ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Le mois de septembre approchant, la date de la réédition de son album ayant été annoncé il y avait plusieurs semaines déjà, les interviews, presse et télé, photoshoots et autres segments pour les réseaux sociaux, s’enchaînaient à un rythme beaucoup trop effréné pour que ce ne soit pas étourdissant. C’était sa vie maintenant, à Jo, elle ne se rendait même plus compte à quel point ça lui demandait de l’énergie, en manquant parfois parce qu’elle n’avait pas réglé ses insomnies — ça lui en demandait toujours moins que les dates de concert qui l’attendaient et qui commenceraient dans quelques jours à peine, le timing se révélant être parfait pour que le titre choisi pour mieux promouvoir l’édition Deluxe de son album cartonne et place le curseur sur ce qu’elle proposait, étendant son lore au sein de la communauté qui la suivaient déjà, attirant l’attention de ceux qui ne le faisaient pas encore, mais qui finiraient tôt ou tard par tomber raide dingue de son impertinence, aussi piquante qu’un bonbon qu’on prenait plaisir à savourer même s’il déchire la gueule tant il est acide. Elle avait confiance, plus enthousiaste qu’il y avait quelques mois de ça à l’idée de se produire dans des petites salles, ayant même hâte d’y être pour regarder son public dans les yeux, et ce dans plusieurs pays en dehors du sien. Les deux prochains mois, elle allait les passer sur les routes et l’idée n’était pas aussi déplaisante que ça, bien que ne pas être aux côtés de Midas lui demanderait un certain effort et que ça l’angoissait beaucoup, comme elle l’avait fait savoir très tôt déjà, avant même que tout ne prenne de l’ampleur dans sa carrière, comme dans son couple. Travailler autant, ça lui évitait de penser en vérité, et si ce n’était pas une méthode approuvée par son psy, ça avait le mérite de la canaliser et de lui permettre de se lever le matin sans redouter ses journées. A côté de ça, elle allait bien mieux dans tous les cas, et c’était sur ça qu’elle voulait méditer ; pas sur les menaces de son père, les rumeurs à son sujet et autres désagréments qu’elle préférait ignorer parce que d’accord, elle travaillait sur son déni, mais elle avait quand même le droit à une petite marge d’erreur, oui ou merde ?
Elle laissa ses petites affaires être prises en charge par les membres de son équipe qui l’escortait jusqu’à l’ascenseur, sa journée se terminant enfin. Elle l’avait passée ici, à l’Emerald, où chaque tache qu’elle avait eu accomplir s’était faite sous la supervision de ceux qui travaillaient en étroite collaboration avec elle. Résultat des courses : aucun faux pas n’était à relater, et sur les photos, Jo était plus sublime que jamais. Elle demanda à son assistante de se charger de lui en faire parvenir quelques-unes le plus rapidement possible pour les utiliser sur ses réseaux sociaux pendant qu’elle se changeait pour passer une tenue moins habillée, plus confortable aussi, finissant par s’emmitoufler dans un manteau trop large pour elle, mais qui ne dénotait pas avec ce qu’on avait l’habitude de voir d’elle. Elégante dans le bleu électrique de son manteau, le brun de ses cheveux ressortait presque noir sur ses épaules, et alors qu’elle restait silencieuse en s’avançant dans la cabine, cette dernière la mena jusqu’au lobby qu’elle comptait traverser au rythme de ses pas cadencés par le claquement de ses talons sur le marbre — mais comme à chaque fois, le destin avait d’autres desseins pour elle, et cette fois, c’était plutôt appréciable, surtout après une longue journée comme celle-là "Mais regardez qui va là —" Le ricanement était perceptible dans l’accent râpeux de sa voix tandis qu’elle reconnaissait Ruben. Penché sur le comptoir de la réception, elle attendit qu’il lui accorde un regard pour élargir son sourire plein de malice, puis dans un clin d’oeil en direction de ceux qui l’accompagnaient Jo leur signala qu’elle les rejoignait dans quelques minutes — sans préciser combien de minutes exactement — et ajouta sur le même ton, s’avançant un peu plus près du docteur qui lui avait été d'un grand secours lorsqu’elle avait refait le portrait de Micah il y avait de ça un million d’années "— l’ennemi public numéro un." Là, sa tête s’inclina juste un peu sur le côté, son talon frappant contre le marbre du lobby quand, dans un air de maman déçue par les actions de son ingrat de gamin, elle lui fit en perdant toute sa bonhommie "Putain, je suis tellement déçue. Je m’attendais à une garçonnière qui pue le sexe et la clope… mais nan, tu fais ça dans l’hôtel le plus côté de la région." Tsktsktsktsk qu’elle fit avec sa langue, la pointe de cette dernière balayant sa rangée de dents fendues sur le devant en secouant la tête de droite à gauche tout en gardant la même expression de déception factice — quand enfin, ses yeux soulignés d’un maquillage chargé pour les photos qu’elle avait prises quelques heures plus tôt se plissèrent pour mieux faire la focale sur les émeraudes de son interlocuteur dont elle s’approcha encore un peu pour créer un aparté qui appelait la confidence . D’ailleurs, elle cacha ses lèvres avec sa main en baissant la voix pour dire de "T’attends ta maîtresse ?" Dans un nouveau petit ricanement qui secoua ses épaules emmitonnées dans son manteau, ses doigts se posèrent sur ses lèvres cette fois, et ce dans un faux témoignage d’excuse qu’elle prononça sur son ton habituel : roucoulant, plus provocateur que jamais "Oups, je voulais pas être insultante. Fais comme si t’avais rien entendu, je reprends." Elle se racla la gorge pour faire bonne mesure, aussi bonne actrice qu’elle était chanteuse. Et dans un battement de cils dont elle seule avait le secret, les strass qu’elle avait sur les cils donnant à ses yeux un éclat supplémentaire, elle se corrigea "T’attends tes maîtresses ?" Jubilant sans se sentir mal de le faire, elle était plus que jamais amusée par les déboires du sombre idiot qui se trouvait en face d’elle.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
D’ordinaire, si Leon n’était pas invité à ce genre de rendez-vous et qui ne l’emmenait pas avec lui, Ruben n’était pas invité de lui-même. Même s’il adorait prétendre que c’était le cas, même s’il souriait bien de trop en affirmant tout et son contraire tant que cela pouvait lui servir et le faire bien voir, ce n’était pas tout à fait la réalité. Il projetait ce qu’il aimerait que les choses soient sur la réalité, clamer diners et rendez-vous importants où son nom était imprimé sur une étiquette lorsqu’il approchait de la table du restaurant qui était réservée pour l’occasion, là où ce n’était pourtant que rarement le cas. Pas qu’il s’inventait une vie, mais qu’il ajoutait un peu de vernis brillant sur la sienne pour la rendre de meilleure allure; surtout ces derniers temps où plus les faux pas s’enchainaient, plus le vernis commençait à s’écailler.
Aujourd’hui cependant, c’était réellement en son nom et pour sa propre présence qu’il se trouvait à l’Emerald et qu’il l’y avait été demandé, devant récupérer des confrères d’un autre établissement pour aller diner et surtout pour échanger sur le cas d’un patient que le St Vincent avait récupéré mais pour lequel une paire d’yeux supplémentaire ne serait pas de refus. « Bonsoir. Hartfield, si vous pouvez prévenu la chambre 412 que je suis en bas, s’il vous plait ? » Il haussa quelque peu un sourcil en direction du réceptionniste, joignant ses mains et apposant ses coudes sur le comptoir, alors que l’employé de l’hôtel acquittait en attrapant le téléphone. « Ils seront là rapidement. » - « Merci. » - « Mais regardez qui va là — »
Se redressant rapidement en percevant que la voix s’adressait à lui, ne la reconnaissant pas instantanément - ils ne s’étaient pas assez croisés ces derniers temps pour que ce soit aussi rapide que cela de son côté -, il tourna quelque peu la tête en direction de la jeune femme avec les yeux un brin trop ouverts pour que ce soit naturel et non induit par une quelconque surprise. Surtout: cela trahissait un brin de trop l’état d’alerte constant dans lequel il se trouvait ces derniers temps, ne sachant pas être interrompu sans d’office trouver cela suspicieux et se mettre à regarder à gauche et à droite autour de lui comme si un malheur allait lui tomber sur le coin de la tronche. Peut-être que certains détails restaient imprimés davantage dans son esprit que ce qu’il y accordait sciemment de l’importance. « — l’ennemi public numéro un. » - « Tu m’as fait peur. » Qu’il souffla, ne cherchant pas à cacher le léger agacement qu’il ne pouvait s’empêcher de ressentir alors qu’il voyait l’amusement certain porté par les traits du visage de la brune. « Putain, je suis tellement déçue. Je m’attendais à une garçonnière qui pue le sexe et la clope… mais nan, tu fais ça dans l’hôtel le plus côté de la région. » Alors bien sur qu’il leva les yeux au ciel de manière ostentatoire, sans se cacher ou se retenir, alors qu’il secouait sa tête de gauche à droite. Ainsi donc elle était déjà au courant elle aussi: il n’y avait que les potins pour se répandre plus vite que la peste. Arrivant à sa hauteur, elle eut presque au moins l’indulgence de poster sa main devant ses lèvres, comme si cela allait changer grand chose, lorsqu’elle reprit la parole; peut-être était-ce seulement qu’il n’était pas habitué à ce genre de pratique, ne faisant pas partie de la même sphère que la jeune femme et son petit-ami - qui était, jusqu’à quelques semaines encore, un de ses plus proches amis à lui et qui avait maintenant envie de lui arracher les yeux apparemment. « T’attends ta maîtresse ? » Elle ricanait - lui n’était pas franchement amusé. « Et dire que je t’appréciais jusqu’à aujourd’hui. » Ce qui était vrai. « Oups, je voulais pas être insultante. Fais comme si t’avais rien entendu, je reprends. T’attends tes maîtresses ? » Décalant légèrement sa mâchoire, calanque accrochant le mordant de ses dents depuis l’intérieur, il pivota pour se retrouver face à Jo qui semblait énormément s’amuser de la situation. « Je vois que t’as eu que la moitié des informations. » Quitte à le taquiner sur quelque-chose autant le faire correctement. « Mes amants, pas maitresses. » Puisque l’identité de l’un était connue, autant que les choses soient correctement discutées.
« Me dis pas que t’es venue jusqu’ici pour remuer le couteau dans la plaie ? Ou encore pire: que c’est Midas qui t’envoie ? » La brune semblait avoir davantage de caractère et ne pas être de ceux qui se laissaient manipuler par autrui, qui rendait ce genre de service, mais bien sur que Ruben se devait de se poser la question; parce-que le jeune homme semblait remonté contre lui comme si l’histoire lui était arrivée personnellement et que Ben était son mari lui ayant piétiner le coeur. Il le blâmait à voix haute mais le comprenait, en réalité - si les rôles avaient été inversés et que c’était à sa soeur à lui que cela était arrivé, il serait bien plus furieux que l’était le chanteur.
:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Ruben était sur le qui-vive, ça se voyait à des kilomètres à la ronde. Il n’y avait qu’un menteur, un tricheur et un traître pour réagir comme il le faisait à son apparition divine — bien sûr que c’en était une, ce n’était pas la l’éclairage du lobby de l’hôtel qui flottait autour d’elle, c’était son aura de déesse auto-proclamée, bande de paysans —, apparition induite que par le hasard qui, comme toujours, faisait drôlement bien les choses. Goguenarde, elle lui donna une légère tape sur l’épaule "Relax, Benny. J’ai laissé mon nunchaku et mon poing américain à la maison." Comme si elle avait besoin de ce genre d’accessoires d’amateur pour coller des tartes, mais passons. Elle ne faisait que plaisanter sur l’instant, ayant évidemment entendu l’histoire autour des déboires de Ruben. Plutôt deux fois qu’une, d’ailleurs, étant donné que Midas était remonté comme un coucou à ce sujet, et à raison. Ça la surprenait, elle ne prétendrait pas le contraire, pas même pour faire croire à qui que ce soit qu’elle l’avait décelé, son potentiel de coureur de jupons, au charmant docteur Hartfield : ce n’était pas le cas, elle s’était laissée berner comme tous les autres, merde. Il avait l’air respectable, un petit peu coincé même, surtout dans le cadre de son boulot, et comme c’était comme ça qu’elle l’avait rencontré, elle n’avait pu se déloger cette image de la tête — la blouse blanche les gars, ça fait toujours son petit effet. Autant dire que quand elle avait appris qu’il se tapait la terre entière, elle avait adoré ça d’une part, première à se repaître des potins des autres et à redemander, et de l’autre, ouais, elle était tombée des nues.
Elle se positionna à ses côtés, offrit un regard et un clin d’oeil au réceptionniste qui se liquéfia sur place tandis qu’elle, elle passait déjà à autre chose et appuyait son dos contre le comptoir pour mieux poser ses yeux sombres sur le profil pas si angélique que ça de son interlocuteur. Elle n’en finirait pas de le taquiner, c’était une évidence qu’elle chérissait comme le plus beau des cadeaux, même si, bien sûr, elle avait de la compassion pour Nina et pour la manière dont son petit monde parfait avait dû s’effondrer autour d’elle. Elle se promettait de ne pas dépasser la limite du manque de respect pour la soeur de Midas, mais en attendant, elle pouvait se permettre d’en rire un peu parce que putain, quel con quand même, ce Ruben. Retirant sa main de sa bouche qu’elle avait caché plus par facétie que par pudeur, n’estimant pas au demeurant que les secrets de Ruben devaient le rester, ne le croyant pas aussi important que ça, elle fit jouer l’une de ses épaules pour la remonter et poser son menton dessus lorsqu’il lui admit l’apprécier jusqu’à aujourd’hui. Ses cils battirent le temps de quelques secondes, en bonne poupée parfaite qu’elle était "Tout le monde m’aime, c’est dans la loi de l’univers." Et tout le monde finissait à un moment ou un autre par la détester. Sauf que ça elle ne le dit pas, préférant s’arrêter sur l’info qu’il fit suivre alors qu’elle l’avait accusé d’attendre son élevage de dindes. Dans un cercle parfait, sa bouche s’arrondit, rééquilibrant la somme de ses traits qui revêtirent le masque de la surprise, la vraie "Tu déconnes ? Tu joues dans les deux équipes ?" Putain, elle en apprenait des choses, Josephine, et ça la fit rire à nouveau, le coin de ses lèvres s’affaissant dans un léger sourire inversé, traduction de son épatement vis-à-vis des talents de d’illusionniste du docteur "Tu caches bien ton jeu, c’est dingue." Ce n’était pas donné à tout le monde d’impressionner Jo, elle espérait au moins qu’il s’en rendait compte.
Elle ne lui posa pas la question, se laissa attraper par celles qu’il lui posa. Elle cessa de le regarder, ce qu’elle faisait depuis quelques secondes sans interruption sans juger ça impolie de le faire, essayant de déceler le moindre défaut supplémentaire à ajouter à sa panoplie — menteur, tricheur, traître, ce n’était pas suffisant, il devait y avoir quelque chose d’autre, ça lui paraissait évident maintenant qu’elle avait pris sens de la manière dont il jouait avec les apparences —, et secoua la tête pour réfuter, d’abord en silence, ses théories au sujet de sa présence à l’Emerald "J’aurais bien aimé te dire que c’est lui qui m’envoie, sauf qu'on fait pas ça, nous." Jo le faisait, si. Prête à défendre l’honneur de son roi, elle faisait des dingueries du genre se mesurer à des types taillés comme des immeubles sans craindre une seconde de se faire démolir — elle en discutait chaque semaine avec son psy, juré. Mais pas cette fois-là, elle résuma "La vie d’artiste : maquillage, essayages, photos, interviews… el clasico, comme on dit chez nous." Inutile donc de lui préciser qu’elle ne l’attendait pas, tapie dans un coin, à se frotter les mains avec ses projets de vendetta. Pendant quelques secondes encore, elle le fixa ; et puis le mouvement derrière elle la fit se décoller du comptoir de l’accueil et lui proposer dans la foulée "Je veux pas savoir ce que tu fous là en vrai, ça te regarde. Mais peut-être que si t’as du temps, on peut prendre cinq minutes pour discuter ?" Elle plissa les paupières, fit la focale sur le regard du jeune homme pendant qu’elle continuait, la tête penchée sur le côté "Parce que je doute que qui que ce soit s’y intéresse en ce moment", elle inclina un peu plus sa tête, plissa les yeux un peu plus fort encore "moi j’ai quand même envie de savoir comment tu vas." Putain, quelle bienveillance, Josephine. Elle-même ça la surprenait, alors peut-être qu’au fond, ce qu’elle laissa filer en guise d’explication à sa bonne volonté, c’était rien d’autre qu’une justification pour que personne ne croit qu’elle avait le coeur à la bonne place ; elle s’en défendrait, puis quoi encore ? En le faisant, elle redressa la tête, roula des yeux après les avoir déplissés "Je sais que ce que c’est d’être le bad guy de toutes les histoires. Puis je veux pas te vexer, mais je vois ta gueule là, et t’as besoin d'un petit verre, crois-moi." Ou de deux ou de trois même, qu’elle jaugea à vue de nez et en silence.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« Relax, Benny. J’ai laissé mon nunchaku et mon poing américain à la maison. » Ce n’était pas parce-qu’elle ne possédait pas entre ses doigts ce genre d’objets qu’elle ne lui avait pas fait peur - ce n’était pas tant sa carrure impressionnante qui lui donnait cet effet là que plutôt le fait qu’il ne s’attendait pas à ce que quiconque ne vienne à son encontre ici, dans ce hall, surtout. Les personnes qu’il attendait et devait accompagner pour le reste de la soirée n’étaient pas prêtes et devaient le rejoindre quand ce serait le cas, donc il n’aurait pas du avoir de la compagnie de suite; il fallait croire que Josephine avait senti venir le bon moment pour s’interposer dans sa journée. La majeure partie de Ben aurait d’ailleurs pu apprécier croiser son chemin, en réalité, si elle ne s’était pas mise de suite à rire de la situation dans laquelle il se retrouvait à patauger ces derniers temps - parce-qu’en mentionnant ses maitresses, qui n’était d’ailleurs pas un terme adapté, elle pointait du doigt ce qui aurait du rester secret et ne l’était de toute évidence plus. Il n’était pas tant reconnaissant envers elle d’agir de la sorte. « Tout le monde m’aime, c’est dans la loi de l’univers. » - « C’est marrant, je me dis les mêmes mensonges le soir pour m’endormir. » A force, lui, bien des personnes commençaient à ne plus pouvoir le voir en peinture, surtout.
La surprise fut de mise autant sur le visage de Jo que sur celui de Ruben, à justement voir qu’elle était lisible chez elle. « Quoi ? » - « Tu déconnes ? Tu joues dans les deux équipes ? » Oh, bien sur qu’il leva les yeux au ciel à cette remarque; c’était presque pathétique. « Tu caches bien ton jeu, c’est dingue. » - « C’est pas comme si c’était une surprise ou un secret, tu sais. » Il soupira quelque peu; autant qu’il ait des fréquentations hors mariage l’était, de secret, autant qu’il joue dans les eux équipes comme elle le soulignait n’était pas une nouvelle. « Ca l’est peut-être pour toi mais pour le reste du monde c’est de notoriété commune. » Il haussa quelque peu un sourcil. « Pourquoi ? Ca te déçoit ? »
« J’aurais bien aimé te dire que c’est lui qui m’envoie, sauf qu'on fait pas ça, nous. » A cette réponse là, ce fut au tour de Ben d’avoir une certaine expression d’étonnement d’affichée sur le visage, tant il s’attendait à ce qu’elle réponde par la positive à cette question là; ça aurait été du style de Midas de l’envoyer elle au front plutôt que de venir lui refaire le portrait lui-même, et il ne lui en aurait même pas voulu. Alors, peut-être que l’attention du chirurgien fut davantage piquée à cette réponse là, pour le coup. « J’aurais pas deviné. » Croisant ses bras sur son torse, il pencha quelque peu son visage sur le côté. « Qu’est-ce que tu fais ici, alors ? » Si elle n’était pas venue pour lui faire la leçon sous demande de son petit-ami, du coup. « La vie d’artiste : maquillage, essayages, photos, interviews… el clasico, comme on dit chez nous. » Et il était vrai qu’à y jeter un meilleur coup d’oeil, il aurait pu voir qu’elle était apprêtée comme si elle se rendait sur un plateau télévisé, là où même s’il se doutait qu’elle ne se laisserait pas voir négligée par le reste du monde - une image publique, ça s’entretenait -, elle n’aurait peut-être pas eu un accoutrement de cette sorte si elle venait arranger les courbes de sa mâchoire. « Je peux définitivement ranger mes griffes alors. » Comme s’il l’abimerait d’une quelconque façon. « Je veux pas savoir ce que tu fous là en vrai, ça te regarde. Mais peut-être que si t’as du temps, on peut prendre cinq minutes pour discuter ? » A ses paupières plissées, il en fit de même; c’était déjà étrange dès le début, mais là ça devenait carrément louche. « Parce que je doute que qui que ce soit s’y intéresse en ce moment » Il échappa un petit rire par les narines. « moi j’ai quand même envie de savoir comment tu vas. » Elle se délogeait déjà du comptoir de l’accueil, avançant d’une certaine manière déjà vers tout autre endroit qui n’était pas celui où ils se tenaient là, comme si c’était évident qu’il allait suivre le mouvement; alors qu’en cet instant, Ben était surtout bloqué sur les paroles qu’elle prononçait à son égard qui étaient emplies de vérité - presque, ça faisait peur. « Je sais que ce que c’est d’être le bad guy de toutes les histoires. Puis je veux pas te vexer, mais je vois ta gueule là, et t’as besoin d'un petit verre, crois-moi. » De ses incisives supérieures, il mordit dans le rebondi de sa lèvre inférieure, plissant de son côté désormais définitivement les yeux.
Gardant un instant cette attitude sans bouger, laissant son regard un instant et un autre naviguer à droite et gauche, il finit par se décaler du comptoir à son tour pour suivre le pas de la brune. « C’est quoi l’arnaque ? » Il se devait forcément d’y en avoir une. « T’as résumé toute seule la situation: je suis l’ennemi public numéro un en ce moment, y’a pas grand monde qui me demande comment je vais et effectivement, j’aurais peut-être besoin d’un verre. » Il n’était pas grand buveur mais admettait sans mal que de temps à autre, cela ne pouvait pas faire de mal, que de soigner une situation quelque-peu dérangeante par une liqueur brulante le long de l’oesophage. « Alors: c’est quoi l’arnaque ? Tu m’attendris pour me soutirer des informations et mieux me détruire ensuite ? » Il fallait qu’elle comprenne le scepticisme dont Ruben faisait présentement preuve; dans d’autres circonstances, il n’aurait même pas cherché à connaître les détails et se serait laissé porter par l’idée d’aller boire un verre avec elle - aujourd’hui il était suspicieux.
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Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Le majeur qu’elle donna à Ben après sa réplique, il était aussi gracieux que le sourire faux à souhait qui l’accompagnait, son regard souligné d’un épais trait de noir accrochant le sien avec la lueur de l’espièglerie brillant au fond de ses iris. Elle se foutait qu’il soit l’ami de longue date de Midas, si elle avait envie de lui dire d’aller se faire foutre, elle le ferait, et tant pis si ça jouait en sa défaveur au moment où il faudrait qu’elle reçoive une bénédiction quelconque. Cela dit, elle craignait que ça ne lui demanderait pas tant de sacrifices que ça, d’aller se faire foutre, justement. Ils étaient tout de même dans un endroit archi-classe, aussi laissa-t-elle son humour de camionneur de côté pour mieux passer aux choses sérieuses et s’étonner de ce qu’elle apprenait à son sujet. Son doigt se baissa, sa tête se leva pour accuser le mètre quatre-vingt et des poussières qu’il faisait, et elle l’observa de sa propre petitesse qui n’était en rien un obstacle pour elle, trop confiante pour se laisser impressionner. Son regard surplombé par ses sourcils, ces derniers s’élevèrent doucement lorsqu’elle apprit que le docteur H piochait son quatre heures dans toutes les boîtes à goûter du coin qui ne portaient pas d’étiquette — tiens, tiens, intéressant. Ou pas. Elle se réanima d’une poussée de reins contre le comptoir, son menton se redressant en même temps "Oh pardon de pas connaître tes moindres secrets, Don Juan." Souvent, ce qualificatif était vu comme un compliment. Dans la bouche de Jo, non seulement c’était un sarcasme, mais c’était surtout une insulte, la moins corsée qu’elle avait dans son répertoire, inutile de le préciser "Nan, je m’en cogne. Tu pourrais même baiser des licornes que ça changerait pas grand-chose à ma vie." Elle avait vite oublié qu’ils étaient dans un endroit archi-classe "Je trouve juste ça marrant que tu saches pas te contenter d’une seule part de gâteau alors que vu comme ça, t’as l’air si raisonnable. On t’a jamais dit que la gourmandise est un vilain défaut ?" Oh c’est qu’elle paraitrait presque innocente, Josephine. Dans les faits, ce que Ruben faisait avec son truc, ça ne devrait changer la vie de personne si ce n’était de celle avec qui il partageait la sienne et qui devait être tout à fait au courant des moeurs de son conjoint. Ou du moins, de celles dont il ne faisait pas un secret, parce que visiblement, en plus de jouer dans les deux équipes, il était insensible aux mathématiques et semblait aimer — façon de parler — sans compter. Grand bien lui faisait, il fallait de tout pour faire un monde, non ?
Manifestement, il s’attendait à ce qu’elle lui tombe dessus, mais Jo choisissait ses batailles, et celle-ci, elle ne valait pas vraiment qu’elle enfourche sa monture pour sauver l’honneur de qui que ce soit. Ce n’était pas ses affaires, ce qui l’intéressait dans le fait d’avoir Ruben sous la main là, c’était simplement de savoir comment il gérait ça. Elle était la mieux placée pour savoir que c’était facile de pointer du doigt les erreurs des autres, elle savait aussi que, bien souvent, tout le monde voulait sa part quand une histoire de ce genre éclatait pour une seule et unique raison : le malheur des uns, il faisait jouir les autres, et ça la débectait à un point que, sans prendre son parti parce qu’effectivement, Ruben était un gros abruti, elle était tout de même tentée de vouloir lui faire savoir qu’il y avait encore des gens qui savaient rester un minimum neutres étant donné que, merde, ça ne regardait personne, tout ça. Marchant à ses côtés, elle rit à la manière dont il réagit à son invitation de prendre un verre avec elle "Y a pas d’arnaque, et c’est moi qui régale, estime-toi heureux." Il restait tout de même sur ses gardes "Il dit autant de saloperies sur moi pour que tu me craignes sans raison valable ?" Il. Midas, évidemment. Chassant cette possibilité de ses pensées, dérangée par le fait que ça ne la surprendrait plus autant que ça désormais — il le faisait bien avec la mère de sa fille après tout —, elle compléta plutôt la phrase de Ruben en harponnant son bras et en lui murmurant avec malice "Considère que je suis l’exception qui confirme la règle. Ça m’arrange, j’adore être la première en tout." Ça le surprendrait pas.
Jo lui lâcha le bras et entra dans le bar au son de ses talons contre le sol brillant. Elle secoua la tête à la suite de ce qu’il lui demanda tandis qu’elle s’installait à une table près du piano devant lequel il n’y avait personne. Tant mieux, les joueurs de piano dans les hôtel étaient souvent médiocres. Elle enleva son manteau en roulant ses épaules avec élégance, les dégagea de ses longs cheveux qui, comme s’ils étaient des figurants particulièrement bien payés dans le film de sa vie, se replacèrent sans mal entre ses omoplates "Me fais pas me répéter." Il n’y avait aucune arnaque, elle le lui avait déjà dit. Elle posa ses deux coudes au bord de la table pour soutenir son visage sans défaut entre ses paumes et éclata de rire à la suite de ce qu’il lui disait "Tu te donnes trop d’importance. Ce serait quoi l’intérêt que je gagnerais à te détruire ? On n’est même pas amis." Ce n’était pas mesquin de le dire de cette façon, c’était la vérité. Tous les deux, ils évoluaient dans la même sphère parce que lui était marié à la soeur de Midas que Jo fréquentait. Elle ajouta, l’une de ses épaules se haussant alors qu’elle retirait l’une de ses mains de son visage pour la poser à plat sur ses genoux, joints sous la table "Et puis tu le fais très bien tout seul, t’as besoin de personne pour ça." Se détruire. Détruire la vie parfaite qu’il semblait mener. Détruire la femme qu’il aimait. Elle marqua un temps de silence Jo, ses yeux se posant plus longtemps sur le jeune homme à qui elle finit par sourire avec pointe de commisération quand elle remarqua les cernes sous ses yeux. Pendant quelques secondes encore, elle resta muette, et puis balayant sa rangée de dents du haut d’un coup de langue, elle se redressa pour poser son dos contre sa chaise histoire de prendre un léger recul sur son observation, et lui demanda plus sérieuse, plus concernée aussi "Allez, pour de vrai : comment tu vas ?"
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Dernière édition par Jo Carter le Mar 10 Sep 2024 - 10:09, édité 1 fois
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Il laissa couler le doigt qu’elle lui adressa, étira un petit sourire pincé pour souligner qu’il avait vu l’attaque mais qu’il décidait de la laisser de côté.
« Oh pardon de pas connaître tes moindres secrets, Don Juan. » Midas ne devait pas assez parler de lui, alors; c’était malheureusement la pensée qui lui traversa l’esprit à cet instant là - pas la plus glorieuse, il l’accordait. « Nan, je m’en cogne. Tu pourrais même baiser des licornes que ça changerait pas grand-chose à ma vie. » Un petit rire échappa à Ruben malgré lui. Au moins, elle n’était pas déçue, c’était toujours ça de pris. « Je trouve juste ça marrant que tu saches pas te contenter d’une seule part de gâteau alors que vu comme ça, t’as l’air si raisonnable. On t’a jamais dit que la gourmandise est un vilain défaut ? » - « Et toi t’as l’air presque adorable comme ça. » Il pensait qu’en fine partie ces paroles là, mais il ne savait pas si c’était parce-qu’il ne connaissait pas Josephine comme toutes ces autres personnes de l’extérieur qui pourrait potentiellement avoir l’occasion de penser qu’elle était bien plus douce qu’elle ne l’était en réalité. De son côté, il l’avait découvert des mots de Midas dans un premier temps, et c’était pour cette raison là qu’il s’était intéressé un minimum à la jeune femme; et donc peut-être que par défaut son esprit s’était directement méfié de son apparence et qu’il n’avait pas été distrait par le moindre visage angélique qu’elle pourrait présenter et prétendre. « Je suis bourré d’ambition, j’ai jamais su être raisonnable, mais ça rend bien quand tu te présentes de l’être alors… » Alors il renvoyait cette image là sans qu’elle ne soit exacte. « Mais ma mère m’a souvent dit que la gourmandise était un vilain défaut, si ça peut te rassurer. » Il avait toujours davantage s’agi des véritables parts de gâteau, mais la nuance n’était pas nécessaire ici.
« Y a pas d’arnaque, et c’est moi qui régale, estime-toi heureux. » - « Hm. » - « Il dit autant de saloperies sur moi pour que tu me craignes sans raison valable ? » Haussant un sourcil dans sa direction, il laissa un petit rire lui échapper. « Non, même pas. » Ce n’était en rien ça le problème. « Je me méfie un peu de tout et tout le monde en ce moment. » Sa faute à lui, entièrement, la question n’était même pas à poser ici. « Et il est complètement raide dingue de toi, donc je doute qu’il me dirait, comme tu les appelles des saloperies, à ton sujet. » Peut-être que Midas le détesterait de le dire de la sorte, mais ils se connaissaient depuis assez longtemps pour qu’il puisse reconnaître quand son ami était amoureux ou quand il ne l’était pas avec; avec Jo, la question ne se posait même pas. « Considère que je suis l’exception qui confirme la règle. Ça m’arrange, j’adore être la première en tout. » Il secoua quelque peu sa tête de gauche à droite avec un petit rire soufflé par les narines.
Une poignée d’instants plus tard et ils s’asseyaient à une des tables du bar de l’hôtel. Le réceptionniste les avait vu partir, ils aurait indiquer où Ruben se trouvait si jamais ses interlocuteurs prévus ce jour décidaient finalement de pointer le bout de leur nez; pour le moment, c’était face à celui de Josephine qu’il se retrouvait. « Me fais pas me répéter. » Il balaya d’un léger revers de la main cette partie là de la conversation, alors. « Tu te donnes trop d’importance. Ce serait quoi l’intérêt que je gagnerais à te détruire ? On n’est même pas amis. » Plissant quelque peu les yeux, son regard planté dans le sien, il pencha lentement mais surement sa tête sur le côté à cette remarque. Elle lui en bouchait un coin et s’il n’appréciait pas être mis devant le fait accompli de la sorte, surtout pour quelque-chose d’aussi idiot, il se devait de concéder quelque-chose: « C’est pas faux. » Elle n’aurait rien à gagner ici puisqu’il n’avait rien à lui apporter - et s’il était grand ami avec son petit-copain, les affinités n’étaient pas étendues automatiquement à la moitié de monsieur et donc ils n’étaient effectivement pas amis. « Pas forcément l’argument que j’ai envie d’entendre, ça fait mal à mon égo, mais c’est pas faux. » Cela se vit rapidement néanmoins que Ben accepta ce sort là assez rapidement: ses épaules se décontractèrent, sa mâchoire se serrait moins facilement, il se laissa aller le dos contre la chaise. « Et puis tu le fais très bien tout seul, t’as besoin de personne pour ça. » - « Ah, ah. » Ca l’embêtait qu’elle ait tant raison.
« Allez, pour de vrai : comment tu vas ? » Sérieux, le regard de Ruben resta un instant figé dans celui de Josephine avant que ses cils ne papillonnent un instant et qu’il échappe un soupir, las. « Pour de vrai ? Mal. » Il renchaina de suite. « Et je sais que ça va me faire passer pour un pleurnicheur de dire ça, mais… ouais, ça va pas fort. » Toutes les actions qu’il avait pu avoir ces dernières années lui revenaient en pleine face, tous les repères sur lesquels il avait fondé son quotidien s’écroulaient, ceux qu’il aimait se mettaient à le détester. « Je l’ai cherché, je sais, tout ça. » Il agita sa main en l’air comme pour autant souligner la quantité de toutes es choses là et que pour les chasser tant elles faisaient mal à être réalisées. « Et surtout j’ai eu le temps de voir venir les conséquences. Mais c’est pas pour autant que ça rend les choses faciles. » Son regard, qui avait su rester ancré dans celui de Jo jusque là, se déportait désormais sur ses mains jouant nerveusement entre elles. Heureusement que sa carrière tenait la route derrière, sinon il ne donnait pas cher de sa peau et de sa sanité.
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Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Ruben était le seul sur cette foutue planète à la trouver presque adorable, autant dire qu’il avait encore des choses à apprendre sur elle. S’il se basait sur sa petite taille pour envisager qu’elle fût ne serait-ce qu’un peu douce et délicate, elle l’invitait à voir plus loin que le bout de son nez parce que, clairement, il serait déçue de la marchandise. Et il ne serait pas le premier, au demeurant. Oh, il s’en remettrait comme tous les autres, ce n’était pas de sa faute si tous avaient des exigences quand il s’agissait d’elle et de son caractère indomptable. Elle continua à lui sourire avec fausseté, comprenant en l’écoutant lui répondre que l’éminent chirurgien qu'il était avait besoin des apparences pour se sentir exister. Après tout, il était une rockstar dans son domaine, pas étonnant qu’il fût autant attaché à son image. Elle ne rebondit pas, mais elle retint que ça leur faisait un point commun à souligner. Certainement pas le plus glorieux. Seulement, elle préférait encore ça à autre chose, étant donné le vice qui semblait faire partie intégrante de la double personnalité du jeune homme. Jo, elle avait certes des défauts à la pelle, elle n’était pas une trompeuse compulsive, malgré ce que d’autres s’imaginaient sous le prétexte qu’elle avait l’habitude de se balader avec des jupes à l’ourlet trop court et qu’elle ne se cachait pas derrière une vie chaste et pieuse, assumant sa sexualité comme d’autres assumaient d’être des gros beaufs qui s’imaginaient qu’elle enchaînait les coups d’un soir, alors qu’elle était casée et qu’elle comptait le rester jusqu’à la fin de sa vie.
D’ailleurs, celui avec qui elle espérait bien la finir fût mentionné par elle-même, s’inquiétant pour de faux de voir le jeune homme à ses côtés autant sur ses gardes. Et si d’abord, elle répondit à un Ruben qui lui avouait se méfier tout de le monde en ce moment un "C’est ce qu’on gagne à tremper son boudoir dans toutes les tasses de lait qui traînent, Benny.", elle mordit ensuite l’intérieur de sa joue en félicitant silencieusement Midas d’être assez transparent pour que ses amis comprennent sans qu’il ne le dise qu'il était raide dingue d’elle. Une partie d’elle ne s’empêchait pas de le croire capable de la mépriser à des moments donnés, et pour une bonne raison, la preuve dont elle avait besoin à ce sujet lui ayant été rapportée par la mère de sa fille qui s’en était donné à coeur joie. Mais ce n’était ni l’endroit ni le moment d’en discuter avec quelqu’un qui n’était pas Midas, qui plus est.
Elle avait un autre sujet de conversation en tête, et c’était le ressenti de Ruben qu’elle observa de son coin de table. Elle prit un peu de recul pour le faire un peu mieux, le fente qu’était devenue ses yeux bruns grandissant et rétrécissant au rythme du plissement de ses paupières qu’elle rouvrit finalement en grand lorsqu’il lui répondit "Je vais pas pleurer avec toi, c’est clair. T’as quand même le droit de pas aller bien. C’est vrai, ta vie part en lambeaux, c’est pas cool." Il avait cherché tout ce qui lui arrivait, n’empêchait que ça devait bien l’emmerder de voir son monde s’écrouler alors qu’il s’était appliqué avec soin à ce que ça n’arrive jamais. Il avait l’air du control freak de base, Ruben, alors effectivement, ça devait être un enfer pour lui d’évoluer au milieu des restes fumants de sa volonté à garder la mainmise sur ce qu’il avait mis en place pour préserver ses secrets. Elle pinça doucement les lèvres, sentant la matière de son rouge velours s’estomper uniformément, et lui demanda dans la foulée "Et t’as un plan pour arranger tout ça, ou tu laisses Nina décider de la suite ? Je suppose que t’as perdu le droit de lui imposer quoi que ce soit à partir du moment où elle s’est aperçue de tout ça ?" Elle leva soudainement les mains devant elle "J’essaye pas de m’immiscer dans quoi que ce soit. Je suis juste curieuse, et juré, je compte pas te faire la morale. J’espère juste qu’en grand médecin que t’es, t’as été prudent tout du long." Elle n’alla pas jusqu’à lui dire pas comme ton pote qui s’est laissé conter fleurette par une hippie anti-contraception, mais elle ravala sa réplique, enchaîna sur une autre "Par contre, tu veux un conseil de la part de quelqu’un dont la relation est scrutée dans les moindres détails depuis le premier jour ?" Qu’il le veuille ou pas, elle continua, se penchant à nouveau sur le bord de la table pour y poser ses coudes et soutenir son visage par l’oval, ses paumes l’encadrant parfaitement "Laisse personne y mettre le nez. T’as fait une connerie, et tout le monde aura un avis sur ça, c’est normal." Certains légitimement, certains absolument pas, et c’était de ceux-là dont Jo parlait. On ne pouvait rien contre le jugement des autres dans tous les cas, Jo l’avait appris très tôt, et elle s’en accommodait sans mal, partant du principe simple que, peu importait ce qu'on disait sur elle, tant qu’on parlait d’elle, ça lui allait "Mais laisse personne alimenter la colère que Nina doit déjà ressentir à ton égard en te laissant traiter comme le méchant de l’histoire. Même si tu l’es, c’est plutôt évident. T’es con aussi, si je peux me permettre." Et elle se permettait. Elle se reprit, inclina très doucement la tête comme si elle faisait une prière pour se dire à elle-même : j’ai dit que je lui faisais pas la morale, respire. Et elle respira profondément, avant de continuer sans délai, ses épaules se haussant en même temps qu’elle terminait enfin "Quoi que ces gens diront, à la fin de la journée, ce sera toujours toi, ta femme, et une porte fermée." Elle se redressa, l’une de ses mains quittant son visage pour se poser contre la table qu’elle tapota en rythme du bout de ses doigts de pianiste "Qu’on soit bien clairs, toi et moi : je te défends pas, je le ferai jamais. Parce que tu vois, si ça m’arrivait à moi, de me faire tromper, j’aurais pas l’indulgence de Nina." Qui en doutait ? "J’aurais déjà les menottes aux poignets parce que le type aurait les couilles et le coeur broyés, et je te dis pas par quel moyen, fais travailler ton imagination." Le clapotis régulier de ses longs ongles sur la table était un bon indice sur ce que serait son arme du crime "Mais c’est ta vie, c’est ton couple : les autres, tu les emmerdes." Plutôt rationnelle sur ce coup-ci, Jo laissa son regard sonder une longue seconde celui de Ruben. Elle ne lui laissa pas réellement le temps s’en apercevoir — qu’elle était plutôt rationnelle, et bien sympa, par-dessus le marché — puisque déjà, elle lui demanda, tendant le cou vers l’avant du bar de l’hôtel pour alpaguer un serveur "Bon, donne-moi ton poison, qu’on en finisse." La main levée au-dessus de sa tête, elle claqua furieusement des doigts pour qu’on daigne s’enquérir de leur commande.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« C’est ce qu’on gagne à tremper son boudoir dans toutes les tasses de lait qui traînent, Benny. » Il leva les yeux au ciel, ne laissa pas échapper le commentaire qu’il avait pourtant envie de faire entendre parce-que ce n’était pas nécessaire présentement. Il y avait bien d’autres raisons qui pourraient en réalité pousser à se méfier de tout et de tout le monde - mais d’aller voir de trop ailleurs était effectivement une bonne raison, il ne saurait réellement le nier; ou plutôt que ce serait insultant vis-à-vis de Jo de le faire et il n’était pas là pour ça.
« Je vais pas pleurer avec toi, c’est clair. T’as quand même le droit de pas aller bien. C’est vrai, ta vie part en lambeaux, c’est pas cool. » Il releva son regard dans la direction de la brune pour savoir à quel point elle était en train de se payer sa tête, combien elle était sarcastique; il fut étonné de voir qu’elle était en réalité on ne pouvait plus sérieuse dans ses mots. Ce n’était pas souvent, que d’autres l’autorisaient de manière si frontale et si directe à ne pas aller bien - la dernière fois qu’il s’était plaint auprès de quelqu’un, c’était de Scarlett il s’était fait envoyer paître et avait appris des informations sur la jeune femme qu’elle n’avait en réalité pas eu l’intention de lui dévoiler ni ici, ni de cette manière là. Si bien que désormais, il s’était résolu à ne pas chercher l’approbation de quiconque face au malêtre qu’il ressentait, tant même s’il était réel il savait que ce dernier n’aurait pas tant de légitimité face au reste du monde. « Et t’as un plan pour arranger tout ça, ou tu laisses Nina décider de la suite ? Je suppose que t’as perdu le droit de lui imposer quoi que ce soit à partir du moment où elle s’est aperçue de tout ça ? » Elle enchaina. « J’essaye pas de m’immiscer dans quoi que ce soit. Je suis juste curieuse, et juré, je compte pas te faire la morale. J’espère juste qu’en grand médecin que t’es, t’as été prudent tout du long. » Cette partie là, il ne comptait pas la laisser paraitre d’une quelconque façon: que ce soit dans ses paroles ou dans ses réactions. Même si apparemment, l’autre personne concernée par cette affaire avait tendance à facilement en parler de son côté - elle avait même déjà fait quelques confessions à son nouveau petit-ami, si ce n’était pas adorable -, ce n’était pas son cas de son côté: il ne piperait mot sur l’affaire. Donc que Josephine amorce cette conversation ne perturba pas Ruben, pas sur ce point, pas pour ces affaires là - il laissait ses réactions être plus entières pour le reste des points abordés, puisque ces derniers là n’étaient pas autant sensible une fois l’éléphant dans la pièce mis en lumière. « J’ai le droit de m’estimer heureux quand elle répond à mes messages et me donne des nouvelles, alors tu penses bien que j’ai pas mon mot à dire sur grand chose. » Passant sa langue sur le bord de sa lèvre inférieur pour l’humecter avant de les faire glisser l’une sur l’autre, il haussa brièvement les épaules. « Je peux pas lui en vouloir. Et je me vois pas imposer ce que je veux alors que c’est à cause de moi qu’on en est là. » Ou plutôt: il savait que s’il le faisait, les choses ne tourneraient pas en sa faveur et il n’était pas assez bête pour se laisser avoir et aller jusque là. Un espoir subsistait en se disant que s’il faisait profil bas et laissait les choses allaient dans le sens de Nina, il réussirait à s’en sortir avec de simples égratignures pour ce qui concernait le reste. « J’attends de recevoir la facture, j’ajusterai en fonction quand ce sera chose faite. » Il se doutait bien que sa femme, une fois qu’elle aurait pleinement repris contenance, ne mettrait pas bien longtemps avant de lui faire une proposition. Il se devait d’espérer que ce soit le cas.
« Par contre, tu veux un conseil de la part de quelqu’un dont la relation est scrutée dans les moindres détails depuis le premier jour ? » Il fit un geste du menton pour lui insinuer de continuer. « Laisse personne y mettre le nez. T’as fait une connerie, et tout le monde aura un avis sur ça, c’est normal. Mais laisse personne alimenter la colère que Nina doit déjà ressentir à ton égard en te laissant traiter comme le méchant de l’histoire. Même si tu l’es, c’est plutôt évident. T’es con aussi, si je peux me permettre. » Il eut un petit rire un peu pincé. « Je croyais que j’allais échapper à ça avec toi au moins pour aujourd’hui ? » - « Quoi que ces gens diront, à la fin de la journée, ce sera toujours toi, ta femme, et une porte fermée. Qu’on soit bien clairs, toi et moi : je te défends pas, je le ferai jamais. Parce que tu vois, si ça m’arrivait à moi, de me faire tromper, j’aurais pas l’indulgence de Nina. J’aurais déjà les menottes aux poignets parce que le type aurait les couilles et le coeur broyés, et je te dis pas par quel moyen, fais travailler ton imagination. Mais c’est ta vie, c’est ton couple : les autres, tu les emmerdes. » Une fois ces mots là prononcés, qu’il écoutait avec attention, il avait baissé la tête. Oh, s’il y avait que lui, les choses seraient restées effectivement comme la brune les décrivait, et personne autour d’eux n’auraient eu vent de ce qu’il se passait derrière les portes closes - et pas que celles qui permettaient de mettre le couple Hartfield à l’abri des regards. Mais avec le peu d’interactions qu’il avait eu ces dernières semaines, Ruben savait que ce n’était pas avec cette intention là que Nina menait ses conversations; il n’y avait qu’à prendre en compte le fait que Jo était au courant, rien que commencer par ça donnait le ton au reste.
« Bon, donne-moi ton poison, qu’on en finisse. » - « Prends moi un whisky. »
Il ne comptait pas prendre un verre si tôt, surtout alors qu’il avait encore pas mal de choses à assurer derrière - et qu’il y avait des personnes qui devaient, un jour ou l’autre, le rejoindre -, mais la brune avait peut-être raison: à la vue des circonstances dans lesquelles il se tenait, cela ne pouvait peut-être pas lui faire de mal. Soupirant, il finit par apposer son dos contre la chaise, croisant les bras sur son torse, laissant son regard s’attarder ici et là avant de revenir sur son visage à elle. « Les autres, comme tu dis, commencent déjà à donner leur avis sur la question. » Et il n’y avait qu’à voir la manière dont il prononçait les mots pour comprendre que ce n’était pas quelque-chose qui lui plaisait; elle ne serait pas surprise - qui avait envie de voir son linge sale étalé au grand public ? « Midas est au courant, donc t’es au courant. Elle en a parlé à une autre amie à elle, et s’est barrée pendant un mois en Afrique avec un autre qui, je sais, est au courant aussi. Autant te dire que c’est pas pour arranger les affaires, tout ça. Et que bientôt ils seront trop nombreux à donner leur avis et j’aurais pas assez e temps pour les envoyer voir tous ailleurs. » Pas qu’il n’en avait pas envie, pas que ce n’était pas quelque-chose qui lui ferait du bien; seulement ce serait impossible et cela voudrait aussi dire qu’il aurait besoin de se défendre à tout bout de champ: aurait-il la patience et la détermination de le faire ? Ou laisserait-il les critiques comme les décrivait si bien Jo prendre le dessus sur le reste ? « Comment vous faites, vous, pour pas vous laisser avaler par les critiques constantes ? » Il ne vivait pas sous un rocher: il voyait bien la manière dont les choses étaient dépeintes pour les deux amants dont une moitié était devant lui et l’autre à surement préparer un plan pour l’achever et le supprimer de la surface de la terre.
:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
"C’est plutôt normal. Dis-moi que t’as pas le culot de lui en vouloir ?" commenta-t-elle, les sourcils froncés parce qu’elle se concentrait un peu plus sur ce que Ruben lui disait, pas parce qu’elle exprimait un quelconque mécontentement au sujet de toute cette histoire. Elle n’avait aucune légitimité à être mécontente, Jo. Elle n’était qu’une pièce rapportée dans le cercle qui constituait la bulle des Sterling et de leur entourage, et vraiment, elle n’estimait pas avoir son mot à dire sur quoi que ce soit ; elle était simplement portée par la curiosité qui était la sienne quand ce n’était pas ses propres affaires qui étaient étalées au grand-jour. Elle ne prenait pas ça comme une distraction, elle savait que Nina devait souffrir, que Ruben le devait lui aussi à son échelle, et comme elle n’était pas un monstre de cynisme malgré la rumeur (encore une) qui courrait, elle comprenait que c’était délicat de se réjouir véritablement de ce thé servit bien chaud directement dans son gosier. En même temps, avoir les informations directement de la source, ça lui permettait d’avoir une version complète de l’histoire et de ça, Jo était friande. Il lui confirma qu’il ne pouvait effectivement pas en vouloir à Nina, et elle hocha la tête, impressionnée au fond qu’il soit capable d’admettre ses erreurs sans se dédouaner de rien. Par courage, ou par stupidité, c’était difficile à dire, bien qu’elle tachait de sonder son âme en l’observant de son côté de la table. Elle ne le féliciterait pas, elle consentit toutefois à lui dire avec neutralité "Tu le reconnais au moins. C’est surement pas grand-chose à l’échelle de ce que t’as fait, mais c’est déjà pas trop mal à mon avis." Avis qui n’était pas universel, et elle l’entendait, ne serait-ce que parce que chez l'humain, l’adultère était porté par le sentiment de trahison qui venait avec. Mais peut-être qu’au fond, le couple Hartfield-Sterling avait commis des erreurs qui les avaient mené à ce désastre ? Est-ce que Ruben trompait Nina parce qu’il ne l’aimait pas, ou parce qu’il avait une conception différente du couple que son épouse ? En avaient-ils déjà discuté ? Elle ne poserait pas toutes ces questions-là, elle préférait rester de son côté de la barrière, à regarder l’histoire se dérouler devant ses grands yeux maquillés en planquant le pop-corn. Ceci dit, elle s’autorisa à lui poser une questions "T’es prêt à accepter qu’elle te jette, ou t’as l’intention de vivre dans le déni tant que tu pourras ?" Inclinant la tête sur le côté, elle le regarda un instant. Ce n’était pas une question piège. Il y répondrait s’il en avait envie, elle ne l’y forcerait pas. Elle, elle ne se força pas à ne pas lui faire la morale. C’était une femme de parole, et comme elle le lui avait dit, elle ne comptait pas le choper par le colbac pour lui faire payer ses conneries. Nina n’était pas sa soeur, et à ce moment-là, elle ne l’avait même pas rencontrée. Elle ne prenait le parti de personne, même si bien sûr, elle avait davantage de compassion pour la jeune femme pour des raisons évidentes, le fait qu’elle soit la soeur de Midas n’y était pas étranger. Elle haussa les épaules lorsque Ruben s’étonna de l’entendre l’insulter, ne lui dit pas que, malgré la place qu’elle comptait tenir, ce n’était pas incompatible avec le fait de le trouver con. Et puis ce n’était pas un mensonge, il méritait cette insulte.
Elle lui commanda un whisky, comme pour elle une eau gazeuse citronnée, et retourna la tête vers lui en attendant qu’on les serve. Il revenait sur ce qu’elle venait de lui dire, sur les conseils qu’elle venait de lui donner, et si elle resta silencieuse lors de ses premiers mots, elle rouvrit la bouche quand Midas fut de nouveau mentionné "On vit ensemble, et c’est sa soeur, bien sûr que je suis au courant." Ils se parlaient, en grande majorité, Midas et Jo, même si cette dernière s’appliquait à garder des choses pour elle parce qu’elle n’était pas encore très aguerrie au sujet de ce qui se faisait ou pas quand on était en couple. Restait qu’à côté de ça, quand ça ne concernait pas certaines choses, ils se parlaient, alors effectivement, elle était au courant de l’histoire, elle avait même une idée précise de ce qu’elle inspirait à son petit ami. A ce stade, la terre entière semblait l’être, au courant de cette histoire, le discours de Ruben le faisant réaliser à la jeune femme qui lui dit avec un léger sourire "Elle est moins discrète que son frère." Midas savait garder sa vie privée, privée, et c’était une bonne chose selon lui, surtout quand ça impliquait de cacher l’existence d’une gosse de six ans à toute la planète, Jo incluse. Elle ne voulait pas que Ruben se méprenne sur cette phrase là, elle ajouta "C’est pas une critique, c’est une constatation." Faite sur le ton usuel de la conversation, tout simplement. Elle continua de l’écouter, lui demanda au bout d’un moment "Et toi, t’en as parlé à qui ? C’est vraiment resté secret, ou c’est devenu trop lourd à porter au bout d’un moment ?" Est-ce que c’était aussi important que ça ? Absolument pas, mais ça lui permettait de jauger à quel point il était capable de tromper son monde, et ce dans le sens littéral du terme.
On leur apporta enfin leur commande, Jo remercia le serveur d’un regard rapide, alpaguée par les mots que Ruben lui accordait en décalé. Sa réponse fût rapide, irréfléchie tant elle était sincère "Moi, je m’en fous." Des critiques constantes. Elle leva une épaules, replaça la paille qu’il y avait dans son verre dans le bon sens du bout des doigts pour pouvoir en tirer une gorgée d’eau qui crépita sur sa langue avant qu’elle ne reprenne "Je m'exprimerai pas pour Midas. Il a sa façon à lui de gérer les choses, et je crois qu’il a la bonne méthode au fond." Ce n’était pas difficile à admettre, tout comme ce qu’elle ajouta dans la foulée "Il est posé, mûr et intelligent. J'ai d’autres qualités." Ça, c’était plus difficile à dénicher par contre. Là n’était pas le sujet "On pense différemment à propos de tout ça. Je considère pas que ce soit une mauvaise chose d’être critiquée, et quand on parle de moi, on parle de moi. Bien, mal, ça me fait de la publicité, ça se prend." Dans quelques temps, elle prendrait conscience que sa façon de penser n’était pas la bonne, qu’il fallait qu’elle la revoit et qu’elle tente de l’adapter pour, à défaut de se préserver elle, préserver la personne qu’elle aimait le plus au monde. Pour l’instant, elle en était encore au stade où elle pensait sincèrement pouvoir bien gérer ce genre de choses sans que ça ne détruise la personne à qui elle tenait plus qu’elle ne tenait à sa carrière, mais ça non plus, ce n’était pas si évident que ça pour l’heure. Elle continua "Quand on me critique en se servant de Midas contre moi, c’est une autre histoire. Je suis pas une gentille fille, et j’ai pas peur de me faire mal si on tente de lui en faire, à lui." Ruben le savait, il était là quand on l'avait prise en charge pour mes doigts cassés. Ils ne reviendraient pas plus sur ça, et pas seulement parce qu’elle enchaîna rapidement "Je dois apprendre à, moi, ne pas lui en faire quand j’essaye de faire tampon entre nous et les rumeurs. Certaines sont plus difficiles à gérer que d’autres pour lui." Elle n’expliciterait pas "Pour moi, ce qui est le plus difficile, c’est de le blesser plus que les autres sont susceptibles de le faire, alors je fais ce que je peux, mais je te l’ai dit, c’est lui qui est posé, mûr et intelligent." Elle reprit dans une profonde inspiration "C’est un truc qui s’apprend en vrai, faut surtout en avoir envie." Elle posa son verre après avoir repris une gorgée, ressouda ses coudes au bord de la table pour chercher les yeux de Ruben "Si t’es pas assez fort pour repousser les avis de ceux qui attendent que tu te vautres pour pouvoir te piétiner encore un peu, ça va être l’enfer pour toi, c’est sûr. Mais ça le sera aussi pour Nina, pour vous en tant que couple, tu te sens à l’assumer ?" Elle laissa un court instant filer, le temps que sa question prenne racine chez son interlocuteur, et puis elle reprit "C’est à toi de savoir si tu veux la préserver en faisant les efforts qu’elle te demandera de faire —" L’hôpital qui se fout de la charité ; elle repoussa l’impression qu’elle avait d’être la pire des putains d’hypocrites. Ça fit grouiller quelque chose d’étrange dans le fond de son coeur qui se serra un peu dans sa poitrine, et ce sans qu’elle n’essaye de déterminer pourquoi, préférant se focaliser sur Ruben que sur l’idée qu’elle aurait eu besoin de suivre ses propres conseils, ça ne lui ferait sans doute pas de mal "— ou si t’es plus intéressé par ta petite personne que par ce que vous avez construit depuis que vous êtes ensemble." Et toi, Jo ? Cette petite voix résonna dans sa tête, elle chercha à la noyer en reprenant son verre dont elle but une troisième gorgée, son regard dérivant furtivement de celui de Ruben.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« C’est plutôt normal. Dis-moi que t’as pas le culot de lui en vouloir ? » Il pencha la tête sur le côté, lui jeta un regard de travers. Non, il n’en voulait pas à Nina, il avait du culot mais pas celui là. Ou il ne lui en voulait pas vraiment, en tous cas, surtout parce-qu’il comprenait pourquoi elle se comportait de cette manière à son égard et pourquoi elle avait de telles réactions. Il aurait aimé que ce ne soit pas le cas, mais il se savait aussi et surtout à l’origine du problème qui la faisait se comporter de la sorte. Alors non, il ne lui en voulait pas, mais il aimerait surtout savoir sur quel pied danser - il se doutait bien que c’était une réponse qui lui parviendrait assez rapidement, ou qui finirait par lui être donnée, mais la patience n’était pas toujours de mise de manière coordonnée selon les situations éprouvées. « Tu le reconnais au moins. C’est surement pas grand-chose à l’échelle de ce que t’as fait, mais c’est déjà pas trop mal à mon avis. » Il émit un léger grognement - elle avait raison, mais ce n’était pas si souvent que quelqu’un d’extérieur à tout ça donnait son avis sur la question et à voix haute qui plus était, alors il n’était pas usuel de se l’entendre dire. « T’es prêt à accepter qu’elle te jette, ou t’as l’intention de vivre dans le déni tant que tu pourras ? » Cette question là, ce n’était pas la première fois qu’elle lui était posée, mais ce n’était pas pour autant qu’il appréciait que ce soit le cas et surtout qu’il était déjà prêt à se retrouver face à la réponse qui pourrait en découler. Redressant ses épaules et tirant sur le bas de sa veste de costume, il laissa son regard partir un instant ailleurs plutôt que sur le visage de son interlocutrice - parce-que laisser ses pensées sur la question être au vu et au su de tous n’était pas son intérêt, suivant avec qui il menait la conversation, mais surtout parce-qu’il n’était pas spécialement fier de ce qu’il pouvait en penser justement. Peut-être était-ce effectivement le déni, comme elle le nommait, que d’agir comme il le faisait et comme il comptait continuer de le faire puisque telle était la réponse dans sa réalité silencieuse; à ses yeux il ne préférait pas donner d’étiquette à la manière dont il faisait en sorte de gérer les choses tant cela pourrait lui faire peur, que de se rendre compte qu’effectivement, c’était peut-être tout ce que Josephine osait pointer du doigt ici. « C’est ma femme. » Comme si c’était un argument évident pour tous et d’une logique implacable pour expliquer toute cette situation et surtout son issue - ça ne l’était en rien, en réalité; peut-être que la partie inconsciente de lui le savait car souvent, comme c’était le cas présentement, il reprenait assez rapidement la parole pour compléter l’explication. « J’ai pas envie que ça change et je me battrai pour pas qu’elle me jette. » Il pouvait mettre de côté le fait qu’il ne supporterait pas l’idée qu’elle s’éloigne de lui, sans parler de tout ce qui pourrait s’en suivre dans le futur: en rester à une explication vague et plutôt simple, presque évidente, était surement largement suffisant.
« On vit ensemble, et c’est sa soeur, bien sûr que je suis au courant. » Il plissa le bout du nez; il en aurait fait de même si les rôles avaient été inversés, mais ce n’était jamais plaisant de se rendre compte que était sur son compte que les conversations se faisaient. « Elle est moins discrète que son frère. C’est pas une critique, c’est une constatation. » - « C’est pas pour m’arranger, même si c’est ce que personne chercher à faire ici. » C’en était presque une là de son côté, de critique, finalement. « Et toi, t’en as parlé à qui ? C’est vraiment resté secret, ou c’est devenu trop lourd à porter au bout d’un moment ? » Qu’il aurait aimé pouvoir répondre presque avec fierté que personne n’avait jamais été mis au courant de ses faits et gestes et qu’il avait porté ça seul comme le grand garçon qu’il était sur ses épaules. Mais Ruben n’était pas tant grand garçon que cela, malheureusement. « En dehors du fait que j’étais pas tout seul impliqué à la base et que j’avais donc forcément à qui en parler ? » C’était sarcastique, bien sur. Il fit rouler ses lèvres l’une sur l’autre, hésita quant à la réponse à donner - puisqu’elle impliquait de dévoiler certaines parties dont Nina n’était pas au courant s’il se voulait honnête sur la question -, puis se dit qu’elle avait l’air d’être assez droite dans ses bottes pour jauger qu’une conversation face à quelqu’un qui n’allait pas lui arracher les yeux était forcément plus facile à avoir et certaines choses étaient plus faciles à admettre que face à d’autres. « J’en ai volontairement parlé à une personne parce-que je commençais à en avoir besoin, et une autre est au courant mais par dépit. »
« Moi, je m’en fous. » Il attrapa son verre, en but une légère gorgée, haussa quelque peu un sourcil. « Je m'exprimerai pas pour Midas. Il a sa façon à lui de gérer les choses, et je crois qu’il a la bonne méthode au fond. Il est posé, mûr et intelligent. J'ai d’autres qualités. » Il ne put s’empêcher d’avoir un petit sourire en coin, n’étant pas réellement étonné par cette première partie de réponse. « On pense différemment à propos de tout ça. Je considère pas que ce soit une mauvaise chose d’être critiquée, et quand on parle de moi, on parle de moi. Bien, mal, ça me fait de la publicité, ça se prend. » (…)
Jo finit par reporter son regard dans le sien, son attention ne déviant pas de son interlocuteur, alors que ce dernier essayait de s’imaginer comment cela pouvait être d’essayer en tout temps de ne pas blesser quelqu’un - pour de vrai. Il essayait, c’était en tous cas ce qu’il clamait haut et fort à qui voulait bien l’entendre mais il existait une telle dissonance entre ses paroles et ses gestes qu’il était difficile de le croire. Ce qui était vrai, c’était que ce n’était pas là une volonté consciente de vouloir faire du mal à Nina, mais c’était malheureusement exactement ce qu’il finissait par faire. « Si t’es pas assez fort pour repousser les avis de ceux qui attendent que tu te vautres pour pouvoir te piétiner encore un peu, ça va être l’enfer pour toi, c’est sûr. Mais ça le sera aussi pour Nina, pour vous en tant que couple, tu te sens à l’assumer ? » Il n’était pas initialement prêt à ce que le monde autour d’eux puisse apprendre ce qui se passait derrière les portes closes, alors la réponse à la question de Josephine semblait malheureusement que trop évidente pour lui - de trop pour qu’il réponde avec aisance et rapidité à cette dernière, puisqu’il sentait ce blocage se mettre en place dans sa gorge. Bien sur que non, il ne se sentait pas de l’assumer, lui qui n’avait aucune envie de donner la moindre raison au grand public de pouvoir lui casser du sucre sur le dos; son apparence et l’image qu’il renvoyait au reste du monde trop importante là où pourtant il n’était personne. « C’est à toi de savoir si tu veux la préserver en faisant les efforts qu’elle te demandera de faire — » A la seconde de latence dans le discours de la brune, il releva son regard dans le sien. Ce serait mentir que de dire qu’il ne sentait pas la seconde partie « — ou si t’es plus intéressé par ta petite personne que par ce que vous avez construit depuis que vous êtes ensemble. » Pourquoi laisser les gens dans le déni quand il était possible de les mettre face à leur réalité, hein, après tout ? Parce-que c’était exactement ce qu’elle faisait, avec ou sans volonté il ne saurait dire, de le faire: le mettre face à ses faits accomplis. Des faits qu’il aurait du comprendre par lui-même, mais quel laissait de côté parce-que les décortiquait lui donner presque d’avance de l’urticaire - ou au moins de l’anxiété. Parce-que la réponse n’était pas des plus belles à prononcer, à admettre surtout; et l’absence de réponse spontanée présentement à sa question était une réponse en soi. Faisant rouler ses lèvres l’une sur l’autre, buvant cette fois-ci une gorgée un brin trop longue de son verre qui lit tira une petite grimace. « Et si les efforts qu’elle me demande de faire pour protéger tout ce qu’on a construit ensemble pendant toutes ces années… » Il inspira, cligna des yeux de trop nombreuses fois, sentit son coeur autant se serrer qu’accélérer avant même qu’il ne prononce les mots qui allaient suivre du bout des lèvres, sans assumer pleinement leur portée. « … me permettent pas de protéger ma petite personne et ce que j’ai construit pour moi en parallèle de tout ça ? » Ce n’était pas le genre de question réthorique posée pour répondre à une question, mais c’était là une de celles à laquelle il aimerait bien que quelqu’un lui réponde en toute franchise. Oh, Ben se doutait que ce n’était pas là des mots qu’il allait apprécier, et qu’il allait se mordre les doigts d’avoir osé demander que cela soit établi à haute voix et en le regardant dans les yeux; mais qui d’autre de son entourage proche dans le temps présent oserait se permettre une réponse aussi franche sans prendre de trop parti d’un côté ou de l’autre ? Il ne connaissait que vaguement Josephine, mais il était clair que c’était peut-être sa meilleure option pour le moment - les autres étaient soient contre lui parce-que de trop impliqués, soit de son côté parce-que trop éloignés justement du conflit d’intérêt. Elle représentait un juste milieu, peut-être pas avec le moins de turbulences pour apporter sa réponse, mais tous les points ne pouvaient pas être gagnants.
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Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Elle ne le dit pas à Ruben, qu’il est con comme un manche, mais elle le pense assez fort pour que ça transparaisse sur les traits de son visage. Un autre de ses défauts tiens, quand elle pense un truc, ça ne s’entend peut-être pas, mais ça se voit, et elle ne fait rien pour le cacher quand elle est seule. Elle consent à se reprendre quand Midas lui lance un regard qui tend à lui faire comprendre que ça se voit, qu’elle juge, mais sinon, elle s’en cogne pas mal d’être prise en flag, et là, elle avoue qu’elle s’en cogne que Ruben puisse être heurté de la voir profondément dubitative quant au déni qu’il démontre alors que c’est lui, le fautif. Elle est peut être d’accord pour discuter avec lui, assouvissant sa curiosité pour avoir les deux versions de la même histoire, sauf qu’elle n’a pas l’intention de le convaincre de lâcher l’affaire et de tourner la page. Il a envie de souffrir, qu’il souffre, merde, elle espère simplement que Nina à plus de couilles que lui et qu’elle réussira à lui faire mordre la poussière en refusant de le reprendre, ce putain de traître.
Ce qualificatif, il perdure dans son esprit tandis qu’elle l’écoute répondre à ses questions. Elle admet qu’il l’a jouée fine, sa tromperie, ça le rend encore plus redoutable qu’elle ne le pensait. Il n’en baise pas qu’une, il en baise deux, et il a réussi à garder le secret sur une durée qu’elle sait longue, mais qu’elle n’a pas retenue parce que ça lui paraît tout bonnement improbable au fond — incompréhensible encore plus. Comment il peut arguer que Nina est sa femme avec autant de conviction quand il a trahi sa confiance sans aucune pitié, avec un flegme qu’elle trouve effrayant, Jo ? C’est son pire cauchemar, elle n’aimerait pour rien au monde vivre cette situation. Elle ne mentait pas tout à l’heure, quand elle a dit à Ruben que si elle prenait qui que ce soit à la tromper, il le regretterait. Midas ne lui fera jamais ça, il n’en est pas capable, et elle n’en doute pas ne serait-ce qu’un instant — elle ressent sa paternité comme une tromperie, mais elle prend la mesure de son exagération face à ce qu’elle s’imagine être ce que la soeur Sterling a ressenti en s’apercevant du pot-aux-roses. Putain, quel bâtard, qu’elle pense en le regardant depuis son coin de table, Ruben, expliquer en mode ouin ouin qu’il n’avait personne à qui parler, que c’était trop lourd à porter, alors il a fini par cracher le morceau. À qui ? Certainement pas à sa femme, et ça le rend puant sur bien des points qu’elle finit par graduellement froncer le nez comme si une odeur putride venait soudain de s’insinuer dans l’espace qui les sépare. Sa compassion, elle penche de plus en plus dans la balance de Nina, elle doit l’admettre. Elle n’est pas pro-solidarité féminine pourtant, c’est que le sujet doit la toucher plus qu’elle ne l’avouera devant qui que ce soit.
Elle s’épanche, elle compare, elle conseille. En retour, elle n’attend rien de sa part, juste un témoignage de sa bonne volonté à régler ses problèmes d’ego ; il s’agit de ça, n’est-ce pas ? Elle le perçoit, ça titille quelque chose dans son for intérieur qu’elle sent vaciller parce qu’elle aussi, elle a des petits soucis de ce type à régler. Et depuis quand elle fait dans le conseil matrimonial de bas-étage, Josephine ? Depuis qu’elle a conscience que dans son couple, c’est sans doute elle la plus susceptible de faire des crasses à celui qu’elle aime ; encore qu’elle en doute, bien qu’elle ne soit pas la dernière à se croire capable du pire. Elle est maladroite, elle est profondément atteinte par l’éducation qu’elle a reçue, mais elle n’est pas mauvaise au point de copier son interlocuteur et de sciemment commettre un péché. Du moins, pas celui-ci, son coeur et son corps n’appartenant qu’à une seule personne, complètement fermée à l’idée de partager l’homme qu’elle aime si ce n’est avec le public d’un stade bondé : qu’ils finissent leur vie ensemble ou pas, Midas est à elle, elle est à Midas, et elle s’en fout qu’on la juge de le revendiquer comme ça ; les gens parlent parce qu’ils ne savent pas ce que ça fait d’être aimé comme ça, autrement ils la boucleraient pour le vivre et l’apprécier. Elle prend une profonde inspiration, soumise à la phrase que Ruben prononce après son laïus. Elle comprend où il veut en venir, et si ça ne l’étonne pas, ça ne lui dit rien qui vaille pour autant pour cette pauvre Nina. Elle lui demande "T’as aucune intention de changer, huh ?" Elle hausse les épaules, fait un petit mouvement de la bouche, sorte de sourire inversé qui marque sa désapprobation qu’elle n’exprime pas, mais qui existe "C’est ton choix, j'ai rien à dire sur ça." Elle ajoute, ne lésinant par sur l’honnêteté après avoir tiré une lampée de son eau gazeuse par la paille "Mais on parle plus seulement de ton couple ni de toi là, on parle aussi de Nina. Que tu brises sa confiance, c’est une chose — si tu t’y prends bien, elle finira par te pardonner. J’ai l’impression que la rancune, c’est pas très répandu chez les Sterling, t’as du bol." Elle aussi. Elle a eu l’occasion de l’observer, elle n’en est pas fière, mais vu les grosses conneries qu’elle fait, elle est ravie que Midas soit incapable de lui en vouloir sur la durée. Ce soir, quand elle rentrera, elle l’aimera encore plus pour ça, merci Ruben "Mais si elle te pardonne et que tu recommences ? C’est elle que tu vas briser, et la vraie question, c’est ça, Benny : est-ce que tu le supporteras, d’être le mec qui la détruit ?" Elle a un éclair de génie, ajoute en levant l’index devant son charmant petit minois pour soulever l’Eurêka qui la frappe "Attends non, mise en situation : elle accepte de te reprendre, tu recommences tes saloperies, et c’est la goutte d’eau. Finalement, elle te quitte, elle refait sa vie avec un gars — beau gosse, le gars, à la hauteur de ce qu’elle mérite parce que putain, j’ai commencé à la follow sur Insta, qu’est-ce qu’elle est belle." Encore une raison de le traiter de connard. Ce qu’elle ne fait pas, poursuivant sur sa lancée, laissant ses digressions de côté "Là, elle se rend compte qu’elle a jamais été aussi heureuse avec ce nouveau type qu’elle l’a jamais été avec toi : est-ce que ça, tu le supporteras, d’être remplacé par quelqu’un de mieux pour elle que toi ?" Vu l’égo qu’il se traîne, no fucking way. Mais elle le laisse répondre, reprenant son verre pour en boire une gorgée, ses doigts puis sa langue venant replacer sa paille avant d’aspirer doucement dessus.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« T’as aucune intention de changer, huh ? » Lentement, mais surement et avec aplomb, Ruben remonta son regard dans le sien - juste à temps pour voir la grimace accompagner ses mots. Bien sur qu’elle jugeait, même si elle en disait rien, ses actions et les réponses qu’il lui donnait. Ce n’était pas tant qu’il n’avait pas l’intention de changer, c’était davantage un problème de priorisation dans sa vie; et l’élément qui pourrait pourtant être évident pour Josephine tant elle avait au moins une once d’expérience dans le domaine, c’était que sa carrière serait toujours l’élément qui passerait en priorité. Certes, il avait d’autres choses à régler et à mettre à plat en à-côté, mais ce serait toujours cet élément là qui passerait en priorité pour Ruben. Et si les choix que Nina lui demandait de prendre, et si les efforts qu’elle attendait de sa part mettait en péril cette partie là de ce que lui avait construit en parallèle de leur vie à deux ? C’était plus sur cette partie là qu’il s’inquiétait et se questionnait - mais qu’elle en pense ce qu’elle veut, après tout. « C’est ton choix, j'ai rien à dire sur ça. » - « Mais t’en penses pas moins. » Elle ne lui ferait pas. « Mais on parle plus seulement de ton couple ni de toi là, on parle aussi de Nina. Que tu brises sa confiance, c’est une chose — si tu t’y prends bien, elle finira par te pardonner. J’ai l’impression que la rancune, c’est pas très répandu chez les Sterling, t’as du bol. » Il eut un petit rire amer sans amusement: il n’était pas sur que ce dernier point allait se vérifier aussi simplement avec lui et surtout avec plusieurs des Sterling. Mais peut-être était-ce son ressenti à elle et il n’était pas tant étonné que cela, tant Midas la portait dans son coeur comme il n’avait jamais porté personne. « Mais si elle te pardonne et que tu recommences ? C’est elle que tu vas briser, et la vraie question, c’est ça, Benny : est-ce que tu le supporteras, d’être le mec qui la détruit ? » Benny - il grinça quelque peu des dents. Surtout que là était quelque-chose à prendre en compte dans ce qu’elle disait: il avait déjà brisé Nina. Et il ne supportait déjà pas d’être le responsable de cette histoire.
Elle leva son index devant lui et il haussa un sourcil en guise de simple réponse. « Attends non, mise en situation : elle accepte de te reprendre, tu recommences tes saloperies, et c’est la goutte d’eau. Finalement, elle te quitte, elle refait sa vie avec un gars — beau gosse, le gars, à la hauteur de ce qu’elle mérite parce que putain, j’ai commencé à la follow sur Insta, qu’est-ce qu’elle est belle. » - « Bien sur qu’elle est magnifique. » Qu’il grommela entre ses dents, n’aimait pas d’avance là où elle souhaitait l’emmener avec cette discussion; qu’elle s’amuse à le tacler gratuitement à travers ses mises en situation ou il ne avait trop quoi, peu lui importait - mais ça n’annonçait rien de bon. « Là, elle se rend compte qu’elle a jamais été aussi heureuse avec ce nouveau type qu’elle l’a jamais été avec toi : est-ce que ça, tu le supporteras, d’être remplacé par quelqu’un de mieux pour elle que toi ? » Le regard qu’il ancrait dans le sien n’avait plus aucune nuance de clarté comme ça pouvait être le cas normalement, comme ça avait pu être le cas le reste de la discussion. Parce-que là était le principal soucis à travers les agissements du docteur: faire du mal à quelqu’un mais blâmer si cette personne retournait la pareille. « Je lui refais le portrait au gars. » Il pencha lentement, quelque peu sa tête sur le côté; son ton n’était plus celui amical qu’il avançait jusque là. « Je sais que t’en meurs d’envie, alors fais toi plaisir vas-y. » De le traiter de connard - ce n’était même pas un reproche, cela suintait par tous les pores de sa peau. « Mais je supporterai pas de la savoir avec un autre, malgré toute l’ironie que ça implique. » Il fit glisser ses lèvres l’une sur l’autre, termina d’une traite son verre. « Je sais que c’est mal placé de ma part, mais ma jalousie me permettrait pas de rester de marbre et sans m’impliquer si ça arrivait. » Si, puisque dans sa version de la réalité pour l’instant, pour lui il l’avait dit, Nina était sa femme et il n’avait pas l’intention de changer cette variable là. « Et dis toi que je lui referai le portrait alors que je condamne la violence et que j’ai passé je sais pas combien de savons à mon frère parce-que c’est toujours sa première solution. » Il plissa le bout du nez. « Et que mes mains valent littéralement des millions. » Et que sa carrière était si importante qu’il ne ferait rien pour la mettre à mal. « Alors vas-y, fais toi plaisir, dis le. » Et elle serait la digne porte-parole de tous ceux qui petit à petit apprenaient la nouvelle et se taisaient - ils n’étaient pas nombreux, mettant tous un point d’honneur à exprimer leur ressenti sur la question et face à Ruben.
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Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
"Je suis du genre à penser tout et son contraire sur absolument tout et son contraire, Ruben." Jo, elle juge, et c’est souvent sévèrement. Elle s’en fout, elle a autre chose à branler que de s’inquiéter qu’on la trouve judgmental ; quand ça se retourne contre elle, c’est une autre paire de manches, mais comme elle se frotte rarement à des mecs ou des meufs qui lui rentrent dans le lard, elle n’a clairement pas grand-chose à craindre de ce côté-là. En plus, elle est assez charismatique pour enchanter son monde, ça fait qu’elle garde le main et qu’elle retourne presque tout parfaitement à son avantage. Elle n’en est pas désolée, bien qu’elle n’en soit pas particulièrement fière non plus, c’est juste comme ça : elle pleurera là-dessus quand elle sera morte. Ainsi, ce qu’elle pense de Ruben, ça se lit sur son visage et elle ne compte rien faire pour changer ça. Ça n’est pas exceptionnel non plus, d’autres — la majorité — subissent le même traitement, et ils s’en remettent… ou pas, ça aussi, elle s’en fout. Il est pourtant évident que ça lui inspire un mépris certain, cette manière qu’il a de se croire à l’abri, un peu comme s’il était trop inaccessible au commun des mortels pour qu’ils lui fassent payer ses erreurs. Ah, peut-être que ça lui rappelle quelqu’un — elle, en l’occurrence, au cas-où ce ne serait pas évident pour vous —, mais plutôt crever de l’admettre en face d’un type qui trempe son biscuit n’importe où. Elle, au moins, elle est fidèle, c’est ce qui lui fait miroiter qu’au fond, ils ne sont rien d’autres que différents, et quelque part, ça la rassure.
Elle suppose, le place dans une situation qui l’accule et le pousse à réfléchir ; et il attaque. Pas fort, mais mal, et ça la fait bien marrer, Josephine "Réaction primaire du beauf de base." Aïe "Comme quoi, c’est pas la cravate et les études qui changent les faits : les hommes sont bons qu’à une chose, et c’est de se comporter comme des animaux." Pas tous — les féministes peuvent aller se faire foutre, elle pense ce qu’elle veut. Et puis franchement, elle peut bien parler, elle : elle est aussi du genre à frapper, sauf qu’elle a le mérite de le faire en visant plutôt bien, comme quoi, se prendre des trognes pendant des années, ça accroît votre capacité à vous transformer en experte du genre. Elle ne le fait plus, elle se l’est promis, et elle s’y tient. Toujours est-il que là, elle ne se prive pas pour rire un peu plus, laissant un charmant petit rictus enroué s’échapper de sa gorge qu’elle tend en arrière, sa tête basculant doucement quand elle lui rétorque en retrouvant bien vite son sérieux, reposant son verre d’eau gazeuse sur la table pendant qu’il l’encourage à l’insulter "T’as aucune idée de ce qui pourrait me faire plaisir ou pas, et je te conseille de pas chercher à savoir." Elle ne lui fera pas le plaisir de l’insulter en vérité, ça décuplerait son sentiment d’être une putain de victime quand c’est lui, et lui seul, le bourreau. Elle le regarde, et elle ne le trouve pas aussi beau que Nina. En fait, elle le trouve même plutôt indigne d’elle, et pas seulement parce que son attitude le rend laid. Elle l'aime bien, il a de l’esprit, ça reste quand même un sacré bâtard qu’elle n’aimerait pas avoir comme ami. D’ailleurs, ça la pousse à se questionner sur ce qui le rapproche de Midas qui, lui, est aussi beau de l’extérieur qu’il l’est de l’intérieur. Vraiment, dans quel monde il pourrait apprécier un type comme celui qui se trouve face à elle sur l’instant ? Ça l’interroge un instant tandis que le docteur continue de lui répondre et de faire éclater son hypocrisie qu’elle trouve atrocement repoussante.
Et c’est peut-être ça finalement, ce qui le rapproche de Midas. Le fait qu’il s’octroie des passes-droits pour ses erreurs quand il refuserait tout bonnement que sa femme fasse les mêmes. La pensée ne lui plaît pas, elle démange quelque chose en elle, blessure mal cicatrisée sur laquelle elle préfère poser un mouchoir. Au lieu de méditer sur ça, elle lui fait "C’est mal placé, oh tu crois ça ?" Elle n’attend pas de réponse, ils savent tous les deux à quel point ça l’est "Marrant comment tu penses encore à ta gueule, même quand tu songes à en foutre une à quelqu’un d’autre. Crois pas que je vais te demander à combien elles sont assurées exactement." Ses mains. Elle s’en tape, et elle lui fait la remarque sans attendre de réponse encore une fois, parce que sa limite est atteinte, et qu’elle n’a rien d’autre à dire à ce qu’il lui dit de son côté. Ruben ne changera pas, Ruben ne fera pas d’effort, Ruben est un grand garçon en fait, alors à quoi bon ? Le regard qu’il pose sur elle ne l’impressionne pas, son ton non plus. C’est même plutôt risible, qu’il tente de se placer en mâle dominant quand il ressemble à rien de plus qu’à un petit garçon qui joue à l’homme, bien incapable de faire un choix entre plusieurs choix de jouets dans le grand magasin qu’est la vie à ses yeux. A nouveau, il l’encourage à l’insulter, Jo secoue la tête, se prépare à se lever en soupirant fort "J’ai promis d’être une gentille fille. C’est pas facile, mais ça simplifie la vie, tu devrais essayer." lui conseille-t-elle, la tête penchée, le bout de ses ongles manucurés posés contre le bord de la table derrière laquelle elle reste debout un instant de plus "Tout ce que je vais te dire, c’est bonne chance." Pour le coup, elle est sincère "Y a un truc qui me dit que tu vas en avoir besoin, parce que vu comment t’es parti, ta femme sera pas la seule à te haïr pour de bon avant Noël." Elle pense à Midas, bien sûr. Dans le même temps, elle réalise quelque chose, penche pour le sarcasme, et ce en le pointant de nouveau du doigt "Merde, pas de ranch pour toi cette année, t’as super mal choisi ton timing pour être un connard." Oopsie, ça lui a échappé.
rp terminé.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.