when the lights are turned on, i'm just the fool i was (edenoé, date brisbuddies)
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Eden Veliz
ÂGE : 33 ans, plus que quelques mois pour lancer une secte SURNOM : edi ou eddie, par ses potes ; elle se présente plutôt comme robin auprès des inconnus (c'est moins nul). STATUT : fini le fuckboy-isme, bonjour la vie d'adulte : elle tombe amoureuse des femmes mariées, maintenant, c'est vachement plus stable. MÉTIER : infirmière, idole des vieux, uber occasionnelle et recommandeuse de bonne musique. POSTS : 95 POINTS : 100
TW IN RP : cassosserie parentale, violences intrafamiliales, ancienne consommation de drogues, intolérance passée / religion mal employée, criminalité. TW IRL : age gaps majeur/mineur romancésGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : a toujours des chaussettes super originales. fervente porteuse du combo sandales-chaussettes. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : CLAYDEN (??) › uc.
Eden a toujours été nulle en dates ; pas très douée pour le bagout, légèrement incapable en terme de choix de tenues, toujours à hésiter sur les choses à dire, les sujets à aborder et à quel moment. À sa charge, elle n’a jamais réellement aimé suivre la trame définie qui semble régir l'univers du dating au travers des applications, préférant les rencontres naturelles, aborder les sujets qui lui plaisaient sans se soucier de plaire, et surtout, optant généralement pour des plans d'un soir – elle était de toute façon généralement infoutue de savoir quoi dire ensuite, de trouver les bons mots pour reprendre contact, pour exprimer son intérêt sans y ajouter maladroitement une tonne de craintes, et c'était très bien comme ça. Il y avait quelque chose dans le fait de s’ouvrir à quelqu’un de nouveau et de lui laisser les codes pour ajouter sa pierre à l’édifice de son auto-destruction qui la terrifiait absolument, autant qu’elle l’affamait, et ce deuxième élément était facilement éclipsé lorsqu’elle dressait la liste mentale du peu qu’il restait à détruire chez elle. Aujourd’hui, c’était différent. Le contexte, peut-être, à moins que ce ne soit la personne : elle avait apprécié Arsinoé dès les premiers messages échangés, la simplicité qui s’était liée à l’échange, la façon dont ça n’avait pas été effrayant d’en partager autant avec elle – et le date en lui-même représentait l’excuse parfaite pour ne pas prendre la chose trop au sérieux. Il n’y avait pas à se torturer l’esprit pour trouver des sujets de conversations, enchaîner les questions potentiellement banales ; il y avait déjà suffisamment à explorer par la nature-même du rencard, et les sujets abordés dans les messages donnaient une trame de fond sur laquelle retomber. Fidèle à elle-même, elle avait revêtu sa tenue fétiche, confortée par le côté désinvolte de la sortie : un t-shirt blanc, un jean large, ses fidèles chaussures à roulettes clipsées, et un sac à dos dans lequel elle avait glissé deux bouteilles, pour respecter sa parole. Arrivée sur les lieux, plusieurs bénévoles sont déjà en action : un sac dans une main, la pince à déchets dans l'autre. On l’habille rapidement d'une espèce de survêtement en papier poubelle et on l’envoie parmi les autres : difficile de trouver son rencard dans la nuée uniforme de sacs poubelles montés sur jambes, et pourtant elle finit par lever la main munie d’un sac, éternel sourire de golden retriever déjà en action, pour faire signe à celle qu’elle espère avoir identifiée correctement. « Hey ! » qu’elle lance en arrivant à sa hauteur, nervosité presque absente, « j’ai presque eu peur de pas te trouver, mais j’adore ta tenue. » Le ton de voix se fait narquois, cherchant définitivement à mettre en arrière-plan l’odeur des déchets chauds sur le sable et tous leurs comparses bénévoles qui s’agitent pendant qu’elles se regardent sans en foutre une. « Toujours pas dégoûtée des odeurs ? Parce que j’ai pris des masques, au cas où. Promis, c’est pire après. »
all out times have come; here, but now they're gone, seasons don't fear the ripper, nor do the wind, the sun or the rain - we can be like they are, baby, don't fear the reaper (c)flotsam.
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