ÂGE : 34 ans SURNOM : Sav', Savie, Blondie mais aussi Polpetta, celui qui a tendance à l'agacer mais que seul Ugo s'entête à employer à son égard (Fort heureusement) STATUT : Quand elle pensait parvenir un semblant d'ordre dans sa vie sentimentale, elle s'est retrouvée à dire "je le veux" à son plus vieil ami devant Elvis à Vegas MÉTIER : Assistante de direction pour la société Campbell, spécialisée dans l'achat et la construction de complexes immobiliers écologiques -Assez naïve pour croire que travailler pour son ex ne lui attirera pas de problème LOGEMENT : #218, BaySide POSTS : 15020 POINTS : 120
TW IN RP : Abandon - Dépression - Sexe - Alcool - Deuil - Accident de la route - Manque d'estime de soi ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle joue souvent avec ses cheveux ≈ Elle a pratiqué auparavant le chant en tant qu'artiste professionnelle ≈Elle joue de la guitare et du piano ≈ Elle a causé un accident de voiture dans le passé qui a coûté la vie à un jeune homme. Un secret qu'elle tente de garder pour elle ≈ Elle culpabilise toujours ≈ Elle a un rire extrêmement communicatif ≈ Elle est maman de Mathis, 6 ans, qu'elle cherche à connaître, et qu'elle a eu avec son second amour, James Beauregard.RPs EN COURS :
Je me pince les lèvres, ayant cette vilaine envie de fuir qui me tient en tenaille depuis plusieurs minutes. Je me retrouve face à la porte de son appartement, le regard complètement vide, alors qu'un tas de souvenirs semblent se jouer de moi sur le moment. Ce voyage passé ensemble à Vegas aura été riche en émotions, synonyme d'euphorie, de plaisir, et aussi d'une bonne dose d'insouciance. Mais à ce jour, il m'est impossible d'en comprendre la signification, impossible de vouloir me poser les bonnes questions, de peur d'obtenir les réponses. Avions-nous éprouvé le besoin d'explorer une relation à laquelle nous n'avions jamais donné sa chance par le passé, et ce, pour de nombreuses raisons? De nous laisser emporter par ce désir qui avait toujours somnolé en nous? De vivre le moment comme il nous avait été donné de le faire, sans se soucier un instant des conséquences? Au-delà de ce rapprochement physique indéniable, et de notre potentiel en tant que couple qui en avait émané, subsiste des facteurs qui à ce jour rendent cette relation bancale. Cette union pour commencer. Si en cette journée de fête des amoureux cela m'avait semblé être une évidence, ce mariage précipité au beau milieu de ce cadre complètement loufoque sur tout point de vue est bien loin de l'idée que je m'étais faite du mariage, et particulièrement du seul que je ne vivrais jamais. Et cette histoire n'aurait pas plus être plus malaisante sans l'absence de communication totale depuis notre retour sur les terres australiennes, mettant en avant l'incertitude de notre avenir ensemble. J'ai repoussé l'échéance, ayant peut-être peur de reconnaître mes erreurs, de les déceler impuissante, ou encore d'oser envisager de me plonger à nouveau corps et âme dans une nouvelle histoire sans savoir si j'en serai capable, mais c'est sous un élan de courage que je me retrouve à vouloir provoquer nos retrouvailles, le cœur battant la chamade pour me rappeler combien assumer est plus difficile que de se laisser porter par la douceur de l'ivresse.
Ma main frappe la porte, et je profite des quelques secondes de solitude qu'il me reste encore sur le moment pour chasser l'anxiété de mes traits afin de m'emparer d'un sourire qui se veut naturel et détendu. Son visage apparaît, et me permet de chasser l'appréhension qu'il était parvenu à éveiller en moi sans s'en rendre compte. «Bonsoir Monsieur Williams» Une blague de mauvais goût, sans aucun doute, mais qui est indispensable pour que je survive à cette discussion. J'ai besoin de légèreté, j'ai besoin de savoir qu'il ne me laisse pas tomber lui aussi ou qu'il ne renie rien. Et je le supplie presque à travers mon regard bleuté d'apprécier cette visite surprise, qui dissimule un drapeau blanc que je me dois possiblement de brandir pour donner le ton de cet échange. A défaut de m'être emparé d'un morceau de tissu sur un bout de bois, c'est une bouteille de bulles que j'affiche fièrement. « Tu n'v'as pas pouvoir me refuser l'entrée avec un tel argument. » Bien sûr qu'il le pourrait, mais j'aspire à ce qu'il ne le fasse pas, sachant pertinemment que ma vaillance n'est peut-être que passagère, et que bien vite, je trouverai à nouveau une raison de repousser l'échéance et me morfondre dans mes nombreuses incertitudes. «J'te promets de n'pas la vider celle-là» En référence à cette consommation excessive d'alcool qui nous avait poussé à faire tomber toutes les barrières lors de notre petite escapade innocente, bien qu'à y songer, mis à part se donner corps et âme dans la conception d'un bébé à venir, ou miser sur un suicide collectif pour honorer notre attachement l'un à l'autre, nous n'avons plus grand chose à jouer à ce jour.
Another love shit.
And I wanna sing a song, that'd be just ours, but I sang 'em all to another heart. And I wanna cry, I wanna fall in love, but all my tears have been used up. And I wanna kiss you, make you feel alright, I'm just so tired to share my nights. I wanna cry and I wanna love, but all my tears have been used up
on frappe à sa porte et il déteste l’idée. les enfants sont chez valentina et il avait envie de se vautrer dans son canapé pour lire un bouquin. depuis quand lit-il des livres au lieu de sortir ? allez savoir ! un coup de vieux. il jette le livre sur la table basse de son salon pour se diriger vers la porte d’entrée et un sourire apparaît aussitôt sur son visage quand il voit … savannah. amour de jeunesse. histoire d’amour non commencée mais terminée en apogée à vegas. aucune idée du comment ou du pourquoi. ils faisaient absolument tout à l’envers et surtout, ils n’en parlaient pas. ne pas en parler, c’était apparemment la stratégie suivie par le duo. « bonsoir monsieur williams. Tu n'v'as pas pouvoir me refuser l'entrée avec un tel argument. » il laisse échapper un éclat de rire parce qu’il doit l’avouer, c’est drôle. « rentre au lieu de dire des âneries --- », réplique-t-il en poussant la porte pour qu’elle puisse entrer et le rejoindre chez lui. monsieur williams, c’était auden. bordel ! auden ! l’idée lui donne froid dans le dos. « mais pour que les choses soient claires, quand tu parlais d’argument, tu parlais de la bouteille et non de --- », sourire malicieux, regard pétillant, il désigne sa silhouette d’un geste de la main avec candeur. Si elle a décidé de faire de drôles de blagues, il a décidé de suivre le chemin de son amie de toujours. bonne idée ? pas certain ! « J'te promets de n'pas la vider celle-là » un sourire amusé et les voilà qu’ils se dirigent vers le salon, le lieu de vie de cette demeure familiale.
« que me vaut ta visite ? il s’est passé un truc grave ? je te manquais ? », qu’il demande en ouvrant le mini-bar pour en sortir deux coupes. Il se tourne vers elle, un verre dans chaque main, « je te manquais, ça se voit --- » un éclat de rire et il dépose les verres sur la table basse à côté de son bouquin qu’il ne lira plus ce soir, pour finalement prendre place sur le canapé. « après --- ma femme n’a pas vraiment besoin d’avoir des excuses pour débarquer chez moi à l’improviste --- normalement --- » et c’est le normalement qui change tout … car ce n’est pas normal. ils ne devraient pas être mariés. Tout ça était une erreur. N’est-ce pas ?
Savannah Williams
les collisions
ÂGE : 34 ans SURNOM : Sav', Savie, Blondie mais aussi Polpetta, celui qui a tendance à l'agacer mais que seul Ugo s'entête à employer à son égard (Fort heureusement) STATUT : Quand elle pensait parvenir un semblant d'ordre dans sa vie sentimentale, elle s'est retrouvée à dire "je le veux" à son plus vieil ami devant Elvis à Vegas MÉTIER : Assistante de direction pour la société Campbell, spécialisée dans l'achat et la construction de complexes immobiliers écologiques -Assez naïve pour croire que travailler pour son ex ne lui attirera pas de problème LOGEMENT : #218, BaySide POSTS : 15020 POINTS : 120
TW IN RP : Abandon - Dépression - Sexe - Alcool - Deuil - Accident de la route - Manque d'estime de soi ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle joue souvent avec ses cheveux ≈ Elle a pratiqué auparavant le chant en tant qu'artiste professionnelle ≈Elle joue de la guitare et du piano ≈ Elle a causé un accident de voiture dans le passé qui a coûté la vie à un jeune homme. Un secret qu'elle tente de garder pour elle ≈ Elle culpabilise toujours ≈ Elle a un rire extrêmement communicatif ≈ Elle est maman de Mathis, 6 ans, qu'elle cherche à connaître, et qu'elle a eu avec son second amour, James Beauregard.RPs EN COURS :
La pression que je m'impose en débarquant jusqu'à chez lui est à son comble. J'ai peur. Peur de ce qui peut-être dit, peur que tout vienne à changer, et que soudainement, cet homme pour lequel je voue un attachement profond et sincère ainsi que ce petit quelque chose capable de tout faire changer depuis toujours, devienne à son tour l'un de ces hommes avec qui je suis incapable d'entretenir des rapports normaux. Peur que nous nous perdions en chemin, incapable de déceler la nature exacte de nos rapports. L'un contre l'autre, l'alchimie s'était faite plus forte, révélant un potentiel charnel trop longtemps négligé, et tout semblait si évident sur le moment que c'en est devenu clairement déstabilisant. Cependant, c'est le silence qui s'est imposé à nous depuis notre retour qui rend désormais ces instants presque fugaces, synonyme de souvenirs qui feraient partie d'une autre époque, certainement bien révolue. Plus d'alcool dans nos veines pour nous convaincre que tout ca est une évidence, et nous voilà comme deux ado, incapables d'affronter la situation comme elle se doit. Il apparaît derrière la porte, et soudainement, toutes ces craintes s'envolent. Parce qu'il a ce pouvoir là, celui de rendre toujours plus facile n'importe quelle situation. « bonsoir monsieur williams. Tu n'v'as pas pouvoir me refuser l'entrée avec un tel argument. » Le rire qui s'échappe de ses lèvres ne peut qu'étirer les miennes, presque fière d'être parvenue si rapidement à obtenir grâce. « rentre au lieu de dire des âneries --- » Je passe la porte, aussi naturellement que possible, observant malgré moi cette pièce dans son ensemble. « mais pour que les choses soient claires, quand tu parlais d’argument, tu parlais de la bouteille et non de --- » Je me tourne vers lui, relevant les sourcils avec un air amusé que je ne parviens pas à dissimuler. «….de moi et mon corps de rêve?» demandais-je comme si j'essayais de lire dans ses pensées en m'observant quelques secondes. «Je n'sais pas, ça reste à voir ce qui a le plus de chance de fonctionner pour que tu m'accordes de ton temps» Ce rythme tendancieux, je le souffle, sachant très bien que ce genre d'humour ne devrait pourtant plus trouver sa place dans un tel contexte, parce que nous avons su prouver que nous n'étions pas capable de faire monter la température par quelques allusions douteuses, mais de faire exploser le baromètre par une proximité interdite.
« que me vaut ta visite ? il s’est passé un truc grave ? je te manquais ? » Je souris, bien trop friande de ce genre de réplique. «Terriblement…J'ai pourtant attendu les quelques semaines requises pour espérer de tes nouvelles, mais comme je suis une femme moderne, j'ai décidé de prendre les devants.» Et me voilà à arborer cet air aussi mesquin et provocateur qui reflète à lui seul le charisme à la Williams. En m'installant dans le canapé, mon corps pivote vers le sien « après --- ma femme n’a pas vraiment besoin d’avoir des excuses pour débarquer chez moi à l’improviste --- normalement --- » Je souris, lisant dans son regard combien cette situation puisse être étrange, derrière tout cet humour pour lequel nous optons afin de rendre les choses plus faciles. « Mais j'imagine que dans notre cas, le normalement reste à définir»
Another love shit.
And I wanna sing a song, that'd be just ours, but I sang 'em all to another heart. And I wanna cry, I wanna fall in love, but all my tears have been used up. And I wanna kiss you, make you feel alright, I'm just so tired to share my nights. I wanna cry and I wanna love, but all my tears have been used up