ÂGE : Trois décennies, mais l'temps c'est comme le vent; de vivre, y a qu'ça d'important. (Trente trois) SURNOM : Arsi', Sisi, Sinoé - don't call her, it's easier this way. STATUT : le radeau de la Méduse - de l'espoir à l'abandon, it comes and goes in waves. MÉTIER : illégitime d'Asclépios (medicine student - diagnostic crew, St Vincent's hospital), Hygie défibrille (volunteer paramedic) - bénévole au dispensaire, danseuse ponctuelle de cabaret et chapardeuse noctambule (l'aumône pour les pauvres) LOGEMENT : l'exil, la bohème (foyer social) - pourrait squatter ton canap' un d'ces quatre. POSTS : 101 POINTS : 110
TW IN RP : Langage vulgaire, instabilité émotionnelle, noyade, phénomènes climatiques meurtriers, gang & violence associée, meurtre, alzheimer, drogues (addiction), TCA, sexe, hallucinations.. Liste amenée à évoluer. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : se déplace essentiellement à moto, ou en rollers ☼ trimballe souvent une perruche sur son épaule, Harley ☼ possède un nécessaire de secours dans son sac.. et des outils d'effraction ☼ clean depuis plus de six mois, effrayée par l'idée d'replonger ☼ aime sauter dans les flaques d'eau ☼ rêve d'une belle histoire d'amour, mais demeure convaincue que personne ne saurait la supporter ☼ joue du piano, essentiellement dans les lieux publics ☼ multi-tatouages, option longues dreads et septum en prime ☼ active aux soupes populaires et évènements communautaires ☼DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
the night ☆ Shattered ☆
Sloane 1
Elena 2 ~ on brûlera ☆
Olive 1
Jerry 1
Izan 2
Greta 1
Helen 2
Edenoé 1
Akira 1 RPs EN ATTENTE : - Full (but ask anyway)
RPs TERMINÉS : (Elena 1) -
(Izan 1) -
(Helen 1) -
Abandonnés :AVATAR : Zoë Kravitz CRÉDITS : @ellaenys - mags (signa) DC : Danaë, pretty little liar (Kaia Gerber) INSCRIT LE : 30/05/2024
T'es finalement si faible, Quinzel. Que d'la gueule, rien dans l'ventre et encore moins dans les méninges. Être lucide sur sa situation ne l'aide pas, d'autant que la raison à tout ce bordel lui semble ridicule. Qui irait se mettre dans un pareil état pour une histoire d'amour ? Surtout au stade où elles en sont : nulle part, tout l'problème est là. C'est une histoire qui n'a ni point de départ, mais qui a tout de même pris une sérieuse claque. C'en est ironique. Le fantôme des lèvres d'Elena flotte encore sur ses pulpeuses, les réminiscences du désir pulsent toujours contre ses cuisses, surtout à la nuit tombée. Mais il y a tout le reste, cet après qui l'a inévitablement amenée à prendre la porte.
Leurs métiers. Ce qu'elles savent, ce qu'elles gardent secret; les non-dits, volontaires ou pseudo-nécessaires, une panoplie de dossiers qui foutent la merde, quand bien même Arsinoé prétend être capable de tout accepter. Tout sauf d'être reléguée en guise de seconde option. Éprise d'une carriériste justicière, après une mafieuse condamnée aux arrangements d'un mariage frauduleux - pour résumer sa perdition sentimentale. Pour expliquer sa présence au bar, et les quinze shooters dégommés en un clin d’œil. Ce soir, elle se fout des autres; on l'aborde bien une fois ou deux, mais elle sabre assez le "non" pour dissuader les plus lourds de continuer. Cette nuit, c'est juste une beuverie. Le plaisir de s'mettre une cuite parce qu'on peut s'mettre une cuite. Cela n'a rien d'intelligent, rien de festif non plus - elle aurait pu prendre du rhum bon marché et se l'enfiler sur un banc. C'est même ce qui arrive, quand l'idée la traverse : un achat à l'épicerie du coin, les écouteurs branchés pour se couper du monde et la voilà qui déambule dans l'espace vert le plus proche - même si son champ d'vision ne distingue plus au delà des dix mètres.
Sinoé est pathétique. Elle voudrait bien qu'on la pleure, qu'on admette que sa souffrance est légitime, ou qu'Elena se rende compte du bordel qu'elle a mis en œuvre pour la retrouver - mais à ce stade de la nuit, elle le crie plutôt ouvertement : - c'était d'la connerie ! Puis, avec le high, elle s'demande pourquoi cette histoire lui tord autant les entrailles; après tout, elle est vivante, en plutôt bonne santé et toujours capable de mettre des choses en place pour se créer un quotidien béton. Pourquoi s'laisser marcher dessus par une affaire comme celle-ci, et par quelqu'un qui n'veut pas vraiment d'elle ? Un sentiment d'force l'étreint, l'idée de pouvoir briser des montagnes et courir dans les tornades - l'image de la badass qu'elle pouvait incarner dans sa vingtaine, et qui s'étiole depuis quelques années.
Ensuite, c'est black-out. Une partie de la nuit s'efface, se distend pour devenir imperceptible : elle s'est levée, a dansé seule, dans la pelouse, puis a marché pieds nus, chaussures en main et bouteille dans l'autre. Puis.. C'est le rideau noir. Peut-être que c'est lié au buisson, qui avait l'air "fort confortable" - et bien plus proche que le foyer où se situe sa piaule. En réalité, elle s'est endormie, le rhum sous le bras et l'portable à court de batterie, un pied dépassant dans l'allée. Ce n'est qu'au matin, une voix qui semble l'interpeller, et qui vient la chercher loin dans son sommeil sans rêves; - Oui mon père, j'ai péché.. Dis à Satan que j'repasserai demain. et sa main balaie l'air, trop d'lumière pour ses pauvres yeux, et un timbre qu'elle discerne trop mal pour entendre ce qu'il raconte. - Appelle pas les flics, please. J'faisais une sieste, c'est tout. ivresse sur la voie publique, ça ferait mal; difficile d'appeler Elena au secours, surtout depuis le poste de police. Mais c'est l'visage d'un joli ténébreux qui se détache dans l'horizon chatoyant, et le son qui parvient toujours en décalé; croyez-moi m'sieur, j'suis la dernière personne pour laquelle vous devriez vous arrêter.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
such a beautiful mess
she's in the clouds, heavy and dark, waiting to fall like rain ¤ she was both love and storms of pain, all heartbeats and hurricanes .•°¤ Mags.
Akira Satō
ÂGE : 29 ans (04/05/1995) SURNOM : Aki' le plus souvent, Kiki pour le voir rouler des yeux STATUT : Actuellement, le jeune Satō est célibataire. Véritable coeur d'artichaud, son palpitant s'enflamme toujours plus vite que son esprit, quitte à s'en brûler les ailes. MÉTIER : Diplôme de Graphic Designer en poche, il a exercé quelques années ce métier avant de subir la faillite de l'entreprise qui l'embauchait, il y a 4 ans. Depuis il travaille dans le restaurant familial, à son plus grand désarroi. LOGEMENT : Vit avec Eden à Fortitude, depuis peu POSTS : 216 POINTS : 960
TW IN RP : deuil, accident de la route, victime d'un séisme, trauma des hôpitaux GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #3399CC (bleu) pour l'anglais, #AB6FC1 (violet) pour le japonais RPs EN COURS : Asher(1) ≈ Bromance never dies
Sung-Jin(1) ≈ From virtual to real, chance's sense of humour
L’esprit un peu brumeux, les mains enfoncées dans les poches de son sweat et les écouteurs dans les oreilles, Akira avance sans se préoccuper du monde qui l’entoure. Les chansons d’Imagine Dragons sont l’unique son qu'il entend et plus rien n’existe réellement. Dans sa bulle, les passants croisant sa route ne sont que des silhouettes sans importance. Le bruit environnant n’a plus aucun impact. Plus rien ne compte. Le jeune Satō n’a pas beaucoup dormi cette nuit, trop occupé à jouer sur sa console. Difficile de lâcher un jeu prenant pour aller se coucher. Il n’est pas rare qu’il sacrifie des heures de sommeil à cause de jeux vidéo, ou de séries qui le tiennent en haleine. Impossible de s’arrêter en plein milieu d’un cliffhanger. Comment s’endormir alors que l’esprit cogite sur la suite des événements ? Akira, en tout cas, n’y est jamais parvenu. Et comme souvent, le réveil est difficile après s’être couché si tard – ou tôt, tout dépend du point de vue. Pour autant, rester dans un état léthargique de semi conscience n’est pas à l’ordre du jour. Alors après une douche pour se réveiller et un petit déjeuner avalé pour finir d’émerger, Akira sort de chez lui pour prendre l’air et s’aérer.
Sac pochette en bandoulière dans lequel reposent son carnet et son crayon, la direction du parc est toute trouvée. C’est toujours dans ce genre d’endroit qu’il trouve les meilleurs sujets à dessiner. Il fait plutôt beau aujourd’hui alors autant en profiter. Les paroles de Dan Reynolds résonnent dans ses oreilles à mesure que ses pas foulent le sol du parc qu’il est parvenu à atteindre. Dans le même temps, ses iris balayent les environs à la recherche d’un potentiel objectif à coucher sur papier. Il n’y a pas tant de monde que ça à cette heure. Pas de famille en sortie avec les enfants. Quelques sportifs en plein jogging. Quelques passants qui promènent leurs chiens. En somme, rien qui ne capte réellement son attention. Du moins, jusqu’à ce que ses prunelles sombres ne tombent sur une situation inattendue. La curiosité titillée, il ne peut s’empêcher de s’approcher de cette jambe qui semble dépasser d’un buisson. Comment cette personne est-elle arrivée là ? Est-elle encore vivante au moins ? Ses doigts attrapent les fils de ses écouteurs pour les retirer de ses oreilles, la musique continuant de s’y échapper à faible volume. « Euh, ça va ? » Question un peu stupide lâchée sans vraiment y réfléchir. Arrivé à proximité, Akira s’arrête pour tenter d’observer un peu mieux ce qu’il a sous les yeux. Une voix inconnue s’élève du buisson, déblatérant des mots qui n’ont pas vraiment de sens. « Ok, je manquerais pas de lui dire si je le croise. » Ne peut-il s’empêcher de lâcher au tac au tac, tant la situation n’a ni queue ni tête. Au moins, il ne manque pas de sens de l’humour malgré tout. Un léger rire s’échappe des lèvres du jeune Satō face à la réplique de l’inconnue. Comment a-t-elle pu s’endormir dans un endroit aussi peu confortable ? Certes, la bouteille d’alcool à proximité est un bon élément de réponse, mais tout de même. « Une sieste dans un buisson ? C’est plutôt original, faudrait que je teste à l’occas’. On dort comment là-dedans ? Combien d'étoiles sur TripAdvisor ? » Les branches ne sont-elles pas dérangeantes ? Ne ressent-elle pas la moindre douleur après une nuit difficile ? Combien de temps envisage-t-elle de rester comme ça ? Akira s’approche et tend sa main vers elle. « Un petit coup de main peut-être ? » Si elle le souhaite, il peut l’aider à s’extirper de son buisson. Dans le cas contraire, il ne s’offusquera pas si elle refuse son aide. Après tout, peut-être a-t-elle une certaine fierté qui l’empêche d’accepter la moindre main tendue.
AVENGEDINCHAINS
- - Life is an eternal game, keep playing no matter what - -
(Akira 1) Hangover ☼
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