ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : fiançailles rompues d’un commun accord, le désordre ambulant est de nouveau célibataire, le coeur en miettes MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1251 POINTS : 1390
TW IN RP : crise d'angoisse, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, addiction aux médicaments, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress professionnel. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS : ashan#20 ¤ all i want is nothing more to hear you knocking at my door ‘cause if i could see your face once more i could die as a happy man i’m sure. when you said your last goodbye i died a little bit inside, i lay in tears in bed all night, alone without you by my side. ‘cause you brought out the best of me, a part of me i’d never seen, you took my soul wiped it clean, our love was made for movie screens
izen#11 & ua (dj) ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. please swallow your pride if have things you need to borrow, for no one can fill those needs that you won't let show. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load if you call me
jayzan#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before, i'll be there for you 'cause you're there for me too. no one could ever know me, no one could ever see me seems you're the only one who knows what its like to be me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
samzan#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
mizan#2 ¤ where were you when everything was fallin' apart ? all my days were spent by the telephone that never rang and al i needed was a call, that never came to the corner of first and amistad. lost and insecure, you found me, you found me, lyin' on the floor, surrounded, surrounded, why'd you have to wait ? where were you ? where were you ? just a little late you found me
alyzan#1 ¤ t’as pas l'-pas l'oeil hagard, j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
sierra(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Davantage que la douleur de son poignet cassé, c’est son nouvel appétit pour les opiacés prescrits par sa meilleure amie qui est sa nouvelle tragédie. Oh, bien sûr, Izan ne s’en rend pas vraiment compte, que la plaquette de médicaments diminue plus vite que prévu, et il n’a peut-être même pas conscience qu’il augmenté les doses en auto-médication sans rien demander à personne ; 100mg. 150. 200. 300. 400. L’intervalle des prises s’est également réduit, et il ne prend même plus la peine de vérifier l’horloge pour jauger de sa dernière prise : il répond seulement à l’appel de son cerveau qui, pour avoir sa nouvelle fournée de pilules magiques, envoie de faux signaux à son corps, par des douleurs fantômes qui n’existent que pour justifier qu’il en avale de nouvelles. Mais si lui-même ne le réalise pas, difficile, pour les autres, de s’en rendre compte. Même Ash, qui partage pourtant son quotidien et qui doit supporter ses caprices toute la sainte journée, ne doit pas vraiment soupçonner que son fiancé est en train de sombrer dans une addiction qu’ils ne nomment pas encore. ’’Et tu reviens me chercher à quelle heure ?’’ qu’il demande en s’enfonçant dans son siège passager, une petite moue boudeuse se formant sur ses lèvres tandis qu’il poursuit, d’un ton toujours aussi grognon : ’’Je préfère aller chez tes parents, au moins là-bas je mange plein de biscuits et bonbons.’’ parce qu’être traité comme l’enfant qu’il est c’est définitivement la chose qu’il préfère, spécialement quand il est blessé et qu’il pense que le monde entier s’est arrêté de tourner à la seconde où il a eu le poignet en charpie ’’T’es obligé d’aller travailler ? Pourquoi tu ne restes pas avec moi ?’’ parce qu’exaucer le moindre de ses caprices n’est visiblement pas suffisant, il faudrait le faire à longueur de journée et, de toute évidence, Ash ne va pas pouvoir assurer cette mission cet après-midi, ce qui est son grand désespoir du jour ’’Je préférerais que tu restes avec moi.’’ mais malgré tous ses stratagèmes pour l’attendrir et le forcer à accéder à sa requête, Izan se retrouve quand même devant la villa de son meilleur ami. Lunettes de soleil sur le nez, il soupire en regardant la voiture de son fiancé qui s’éloigne, se promettant de se venger le soir même — il a tout un tas d’idées farfelues et cruelles croyez-le bien, avant de se diriger vers l’entrée de la somptueuse maison de Jayden. Il pourrait sonner, Izan, il pourrait même toquer ou appeler l’acteur pour le prévenir qu’il est là mais, il y a bien longtemps qu’il ne prend plus la peine de faire comme s’il n’était pas chez lui en ces lieux et, en passant le pas de la porte il s’écrit ’’JAY ?’’ d’une voix un peu forte pour être entendue, enlevant ses vans qu’il abandonne dans l’entrée puis commençant à galérer dans son coin pour en faire de même avec sa veste, il reprend : ’’J’AI FAIM’’ son meilleur ami ne va pas le laisser mourir de faim, c’est bien pour ça qu’il est venu. Enfin, c’est ce qu’il croit.
crédits/kellykadesperate
c’est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, j’suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j’m’en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, j’ai tout raté je l'atteste mais il me reste ce que vous ne voyez pas
Bryn Coverdale
l'appel de l'océan
ÂGE : 29 ans STATUT : célibataire MÉTIER : Surfeuse pro en crise existentielle LOGEMENT : Redcliffe, 02 victoria avenue POSTS : 178 POINTS : 570
TW IN RP : Alcoolisme, abandon, maltraitance, abus GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Arrivée à Brisbane à l'âge de 8 ans elle y est restée jusqu'en 2017 où elle est partie vivre aux USA + Adore l'océan + Voudrait vivre entourée d'animaux + A caché longtemps son homosexualité + Est un petit rayon de soleil DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #F88E55 RPs EN COURS :
Finnley#1 | You are my familly, my comfort zone, my man above all men
Bryave#3 | I've lost you many moons ago, I wish I hadn't
Je sursaute. Est ce que j'ai rêvé ? Je cligne plusieurs fois des yeux, il me faut une grosse seconde pour comprendre où je suis, et savoir si j'ai vraiment pas rêvé. Mon coeur bat la chamade, et ça ne s'améliore pas quand j'entends le deuxième appel.
- J'AI FAIM.
Assise sur le lit, je me met à paniquer. Je ne suis pas chez moi, mais il semble que c'est quelqu'un qui connait mon hôte. Du moins, c'est quelqu'un qui connait son prénom. Je sais qu'il n'est pas là ce matin, il avait rendez vous, et il m'a dit de rester le temps que je voulais, comme d'habitude. Je préfère être chez lui toute seule que chez moi toute seule. Pourquoi ? Parce que je sais que je ne serais pas seule toute la journée, et que dans le pire des cas je serais obligée de faire une activité, au moins une autre que le surf.
J'entends des pas dans la maison, des pas qui ne se veulent pas discrets. Mais ça suffit à me faire un peu paniqué. C'est comme ça que je sors de la chambre, cheveux en bataille, à peine vêtue d'un débardeur et d'une culotte. Clairement pas menaçant comme outfit, mais je n'ai rien d'autre à portée de main. Je prends mon téléphone au passage, assez lucide pour composer le numéros des secours, et à me préparer à m'enfermer dans la chambre si jamais. Je t'approche des escaliers qui offrent une rambarde, et c'est là que je le vois passer. Je fronce les sourcils. Bras en écharpe ? Si c'est un cambrioleur, c'est le pire du monde.
Il ne semble pas m'avoir remarqué, et moi je ne sais pas quoi faire. A moitié dans les escaliers, j'ai l'impression d'être un chat sur le qui vive. Prenant une grande inspiration, mon courage à deux mains, je me fais aussi légère qu'une ombre, et compte bien le surprendre. Au moins il sera aussi décontenancé.
T'es qui toi ?
Belle entrée en matière non ? Sourcils froncés, je fais comme je peux pour avoir l'air menaçante. On ne peut pas dire que ça soit super convaincant encore une fois. J'ai parlé en pointant mon téléphone vers lui, mais le plus que je puisse faire c'est lui jeter dessus, et je doute que ça soit encore une fois super utile. J'attends qu'il se retourne la boule au ventre.
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : fiançailles rompues d’un commun accord, le désordre ambulant est de nouveau célibataire, le coeur en miettes MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1251 POINTS : 1390
TW IN RP : crise d'angoisse, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, addiction aux médicaments, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress professionnel. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS : ashan#20 ¤ all i want is nothing more to hear you knocking at my door ‘cause if i could see your face once more i could die as a happy man i’m sure. when you said your last goodbye i died a little bit inside, i lay in tears in bed all night, alone without you by my side. ‘cause you brought out the best of me, a part of me i’d never seen, you took my soul wiped it clean, our love was made for movie screens
izen#11 & ua (dj) ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. please swallow your pride if have things you need to borrow, for no one can fill those needs that you won't let show. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load if you call me
jayzan#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before, i'll be there for you 'cause you're there for me too. no one could ever know me, no one could ever see me seems you're the only one who knows what its like to be me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
samzan#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
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alyzan#1 ¤ t’as pas l'-pas l'oeil hagard, j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
sierra(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
Puisqu’il n’y a aucun cuisinier douteux pour voler à son secours avec des cookies salés sitôt qu’il a évoqué son estomac désespérément vide, Izan en déduit qu’il n’y a personne d’autre dans la baraque : son meilleur ami n’aurait pas raté une occasion de le gaver avec ses mets au goût largement discutable. Mais la perspective d’être seul chez Jay ne l’empêche pas d’accueillir l’information avec une petite moue résignée, pendant qu’il accroche sa veste au porte-manteau dans l’entrée, sans qu’il ne pense à quitter les lieux pour autant, étant bien trop familier entre ces murs pour s’y sentir illégitime même une seule seconde. Il n’est pas un illustre inconnu qui déambule dans un lieu quelconque, il est presque un monarque dans son palais et c’est bien ainsi qu’il se sent, le bougre, si bien qu’il fredonne même un air entendu à la radio en achevant d’enlever ses vans sans prendre la peine de les ranger dans le meuble prévu à cet effet. Et c’est sans se douter que sa présence provoque une peur viscérale chez la demoiselle réfugiée à l’étage qu’il part en direction de la cuisine, usant de sa main libre afin de chaparder un paquet de biscuits dans le placard, ne prenant pas la peine de refermer la porte dudit placard avant de commencer à se diriger vers le salon, avec la ferme intention de squatter le canapé pour le reste de la journée — du moins, jusqu’à ce que Jayden daigne pointer le bout de son nez en rentrant chez lui, mais le pianiste au poignet cassé est interrompu au milieu du chemin par une voix chevrotante qui lui fait soudainement lever le menton vers le plafond. ’’T'es qui toi ?’’ fronçant ses sourcils avec perplexité sous cette question incongrue, la première chose à laquelle il pense en voyant cette jolie fille en tenue légère est « qui l’a ramenée ? » puisque ce n’est pas lui (il en est sûr, pour une fois) et il est presque aussi certain que ce n’est pas Jay. Est-ce que Troy ramène ses conquêtes chez son frère afin de l’impressionner avec sa belle villa ? ’’Toi, t’es qui ?’’ il le demande sans agressivité aucune, en prenant un biscuit afin de l’apporter à ses lèvres parce qu’elle ne lui coupe pas du tout l’appétit, l’intruse ’’Je suis chez moi.’’ et c’est vrai, s’il n’est pas inscrit sur le contrat de propriété ou sur la boite-aux-lettres, c’est tout comme : il passe beaucoup trop de temps entre ces murs, et Jayden lui a suffisamment dit que sa maison était la sienne. Donc, il est chez lui. Osez lui dire le contraire. ’’Si t’es avec Troy, t’inquiète, je dirais rien’’ bien sûr que si, il va s’empresser de tout balancer à la seconde où il pourra passer un coup de fil à son meilleur ami, et il hésite même à prendre une photo pour avoir une preuve mais, il a comme l’impression que la rousse ne sera pas d’accord et que ce serait inapproprié ’’Rassure-moi, Joe n’est pas là ?’’ machinalement, il balaye les alentours d’un regard curieux avant de lancer une dernière oeillade à l’inconnue, avant de tourner les talons pour aller s'installer sur le canapé. S’y laissant choir sans scrupule, il s’enfonce dans le moelleux du sofa en appuyant ses deux pieds sur la table basse qui doit coûter une petite fortune, ayant attrapé la télécommande au passage afin de zapper les chaines avec ennui. De toute évidence, il n’est pas franchement perturbé par la présence de Bryn : sa priorité est de manger tous les biscuits présents dans le placard à gâteaux, le reste, il verra plus tard.
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c’est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, j’suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j’m’en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, j’ai tout raté je l'atteste mais il me reste ce que vous ne voyez pas
Bryn Coverdale
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ÂGE : 29 ans STATUT : célibataire MÉTIER : Surfeuse pro en crise existentielle LOGEMENT : Redcliffe, 02 victoria avenue POSTS : 178 POINTS : 570
TW IN RP : Alcoolisme, abandon, maltraitance, abus GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Arrivée à Brisbane à l'âge de 8 ans elle y est restée jusqu'en 2017 où elle est partie vivre aux USA + Adore l'océan + Voudrait vivre entourée d'animaux + A caché longtemps son homosexualité + Est un petit rayon de soleil DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #F88E55 RPs EN COURS :
Finnley#1 | You are my familly, my comfort zone, my man above all men
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Une chose est sûre pour moi: il n'est pas chez lui. Non, tu connais le propriétaire de ces lieux et ce n'est pas cette personne devant toi. Il ne pourrait même pas prétendre à une quelconque ressemblance, impossible. Non.
- Non. Je crois que t'aimerais que ça soit chez toi mais je crois que tu rêves.
J'essaie comme je peux de ne pas perdre mon sang froid mais on ne peut pas dire que ça soit simple. Il ne me fait pas peur à proprement parler. Le fait qu'il soit blessé aide à me rassurer, mais je ne peux pas dire que ça soit une situation confortable. Il ne semble pas agressif, plutôt pitoyable entre son paquet de gâteaux entamé et son bandage. Sans parler qu'il est en chaussettes. Vraiment peu menaçant.
- Troy ?
Je fronce les sourcils. Je ne comprends pas. Vraiment pas. Je sais qui est Troy. Mais pourquoi est ce que je serais avec lui. Et Joe par dessus le marché ? Deuxième chose dont je suis sûre : je n'apprécie pas cette nonchalance. A vrai dire je suis tiraillée entre appeler la police et Jay. Je sais qui répondra le plus rapidement des deux et sera nettement plus efficace.
- Joe n'est pas là.M'oblige pas à appeler les flics. T'es qui et qu'est ce que tu fous là ?
Comment on est arrivé là déjà ? Je dormais tranquillement et cet intrus étrange et sans doute dérangé est arrivé là comme une fleur. Pour être un peu plus crédible, il faudrait sans doute que j'aille mettre quelque chose sur mon postérieur, mais vu que des photos de moi circulent en maillot de bain, je suppose que je dois avoir suffisamment l'habitude pour que ça ne soit pas ma priorité à l'instant.
- Si t'es un fan, c'est ok mais c'est pas comme ça que tu vas arriver à te faire remarquer....
Je peux pas m'empêcher de me radoucir un peu. Et en même temps... Ça serait inquiétant si c'était un fan non ?
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : fiançailles rompues d’un commun accord, le désordre ambulant est de nouveau célibataire, le coeur en miettes MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1251 POINTS : 1390
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izen#11 & ua (dj) ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. please swallow your pride if have things you need to borrow, for no one can fill those needs that you won't let show. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load if you call me
jayzan#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before, i'll be there for you 'cause you're there for me too. no one could ever know me, no one could ever see me seems you're the only one who knows what its like to be me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
samzan#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
mizan#2 ¤ where were you when everything was fallin' apart ? all my days were spent by the telephone that never rang and al i needed was a call, that never came to the corner of first and amistad. lost and insecure, you found me, you found me, lyin' on the floor, surrounded, surrounded, why'd you have to wait ? where were you ? where were you ? just a little late you found me
alyzan#1 ¤ t’as pas l'-pas l'oeil hagard, j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
sierra(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
’’Non. Je crois que t'aimerais que ça soit chez toi mais je crois que tu rêves.’’ elle est mignonne, cette gamine, à vouloir paraître agressive alors qu’elle n’ose même pas descendre de sa marche d’escalier pour le rejoindre en bas. Faut dire qu’elle n’est pas vraiment en état de faire les présentations, entre ses cheveux mal coiffés et sa culotte qui cache à peine ce qu’il faut mais, le pianiste n’a pas vraiment le temps de verser dans la bienveillance, et même si la situation l’amuse au fond, il ne s’attarde pas outre mesure sur ce qu’elle fait ici ; pour ainsi dire, il n’en a pas grand-chose à foutre d’elle. Alors il ne poursuit pas la conversation dans l’entrée et, sans égard pour la demoiselle qui joue les très mauvais chiens de garde — du genre à aboyer sans mordre, il part s’installer dans le canapé du salon comme il en a l’habitude, faisant comme chez lui parce que c’est le cas, n’en déplaise aux touristes qui débarquent et qui se pensent maîtresse des lieux. ’’Joe n'est pas là.M'oblige pas à appeler les flics. T'es qui et qu'est ce que tu fous là ?’’ piochant un gâteau qu’il fourre dans sa bouche sans la regarder, parce que l’émission de télé-réalité est beaucoup plus intéressante que le cinéma qu’elle lui pond, Izan sort son téléphone de sa poche pour composer le numéro de Jay, accolant ensuite son écran tactile contre son oreille en relatant d’une voix blasée : ’’Il y a une nana en culotte dans la baraque, tu le savais ? J’savais pas que t’avais changé de bord, t’aurais pu me le dire quand même, je t’aurais présenté des filles parce que là…’’ lui lançant un regard dédaigneux en la scrutant de haut en bas, il reporte son attention sur la télévision en continuant ’’Bref, tu me rappelles entre deux scènes ? Parce qu’elle commence sérieusement à me faire chier. Et quand tu rentres, prends des pizzas.’’ il raccroche en fixant toujours l’écran de la télévision, laissant son téléphone glisser de son épaule jusqu’au milieu de son torse pendant qu’il continue de se gaver avec les gâteaux au chocolat, qu’il sait que son meilleur ami achète tout spécialement pour lui. ’’Si t'es un fan, c'est ok mais c'est pas comme ça que tu vas arriver à te faire remarquer....’’ elle est sérieuse ? il marque un temps d’arrêt, ses gestes ralentissant même avec une lenteur étonnée tandis qu’il lève un regard interloqué vers elle, avant d’éclater de rire dans un élan franc. ’’Un fan ?’’ il concède à trouver mille qualités à son meilleur ami — qui est tout bonnement parfait au passage, mais le statut dont elle l’affuble lui paraît tellement ridicule qu’il ne parvient pas à faire autrement que rire jusqu’à en avoir les larmes aux yeux. ’’Écoute la greluche,’’ là, autant dire qu’il ne rigole plus parce qu’elle a épuisé sa patience ’’ça fait des années que je connais Jay et que je viens ici, toi, tu viens de débarquer à mon avis donc arrête de vouloir jouer au shérif de la ville. J’ai une clef, je viens ici quand je veux et c’est sûrement pas toi qui va m’emmerder donc, la maison est grande, va voir ailleurs si j’y suis.’’ il l’expédie ailleurs d’un mouvement de sa main libre, qu’il agite en sa direction avant de changer de chaîne, non sans rajouter d’un ton laconique ’’Et habille-toi parce qu’on aura bientôt la vue sur le Nelson Falls et personne n’a demandé ça.’’ la classe et l’élégance en toutes circonstances, c’est à se demander comment Jayden a pu se lier d’amitié avec quelqu’un comme lui, c’est clair.
c’est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, j’suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j’m’en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, j’ai tout raté je l'atteste mais il me reste ce que vous ne voyez pas
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Charlie beauregard le hante. MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2807 POINTS : 860
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
« Il y a une nana en culotte dans la baraque, tu le savais ? J’savais pas que t’avais changé de bord, t’aurais pu me le dire quand même, je t’aurais présenté des filles, parce que là… Bref, tu me rappelles entre deux scènes ? Parce qu’elle commence sérieusement à me faire chier. Et quand tu rentres, prends des pizzas. » Jayden soupira profondément, un de ces soupirs lourds qui raclent les tripes, comme si toutes les frustrations de la journée s’évaporaient en un souffle. Il sentit son corps s’enfoncer dans une fatigue familière, celle qui se niche entre l’agacement et l’impuissance. Le téléphone encore en main, il perçut un mouvement à côté de lui. Le regard insistant de sa co-star le transperça, une curiosité silencieuse mêlée à de l’inquiétude légère. L’autre haussa un sourcil, comme pour dire : Alors, c’est quoi ton problème ? Sans un mot, il s’approcha, ses gestes lents et tranquilles, posant des mains larges et rassurantes sur ses épaules. Ces mains familières, pleines de chaleur et de solidité, disaient sans avoir besoin de mots : Je suis là.
Jayden ferma brièvement les yeux. Sa tête lui semblait trop lourde, remplie de pensées emmêlées comme des écouteurs enroulés dans une poche. Les bras de l’homme s’enroulèrent autour de lui avec une douceur inattendue, comme s’il connaissait exactement la tension à délier et la juste pression à appliquer. Jayden soupira à nouveau, mais cette fois plus légèrement. Un souffle qui chassait les brumes de son esprit. Sans réfléchir, il posa sa tête sur l’épaule de l’autre. L’étreinte n’avait rien de maladroit. C’était un geste simple, mais suffisamment intime pour que Jayden se permette d’exister quelques instants sans les attentes du monde extérieur.
« Qu’est-ce qu’il y a, Jay ? Qui est vilain avec toi ? » murmura sa co-star d’un ton doux, mi-inquiet, mi-taquin. Jayden eut un petit rire, bref mais sincère, comme un éclat de lumière perçant à travers un ciel couvert. « Ta petite amie va finir par être jalouse, si tu continues comme ça. » L’autre éclata de rire et, d’un geste amical, lui donna une tape sur l’épaule, un coup juste assez fort pour être affectueux sans le déstabiliser. « Jalouse ? Ouais, mais pas de toi. De moi. » Un sourire malicieux étira ses lèvres, comme s’il savourait déjà la suite de son idée. « Elle n’arrête pas de me tanner pour que je vous présente. Mais je l’aime trop pour ça. » Il fit une pause, faussement dramatique. « Elle va tomber amoureuse de toi dès qu’elle te verra, et je vais être obligé de détruire ta carrière pour la récupérer. » Jayden éclata de rire, cette fois pour de bon, le genre de rire qui vient du fond du ventre et qui laisse une sensation agréable dans la poitrine. L’espace d’un instant, la tension s’évapora entièrement, remplacée par une légèreté bienvenue. « Je jure solennellement de ne pas séduire ta fiancée, » dit Jayden en levant une main comme un enfant promettant de ne pas mentir. Un sourire en coin adoucit ses traits. « Mais là, je dois aller désamorcer une situation délicate entre mon ex et mon meilleur ami. » Il attrapa sa veste au passage et se dirigea vers la porte. « Je reviens, on reprend la répétition après. » « Pas de souci. » Sa co-star lui adressa un clin d’œil complice. « Je te commande un café en attendant. Et je leur dis de prendre quelque chose aussi, c’est pour toi. »
Jayden lui offrit un sourire reconnaissant avant de se diriger vers la loge. Il referma la porte derrière lui avec un soulagement visible, se retrouvant enfin isolé de l’agitation constante du plateau. Il inspira profondément, ses épaules se relâchant légèrement, et s’affala dans le fauteuil en cuir noir. L’odeur familière du maquillage, des costumes et du café froid l’enveloppa aussitôt, comme une couverture de souvenirs et de routine. Il sortit son téléphone et appuya sur le nom d’Izan dans ses contacts. Il colla l’appareil à son oreille, le cœur battant légèrement plus vite, déjà préparé à l’avalanche de reproches à venir. La sonnerie résonna deux fois avant que la voix d’Izan ne se fasse entendre à l’autre bout du fil. « Iz, c’est Bryn ! » lança-t-il d’une voix presque trop enjouée, ne laissant aucune chance à son ami de prendre le contrôle de la conversation. « Bien sûr que je savais qu’elle était là. » Jayden se laissa un peu plus aller dans le fauteuil, ses jambes s’étirant devant lui. Le cuir émit un léger grincement sous son poids. « Et franchement, je ne pensais pas que le fait qu’elle soit en culotte te poserait le moindre problème. » Il marqua une pause courte, juste assez pour laisser le sourire se glisser dans sa voix, mais pas assez pour qu’Izan ait le temps de répondre. « Au fait, désolé pour les pizzas, mais je rentre pas cette semaine. Ni ce week-end. »
Jayden s’attendait parfaitement à la vague de protestations et de plaintes qui allait suivre. Il ferma brièvement les yeux, une main se perdant dans ses bouclettes, massant distraitement sa nuque. Il connaissait trop bien Izan pour savoir qu’il allait râler – et beaucoup. « Écoute, sois sympa avec elle, ok ? » ajouta-t-il d’un ton plus sérieux, mais toujours teinté d’amusement. « Elle et moi… » Il hésita un instant, les mots restant suspendus au bord de ses lèvres. « Disons qu’on peut dire que c’est mon ex, ok ? Je t’en dirai plus un jour. Mais là, j’ai pas le temps. » Il soupira, passant une main lasse dans ses cheveux. « Passe-lui bonjour de ma part. Dis-lui que je lui rapporterai un cadeau. » Avant qu’Izan n’ait le temps de s’insurger, il ajouta rapidement : « Pour toi aussi. »
Il leva les yeux au ciel, amusé par avance des réactions outrées qu’il imaginait. « Et… tu pourrais garder cette histoire pour toi ? Pour le moment, s’il te plaît. » Il fit une pause, son sourire s’adoucissant légèrement. « Oh, et y’a d’autres gâteaux dans le cellier. Je t’aime, Iz. » Alors qu’il entendait frapper à la porte de sa loge, il se redressa légèrement, redonnant un peu de structure à son corps fatigué.
« SOIS GENTIL !! Je t’aime. » lança-t-il en riant avant de raccrocher. Il rangea son téléphone dans sa poche, espérant que cette dernière conversation suffirait à éviter une catastrophe à son retour.
Que la chasse commence
Boys and girls of every age Wouldn't you like to see something strange? Come with us and you will see This, our town of Halloween+ aeairiel.
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Bryn Coverdale
l'appel de l'océan
ÂGE : 29 ans STATUT : célibataire MÉTIER : Surfeuse pro en crise existentielle LOGEMENT : Redcliffe, 02 victoria avenue POSTS : 178 POINTS : 570
TW IN RP : Alcoolisme, abandon, maltraitance, abus GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Arrivée à Brisbane à l'âge de 8 ans elle y est restée jusqu'en 2017 où elle est partie vivre aux USA + Adore l'océan + Voudrait vivre entourée d'animaux + A caché longtemps son homosexualité + Est un petit rayon de soleil DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #F88E55 RPs EN COURS :
Finnley#1 | You are my familly, my comfort zone, my man above all men
Bryave#3 | I've lost you many moons ago, I wish I hadn't
Les insultes ne sont interrompues que par l’intervention sans doute divine du précieux téléphone de l’inconnu. Je suis un peu sonnée. jamais personne ne m’a traitée comme ça. Personne. Pourtant je travaille dans un milieu compétitif où personne ne se fait jamais de cadeau, et où les athlètes entre eux peuvent être capables du pire. Pas de s’insulter au visage sans doute. Le pire sans doute c’est que ça se passe ici. Une zone que je pensais sûre et saine. A l’évidence j’ai dû me tromper, et si je me suis trompée là dessus, j’ai dû me tromper sur d’autres choses encore. Même sur Jayden.
Je ne sais comment mais j’arrive à comprendre que c’est Jayden au téléphone. Je sais pas ce qui me brise davantage le coeur, en tout cas le résultat est là. C’est le moment que je choisis pour prendre la tangente, j’ai pas envie de passer une minute de plus avec cet abruti peu importe qui il est. Pas plus que je n’ai envie d’être là dans cette maison. Il ne prête de toute façon aucune attention à moi et je n’ai qu’à m’éclipser sans même regarder en arrière. Je doute qu’il vienne me chercher.
Une fois en haut je range toute mes affaires dans le grand sac d’où elles provenaient originalement. Dans la salle de bain je récupère le reste de mes affaires et je jette tout sans me préoccuper du vrac que je suis entrain de créer. Je suis une boule de nerfs sensibles, et il n’en faudrait pas bien plus que ça explose. J’ai mal au coeur, et envie de vomir à l’évocation de ce type en bas. Les 5 grosses minutes qu’il me faut pour ranger me semblent interminables. Finalement, je passe un jean, sans prendre la peine de passer un autre haut.
Une fois en bas, par les mêmes escaliers que j’ai emprunté à la hâte, je claque la porte pour dégager le plus rapidement possible de là en marchant. Je prends mon téléphone, pas même pour regarder si j’ai un message de Jayden, il n’y en a pas d’ailleurs, mais pour appeler un taxi qu’il me conduise chez moi.