ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860
TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06)greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
Il existe des traditions qui ont pour vocation de perdurer. Ce qui avait initialement débuté sous la forme de deux journées de goûter d’anniversaire consécutives, c’était transformé au fil des années pour devenir une soirée passée à deux. Arthur choisissait le lieu pour célébrer l’anniversaire de Kendall et à minuit, ce dernier se chargeait de commander un cocktail inédit pour entamer les célébrations pour l’anniversaire d’Arthur. Deux amis nés à une journée d’intervalle, jouant souvent avec la logique appliquée par leur entourage, cherchant à décerner le rôle d’aîné à Kendall, sans se douter qu’Arthur l’avait vu naître. La tradition s’était vue reléguée au placard ces dernières années, mais cette année toutes les étoiles s’alignaient. À nouveau réunis dans la même ville, à nouveau plus proches que jamais. Kendall a besoin de la distraction, Arthur n’avait jamais rechigné pour tout oublier sur une piste de danse. La recette ne promet que le succès. Une soirée pas comme les autres. Pas d’invités, un bar sélectionné avec attention, un seau de champagne qui les attendait à la table qu’Arthur avait pris la peine de réserver. Une vue imprenable sur la ville et la promesse de ne pas s’intéresser à ce qui se passait en contrebas pour quelques heures au moins. « Bon anniversaire, mon pote ! » Deux verres qui tintent l’un contre l’autre et un sourire complice qui promet silencieusement que tout ira bien.
Les verres se sont enchaînés en douceur d’abord, avant que la cadence n’accélère au rythme de la musique changeante. L’ambiance feutrée de début de soirée laisse désormais place à une musique bien plus électronique attirant des groupes sur la piste de danse. Ils ont troqué le champagne pour quelque chose de plus fort et si Arthur doit se retenir d’aborder le premier venu à la recherche d’un peu de poudre, il continue à boire pour amuser la galerie. Ken rit à gorge déployée, s’enfile des verres comme s’il s’agissait d’un verre de lait et lâche prise à mesure que la nuit tombe sur la ville. « Eh ! » Il crie légèrement au-dessus de la musique avant de se pencher pour passer son bras autour des épaules de Kendall pour mieux l’attirer contre lui. « Tu veux t’amuser ce soir ? » Il ne regarde que pour entamer une sélection. Il sait qui l’attend dans un appartement non loin d’ici. Il ne jouera pas au con. Il adresse un sourire amusé à son pote de toujours, oubliant quelque peu le drame qui avait teinté sa vie il y a quelques semaines de cela. Arthur a trop bu pour faire dans la délicatesse, et puis ils ont toujours agi ainsi tous les deux. « Lâche toi un peu, non ?! » Est-ce qu’il allait se laisser tenter par la blonde qui ne cessait de lui faire de l’œil depuis une bonne heure déjà.
take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel
Kendall Harding
la traversée du désert
ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0
TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légalesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : (maj le 5/09/2024)
Barbie et Ken #6 > I hate you, I love you. I hate that I love you. Don't want to, but I can't put nobody else above you #1 > #2 > #3; #4; #5; #6
I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
Arthur #1 ; Arthur #2AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell Sutton PSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 05/04/2022
Il y a une époque où le 22 août était le jour que Kendall attendait le plus dans l’année. Une date entourée en rouge sur le calendrier qui était synonyme de grandes et belles choses : la soirée de l’année. Ou plutôt un enchaînement de festivités puisque l’anniversaire d’Arthur tombait seulement un jour après le sien. Il était bien sûr arrivé que Kendall soit jaloux de la proximité de leurs dates d’anniversaires quand ils étaient enfants : son anniversaire était rapidement oublié pour celui d’Arthur. Cependant, cette jalousie presque fraternelle a vite été dissipée quand, en grandissant ces deux anniversaires sont devenus synonymes de deux fois plus de fête. Pendant presque dix ans, ils ont ainsi pris l’habitude de se retrouver le 22 août au soir, qu’importe le jour de la semaine où il tombait pour organiser une grande soirée pour ensuite enchaîner à minuit sur l’anniversaire d’Arthur. La distance physique et sociale instaurée par Kendall à son départ de Brisbane il y a quelques années a néanmoins mis en pause cette tradition. L’année difficile que passe Kendall ne lui donne pas envie de faire la fête, la perte de Charlie est encore trop douloureuse mais le bouclé a envie de faire plaisir à son ami. Et puis c’est un cap spécial : 30 ans, enfin c’est ce qu’on lui dit. Kendall lui, s’en fiche royalement d’avoir 29, 30 ou 31 ans, ça ne change rien à sa vie et il n’y a aucune raison de psychoter sur un chiffre comme celui-là. Il a d’autres problèmes, d’autres chagrins que celui d’avoir ses premiers cheveux blancs ou une connerie dans le genre.
Arthur a dit qu’il s’occupait de tout organiser et même si Kendall n’est pas aussi enjoué que d’habitude à l’idée de faire la fête, il doit avouer que son ami a mis les petits plats dans les grands. « Bon anniversaire, mon pote ! »Le rooftop offre un cadre idéal à une soirée d’anniversaire de qualité, les flûtes d’un champagne hors de prix dans leurs mains sont de bons ingrédients pour qu’ils fêtent leurs anniversaires dignement. “Merci mec.” Ils trinquent et en quelques instants à peine la flûte de champagne est vidée. Les verres s’enchaînent, Kendall ne les compte plus, il ne les a jamais comptés. Il sait pertinemment qu’il va continuer de boire pendant plusieurs heures encore : jusqu’à la fermeture du bar ou jusqu’à ce qu’il ne tienne plus sur ses jambes. L’objectif est sûrement minable, il n’a plus dix-huit ans pour vouloir s’enivrer comme il le fait, mais il a besoin d’oublier. Oublier qu’il a 30 ans aujourd’hui mais que Charlie, elle, a 29 ans pour toujours. Oublier la culpabilité qui le ronge comme de l’acide. Oublier qu’elle lui manque terriblement. Oublier que la vie est cruelle et qu’il n’y a rien à y faire à part subir ce genre de choses. Le mélange d’alcool forts en tout genre qui a suivi le champagne couplé à un estomac vide tient sa promesse de faire oublier à Kendall ses maux. Il rit aux blagues d’Arthur et en apparence il a l’air d’être le Kendall qu’il a connu : le fêtard un peu tête brûlé qui n’a pas peur de prendre une cuite. « Eh ! » Le policier s’approche de lui pour essayer de l’écouter en dépit de la musique assourdissante qui anime le bar. « Tu veux t’amuser ce soir ? » Il suit le regard d’Arthur qui s’arrête sur un groupe de filles non loin d’eux au bar. “Elles sont pas mal ouais.” Il lui crie dans l’oreille pour qu’ils puissent s’entendre. Elles sont même tout à fait son genre, le genre de filles qu’il aurait draguées sans la moindre hésitation dans une période off avec Charlie. Mais Kendall ne bouge pas, à la place il finit son verre de whisky. « Lâche toi un peu, non ?! » Au moment où Arthur lui parle, un eye contact a lieu entre Kendall et la blonde du groupe de copines qu’ils regardaient. Son ami a peut-être raison, il devrait arrêter de réfléchir davantage et être davantage spontané. “Ouais t’as raison, je vais aller lui parler.” De toute façon le mélange rhum, gin et whisky a supprimé ses filtres et a mis ses hésitations à la poubelle. C’est en pilote automatique qu’il se dirige vers cette fille et qu’il l’aborde comme il a pu le faire des centaines de fois avec d’autres.
La discussion avec la blonde se passait bien jusque là : il lui a payé un verre, a envoyé gentiment ses copines aller voir ailleurs s’ils y étaient. Elle est jolie, Kendall n’a qu’à poser ses yeux sur sa silhouette pour savoir qu’il a envie de la mettre dans son lit. Elle le regarde avec de grands yeux émerveillés, le genre de regards qui gonflent son égo et qui le mettent en confiance. L’attirance est là, l’alchimie aussi, facilitée par les sens du jeune homme brouillés par la boisson. Mais la soirée et l’alcoolémie avançant, plus il la regarde et plus son estomac se noue : elle ressemble à Charlie. Il y a quelque chose dans le regard de cette fille, dans ses longs cheveux blonds qui lui rappellent celle qu’il a perdue. Petit à petit il n’arrive plus à se concentrer sur la discussion, il répond à côté et il a l’air absent, comme perdu dans ses pensées. Et soudainement il se met à craquer. “Je suis désolé.” Il se met à pleurer et il se lance dans le récit confus de ses malheurs comme s’il était dans le cabinet d’un psychologue. “Je sais pas ce que je fous putain. T’es pas Charlie.” La pauvre fille en face ne comprend pas ce qu’il veut dire ni où il veut en venir. “C’est ma copine. Ou mon ex je sais même pas comment je dois la définir vu qu’elle a fait une putain d’overdose mais je peux pas lui faire ça.” Elle jette des regards inquiets à droite et à gauche, ne sachant pas comment se sortir de la situation ô combien gênante dans laquelle elle se trouve. “T’es son sosie en moins bien, le prends pas mal hein mais elle est mieux que toi, ou n'importe quel mannequin de merde mais tu lui ressembles trop. Je peux pas la tromper et surtout pas avec un sosie moyen en plus.” La fille en face a une expression profondément outrée tandis que Ken, en larmes et dont l’élocution est altérée par l'alcool, s'apprête à continuer sa séance de psychanalyse de comptoir à sens unique.
Arthur Coventry
la chute d'Icare
ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860
TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06)greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
Les verres s’enchaînent sans que Arthur ne s’arrête pour en faire le décompte. Il a conscience que Kendall est bien plus rapide que lui pour interpeller le barman, mais il ne lui en tient pas rigueur. Il n’y avait qu’un seul mot d’ordre lors de leur soirée d’anniversaire : lâcher prise. Entre eux, c’est clairement Ken qui en a le plus besoin. Et c’est bien pour cela, qu’Arthur s’est mis à scanner l’entièreté du rooftop. Pas pour se rincer l’œil personnellement, mais plutôt pour trouver une occupation à son ami. Dans l’idéal, elle se devait d’être jolie et avec une bonne paire de seins. Ce n’est pas ce qui manque dans cette soirée et rapidement, il interpelle le policier pour lui présenter son plan. « Elles sont pas mal ouais. » Il parle tellement fort dans le creux de son oreille qu’Arthur se met à grimacer en reculant. Kendall a vraiment bu, mais il tient encore sur ses jambes et il n’aura pas de mal à leur adresser son sourire signature. Ce ne peut être qu’une bonne idée et pour une fois Arthur s’inflige le rôle du pote qui attend dans un coin en espérant que son copain se barre avec une jolie fille. « Ouais, t’as raison, je vais aller lui parler. » Un sourire victorieux se fraye un chemin sur ses traits. « Tu leur sorts ton sourire de charmeur Harding, je veux pas te revoir dans le coin. » Et en le poussant par l’épaule, il l’envoie en direction des deux jeunes femmes. De son côté, Arthur se commande un autre verre avant de sortir son téléphone pour envoyer un message à Greta. Il est devenu sage à ce point-là.
De temps à autre, il jette un coup d’œil en direction de Kendall. Il n’est pas étonné de voir qu’il a jeté son dévolu sur une grande blonde et ne se soucie pas réellement du reste. Il était en train de discuter avec un mec qui semblait avoir hérité du même rôle que lui lorsque quelqu’un vint lui taper sur l’épaule. « Ton pote là, il chiale sur ma copine. » Dans un bond, Arthur se retourne pour trouver Kendall à moitié vautré sur le bar. De là où il se trouve, il ne peut pas entendre la conversation, mais il n’a pas de mal à voir les épaules de Kendall qui ne cesse de sursauter à cause de ce qu’il soupçonne être des sanglots. C’est pas vrai. Se levant, il traverse la salle en quelques enjambées seulement, assez pour atteindre le couple alors que Kendall est en train de délivrer la fin de son speech. « T’es son sosie en moins bien, le prends pas mal hein mais elle est mieux que toi, ou n'importe quel mannequin de merde mais tu lui ressembles trop. Je peux pas la tromper et surtout pas avec un sosie moyen en plus. » Croisant le regard de la jeune femme, il dégaine son plus beau sourire. « Je suis désolé. » Elle semble parfaitement dégoûtée et il cherche pas à la retenir plus longtemps, notant de lui faire envoyer un verre avant de quitter les lieux. Kendall ne semble pas ravi de voir sa psy de la soirée s’éloigner puisqu’il se lève d’un coup, perdant presque l’équilibre. « Okayyyy on va se rasseoir. » Il le force à s’installer sur le tabouret avant de plonger son regard dans celui vitreux de Ken. « À quoi tu joues, mec ? Depuis quand tu chiales sur une belle fille ? » Et puis il était obligé de balancer son ex morte ce soir ? Arthur lui en veut presque, mais quelque part, il s’inquiète également des réactions de Kendall. « On était censé profiter de notre soirée, pas réveiller les morts, tu me fais quoi là ? » Il aimerait le secouer, mais il a peur que Kendall s’effondre pour ne plus jamais se relever. Alors il attend une réaction, n’importe quoi…
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Kendall Harding
la traversée du désert
ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0
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Arthur #1 ; Arthur #2AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell Sutton PSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 05/04/2022
La carte bleue de Kendall pourrait lui brûler les doigts tant elle chauffe depuis le début de la soirée. Les verres au contenu plus que hétérogène se succèdent sans que cela soit raisonnable. Vin, rhum, gin, whisky, shot d’alcool non identifié : tout y passe. Kendall le sait au fond de lui, mélanger les alcools comme ça, sachant qu’il n’a presque rien dans le ventre est une très mauvaise idée. Il en a déjà fait les frais plus jeune dans ses premières soirées qui ont aussi été ses premières cuites. Il sait qu’il sera complètement ivre en peu de temps mais il s’en fiche, c’est le projet : mettre le cerveau sur pause en enchaînant les mauvaises décisions. En parlant de mauvaise décision, il y a une fille accoudée au bar, une blonde qu’Arthur a repéré pour lui. Elle est plutôt mignonne, tout à fait le style de Kendall qui, grâce à l’alcool, a envie de se laisser tenter. « Tu leur sors ton sourire de charmeur Harding, je veux pas te revoir dans le coin. » Kendall lui sourit en retour, la soirée a des airs familiers et Ken se sent enfin vivant à nouveau. “Compte sur moi.” Il termine son verre dans le poser sur la table pour se diriger vers la blonde.
Les larmes coulent encore et encore sur les joues de Kendall qui est en train de déballer tout son mal-être à la pauvre fille qui est là au mauvais moment au mauvais endroit. Il devient grossier sans s’en rendre compte quand il la compare à Charlie et il a bien de la chance qu’elle n’ait pas décidé de lui mettre une baffe. C’est finalement Arthur qui vient sauver la situation. « Je suis désolé. » Elle s’en va aussitôt, soulagée de s’éloigner du relou du bar. “Héééé.” Ken se lève pour essayer de la rattraper, ce qui le fait vaciller. « Okayyyy on va se rasseoir. » Les mains d’Arthur se posent sur ses épaules pour le forcer à s’asseoir. « À quoi tu joues, mec ? Depuis quand tu chiales sur une belle fille ? On était censé profiter de notre soirée, pas réveiller les morts, tu me fais quoi là ? » Il lui fait la leçon comme s’il parlait à une enfant qui a fait une bêtise et ça Ken ne peut pas le supporter, surtout avec une telle quantité d’alcool dans le sang. “Oh fous moi la paix Arthur, commence pas à me casser les couilles” Il se relève avec un équilibre plus que précaire. Il s’appuie contre le bar pour ne pas tomber. “C’était une connasse de toute façon ça se voit, elle était même pas jolie.” L’alcool le rend complètement injuste et grossier, dans le fond il sait que le problème dans l’histoire c’est bien lui. Cette fille est un véritable canon et la pauvre n’a pas eu le temps d’en placer une à cause de la crise de nerfs du policier. Il passe la main sur son visage sans aucune délicatesse pour essuyer ses larmes avant de mettre la main dans sa poche à la recherche de son paquet de cigarettes. Il en place une entre ses lèvres et alors qu’il s’apprête à l’allumer le barman l’interpelle. “C’est interdit de fumer ici monsieur. Vous avez un fumoir ou le balcon pour ça.” Une nouvelle contrariété qui fait encore plus perdre pied à Kendall. “Vous avez décidé de tous me faire chier ce soir c’est ça ?” Le ton monte et il n’a plus aucun filtre ou patience. La situation qui pourrait vite s’envenimer, le videur l’a d’ailleurs bien vu et il reste à l’affût du moindre faux pas du bouclé pour intervenir.
Arthur Coventry
la chute d'Icare
ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860
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Il pensait sincèrement avoir trouvé un moyen de détourner l’attention de Kendall. Un cadeau d’anniversaire improvisé, mais qui devait simplement se transformer en une partie de jambes en l’air. Rien que du plaisir en théorie. Ce qu’il n’avait pas pris en compte, c’est la façade que Ken avait décidé de présenter aux autres. Arthur n’est pas complètement idiot, il a bien réalisé que son ami ne pouvait avoir oublié Charlie en un claquement de doigt. Mais il paraissait gérer la situation et personne ne lui en aurait voulu de sauter toutes les filles qui croisaient son chemin pour se changer les idées. Ce n’était pas une manière très saine de gérer un deuil, mais c’était une manière comme une autre. Arthur aurait pu gérer de terminer la soirée seul. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’est que Ken se mette à chialer comme un enfant et qu’il doive agir en urgence pour que la situation ne s’envenime pas.
« Héééé. » - « Ah t’es quand même content de me voir. » Il cherche à plaisanter alors que le visage de Ken est encore continuellement noyé par un flot de larmes. Il le force à s’asseoir avant qu’il ne s’étale par terre. Il n’avait pas fait attention, mais Kendall avait bu tant que ça ? Il réalise que tout n’était peut-être pas une bonne idée et que désormais il allait devoir gérer avec son pote. « Oh fous moi la paix Arthur, commence pas à me casser les couilles. » Cela lui demande tout son sang-froid pour ne pas répondre sèchement. « Ouais, calme ta joie mon vieux. » Il serre les dents, lui adresse un sourire presque amusant. Il va devoir gérer maintenant qu’il a été celui qui l’a amené ici. Arthur n’a rien d’oublié de ce que peut être Kendall quand il a trop bu et il en soupire déjà. « C’était une connasse de toute façon ça se voit, elle était même pas jolie. » Il ne peut s’empêcher de rire face à la franchise de Ken avant de se reprendre. « Eh reste classe, mec. » Elle n’avait rien demandé à cette pauvre fille. Elle avait déjà été assez sympa pour ne pas le gifler alors qu’il venait de le traiter de sosie de Wish. En pensant à cela, Arthur interpelle un serveur. « Faites envoyer une bouteille de champagne à la table des filles là-bas. » Il pointe la table du doigt et avance déjà sa carte bleue. Deux minutes, c’est tout ce que ça lui a pris. Juste assez pour que Ken décide de sa prochaine connerie et se fasse reprendre par un autre serveur alors qu’il avait l’intention de s’allumer une clope. « Vous avez décidé de tous me faire chier ce soir c’est ça ? » - « Eh c’est toi qui commences à casser les couilles, la pleureuse. » Il souffle, paie la bouteille des demoiselles et attrape Ken par le bras. Ce dernier cherche à se débattre, assez pour tenter d’attraper son verre encore plein. « Non l’alcool c’est fin pour toi mon vieux. » Il n’avait pas l’intention de le voir gerber et encore moins d’entrer dans un conflit qui les forcerait à se battre. C’est déjà arrivé par le passé. « Quoi tu vas m’insulter ? » Il le défi du regard alors qu’il l’entraîne déjà vers le balcon, espérant qu’un peu d’air frais lui remette les idées en place.
Ils sont à peine dehors que Ken manque de s’étaler par terre. Arthur le redresse avant de le planter sur un canapé et d’allumer sa cigarette pour lui. « Sérieux, tu nous as fait quoi là-bas ? Elle était canon et prête à rentrer avec toi ! » Ouais d’accord, Arthur à Greta, mais il a tout de même des yeux et la nana était vraiment mignonne. « Et puis arrêter de chialer merde. » Il ne sait pas gérer les larmes de son ami, il a dû le faire un soir, c’était déjà trop. Et il n’a aucune idée de ce qu’il faut faire, et n’a clairement pas envie de terminer sa soirée sur cette note dramatique. Ouais, Arthur en veut à Kendall de ne pas avoir attendu plus tard pour son petit craquage émotionnel.
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Kendall Harding
la traversée du désert
ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0
TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légalesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : (maj le 5/09/2024)
Barbie et Ken #6 > I hate you, I love you. I hate that I love you. Don't want to, but I can't put nobody else above you #1 > #2 > #3; #4; #5; #6
I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
Arthur #1 ; Arthur #2AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell Sutton PSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 05/04/2022
« Ah t’es quand même content de me voir. » Kendall est tout sauf ravi de voir Arthur débarquer, surtout quand il se la joue babysitter. Parce que c’est bien l’impression qu’il a en ce moment : il passe une soirée naze, il ne s’amuse pas et en plus Arthur est sur son dos. Et le policier ne se gêne pas de faire remarquer à son ami qu’il est un peu étouffant d’une manière peu délicate. « Ouais, calme ta joie mon vieux. » Il lève les yeux au ciel avant de souffler, comme un adolescent qui se ferait reprendre par un adulte pour son insolence. Il ne s’arrête pas là pour autant puisqu’il explique ensuite à son ami pourquoi il a abandonné l’idée de draguer cette fille. Rempli de mauvaise foi et d’une trop grande quantité d'alcool, il se montre insultant envers cette fille qui n’avait absolument rien demandé et qui s’est retrouvée en face d’un trentenaire en plein craquage émotionnel. « Eh reste classe, mec. » C’est peine perdue, la délicatesse et le respect de Kendall sont restés au fond du cinquième verre de whisky qu’il a bu, il y a bien trop longtemps maintenant pour qu’il s’en rappelle. Arthur parle avec le barman sans que Kendall ne comprenne trop ce qu’ils peuvent bien se dire, ou plutôt il est trop occupé à essayer de s’asseoir sur le tabouret du bar pour écouter ce qu’Arthur fait. Il sort son paquet de cigarettes et commence à glisser une cigarette entre ses lèvres avant de se faire reprendre par un serveur, ce qui l’agace encore plus. Il se met à parler bien trop fort, attirant l’attention des personnes qui les entourent et sans s’en rendre compte, il fout la honte à Arthur. « Eh c’est toi qui commences à casser les couilles, la pleureuse. » Il fronce les sourcils quand Arthur lui parle comme ça mais surtout quand il l’empêche de finir son verre. “Hé, ho !!” Il se débat comme il le peut mais dans l’état où il est, c’est Arthur qui gagne. « Non l’alcool c’est fin pour toi mon vieux. » Dans leur duo, c’est bien Kendall le policier, pourtant Arthur est pire que la police du fun dans son esprit. Il était peinard avec son projet de se prendre une cuite pour mettre son cerveau sur pause mais Arthur a encore mis son grain de sel. Arthur qui est bien souvent bien pire que lui, quelle ironie qu’il se comporte ce soir comme s’il était irréprochable de son côté. « Quoi tu vas m’insulter ? »Il est obligé de suivre Arthur qui le tire vers le balcon. Le regard d’Arthur le défie mais Kendall n’a pas peur, il ne flanche pas, il en faut plus pour lui faire peur. Ils se sont déjà engueulés, presque battus une fois quand ils étaient gosses, le conflit avec Arthur ne lui fait donc pas peur, surtout pas avec une telle alcoolémie. “Mais laisse moi tranquille” Et il essaie à nouveau de se détacher de l’emprise physique d’Arthur, ce qui le fait presque trébucher alors qu’ils arrivent sur le balcon. Il le retient de justesse avant de l’installer sur un transat dehors pour le sécuriser. Il lui prend ensuite sa cigarette pour l’allumer. « Sérieux, tu nous as fait quoi là-bas ? Elle était canon et prête à rentrer avec toi ! » Kendall tire la première taffe de sa cigarette en fronçant les sourcils, le regard en direction de ses pieds. Quelques larmes roulent encore sur son visage avant de s’écraser sur sa chemise. « Et puis arrête de chialer merde. » Dire à quelqu’un d’arrêter de pleurer n’est absolument pas efficace, mais cela à le mérite de faire relever la tête de Kendall vers son ami. “Toi, arrête de m’engueuler comme si t’étais ma mère déjà.” Si Arthur n’arrête pas de l'accabler, il ne lui dira rien, c’est aussi simple que ça. Un léger silence flotte sur la terrasse, seule la musique du bar en fond vient combler les blancs. Kendall fume à nouveau avec ses mains tremblantes avant de prendre une grande inspiration. “Je…Je sais pas j’ai pas arrêté de penser à Charlie quand on se parlait et je sais pas…” L’émotion et l’alcool l’empêchent de trouver facilement ses mots. “C’était trop dur. J’y arrive plus.” A faire comme si tout allait bien, reprendre une vie normale, draguer une fille, envisager la vie sans Charlie tout court.
Arthur Coventry
la chute d'Icare
ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860
TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06)greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
La patience n’a jamais été l’une de ses, nombreuses, qualités. Il sait l’être, parfois, mais pas lorsqu’il avait l’intention de passer une bonne soirée et que son pote est en train de tout gâcher pour une nana qui se trouve désormais six pieds sous terre. Il pourrait faire preuve d’un peu plus de compassion, mais cela aussi ne fait pas réellement partie des qualités qui pourraient décrire sa personnalité. Alors, Arthur s’impatiente et avec cela, il commence à s’énerver sur un Kendall au bout du rouleau, près de se jeter dans le vide. « Mais laisse-moi tranquille. » Il se débat mollement, ce qui provoque un rire mauvais chez Arthur. « Crois-moi, tu me remercieras demain ! » Il venait de se ridiculiser dans un bar plein à craquer et même s’il risque d’en avoir peu de souvenirs, bizarrement, la honte est toujours la première sensation qui leur revient en mémoire dans ce genre de situation. Surtout, il a bien du mal à comprendre pourquoi Kendall ne s’était tout simplement pas laissé porter par le moment pour justement se changer les idées. Les choses lui échappent et ce n’est pas une situation qu’il apprécie. Encore plus lorsque Ken paraît si fragile à côté de lui avec sa cigarette pendue au bord des lèvres et ses larmes incontrôlables. C’est une image qu’Arthur méprise et il ne se cache pas pour le démontrer, il s’en fiche bien de faire attention aux états d’âmes de son pote. « Toi, arrête de m’engueuler comme si t’étais ma mère déjà. » Il lève les yeux au ciel, excédé par les manières de Kendall. Il déteste ceux qui peuvent pleurnicher sur le sort aussi facilement. Probablement parce que, toute sa vie, Arthur a entendu que pleurer n’était que pour les faibles. Il se souvient parfaitement de l’unique fois où il s’était laissé aller à une telle fragilité et seule Greta en connaissait la raison. « J’essaye juste de ne pas nous faire virer alors qu’on est censé faire la fête, mon vieux. » Ce n’est pas comme cela qu’il avait imaginé démarrer sa journée d’anniversaire, mais il est un peu tard pour revenir en arrière désormais.
En soupirant, il se laisse tomber sur le fauteuil à côté de Kendall. Au moins, dans ce coin du rooftop, ils n’ont aucun public et ça le dérange, juste un peu, moins que son pote ne cesse de renifler comme une gamine qui vient de se faire larguer par son crush. « Je…Je sais pas j’ai pas arrêté de penser à Charlie quand on se parlait, et je sais pas… » Une part de lui souhaite lui rappeler que Charlie ne reviendra jamais, qu’elle n’allait pas le hanter pour avoir osé en sauter une autre ou n’importe quelle connerie qui aurait pu traverser son esprit fatigué, mais Arthur s’abstient. Il se mord la langue alors que Kendall continue à s’apitoyer sur son sort. « C’était trop dur. J’y arrive plus. » - « Okay, j’ai compris, les filles, c’est pas pour maintenant. » Ils peuvent passer à un autre sujet désormais ?
Arthur a bien une idée de ce qui pourrait aider Kendall a faire table rase. Cela commence même à peser lourd au fond de sa poche, mais il n’est pas certain que de proposer quelques lignes à son pote soit l’idée du siècle. « Tu veux qu’on change de club ? » Si Kendall lui propose de tout simplement rentrer, il va sérieusement commencer à mal le prendre. « Je te paie un autre verre si t’arrêtes de chialer. » Bon, la délicatesse n’est toujours pas présente. « Elle est plus là mec, ça changera pas, même si tu vas voir ailleurs. » Il est obligé, au final, de donner ses conseils comme si c’était essentiel. « M’oblige pas à te servir le bullshit du "elle aurait voulu que tu continues à vivre ta vie" ». Il ne connaissait clairement pas Charlie et elle serait une belle connasse si elle en voulait à Kendall de simplement vouloir vivre sa vie. « Aller, on était censé s’éclater, c’est la tradition ! »
take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel