ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : bon du coup elle a largué ruben. mais plot twist, elle est avec ambrose de façon officielle depuis trois jours, et croix de bois-tout ça-tout ça, c’est pas du tout pour que ruben se noie dans sa jalousie MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2555 POINTS : 270
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
"T’as la trouille ?" La voix rauque qui s’échappe de sa gorge, elle est trafiquée exprès pour générer un semblant de terreur chez Ambrose qu’elle surplombe de quelques marches sur l’échelle intégrée à la trappe qui mène au grenier de la propriété des Barnes. A quelques nuances près, ils se croiraient dans un film d’horreur ; la nuit est tombée depuis deux bonnes heures maintenant, le vent souffle doucement dehors, pourtant le silence est de mise dans chaque recoin de la maison tandis que Leon est dans son bureau et Anka dans le sien, laissant libre court au caprice de leur fille qui s’est invitée pour le dîner avec son petit-ami, et ce avec la ferme intention de profiter des combles pour plonger son nez dans des archives qui l’aideront sans nul doute à faire un choix radical pour sa carrière de brillante chirurgienne. Elle a besoin de consulter les notes de son père — celles qui l’intéressent s’étendent sur une quinzaine d’années — lesquelles sont donc bien trop nombreuses pour être entreposées dans son bureau. Ainsi, c’est dans le grenier qu’elles ont terminé, sans pour autant être négligées ; tout y est classé méticuleusement, c’est pour ça qu’elle compte dessus. Elle à un idée globale de ce qu’elle va y dénicher, elle a quand même hâte de s’y plonger, ne serait-ce que parce qu’elle est accompagnée par Ambrose à qui elle offre finalement un rire plus détendu, loin du faux coup de pression qu’elle vient de lui mettre en lui demandant son état d’esprit. Il n’y a pas de quoi avoir peur, c’est un grenier comme un autre. Il y fait sombre, il y fait frais, et c’est poussiéreux. Rien d’exceptionnel en somme, sauf qu’il jouit des dimensions de l’immense maison des Barnes, alors c’est un peu plus impressionnant que le grenier de mamie. Elle est la première à s’y engouffrer pour de bon, pousse un léger gémissement quand elle enjambe les bords de la trappe, et attend qu’Ambrose déploie sa grande silhouette pour lui sourire au-dessus de la lampe torche qu’elle a allumée et qui n’est qu’un accessoire puisque, après quelques pas à peine, elle trouve un interrupteur qui illumine l’ensemble, et rend bien moins effrayante leur expédition "J’espère au moins que tu crains pas la poussière et les acariens." Elle largue la lampe de poche sur un vieux secrétaire qui appartient à sa mère, lui adresse une grimace en passant à ses côtés en espérant échapper à ses griffes si jamais il se sent d’humeur vengeresse, et accélère le pas pour marcher vers un coin plus reculé que les autres, qui deviendrait vite inquiétant s’il n’était pas déjà éclairé par l’orange doux de l’halogène qu’elle vient d’allumer.
Tout est immaculé en vérité ici, dans le grenier des Barnes : chaque chose a sa place. De ce fait, elle ne met pas longtemps à repérer ce qui qui l’intéresse tandis que brièvement, elle s’arrête devant une pile de cartons qui portent le nom de sa soeur jumelle. L’écriture est penchée, appliquée — il y a un petit coeur pour remplacer le point sur les i de la succession de Marion qu’elle voit s’étaler devant ses grands yeux marrons. Elle sait que c’est la sienne, d’écriture, parce que c’est Mavis elle-même qui a vidé sa chambre quand il est devenu évident qu’elle ne reviendrait jamais… c’était il y a tellement longtemps, elle s’interdit d’y penser. Toutefois, elle marque une pause, aussi bien physique que mentale, se souvient brièvement de la discussion qu’ils ont eu avec Ambrose lorsqu’ils sont allés vendre la bague de sa fiancée, et réfléchit un instant : qu’est-ce que ça ferait si elle mettait le nez dans ses vieilleries et qu’elle décidait de se débarrasser de ses trucs, à l’autre ? Elle sursaute, surprise par un bruit provoqué par Ambrose, sans doute, et n’a pas le temps de s’enfoncer plus loin dans ses pensées qu’elle retrouve la terre ferme et lui fait "On va y passer la nuit, tu vas trouver ça barbant." D’être contraint à lire les pattes de mouche du docteur Leon Barnes. Elle est pourtant ravie qu’il se soit porté volontaire pour l’aider un peu à y voir plus clair. Elle se détourne du prénom de sa soeur, lui demande quand même, se tournant dans sa direction avec un semblant de sourire malicieux qui fait plisser ses yeux et saillir ses pommettes "Pas de regrets ?"
- no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care -
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(marose #12) a souvenir that you can keep
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