| (maisie) when it rains, it pours |
| ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 613 POINTS : 720 TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chers DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
(dix-sept) ♪ andrew #1 (fb 2023) › anna #1 › anna #2 › faith #1 › hadley #2 (fb 2001) › hadley #3 › hadley #4 (fb 1999) › izan #3 › james #1 › jayden #1 › lily #1 › maisie #1 › malone #1 › yasmin #1 › yasmin #2 (fb 2018)
(event jurassique) ella › jayden. RPs EN ATTENTE : finnley. RPs TERMINÉS : (2024) ♪ izan #1 › asher #1 › hadley #1 › izan #2 › leslie #1. AVATAR : charlie hunnam CRÉDITS : (av. showmeyouricons) + (gifs. lomapacks) DC : penny stringer (ft. elizabeth olsen) + autumn galloway (ft. lucy boynton) +
willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin (marie.) INSCRIT LE : 15/08/2024 | (#)Dim 25 Aoû 2024 - 13:24 | |
| when it rains, it pours @Maisie Moriarty + Samuel Wellington lieu: résidences, baysideSi tu avais pris le temps de sortir de ta tête plus que trente secondes à la fois, tu aurais pu prendre le temps de regarder ton téléphone. Tu aurais vu les appels manqués de la part de ta fille, les messages qui te disent qu’elle allait rentrer en retard du travail à la suite d’un quelconque accident et qu’une de ses amies était censé passer à la maison, de lui dire de l’attendre, qu’elle arriverait aussitôt que possible. Mais tu ne fais rien de tout ça, non. Tu es trop concentré sur une mélodie que tu n’arrives pas à te sortir de la tête, sans être capable d’en faire quelque chose qui te plaît. Encabané dans le studio de musique maison que tu as fait construire dans le sous-sol de ta demeure, tu cherches encore et encore, tes doigts qui pianotent sur le piano d’abord, qui glissent sur le violoncelle ou sur la guitare, tu essayes même quelques-uns de tes instruments à vent, dans l’espoir de trouver un son qui te convient sans jamais y parvenir. Tu mordilles le bout d’un crayon, tentes d’écrire les notes dans un sens, et puis dans l’autre, et rien ne sonne exactement comme ce que tu as en tête et c’est en train de te rendre fou, complètement fou. Ça fait quelques semaines déjà que tu es revenu de la dernière tournée de ton groupe Broken Strings, et c’est comme ça que tu te sens en ce moment : comme un instrument aux cordes brisées qui n’arrivent plus à faire ce pour quoi il est acclamé. Le symptôme d’imposteur cri fort dans un coin de ta tête, tente de te faire croire que tu ne mérites pas cette nouvelle émergence de popularité. Tu n’es pas nouveau dans ce milieu pourtant, un habitué des foules et des acclamations, mais voilà que tu te mets à douter de tout, à douter de toi, de ce que tu es capable de faire, maintenant que tu es à la tête de ton groupe et que toutes les décisions semblent tombées sur tes épaules. Il est probablement là, le problème. Tu sais ce que tu veux faire, tu as les doigts qui te démangent de création, mais il y a trop de choses qui te bloquent, musicalement ou autrement. Tant d’inquiétudes pour ton groupe, pour toi, mais pour ta fille aussi, pour qui tu as eu l’impression de ne pas être assez présent pendant ta tournée. Elle remonte à longtemps, votre dernière discussion tard le soir, dans un coin de sa chambre, là où elle ose plus souvent qu’autrement baisser ses armes et te parler comme à un égal, comme à un ami, de ses peurs et de ses craintes, de ses rêves et de ses envies. Tu te fais d’ailleurs une note mentale que vous êtes dû, justement, pour une conversation quand tu es inévitablement sortie de tes pensées qui partent dans tous les sens par la sonnette qui annonce quelqu’un à l’entrée de ton domicile. Tu fronces les sourcils, n’attendant personne. Oscar est avec son père, Anna a des cours jusqu’à plus tard ce soir, et même si c’était elle, jamais qu’elle ou Delilah n’utiliseraient la sonnette pour annoncer leur présence. Tu échappes un long soupir, abandonnes les partitions à moitié écrites pour monter les marches deux à la fois et ouvrir la porte sur une silhouette que tu ne t’attendais pas à trouver là. « Maisie? » La jeune femme était une de mes amies de ta fille, et loin d’être ta favorite. « Qu’est-ce que tu fais ici? Delilah n’est pas encore rentrée. » Si ton envie profonde est de lui dire de se tenir loin de ta fille, tu gardes pour toi tes pensées loin d’être irréprochables, et ouvre la porte davantage pou l’inviter à rentrer. « Tu peux l’attendre ici, si tu veux. » Même si tu préférerais que non, cri ton visage malgré toi. |
| | | ÂGE : vingt-trois ans (10.02.2001). STATUT : elle aime angus ; elle l'a donc largué, en toute logique (non). MÉTIER : employée polyvalente dans un cinéma de quartier, arrondi les fins de mois avec son compte onlyfans (@onlyfeet) où elle vend ses sous-vêtements sales et envoie des photos de ses pieds. LOGEMENT : #29 hardgrave road (west end), avec mateo et elena. elle croise les doigts pour que ça dure plus d'un an, cette fois. POSTS : 1299 POINTS : 40 TW IN RP : troubles alimentaires, mention de nourriture, perception erronnée du corps, parentification, langage cru (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : mère récemment décédée, père expatrié, un frère emprisonné, l’autre en foyer ; elle manque sérieusement de repères familiaux ≈ mouton noir de la famille, tombée dans les troubles du comportement alimentaire, elle a vraiment cru qu’elle s’en était sortie pour de bon jusqu’à ce qu’elle replonge en janvier 2024 ≈ vierge et paniquée par tout ce qui touche à l’intimité, ce n’était pas un problème jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse d’angus ≈ impulsive, immature, elle vit sa crise d’adolescence avec un peu de retard ≈ arrogante, peste, bourrée d’insécurités, douce : un vrai paradoxe. CODE COULEUR : maisie nargue le monde en tomato et en peru. RPs EN COURS :
llewyn ⊹ there’s no other love like the love for a brother. there’s no other love like the love from a brother.
angus ⊹ in any universe you are my dark star. i want you to want me, why don't we rely on chemistry? why don't we collide the spaces that divide us? i want you to want me.
seth ⊹ there is a little boy inside the man who is my brother. oh, how i hated that little boy. and how i loved him too.
aiden ⊹ if you'd never looked my way i would've stayed on my knees and i damn sure never would've danced with the devil at nineteen, and the god's honest truth is that the pain was heaven and now that i'm grown, i'm scared of ghosts, memories feel like weapons.
morigan #4 ⊹ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
(07/06 - c'est presque ça) › sara #1 › emery #1 › russell #1 › mateo #1 › samuel #1RPs TERMINÉS : (2016) jake #1 (2019) megan #1 (2020) megan #2 (2021) angus #2 (fb) › swann #1 › angus #1 › › raphael #1 › seth #1 › mila › rory #1 › swann #2 › angus #3 › carl #1 › nino #1 › theo #1 (2022) raphael #2 › amaya › muiredach › aiden #1 › seth #3 › angus #5 › arthur › angus #4 & seth #2 › angus #6 › angus #7 › carl #2 › laila #1 › angus #8 › vivian › carl #3 › seth #4 › swann #3 › damon › jo #1 (2023) cesar #1 › carl #4 › angus #9 › angus #10 › molly › jo #2 › olivia #1 › carl #5 › megan #3 › raphael #3
(ab.) nicky (2019) › quincy (2019) › red › kyle › tobias › aiden › sofia › › muiredach #2 › rudy › halston (fb) › murphy › oxtorm › clément (db) › seth #5 › bonnie #1 › angus #11 › angus #12 › seth #6 › jo #3 › cameron #1 › logan #1 › aide #2 › carl #6 › twelve #1 › anwar #1 › vivian #2 › maxine #1 › dan #1
(dimension gothique) › eve › greta › cesar #2 AVATAR : daisy edgar-jones. CRÉDITS : (ava) @drippingalchemy (sign) astra (gifs) @noahjupelove, @hawkinsindiana, @alicemxkesthings, @wonderlandofresources, @kiernwalker, @harley (ub) @loonywaltz. DC : finnley coverdale (domhnall gleeson) & kieran halstead (dan smith). PSEUDO : leave. INSCRIT LE : 01/07/2021 | (#)Dim 8 Sep 2024 - 15:20 | |
| Une fois, deux fois, trois fois ; à la quatrième, j’ai abdiqué et Delilah a gagné. On se verra aujourd’hui, pas tant par envie de mon côté que par insistance fructueuse du sien. J’ai réussi à esquiver les trois dernières propositions, toujours sous couvert d’excuses parfaitement justifiées, mais cette fois-ci, j’ai senti que Delilah n’accepterait pas un refus ; et qu’il pourrait m’en coûter de provoquer sa contrariété. Elle n’est plus aussi dupe qu’à une époque, confrontée trop sérieusement à ma supercherie pour être en mesure de fermer les yeux ; c’est sans doute la raison pour laquelle je ne prends pas soin de mes amitiés. J’aime qu’elles repartent de zéro, qu’elles deviennent des toiles blanches sur lesquelles je peux réécrire mes mensonges sans me soucier d’être démasquée, accentuant un semblant de sérénité autant qu’un sérieux déni de la situation. J’en ai conscience, ce qui rend celle-ci bien moins sérieuse que mon entourage ne veut me le faire croire ; je connais mes difficultés, j’ai agi sur elles durant les trois dernières années et, comme tout un chacun, j’ai le droit d’être fatiguée et de baisser ma vigilance quelque temps, sans que ça ne devienne une véritable catastrophe. Après tout, les preuves sont là ; je continue de mener ma vie comme auparavant, j’ai toujours mon travail, ma colocation se passe bien, je fréquente ponctuellement des connaissances, je passe du temps hors de chez moi, j’essaie de reconstruire ma relation avec mon petit frère. J’ai des objectifs et je m’y tiens, peut-être un peu plus lentement, moins enjouée, mais ils sont toujours là. À chaque reproche, je peux apporter un contre-argument qui l’écrase, j’y ai longuement réfléchi et c’est sans doute parce que je suis assez préparée que j’ai enfin accepté d’affronter Delilah.
Peut-être qu’elle souhaite seulement passer du temps ensemble, entre filles, comme autrefois – cet autrefois se rapportant seulement au fait d’être autant accaparée par ses études de son côté, et, du mien, par ma famille qui s’effondre. J’imagine que ça me ferait du bien, le temps d’un après-midi, de lâcher prise, de ne pas tout anticiper, de ne pas à me sentir coupable d’être celle que je suis. Et Delilah, malgré son penchant pour une sincérité souvent violente, ne m’a jamais obligée à m’excuser ou volontairement mise mal à l’aise. Peut-être que ça peut bien se passer, après tout, et que nous n’aurons pas à aborder les sujets qui fâchent ; sa mère, le placement de Lee, et toutes ces choses qui ont découlé de nos situations respectives. J’ai envie d’y croire et, dans le cas contraire, je saurai lui faire regretter le moindre semblant d’intervention.
Venue à pied, je profite de reprendre ma respiration un instant une fois arrivée devant les lieux, avant de presser mon doigt contre la sonnette. Les secondes s’éternisent et je fronce des sourcils en m’interrogeant sur la raison d’une telle lenteur. Delilah est plutôt du genre à m’accueillir avant même que je ne me sois donné la peine de signaler ma présence. Et lorsque la porte s’ouvre, je comprends mieux tandis que j’essaie de ne pas faire la grimace en découvrant le visage de son cher paternel. « Maisie? » - « Bonjour. » Ce n’est pas parce que son père est un sale con que j’en oublie la politesse, contrairement à lui. « Qu’est-ce que tu fais ici? Delilah n’est pas encore rentrée. » J’esquisse une moue suspicieuse, songeant un instant à la possibilité qu’il s’agisse d’un moyen pour lui de filtrer les fréquentations de sa chère fille. Peut-être qu’à d’autres, il dit que mon amie est présente, mais que je n’ai pas le droit à de tels honneurs. « Pourtant, elle m’a dit qu’on se retrouverait ici, elle ne vous a pas prévenue ? » Je l’interroge, peu décidée à me laisser berner. Il n’a pas l’air d’avoir un mauvais fond, Wellington Senior, mais à chaque fois qu’il pose les yeux sur moi, il a l’air d’être dégoûté – et j’en suis venue à être mal à l’aise en sa présence en songeant aux pensées qui peuvent justifier un tel ressentiment. « Tu peux l’attendre ici, si tu veux. » Le malaise d’attendre en compagnie d’un daron à qui on n’a rien à dire est vite effacé alors que je croise son regard, que je l’associe à son ton peu chaleureux, et que me vient l’idée de le provoquer un peu plus. « C’est vrai ? Merci. » J’annonce, faussement ravie, alors que je me fraie un chemin jusqu’à l’intérieur, finissant toutefois par me retourner vers lui. « Enfin, peut-être que je vous dérange ? » Je finis par demander, alors que j’ai déjà pris mes aises dans une maison que je connais par cœur, pas franchement inquiétée à l’idée de réellement le déranger, presque enjouée à l’idée que cela puisse être le cas.
@Samuel Wellington |
| | | ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 613 POINTS : 720 TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chers DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
(dix-sept) ♪ andrew #1 (fb 2023) › anna #1 › anna #2 › faith #1 › hadley #2 (fb 2001) › hadley #3 › hadley #4 (fb 1999) › izan #3 › james #1 › jayden #1 › lily #1 › maisie #1 › malone #1 › yasmin #1 › yasmin #2 (fb 2018)
(event jurassique) ella › jayden. RPs EN ATTENTE : finnley. RPs TERMINÉS : (2024) ♪ izan #1 › asher #1 › hadley #1 › izan #2 › leslie #1. AVATAR : charlie hunnam CRÉDITS : (av. showmeyouricons) + (gifs. lomapacks) DC : penny stringer (ft. elizabeth olsen) + autumn galloway (ft. lucy boynton) +
willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin (marie.) INSCRIT LE : 15/08/2024 | (#)Mar 17 Sep 2024 - 5:20 | |
| when it rains, it pours @Maisie Moriarty + Samuel Wellington lieu: résidences, baysideTu veux croire que tu n’es pas un père moralisateur ou infantilisant. Tu n’es pas non plus ce genre de père qui veut contrôler chaque aspect de la vie de sa fille, ou du moins, tu fais ton gros possible pour lui laisser autant d’indépendance que possible. Ça n’a pas été une transition facile, ni pour toi ni pour Delilah, tu le sais bien, vous qui avez été fusionnels dès son plus jeune âge vu vos circonstances. Tu n’étais toi-même qu’un grand enfant lorsqu’elle est née, tu as tout appris pour elle, avec elle, et ce genre de liens, c’est difficile à expliquer ou à comprendre quand on ne se retrouve pas au milieu de ce dernier. Depuis son plus jeune âge, tu avais connu toutes ces amies, ces dernières se faisant souvent une place de choix chez vous. Tu avais vu certaines amitiés s’effriter au fil des années, d’autres tenir plus durement sur la durée et si tu n’avais jamais imposé tes choix ou tes préférences à ta fille, elle avait souvent suivi tes conseils, t’avait entendu lorsque tu lui mentionnais craindre qu’une telle ou un tel n’était pas la meilleure des influences pour elle. Mais plus elle vieillissait, moins ton opinion ne semblait avoir de valeur dans la balance, et tu sais au fond que c’est une réaction normale, qu’elle est une adulte maintenant, qu’elle peut se forger son propre groupe, son propre entourage sans que tu n’aies ton mot à dire sur la question.
Mais ça ne t’empêche pas d’en avoir, des opinions sur ses fréquentations. Surtout lorsqu’elle te confie des choses qu’elle a le jugement de ne partager avec personne d’autre. En tant que père, tu deviens le jardin secret de ta fille, de ces inquiétudes et si tu n’as pas le droit d’utiliser ces confidences contre les personnes qui sont concernées, tu n’en demeures pas moins inquiet des influences possibles sur Delilah. Des problèmes ou de la douleur qu’elle pourrait vivre, toi qui voudrais tant la protéger de tout et de tout le monde. Et c’est inévitablement ce à quoi tu penses lorsque tu te retrouves face à Maisie. « Bonjour. » Tu es conscient que tu ne joues pas à l’hôte parfait présentement, et peut-être bien que tu devrais rectifier le tir, mais tu n’as pas particulièrement envie de jouer à la prétention devant la jeune femme, surtout que ta fille n’est pas là, chose que tu t’empresses de lui faire savoir. L’air dubitatif qu’elle t’offre te fait comprendre qu’elle s’attendait vraiment à trouver ta fille ici. « Pourtant, elle m’a dit qu’on se retrouvait ici, elle ne vous a pas prévenue? » Tu secoues la tête, décides de sortir ton téléphone cellulaire de ta poche pour vérifier si tu n’as pas manqué un message ou un appel de ta fille et tu n’es que peu surpris de réaliser que c’est le cas. « Ah, elle m’a écrit qu’elle était coincée au travail, mais elle arrive aussi vite que possible. » Tu sais bien que tu devrais lui dire que Delilah tient à ce qu’elle reste, à ce que Maisie l’attende ici, mais ton envie de jouer l’hôte est vraiment à son plus bas. Tu lui proposes quand même, sans l’obligation derrière les mots de ta fille, en espérant plutôt que les deux jeunes femmes décident de se retrouver ailleurs, à mi-chemin entre ta maison et le boulot de Delilah, n’importe où mais pas ici. Malheureusement, pas de chance pour toi, quand Maisie entre dans la demeure, un sourire qui te paraît forcé habillant son visage. « C’est vrai? Merci. » Tu essayes de t’en empêcher, mais c’est un énième grommellement qui s’échappe de tes lèvres alors que tu refermes la porte d’entrée derrière la jeune femme. « Enfin, peut-être que je vous dérange? » La demande arrive sur le tard, alors qu’elle a déjà pris ses aises dans le salon et tu décides de te rendre à la cuisine, de te sortir quelque chose à boire. « T’en fais pas, Delilah ne devrait pas tarder. » Tu ne dénies pas qu’elle te dérange, mais au moins, tu fais comme si ce n’était pas un problème. C’est un bel effort de ta part, non? « Je t’offre quelque chose à boire? » C’est que tu deviendrais presque un hôte décent, finalement, alors que tu te fais couler un verre d’eau alors que tu as vraiment envie de boire une bière. « Alors c’est quoi les plans pour ce soir? » que tu demandes, faussement intéressé. « Je savais pas que vous vous voyez encore, Delilah et toi. » Traduction : je me sentais beaucoup mieux de penser que tu n’étais plus dans la vie de ma fille. |
| | | ÂGE : vingt-trois ans (10.02.2001). STATUT : elle aime angus ; elle l'a donc largué, en toute logique (non). MÉTIER : employée polyvalente dans un cinéma de quartier, arrondi les fins de mois avec son compte onlyfans (@onlyfeet) où elle vend ses sous-vêtements sales et envoie des photos de ses pieds. LOGEMENT : #29 hardgrave road (west end), avec mateo et elena. elle croise les doigts pour que ça dure plus d'un an, cette fois. POSTS : 1299 POINTS : 40 TW IN RP : troubles alimentaires, mention de nourriture, perception erronnée du corps, parentification, langage cru (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : mère récemment décédée, père expatrié, un frère emprisonné, l’autre en foyer ; elle manque sérieusement de repères familiaux ≈ mouton noir de la famille, tombée dans les troubles du comportement alimentaire, elle a vraiment cru qu’elle s’en était sortie pour de bon jusqu’à ce qu’elle replonge en janvier 2024 ≈ vierge et paniquée par tout ce qui touche à l’intimité, ce n’était pas un problème jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse d’angus ≈ impulsive, immature, elle vit sa crise d’adolescence avec un peu de retard ≈ arrogante, peste, bourrée d’insécurités, douce : un vrai paradoxe. CODE COULEUR : maisie nargue le monde en tomato et en peru. RPs EN COURS :
llewyn ⊹ there’s no other love like the love for a brother. there’s no other love like the love from a brother.
angus ⊹ in any universe you are my dark star. i want you to want me, why don't we rely on chemistry? why don't we collide the spaces that divide us? i want you to want me.
seth ⊹ there is a little boy inside the man who is my brother. oh, how i hated that little boy. and how i loved him too.
aiden ⊹ if you'd never looked my way i would've stayed on my knees and i damn sure never would've danced with the devil at nineteen, and the god's honest truth is that the pain was heaven and now that i'm grown, i'm scared of ghosts, memories feel like weapons.
morigan #4 ⊹ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
(07/06 - c'est presque ça) › sara #1 › emery #1 › russell #1 › mateo #1 › samuel #1RPs TERMINÉS : (2016) jake #1 (2019) megan #1 (2020) megan #2 (2021) angus #2 (fb) › swann #1 › angus #1 › › raphael #1 › seth #1 › mila › rory #1 › swann #2 › angus #3 › carl #1 › nino #1 › theo #1 (2022) raphael #2 › amaya › muiredach › aiden #1 › seth #3 › angus #5 › arthur › angus #4 & seth #2 › angus #6 › angus #7 › carl #2 › laila #1 › angus #8 › vivian › carl #3 › seth #4 › swann #3 › damon › jo #1 (2023) cesar #1 › carl #4 › angus #9 › angus #10 › molly › jo #2 › olivia #1 › carl #5 › megan #3 › raphael #3
(ab.) nicky (2019) › quincy (2019) › red › kyle › tobias › aiden › sofia › › muiredach #2 › rudy › halston (fb) › murphy › oxtorm › clément (db) › seth #5 › bonnie #1 › angus #11 › angus #12 › seth #6 › jo #3 › cameron #1 › logan #1 › aide #2 › carl #6 › twelve #1 › anwar #1 › vivian #2 › maxine #1 › dan #1
(dimension gothique) › eve › greta › cesar #2 AVATAR : daisy edgar-jones. CRÉDITS : (ava) @drippingalchemy (sign) astra (gifs) @noahjupelove, @hawkinsindiana, @alicemxkesthings, @wonderlandofresources, @kiernwalker, @harley (ub) @loonywaltz. DC : finnley coverdale (domhnall gleeson) & kieran halstead (dan smith). PSEUDO : leave. INSCRIT LE : 01/07/2021 | (#)Mar 8 Oct 2024 - 21:58 | |
| Je m’étais préparée à affronter Delilah, à afficher mon plus beau sourire pour diminuer son inquiétude, à narrer le récit de ma vie en le couvrant de détails insignifiants pour qu’elle ne cherche pas à creuser plus encore, à m’excuser quant à mon silence des dernières semaines pour mieux raviver notre amitié. Je m’attendais à toutes ces choses et bien plus encore, mais je ne m’attendais pas à me retrouver face à son cerbère de père, celui dont le regard se veut toujours dur dès lors qu’il le pose sur moi, comme si j’étais un second enfant qui avait les faveurs de la matriarche, mais qui ne le trompe pas – fais gaffe à toi, que semblent me dire ses yeux, et il n’en faut pas plus pour accentuer mon air moqueur plaqué sur le visage. Dans d’autres circonstances, sans doute que je n’aurais pas osé me lancer dans ce jeu-là, encore moins avec quelqu’un d’aussi important pour Delilah, mais aujourd’hui chacune des fautes qui peut m’être incombée est un moyen de dissimuler les plus graves, et si Delilah a vent de tension entre son père et moi que j’aurai volontairement accentuées, elle en oubliera le reste. Elle oubliera ses interrogations, son besoin de vérité, son affection démesurée pour marquer la distance entre nous, celle-là même dont je n’arrive pas à m’assurer parce qu’elle est persévérante, la jeune femme.
J’accentue des salutations dont il s’est passé, je mets en avant son ignorance, j’impose ma présence. Toutes ces choses pour le tester, pour le faire vriller, pour qu’il ne se contente pas d’un regard mauvais, mais qu’il crache ce qu’il semble me reprocher. Peut-être qu’il est ainsi avec toutes les fréquentations de sa fille, je ne le connais pas assez pour savoir s’il s’agit d’un trait de personnalité ou un caractère influencé par le contexte – mais si j’en crois les longues tirades de Delilah sur son paternel, le second point me semble plus cohérent. Et, à cet instant précis, le contexte est clair : je suis à sa porte, j’attends mon amie ; difficile de ne pas imaginer que sa froideur m’est adressée, pour une raison que j’ignore. Et même sans en avoir connaissance, j’estime qu’elle est erronée ; je n’ai jamais rien fait pour décevoir Delilah, j’ai toujours été sincère avec elle (concernant mon amitié, du moins) et, jusqu’à aujourd’hui, je n’ai jamais échangé plus que quelques mots avec Samuel. « Ah, elle m’a écrit qu’elle était coincée au travail, mais elle arrive aussi vite que possible. » - « Voyez. » Je me contente de rétorquer, avec un sourire presque innocent. Voyez, j’ai raison d’être ici, j’ai raison de vous infliger ma présence, vu que cela semble être une telle punition que d’avoir à me parler. Il n’est pas le premier (certainement pas le dernier non plus) à ne pas pouvoir faire semblant de me supporter ; c’est exactement sur ce point-là que j’aime appuyer, celui qui ne fait que me confirmer qu’il y a une part de moi qui restera toujours incontrôlable. Le commun des mortels saurait faire la part des choses, se rendre poli, supporter l’instant ; mais ce n’est pas mon cas. J’ai ce besoin d’aller toujours plus, d’appuyer sur les failles, d’en chercher la cause, de jouer avec elles. Le grognement de Samuel quand j’entre ne fait que confirmer mes impressions, et je ne me gêne pas pour prendre possession des lieux comme s’ils étaient les miens. « T’en fais pas, Delilah ne devrait pas tarder. » - « J’espère. On a beaucoup de choses à rattraper, elle et moi. » Je dis, en haussant les épaules. Le temps nous a prétendument manqué au cours des dernières semaines ; qu’il se prépare parce qu’il ne s’agit pas d’une innocente rencontre. Je dégagerai sans doute pas de sa maison avant le lendemain aux premières heures. « Je t’offre quelque chose à boire? » - « Un verre d’eau, merci. » Il se rattrape, Samuel, bon point pour lui (absolument pas) « Alors c’est quoi les plans pour ce soir? Je savais pas que vous vous voyez encore, Delilah et toi. » Je m’approche du comptoir, appuie mes coudes sur celui-ci, prête à la confidence face à l’interrogatoire qu’il semble lancer. « Vous savez, elle est quand même ce qui se rapproche le plus d’une meilleure amie pour moi. » J’annonce, et elle s’en rapproche uniquement parce que je trouve ce terme infantilisant. Et, à vrai dire, peut-être que Delilah possède effectivement ce rôle, et s’il ne faut que ça pour emmerder son père, alors oui, elle l’est : il a ainsi l’assurance que malgré nos rencontres plus irrégulières, je ne sortirai jamais totalement de sa vie. « On va sûrement rester dans le coin, à refaire le monde jusqu’au petit matin. » J’annonce, avant de paraître soudainement inquiète : « Sauf si, là-aussi, ça vous dérange ? » Un peu comme ça l’a dérangé que je m’invite ; mais le programme est déjà établi et tout comme quelques instants auparavant, il n’a pas son mot à dire, en réalité.
@Samuel Wellington |
| | | ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 613 POINTS : 720 TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chers DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
(dix-sept) ♪ andrew #1 (fb 2023) › anna #1 › anna #2 › faith #1 › hadley #2 (fb 2001) › hadley #3 › hadley #4 (fb 1999) › izan #3 › james #1 › jayden #1 › lily #1 › maisie #1 › malone #1 › yasmin #1 › yasmin #2 (fb 2018)
(event jurassique) ella › jayden. RPs EN ATTENTE : finnley. RPs TERMINÉS : (2024) ♪ izan #1 › asher #1 › hadley #1 › izan #2 › leslie #1. AVATAR : charlie hunnam CRÉDITS : (av. showmeyouricons) + (gifs. lomapacks) DC : penny stringer (ft. elizabeth olsen) + autumn galloway (ft. lucy boynton) +
willow storm (ft. lili reinhart) PSEUDO : vlastuin (marie.) INSCRIT LE : 15/08/2024 | (#)Mar 5 Nov 2024 - 5:26 | |
| when it rains, it pours @Maisie Moriarty + Samuel Wellington lieu: résidences, bayside« Voyez. » Oui, bien sûr que tu vois, mais ça ne veut pas dire pour autant que tu te sens particulièrement heureux face à cette situation, ni même moindrement à l’aise. La dernière chose dont tu avais besoin aujourd’hui, c’est de jouer de la prétention devant une amie de ta fille, une amie que tu aurais préféré voir perdre ce titre, si tu étais pleinement honnête. Tu n’as jamais été particulièrement doué pour jouer la comédie, chaque émotion qui t’habite et inévitablement traduite sur ton visage, et quelque chose te dit qu’elle ne passe pas à côté de tous tes non-dits, la jeune femme, quand elle semble prendre plaisir à prendre ses aises chez toi quand toi, tu préfèrerais lui montrer la porte en lui demandant d’oublier ton adresse. Ignorer Maisie dans un silence inconfortable est une option, et ce serait mentir de dire que tu ne la considères pas, mais tu décides de faire un effort. Pour quelle raison? Tu n’es même pas certain de pouvoir te l’expliquer. Peut-être pour éviter que la jeune femme ne relate à ta fille que tu es un mauvais hôte, bien qu’elle soit déjà au courant des doutes et des inquiétudes que tu continues d’avoir envers cette amie bien particulière. « J’espère. On a beaucoup de choses à rattraper, elle et moi. » Alors tu n’avais pas eu tort, de croire que les liens entre les deux jeunes femmes étaient coupés. Tu n’avais pas entendu le nom de Maisie passé les lèvres de ta fille depuis plusieurs semaines, plus mois peut-être, mais ton absence pendant la tournée avait aussi fait en sorte que tu n’étais plus aussi à jour sur les relations et les nouvelles concernant Delilah que tu ne l’es normalement. « Tout va bien, pour toi? » Est-ce une réelle inquiétude ou alors une façon détournée de mettre ton nez dans ses affaires, pour prouver une bonne fois pour toute que Maisie n’est pas une bonne influence? Même toi, tu ne le sais plus. C’est idiot, de penser qu’une gamine d’à peine 20 ans puisse être une source de souffrance pour ta fille, mais c’est plus fort que toi : tu veux la protéger de tout et de tout le monde que tu ne juges pas adéquat, même si con, même si c’est une manière de faire qui ne fait pas de sens, surtout quand on connait le grand cœur de ta fille et sa tendance à vouloir aider et être présente pour tout le monde.
« Un verre d’eau, merci. » Tu verses un deuxième verre d’eau que tu offres à Maisie, sans sourire parce qu’il ne faut quand même pas trop t’en demander. Tu poursuis ton semblant d’interrogation, et chaque fois qu’elle te regarde avec un air un peu trop enjoué, ça te donne envie de grogner, même si tu fais preuve d’une restreinte hors du commun quand on te connaît vraiment. « Vous savez, elle est quand même ce qui se rapproche le plus d’une meilleure amie pour moi. » Cette révélation te surprend, et tu ne peux pas camoufler la surprise de sur ton visage. Delilah est une fille sociale, et de ses amies, tu pourrais en nommer deux ou trois que tu juges plus près de ta fille, mais est-ce que Maisie a d’autres gens, autour d’elle? Est-ce que tu peux vraiment te permettre de l’éloigner de Delilah si elle n’a personne d’autre? Eh merde. « On va sûrement rester dans le coin, à refaire le monde jusqu’au petit matin. » Normalement, ça devrait te déranger de savoir qu’elles restent ici, mais soudainement, tu préfères ça à l’inverse, qu’elles se retrouvent tu ne sais pas où à faire tu ne sais pas quoi. « Sauf si, là aussi, ça vous dérange? » « Il n’y a rien qui me dérange dans tout ça, Maisie. » Ce n’est pas totalement vrai, mais ce n’est pas un mensonge non plus. « Delilah et ses amies sont toujours la bienvenue ici, et je préfère vous savoir ici qu’ailleurs. » Tu prends une longue gorgée de ton verre d’eau, avant de le déposer sur le comptoir, tournant entièrement ton attention sur la jeune femme. « Tu sais Maisie, ma fille me parle beaucoup. Et j’aime croire qu’elle ose me parler d’un peu de tout. » Et tu espères qu’elle comprendra là qu’entre Delilah et toi, les secrets sont gardés à un minimum. « Je te ferais pas l’affront de prétendre que je suis pas au courant pour les inquiétudes qu’elle a à ton égard. » Allait-elle nier? Se cacher derrière des prétentions quelconques, pour te faire croire que ta fille n’avait pas de raison de s’en faire? Tu ne sais pas ce que tu espères vraiment en lui disant ça, mais tu trouvais important de mettre carte sur table, une fois pour toute. |
| | | | | | | | (maisie) when it rains, it pours |
|
| |