa mission, il se pense en droit d’exiger qu’on lui facilite la tâche. Chose que Sam ne semble pas être prêt à faire. La coopération s’annonce donc difficile entre les deux hommes, qui n’ont jamais entretenu des rapports autres que cordiaux, dans l’intérêt de la femme qu’ils ont (avait, concernant Sam) en commun. « Je vois que t’as toujours le don de balancer des ordres, même quand tu fais semblant de demander gentiment, » - ’’J’ai demandé très gentiment, là.’’ qu’il appuie en affichant une mine presque indigné puisque, dans son esprit, c’est la plus stricte des vérités. « Mais tu sais, je vais pas te mentir, Izan. J’ai pas vraiment envie de sortir aujourd’hui. Ni un autre jour, d’ailleurs. » - ’’J’crois pas que tu aies le choix si tu veux récupérer ta femme…’’ grattant la courbe de sa nuque avec son index, il ondule du menton pour remonter son regard sur son interlocuteur, qui se plait à faire les cent pas dans la pièce, l’agaçant plus qu’autre chose ; pourquoi diable ne fait-il pas simplement ce qu’on lui demande ? « Je comprends que tu fais ça pour Helen, et je respecte ça, vraiment. Mais si tu veux vraiment m’aider, me forcer la main, c’est pas le meilleur moyen. Je suis ici, sobre, parce que j’essaie de reprendre le contrôle, à ma manière. t’as envie de discuter, je suis partant. Mais on va éviter les plans surprises et les détours imprévus, d’accord ? » son épaule toujours appuyée contre l’embrasure de la porte, il l’observe quelques secondes avant de prendre une fine inspiration nasale, ayant l’air de jauger silencieusement à quel point Sam a « repris le contrôle à sa manière ». Le moins que l’on puisse dire est que, à le voir ainsi, l’on pourrait presque se laisser berner par la belle image qu’il renvoie. ’’Et ta sobriété, elle est là depuis combien de temps ?’’ il le demande non pas pour le piquer ou pour prouver qu’il a raison, mais parce que la réponse l’intéresse vraiment : si Sam a effectivement trouver le moyen de gérer ses problèmes d’addictions, il ne compte pas le traîner de force jusqu’à là-bas mais, ne pouvant repartir sans avoir été au bout de son explication, il poursuit en se décalant pour appuyer le haut de son dos contre le mur, ses bras désormais croisés contre son torse. ’’Helen veut que je te conduise à une réunion des alcooliques anonymes. Elle s’inquiète pour toi.’’et moi aussi, qu’il ne dira pas puisqu’il a déjà du mal à le sortir auprès de ceux qui lui sont le plus proches ’’Sois sympa. C’est moi qu’elle va harceler si j’lui dis que j’ai pas réussi à te convaincre… Et puis, ça pourrait vous rapprocher. J’veux dire, tu lui prouverais que tu as vraiment envie de t’en sortir et, à la prochaine réunion, c’est elle qui viendra.’’ oui parce qu’il ne compte pas lui tenir la main à chaque rendez-vous non plus. ’’Maintenant que c’est plus une surprise, tu me suis ou pas ? Je resterai avec toi.’’ il voit bien que Sam a besoin de soutien mais, dans cet exercice, Izan tâtonne sans savoir quoi dire ou quoi faire, même s’il est doté de la meilleure volonté possible.
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Je fixe Izan un instant, laissant sa question flotter dans l’air. "Et ta sobriété, elle est là depuis combien de temps ?" Sa voix est calme, presque inquisitrice, mais ce n’est pas un reproche. Il attend une vraie réponse, pas un mensonge pour le faire partir. Pourtant, je sens ma gorge se serrer. Je n’ai jamais vraiment compté, peut-être parce que je sais que ce ne serait pas glorieux. Sobriété… ça veut dire quoi pour moi ? Ne pas boire en journée, rester fonctionnel pour mes élèves, pour les gosses de l’asso. Mais est-ce vraiment ça, être sobre ? Je finis par répondre, la voix un peu rauque. "Depuis… un moment, Izan. En journée, je tiens bon. Pour le boulot, pour les enfants. Je ne suis pas complètement hors de contrôle." Je détourne le regard, sachant très bien que ce n’est pas la réponse qu’il attend, ni celle qui résoudrait la situation. Je ne peux pas lui dire la vérité, pas celle que j’évite de me dire à moi-même. Que le soir, une fois la porte de chez moi fermée, tout s’écroule. Il semble peser mes mots, mais il ne me lâche pas pour autant. "Helen veut que je te conduise à une réunion des alcooliques anonymes. Elle s’inquiète pour toi," reprend-il, insistant. "Sois sympa. C’est moi qu’elle va harceler si j’lui dis que j’ai pas réussi à te convaincre… Et puis, ça pourrait vous rapprocher. J’veux dire, tu lui prouverais que tu as vraiment envie de t’en sortir et, à la prochaine réunion, c’est elle qui viendra." Je fronce les sourcils à ces mots, sentant une pointe de colère monter en moi. "Tu crois vraiment que ça va changer quelque chose, Izan ? Que parce que je vais à une de ces réunions, Helen va soudain se dire que tout va bien ? Que je suis guéri ?" Ma voix est plus dure que je ne le voudrais, mais cette conversation me pousse dans mes retranchements. "Je ne suis pas certain que ce soit aussi simple. Et puis… c’est pas elle qui est partie, hein ? C’est pas elle qui doit vivre avec ça tous les jours." Je sens le besoin de bouger, alors je me mets à faire les cent pas dans la pièce, le regard fixé sur le sol. "Je comprends qu’elle s’inquiète, et je comprends pourquoi tu es là. Mais je ne suis pas sûr que c’est ce dont j’ai besoin." Je m’arrête et le regarde droit dans les yeux. "Tu sais ce que c’est, toi, de te sentir inutile ? De te noyer dans une bouteille parce que c’est la seule chose qui te fait oublier que t’as tout foiré ?" Sa réponse reste en suspens, alors je continue, plus calme cette fois. "Je ne dis pas que je ne vais pas y aller, mais je veux que tu comprennes que je ne fais pas ça pour moi. Si je le fais, c’est pour elle. Pour qu’elle voit que je ne suis pas complètement à la dérive. Mais ça ne veut pas dire que je suis prêt à admettre que j’ai un problème." Izan, toujours appuyé contre le mur, m’observe sans rien dire, mais je vois qu’il m’écoute vraiment. "Maintenant que c’est plus une surprise, tu me suis ou pas ? Je resterai avec toi," ajoute-t-il, presque maladroitement. Il veut m’aider, je le vois bien, même s’il ne sait pas comment s’y prendre. Je soupire, passant une main nerveuse dans mes cheveux. "D’accord, Izan. Je vais y aller, mais je veux que ce soit clair entre nous." Je m’approche de lui, les bras croisés. "Je ne suis pas convaincu que ça va changer quoi que ce soit. Mais si ça peut prouver à Helen que je fais un effort… alors oui, je vais te suivre. Mais ne t’attends pas à ce que je change du jour au lendemain. Je ne vais pas prétendre être quelqu’un que je ne suis pas." Je prends une profonde inspiration, sentant le poids de cette décision s’alourdir sur mes épaules. "Allons-y, avant que je ne change d’avis. Et Izan… merci de rester avec moi. Ça compte plus que tu ne le crois."
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
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DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Il a visé juste, Izan, en questionnant la pérennité de sa prétendue sobriété. Sam ne lui renvoie pas une réponse dans l’immédiat mais le pianiste voit très bien que les coins de sa mâchoire subissent un tremblement nerveux, comme pour encaisser la question qui soulève un point qu’il aurait préféré garder silencieux. L’hispanique pourrait très bien dévier la conversation, rendre rhétorique l’interrogation qu’il a posé et ne pas pousser son interlocuteur dans ses retranchements mais, il lui semble important d’aborder le sujet : c’est toute la raison de sa venue, n’est-ce pas « Depuis… un moment, Izan. En journée, je tiens bon. Pour le boulot, pour les enfants. Je ne suis pas complètement hors de contrôle. » « en journée » et « pas complètement » ne résonnent pas avec le caractère rassurant espéré par Sam, si bien que le musicien hausse ses sourcils en penchant légèrement son menton sur le côté, ne sachant pas tellement s’il doit faire remarquer qu’il a très bien compris ce qui se passe une fois que Sam n’est plus dans son rôle de professeur. ’’Tu caches bien les preuves, en tous cas…’’ qu’il répond d’un ton qui se veut léger mais peut-être avec maladresse, faisant référence à l’état de la maison la dernière fois qu’il est venu : qu’on se le dise, elle était dans un état tout bonnement déplorable, et il est évident que la situation s’est un peu améliorée à ce propos. Mais pas au point de rassurer pleinement Helen, même si le plan établi par la chirurgienne est gravement contrarié par la mauvaise volonté de son (ex ?) mari. « Tu crois vraiment que ça va changer quelque chose, Izan ? Que parce que je vais à une de ces réunions, Helen va soudain se dire que tout va bien ? Que je suis guéri ? » il n’en sait foutrement rien, mais puisqu’elle se soucie encore de son cas, c’est qu’elle tient encore à lui, non ? ’’J’ai jamais dit qu’elle revendrait après ce rendez-vous. J’ai dit qu’elle était inquiète et que ça lui prouverait ta bonne volonté. Ne déforme pas mes mots.’’ - « Je ne suis pas certain que ce soit aussi simple. Et puis… c’est pas elle qui est partie, hein ? C’est pas elle qui doit vivre avec ça tous les jours. » il soupire silencieusement en détournant le regard pendant quelques secondes, n’ayant pas envie de lui rappeler pourquoi elle est partie. Il boit pour oublier sa culpabilité mais, par chance, il est présentement sobre et donc pleinement capable de se souvenir qu’il est l’unique fautif de cette dispersion dans son mariage. « Je comprends qu’elle s’inquiète, et je comprends pourquoi tu es là. Mais je ne suis pas sûr que c’est ce dont j’ai besoin. Tu sais ce que c’est, toi, de te sentir inutile ? De te noyer dans une bouteille parce que c’est la seule chose qui te fait oublier que t’as tout foiré ? » la dernière fois qu’il a noyé son chagrin dans une bouteille, il a fini par coucher avec la femme de Sam donc il se dit que garder le silence, pour une fois, ce n’est pas du luxe « Je ne dis pas que je ne vais pas y aller, mais je veux que tu comprennes que je ne fais pas ça pour moi. Si je le fais, c’est pour elle. Pour qu’elle voit que je ne suis pas complètement à la dérive. Mais ça ne veut pas dire que je suis prêt à admettre que j’ai un problème. » le déni est confortable, il le sait très bien, Izan, mais il le sait aussi suffisamment destructeur pour ne pas laisser Sam s’enliser là-dedans sans broncher ’’Mais tu sais qu’il est là.’’ il le rappelle d’une voix calme et presque douce, en l’accompagnant du regard. Cette nouvelle dynamique, entre eux, est inédite : ils se sont longtemps lancés des regards méfiants et méprisants et voilà qu’ils commencent à s’enticher d’une curieuse amitié, au moment où l’on ne l’attendait pas « D’accord, Izan. Je vais y aller, mais je veux que ce soit clair entre nous. » levant légèrement le menton, il arque un sourcil en l’écoutant plus attentivement « Je ne suis pas convaincu que ça va changer quoi que ce soit. Mais si ça peut prouver à Helen que je fais un effort… alors oui, je vais te suivre. Mais ne t’attends pas à ce que je change du jour au lendemain. Je ne vais pas prétendre être quelqu’un que je ne suis pas. » - ’’Ce n’est pas ce que je te demande.’’ il le rassure en traçant l’ébauche d’un sourire sur ses lèvres, soulagé de l’effort concédé par le professeur, même s’il regrette que la démarche soit seulement faite pour satisfaire quelqu’un d’autre ; dans ces conditions, Izan doute que le groupe de parole l’aident réellement mais, au moins, Helen verra qu’il se démène pour s’en sortir. « "Allons-y, avant que je ne change d’avis. Et Izan… merci de rester avec moi. Ça compte plus que tu ne le crois. » pressant ses lèvres sous un sourire complice, il glisse son bras autour des épaules de Sam afin de l’entraîner calmement vers les escaliers ’’Tu peux compter sur moi… Ça n’a pas vraiment bien commencé entre nous mais, on peut peut-être arranger les choses maintenant.’’ marquant une petite pause en haut des escaliers, il retire son bras de ses épaules en affichant soudainement une mine plus sérieuse, disant : ’’Si tu te sens trop mal, là-bas, tu me le dis et on s’en va, ok ? Allez, suis-moi.’’ descendant rapidement les escaliers, il l’attend avant de se diriger vers sa voiture stationnée devant sa maison ; ils sont un peu en retard mais, heureusement, les limitations de vitesse ne sont pas un problème pour celui qui est connu comme étant un danger publique derrière un volant.
crédits/daikunart
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Je sens le bras d'Izan se poser sur mes épaules alors qu'il me guide vers les escaliers. Ce contact me surprend un peu, mais je ne dis rien. Ça fait longtemps que je n'ai pas ressenti ce genre de soutien, et même si ça vient de lui, ça fait du bien. Qui aurait cru qu'un jour on en arriverait là, tous les deux ? On s'est longtemps regardés en chiens de faïence, mais peut-être que les choses peuvent changer, après tout. "Tu peux compter sur moi… Ça n’a pas vraiment bien commencé entre nous mais, on peut peut-être arranger les choses maintenant." dit-il avec un petit sourire. Je tourne légèrement la tête vers lui, esquissant un sourire en coin. "Ouais, qui l'aurait cru, hein ? Toi et moi, en train de faire équipe. Le monde est plein de surprises." On arrive en haut des escaliers et il retire son bras, prenant une expression plus sérieuse. "Si tu te sens trop mal, là-bas, tu me le dis et on s’en va, ok ? Allez, suis-moi." Je hoche la tête, appréciant sa considération même si je ne le montre pas trop. "Ça marche. Merci, vraiment." On descend les escaliers et je prends une profonde inspiration, essayant de calmer le nœud qui se forme dans mon estomac. L'idée de me retrouver dans cette réunion me fout les jetons, mais maintenant que j'ai dit oui, je ne peux plus reculer. En sortant de la maison, l'air frais me frappe le visage et je réalise à quel point je suis tendu. Izan se dirige vers sa voiture garée juste devant, et je le suis en silence. Une fois à l'intérieur, Je boucle ma ceinture de sécurité et allonge mes jambes. Le silence dans la voiture est un peu pesant, alors je décide de le briser. "Tu sais, pour ce que tu as dit tout à l'heure... Sur le fait que je sais que j'ai un problème." Je marque une pause, cherchant mes mots. "Peut-être que t'as raison. Peut-être que je me voilais la face jusqu'ici." Je continue, fixant le paysage qui défile par la fenêtre. "C'est juste que... C'est plus facile de prétendre que tout va bien, tu vois ? De faire comme si je contrôlais encore quelque chose dans ma vie. Mais au fond, je sais que je perds pied." Je soupire, passant une main nerveuse dans mes cheveux. "Je sais pas si cette réunion va changer quoi que ce soit, mais au moins j'essaie quelque chose. Et peut-être que ça comptera aux yeux d'Helen. Peut-être que ça me permettra de me rattraper un peu." Un silence s'installe de nouveau, mais cette fois il est moins lourd, presque apaisant. C'est étrange de parler aussi ouvertement avec Izan, mais ça fait du bien de vider mon sac, même un peu. Après quelques minutes, je me tourne de nouveau vers lui avec un léger sourire. "Et toi alors, depuis quand tu joues les chevaliers servants ? J'aurais jamais pensé que tu serais celui qui me traînerait à une réunion des Alcooliques Anonymes." Je me caler un peu plus confortablement dans mon siège, essayant de me préparer mentalement à ce qui nous attend. Alors qu'on approche du lieu de la réunion, je sens mon cœur s'accélérer. L'anxiété monte, mais je prends une grande inspiration, me rappelant que je ne suis pas seul. Izan est là, et même si notre relation est compliquée, sa présence me donne un peu de courage. La voiture s'arrête et je reste immobile quelques secondes, fixant le bâtiment devant nous. "Bon, je suppose qu'il est temps d'y aller." Je sors de la voiture et ferme la porte derrière moi, jetant un dernier regard vers Izan. "Merci d'être là, mec. Vraiment." Je ne sais pas ce que cette réunion va donner, mais au moins, je fais le premier pas. Et c'est déjà quelque chose.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
« "Ouais, qui l'aurait cru, hein ? Toi et moi, en train de faire équipe. Le monde est plein de surprises. » il est clair qu’il n’aurait jamais pensé être dans un tel rôle de complicité auprès de Sam, mais les deux hommes semblent s’être affranchis de la méfiance et l’inimitié qu’ils ont partagé durant des années. Il esquisse donc un petit sourire conciliant en descendant calmement les escaliers à ses côtés, bien conscient que Sam franchit une étape importante dans le cheminement de sa guérison, même si Izan regrette qu’il ne le fasse pas avant tout pour lui-même. Sauver son mariage peut être une source de motivation suffisante pour enterrer définitivement sa relation dangereuse mais, que se passera-t-il si Helen décide de ne pas leur donner une seconde chance ? Avec tous ces questionnement en tête, il s’installe derrière le volant avant d’attacher sa ceinture, lançant un maladroit ’’C’est parti’’ pour tenter de combler le vide occupé par le silence, ne sachant pas tellement quoi dire pour détendre l’atmosphère pesante dans l’habitacle ; de quoi faut-il parler quand on accompagne une personne à sa première réunion des alcooliques anonymes ? Heureusement, le principal concerné est celui qui reprend la parole en creusant le sujet de conversation qu’ils ont effleuré tout à l’heure, et même si Izan garde les yeux rivés sur la route, il s’efforce de témoigner de son écoute auprès de Sam par de petits hochements de tête, l’encourageant ainsi à exprimer ce qui lui pèse sur le coeur. « Tu sais, pour ce que tu as dit tout à l'heure... Sur le fait que je sais que j'ai un problème. Peut-être que t'as raison. Peut-être que je me voilais la face jusqu'ici. » difficile de dire le contraire, autant qu’il est compliqué, pour Izan, de l’en blâmer, lui-même étant particulièrement prompt à s’enterrer sous le déni plutôt que d’affronter ses problèmes. « C'est juste que... C'est plus facile de prétendre que tout va bien, tu vois ? De faire comme si je contrôlais encore quelque chose dans ma vie. Mais au fond, je sais que je perds pied. » une main sur le volant, le pianiste apporte l’autre à son visage pour passer la pulpe de ses doigts sur sa paupière, en soupirant ’’Je comprends, oui… J’crois que c’est humain. T’as pas à avoir honte, on fait tous ça.’’ et il ne pense pas que c’est quelque chose dont il faut avoir particulièrement honte, songeant que c’est dans la nature de l’Homme de vouloir préserver les apparences. « Je sais pas si cette réunion va changer quoi que ce soit, mais au moins j'essaie quelque chose. Et peut-être que ça comptera aux yeux d'Helen. Peut-être que ça me permettra de me rattraper un peu. » Izan n’a pas envie de lui donner de l’espoir pour rien, mais si Helen lui a demandé cette faveur, c’est qu’elle se soucie encore de son mari, non ? ’’Honnêtement, j’en sais rien… Mais objectivement, si elle m’a demandé de t’accompagner, c’est qu’elle s’inquiète pour toi et donc, par extension, qu’elle tient encore à toi.’’ comme lorsqu’il a débarqué chez Ash pour s’assurer qu’il allait bien, alors que leur séparation était largement consommée : en dépit de toutes les colères qui peuvent être des turbulences, les sentiments amoureux ne disparaissent pas aussi facilement. Reste à savoir si la rancoeur ou l’amour sortira vainqueur entre Helen et Sam.
Après cette note peut-être apaisante ou cruelle — lui même n’arrive pas à statuer sur la question, Izan laisse le silence s’installer sans chercher à le troubler, cette fois, désireux de lui accorder ce moment de répit avant la réunion mais, encore une fois, c’est le professeur qui rompt le mutisme de leur duo. « Et toi alors, depuis quand tu joues les chevaliers servants ? J'aurais jamais pensé que tu serais celui qui me traînerait à une réunion des Alcooliques Anonymes. » il émet un petit rire en lui lançant un bref regard d’acquiescement, secouant ensuite son menton en disant ’’Moi non plus, je te l’avoue…’’ dire que leur relation n’a pas été alambiquée de malentendus serait mentir, mais dans le fond, peut-être que leur guerre froide commence à prendre fin ? ’’Je suis quand même content d’être celui qui t’accompagne.’’ qu’il dit avec un sourire suave visant à adoucir le fait qu’ils viennent de se garer face au bâtiment. Coupant le moteur, il lui lance un regard en biais sans encore détacher sa ceinture, voulant lui faire comprendre qu’ils iront quand il l’aura décidé, lui. « Bon, je suppose qu'il est temps d'y aller. » - ’’Seulement si tu te sens prêt.’’ et il semble l’être, Sam, puisqu’il sort de la voiture et Izan l’imite, sans brusquer leur déplacement ; il n’est pas celui qui se dirige vers l’entrée, songeant que ce premier pas revient à celui qui en a le plus besoin. « Merci d'être là, mec. Vraiment. » - ’’Je reste avec toi.’’ et il honore son affirmation, Izan, le suivant à l’intérieur où ils sont accueillis par quelqu’un qui s’attendait à les recevoir. La jeune femme, sourire affable et regard bienveillant, les conduit jusqu’à une petite salle où plusieurs personnes sont installées sur des chaises en formant un cercle, et l’une d’elle est encore libre. Le laissant rejoindre sa place, Izan reste en retrait, tirant une chaise rangée contre le mur afin de s’y installer sans un bruit, s’assurant seulement d’être dans le champ de vision de Sam, si jamais ce dernier a besoin d’un soutien silencieux. Il lui a promis qu’il serait là, et il compte bien tenir cette promesse.
crédits/daikunart
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Je ne pouvais pas m'empêcher de fixer la route devant nous, évitant de trop croiser le regard d'Izan. Les mots qu'il venait de dire me résonnaient dans la tête. ’’Je comprends, oui… J’crois que c’est humain. T’as pas à avoir honte, on fait tous ça.’’ Ses paroles étaient rassurantes, mais je ne pouvais m'empêcher de me sentir un peu amer. Je soupirai en baissant la tête. "Ouais, peut-être... Mais ça n'enlève pas cette sensation de... de perte, tu vois ? Comme si tout m'échappait." Je savais que j'avais besoin d'admettre certaines choses, mais ce n'était pas facile de tout avouer, surtout à quelqu'un comme Izan. J'avais toujours eu ce côté compétitif, cette méfiance vis-à-vis de lui, mais étrangement, en ce moment, c'était lui qui m'accompagnait dans un moment crucial de ma vie. ’’Honnêtement, j’en sais rien… Mais objectivement, si elle m’a demandé de t’accompagner, c’est qu’elle s’inquiète pour toi et donc, par extension, qu’elle tient encore à toi.’’ J'avais du mal à savoir comment interpréter ça. Helen... Helen s'inquiétait encore pour moi, c'était sûr, mais est-ce qu'elle pouvait encore m'aimer après tout ce que j'avais fait ? Je laissai un silence s'installer, réfléchissant à ces mots. "Je me demande parfois si elle s'inquiète vraiment ou si c'est juste... de la culpabilité. Peut-être qu'elle ne veut juste pas se sentir responsable si je m'effondre complètement. Après tout, c'est moi qui ai tout gâché." Je secouai la tête, tentant de chasser ces pensées sombres. Izan ne méritait pas que je lui déballe tout ça maintenant. Il avait déjà fait l'effort de me conduire ici, de m'accompagner, même si je savais que ce n'était pas une tâche qu'il avait choisie de bon cœur. Il avait fini par dire d'un ton presque complice : ’’Moi non plus, je te l’avoue…’’ Je ne pus m'empêcher de sourire un peu. C'était ironique de penser que lui et moi, qui étions si différents, étions là ensemble. "C'est bizarre, hein ? On aurait jamais imaginé ça, toi et moi. Mais ouais, je te remercie d'être là." Izan continuait de me surprendre. ’’Je suis quand même content d’être celui qui t’accompagne.’’ Cette phrase me fit réfléchir. Peut-être qu'au fond, il y avait plus de respect mutuel entre nous que je ne l'avais cru. "Je crois que je suis content que ce soit toi aussi... Même si, tu sais, j'aurais jamais pensé avoir besoin de ce genre d'aide." La voiture s'arrêta devant le bâtiment. Le poids de la réalité me frappa à cet instant. C'était maintenant ou jamais. Je n'étais pas sûr d'être prêt, mais est-ce qu'on l'est vraiment un jour ? ’’Seulement si tu te sens prêt.’’ Izan avait raison. Ce choix me revenait. Je restai un instant immobile, mes mains crispées sur mes genoux. Je pouvais encore faire demi-tour, éviter tout ça, mais cette fois, il fallait que je fasse un pas en avant. Je me redressai dans mon siège et pris une grande inspiration. "Ouais, je suppose que c'est le moment. Allons-y." Je sortis de la voiture, mon cœur battant à tout rompre. Izan m'emboîta le pas, fidèle à sa promesse. ’’Je reste avec toi.’’ Ces mots, bien que simples, avaient une signification importante pour moi. Dans cet instant, je n'étais pas seul. Je jetai un dernier coup d'œil vers Izan avant de me diriger vers l'entrée. À l'intérieur, l'air était étrangement calme. Une femme nous accueillit avec un sourire bienveillant et nous guida vers une petite salle. Je sentis ma gorge se nouer en voyant le cercle de chaises, chacune occupée par des visages marqués par des histoires probablement similaires à la mienne. Une place était libre pour moi. Je pris une grande respiration et, sans trop réfléchir, allai m'asseoir. Alors que je levais les yeux vers Izan, assis un peu en retrait, je sentis un mélange d'appréhension et de soulagement. C'était un nouveau départ, et même si je ne savais pas encore où cela me mènerait, j'étais là, prêt à essayer.