ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 208 POINTS : 160
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
J'ai besoin d'un max de thunes, et fissa. Les grands projets demandent de grands moyens, ce dont Danaë manque cruellement. A défaut d'être certaine que Raelyn la supporte sur ce coup, elle doit être capable d'amener elle-même les ressources nécessaires pour bâtir son succès; rien ne serait plus gratifiant que de réussir de son propre chef, et d'obtenir la consécration par le respect.
Seulement, par quel biais peut-elle espérer décrocher d'emblée plusieurs mois de salaire cumulés ? La réponse n'a rien de louable, mais n'entachera pas sa fierté pour autant; Danaë est prête à miser gros pour que sa vision prenne vie, pour que le monde prenne conscience de son génie, de ses ambitions, de sa capacité à s'élever à la seule force de sa personne. Hors de question de retourner sur le trottoir, ou de se vendre à des clients minables comme elle l'a pu faire par le passé. Elle n'est plus de cet acabit, ce chapitre est révolu. Aujourd'hui, Danaë a pris du grade; rien à voir avec les petites soubrettes, les simples filles de joie, elle incarne désormais l'image de la fille opulente, destinée à ravir les mirettes et les attentes de gros portefeuilles. Ceux qui ne cherchent pas exclusivement du sexe, mais désirent une compagnie cultivée, agréable pour les yeux certes, mais avec davantage d'éducation et de répondant qu'une jeune écervelée.
Consciente de ses atouts, la brune peut se permettre de sélectionner ses clients, et d'imposer ses tarifs ainsi que ses prestations. Si le sexe est une terminaison possible, ce n'est néanmoins pas là-dessus qu'elle mise; son esprit est mis en avant, et cela passe par l'aspect "marketing" : des photos comme des portraits où s'invitent les natures mortes, chaque objet renvoyant à une fonction précise, à une facette de sa personnalité. Un chevalet en fond ou un recueil de poèmes sur lequel s'attardent ses doigts; quelques allusions aux mémoires du passé, l'attrait des plantes et une pointe de séduction par le regard, ou un visu sur son décolleté. Ses horaires et le feeling des messages font le reste; en définitive, ne reste qu'une poignée de potentiels partenaires. Un profil a retenu son attention, et sollicite des échanges intéressants, pratiquement dénués de clins d’œils à d'éventuelles attentes charnelles; une femme, fort séduisante, la quarantaine passée mais qui n'en parait pas tant.
Elle va banquer, mais pour une première dans son "comeback", Danaë n'est pas trop inquiète. D'ailleurs, elle n'a pas opté pour une tenue particulièrement affriolante, comme si ce rendez-vous n'était rien de plus qu'une rencontre cordiale. Appelée Esméralda, pour le bien commun, la brune sonne au portail, espérant ne pas être tombée dans un autre traquenard. Les villas, lofts et autres logements aisés, elle n'en tient pas la meilleure expérience qui soit. Lorsque s'ouvre la porte sur son hôte, et qu'un sourire simple mais sincère décore ses lippes, la jeune Lescaut peut déjà entrevoir la myriade de changements qui s'apprêtent à bouleverser le cours de sa vie. - Bonsoir.. Je suis là pour les cours de peinture, ou d'astronomie. Comme vous voulez. pour être la compagnie de tes désirs, surtout s'ils sont inavoués.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
hj::
j'ai pris le parti d'ouvrir, mais on peut modifier/déplacer le sujet au besoin. Your call
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Juno Zhao
ÂGE : 42 ans. SURNOM : évitez, merci d'avance. (son mari a droit à june.) STATUT : il préfère les hommes, elle préfère son argent : mariés pour le meilleur. il n'a jamais été question d'autre chose. MÉTIER : aux commandes de GuardianNest, la filiale dorée spécialisée en objets connectés du groupe SentinelX Security. POSTS : 474 POINTS : 40
TW IN RP : sexisme, népotisme, moralité bof-bof, racisme intériorisé, uc TW IRL : age gaps majeur/mineur romancésGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP AVATAR : gemma chan CRÉDITS : avatar (c) strangehell DC : mac sutherland, sloane jarecki, eden veliz. PSEUDO : princesse mononoprix INSCRIT LE : 18/07/2023
Tâche à elle de ne pas trop ressentir le cœur qui bat dans sa gorge et la resserre inexorablement : c’est tout ce qu’elle souhaite accomplir ce soir, et, très franchement, ça lui semble déjà bien assez. Comme à son habitude, Juno a tout préparé à l’excès ; le chef est parti une heure en avance, Herbie est chez la dogsitter et l’appartement est désert depuis hier, prenant en compte les vingt-quatre heures nécessaires à s’assurer que son mari est trop occupé quelque part ailleurs pour décider de rentrer plus tôt. Le penthouse est vide de toute présence, sauf de la sienne et de toute la culpabilité et la honte qui prennent toute la place. Les lumières sont tamisées, se prêtent à une ambiance qu’elle veut volontairement mystérieuse (tout, sauf que l’on puisse la détailler en plein jour et lire la peur dans ses yeux), et propice au rapprochement. Pour tout ce qu’elle se démène à maintenir un air digne, à mille lieues des bassesses qu’on a toujours tôt fait d’associer au sexe, la fin n’en est pas moins la même : Juno crève d’un contact, d’une connivence, d’un instant partagé qu’elle vole au temps puis ne retient pas. Elle l’enterre même, une fois passé : ça fait partie de ces choses auxquelles elle s’efforce de ne plus jamais penser. Des erreurs de parcours : multiples, certes, mais inconséquentes.
La femme qui sonne à sa porte est nouvelle, parce qu’elles le sont toujours ; grande, et Juno ne sait distinguer si elle est rehaussée de talons, pas plus qu’elle n’ose regarder. Sa ligne de mire est toujours droit devant elle, menton à peine relevé pour tenir compte de la différence de taille. Elle est jeune, réalise alors Juno ; vingt-sept, vingt-huit ans peut-être. Moins de trente, en tout cas, et le regard grave qui trahit une maturité certaine, à moins que ça ne soit du vécu. Elle sourit : pas Juno, qui incline à peine la tête pour la saluer : à moitié pour l’intimider, à moitié par une honte qu’elle tente désespérément de maintenir sous joug. - Bonsoir.. Je suis là pour les cours de peinture, ou d'astronomie. Comme vous voulez. Comme toutes, elle lui laisse le choix, lui signifie que c’est elle, qui a et maintiendra le contrôle. « Entrez », se borne-t-elle à signaler, esquissant un volte-face pour repartir dans le salon sans un autre mot : verrouiller lui paraît secondaire et foutrement malotru. Esmeralda devra pouvoir partir comme elle le souhaite. « Vous savez jouer au shogi ? » Elle se demande à quel point c’est cliché, de savoir jouer à une version japonaise des échecs, quand on est riche et qu’on s’emmerde. Combien de fois elle l’a entendue, cette phrase, Esmeralda ?
Elle se laisse choir dans son canapé, capturant un verre de whisky posé sur la table basse. Une goutte d’eau, pas plus. Retour à son invitée : « Le whisky, vous aimez ? » Elle, non. Mais Maximilian n’achète que ça, ainsi que des bières au citron, et la première option lui semble la moins beauf. D’un signe du menton, elle invite la jeune femme à s’asseoir : le shogi viendra plus tard, une fois qu’elle aura détendu ses muscles et son esprit avec un peu d’alcool. Elles se regardent, l’espace d’un instant qui semble distendu, avalé par la matière, lorsqu’elles trinquent. Juno déteste sentir de la connivence dans ses yeux ; ceux qui reconnaissent la résolution dans le regard de l'autre, qui comprennent qu’elles ont dû se battre tout autant pour un semblant d’estime. C'est de là, souvent, que naissent l'estime et parfois l'affection, qu’elle a tôt fait de mettre sous coupe : généralement, les amantes de Juno ne la perçoivent que comme cette femme riche qui paie bien. Celles qu’elle revoit comprennent davantage, mais elle s’empresse alors de couper tout contact sans autre forme de procès. L'humanité, Juno aurait voulu complètement l'évincer du processus ; la considérer comme les moyens vers une fin, rien de plus qu’un pis-aller. Elle se connaît suffisamment : elle n’aura et ne cherchera jamais mieux.
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 208 POINTS : 160
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
Une forme de tension imprègne déjà l'atmosphère, sans qu'elle ne soit liée à son entrée en scène : Esmeralda la perçoit, pourrait même l'entrevoir, émanant des pores de son hôte. Son aura est double, au reflet de la soirée; il y a les non-dits, les reliant tacitement, et tout ce qu'implique sa présence, à savoir le besoin d'une compagnie trouvée sur un site, et l'argent comme appât. Est-ce donc pour cela qu'une distance respectable s'instaure, sans plus de présentation ? Comme à son habitude, la brune doit composer avec les tares, craintes, hontes et fantasmes de ses "mécènes" particuliers. Si son objectif est identique à chaque sortie, tout reste néanmoins singulier, propre aux personnalités de ses "donateurs". Certains sont plutôt impatients, pressés d'établir un contact, pour savoir si une alchimie opère et pourra mener à quelques extras; d'autres - peut-être comme la belle qui l'accueille ce soir - sont distants, et ont besoin d'être "percés" à jour pour se livrer. D'autres resteront des énigmes, mais ceux-là ne restent jamais fort longtemps parmi ses clients.
- Je peux apprendre. Et j'apprends vite. non, elle ne sait pas, ne connait même pas ce jeu, pour être honnête. Mais de prime abord, Esmé est assez limitée sur ce point, et sur la culture du Soleil Levant en général. On lui propose souvent d'entamer les hostilités avec des activités random, tant qu'elles ouvrent la conversation et facilitent l'échange. - J'aime à peu près tous les alcools. force à l'habitude, tare dont elle taira et niera l'existence, pas foutue d'être foncièrement sobre pour une journée. Chacun ses démons, n'est-ce pas ? Un premier verre, donc. Le bruit du cristal qui tinte, les lèvres puis la gorge, réchauffées par le breuvage, meilleur que celui qu'elle possède dans son armoire personnelle. Enfin, le regard. Un feu croisé qui parle tant malgré le silence environnant. - Vous pouvez me tutoyer, au fait. se permet-elle de préciser, pour briser la glace. Esmeralda enlève sa veste, dévoile un élégant atout à son hôte, éventuelle future amante : un chemisier assez transparent pour laisser apparaître ses courbes, la dentelle raffinée de son soutien-gorge, le nombril où brille le diamant d'un faux piercing. Pour un regard extérieur, ce n'est qu'un haut suggestif, assez chic pour une belle occasion; pour elle, évidemment, c'est une porte vers un jeu de séduction - ceux qu'elle pratique avec aise. - Inutile de se mettre la pression, d'accord ? elle se permet d'ajouter, face à une forme prégnante de réticence, de culpabilité ou autre sentiment néfaste, qui semble faire écran à leur soirée. - Nous n'avons aucune obligation. Considérez cela comme.. Une parenthèse ouverte dans votre sphère. c'est un encouragement, non simulé et encore moins motivé par le besoin du gain; c'est davantage une sorte de réconfort, ne pouvant qu'imaginer les pressions auxquelles elle doit être confrontée. Si les aventures comme celle de ce soir sont cachées, alors cette femme vit plus souvent à l'ombre de ses propres désirs, que dans le feu d'une action ouvertement assumée. - De quoi avez-vous réellement envie ? sans intérêt sous-entendu, pour une fois concernée par le bien-être d'autrui.
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she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.