(charlie #1) i don't know what it feels like to be staying
Auteur
Message
Mokare Unaipon
le gré du vent
ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : touche à tout, tu n'as pas de boulot fixe en ce moment. Tu te contentes d'aider les gens qui en ont besoin. Tes compétences dans beaucoup de domaines te permettent de ne pas te soucier des factures de demain. LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 139 POINTS : 0
TW IN RP : abandon de sa sœur jumelle à la naissance ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : mokarina #1 ~ you missed to my life and i found you back
momeï #1 + #2 ~ you can't see, but i can see the true you
@Charlie Beauregard - logan city, logements – août 2024 ¤¤¤ crédits gifs (flynn taylor) / code (boté du sud )
Visiblement, ta présence chez Lewis n'est plus la bienvenue... et tu peux l'entendre, puisqu'un dépannage de quelques jours s'est transformé en colocation d'un mois. L'appartement de Lewis est sympa, tu te plais bien là-bas, mais le blond t'a bien fait comprendre qu'il est grand temps pour toi de voler de tes propres ailes... mais comment dire que, sans travail, il t'est encore impossible de louer un appartement pour toi tout seul. Tu n'as pas les moyens pour gagner ton indépendance tout de suite, mais c'est de ta faute. Tu as voulu profiter des paysages et de ce tout ce qu'offre Brisbane, rencontrant diverses personnes à chaque fois... mais tout cela ne t'a pas apporté d'argent. Finalement, même tes cours de danse, tu ne les as pas fait payer à Maeve encore. Tu n'as même pas pris la peine d'éplucher les petites annonces, bien plus motivé à l'idée de gravir le Mount Coot-Tha, ou jouer de la guitare au bord de la mer, plutôt que de travailler. Et puis, c'est l'hiver australien, le temps est agréable, les températures parfaites pour la randonnée par exemple. Bref, tu te cherches des excuses, mais ce qu'il t'a fallu chercher en priorité du coup, c'est une nouvelle colocation. En te rendant aux locaux de l'association Beauregard, pour essayer d'en savoir plus sur le cancer du sein de ta mère, tu as trouvé une petite annonce d'un certain Charlie Beauregard (certainement un membre de la famille qui s'occupe de l'association, pour le coup) et tu l'as aussitôt contacté pour t'assurer que la colocation ne te passe pas sous le nez, comme l'ancienne. Mais encore une fois là, c'était de ta faute également, en ne prévenant pas de ton retard. Charlie et toi, vous avez communiqué par messages, et en voyant la maison qu'il propose, tu t'es tout de suite rendu à l'évidence que tu ne pourrais pas te permettre de vivre là-bas. Le loyer, même partagé, serait au-dessus de tes moyens. Pourtant, tu es là, sur le pas de la porte, parce que Charlie t'a convaincu que vous arriverez à vous arranger pour cela, et que ce n'était pas un problème pour lui. Pour ne pas te donner un côté trop baroudeur avec ton sac à dos et ta guitare, tu as demandé à Lewis de les laisser chez lui le temps que tu sois fixé sur ce rendez-vous. Si les choses se déroulent comme tu les envisages, tu pourras aller le rechercher plus tard dans la journée pour t'installer dans la somptueuse maison du frère Beauregard. Lorsque la porte s'ouvre sur ce dernier et tu lui adresses un large sourire, quoiqu'un peu écrasé par la beauté des lieux. Tu dénotes tellement par rapport à cette maison qui respire l'argent, alors que tu es fauché, archi fauché. « Bonjour Charlie. Mokare, enchanté. » Dis-tu pour les formalités, avant de le complimenter très sincèrement sur son lieu de vie : « L'extérieur de la maison est encore plus beau que sur les photos... » Au fond, tu espères toujours que le prix que va te proposer Charlie ne va pas t'assassiner. Car même s'il te dit que ce n'est pas un problème et qu'il t'a rassuré quant au fait que vous alliez trouver un arrangement, tu te demandes si la négociation avec une personne plus aisée financièrement que toi sera tout de même à ta portée.
ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight. ஃ
Charlie Beauregard
le chaos organisé
ÂGE : 37 ans (08/04/87) SURNOM : Charlie est déjà un surnom mais si vous voulez l'énerver il suffit de l'appeler Charles STATUT : depuis que le destin l'a mis sur sa route, il n'arrête plus de penser à Jayden MÉTIER : ancien journaliste sportif, propriétaire de la salle de sport inclusive EveryBody et défenseur des droits LGBTQ+ LOGEMENT : une maison au #32 latimer road (logan city) POSTS : 3465 POINTS : 0
TW IN RP : homophobie, divorce, décès et deuil d'un proche GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : heureusement qu'il ne boit pas souvent, parce que Charlie tient vraiment pas l'alcoolDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : dodgerblue RPs EN COURS :
(7/5)
CHAYDEN - Thinking it can change the beat of my heart when he touches me and counteract the chemistry and undo the destiny
Il ne faisait plus aucun doute que Charlie était prêt à tourner définitivement la page d'une vie conjugale qui lui semblait désormais bien lointaine. En se débarrassant des quelques vestiges d'un mariage dont la valeur ne se réduisait pas qu'à des bibelots condamnés à la poussière d'un placard, une première étape avait été franchie, si bien qu'à ce stade il n'était plus question de faire machine arrière. Avant même d'avoir convenu de ce rendez-vous avec Mokare, Charlie avait décidé de dépouiller la chambre qui servirait de toute évidence mieux à un colocataire qu'à contenir les fantômes de son passé avec Ettie. C'était bille en tête qu'il s'était rendu au vide-grenier et qu'il avait troqué ses souvenirs contre une maigre somme, mais surtout qu'il s'était déchargé du poids de ses remords. Ce divorce, s'il lui apparaissait comme inéluctable, n'avait pas été une décision si facile à prendre. Charlie avait redouté de mettre un terme à son amitié avec Ettie en renonçant à leur engagement, puis avait été soulagé de constater que c'était la chose à faire pour se rapprocher au contraire avant de se détester pour toutes les mauvaises raisons. La maison était vaste, aussi grande que ses ambitions et tout ce qu'il entendait encore construire, mais à l'évidence il ne l'exploitait pas autant qu'elle le méritait, trop occupé à s'affairer partout sauf à l'endroit où il était censé se sentir chez lui. Certains l'accuseraient de déni, mais Charlie ne l'entendait pas de cette oreille, lui qui avait toujours eu un mal fou à terminer ce qu'il entreprenait. Le jardin était encore en chantier, mais c'était le temps qui lui faisait défaut plus que les idées. Des idées, Charlie en avait des tas, beaucoup trop d'ailleurs pour toutes les traduire en actions. Pour le moment, Charlie s'était concentré sur l'intérieur et le devant de la maison, petit bout de jardin vert et arboré qui sauvait des apparences auxquelles il tenait beaucoup trop. Le rez-de-chaussée, qui méritait une décoration plus chaleureuse, était une pièce monumentale qui s'étendait sur toute la surface de la maison, et où il avait aménagé un jardin d'hiver sous des poutres en bois, et surtout une salle de sport. Les pièces de vie se situaient toutes à l'étage : salon, cuisine et trois chambres dont une lui servait de bureau pour le moment. Même en acceptant un colocataire, Charlie ne mettait pas en péril sa capacité à servir de famille d'accueil si jamais les réfugiés de Manzili cherchaient un toit sous lequel s'abriter temporairement. Cela faisait plusieurs mois qu'il n'avait accueilli personne. Un espace gâché dont il ne pouvait plus se réjouir. Il n'avait pas exagéré pour faire bonne impression à Mokare. Sa maniaquerie ne se limitait pas aux moments où il attendait des invités, si bien que les pièces étaient toujours rangées au cordeau. Un soin qu'il tenait à partager avec son colocataire potentiel. Il avait fallu plusieurs semaines pour organiser cette rencontre, la faute à son emploi du temps chargé, qui pourrait bien s'accommoder d'un peu de vie dans cette maison souvent abandonnée. L'entrée était accessible par un escalier, instruction qu'il avait pris soin de laisser à Mokare avant son arrivée. Elle donnait sur le salon, une vaste pièce ouverte sur une terrasse qui permettait d'avoir une vue panoramique sur le jardin et la nature environnante. Bizarrement, Charlie n'avait aucune appréhension lorsque Mokare se signala à la porte. Il lui ouvrit naturellement, comme si les jeux étaient déjà faits et qu'il suffisait au jeune homme de poser ses affaires après une poignée de mains décisive. « Enchanté Mokare, vas-y entre. » dit-il en se dégageant de l'entrée pour le laisser investir la pièce. « On a dit qu'on se tutoyait, je sais plus ? Bref, dans tous les cas c'est réglé. » ajouta-t-il tandis que le jeune homme lui adressait des compliments obligés. Charlie ne doutait pas de sa sincérité, même s'il avait un avis plus biaisé et sentimental sur la question. « Tu trouves ? C'est un peu un cache misère, le jardin de l'autre côté de la maison est plutôt laissé à l'abandon tu verras. Après la pelouse est bien entretenue, donc si tu aimes le rugby ça fait un super terrain. » ironisa-t-il à propos de cet espace dont il n'avait pas encore eu le temps de tirer profit du potentiel. Il avait bien le projet d'une piscine, mais ce n'était qu'une autre esquisse jamais aboutie. « Je t'offre quelque chose à boire ou tu veux qu'on fasse le tour tout de suite ? »