ÂGE : 27 ans. Né le 7 janvier 1997 à Séoul en Corée. SURNOM : Sun c'est sa mère qui lui a donné ce surnom. STATUT : Célibataire pour son propre bien et surtout le bien de ceux qui pourrait le fréquenter. MÉTIER : Danseur étoile malheureusement en pause. Caissier par nécessité.. LOGEMENT : Chez son cousin Min-Kyung, dans le quartier de Redcliffe. Solution provisoire en attendant de trouver un vrai chez lui.. POSTS : 592 POINTS : 1130
TW IN RP : mal être, traumatisme, agression sexuelle, pensées suicidaires, instabilité mentale.. TW IRL : aucun mais on peut toujours discuter.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : La couleur rouge le rend malade / Cat est son pseudo sur internet / A fait son service militaire / Hygiène de vie stricte / Coulrophobe / Peut devenir colérique / Ne supporte pas de s’endormir dans le noir / N’a parlé à personne de ce qui lui est arrivé à l’armée / Compte à l’envers quand le stress le gagne / Adopte des rituels pour ne pas perdre pied / Tatoué sur sa hanche gauche / Sa plus grande peur ne plus arriver à danser / N’est jamais tombé amoureux / Refuse d’admettre qu’il va mal et qu’il a besoin d’aide.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #000066 RPs EN COURS : ∆ Dark night. ft Min-Kyung
Sung-jin est concentré sur ce qu’il fait. Il n’y a personne dans l'épicerie, alors il met en rayon des boites de conserve. Diverses tailles passent entre ses doigts avant de finir ranger bien droites sur l'étagère, l’étiquette face aux regards des clients. Il y a tout juste une semaine qu’il a pris son poste de caissier, enfin plus homme à tout faire, dans une des petites épiceries du quartier où son cousin vit et où il réside. Il ne voulait pas chercher plus grand, pour éviter de croiser trop de monde. Et puis son CV est plus rempli de nom de ballets et de salles dans lesquels il a dansé, que d'expérience en tant que caissier. Il aurait pu en faire un bidon, mais pas son genre et son but n’est pas de finir sa vie derrière une caisse enregistreuse. Mais de retrouver l’ambiance des salles de danse.
Il y a un peu de chemin à parcourir entre l’appartement de son cousin et la boutique, il met à profit cette distance pour faire de la marche rapide. Tout est bon pour garder en forme son corps et le guider vers la voie qu’il souhaite avec rage reprendre : la danse. Pas question de se ménager ou de laisser s’endormir ses muscles. Même si souvent il détourne les activités pour éviter les refus qui s’accumulent dés qu’il s’essaie à des pas de danse classique. Là tout bloque direct, suspendu au fil de l'horreur, et ça le tue. Qu’importe le rythme qu’il fasse entendre, la danse est devenu son enfer, alors qu’elle a toujours été la base de sa vie. Sung-jin sait que si son corps refuse de danser c’est à cause de son cerveau qui reste en boucle sur ce fichu évènement et sur le fait qu’il l’a gardé pour lui. Mais il n’est pas prêt à dévoiler ce qui le ronge de l’intérieur. C'est intime. Et même s’il n’est pas spécialement pudique parler de cet acte outrageux, revivre la trahison d’un mec qui agitait son coeur, c’est mission impossible pour le danseur. Il me faut encore du temps, neuf mois ce n’est pas suffisant. En attendant Sung-jin déprime et tombe dans un gouffre qui ne fait que le dévorer un peu plus à chaque seconde.
Perdu dans ses pensées. Il sursaute quand la sonnette de la porte résonne. Naturellement il revient derrière la caisse sourire aux lèvres. Puis la sonnette chante une deuxième fois puis une troisième. La dame arrive en premier et pose ses articles sur le petit tapi qui fonctionne une fois sur deux. Sung-jin s’étire pour attraper ceux qui restent bloqués. “Bonjour madame.” Voix enjouée qui ne laisse rien voir du traumatisme qui le hante. Il passe les articles au scanner et donne le montant, entre temps un homme est venu se placer derrière la dame, puis un autre. Il ne connait pas encore tous les visages, pas mal de touristes; à cause de l’aéroport proche, circule dans le quartier. Mais quand le danseur pose ses yeux sur le dernier visage, son coeur accélère .... Un air de déjà vu vient le frapper. Ravivant la plaie des souvenirs. De ce temps qui semble si lointain à présent. La crainte de croiser des personnes qui auraient pu le voir danser, refait surface comme une mauvaise vague. Ces personnes pourraient trouver bizarre de le voir là. Alors qu’avant l’armée sa carrière était du top et que revenir dans cet univers était la promesse qu’il avait faite lors de ses divers aux revoir. Il évite de trop le fixer, peut être que c’est juste une impression. Peut être que le mec ne se souviendra pas de lui. Peut être qu’il laisse trop son esprit divaguer. Faut que j'arrête de me torturer l'esprit, ça va me rendre dingue.
La dame le sort de ses pensées en lui demandant de l’aider à trouver sa monnaie, elle s’embrouille dans les pièces. “Bien sur madame avec plaisir.” Serviable Sung-jin s’emploie à prendre les bonnes pièces et à les lui montrer. Puis l’aide à ranger ses courses dans son sac. C’est au tour du client suivant, qui râle parce que la dame a pris trop de temps. Il ne relève pas, car ce genre de mec c’est le style à embrouilles. Et je ne veux pas des embrouilles. Pas la peine d’ajouter une dose supplémentaire de complication à sa vie. Et ce n’est pas un bagarreur le danseur. Vient enfin le tour de l’homme qui a retenu son regard quelques secondes avec cette sensation étrange de l’avoir croisé. “Bonjour monsieur.” Sung-jin sans même s’en rendre compte garde la tête baissée, évite que leurs yeux ne se rencontrent. Les questions dérangeantes pourraient le bousculer et sa journée n’est pas terminée. Il n’a pas envie de finir la tête dans la cuvette des wc avec une nausée qui lui ferait rendre ses tripes. Et mettrait en péril l’équilibre fragile qu’il construit. Même si tout se détruit très vite quand ses nuits se retrouvent avaler par des images qui le hantent. “C’est tout ce qu’il vous faut.” Son anglais impeccable ne peut divulguer sa récente arrivée. Ses traits, c’est certain, ne trompent pas, mais il n’est pas le seul asiatique à vivre à Brisbane. Et on a tendance à les confondre tous, mélangeant chinois, japonais, coréens. Alors avec un peu de chance même si ce mec m ‘a déjà vu, il ne fera pas le lien. Ou pensera juste que c’est une ressemblance. Qui pourrait croire une telle chose. Le grand danseur classique Jeong Sung-jin dans une superette en caissier. Cela pourrait donner une bonne caméra cachée. Cette idée lui donne envie de rire. Mais il se retient. Reste professionnel et détaché. Il croise juste les doigts de sa main droite discrètement en attrapant sous la caisse un sac en papier pour y déposer les courses. Ube manière d'attirer la chance. Ses yeux se tournent vers la porte, ce serait cool qu’il rentre du monde. Au cas ou l’homme profite du calme pour lui parler. Quoi qu’il me reste des boites de conserve à ranger. Et il compte bien s'échapper pour aller continuer à le faire une fois le montant encaissé. Ne pas laisser le temps à ce client de réagir et de prendre le risque de se retrouver en fâcheuse posture.
« Lorsque je danse je ne peux pas juger, je ne peux pas haïr, je ne peux me séparer de la vie. Je peux seulement être heureux et complet. »
Kipplin Belov
le gardien des rêves
ÂGE : 44 ans (12 - 11 - 1980) Pensez à lui, parce que sinon... SURNOM : Kip (par sa môman d'amour) Little Belovich (Par son Pôpa d'amour et sa famille russe) - QueenB par la plupart de ses amis (le côté drama et diva peut-être.) -Monsieur le juge pour les autres. STATUT : Après plus de 12 ans de vie commune, l'homme de sa vie est parti avec un Français. Certes, tout le monde lui disait qu'il était plus cornu qu'un cerf, mais Kip était réellement amoureux. Il avait fermé les yeux sur 12 ans de tromperies, sur ces 12 années où il avait dû faire des cadeaux de plus en plus coûteux pour garder l'illusion de leur relation intacte. Et puis, il y a moins de 6 mois, l'homme qu'il aimait plus que tout au monde a fait ses valises et a disparu, ne laissant derrière lui que les vestiges d'une vie à deux qui n'avait de signification que pour Kiplin. Traitez-le d'imbécile si vous voulez, mais il sait au fond de lui qu'Andrew l'aimait vraiment. Célibataire qui ne l'assume pas du tout. Comment fait-on pour draguer en 2024 ? MÉTIER : Juge pour enfant et drama queen à temps complet LOGEMENT : edward street - 102 Loft qu'il habite désormais seul avec le fantôme de sa vie conjugale et son labrador Miss Pacman. POSTS : 199 POINTS : 730
TW IN RP : Tout ce qui peux toucher les enfants par le prisme de son métier & Lutte LGBT+ et tout ce que cela peut provoquer comme réaction négatives. TW IRL : Parlons en. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Sa chienne Miss Pacman est une jeune femelle qu'il a récupéré d'un des jeunes qu'il a tenté d'aider mais qui est malheureusement mort sous les coups de sa famille. + Il ne connait pas son père biologique mais considère son père adoptif comme son véritable et unique père + Il parle le russe courament, surtout les insultes + il va à l'église une fois par an pour faire plaisir à sa mère + Il est fils unique et ADORE être le centre de l'attention + il est allergique aux fruits de merDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
If I was you, I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I live for the applause, applause, applause.I live for the applause-plause, Live for the applause-plause.Live for the way cheer and scream for me.The applause, applause, applause.
"Ma dernière pensée, mon ami, sera pour toi, pour toi qui m'appelais du port tantôt, et que je n'ai pas voulu rejoindre parce qu'il fallait que je claquasse" Rimbaud pour Verlaine Gideon#1
OUI JE VAIS METTRE DES JOLIES GIF POUR TOUT LE MONDE RPs EN ATTENTE : Ciel ✧ RPs TERMINÉS : Izan#1 + Andy#1 +Yasmin#1 +Jeong#1AVATAR : Matt Bomer CRÉDITS : Izan (avatar) DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson) INSCRIT LE : 24/08/2024
La journée avait été interminable, épuisante, une succession de tensions et de contrariétés. Kipp avait l’impression de porter tout le poids du monde sur ses épaules, comme si chaque problème et chaque obstacle s’amoncelaient les uns sur les autres, écrasant lentement sa résistance. Il y avait parfois des dossiers qui l’irritaient profondément, qui faisaient bouillir son sang dans ses veines et qui réveillaient en lui des instincts destructeurs, l’envie brûlante de tout réduire en cendres. Celui-ci en faisait indéniablement partie. Son regard s’était assombri, ses mâchoires serrées trahissaient la colère grondante en lui, une tempête prête à éclater à la moindre provocation. La fatigue amplifiait son mal-être. Kipp souffrait d’un cruel manque de sommeil, ses paupières lourdes peinaient à rester ouvertes, clignotant mécaniquement dans un effort vain pour chasser l’épuisement. Chaque minute éveillée ajoutait un poids supplémentaire sur ses épaules déjà voûtées, pliant son dos comme une branche surchargée. Un mal de crâne sourd et persistant martelait ses tempes, envoyant des vagues de douleur jusque derrière ses yeux, rendant chaque pensée douloureuse. La tension parcourait son corps comme un fil de fer tendu à l’extrême, menaçant de rompre à chaque instant. Ses muscles, crispés comme de l’acier, réagissaient au moindre mouvement, et la moindre goutte de lumière, comme celle des néons au-dessus de lui, semblait poignarder ses pupilles. Il inspira profondément, tentant de puiser dans un dernier souffle de patience pour ne pas céder à la rage qui bouillonnait sous la surface. Les néons agressifs de la supérette n’aidaient en rien à calmer ses nerfs. Leur lueur blafarde baignait le magasin dans une lumière artificielle, froide, qui accentuait encore plus son malaise. Kipp se glissait entre les étagères, ramassant machinalement des articles sans vraiment y prêter attention. Mais il savait que ce n’étaient pas ses habituelles nouilles instantanées qui allaient apaiser l’amertume qui l’habitait. Depuis le départ de son ex, il avait lentement glissé dans un laisser-aller auquel il s’accrochait comme à une habitude. Personne n’osait lui en faire la remarque, d'ailleurs. Ceux qui tentaient de l’aborder se heurtaient à un mur de froideur et de réponses sèches, aussitôt repoussés. Dehors, MissPacman l’attendait patiemment. Le museau de la chienne passait parfois par les portes automatiques, ses grandes oreilles dressées à l’affût. Sa fourrure sable, légèrement ébouriffée, tranchait avec la grisaille ambiante dans l’esprit de Kipp. Lorsqu’elle apercevait son maître, ses yeux brillaient d’un éclat de joie simple. Kipp, en la voyant, sentait une infime partie de son visage se détendre. Ses lèvres, d’habitude si fermement pincées, s’étiraient en un sourire discret, presque involontaire. Elle était sa seule lueur dans ce quotidien morose, et il se laissait envahir par une douce chaleur chaque fois que son regard bleu se posait sur elle.
Arrivé à la caisse, une personne âgée paye, et sa lenteur termine d’épuiser la patience de Kipp. Ce n’était pas son genre, il n’aimait pas celui qu’il était à ce moment précis. Mais il tirait sur la corde et il sentait que la corde, elle n’était pas loin de la rupture. Sans le vouloir, il laissa sortir son agacement, sourcils fronça, trépignements, soupir. Et ce fut son tour. Enfin, il déposa ses quelques achats sur le tapis, quand son regard bleu se perdit l’espace d’un instant sur le caissier. Petit froncement de sourcils. Où l’avait-il vu ? Parce qu'il en était certain, il le connaissait. Un amant de son ex ? Hum… Il pencha la tête sur le côté. Non. “Bonjour monsieur. C’est tout ce qu’il vous faut.” Le juge avança et sortit son portefeuille, sans quitter des yeux le jeune homme. “Bonjour.” Il sortit une liasse de billet qu’il lui tendit. “Vous n'auriez pas couché avec mon petit ami ?” Ex kipp…. Il t’avait quitté, tu te souviens ? “Fin..Mon ex.”
Who's that sexy thing I see over there? That's me, standin' in the mirror. What's that icy thing hanging 'round my neck? Um, that's gold, show me some respect, oh+ aeairiel.
Jeong Sung-jin
ÂGE : 27 ans. Né le 7 janvier 1997 à Séoul en Corée. SURNOM : Sun c'est sa mère qui lui a donné ce surnom. STATUT : Célibataire pour son propre bien et surtout le bien de ceux qui pourrait le fréquenter. MÉTIER : Danseur étoile malheureusement en pause. Caissier par nécessité.. LOGEMENT : Chez son cousin Min-Kyung, dans le quartier de Redcliffe. Solution provisoire en attendant de trouver un vrai chez lui.. POSTS : 592 POINTS : 1130
TW IN RP : mal être, traumatisme, agression sexuelle, pensées suicidaires, instabilité mentale.. TW IRL : aucun mais on peut toujours discuter.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : La couleur rouge le rend malade / Cat est son pseudo sur internet / A fait son service militaire / Hygiène de vie stricte / Coulrophobe / Peut devenir colérique / Ne supporte pas de s’endormir dans le noir / N’a parlé à personne de ce qui lui est arrivé à l’armée / Compte à l’envers quand le stress le gagne / Adopte des rituels pour ne pas perdre pied / Tatoué sur sa hanche gauche / Sa plus grande peur ne plus arriver à danser / N’est jamais tombé amoureux / Refuse d’admettre qu’il va mal et qu’il a besoin d’aide.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #000066 RPs EN COURS : ∆ Dark night. ft Min-Kyung
Trouver ses marques. Prendre ses habitudes. Sung-jin s’applique à la tâche. Rester poli et serviable. Il l’a toujours été, même si les circonstances sont différentes. Garder un objectif en tête, ne pas se laisser déborder par son passé. Mettre en sourdine tous ses ressentis, surtout ceux qui pourrissent sa vie. N’être que le pâle reflet de l’être qui en 2022 brillait sous les feux de la rampe. Je suis juste un caissier. Même si le danseur dort au fond de ses entrailles. Que Sung-jin a envie de le brusquer à chaque occasion donnée, mais voilà son corps refuse cette éventualité. Le bloquant dans un sorte d’espace temps ou plus rien n’est en accord avec l’homme qu’il est ou qu’il a été. Alors il évite les vagues, fait son boulot et le reste. Et le reste … Reste planqué. Pour ma propre survie. Pour arriver avancer. Se disant que demain … Peut être tout ira mieux. Tout ira bien. Qu’il ira bien. Mensonge. Utopie. Illusion. Mais là Sung-jin vit la seconde présente, celle d’après se construit doucement quand vient le client suivant. Puis un autre. Et cet autre. A un regard qui le perturbe. Un souvenir à la fois si prêt et si loin.
La gloire passé. Des aux revoir déchirant à la scène le temps de son service militaire.18 mois une éternité. Une promesse faite et refaite à chacune de ses dernières représentations. Celle de remonter sur scène après. D’enflammer encore les parquets de bois des opéras du monde, de ses arabesques, de ses sauts. Et pourtant plus rien. Juste le silence. Et bruit d’un scanner de caisse.
Et les battements de son coeur. Tout contre ses tempes, dans le creux de sa gorge, sous sa peau comme un influx nerveux. Car le mec met en branle dans son cerveau le souvenir d’une de ses dernières soirées de 2022 … Avant …. Le naufrage, l'irréparable. Ne pas penser. Rester concentrer. Encaisser et passer au suivant. Mais il n’y a pas de suivant et ça ouvre une brèche et l’autre s’y engouffre. Et le coeur du danseur sur la note d’une question .. SURPRENANTE s’arrête. Il lève les yeux alors que les courses ont toutes trouvées leur place dans le sac en papier. Que l’homme est prêt à payer. Pitié qu’un client rentrant. “ Pardon !!!! ”
Tu me prends pour qui ? Pensée rageuse qui kidnappe son cerveau. Je n’ose même pas croiser le regard de l’homme. Pas à cause de ce qu’il vient de dire, car il n'est pas ce genre de mec à piquer l'homme ou la femme d'un autre. Mais surtout parce que le souvenir de leur rencontre devient moins vague. Foutu cerveau de merde qui force les images. Gloire intense ce soir là et rencontre tout sourire avec des VIP … Notamment ce monsieur : Belov Kipplin. Et il n’était pas seul. “ Je ne vous permets pas de dire de telle chose à mon sujet.” Le ton reste calme. Alors que son coeur frappe plus fort. Ses yeux se lèvent. L’horizon noir de mes pupilles cognent la surface bleu des siennes. Océan tempête en approche.
Le champagne, même s’il en a pas bu, coulait à flot ce soir là. Les petits fours étaient délicats et délicieux, même si peu ont franchi ses lèvres. Il a serré des mains Sung-jin, reçu des fleurs et des compliments ce soir là. Des mots de soutien pour son service militaire, des idées de projets pour la suite de sa carrière, une fois que cette tâche aurait été faite. Il se souvient très bien d'un coup. Le flou s'efface et la netteté lui donnerait presque la nausée. Le bonheur parait son visage d'une force qui maintenant s'est barrée.
Et aujourd'hui rien. Plus rien ... Le vide …. Le mal être entrave sa gorge. Enlace sa poitrine. Et ça fait mal, horriblement mal. “ Les hommes ce n’est pas mon truc. Et je ne vois pas comment je pourrais connaitre votre petit ami, je ne vous connais même pas. ” Sa voix déraille sur une mélodie que le danseur a du mal à maintenir stable. Intérieurement tout s'effondre. L’autre va penser que je me fous de sa gueule. Ce qui est totalement faux, c’est juste tout son corps qui se la joue replie. Sung-jin se protège. Car il sait que si monsieur Belov tilte qui il est vraiment tout risque de partir en vrille. Alors autant montrer la facette mec qui trouve déplacé la question que celle du danseur qui a perdu toute la force de danser. Sung-jin redonne le montant de la note enfin que Kipplin paie et parte le plus rapidement possible, pas envie de s'attarder. Et toujours pas de client qui entre. A croire que le destin se joue de moi ou veut jouer avec moi. “ Est ce que vous pouvez régler s’il vous plait ? J’ai du travail. ” Pas celui qui lui apporte la gloire, mais celui qui lui permet d'occuper ses journées et de maintenir ses pensées sombres loin de la surface de son âme torturée.
« Lorsque je danse je ne peux pas juger, je ne peux pas haïr, je ne peux me séparer de la vie. Je peux seulement être heureux et complet. »
Kipplin Belov
le gardien des rêves
ÂGE : 44 ans (12 - 11 - 1980) Pensez à lui, parce que sinon... SURNOM : Kip (par sa môman d'amour) Little Belovich (Par son Pôpa d'amour et sa famille russe) - QueenB par la plupart de ses amis (le côté drama et diva peut-être.) -Monsieur le juge pour les autres. STATUT : Après plus de 12 ans de vie commune, l'homme de sa vie est parti avec un Français. Certes, tout le monde lui disait qu'il était plus cornu qu'un cerf, mais Kip était réellement amoureux. Il avait fermé les yeux sur 12 ans de tromperies, sur ces 12 années où il avait dû faire des cadeaux de plus en plus coûteux pour garder l'illusion de leur relation intacte. Et puis, il y a moins de 6 mois, l'homme qu'il aimait plus que tout au monde a fait ses valises et a disparu, ne laissant derrière lui que les vestiges d'une vie à deux qui n'avait de signification que pour Kiplin. Traitez-le d'imbécile si vous voulez, mais il sait au fond de lui qu'Andrew l'aimait vraiment. Célibataire qui ne l'assume pas du tout. Comment fait-on pour draguer en 2024 ? MÉTIER : Juge pour enfant et drama queen à temps complet LOGEMENT : edward street - 102 Loft qu'il habite désormais seul avec le fantôme de sa vie conjugale et son labrador Miss Pacman. POSTS : 199 POINTS : 730
TW IN RP : Tout ce qui peux toucher les enfants par le prisme de son métier & Lutte LGBT+ et tout ce que cela peut provoquer comme réaction négatives. TW IRL : Parlons en. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Sa chienne Miss Pacman est une jeune femelle qu'il a récupéré d'un des jeunes qu'il a tenté d'aider mais qui est malheureusement mort sous les coups de sa famille. + Il ne connait pas son père biologique mais considère son père adoptif comme son véritable et unique père + Il parle le russe courament, surtout les insultes + il va à l'église une fois par an pour faire plaisir à sa mère + Il est fils unique et ADORE être le centre de l'attention + il est allergique aux fruits de merDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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"Ma dernière pensée, mon ami, sera pour toi, pour toi qui m'appelais du port tantôt, et que je n'ai pas voulu rejoindre parce qu'il fallait que je claquasse" Rimbaud pour Verlaine Gideon#1
OUI JE VAIS METTRE DES JOLIES GIF POUR TOUT LE MONDE RPs EN ATTENTE : Ciel ✧ RPs TERMINÉS : Izan#1 + Andy#1 +Yasmin#1 +Jeong#1AVATAR : Matt Bomer CRÉDITS : Izan (avatar) DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson) INSCRIT LE : 24/08/2024
Kipplin leva un sourcil. Il pouvait être adorable, quand il le voulait. Mais il pouvait aussi être une vraie peste, et aujourd’hui ne faisait clairement pas partie de ses bons jours. Le poids de son mal de tête pulsait à chaque battement de son cœur, comme si du verre pilé râpait l’intérieur de son crâne. Ses pensées n’étaient qu’un chaos de reproches, de colère rentrée, et de fatigue. Tout ça — sa situation de couple, sa journée merdique, ses nerfs à vif — ne l’aidait pas à se montrer sympathique. En réalité, il n’était plus qu’une bombe prête à exploser à la moindre étincelle. Le sang tambourinait entre ses tempes, avec une insistance brutale, comme un marteau frappant sans relâche. Ses yeux brûlaient sous la lumière crue du plafonnier, trop blanche, trop tranchante, comme une lame enfoncée dans ses orbites. Chaque clignement d’œil était une torture, et il sentit poindre en lui une impulsion absurde, désespérée : s’arracher les yeux, juste pour que la douleur cesse. Une migraine de cette ampleur, il n’en avait pas eue depuis des mois. Et celle-là refusait de le lâcher, s’enroulant autour de son crâne comme un étau implacable. Sans un mot, il fit glisser les billets vers le jeune homme derrière le comptoir. Ses gestes étaient lents, mécaniques, comme ceux d’une marionnette fatiguée dont les fils se relâchaient peu à peu. Il porta une main tremblante à ses tempes et les massa, pressant ses doigts contre sa peau dans l’espoir d’atténuer, ne serait-ce qu’un peu, le martèlement douloureux. Il le savait : il devait se calmer. Il fallait qu’il arrête d’exploser sur les autres. Ce n’était pas leur faute. Ce qu’il se passait dans sa vie n’avait rien à voir avec eux. C’était son problème. Son échec. Rien que le sien. La voix du caissier brisa le silence, agacée, rauque, mais retenue. « Je ne vous permets pas de dire de telles choses à mon sujet. »
Kipplin cligna des yeux, pris de court par ce ton sec et tranchant. Une vague de regret l’envahit immédiatement. Il savait qu’il se comportait comme le dernier des connards. Et ce n’était pas une nouveauté. Il baissa les yeux, fixant les mains du jeune homme qui lui tendait la monnaie avec une raideur visible. Même à travers la douleur, Kipplin avait encore assez de recul pour comprendre qu’il fallait désamorcer la situation avant qu’elle ne dégénère. Il leva une main en signe de reddition, paume ouverte, sans rouvrir complètement les yeux. « Pardon... J’ai été… Pardon. » Les mots lui brûlaient la gorge, pesaient dans sa bouche, mais il ne savait pas quoi dire d’autre. Son visage se tordit brièvement dans une grimace de douleur alors qu’il pinçait l’arête de son nez entre deux doigts, essayant d’apaiser à la fois la migraine et la culpabilité qui menaçait de l’engloutir. Tout en lui criait qu’il devait rentrer chez lui et s’écrouler, mais il savait que ses excuses ne suffiraient pas. Pas aujourd’hui. Peut-être jamais. Un léger voile de confusion traversa soudain son esprit, comme si quelque chose lui échappait. À travers la douleur, des souvenirs flous remontèrent lentement à la surface. Il se rendit compte que le caissier n’était pas celui qu’il avait cru. Ce n’était pas l’amant de son ex. Non. Il connaissait ce visage, mais d’une autre époque. D’une autre vie. Malgré la douleur lancinante qui lui vrillait le crâne, il fit l’effort de relever les yeux et de soutenir le regard du jeune homme. Ses yeux brouillés par la lumière trop vive se plissèrent légèrement. Il inclina la tête sur le côté, une expression involontairement adorable étirant ses traits fatigués, bien que ce n’était pas du tout son intention. Un souvenir s’imposa à lui, flou mais persistant. Il connaissait ce type. Un danseur étoile. Un jeune prodige dont on disait qu’il était promis à une carrière brillante. Et maintenant, il était là, en face de lui, à lui rendre la monnaie derrière la caisse d’une supérette à Brisbane. Kipplin fronça les sourcils, la douleur toujours au bord de l’éclater, mais une curiosité étrange remuait doucement sous le poids de son mal de tête.
Le jeune homme le fixa, ses yeux se durcissant légèrement. « Les hommes, ce n’est pas mon truc. » Il ajouta, presque sur la défensive : « Et je ne vois pas comment je pourrais connaître votre petit ami. Je ne vous connais même pas. » Kipplin haussa un sourcil, saisi par le ton trop tranchant, trop brusque. Il avait assez d’expérience, à la fois en tant qu’homme et juge pour enfants, pour reconnaître ce genre de réponse. Quand quelqu’un se défendait avec autant d’acharnement, c’était souvent pour se convaincre lui-même. Il eut un sourire fatigué, sans malice. « Ce n’est pas vous, en effet. » Un soupir lui échappa. « Mais je me souviens que je ne vous ai jamais payé ce verre que je vous avais promis. » On aurait pu croire qu’il lui faisait du rentre-dedans, mais ce n’était pas le cas. Il était bien trop mal pour ça.
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Jeong Sung-jin
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TW IN RP : mal être, traumatisme, agression sexuelle, pensées suicidaires, instabilité mentale.. TW IRL : aucun mais on peut toujours discuter.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : La couleur rouge le rend malade / Cat est son pseudo sur internet / A fait son service militaire / Hygiène de vie stricte / Coulrophobe / Peut devenir colérique / Ne supporte pas de s’endormir dans le noir / N’a parlé à personne de ce qui lui est arrivé à l’armée / Compte à l’envers quand le stress le gagne / Adopte des rituels pour ne pas perdre pied / Tatoué sur sa hanche gauche / Sa plus grande peur ne plus arriver à danser / N’est jamais tombé amoureux / Refuse d’admettre qu’il va mal et qu’il a besoin d’aide.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #000066 RPs EN COURS : ∆ Dark night. ft Min-Kyung
Rester dans le rôle du caissier poli et bien élevé. Ne pas se laisser emporter par les mots prononcés. Et la colère ressentie face à cette situation qui dans une autre dimension semblerait certainement drôle. Rester dans cette tragédie qui vire en comédie ou bien l'inverse, que Sung-jin s’impose depuis qu’il a été libéré de son service militaire. Pour ne pas voir surgir les douloureux souvenirs. Pour ne pas voir s’agrandir le trou des regrets causé par le fait de ne plus arriver à danser. Pour ne pas tomber plus bas qu’il n’est déjà. Si j’avais pu reprendre ma carrière directement après mon service militaire. Je ne serais pas là. Je n’en serait pas là. Avec des si on refait le monde Jeong Sung-jin. Il serait sur une scène à auditionner, à répéter, à interpréter. Il serait sous les lumières incandescentes de la gloire. De sa gloire. Celle qu’il a durement gagné. Celle qu’il a mérité à force de persévérer. Mais voilà .. Le destin lui a joué un sale tour. Non un con lui a tendu un sale piège. Et il a fait grillé ses neurones. En lui imposant …
Non ne pas penser à ces gestes déplacés ... Vulgaires .... Dégueulasses quand ils sont forcés. Ne pas penser, juste encaisser sous des lumières tremblantes des néons vacillants, ce client anonyme. Ce client qui se doit de rester anonyme. Tout en sachant qu’il ne l’est pas pour moi. Ce client qui devrait prendre ses courses et se tirer sans faire de vagues, d’ailleurs il ne semble pas dans son assiette. Triste constat que fait Sung-jin quand son regard vient percuter le visage crispé. le geste sur son nez. Je pourrais lui demander si tout va bien. Mauvaise idée. Alors il s’abstient. Il a déjà assez à faire en restant de marbre face aux paroles prononcées. Assez à faire pour ne pas exploser d’abord sous les accusations qui le mettent mal à l’aise. Parce que oui les hommes l’attirent. Bon le mec de Kipplin Belov ne l’a pas spécialement marqué. Bizarre en soit comme c’est plus les traits de celui qui me fait face qui se soit imprimé dans mon cerveau. A croire que déjà l’existence savait. Que cette situation se présenterait. Quelle connerie.
Et Kipplin finit par s’excuser. “ C’est bon il n’y a pas mort d’homme mais j’ai du boulot. ” Il insiste sur le mot boulot. La tension du côté de Sung-jin descend d’un cran. Mais elle revient rapidement, il ne supporte pas d’être accusé à tord de ce genre de méfait. Même si au fond cette attirance je l’éprouve. Je la nie simplement. Le renie. La broie dans un regard sombre et une voix qui se veut malgré luii sur la défensive. Me calmer pour ne pas me faire chopper. Parce qu’une approche trop insistante pourrait finir par prouver le contraire. Mais sur le coup il n’y pense pas, il veut juste que Belov se tire. Et la supercherie semble marcher. Enfin c’est ce que le danseur pense. Pas qu’il soit naïf juste trop embourbé dans cet écart qu’il met avec le monde et surtout avec la vérité. Que parfois elle s’affiche en lettre capitale sur sa tronche comme les lettres lumineuses d’un artiste sur la devanture d’une salle de spectacle. “ Je vous l’avez dit que ce n’était pas moi. ” Sung-jin ne devrait pas insister. Mais Sung-jin est un entêté parfois. Il devrait juste rendre sa monnaie, finir d’emballer les courses qui s’éternisent sur le tapi roulant et puis passer à la personne suivante. Manque de bol, personne après Kipplin. Qui profite de l’occasion pour revenir … A la charge. Plus par rapport à son ex. Mais par rapport à un verre qu’il aurait du payer au danseur.
Il s’en était dite des choses ce soir là après le spectacle. Il s’en dit toujours trop dans ces moments là. Des compliments, des remerciements, tournent à gogo comme des petites serviettes que l'on fait danser entre les mains sur un air entrainant. On parle de futurs projets. Le danseur en avait à ce moment là, même si l’armée allait les stopper, il pensait pouvoir reprendre sa carrière après comme si les 18 mois n’avaient pas existé. Ou si peu dans sa vie. Et pourtant il est planté là derrière une caisse de superette, ne voulant pas que ce moment remonte d'avantage à la surface.
Nouveau choc frontal, mental et émotionnel. Putain mais tire toi et oublie moi. Passe à autre chose. Va dormir. C’est ce que voudrait pouvoir crier Sung-jin, même si c’est à mille lieu de son éducation ce genre de phrase. Et qu’il se gifle mentalement d’y songer. “ J’ai du travail je vous ai dis. " Ce qui est vrai en soit. Pas le meilleur job du monde, pas celui qui le fait vibrer mais un job quand même qu'il doit faire s'il ne veut pas finir à la porte. " Et vous devez vraiment me confondre avec un autre monsieur. ” Sa phrase est écrasé dans une voix polie qui se retient difficilement d'exploser à la gueule de Kipplin ... Comme une bouteille de soda qu'on aurait trop secoué. Attention terrain glissant crie les traits de son visage. Danger imminent hurler ses pupilles sombres. " Il doit y avoir d’autres asiatiques à Brisbane nous confondre c’est affaire d’occidentaux. On finit par ne plus y faire gaffe." Et Kipplin n'échappe pas à la règle. Je sais que c'est connerie mais j'ai rien de mieux en boutique sur le coup. Prendre le mec pour un con pas sur que se soit la meilleure idée du monde, surtout que le danseur avait aimé ce soir là parler avec lui de danse et de diverses autres choses. Mais là il a juste besoin d'une échappatoire et tant pis si celle qu'il prend lui retombe sur la tronche plus tard.
« Lorsque je danse je ne peux pas juger, je ne peux pas haïr, je ne peux me séparer de la vie. Je peux seulement être heureux et complet. »
Kipplin Belov
le gardien des rêves
ÂGE : 44 ans (12 - 11 - 1980) Pensez à lui, parce que sinon... SURNOM : Kip (par sa môman d'amour) Little Belovich (Par son Pôpa d'amour et sa famille russe) - QueenB par la plupart de ses amis (le côté drama et diva peut-être.) -Monsieur le juge pour les autres. STATUT : Après plus de 12 ans de vie commune, l'homme de sa vie est parti avec un Français. Certes, tout le monde lui disait qu'il était plus cornu qu'un cerf, mais Kip était réellement amoureux. Il avait fermé les yeux sur 12 ans de tromperies, sur ces 12 années où il avait dû faire des cadeaux de plus en plus coûteux pour garder l'illusion de leur relation intacte. Et puis, il y a moins de 6 mois, l'homme qu'il aimait plus que tout au monde a fait ses valises et a disparu, ne laissant derrière lui que les vestiges d'une vie à deux qui n'avait de signification que pour Kiplin. Traitez-le d'imbécile si vous voulez, mais il sait au fond de lui qu'Andrew l'aimait vraiment. Célibataire qui ne l'assume pas du tout. Comment fait-on pour draguer en 2024 ? MÉTIER : Juge pour enfant et drama queen à temps complet LOGEMENT : edward street - 102 Loft qu'il habite désormais seul avec le fantôme de sa vie conjugale et son labrador Miss Pacman. POSTS : 199 POINTS : 730
TW IN RP : Tout ce qui peux toucher les enfants par le prisme de son métier & Lutte LGBT+ et tout ce que cela peut provoquer comme réaction négatives. TW IRL : Parlons en. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Sa chienne Miss Pacman est une jeune femelle qu'il a récupéré d'un des jeunes qu'il a tenté d'aider mais qui est malheureusement mort sous les coups de sa famille. + Il ne connait pas son père biologique mais considère son père adoptif comme son véritable et unique père + Il parle le russe courament, surtout les insultes + il va à l'église une fois par an pour faire plaisir à sa mère + Il est fils unique et ADORE être le centre de l'attention + il est allergique aux fruits de merDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
If I was you, I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I'd wanna be me too
I live for the applause, applause, applause.I live for the applause-plause, Live for the applause-plause.Live for the way cheer and scream for me.The applause, applause, applause.
"Ma dernière pensée, mon ami, sera pour toi, pour toi qui m'appelais du port tantôt, et que je n'ai pas voulu rejoindre parce qu'il fallait que je claquasse" Rimbaud pour Verlaine Gideon#1
OUI JE VAIS METTRE DES JOLIES GIF POUR TOUT LE MONDE RPs EN ATTENTE : Ciel ✧ RPs TERMINÉS : Izan#1 + Andy#1 +Yasmin#1 +Jeong#1AVATAR : Matt Bomer CRÉDITS : Izan (avatar) DC : Jayden Holmes (Aaron Taylor Johnson) INSCRIT LE : 24/08/2024
Kipplin se doutait bien qu'il y avait une raison importante, voire traumatisante, qui expliquait pourquoi l'un des meilleurs danseurs étoiles de sa génération se retrouvait à rendre la monnaie dans une supérette à Brisbane. Le contraste entre la grâce qu'il avait autrefois vue sur scène et la banalité de cette scène quotidienne était presque trop saisissant. Mais Kipplin n'était pas du genre à gratter là où ça faisait mal, surtout quand il voyait une douleur encore fraîche dans les yeux de l'autre. Il était beaucoup de choses, Kipplin. Un homme méthodique, perspicace, toujours attentif aux moindres détails, que ce soit dans la salle d'audience ou dans sa vie personnelle. Mais il n'était pas mauvais. Pas dans sa vie privée, tout du moins. Il avait ses principes, et parmi eux, celui de ne jamais forcer quelqu’un à revivre ses blessures si ce n’était pas absolument nécessaire.
Pourtant, dans son rôle de juge, il lui arrivait parfois d'adopter une autre approche. Il lui fallait, à l’occasion, prêcher le faux pour connaître le vrai. La vérité était souvent bien dissimulée sous des couches de mensonges, de demi-vérités ou de silences. Dans la salle d'audience, il n'hésitait pas à pousser les limites, à poser des questions inconfortables pour obtenir la justice. Mais ici, au comptoir de cette supérette, alors que le danseur lui tendait ses quelques billets avec un sourire fatigué, ce n’était ni le lieu ni le moment de raviver d'anciennes plaies.
Kipplin observa discrètement le jeune homme. Son corps, autrefois si sculpté par des années d'entraînement rigoureux, semblait légèrement voûté, comme si le poids des événements l'avait courbé. Ses mains, qui avaient autrefois tracé des lignes aériennes dans l’espace, se mouvaient désormais avec une lenteur pragmatique, pliant des billets et rendant la monnaie sans l’ombre d’une grâce passée. Il y avait quelque chose de profondément triste dans cette déchéance silencieuse. Le genre de tristesse que Kipplin, malgré son rôle professionnel, trouvait difficile à ignorer. Il se souvenait d’avoir vu ce danseur dans des représentations qui laissaient la salle entière sans voix. Comment pouvait-il en être arrivé là ?
Il pencha la tête, faisant bouger le sang dans son crâne, ce qui accentua son mal de tête. Il siffla de douleur en fermant les yeux. Bordel. Il allait devoir consulter pour ça. "Il doit y avoir d’autres Asiatiques à Brisbane, nous confondre c’est une affaire d'Occidentaux. On finit par ne plus y faire attention." Le jeune homme rit de sa propre remarque. Kipplin haussa un sourcil. « Vraiment ? Vous utilisez la carte du racisme pour me botter en touche ? » Il glissa ses achats sous son bras pour être plus à l’aise. « Écoutez, je ne confonds pas les Asiatiques. Mais soit. Je ne vais pas vous forcer à quoi que ce soit. Parce que cela ne serait confortable ni pour vous ni pour moi. Et que forcer n’est pas dans mes habitudes. » Il glissa sa monnaie dans sa poche. « Je voulais juste être aimable, parce que je me suis dit que peut-être vous n’aviez pas de réelles connaissances en Australie et je sais que parfois, loin des siens, on se sent mal. » Il avait quitté le pays d'Oz tôt, lui, pour aller étudier sur la perfide Albion. « Mais soit. » Il n’allait pas l’attraper par le bras et l’obliger à le suivre. Et tout gentil qu’il était, il n’allait pas non plus se laisser insulter de raciste.
Who's that sexy thing I see over there? That's me, standin' in the mirror. What's that icy thing hanging 'round my neck? Um, that's gold, show me some respect, oh+ aeairiel.
Jeong Sung-jin
ÂGE : 27 ans. Né le 7 janvier 1997 à Séoul en Corée. SURNOM : Sun c'est sa mère qui lui a donné ce surnom. STATUT : Célibataire pour son propre bien et surtout le bien de ceux qui pourrait le fréquenter. MÉTIER : Danseur étoile malheureusement en pause. Caissier par nécessité.. LOGEMENT : Chez son cousin Min-Kyung, dans le quartier de Redcliffe. Solution provisoire en attendant de trouver un vrai chez lui.. POSTS : 592 POINTS : 1130
TW IN RP : mal être, traumatisme, agression sexuelle, pensées suicidaires, instabilité mentale.. TW IRL : aucun mais on peut toujours discuter.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : La couleur rouge le rend malade / Cat est son pseudo sur internet / A fait son service militaire / Hygiène de vie stricte / Coulrophobe / Peut devenir colérique / Ne supporte pas de s’endormir dans le noir / N’a parlé à personne de ce qui lui est arrivé à l’armée / Compte à l’envers quand le stress le gagne / Adopte des rituels pour ne pas perdre pied / Tatoué sur sa hanche gauche / Sa plus grande peur ne plus arriver à danser / N’est jamais tombé amoureux / Refuse d’admettre qu’il va mal et qu’il a besoin d’aide.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #000066 RPs EN COURS : ∆ Dark night. ft Min-Kyung
Intérieurement tout flanche. Intérieurement tout s’écroule. Raz de marée, tsunami, tremblement de terre, tout semble se réunir dans les entrailles de Sung-jin. Il aimerait pouvoir fuir... Non disparaitre. Partir en fumée et ne plus faire face au regard de monsieur Belov. Car il a bien saisi que l’homme l’a reconnu, que ses mots, même tranchants ne changeront rien à cette vérité qui frappe comme un coup de poing en pleine gueule. Sous sa peau des failles se creusent avec la puissance d’une vague qui ravage tout sous son passage. Sur sa peau les frissons de l’horreur heurtent tout ce qui a fait sa grandeur. Je me maudit, je me déteste. Car les phrases que répond le danseur ne sont qu’un mécanisme d'auto défense. Il ne veut pas étaler toute sa souffrance à cette seconde, dans ce lieu si loin de celui où il aimerait se trouver. Il ne veut pas se montrer plus détruit que ce qu’il est. Et pourtant c’est la vision qu’il offre. Celle d’un homme au bord de son point de rupture. Alors il enfonce le clou, et tant pis si c’est lui qui prend le plus grand coup. Tant pis si cet outrage qu’il balance lui revient en pleine poire et froisse Kipplin Belov. Mauvais idée et Sung-jin le sait. Mais c’est juste pour le tenir à distance, loin d’une vérité qui serait plus dure à entendre, plus rude à prononcer. Le danseur étoile détrôné pour une simple histoire de gestes sexuels forcés. Effacer le réel mot de l’acte. Pour ne pas sombrer d’avantage dans le chaos. Je ne fais que me voiler la face. Je ne fais qu’ignorer tous les signes d’une chute qui finira par arriver. Et l’attaque qui ouvre la porte sur de fausses pensées au sujet de Kipplin lui revient direct sur la tronche. Le danseur ravale sa salive avec difficulté sous l’impact des mots prononcés en retour. Je l’ai bien cherché.
Et Sung-jin baisse les yeux, se sent encore plus mal intérieurement. Il n’a pas oublié la gentillesse de cet homme, ni les compliments dont il l’avait gratifié. Mais il ne voit pas d’autre moyen de se sortir de cette situation dans laquelle il s’embourbe en jouant une carte dont lui même à horreur. Pauvre con que je suis. Désolé, pardon, mais je ne voyais pas d’autre façon de couper court à cette discussion. D’un coup un frisson froid glisse sur son échine. D’un coup le malaise se fait plus grand. Respirations et battements de coeur oscillent sur une ligne qui joue avec les hauts et les bas. Sung-jin sent ses jambes devenir molles. Pire que deux boules de coton. Il résiste à l’appel du vide qui s’ouvre sous ses pieds. Serre de toutes ses forces ses muscles qu’il n’a pas cessé d’entrainer, même si son corps ne veut plus danser. Sa main se crispe sur le bord du meuble, ses doigts en deviennent blancs. Comme si son sang s’était retiré. Oui il se sent mal, ici en Australie, comme il se sentait mal en Corée, comme il se sentirait mal dans n’importe quel coin de la terre. Lui l’habitué à courir le monde …. Mais ça c’était avant. Avant que son monde s’écroule. Et qu'il n'en reste plus rien.
Et Sung-jin relève les yeux. La honte dessinée en filigrane sur son visage. La douleur écrite de toute sa puissance dans son regard d’un coup vide de toute lumière de vie. Le danseur c’’est éteint lors de cette nuit de décembre. Mort quelque part dans une sombre solitude alors qu’un acte odieux se perpétrait. Acte tenu sous silence. Mais qui s’affiche dans toute sa laideur à cette seconde. “ Désolé …” Il laisse trainer un silence pesant. “ Monsieur Belov. ” Il ose. “ Je ne voulais pas .. vous blesser .. c’était irrespectueux de vous parler ainsi ..” Et le respect les coréens en connaissent une sacrée liste. " Mais ma situation est ... très compliquée .." Il baisser la tête pour accentuer ses excuses pris d'un remord qui lui crève l'âme et le coeur. Se disant qu’il a de la chance qu’il n’y a plus personne dans le magasin, sinon il y aurait pu avoir une méprise ou un esclandre. " Je veux juste rester anonyme .. un caissier lambda ... le reste pour le moment n'existe plus ..." Le reste est mort. Le danseur est mort. " Je finis à 18 heures ... enfin je ne sais pas si vous aurez encore envie de me parler après cet affront .. " Nouveau silence, regard sombre qui vient affronter la clarté de celui de Kipplin. " Encore désolé ... mais je cherche juste à me protéger. " Des démons qu'un homme a jeté en masse dans chacune de ses pensées. De l'horreur qui est indécente et qui se glisse dans toutes ses failles. De la souffrance latente qui le tue doucement mais surement.
« Lorsque je danse je ne peux pas juger, je ne peux pas haïr, je ne peux me séparer de la vie. Je peux seulement être heureux et complet. »
Kipplin Belov
le gardien des rêves
ÂGE : 44 ans (12 - 11 - 1980) Pensez à lui, parce que sinon... SURNOM : Kip (par sa môman d'amour) Little Belovich (Par son Pôpa d'amour et sa famille russe) - QueenB par la plupart de ses amis (le côté drama et diva peut-être.) -Monsieur le juge pour les autres. STATUT : Après plus de 12 ans de vie commune, l'homme de sa vie est parti avec un Français. Certes, tout le monde lui disait qu'il était plus cornu qu'un cerf, mais Kip était réellement amoureux. Il avait fermé les yeux sur 12 ans de tromperies, sur ces 12 années où il avait dû faire des cadeaux de plus en plus coûteux pour garder l'illusion de leur relation intacte. Et puis, il y a moins de 6 mois, l'homme qu'il aimait plus que tout au monde a fait ses valises et a disparu, ne laissant derrière lui que les vestiges d'une vie à deux qui n'avait de signification que pour Kiplin. Traitez-le d'imbécile si vous voulez, mais il sait au fond de lui qu'Andrew l'aimait vraiment. Célibataire qui ne l'assume pas du tout. Comment fait-on pour draguer en 2024 ? MÉTIER : Juge pour enfant et drama queen à temps complet LOGEMENT : edward street - 102 Loft qu'il habite désormais seul avec le fantôme de sa vie conjugale et son labrador Miss Pacman. POSTS : 199 POINTS : 730
TW IN RP : Tout ce qui peux toucher les enfants par le prisme de son métier & Lutte LGBT+ et tout ce que cela peut provoquer comme réaction négatives. TW IRL : Parlons en. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Sa chienne Miss Pacman est une jeune femelle qu'il a récupéré d'un des jeunes qu'il a tenté d'aider mais qui est malheureusement mort sous les coups de sa famille. + Il ne connait pas son père biologique mais considère son père adoptif comme son véritable et unique père + Il parle le russe courament, surtout les insultes + il va à l'église une fois par an pour faire plaisir à sa mère + Il est fils unique et ADORE être le centre de l'attention + il est allergique aux fruits de merDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
If I was you, I'd wanna be me too
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Kipplin attrape ses achats d’un geste brusque, le poids du sac faisant écho au mal lancinant qui tambourine dans son crâne. Ses pensées sont un chaos de colère sourde et d’amertume. L’homme, avec ses mots venimeux, a franchi une ligne. Kipplin n’est pas quelqu’un qu’on insulte impunément, pas plus qu’on ne l’écrase sous un élan de mépris. Ses mâchoires se contractent tandis qu’il inspire profondément pour se maîtriser. Il n’aime pas les confrontations inutiles, mais laisser passer cet affront lui laisse un goût amer. Ses doigts se crispent autour des poignées du sac. Peut-être que ce type aurait dû réfléchir avant d'ouvrir la bouche. Kipplin Belov n’est pas du genre à pardonner facilement, et encore moins à oublier. Pourtant, alors qu’il s’approche de la porte automatique de la supérette, un spectacle familier parvient à détourner ses pensées sombres. MissPacman, sa chienne, l’attend avec une joie débordante. Son petit corps s’agite frénétiquement, la queue fouettant l’air avec un enthousiasme contagieux. Ses yeux pétillants brillent d’un amour inconditionnel. Le visage de Kipplin, fermé jusqu’à présent, se détend légèrement. Il ne peut s’empêcher de sourire malgré lui. Comment rester en colère face à une telle effusion de bonheur ? Alors qu’il allait sortir, la voix du caissier retentit à ses oreilles.
“ Désolé… Monsieur Belov. Je ne voulais pas .. vous blesser .. c’était irrespectueux de vous parler ainsi … Mais ma situation est ... très compliquée … Je veux juste rester anonyme .. un caissier lambda ... le reste pour le moment n'existe plus ..." Kipplin s’arrête en pleine marche, comme figé dans une hésitation qu’il déteste reconnaître. Le souffle qu’il laisse échapper est lourd, empli de cette fatigue émotionnelle qu’il connaît trop bien. Il baisse légèrement la tête, son regard rivé sur le carrelage, avant de relever les yeux et de se tourner lentement vers le jeune homme, resté à quelques mètres derrière lui. L’homme n’avait pas seulement été agressif. Il y avait autre chose, quelque chose de plus profond dans ses gestes et dans sa voix. Une colère sourde, mais pas forcément dirigée contre Kipplin. Il avait vu ça des dizaines, des centaines de fois dans son métier de juge pour enfants. La colère, l’arrogance, le mépris apparent – des façades presque toujours érigées pour cacher des blessures, des traumatismes, des fissures invisibles.
Et bien que celui qu’il avait face à lui soit un adulte, Kipplin savait que la souffrance ne respectait pas les âges. En réalité, elle avait une façon insidieuse de grandir avec ceux qu’elle marquait. Il inspire profondément, cherchant ses mots. Ce n’était pas son rôle d’intervenir ici. Ce n’était pas son affaire. Et pourtant, un sentiment tenace, presque obstiné, l’empêche de simplement tourner les talons. "Hé," dit-il finalement, sa voix grave, mais plus posée, presque douce. "Vous allez bien ? Je veux dire… vraiment ?" Il n’est pas sûr que l’autre accepte de répondre, mais ce n’est pas grave. Kipplin a appris que parfois, posé la question peut être suffisante pour ouvrir une porte. “D’accord. Pour ce soir.” Il regarda sa montre. “Mais plus vers 20 heure, j’ai quelques dossiers à finir, je dois promener MissPacman et me doucher.” Il posa son regard bleu sur le caissier. “Au bout de la rue, il y a un petit bar. On se retrouve là-bas ?” Il comprenait que l’ancien danseur avait érigé une carapace autour de lui, que quelque chose l’avait changé. Et Kipplin avait vu et entendu trop de choses pour ne pas comprendre que c’était quelque chose d’horrible.
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