The greatest gift our parents ever gave us was each other :: Ruben
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
the greatest gift our parents ever gave us was each other credit gif Moonwalker ARMY @Ruben Hartfield + Ethel Hartfield
Ethel, ton frère est enfermé dans sa chambre depuis deux jours… Il refuse de me dire ce qui se passe, tu peux venir ? Au volant de ta voiture, les mots de ta mère ne cessent de tourner dans ta tête. Lorsqu’elle t’avait appelé, tu étais chez toi, ayant trois jours de congé devant toi puisque Clarence n’avait pas besoin que tu sois avec Emilia. Tu lui avais tout de même envoyé un SMS pour l’avertir que tu devais quitter à la vitesse pour Kilcoy puisque vous étiez comme ça toi et lui. Tu avais besoin qu’il sache où te trouver, ce qui se passait avec toi. En fait, tu n’y pensais même pas avant de lui envoyer un message pour lui raconter ce que tu faisais, c’était naturel. Tout comme ces soirées à boire une coupe de vin autour de son ilôt de cuisine, ces après-midi à jouer dans sa cours arrière tous les deux avec Emilia, ce café partagé le matin avant qu’il parte pour le travail… Tu avais tenté de tenir tes distances depuis l’épisode de ta perte de conscience, mais tu n'en avais pas été capable. Malgré la dureté de ses mots, la blessure qu’il t’avait infligée, tu ne pouvais pas rester loin de lui longtemps. Une sensation de manque s’installait beaucoup trop rapidement dans ton être et tu n’étais pas encore certaine d’apprécier cette manière d’avoir besoin de lui. Tu préférais toutefois pousser cette réflexion dans un coin de ta tête. Donc, lorsque maman Hartfield t’avais appelé à la rescousse, tu avais attrapé un sac, lancé deux ou trois vêtements à l’intérieur, ton chargeur de téléphone et pris ton courage à deux mains pour t’installer derrière le volant de ta voiture. Quelques mois s’étaient écoulés depuis la dernière fois que tu avais conduit, mais tu n’avais pas le temps d’attendre un uber. Tu savais que Clarence se serait dépêché de venir pour te reconduire chez tes parents si tu lui avais demandé, mais tu ne voulais pas lui imposer toute cette route. Tes parents ne l’avaient jamais rencontré et ce n’était pas le moment propice pour que ça se passe aujourd’hui. Plus tu avançais sur la route qui te menait à la maison familiale, plus tu sentais l’inquiétude et l’angoisse prendre place dans ton ventre. Tu avais bien remarqué que Ruben était irritable lorsqu’il était venu chez toi, mais il ne t’avait pas dit qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas. Maintenant qu’il s’était réfugié dans sa chambre d’enfant, les choses se mettaient tranquillement en place dans ton esprit. Tu ne réussissais toutefois pas à mettre le doigt sur la raison de ses agissements. La route passa rapidement. Tu avais été prudente dans ta manière de conduire comme toujours, mais tu avais mis ta musique préférée et tu avais tenté de faire descendre ton angoisse en chantant en coeur avec les artistes. Arrivé chez tes parents, tu avais arrêté dans la grande pour aller faire un câlin à ton père, donné un bisou à ta mère dans la cuisine. Tu attrapas deux muffin aux morceaux de chocolat que maman Hartfield avait cuisinés et tu monta l’escalier pour aller cogner à la porte de la chambre de Ruben. « Benny, c’est moi. Ouvre s’il te plaît. » Tu avais parlé d’une voix douce. Tu voulais qu’il prenne lui-même la décision de t’ouvrir. Toutefois, s’il ne le faisait pas, tu avais averti votre père que tu aurais besoin de lui pour démonter la porte et ouvrir de force. Tu ne laisserais pas ton frère t’ignorer comme il le faisait avec vos parents. « Je nous ai monté un muffin au chocolat chacun et je soupçonne maman d’avoir mit plus de pépites que d’habitude. » Tu espérais l’avoir par l’estomac : Ruben avait toujours été gourmand.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Il avait échappé un long soupir en entendant la voix de l’autre côté de la porte, s’était retourné dans son lit pour appuyer son visage dans l’oreiller et râler - l’épaisseur de l’objet permettant d’étouffer le bruit de sa voix. La tranquillité aurait donc duré deux jours, pas un instant de plus, pas une opportunité supplémentaire que de s’exprimer par lui-même. Il était à peu près sûr que sa mère se disait qu’elle déplaçait les grands moyens pour l’extirper de là où il s’était fourré - et pourtant, ce n’était pas l’envie d’ouvrir la porte à sa soeur qui l’animait en cet instant là. « Te fatigue pas, Ethel. » Qu’il adressa en direction de la porte en relevant quelque peu son visage. Il ne comptait pas ouvrir la porte, mais il n’avait pas non plus l’envie de faire tourner sa soeur ne bourrique: elle n’avait rien demandé, n’était que missionnée par une tiers personne à qui il avait pourtant explicitement dit qu’il voulait la paix. Parce-que ce n’était pas cotre sa mère qu’il en avait, ce n’était pas contre Ethel non plus. Pour une fois, avec une clarté qui était assez étonnante venant de lui à la vue de son comportent ces derniers temps: c’étai contre lui-même qu’il en avait, d’avoir été si idiot, si faible.
« Je nous ai monté un muffin au chocolat chacun et je soupçonne maman d’avoir mit plus de pépites que d’habitude. » - « Je viens de dire quoi ! »
Se relevant du lit dans un mouvement qui avait à envier à sa souplesse et grâce habituelles, Ruben marcha jusque la porte pour ouvrir cette dernière et planter son regard dans celui de sa soeur. Elle remarquerait sans mal la barbe de trois jours qui avait eu le droit, presque comme par miracle tant d’ordinaire elle ne vivait pas plus d’une journée, de pousser sur le visage de son petit frère et qui lui donnait un air et une apparence plus négliger que tout ce qu’il avait pu habituer ses proches à voir de lui. « Laisse moi tranquille, je veux pas manger de muffin au chocolat même si je sais que maman fait exprès de mettre plus de chocolat dedans. » SA voix manquait de cette marque de méchanceté tant c’était surtout là une expression d’une lassitude générale dont il faisait preuve plus qu’un ressenti dirigé vers celle qui était devant lui et qui, encore une fois, n’avait rien fait. « Je veux juste la paix et le silence, d’accord ? Je sais même pas pourquoi maman t’a demandé de venir ici. » Et sans fermer la porte derrière parce-qu’il savait qu’Ethel passerait le reste de la journée à frapper à cette dernière, il fit demi-tour et se laissa tomber dans son lit de nouveau, dos à la porte. Elle ne l’avait pas dit, mais il savait que c’était leur mère qui l’avait appelé: il n’était pas assez idiot pour ne pas faire le lien entre sa présence à lui ici et la manière dont s’était présentée sa soeur sur le pas de sa chambre.
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Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
the greatest gift our parents ever gave us was each other credit gif Moonwalker ARMY @Ruben Hartfield + Ethel Hartfield
« Te fatigue pas, Ethel. » Peu importe ce qu’il te dirait, tu resterais derrière à tenter de le convaincre de t’ouvrir ou bien à trouver un moyen de forcer la porte et pouvoir entrer dans sa chambre. Au bout du compte, le résultat serait le même : il n’y avait que le moyen d’y arriver qui serait différent. Ça ne te fatiguait pas de venir voir ce qui se passait avec ton frère. Au contraire, pouvoir être présente pour lui dans un moment difficile te faisait plaisir. Même si au final, tu aurais préféré qu’il n’ait pas besoin de toi. Toutefois, il était toujours là quand tu en avais besoin et tu n’avais pas souvent l’occasion de lui rendre la pareil. Il était donc évident lorsque ta mère t’avait appelé que tu remuerais ciel et terre pour pouvoir arriver à Kilcoy dans les plus bref délais. C’est pour ça d’ailleurs que tu avais continué d’insister, que tu avais essayé de trouver des arguments pour qu’il vienne déverrouiller cette maudite porte. « Je viens de dire quoi ! » Tu étais autant têtue que lui et il le savait très bien. Un léger sourire vint prendre possession de tes lèvres lorsque tu entendis du bruit provenant de sa chambre : il venait t’ouvrir. Tu ne savais pas encore ce qui t’attendait de l’autre côté, mais tu ne le laisserais pas s’échapper. Lorsque le battant pivota, le sourire qui était sur ton visage disparut pour laisser apparaître l’inquiétude. Tu n’étais pas habituée de le voir avec cet air négligé, cette barbe qui semblait avoir au moins trois jours. Ruben était fier, soignait son apparence. « Laisse moi tranquille, je veux pas manger de muffin au chocolat même si je sais que maman fait exprès de mettre plus de chocolat dedans. » Ce n’était pas dans ses habitudes non plus de refuser de la nourriture. Surtout quand tu avais apporté une portion pour toi également. Tu devais quand même avouer que tu étais légèrement soulagée de ne pas avoir à manger ce muffin avec beaucoup trop de chocolat pour être considéré comme santé. « Je veux juste la paix et le silence, d’accord ? Je sais même pas pourquoi maman t’a demandé de venir ici. » La raison pour laquelle votre mère t’avait demandé de venir le voir était plus qu’évidente même s’il essayait de prétendre le contraire. Il tourna alors les talons pour retourner dans sa chambre et reprendre la place dans son lit, là où tu savais qu’il avait passé les dernières journées. Tu le suivis, posa ton assiette sur la commode qu’il y avait dans un coin de la chambre et te dirigea vers lui. Si tu commenças par t’asseoir sur le coin du matelas, tu décida de te coucher derrière lui, de venir l’envelopper de tes bras. C’était rarement toi qui lui faisait un étreinte puisque tu avais besoin beaucoup plus régulièrement de te faire rassurer, mais en cette après-midi, tu voulais qu’il sache que tu étais là pour lui. « Parce qu’elle s’inquiète Benny, y’a pas d’autre raison. » Et qu’elle savait que vous étiez proche. Ton petit frère avait toujours été la prunelle de tes yeux depuis sa naissance et ça n’avait jamais changé en grandissant. « Je peux t’offrir le silence, mais je n’irai nulle part. » Si Ruben décidait de ne pas te dire ce qui n’allait pas, tu savais que tu ne pourrais pas le convaincre. Toutefois, il y avait des chances qu’il accepte de s’ouvrir si tu te montrais patiente et que tu ne le poussait pas à bout avec mille et une questions. « Et si tu veux parler, je suis là. »
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
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AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Un des problèmes au sein de la famille Hartfield, c’était que tous les enfants étaient aussi têtus les uns que les autre - alors lorsque Ruben demandait à sa soeur de ne pas rester, il savait pertinemment que ça ne la dissuaderait en rien de proliférer ce genre de paroles et qu’il n’avait plus qu’à prendre son mal en patience pour la voir partir. Même si cela ne faisait qu’une poignée de minutes qu’elle était arrivée à Kilcoy - sa première étape en arrivant ici aurait toujours été de le voir, et elle n’était pas venue avant alors il savait qu’elle venait d’arriver -, il n’avait pas besoin de quelconque preuve pour savoir qu’elle ne repartirait pas si facilement, et surtout pas avant d’avoir pris de ses nouvelles. Il abandonna donc l’étape de négociation où il fermait la porte à sa suite, la laissant sur le palier, pour directement laisser un accès libre à sa chambre et aller se recoucher.
La suite, il aurait pu l’anticiper aussi: l’entendant naviguer un instant dans sa chambre, le bruit de l’assiette qu’elle avait en mains en montant déposée sur un meuble, il sentit quelque peu - à peine - le matelas de son lit s’enfoncer quelque peu lorsqu’elle s’assit sur le bord de ce dernier; avant de la sentir se mouvoir pour se glisser dans son dos et entourer son corps bien plus solide du sien. Et bien sur qu’il soupira en première intention, qu’il ferma quelque peu les yeux à ce contact. Oh, pas qu’il n’appréciait pas, mais c’était plutôt que pour qu’ils en soient rendus au moment où Ethel était celle lui apportant du soutien, c’était qu’il ne devait pas renvoyer une image glorieuse de lui-même. « Parce qu’elle s’inquiète Benny, y’a pas d’autre raison. » Rouvrant les yeux sans qu’elle ne puisse le voir, il échappa un rire manquant d’amusement par les narines. « Je lui ai dit que c’était pas la peine. » Mais les enfants n’étaient pas têtus pour rien et se devaient de tenir de quelqu’un: leurs parents, en l’occurence. « Je peux t’offrir le silence, mais je n’irai nulle part. » Il prétendait ne pas entendre ses mots mais il savait très bien que c’était déjà là la finalité de cette situation: il avait déjà capitulé de toute manière.
« Et si tu veux parler, je suis là. » - « Je veux pas parler Ettie. »
Cette affirmation était sortie bien trop rapidement pour qu’elle ne soit pas défense, et surtout était assez fausse pour que cela puisse s’entendre dans le timbre de voix qu’il laissait entendre; c’était surtout qu’il n’avait pas envie de parler de bien des choses avec sa soeur, tant elle n’était pas assez solide pour entendre le tiers de tout ce qui se passait dans la vie de son petit-frère ces derniers temps: elle qui l’idéalisait et le prenait en exemple ne serait qu’atterrée par le comportement qu’il pourrait avoir, et s’il y avait bien une personne dans le regard de qui il n’avait pas envie d’y lire la déception, c’était le sien. Malgré tout, après une hésitation, il attrapa la main de sa soeur dans la sienne pour tirer quelque peu sur son bras, faisant en sorte qu’elle ne défasse pas son étreinte: il ne voulait pas discuter, mais il n’était pas pour autant contre sa présence malgré tout - bien qu’il lui ait demandé de partir pas plus tard que deux minutes plus tôt. Etant donné qu’il se sentait extrêmement seul, il prenait la compagnie. Et s’il ne désirait pas aborder certains sujets, il pouvait au moins en aborder un qui les concernait tous les deux: « T’as eu Garrett au téléphone ? » Pas Rhett, parce-que dans cette situation là leur aîné l’avait - pour ne pas changer - énervé à prendre pour la seconde fois dans sa vie une décision qui pouvait changer la vie de toute sa famille sans concerter cette dernière. Qu’il parte à Londres lorsqu’il était jeune, pourquoi pas; mais quel était l’intérêt désormais, surtout que leurs parents se faisaient vieillissants et qu’ils avaient tous appris par la méthode dure que la mort les attendait tous au tournant et que personne n’était acquis ou éternel ?
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Ethel Hartfield
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ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
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Entre toi et Ruben, c’était toujours toi qui avait besoin de l’aide et du réconfort de ton cadet. C’était lui qui te prenait dans ses bras, qui te disait que tout allait rentrer dans l’ordre un jour, qui trouvait des solutions pour que tu puisses continuer ta vie sans trop souffrir. Cette journée-là, les rôles étaient échangés. Tu la sentais cette boule d’émotion négative qui semblait prendre toute la place dans le thorax et la tête de ton frère. Tu t’en voulais de ne pas t’en être rendue compte avant, de ne pas avoir été capable de cerner ce qui se passait dans sa vie, trop absorbée par essayer de maintenir la tienne à flot. C’est en grande partie pour cette raison que tu avais répondu présente aussitôt que votre mère t’avait appelé. Peu importait ce qui se passait avec lui, tu voulais être un soutien. Tu l’entendis ce soupir qu’il laissa échapper lorsque tu te coucha derrière lui, dans ce même lit où tu te glissais souvent lorsque vous étiez ensemble parce que tu faisais des cauchemars et que tu avais peur du noir. Cette réaction ne te refroidit toutefois pas. Au contraire, tu reserras ton étreinte du mieux que tu le peux alors que son torse était plus large que le tien, logeant ton nez dans le creux de son cou. « Je lui ai dit que c’était pas la peine. » Ce fut à ton tour de laisser échapper un petit rire qui s’apparentait en fait plus à un soupir. Ruben connaissait trop vôtre mère pour savoir que ces simples paroles allaient la rassurer. « Et t’a vraiment cru qu’elle t’écouterait ? Je pense que ça a plutôt contribué à ce qu’elle s’en fasse encore plus oui. » Parce que même si leur mère semblait avoir un fort caractère, ce qui lui avait bien servi pour élever ces hommes qui ne laissaient pas leur place, elle était à l’écoute de ses enfants et s’inquiétait même quand ils allaient bien. Alors de voir Ruben passer autant de temps à Kilcoy, sans sortir de sa chambre d’enfant et sans manger suffisait à la rendre anxieuse à propos de ce qui se passait dans sa vie. « Je veux pas parler Ettie. » Et malgré son ton de voix sec et la rapidité de sa réponse, tu étais plutôt convaincue du contraire. Tu arriverais à le faire parler, à se confier, mais tu savais que tu devrais être patiente. À trop insister, il ne ferait que se braquer et tu échouerait lamentablement la mission que tu t’étais donnée. Il attrapa alors ta main qui passait par dessus lui et la tira un peu pour resserrer ton étreinte et un léger sourire prit place sur ton visage. La persévérance avait finit par payer et s’il t’avait demandé de quitter au début, il venait clairement de te signifier que tu n’avais plus intérêt à aller nulle part. « T’as eu Garrett au téléphone ? » Tu hocha de la tête de haut en bas dans le dos de ton frère. Bien sûr que tu avais eu ton grand frère au téléphone et qu’il t’avait annoncé son départ. Et bien sûr que ça t’avais fait angoisser. Parce que tu savais qu’il ne demanderait pas de vos nouvelles régulièrement et que si un fossé avait commencé à se créer entre toi et lui, il continuerait de se creuser encore plus. Tu espérais seulement qu’il allait être capable d’entretenir une relation avec vos parents, qu’il ferait l’effort pour venir les voir régulièrement. « Oui, il m’a annoncé le déménagement. Et cinq minutes après maman m’appelait en panique. » Parce que Ruben avait beau être le chouchou des enfants Hartfield, c’était quand même ton téléphone qui sonnait lorsqu’il y avait un problème avec tes frères. Tu haussas les épaules du mieux que tu peux sans relâcher ton étreinte. « Tu ne répètes pas ce que je te dis à maman. » Tu laissa échapper un soupir. « Est-ce que ça va vraiment changer quelque chose ? J’veux dire… Il m’a écrit en juillet pour me voir, il ne savait pas que j’avais un nouveau boulot depuis janvier et que je ne travaillais plus pour Hassan depuis avril… » Tu n’étais pas du genre à parler contre ton aîné, essayant toujours de l’excuser pour ses agissements, mais depuis l’événement du repas de Noël, tu avais de plus en plus de difficulté à le protéger et à lui trouver des arguments. « C’est pour maman et papa que ça me fait de la peine en fait… Toi, tu en penses quoi ? »
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
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AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Le petit rire que laissa entendre Ethel eut le don de faire lever les yeux au ciel à Ruben. « Et t’a vraiment cru qu’elle t’écouterait ? Je pense que ça a plutôt contribué à ce qu’elle s’en fasse encore plus oui. » Il soupira d’une telle façon qu’elle pourrait l’entendre, même si elle n’était pas face à lui; parce-que la remarque même si elle était juste l’embêtait bien sur. « Pour une fois elle aurait pu le faire. » Mais leur mère ne serait pas al personne qu’elle était, qu’ils connaissaient et aimaient si elle ne s’était pas donnée les moyens de trouver une autre façon de faire sortir Ben de sa tanière provisoire. Il voulait être laissé tranquille, il ne voulait pas voir les autres insister auprès de lui, pour une fois pour de vrai il préférait qu’on ne lui apporte pas l’attention qu’il recherchait pourtant à tout instant le reste du temps - et pourtant, c’était justement alors qu’il agissait de la sorte que cette dernière lui était attribuée.
Pour autant, alors qu’il eut l’occasion, il attrapa la main de sa soeur pour resserrer son étreinte et relança la discussion - alors qu’il certifiait l’instant d’avant que c’était là en rien ce qu’il désirait. Mais maintenant qu’elle était là… il n’allait pas parler des choses qui fâchaient réellement et dont elle n’avait pas connaissance, mais il pouvait aborder un autre sujet qui, en plus de lui faire du mal à lui la concernait elle aussi. La première réponse d’Ethel ne fut pas verbale, mais il sentit son menton se hocher dans son dos de haut en bas: au moins, elle avait pu discuter avec Rhett et c’était là presque une bonne nouvelle. De toutes les situations, il n’avait pas envie de vivre celle où il devait lui annoncer que leur frère était parti vivre à l’autre bout du monde sans la prévenir. « Oui, il m’a annoncé le déménagement. Et cinq minutes après maman m’appelait en panique. » Il soupira quelque peu. « Tu ne répètes pas ce que je te dis à maman. » Il fronça les sourcils. « Quoi ? » Il y avait un moment où son coeur manquait un battement lors de ce type de conversation - l’histoire ne jouait pas en leur faveur. « Est-ce que ça va vraiment changer quelque chose ? J’veux dire… Il m’a écrit en juillet pour me voir, il ne savait pas que j’avais un nouveau boulot depuis janvier et que je ne travaillais plus pour Hassan depuis avril… » Ecoutant et intégrant les mots de sa soeur, il se détacha quelque peu d’elle pour faire un quart de tour sur lui-même et venir se mettre à plat dos sur le lit; ainsi, il pouvait poser son regard sur son visage. Oh, il était grandement confus à entendre ces mots là. « C’est pour maman et papa que ça me fait de la peine en fait… Toi, tu en penses quoi ? » Il était étonné de l’entendre parler de cette sorte là, parce-que ce n’était pas la soeur qu’il avait toujours connu qui s’exprimait - elle n’aurait jamais parlé contre un des membres de sa famille -, mais une personne bien plus sure d’avancer de telles idées. Il fronça quelque peu les sourcils. « Je suis surtout étonné que tu me dises ça. »
Se tournant encore, il finit par se déloger complètement de contre sa soeur pour se hisser sur son coude, son regard ne lâchant en revanche pas le sien d’une once. « Tu penses vraiment que ça va rien te changer qu’il vive à l’autre bout du monde ? » Quand même. « Je sais qu’on a déjà connu ça, et qu’on peut presque dire qu’on y est habitués, mais… » Faisant rouler ses lèvres l’une sur l’autres, inspirant et soupirant quelque peu, il fit une petite moue d’excuses d’avance avant de prononcer les mots suivants: « A cette époque là on savait pas ce que ça ferait vraiment de vivre sans un frère à nos côtés. » Parce-que lorsque Rhett était déjà parti à Londres la première fois, Jackson était encore à Brisbane à leurs côtés - c’était douloureux de le voir partir, mais il y avait pas ce goût amer de se dire et si c'était la dernière fois. En tous cas, c’était la manière dont les choses étaient perçues par Ruben, mais déjà à l’époque il avait moins bien perçu le départ de leur aîné que ça avait pu être le cas pour Ethel. « Je sais qu’il a pas toujours été… bon, avec toi, mais tu le penses vraiment ? Que ça va pas te changer grand chose qu’il soit plus en ville ? » Oh, à quel point Garrett avait-il pu briser leur soeur pour qu’elle ne vienne à penser de cette manière là ? Elle était arrivée inquiète pour son petit frère, et finalement c’était ce dernier qui se retrouvait à s’interroger par rapport à elle, à prendre en oublier pourquoi il était initialement mécontent.
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Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
the greatest gift our parents ever gave us was each other credit gif Moonwalker ARMY @Ruben Hartfield + Ethel Hartfield
« Pour une fois elle aurait pu le faire. » Tu l’avais bien entendu ce soupir lorsque tu avais osé laissé échapper ce rire lorsque tu lui annonça que c’était pratiquement écrit dans le ciel que leur mère n’allait pas écouter sa demande de le laisser tranquille. Et tu étais contente qu’elle ne l’ait pas fait. Parce que tu voulais être présente pour ton frère, savoir ce qui se passait dans sa vie pour qu’il ait envie de se réfugier dans sa chambre d’enfant et de ne pas avoir personne autour de lui. Il n’avait pas l’air parti pour te l’avouer, mais si ta présence pouvait être source de réconfort pour lui, ce serait déjà ça de gagné. Et tu avais l’impression qu’il abdiquait doucement lorsqu’il attrapa ta main pour que tu le serres encore plus fort dans tes bras. Tu ne savais pas à qui ça faisait le plus de bien, à lui ou à toi, mais clairement, tu n’étais pas contre ce contact avec lui dans ce lieux où tu t’étais souvent réfugié alors que vous habitiez encore tous les deux chez vos parents. Puis, le sujet de discussion se dirigea vers le déménagement de Rhett et d’Evelyn à Londres. Tu savais que Ruben l’abordait que pour que tu oublis ses soucis à lui, mais il fallait bien que vous en discutiez à un moment ou un autre. Tu savais que tes paroles n’étaient pas celles que ton cadet s’attendait à entendre, mais tu étais épuisée de te battre pour avoir de l’attention de ton aîné. Il s’était défait de ton étreinte pour pouvoir se retourner et te regarder alors que tu exposais ton point de vue que tu n’étais pas sûre d’assumer à cent pour cent. Le froncement de ses sourcils t’indiquaient sa surprise. « Je suis surtout étonné que tu me dises ça. » Étonné ou déçu, tu avais l’impression qu’il n’avait pas choisi le bon mot pour qualifier ce qu’il pensait de tes mots. Ça te faisait mal de le dire de cette manière, mais tu avais besoin de cette liberté, de ne plus avoir l’impression de devoir faire des pieds et des mains pour attirer seulement une petit peu d’attention de ton aîné. « Tu penses vraiment que ça va rien te changer qu’il vive à l’autre bout du monde ? Je sais qu’on a déjà connu ça, et qu’on peut presque dire qu’on y est habitués, mais… À cette époque là on savait pas ce que ça ferait vraiment de vivre sans un frère à nos côtés. » À cette époque, Jackson était encore vivant et tu n’avais pas cette angoisse à toutes les secondes de ta vie qu’il arrive quelque chose aux membres de ta famille. Tu passas tes mains dans ton visage. Tu sentais l’incompréhension de Ruben face à tes affirmations. Tu avais besoin de rassembler tes idées pour ne pas avoir l'air égoïste à se ficher de ce qui pouvait bien arriver à votre frère. « Je sais qu’il a pas toujours été… bon, avec toi, mais tu le penses vraiment ? Que ça va pas te changer grand chose qu’il soit plus en ville ? » Ne pas avoir été bon avec toi n’était pas les termes adéquats. Il avait été cruel lors de cette balade avec lui dans les mangroves alors que tu avais tenté de lui expliquer à quel point tu avais besoin de sa présence, de ton appui pour essayer de te guérir de ton trouble alimentaire. « Il va me manquer, ne pense pas le contraire, mais je crois aussi j’ai besoin de cette distance avec lui. De ne pas être déçue de devoir constamment faire les premiers pas pour le voir parce qu’il habite à dix minutes, mais qu’il n’est pas capable de prendre de nos nouvelles en premier. » Tu avais compris depuis le mois de janvier que tu ne pouvais pas compter sur lui pour t’aider à aller mieux, que tu n’étais qu’une épine dans son pied avec tes sentiments et ça avait contribué à te détruire encore un peu plus. « C’est peut-être utopique, mais j’ose espérer que lorsqu’il viendra, ça sera beau, qu’il sera content de nous voir, de prendre des nouvelles. Que lorsqu’il sera là-bas, on lui manquera et qu’il prendra un peu plus de nouvelles que lorsqu’il est ici. Qu’il constatera que la famille est importante... » Tes yeux trahissaient la douleur et l’inquiétude de le voir s’envoler vers Londres, mais également les mots qu’il t’avait dit et qui t’avaient achevé. Cette manière de te dire qu’il se foutait de toi. Tu tentais seulement de te protéger, ce que tu n’avais pas fait depuis bien des années au final…
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Ruben comprenait, en partie, pourquoi sa soeur réagissait de cette manière face à la fuite de leur ainé pour l’Angleterre: si l’entendre entre eux avait un jour été au beau fixe, ce n’était désormais plus le cas ces deniers mois, voire ces dernières années. Rhett n’était pas quelqu’un de très ouvert et de très patient, si bien qu’il avait souvent manqué d’avoir cette oreille attentive pour comprendre sa soeur qui passait par des périodes plus ou moins aisées de son quotidien. Connaissant assez Garrett, il savait qu’il aurait totalement pu expliquer cela par quelque-chose comme on traverse tous des trucs difficiles, on s’en remet - ce qui aurait été osé et très limite de sa part pourtant puisqu’il avait été le premier à céder à la facilité lorsque son moral s’était retrouvé plus bas que terre. Rhett n’avait pas été le grand frère exemplaire qu’il aurait pu être, là où pourtant il avait lui-même eu quelqu’un devant pour lui montrer le bon chemin: il n’avait que trop souvent blessé leur soeur davantage qu’il ne l’avait soutenu, et au fil des occasions elle avait fini par être profondément blessée et par ne plus avoir confiance en lui - il pouvait le voir dans le regard qu’elle portait présentement lorsqu’elle pensait à lui et parlait de lui. C’était là une raison de plus pour laquelle Ben lui en voulait, à Rhett: qu’il le mette lui en rogne avec ses actions et ses décisions était quelque-chose, mais qu’il fasse de même avec Ethel, le goût était davantage amer en bouche. « Il va me manquer, ne pense pas le contraire, mais je crois aussi j’ai besoin de cette distance avec lui. De ne pas être déçue de devoir constamment faire les premiers pas pour le voir parce qu’il habite à dix minutes, mais qu’il n’est pas capable de prendre de nos nouvelles en premier. » Au fil des mots qu’elle prononçait, Ruben se mettait à faire une petite moue de plus en plus ancrée à ses traits; parce-qu’il ressentait cette espèce de déception en lui de voir que l’un et l’autre n’arriverait donc jamais à trouver un terrain d’entente pour au moins avoir une relation qu’il puisse, davantage que cordiale, au moins apaisée - comme il l’avait déjà dit, ils avaient déjà que de trop tous perdus.
« C’est peut-être utopique, mais j’ose espérer que lorsqu’il viendra, ça sera beau, qu’il sera content de nous voir, de prendre des nouvelles. Que lorsqu’il sera là-bas, on lui manquera et qu’il prendra un peu plus de nouvelles que lorsqu’il est ici. Qu’il constatera que la famille est importante… » Il échappa un petit soupir. « La famille est importante pour lui aussi. » Ce n’était pas pour excuser le comportement de leur frère qu’il disait ça: il n’existait pas de moyen de le faire, il signerait et persisterait toujours sur l’idée que la manière dont Garrett se comportait face à Ethel était à revoir. Mais il était vrai pour autant que ce dernier tenait aussi à sa famille, simplement il n’avait pas la même façon de le faire - et apparement surtout, sa manière de le faire c’était de partir à l’autre bout du monde pour prendre de la distance avec eux.
Après avoir gardé le silence pendant quelques instants en otage, Ruben inspira longuement avant d’expirer sous forme de long soupir. « J’espère que t’as raison, en vrai. Quand même. » Il raccrocha son regard à celui de sa soeur. « Pour la partie où on lui manquera et qu’il prendra plus de nous nouvelles en étant loin. » Même s’il n’y croyait pas beaucoup: lorsqu’il était déjà à Londres la première fois, il se rappelait avoir passé des semaines et des semaines sans nouvelles de la part de son ainé, alors qu’il n’avait aucune excuse pour ne pas faire le premier pas envers ses cadets. Et à l’époque, Ruben était bien trop empli de rancoeur envers lui pour faire de son côté les efforts nécessaires pour tenter de raccrocher les morceaux, se sentant abandonné et délaissé là où il avait toujours porté un regard en direction de Garrett, se servant de lui comme modèle. A partir du moment où il avait quitté le sol australien, les relations entre les deux garçons Hartfield avaient dégringolées et n’avaient jamais plus été les mêmes. Ils avaient reconstruit certains ponts au fil des dernières années, après que l’ainé ait frôlé de bien trop près l’autre côté, mais la manière dont Ben parlait de lui encore aujourd’hui prouvait que tout n’était pas parfait.
Il finit par froncer un brin les sourcils, hésitant un instant avant de se dire qu’il ne perdait rien à poser la question qui lui trottait dans l’esprit en cet instant. « Est-ce que je suis comme ça aussi avec toi, moi ? » Ce n’était pas le genre de comportement qu’il adoptait en général, de se remettre en question: Ruben était quelqu’un de sur de ce qu’il faisait, de ce qu’il pensait, partait du principe qu’il ne faisait pas d’erreur et qu’il détenait souvent la vérité. Cependant, ces derniers temps, les événements lui avaient fait comprendre qu’il était peut-être un brin dans le faux de temps à autres et que certains gestes, paroles et manières d’être se devaient d’être revues et repensées, retravaillées. Alors peut-être que poser cette question là alors qu’ils discutaient des erreurs de leur ainé ne serait pas de trop. « C’est facile de voir que Garrett se comporte mal, mais est-ce que c’est aussi mon cas ? » Il ajouta rapidement dans la foulée. « Et je veux que tu me répondes honnêtement. » Parce-qu’il connaissait bien Ethel: elle chercherait à ne pas le froisser, c’était là ce qu’elle faisait tout le temps à ses côtés.