(morigan #5) the rise and fall of a midwest princess
Megan Williams
la détresse des roses
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
RPs EN ATTENTE :
milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
Ponctué par les cours de plus en plus compliqués étant donné le retard que j’ai accumulé au premier semestre - et qui me force à repasser certaines matières en plus de celles que je suis au second - par les injections quotidiennes que Damon me fait avec douceur mais sans grande compétence et qui laissent des ecchymose sur mon abdomen et les visites chez le spécialiste quasi un jour sur deux pour des échographies de contrôle, mon quotidien est épuisant. Les bleus sur mon ventre sont quasi indolores tant que l’aiguille n’est pas insérée une fois de trop dans la même zone et, bien que Damon me demande pardon religieusement à chaque fois, je ne lui en veux pas. Je sais qu’il me présente ses excuses pour deux raisons : sur les marques sur mon ventre autant que pour la situation dans son ensemble. Les premières sont communes et quasi inévitables dans mon cas, ma peau a toujours marqué facilement et quant à la seconde, je ne songe pas un instant à lui en vouloir. Nous le voulons tous les deux, cet enfant, et mon époux n’a pas choisi ses problèmes de fertilité qui rendent le processus plus compliqué pour nous que pour un couple lambda. Malgré tout, j’ai hâte que, dans deux ou trois jours selon le personnel médical, la première phrase soit terminée. Je connais le processus et toutes les longues étapes qui sont encore devant nous sur le bout des doigts, j’ai presque appris par coeur tous les prospectus qui nous ont été donnés et j’ai écumé le web à la recherche de témoignage. Je sais que mon répit ne durera qu’à peine plus d’une semaine et qu’une fois les embryons fécondés transférés, le traitement que je suivrai a toutes les chances de faire revenir la fatigue et les douleurs abdominales que je subis depuis presque dix jours. Seulement, je me dis que c’est passager, je n’envisage même pas la possibilité d’un échec et de devoir tout recommencer à zéro : d’ici moins d’un mois, je serai enceinte, j’en suis certaine.
Je suis épuisée mais, alors que le week-end a pointé le bout de son nez, j’ai ressenti le besoin de prendre un peu l’air et, surtout, de cesser de penser à chaque minute à la prochaine injection. L’opportunité s’est présentée sous la forme d’un message de Maisie qui me proposait d’aller faire les magasins en ville et, bien que la trouvant distante depuis quelques mois, j’ai sauté sur l’occasion sans y réfléchir à deux fois. La vérité c’est que, centrée sur moi-même, son attitude ne m’a pas tracassée outre mesure. Je ne me suis pas demandée pourquoi elle était un peu différente ; je ne l’ai même pas remarqué, à vrai dire. Elle a décliné ma proposition de nous retrouver un peu plus tôt pour déjeuner ensemble au restaurant et ça aussi, je ne l’ai pas relevé. J’ai simplement profité de son refus pour sortir manger avec Damon et, lorsque l’heure de mon rendez-vous avec la brune a pointé le bout de son nez, j’ai embrassé mon mari avant de le quitter pour l’après-midi pour aller retrouver Maisie.
Fidèle à moi-même, elle a le droit à un grand signe et à un grand sourire alors que je l’aperçois et traverse au passage piétons pour la rejoindre. Je dépose une grosse bise sur sa joue, avant de la détailler et de pousser un sifflement admiratif. « Je comprends mieux pourquoi tu voulais aller acheter des fringues. » Le sous-entendu n’est pas qu’elle manque de style, promis juré. « T’as fondu cet hiver ! » Le constat n’est pas franchement positif - je commence à la trouver un peu trop mince par endroits - mais je n’en montre rien ou pas grand-chose. Je sais la jeune femme sensible et susceptible et, pour une fois, je me garde bien de la moindre réflexion. La moindre réflexion supplémentaire en tout cas mais, un peu aveugle aux problèmes de la jeune femme, je ne me doute pas que le mal est certainement déjà fait. « J’ai mangé avec Damon dans un super restau à midi, faudra que je t'emmène. Je me suis arrêtée pour prendre les meilleurs cookies de toute la ville avant de te rejoindre, tu en veux un ? » Un sourire sur le visage, je lui tends la petite boîte dans laquelle les merveilles sont joliment alignées. Il y en a pour tous les goûts et, promis juré, ma proposition n’a aucun rapport avec le constat précédent. « Ceux au praliné sont terribles, tu devrais goûter. » Si elle refuse alors, tant pis pour elle, j’en connais un qui sera heureux de me voir rentrer avec quelques douceurs. « Si t’as pas forcément d’idée en tête, faut que je te fasse découvrir une boutique, je suis tombée dessus un peu par hasard l’autre jour et les fringues sont très sympa. » Je ponctue ma phrase d’un premier pas en direction dudit magasin pour lancer le mouvement. « Ils ont reçu des maillots de bain en crochet super mignons pour l’été. Je voulais passer cette semaine mais avec les cours j’ai pas eu le temps. » La vérité, c’est que je ne possède que des bikinis et que, par pudeur et envie de ne pas exposer mon ventre moucheté de bleus alors que la saison de la baignade reprend, je suis à la recherche d’un maillot une pièce.
:
Maisie Moriarty
la trahison des images
ÂGE : vingt-trois ans (10.02.2001). STATUT : elle aime angus ; elle l'a donc largué, en toute logique (non). MÉTIER : employée polyvalente dans un cinéma de quartier, arrondi les fins de mois avec son compte onlyfans (@onlyfeet) où elle vend ses sous-vêtements sales et envoie des photos de ses pieds. LOGEMENT : #29 hardgrave road (west end), avec mateo et elena. elle croise les doigts pour que ça dure plus d'un an, cette fois. POSTS : 1299 POINTS : 40
TW IN RP : troubles alimentaires, mention de nourriture, perception erronnée du corps, parentification, langage cru (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : mère récemment décédée, père expatrié, un frère emprisonné, l’autre en foyer ; elle manque sérieusement de repères familiaux ≈ mouton noir de la famille, tombée dans les troubles du comportement alimentaire, elle a vraiment cru qu’elle s’en était sortie pour de bon jusqu’à ce qu’elle replonge en janvier 2024 ≈ vierge et paniquée par tout ce qui touche à l’intimité, ce n’était pas un problème jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse d’angus ≈ impulsive, immature, elle vit sa crise d’adolescence avec un peu de retard ≈ arrogante, peste, bourrée d’insécurités, douce : un vrai paradoxe. CODE COULEUR : maisie nargue le monde en tomato et en peru. RPs EN COURS : llewyn ⊹ there’s no other love like the love for a brother. there’s no other love like the love from a brother.
angus ⊹ in any universe you are my dark star. i want you to want me, why don't we rely on chemistry? why don't we collide the spaces that divide us? i want you to want me.
seth ⊹ there is a little boy inside the man who is my brother. oh, how i hated that little boy. and how i loved him too.
aiden ⊹ if you'd never looked my way i would've stayed on my knees and i damn sure never would've danced with the devil at nineteen, and the god's honest truth is that the pain was heaven and now that i'm grown, i'm scared of ghosts, memories feel like weapons.
morigan #4 ⊹ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
tw : mention de troubles du comportement alimentaire
J’ai hésité durant des jours avant d’envoyer ce message à Megan. Je n’arrive même plus à me souvenir de l’impulsion qui m’a amené à le faire, d’ailleurs. À l’issue de notre dernière rencontre, lors de cette soirée dans les vignobles, il m’est apparu clairement que la considération que j’imaginais de la part de mon « amie » n’était, depuis tout ce temps, que feinte. Sinon, comment expliquer la reprise de ses études dans un domaine qu’elle a tant dénigré quand j’étais moi-même en train de suivre ce cursus ? Megan m’avait ri au nez, m’avait humiliée à sa façon en soulignant le caractère inhumain d’un tel métier, n’avait pas dissimulé son dédain pour celui-ci ; quelques années plus tard, la voilà pourtant qui se lance dans un tel cursus et qui s’en vante ouvertement. J’ai réalisé qu’au-delà d’une ironie détestable, il y a surtout un message que je n’ai pas su voir durant toutes ces années : ce n’est pas tant le métier qui lui pose un problème que le fait que je l’exerce. Il me paraît de plus en plus évident que mes capacités sont remises en question par Megan, et sans doute mon intelligence aussi – on n’évolue pas dans le même monde, j’en ai toujours été consciente, et je crois qu’elle aussi. Je n’ai pas cherché à reprendre contact durant des semaines et elle non plus, le message était clair. Megan n’évolue plus dans la même sphère, Megan s’envole, Megan réussit tout ce qu’elle touche – pourquoi s’embêter avec des amies qui sont un fardeau pour elle ? Elle a sa vie parfaite, j’imagine qu’elle a mieux à faire que de se soucier des cas sociaux du coin – et dire qu’elle se sent plus qualifiée que moi pour travailler dans le social, putain.
Pourtant, je lui ai envoyé ce message. J’essaie toujours de comprendre ce que je recherche à travers ma proposition ; une validation de sa part après laquelle j’ai souvent couru ? Des arguments supplémentaires m’indiquant qu’elle me dénigre comme il se doit ? À l’inverse, des preuves que ce n’est pas le cas et qu’encore une fois, j’interprète tout de manière erronée ? Des raisons de me détester un peu plus en me confrontant ainsi à elle et son jugement ? Après tout, si Megan valide tout ce que je pense de moi-même, il sera difficile de prétendre que je vaux mieux que ce qu’elle pense, n’est-ce pas ? Si même une amie proche ne peut pas fermer les yeux sur mes défauts, alors personne ne le peut – moi-même en tête de liste. J’entends la voix de mon psy qui pointe du doigt mon obsession du contrôle, même quand il s’agit de maîtriser la manière dont je heurte mes relations, dont je sacrifie mon bien-être, dont je gâche ma propre vie. Ça ne l’est pas ; je peux entendre qu’il s’agit peut-être d’un test, mais celui-ci est uniquement destiné à Megan. Parce que je la considère comme une amie proche, parce que j’ai besoin d’être fixée sur notre amitié et que n’importe qui dans ma situation agirait de la même manière.
J’ai évité le restaurant, mais pas le shopping – après tout, n’est-ce pas dans ce contexte-là qu’elle m’a challengé durant des semaines ? En critiquant mon manque d’engouement pour la mode, mon sens du style aléatoire, les efforts que je pourrais faire ? Si elle a quelque chose à me dire, d’autres piques à m’adresser, ce sera inévitablement dans ce contexte. « Je comprends mieux pourquoi tu voulais aller acheter des fringues. » Qu’elle me dit à peine je suis arrivée à sa hauteur et durant un instant, je m’inquiète de ce qu’il va suivre. Je te promets, Megan, que j’ai fait des efforts, que j’ai appris la leçon, ne vois-tu pas comme mes vêtements ressemblent à ce que toi, tu pourrais mettre ? « T’as fondu cet hiver ! » Elle a sifflé. On siffle d’admiration, n’est-ce pas ? Quand on veut féliciter quelqu’un, quand on est impressionné. Megan est impressionnée. Mon humeur s’adoucit alors que j’ai la validation tant attendue, celle qui implique autant que mon sens de style n’est plus aussi déplorable qu’à une époque que ma perte de poids n’est pas si dramatique que d’autres le disent – sinon, elle l’aurait dit, Megan dit toujours les choses, j’en ai souvent fait les frais. Mais elle n’a rien dit, et si elle-même, qui prône la mise en valeur et la superficialité, ne remarque pas le prétendu souci alors c’est confirmé : il n’y en a pas. « Je prépare mon summer body en avance, tout ça, je commence à être dans le bain de la féminité, Megan. » Je dis, avec un sourire amusé et un haussement d’épaules las. « J’ai mangé avec Damon dans un super restau à midi, faudra que je t'emmène. Je me suis arrêtée pour prendre les meilleurs cookies de toute la ville avant de te rejoindre, tu en veux un ? » J’observe la petite boîte, et je secoue la tête par la négative. « Ceux au praliné sont terribles, tu devrais goûter. » Mon regard retrouve le sien. « Peut-être après, pour reprendre des forces après la session shopping. » J’explique, avant d’ajouter, convaincue : « puis si j’en mange un, je vais dégommer toute la boîte après. » Je n’ai même pas à prétendre ; ça pourrait arriver. Ce qui pourrait aussi arriver, c’est la culpabilité ressentie après cet acte, alors je m’abstiens de provoquer mon malaise. « Si t’as pas forcément d’idée en tête, faut que je te fasse découvrir une boutique, je suis tombée dessus un peu par hasard l’autre jour et les fringues sont très sympa. » Me calquant sur ses pas, je me mets à sa suite, songeant silencieusement aux prix de ladite boutique – nous n’avons pas les mêmes moyens, après tout. « Ils ont reçu des maillots de bain en crochet super mignons pour l’été. Je voulais passer cette semaine mais avec les cours j’ai pas eu le temps. » Ma mâchoire se serre de manière imperceptible à l’entente de ce foutu mot. Les cours, ceux qu’elle suit, ceux que j’ai arrêtés. « Ça se passe bien ? » Que je demande, parce que moi, je suis une bonne amie, je suis celle qui prend des nouvelles, qui s’inquiète, qui s’intéresse. Mais pas trop, pas assez, alors que, bientôt, j’ajoute comme pour m’assurer qu’elle ne s’épanche pas plus que de raison sur le sujet : « Vous partez avec Damon ? » J’imagine que oui, après tout, ils ont suffisamment d’argent pour que les vacances ne deviennent pas une exception, mais un principe de vie.
ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410
TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay.
RPs EN ATTENTE :
milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break.
Maisie a toujours été mince. Ses formes – déjà presque inexistantes – disparaissaient derrières des vêtements informes lorsque nous nous sommes rencontrées. Aujourd’hui, j’aime penser qu’elle a acquis un minimum de sens du style en me côtoyant. Preuve en est, ses robes sont plus cintrées, ces chemises un peu plus à la pointe de la mode et dans une pièce remplie de monde, elle passe un peu moins inaperçue. Maisie pourrait être vraiment mignonne avec un peu plus de confiance en elle, j’en suis persuadée. Elle commence même à l’être et mon analyse a conclu par un gain de confiance en elle grâce à sa première relation sérieuse. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’elle fait tourner toutes les tête sur son passage mais, à sa façon, je suppose qu’elle plaît aux hommes qui aiment les femmes menues et discrètes. « Je prépare mon summer body en avance, tout ça, je commence à être dans le bain de la féminité, Megan. » - « Il m’a l’air prêt là, en tout cas. » Les sous-entendus enrobés d’un ton humoristique et d’un grand sourire sont ma spécialité. Toutefois, je ne songe pas non plus qu’elle a un problème. J’ai du mal à concevoir que faire attention à son apparence puisse en constituer un d’une quelconque sorte. Les os de ses pommettes ressortiraient que je n’arriverait pas à estimer que quelque chose cloche. « Peut-être après, pour reprendre des forces après la session shopping. Puis si j’en mange un, je vais dégommer toute la boîte après. » - « T’as une volonté de fer. Je t’envie ! » Glorifier les restrictions et la perte de poids est aussi ancré dans mon ADN que de toute faire pour plaire à la gente masculine. « Je suis incapable de résister à un cookies ou à un latté. » J’omets évidement que si je peux le me permettre, c’est en partie grâce à une alimentation particulièrement équilibrée à côté de ça. Si Damon était un grand cuisinier, peut-être que cela me couterait. Mais de nous deux, c’est moi qui aie hérité de cette tâche. « Mais j’en connais un qui sera heureux si tu lui en laisse. Je te jure, on est vraiment pas égaux. » Damon est une immense brindille. Son corps, sec et tout en muscle, ne montre jamais le moindre signe d’une variation de poids. En hochant les épaules, je range la boîte de cookies dans mon sac à main.
« Ça se passe bien ? » Je fais la moue et hoche les épaules. « C’était compliqué en début d’année avec tout ce qu’il s’est passé. » Ma fausse couche est un secret bien gardé. Le suicide de Saül, en revanche, a fait la une des journaux. Quant à la mort de Charlie, les quelques photos et hommage postés sur mes réseaux ou repostés depuis ceux d’autres de nos anciens proches auront certainement porté l’information jusqu’à Maisie, et ce même si nos cercles sont assez différents. « J’ai quelques matières du premier semestre à repasser au second. Le rythme est pas facile, du coup, et j’ai un tuteur pour pouvoir suivre. » Mais une fois que cette année sera derrière moi, j’y verrai certainement un peu plus clair : le début de la prochaine ne devrait pas être rythmé par les avant-premières et la promotion d’un film, j’imagine que tout sera bien plus facile cette fois. « J’ai voulu tout faire en même temps aussi, c’est de ma faute. Mais je m’accroche, ça deviendra plus facile après. » Une fois que le rythme scolaire sera définitivement rentré à nouveau dans mes habitudes. J’occulte en revanche entièrement le fait que, si je tombe enceinte, les choses risquent de se compliquer. « Vous partez avec Damon ? » - « Pour l’instant on a rien prévu, on a d’autres gros projets. » A savoir, réussir à concevoir un enfant. Mais peut-être que d’ici les fêtes, tout sera derrière nous et que mon mari, moi et mon petit ventre délicatement arrondi pourrons profiter d’une parenthèse bien méritée dans une destination où ce sera, de préférence pour une fois, vraiment l’été. « On a le chic pour aller en Europe quand c’est l’hiver là bas. C’est un peu devenu un running gag entre nous, mais je dirais pas non à un peu de soleil pour une fois. » Mais nous l’avons toute l’année. « Il faudra peut-être qu’on aille faire un peu de tri dans l’une des maisons dont a hérité Damon au décès de son père, je sais pas encore, ça dépendra de lui. » Je n’ai pas été touché par la disparition du patriarche Williams. Au contraire, je pense que le monde se porte bien mieux sans cette ordure. Mais Damon a été affecté, bien plus que de raison, et j’ai fait de mon mieux pour être là pour lui. « Et toi alors ? Des projets avec ton mystérieux mec que tu m’as toujours pas présenté peut-être ? » Aucune femme ne me présente jamais son petit-ami. Cela serait presque vexant si ce n’était pas un peu flatteur, au fond.