(marose #11) rather laugh with the sinners than cry with the saints
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
(gallery of broken hearts ; west end markets)Le regard du brun se pose un peu plus longuement sur Mavis lorsqu’ils sortent de la voiture, elle à qui il a prévenu qu’elle pouvait attraper le sac en papier kraft derrière son siège pour trouver de quoi manger et surtout beaucoup de caféine. Maintenant qu’ils sont à l’air libre, il peut l’observer avec une certaine émotion sans doute un brin surjouée mais qui ne l’empêche pas de s’étonner de la situation et de tout ce qui a pu se passer pour eux en si peu de temps. Ils étaient rien, ou du moins pas grand chose, et maintenant ils en sont au point où son père pense qu’ils ont manqué de ça d’être parents. « On est supposés faire quoi avec l’argent d’une bague de fiançailles ? » Il questionne avec une fausse insouciance, conscient que la bague vaut un petit prix mais rien d’exorbitant non plus - juste de quoi montrer que ce n’est pas du plastique mais pas de quoi l’endetter sur trois générations, parce qu’il n’a jamais cherché à prouver quoi que ce soit à Cassie. Ils avaient besoin d’un brin de poudre aux yeux, rien de plus. Avec amusement, sa main trouve le chemin du sac en papier, d’où il sort une miniardise dérobée sans la moindre honte mais avec un sourire satisfait. « T’as pas vécu ça personnellement mais je sais que t’as une bonne imagination. » Heureusement qu’elle ne l’a pas vécu, par ailleurs, même s’il n’imagine même pas Mavis avoir à coeur de se marier un jour - lui, si, tout comme il veut des enfants et ne s’est pas gardé de l’avouer à la jeune femme à ses côtés.
Avec bien moins d’amusement, c’est l’anneau autour de son cou qu’il tâte, comme pour s’assurer qu’il est toujours en place alors même qu’il n’existe aucune raison pour laquelle il aurait pu changer de place. Celui-ci ayant appartenu à sa mère, il n’existe pas un monde dans lequel il pourrait s’en séparer, encore moins dans une vulgaire brocante pseudo tendance et pseudo larmoyante. « T’as pas un truc dont tu veux te débarrasser ? » Quitte à être sur place, il préfère autant penser qu’il n’est pas le seul à vouloir se délester d’un objet ou deux, et peut-être bien que cela ferait aussi du bien à Mavis. A bien y repenser, pourtant, il n’est même pas certain qu’elle soit du genre sentimentale à garder le moindre objet. A bien y repenser, aussi, il se demande ce qu’elle pourrait bien avoir comme objet à sa disposition, parce qu’ils parlent sans nul doute aucun de la même personne et que personne n’aurait généralement envie de garder des preuves d’un adultère. « On peut juste faire un aller retour, je donnerai l’argent à une association. » Si elle ne veut pas en entendre parler davantage, si l’excuse ne l’intéresse pas le moins du monde, si le sujet fait bien plus de bien à mettre derrière elle plutôt qu’au coeur de la discussion ; c’est ok, il comprend.
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Dernière édition par Ambrose Constantine le Dim 1 Sep 2024 - 20:31, édité 1 fois
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
rather laugh with the sinners than cry with the saints @Ambrose Constantine (crédit gif/megdonnellygifs)
Elle le remarqua, le regard d’Ambrose posé sur elle lorsqu’elle sortit de la voiture, ses lèvres collées contre le gobelet de café qu’elle avait quémandé contre sa présence à ses côtés pour cette sortie qui n’en était pas vraiment une. Mavis ne savait pas comment l’interpréter, alors elle lui offrit simplement une grimace accompagnée d’un froncement de nez qui voulait tout et rien dire, le cerveau turbinant moins vite que d’habitude, anesthésiée par le travail. Elle manquait de sommeil, la faute à sa garde qu’elle avait terminé il y avait une heure à peine. Le temps de prendre une douche dans l’enceinte-même de l’hôpital, elle avait négocié avec sa concentration pour remettre à plus tard son programme de la matinée : des siestes entrecoupées par des textos de la part de celui qu’elle rejoignit en quelques pas seulement, se plaçant juste à ses côtés. Elle préférait sa présence à celle de son chat, c’était une évidence — cette dernière lui en voudrait si elle savait, mais elle ne savait pas, et c’était très bien comme ça. Elle reprit une gorgée de café, eut un léger rire à la question du jeune homme ; qu’elle n’appelait pas petit ami parce qu’elle trouvait ça immature. Ils avaient longuement statué sur le fait qu’ils n’étaient plus des adolescents, pourtant c’était bien ce qu’ils étaient de nouveau maintenant, non, un couple ? Ça aussi, c’était évident. Peut-être pas pour tout le monde, mais qui s’en souciait vraiment ?
Elle se laissa à réfléchir à sa question, suivit des yeux sa main qui lui déroba une mignardise qui lui était réservée, ne s’en offusquant pas puisque le déclic se fit dans son esprit, et qu’elle tomba sur la meilleure réponse à lui accorder "Un nouveau tatouage ?" Elle tournait sa réponse en question, Ambrose soulignant lui-même qu’au fond, Mavis ne pouvait rien en savoir de quoi faire du fruit de la vente d’une bague de fiançailles. Personne ne lui en avait jamais passé une au doigt, et ce n’était pas pour la rendre amère ; elle était jeune, elle avait le temps. Elle poursuivit, lui suggérant avec malice, échangeant avec lui son gobelet contre sa mignardise pour la goûter, laissant momentanément les autres de côtés. Avant de croquer dedans, sa voix résonna doucement "C’est pas une bonne idée ? Un tout petit qui dirait : plus jamais ça." Par exemple, au hasard. Elle eut un nouveau sourire "T’en parles jamais." D’elle, aurait-elle pu ajouter. Sauf qu’ils en étaient au stade où ce n’était pas utile de préciser certaine chose, et celle-ci, elle estima qu’elle ne méritait pas d’être précisée.
Elle savoura le reste de la mignardise d’Ambrose, lui laissa la dernière bouchée en la lui mettant elle-même dans la bouche, puis se léchant rapidement l’index avant tout, elle finit par échanger à nouveau la gourmandise contre le café. Elle haussa les épaules pour qu’il assimile sa réponse avant qu’elle ne la lui donne de vive voix. Non, pas vraiment "Il reste des affaires de Marion au grenier, chez mes parents. Je prendrais pas le risque d’aller y fouiller pour faire le tri et décider à leur place ce qui est bon à vendre ou pas." Non seulement parce qu’ils lui en voudraient jusqu’à la fin de sa vie, surtout parce que c’était une corvée à ses yeux, et que se replonger dans le parcours impeccable de sa jumelle, ce serait lui rappeler qu’elle, elle avait dû bosser comme une folle, faire des choix douteux aussi (surtout), pour tenter de rivaliser avec l’aura d’excellence qu’elle avait toujours fait peser sur leur duo. Elle ne pensait même pas à ce que Ruben avait pu lui offrir et qui aurait nécessité qu’elle s’en sépare pour enfin tirer un trait net sur leur relation : il ne lui avait rien offert si ce n’était des fleurs, une fois. Elle but une gorgée de sa boisson chaude, rangea le reste des mignardises dans son sac qu’elle portait en bandoulière pour avoir au moins une main libre, et la passa dans le creux du bras d’Ambrose dont elle se rapprocha et vers qui elle tourna la tête "Je veux savoir combien tu vas en tirer de cette bague, ça peut être fun." lui fit-elle, rejetant l’idée qu’ils tournent les talons sous le prétexte qu’elle, elle n’avait rien à vendre. Là, au travers de l’ouverture subtile de la chemise du jeune homme, Mavis vit briller celle qu’il portait toujours autour du cou "T’as pas pensé à lui offrir celle-ci quand tu lui as demandé sa main ?" Elle avait connu Ambrose toute sa vie, ou presque. Elle l’avait vu avec cette bague autour du cou quand il était adolescent, elle le voyait aujourd’hui, prendre un soin particulier à la replacer à l’endroit chaque fois qu’il divorçait d’elle après leurs ébats, et ça ne la trompait pas : c’était un bijou sacré à ses yeux, le genre à avoir une signification si forte qu’elle pouvait finir au doigt d’une femme avec qui on espère terminer sa vie, non ?
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Un nouveau tatouage ?" La réponse est simple et amusante, elle est ce qu’il pouvait effectivement attendre de la part de Mavis. « Comme ce serait dommage. » Il rétorque avec ironie, bien que le désir d’avoir un tatouage supplémentaire ne lui ait pas pour l’heure traversée l’esprit. Qui plus est, il est bien placé pour savoir qu’il ne le ferait certainement pas avec l’argent obtenu suite à cette vente, parce que ce serait mal venu à bien des niveaux. "C’est pas une bonne idée ? Un tout petit qui dirait : plus jamais ça." Elle s’en amuse assez pour qu’il ose reprendre le sujet sans y réfléchir à deux fois. « Je vais pas me tatouer un mensonge, pas même pour le bien de l’art. » Son sourire est présent, signe qu’il ne tient rigueur de rien à Mavis. Pourtant, il est honnête sur ce point aussi : il veut se marier, et il se mariera. Pour de vrai, cette fois. Sans doute pas demain, mais il trouvera. Il sera accompli, et peut-être même qu’il arrivera à être pleinement heureux entre-temps. "T’en parles jamais." Cette fois-ci, le sourire d’Ambrose se fane quelque peu. Il dégage son visage de droite à gauche, comme pour lui faire comprendre que ce n’est pas si important et qu’elle n’y perd rien. Il lui dérobe la dernière mignardise avant de reprendre, ne pouvant ignorer le sujet. « Je tourne la page, c’est tout. » Les secrets sont bien plus à leur place lorsqu’ils sont enterrés, surtout. Ils n’auraient rien à y gagner à parler de leurs ex, et ça il ne prend même pas la peine de le préciser à Mavis tant c’est une évidence qu’il refuse de venir gâcher l’instant.
A son tour, il tente de savoir où se trouve Mavis mentalement et à quel point elle souhaite uniquement être sa +1 aujourd’hui ou bien prendre part aux festivités. Il pourrait accepter l’un autant que l’autre, évidemment conscient que l’invitation vient de lui et qu’elle ne fait sûrement que l’accompagner pour lui faire plaisir. A ce qu’il paraît, les gens en couple font ça. "Il reste des affaires de Marion au grenier, chez mes parents. Je prendrais pas le risque d’aller y fouiller pour faire le tri et décider à leur place ce qui est bon à vendre ou pas." Il hoche la tête. Si un de ses frères vendait des affaires de Norman, il serait éminemment furieux, même alors qu’il s’agit d’un parent et non d’un frère. A son tour, aussi, il ne se sent pas capable d’une telle idée, raison pour laquelle il comprend Mavis. « T’en as déjà eu envie ? » Il ne sait pas pourquoi il ressent le besoin de lui demander alors même qu’elle donne l’impression que la réponse ne peut être que négative. Elle parle de risque, il parle d’envie ; et pourtant il est le premier à dire que les désirs ne devraient pas façonner toutes les réactions, une idée qu’il reproche encore beaucoup à Malone et August.
Il serre doucement son bras près de lui lorsque Mavis y passe sa main. "Je veux savoir combien tu vas en tirer de cette bague, ça peut être fun." - « Je pense qu’on va pas en tirer plus de deux cent dollars, quelque chose comme ça. » Il n’avait pas l’héritage de Norman, à l’époque, et il n’avait pas envie de s’endetter pour Cassie. La bague en vaut à peine plus, et son objectif n’est de toute façon pas de faire l’affaire du siècle. Il profite simplement de l’animation en ville pour tourner la page sur cette idée pas forcément merveilleuse de sa vie. Au fond, peut-être qu’il a envie qu’elle connaisse le prix de cet objet et qu’elle comprenne qu’il n’est pas aussi important qu’il aurait pu et dû être. "T’as pas pensé à lui offrir celle-ci quand tu lui as demandé sa main ?" Il ne lui fait pas l’affront de lui demander ce dont elle parle, et il doute assez peur pour ne même pas lui offrir un regard interrogateur sur l’instant. Ses pas continuent au même rythme en direction des différents vendeurs et acquéreurs. « Je suis pas prêt à le laisser à qui que ce soit. » Ce qui n’est pas un mensonge, en soi. Il n’est réellement pas prêt à accorder assez de confiance à quiconque pour offrir cette alliance, mais il était encore moins prêt à l’offrir à Cassie, pour des raisons qui lui sont évidentes. « C’est un souvenir de mes parents avant d’être autre chose. » Une bague à offrir à la personne qu’il aime et avec qui il passera le restant de ses jours - ni plus, ni moins, et sans pression bien sûr. « Et si je lui avais offert, on serait pas là aujourd’hui, et avoue que ça aurait été un peu moins cool. » Il rétorque dans un sourire, tentant sans doute de comprendre pourquoi Mavis cherche autant à comprendre à son tour Cassie, comme si elle était une figure mystique qu’elle se devait de décortiquer. Pour mieux imiter ? Il en doute. Pour mieux craindre ? Il ne le pense pas non plus, à dire vrai. « Après, si tu veux booker un double tatouage pour “plus jamais ça”, on peut toujours négocier. » Pour “plus jamais d’amant déjà marié”, pour n’importe quoi d’autre, il peut sans doute signer cette idée avec humour.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
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Ambrose était campé sur ses désirs d’homme comme les autres. Entre bébé et mariage, Mavis avait l’impression que ça le rassurait de se cantonner à des schémas classiques pour avancer, et elle ne pouvait pas l’en blâmer, c’était juste un peu étonnant d’être aussi catégorique quand on avait son âge et tout l’avenir devant soi. Elle ne commenta pas davantage, tout comme elle ne commenta pas davantage la manière dont il tournait la page de ses fiançailles avec cette femme dont elle n’entendait jamais parler comme si le sujet était tabou. L’était-il ? Elle ne posa pas la question à voix haute, continuant son chemin aux côtés d’Ambrose avec la ferme intention de passer un bon moment et de ne pas soulever plus que ça les sujets qui fâchent. Elle fût cependant celle qui mit sur le tapis celui qui avait tendance à la braquer, alors elle ne pouvait s’en vouloir qu’à elle-même. Le souvenir de sa soeur la suivrait toute sa vie, elle avait appris à faire avec. A défaut de trouver ça agréable, elle pouvait se satisfaire d’avoir réussi à mener sa barque, elle, et c’était tout ce dont elle avait besoin pour se sentir heureuse. Elle eut un léger sourire et répondit à la question qu’Ambrose venait tout juste de lui poser en secouant d’abord la tête pour qu’il comprenne par légère anticipation que non, elle n’avait jamais pensé à aller fouiller dans les reliques de sa jumelle "On a passé les treize premières années de notre vie soudées par la hanche." Sans exagération : elles étaient inséparables, pas étonnant que quiconque les ayant connu à l’époque imaginait que Mavis était inconsolable suite la mort de sa soeur. Si seulement ils savaient "Je sais parfaitement ce qu’il y a dans ses cartons, j’ai pas besoin d’y mettre le nez." Elle connaissait tous les secrets de sa soeur, elle connaissait tous ses rêves et ses espoirs ; et elle les avait réduits à néant en une seule impulsion, un coup de folie qu’elle ne regrettait pas le moins du monde aujourd’hui.
Faisant glisser ses doigts du creux du coude d’Ambrose jusqu’à sa main, elle la saisit dans la sienne en évaluant d’un mouvement de tête appréciateur le montant qu’il pensait tirer de la bague qu’il voulait mettre en vente "Pas de tatouage donc, mais te sens pas mal à l’aise de me faire un cadeau si tu sais pas quoi en faire." laissa-t-elle échapper, malicieuse, ne pensant pas un mot de ce qu’elle était en train de dire. Elle savait qu’Ambrose était trop droit pour se servir du pécule reçu pour cette bague pour gâter sa belle — une question de respect pour son ex-fiancée sans aucun doute, elle ne voulait pas chercher à comprendre, déjà occupée à creuser ailleurs "Je te savais pas du genre à t’attacher autant à des objets." lui fit-elle remarquer sans critique. Au contraire, elle avait un tout petit sourire sur le visage, du genre de ceux qu’on laisse échapper lorsqu’on apprend un détail neuf sur une personne qu’on a déjà l’impression de connaître dans les moindres détails pourtant. La manière dont il présenta les choses la fit rire, et là encore, apposer une remarque en fronçant les sourcils "Ça veut dire que t’y croyais pas vraiment à ce mariage ?" Pour réfuter l’idée-même de gracier son ex de cette bague en particulier ? Elle essayait toujours d’aller dans le fond des choses Mavis, et parfois, ça lui portait préjudice. Ce n’était pas toujours pour avoir des cartouches en plus et affirmer sa dominance dans le grand jeu qu’était sa vie, mais bel et bien parce qu’elle était d’une rare curiosité et que cette dernière, elle l’exprimait en posant des questions, en décortiquant les réponses, et en forant le moindre détail pour avoir une compréhension réelle de ce qui se présentait à elle. En se mordant l’intérieur de la joue, elle resserra ses doigts à ceux d’Ambrose, puis elle lui donna un froncement de nez pour mieux répondre à sa suggestion-retour "On en est déjà à prendre des rendez-vous pour se faire tatouer en commun ? Je devrais peut-être me faire faire une manucure en prévision de ta prochaine demande en mariage." Elle s’amusait, tirant la langue de sa direction, et ne laissant pas vraiment le sens de sa phrase s’installer pour ajouter dans la foulée "J’ai envie d'un tatouage, mais pas d’un comme ça." Et prenant la dernière goutte de son café en basculant la tête en arrière, elle jeta son gobelet dans la première poubelle qu’ils rencontrèrent.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Je sais parfaitement ce qu’il y a dans ses cartons, j’ai pas besoin d’y mettre le nez." L’explication se suffit à elle-même, si bien qu’il n’en demande pas davantage. Il n’a pas de jumeau mais il a bien vu August et Flora évoluer comme les deux doigts d’une seule main et être plus soudés que n’importe qui d’autre dans leur famille. Peut-être qu’une part de lui se retrouve jaloux de ce comportement, évidemment, mais il ne peut pas leur reprocher de s’entendre parfaitement avec une personne qu’ils ont connu depuis leur premier souffle et connaîtront jusqu’au dernier - pour l’un des deux, au moins. « J’ai l’impression que t’aurais aimé être fille unique, parfois. » Un commentaire qu’il laisse voler sans en penser davantage et, surtout, sans en penser autant pour sa part. Il est heureux d’avoir été aimé pour la personne qu’il est et non pour le duo qu’il représente, mais il aurait aimé ne serait-ce grandir avec une personne de son âge qui comprend ce qu’il ressent au moment où tel est le cas.
Alors, comme si cela avait quoi que ce soit d’un sujet normal, ils en sont à discuter de ce qu’ils feront avec l’argent gagné suite à la revente d’une bague de fiançailles. Une occupation normale pour une matinée qui l’est tout autant, donc. "Pas de tatouage donc, mais te sens pas mal à l’aise de me faire un cadeau si tu sais pas quoi en faire." Evidemment, elle ne perd pas le nord et son audace fait sourire Ambrose. Il a rapidement appris que trop de retenue ne pourrait jamais le mener nulle part, et cela s’applique à tout le monde. Elle n’est pas vantarde ; elle sait simplement ce qu’elle vaut et ce qu’elle mérite. Et ce qu’elle veut. « C’est pas ça, le cadeau ? » Le sac presque vide est désigné d’un signe de tête, le maigre déjeuner n’ayant rien demandé. Cela ne l’empêche pas de se retrouver au cœur d’une pseudo négociation empreinte d’humour. Quand bien même, il ne voudrait pas en venir à utiliser l’argent reçu à cause / grâce à son ex fiancée pour faire plaisir à sa nouvelle petite-amie. Même lui dont le système de valeurs s’avère parfois être douteux ne voudrait pas se lancer dans une telle idée. "Je te savais pas du genre à t’attacher autant à des objets." Ce sont des mots dont il ne sait pas quoi faire. Ambrose ne pense pas être réellement du genre matérialiste, mais cette alliance est différente, unique. « Contre-coup d’avoir grandi au milieu de tissus qui coûtent pas moins qu’un rein, je crois bien. » qu’il préfère rétorquer avec humour, voyant un lien entre deux idées qui n’ont sûrement rien qui peuvent les relier l’une à l’autre. "Ça veut dire que t’y croyais pas vraiment à ce mariage ?" Honnêtement ? Oui. Evidemment qu’il n’y croyait pas, évidemment qu’il a essayé d’y croire mais a surestimé sa capacité à imiter l’amour. Il pensait que ce serait simple d’observer la première venue avec les mêmes yeux d’amour qu’il dédie à Ruben, mais le subterfuge n’a sûrement jamais fonctionné. « J’avais sûrement des doutes au fond de moi, et c’est ce qui a eu raison des fiançailles. » Ce n’était pas un mariage. Cela n’a pas eu le temps de devenir un mariage, et tant mieux. Il persiste et signe à dire qu’elle ne connaîtra jamais la vérité pleine et entière, mais il y a des points qu’il accepte de dévoiler, parce qu’il doit malgré tout expliquer les raisons pour lesquelles leur histoire n’a pas su fonctionner, ni même perdurer. « Mon instinct est perfectible. » Il reprend avec un sourire. En termes d’histoires d’amour, il est particulièrement doué pour choisir les foireuses, et il ne le précise pas simplement pour ne pas porter une sorte de poisse à Mavis qu’il ne veut pas ajouter à la liste des exemples déjà existants. « Tu trouves ça stupide, ce genre de manie ? » Cette idée de vouloir garder à tout prix l’alliance, ou bien n’importe quel objet ? Il pose la question avec une curiosité sincère.
"On en est déjà à prendre des rendez-vous pour se faire tatouer en commun ? Je devrais peut-être me faire faire une manucure en prévision de ta prochaine demande en mariage." Peut-être qu’il est soulagé de constater dans son regard qu’elle ne fait qu’en rire, ce qui le pousse à son tour à réagir avec désinvolture en lui offrant un sourire sincèrement amusé. Ils n’en sont pas là, non, assurément ; et la vérité c’est qu’il est un brin terrifié de vouloir aller trop vite une fois de plus. "J’ai envie d'un tatouage, mais pas d’un comme ça." - « Un comment ? » Le sujet l’intéresse, évidemment. Il n’a aucune envie d’un tatouage commun pour le moment, mais les idées et désirs de Mavis l’intéressent en temps normal et l’intéressent d’autant plus sur un tel sujet qui le passionne à son niveau, en démontre les encrages sur son propre corps. « C’est ok si c’est un des miens, tu peux le dire. » Il joue la fausse vantardise, met à mal toute possible remarque de Mavis en l’embrassant brièvement avec amusement, sa main opposée se retrouvant brièvement posée contre sa joue. L’instant suivant, il se place pour faire la queue face à un acheteur de pièces de bijouterie en tout genre ; ce n’est sans doute pas l’endroit où il saurait en tirer le meilleur rapport qualité-prix mais cela représente bien le cadet de ses soucis.
:
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
rather laugh with the sinners than cry with the saints @Ambrose Constantine (crédit gif/megdonnellygifs)
Que répondre à Ambrose ? Que oui, elle aurait plus apprécié sa vie si on lui avait dès le début donné la chance d’être unique et d’éclore au soleil et pas dans l’ombre d’une copie conforme dont le besoin de contrôle avait entraîné des désirs de vengeance chez celle à qui elle ne laissait pas de place ? Il ne comprendrait pas, ainsi c’est aussi bien qu’elle s’escrime à ne pas rouvrir la bouche, se sommant juste de l’étirer dans un léger sourire qui ne veut pas dire grand-chose, mais qui a au moins le mérite d’être là pour accompagner son silence. Elle ne veut pas s’étendre sur le souvenir de sa soeur jumelle, elle ne veut pas s’étendre sur la mésentente qui anime ses rapports avec son frère qui lui en veut d’être celle qui est restée, c’est évident. Elle est seule au sein de sa famille, Mavis. Elle a à peine ses parents pour la soutenir lorsqu’elle en a besoin, alors elle s’échine à attirer l’attention d’au moins l’un d’entre eux en abondant dans son sens et en devenant ce qu’il aurait aimé qu’elle devienne, aspirant à être traitée en égale quand elle est en fait vu comme un détail à prendre en compte que lorsque ça l’arrange.
Ils présentent bien, les Barnes. Mais ils sont loin d’être parfaits, c’est tout ce qu’elle se dit pendant le petit chemin qu’ils empruntent tous les deux, main dans la main, à se taquiner pour noyer le gros poisson que sont les sujets sérieux. Ils sont adultes, ils devraient pouvoir les aborder sans se sentir mal à l’aise, seulement ce n’est pas comme ça que ça se passe, et l’espièglerie prend ses aises sans juger bon faire dans le demi-mesure, posant ses pieds sur la table-basse, croisant ses bras à l’arrière de son crâne en poussant un profond soupir. Evidemment qu’elle ne s’attend pas à ce que qu’Ambrose lui offre un cadeau avec l’argent qu’il récoltera de la vente de la bague de son ex-fiancée. Mais après tout, pourquoi pas ? Il veut tourner la page, c’est ce qu’il lui a dit "Disons que c’est un bon début." commente-t-elle en secouant son gobelet de café presque vide qu’elle jettera dans quelques secondes à peine et qui n’est un cadeau que parce que c’est Ambrose qui a allongé la monnaie. Du reste, elle a tout de même plus d’exigences que ça, lesquelles elle ne partage pas avec lui puisqu’ils sont déjà passés à autre chose d’éminemment plus sérieux.
Et encore un peu, elle se rend compte qu’Ambrose reste secret par rapport à sa relation précédente. Parlez d’instinct ou de soupçon — ou d’expérience, elle n’est pas en reste à ce sujet, c’est un fait —, mais son radar se met en route et alors que ses sourcils se froncent, la question quitte ses lèvres avec un chouïa trop de rudesse "Et c’est terminé-terminé ?" Il vaut peut-être mieux s’en assurer. Il lui a fait tout un speech bien monté sur son envie de se poser et elle ne remet pas en doute sa loyauté, sauf qu’un homme reste un homme — la preuve, il veut se poser certes, il veut surtout le faire avec quelqu’un qui lui donne l'autorisation de ne pas faire d’elle sa seule et unique. Si sa propre morale n’est pas la plus adaptée pour être désignée comme vertueuse, celle d’Ambrose n’est somme toute pas très jolie non plus, alors en effet, la question se pose.? Elle poursuit "Ou si tu la croises dans la rue, que vous discutez, que vous vous revoyez, tu lui laisses la porte ouverte ? Je veux dire, si tu l’as demandé en mariage, c’est que tu l’as aimée à un moment donné, non ?" A quel point devra-t-elle partager, si c’est le cas et que oui, comme à un autre, il laisse cette porte déverrouillée pour la rouvrir si l’occasion se présente ? Elle laisse un très court rire lui échapper, ses yeux se détournant de son profil pour se poser sur le ciel en se disant qu’au final, ce n’est pas si illogique qu’il s’accroche autant aux objets, Ambrose : il s’accroche aux gens de la même manière. Elle hausse les épaules "Non, si c’est ton truc, c’est pas critiquable. Et puis comme tu dis, ça appartient à l’histoire de tes parents. Si ça t’aide à te sentir proche d’eux…" Elle ne peut effectivement pas le critiquer. Ça elle l’avale, ne voulant pas se répéter.
Elle est toujours là, l’espièglerie. Elle a déjà eu la conversation avec Simon, à propos des tatouages. Mais c’est plus agréable de le faire avec Ambrose parce qu’il est véritablement intéressé par ce qu’elle laisse échapper au travers de ses boutades. Elle réfléchit un instant "Un discret. Pour cacher ma cicatrice tu sais, celle que j’ai ici." Au creux de l’aine droite qu’elle désigne en y posant brièvement leurs mains jointes. C’est hideux, nacré comme un coquillage, difforme et illisible aujourd’hui ; c’est surtout un souvenir de sa soeur. Rien qu’elle ne chérit, donc. Elle se laisse embrasser, froisse le haut de son nez — pas par dégoût, par facétie — quand, rejetant son idée, elle lui fait "Hmm, non. Ils sont trop gros les tiens. Puis ce sont les tiens, j’aurais l’impression de te voler quelque chose." Et si, dans les faits, ça ne l’a jamais ennuyé de voler quoi que ce soit à qui que ce soit, c’est différent avec Ambrose. Il est attaché à ce qui recouvre sa peau qui est devenue comme les pages d’un carnet intime ; elle ne veut en rien se l’approprier, gênée même d’y songer. En revanche, elle lui demande, posant très brièvement sa joue contre son bras lorsqu’ils s’arrêtent devant le dépôt-vente "Par contre, tu peux toujours m’aider à trouver quelque chose de joli." Elle lui fait confiance "Et si je me décide un jour, tu voudras m’accompagner ?" lui demande-t-elle, se redressant doucement pour mieux observer son visage.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
La réaction de Mavis n’est pas de celles qu’il aurait pu imaginer et la surprise fait de lui un homme amusé bien plus qu’agacé, en témoigne le regard qu’il déporte sur la jeune femme à ses côtés, lequel s’agrémente d’un sourire particulier. "Et c’est terminé-terminé ?" Il ne lui demandera pas pourquoi elle pose la question et il ne lui demande pas pourquoi elle a si peu confiance en les hommes : elle a raison, personne n’ayant défendu leur genre au cours de ses expériences passées. Et s’il n’est pas un exemple de perfection sur ce point, parce qu’elle sait déjà qu’absolument rien n’est terminé-terminé avec Ruben, il est au moins au clair sur cette idée en ce qui concerne Cassie. Mavis est pourtant plus vive qu’il ne l’est pour répondre. "Ou si tu la croises dans la rue, que vous discutez, que vous vous revoyez, tu lui laisses la porte ouverte ? Je veux dire, si tu l’as demandé en mariage, c’est que tu l’as aimée à un moment donné, non ?" - « Si je la croise dans la rue, je prends le temps de discuter avec elle. » Ils n’auraient pas grand chose de réellement intéressant à se dire, mais tout de même: il discuterait avec elle, il prendrait de ses nouvelles, il lui souhaiterait le meilleur. Mais. « Mais c’est terminé-terminé. » Et elle n’est pas Ruben, elle n’est pas une lubie et encore moins une obsession. Il prend une lente inspiration. « C’était pas une impulsion, de rompre les fiançailles. » Et il ne le regrette pas, tout comme elle ne le regrette sûrement pas non plus de son côté, l’argument permettant à Ambrose de laisser le poisson se noyer dans un verre d’eau sur la question de l’amour qu’il a forcément dû porter à Cassie. Il a appris à l’apprécier mais certainement pas à l’aimer, non. « Je suis sérieux, Mavis. » Elle n’a rien à craindre de la présence de Cassie, laquelle n’est d’ailleurs pas à l’ordre du jour non plus. Une seule exception à son exclusivité est plus que suffisante, il n’ira pas davantage tâter les limites de son couple nouvellement formé. « On est allés loin mais elle est pas une ex différente d’une autre. » A la seule différence qu’il n’a pas beaucoup d’ex, qu’il vient de renouer avec la première et qu’il n’a jamais quitté le second. Mais Cassie, elle, restera une vraie ex, il y a au moins ça de certain dans son esprit.
Alors, ils se réfugient dans d’autres sujets. Ils parlent tatouage, comme des adolescents rebelles voulant échapper aux carcans et regards parentaux. Ambrose l’a fait il y a longtemps, sans que cela lui soit reproché par Norman pour autant. "Un discret. Pour cacher ma cicatrice tu sais, celle que j’ai ici." Puisqu’il connaît plus que jamais chaque centimètre de son corps, il hoche la tête sans avoir à y réfléchir à deux fois. "Par contre, tu peux toujours m’aider à trouver quelque chose de joli." Il n’est pas un artiste comme Norman ou James, il n’est pas un bon dessinateur non plus, mais il a tout de même l’impression d’avoir hérité de ce quelque chose familial lui faisant observer le monde avec un œil d’artiste. Alors, sous cette vision si particulière, la demande de Mavis ne paraît pas si folle. « Tu sais que je vais te proposer quelque chose tous les jours à partir de maintenant ? » Il va au bout de ses idées quand il en a, et ça aussi Mavis ne sera pas surprise. Celle de lui trouver un tatouage est nouvelle mais la façon de penser d’Ambrose ne l’est certainement pas. "Et si je me décide un jour, tu voudras m’accompagner ?" - « Evidemment. » Il répond d’abord avec sérieux. « Donc c’est “juste une idée” mais tu penses déjà au jour du rendez-vous ? » Et déjà de reprendre, avec un amusement évident dans le timbre de voix.
Face à eux, la file se rétrécit déjà jusqu’à ce que leur tour vienne, une maigre et minable analyse de la bague poussant le charlatan à en proposer 120 dollars. Le prix est loin de celui d’achat et ce n’est pas la faible usure qui pourrait expliquer la différence, mais cela représente bien le cadet des soucis d’Ambrose qui accepte l’offre sans ciller. Il veut s’en débarrasser, il veut ne plus avoir à l’observer et à contempler ses choix de vie, et il veut sans doute aussi prouver à Mavis qu’il tourne bel et bien cette page de sa vie. Preuve en est, il ne s’attarde pas davantage une fois les billets reçus et détourne le regard de ce qui pourrait advenir de cette bague. « Je propose d’en faire le nouveau budget fête foraine. » Elle est happée par son travail, il l’est tout autant. Imposer d’autres activités lui semble être une bonne idée, maintenant. « Signification ou pas signification ? » D’un mouvement du menton, il désigne vaguement l’emplacement décidé de son futur tatouage. « Le tatouage. On cherche quelque chose avec signification, ou pas forcément ? » Son bras se noue autour du dos de Mavis, sa main se repose contre sa hanche. Il se sent immensément plus léger et s’autorise à jeter un oeil sur les objets destinés à la vente tout autour d’eux. « Tu sais que c’est mon nouvel objet de vie, maintenant. » Il ne la lâchera pas tant qu’il ne lui aura pas proposé une idée qui lui plaît réellement, sans doute aussi animé par l’idée égoïste que quiconque pourrait un jour observer ce tatouage devrait aussi faire face à l’idée qu’il en a été à l’origine ou tout du moins qu’il y a participé - et pas eux. « Et une rose, du coup, j’imagine que ça fait un peu mégalo-pas-très-subtil ? » qu’il grimace, son surnom se voulant souvent utilisé lorsqu’il ne s’agit qu’eux deux. « T’y penses depuis qu’on s’est revus, ou t’y pensais avant ? » Est-ce qu’elle y pense parce qu’elle a redécouvert la silhouette d’Ambrose dont seules des manches longues et pantalons peuvent parfaitement cacher tous ses tatouages ou avait-elle déjà l’idée avant ? La réponse ne changera rien à la façon d’être d’Ambrose, évidemment, mais elle ne l’intéresse pas moins pour autant.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
rather laugh with the sinners than cry with the saints @Ambrose Constantine (crédit gif/megdonnellygifs)
"Mais tu parles pas d’elle, je trouve ça un peu curieux, c’est tout." Elle insiste. Elle a l’habitude d’être soupçonneuse, partant du principe que ne rien dire, c’est forcément cacher quelque chose. Mavis n’est pas jalouse de l’ex-fiancée d’Ambrose, elle n’est pas envieuse de songer à l’idée qu’un jour, il se soit dit qu’elle avait des allures de stabilité ; elle veut juste comprendre comment on peut aimer quelqu’un assez fort un jour pour vouloir faire sa vie entière avec, et le suivant, décider le contraire en rompant tout contact et finir par vendre le gage de l’engagement qu'on s’était promis de tenir pour faire table-rase. Elle ne remet pas sa parole en doute, elle veut juste assouvir sa curiosité et creuser dans quelque chose dans quoi elle n’a pas à mettre le nez. Disons que tout ça, ça lui paraît quand même un peu louche, surtout qu’il semble plutôt détaché, à bien y regarder. Elle le connait, Ambrose. Elle sait qu’en matière de sentiments, il ne fait pas vraiment les choses à moitié, alors oui, ça la laisse perplexe et fait turbiner ce qu’elle a la chance d’avoir dans la tête. Sans se cacher, elle l’observe en biais, fronce les sourcils quand il lui soutient qu'il est sérieux au sujet de la fin consommée de sa relation précédente. Ça a le goût du plus jamais ça, mais elle garde la réitération de sa blague de tout à l’heure, se contente de laisser filer un "D’accord." Même si au fond d’elle, elle n’est convaincue qu’à moitié qu’il n’y a pas un loup quelque part.
Ils parlent d’autres choses, de considérations loin de leur vie quotidienne, ou du moins de celle de Mavis qui n’est jamais passée par la case tatoueur. Elle y pense depuis longtemps, à faire recouvrir la cicatrice que sa soeur avait, elle aussi, mais parfois elle se dit que c’est un bon moyen de se rappeler qu’elle, elle est encore en vie, comme une sorte de pied de nez à cette pétasse qui l’avait forcée à se la faire, cette gravure immonde. Elle a un sourire à la réflexion d’Ambrose, lui pardonne dans la foulée de la faire autant cogiter pour une histoire de fiançailles dont elle se fiche en réalité, et lui dit "C’est pour ça que je t’en parle. Parce que je sais que tu vas prendre la tache très au sérieux." Et parce qu’elle est curieuse de connaître ce qu’elle lui inspire, si ce n’est des souvenirs d’enfance et des soirées à se goinfrer de croque-monsieur. Elle sait qu’il l’accompagnera quand elle se décidera du modèle avec lequel elle voudra encrer sa peau, c’est presque une évidence qu'il accepte pour de bon, la piégeant en même temps avec une observation qu’elle lui fait gentiment regretter en lui pinçant l’intérieur du poignet pour qu’il arrête de l’ennuyer "J’anticipe. C’est ce qu’on m’a appris à faire, gros malin." Elle ne lui fera pas l’offense de lui rappeler quel destin elle a décidé d’emprunter, et qui la pousse à ne faire que ça, anticiper.
Finalement, la bague ne rapporte pas grand-chose à Ambrose "Ça veut dire que t’as déjà prévu de m’emmener à la foire ? Tu vois, toi aussi, t’anticipes." lui fait-elle remarquer, gentiment revancharde. Déjà, le bras du jeune homme retrouve son dos et elle s’y laisse appuyer doucement, appréciant le poids de sa main qui pèse sur sa hanche. Elle laisse traîner ses yeux à droite et à gauche dans les vitrines qui les entoure, son attention à nouveau happée par leur conversation qui reprend comme si elle ne s’était pas interrompue. Elle tourne sa tête vers le jeune homme, essaye de savoir s’il parle d’autre chose avant de se rendre compte que non, il en est toujours à méditer sur son futur tatouage qui est donc devenu le fil rouge de cette journée. Ça n’est pas pour lui déplaire. Elle fronce le nez pour s’aider à réfléchir, chaparde la main qu’il a posé dans son dos pour la tenir dans la sienne et y dépose un baiser rapide qu’elle ponctue par sa réponse "Quand ça a trop de signification, c’est un peu dangereux, non ? Surtout quand les gens sont curieux et qu’ils veulent savoir pourquoi ce modèle, et ce que ça veut dire." Cela dit, vu l’endroit où elle compte le faire faire, son tatouage, personne ne risque vraiment de lui pose la moindre question à moins de devenir intime avec elle — ce qu’est rapidement devenu celui qui se trouve à ses côtés et qu’elle regarde avec un léger sourire quand elle réalise quelque chose "Ah, donc tu tiens à ce que ce tatouage fasse référence à ton illustre personne ? On m’avait dit que les politiciens ont le melon, mais je te laissais le bénéfice du doute… j’aurais clairement pas dû." Elle plaisante, n’ose pas lui avouer que l’idée n’est pas mauvaise en vérité, et passe à la suite sans plus de cérémonie, sa tête marquant un signe à la négative et ses yeux dérivant du profil d’Ambrose pour continuer de fureter à droite et à gauche "Non, j’y pense depuis un moment. J’ai jamais pris le temps de me poser pour y réfléchir, parce qu'au fond, c’est pas si important." Ça l’aiderait pourtant à se sentir un peu mieux dans sa peau lorsqu'elle se regardait dans le miroir, tandis qu’elle se détacherait enfin d’absolument tout ce qui constituait le souvenir de sa jumelle. Elle soupire, façon bien commode de balayer les possibles questions du jeune homme à ce sujet tout en lui en posant une facile pour laquelle il n’aura pas réfléchir longtemps, elle en était persuadée "T’en veux d’autres, toi ?" Elle entrevoit l’ombre d’un oui qu’elle devance en ajoutant, taquine "T’es sûr d’avoir encore de la place ?"
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Mais tu parles pas d’elle, je trouve ça un peu curieux, c’est tout." Et somme toute, elle a raison. Il n’est pas sûr qu’il serait plus expansif au sujet de sa relation passée si elle avait été différente, mais il serait au moins un peu moins têtu quant à l’idée de garder secret tout ce qui peut l’être, si justement il n’avait pas de secrets à préserver. Mavis pourrait être tenue au courant de l’arrangement sans que le monde ne s’écroule, et pourtant il préfère la tenir aussi éloignée que possible de cette révélation. Pour se protéger lui, pour la protéger elle, sans doute aussi pour protéger par la même occasion Cassie. « Il y a moins à en dire que ce que tu penses. » Il finit par avouer, sans que ce soit cette fois-ci un mensonge.
Pris à son propre jeu une fois la bague revendue et les souvenirs portés au loin, il sourit. "Ça veut dire que t’as déjà prévu de m’emmener à la foire ? Tu vois, toi aussi, t’anticipes." Elle renvoie la perche qu’il avait été le premier à envoyer et il juge ce retour de bâton plutôt mérité. Après tout, il est celui qui a déjà essuyé un refus de sa part en lui proposant de se rendre à la foire, avant qu’elle finisse par accepter ; ce n’est pas autant une surprise que ce qu’elle pourrait laisser croire à travers ces mots. "Quand ça a trop de signification, c’est un peu dangereux, non ? Surtout quand les gens sont curieux et qu’ils veulent savoir pourquoi ce modèle, et ce que ça veut dire." - « T’envisages de le montrer à qui au juste ? » Et s’il répond avec un sourire qu’il tente de laisser paraître sincère, la question ne l’interpelle pas moins pour autant : il ne s’agit pas d’un tatouage sur l’avant-bras visible par tous, ni même sur une autre partie du corps qui le serait tout autant. Rares seraient ceux qui pourraient observer le tatouage de Mavis à son emplacement ; et il se demande donc concrètement pourquoi est-ce qu’elle est déjà en train de penser à ce regard d’autrui alors qu’il n’existe aucune raison qu’il puisse exister. Il refuse de laisser le prénom de Ruben s’immiscer dans son esprit quant à cette hypothèse. "Ah, donc tu tiens à ce que ce tatouage fasse référence à ton illustre personne ? On m’avait dit que les politiciens ont le melon, mais je te laissais le bénéfice du doute… j’aurais clairement pas dû." Sa tête dandeline, son sourire redevient cette fois-ci bien plus véritable alors qu’il s’amuse de la situation et force le trait. Il n’est pas particulièrement vantard mais il sait ce qu’il vaut, en effet ; ce qui ne s’étend pas sérieusement jusqu’à la création d’un tatouage à son effigie sur le corps de Mavis. Ce point est amusant, éminemment amusant, mais il ne fait pas tourner toute sa personnalité autour de ce dernier. « Mon prénom calligraphié suffira, je pense. » Il lui proposera de véritables idées dans un second temps, quand il en aura marre de traiter le sujet avec une éternelle ironie. "T’en veux d’autres, toi ? T’es sûr d’avoir encore de la place ?" - « Oh pardon, je savais pas que je parlais à ma mère depuis tout ce temps. » Tout en étant pourtant persuadé que l’ajout d’un tatouage ici ou là ne serait pas pour déranger Mavis ; sans doute parce qu’il en a déjà bien trop pour que quelques uns ne représentent plus une réelle différence. « Une fine connaisseuse du monde médical ne sera pas de trop à mes côtés pour l’horrible processus de guérison. » Il décide de jouer une dernière fois de la situation, bien conscient qu’ils ne mèneront pas plus loin cette discussion pour le moment, surtout alors que la décision d’un tatouage n’est pas réellement acté pour l’un ou pour l’autre. Ce qu’il en sait, c’est qu’il serait heureux de l’accompagner dans le processus, parce que cela lui donnerait au moins l’impression qu’ils sont font assez confiance l’un et l’autre pour s’encrer la peau sans crainte de le regretter trop rapidement à cause du souvenir que cela impliquerait. « On va chercher l’inspiration. » Dans les allées des coeurs brisés et autres souvenirs que certains cherchent à enterrer, ils trouveront sans doute leur bonheur. Ils ont l’habitude de récolter les miettes de ce que d’autres n’ont pas voulu, somme toute.