ÂGE : trente-sept ans, le temps passe si vite, mais on te donne facilement cinq ans de moins, pour ton plus grand bonheur. SURNOM : Boobies - harpie entre autre. STATUT : célibataire, t'es pas prête à te mettre en couple, à faire confiance, à aimer un homme et à te montrer vulnérable. Tu as parfois des relations sans lendemain, même si tu n'as pas échangé un seul baiser avec un homme depuis 8 mois. MÉTIER : tu es présentatrice télévision depuis peu mais avant tout animatrice radio. POSTS : 339 POINTS : 680
TW IN RP : grossophobie - relation toxique - troubles alimentaires TW IRL : pédophilie - les violences envers les animaux - le violGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. CODE COULEUR : #cc3366 RPs EN COURS : charlie x best friends
RPs TERMINÉS : helen x winston x lincoln (MATCH) x aaron #1 x nicholas (FB) x olive (INSTA)AVATAR : la sublime Nicola Coughlan CRÉDITS : izzy25 (avatar) prev. dani-clayton (gif) tiny heart (sign) DC : aucun PSEUDO : paupiette INSCRIT LE : 15/06/2024
Tu as décidé de faire des efforts, en tous les cas, tu essayes d'en faire afin que l'ambiance au boulot soit plus agréable pour tout le monde, surtout toi. Oui, parce que tu es bien consciente qu'une désagréable étiquette te colle à la tête désormais, celle de la méchante Harper, Harpie, pour les plus méchants d'entre eux, hors tu n'es clairement pas au quotidien ce genre de femme, loin de là. Sauf qu'avec certaines personnes, dont on ne donnera pas le nom, tu deviens la pire version de toi, une version aigrie, pathétique et vraiment pas agréable à vivre. Du coup, tu travailles dessus, en essayant de ne pas paraitre désagréable 24h/24, 7 jours sur 7. Ce n'est pas tous les jours faciles, mais ton avenir professionnel est en jeu et puis humainement parlant, c'est mieux pour tout le monde. Ça c'est, ce que tu essayes de faire en théorie. En pratique c'est tout autre chose. Afin de promouvoir l'émission à un plus grand public, et aussi, parce que les sondages sont plutôt bien, vous êtes invités dans une émission télévisée. Quand tu dis vous, tu inclus bien évidemment Aaron. Vos relations sont au même point, mais comme tu le disais plus haut, tu fais en sorte d'être courtoise et moins, désagréable. Ce n'est pas toujours facile, tu as parfois énormément de mal avec sa vision du travail et son manque de professionnalisme. Ou d'expérience, tu n'en sais rien, mais quoiqu'il en soit, parfois, tu voudrais qu'il prenne les choses autrement.
Tu voudrais lui faire comprendre qu'il n'est qu'un pion dans l'énorme engrenage qu'est le milieu de la télévision et que tu ne veux pas t'en éloigné, tu as que trop travailler pour en arriver là, donc forcément tu fais en sorte d'y arriver. Tu as toujours fonctionné comme cela, par le travail, l'acharnement, le perfectionnisme et parfois y aller juste au talent, tu as du mal à l'accepter. Tu essayes de lâcher prise sur ce sujet là, mais ce n'est pas toujours facile d'y arriver. Puis il t'agace, puis aussi il t'attire. C'est parfait si simple devant la caméra entre vous que tu déteste juste accepter cela. Tu t'y refuses alors. Donc forcément, tu es plus exigeante le concernant. Une spirale infernale. Alors que tu es au maquillage et coiffure, tu le cherches du regard. Vous deviez vous mettre au point juste avant de passer à l'émission, afin d'être à l'aise avec les sujets qu'on pouvait aborder, mais tu ne le vois nul part. Tu lui envoies en toute courtoisie -pour le moment- un petit message pour savoir où il en est. Bon, tu laisses le bénéfice du doute, après tout, il peut arriver n'importe quoi sur la route, il y a forcement une raison valable et comme toujours, il va arriver, un sourire parfait, à la dernière minute, te rappelant que râler ne sert à rien hormis creuser les rides sur ton visage. Qu'est-ce que tu en as à faire des rides, franchement ? Tu n'as jamais d'ailleurs, petit aparté, pris du temps à t'inquiéter des conséquences du temps sur ton apparence. Tu avais bien d'autres complexes que les effets de ce dernier. Tu souris une nouvelle fois à ta maquilleuse qui a su mettre en valeur tes lèvres d'un rouge à lèvre magnifique et tes yeux, d'un coup de crayon sublime. La coiffure fut tout aussi bien exécuté, pourquoi se compliquer la vie quand il y a des professionnel doué dans ce domaine. Tu enfiles ta tenue, un blaser, qui met en avant, un peu trop, ta poitrine. Parfois tu te demandes si suivre les dictas de la mode étaient dans l'air du temps. Tu te lèves, constatant que tu te sens à l'aise dans ce que tu portes puis tu pars t'installer sur le canapé où vous allez faire l'interview.
« T'as intérêt à ramener tes fesses rapidement, Fowler, sinon je te jure que tu vas entendre parler de moi. » Venais-tu de marmonner entre les lèvres, alors qu'un assistant, finit par mettre le micro comme il se doit. « Tout va bien, mademoiselle Ackerman. » Tu souris. Nerveusement. « Oui oui... »
Tu regardes une nouvelle fois, ton téléphone, dans l'espoir d'y lire l'excuse du siècle, mais rien de tout cela. Ton dernier message, cette fois-ci est beaucoup moins poli que le précédent, et tu résistes à l'envie d'implorer tous les dieux maléfiques pour le faire venir ici, immédiatement. Tu détestes ne rien maitriser, et là, tu maitrises absolument rien, hormis l'angoisse de te retrouver seule sur ce fauteuil. Tu as l'impression de revivre un vieux remake de ta soirée de bal de fin d'année, à l'époque de lycée. C'est idiot, tu vas gérer, mais pour le coup, tu aurais préféré qu'il se ramène rapidement, ton partenaire de crime. Sauf que le crime ce sera contre lui, pour sur.
( Vous n’allez jamais laisser des empreintes de pas qui durent si vous marchez toujours sur la pointe des pieds. )
Aaron Fowler
ÂGE : trente et un ans SURNOM : il ne sait pas trop pourquoi mais les gens adorent l'appeler par son nom de famille plutôt que par son prénom STATUT : célibataire qui ne se prend pas la tête MÉTIER : animateur télé (mais il préfèrerait qu'on le considère comme un journaliste) LOGEMENT : redcliffe. #58 hughton avenue POSTS : 600 POINTS : 940
TW IN RP : aucun pour le moment. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : il est issu d'une classe sociale aisée (merci papa) ≈ c'est un adepte des applications de rencontre, mais il ne compte pas y trouver de relation sérieuse ≈ déteste les bruits de bouche lorsqu'il est à table ≈ il a participé à l'émission Big Brother en 2014, c'est ce qui lui a donné envie de faire de la télévision ≈ l'émission ABC qu'il co-anime avec Harper, c'est son premier vrai job en tant que présentateur télé et il a peur de ne pas être a la hauteur ≈ il a vécu à Londres de fin 2020 à debut 2024, il est de retour à Brisbane pour de bon ... la tête pleine de rêvesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : cadetblue RPs EN COURS :
josie (scenario in progress) ≈ link to your competitors and say nice things about them. remember, you're part of an industry.
+charlie RPs TERMINÉS : harper #1 ; olive #1AVATAR : luke newton CRÉDITS : avatar: myself, signature: ASTRA DC : aucun. PSEUDO : (em)manue(lle) INSCRIT LE : 22/06/2024
Du coin de l'œil, il guettait la pendule au-dessus de la tête de Josie. Ils étaient au téléphone avec le père d'Aaron depuis une heure… et ils n'avaient pas encore trouvé consensus sur le sujet de la dénomination du futur cabinet. Ça n'annonçait rien de bon pour la suite de son emploi du temps « ... Aaron, tu en penses quoi ? » demanda Edwin de l'autre côté du combiné, ce qui sortit son fils de sa rêverie. Aaron se raccrocha au regard de Josie, qui lui articula un s.o.l.i.c.i.t.o.r qui n'aida pas tellement le jeune Fowler à recoller les wagons. « Dites-moi Joséphine, il nous écoute ou bien, il s'est endormi ? »« Oui j'suis là Pa' » marmonna Aaron dans ce qui lui restait de barbe. Son père avait un don pour lui foutre la honte… Ce qui avait le don d'insupporter Aaron, surtout en présence de Josie. « On part sur quelle offre pour le lancement du cabinet alors ? C'est ton cabinet, c'est à toi de décider… Même si Joséphine a de très bons arguments ... » Il vit un sourire satisfait se former sur le visage de sa collègue. Alors, pour la calmer, il lui sembla bon de trancher d'un « Barrister » assuré. En toute discrétion, il épia la réaction de la jeune femme. Elle n'avait pas bronché. Bizarre. « Bien » renchérit Edwin, ce qui parut marquer la fin de la discussion. Mais Josie ne semblait pas du même avis puisqu'elle activa le silence du micro et se tourna vers Aaron, visiblement agacée. « C'est toi qui vas aller plaider ? » brailla-t-elle. Il haussa des épaules. Il n'avait pas envie d'être là et pourtant… Alors plaider, il n'était plus à ça près. Josie ralluma le micro et en guise de vengeance lança un « Profitons de cet élan pour trancher sur la localisation des futurs bureaux… Aaron a une super idée, j'en suis sûre ! » Aaron la dévisagea, puis regarda une nouvelle fois l'horloge. Un monstre. Cette femme était le diable en personne. « J... Nous pouvons en parler demain sinon ? ... J'ai oublié mes pl... »« Joséphine a raison, continuons sur notre lancer [...] » Aaron s'essaya sur la chaise en face du bureau de Josie, le visage entre les mains. Il était foutu.
Presque une heure plus tard, Edwin dû mettre fin à la réunion en urgence, ce qui permit à Aaron de s'enfuir. Non sans lâcher un « Tu me paieras ça !! » à l'encontre de Josie. Comme si son retard n'était pas suffisant, il galéra à trouver un taxi qui accepte de le prendre, chacun d'eux préférant donner priorité à la gent féminine. « Merde ! merde merde et merde » s'agaça-t-il donnant un coup de pied dans le tas de feuille à côté de lui. Cherchant dans la poche de sa veste de blazer son téléphone afin de checker l'heure, c'est à ce moment-là, et seulement là qu'il constata son absence. « Putain ... » Cette journée était maudite. Et il n'osait même pas imaginer ce qui l'attendait à son arrivée… Harper allait le tuer c'était sûr à 100 %. Il fallait absolument qu'il arrive avant la fin de leur interview. Il n'avait pas le choix.
Lorsque le taxi le déposa devant l'entrée du studio d'enregistrement, Aaron sauta littéralement de la voiture. Il donna au chauffeur un billet, beaucoup trop gros pour le montant de la course, mais ne chercha pas à récupérer quoi que ce soit, bien trop concentré sur son objectif. Il lui restait deux minutes et quarante trois secondes avant leur entrée théorique sur le plateau. Très vite deux assistants plateau se hâtèrent autour de lui, lui installant micro et échangeant sa veste contre celle prévue par la styliste de l'émission. Pour le pantalon, c'était trop tard, et franchement, on y verrait que du feu. Damn, je l'ai fait. Il transpirait à grosses gouttes, avait les idées en vrac et la respiration saccadée, mais il faisait bonne figure. Il se laissa guider par un troisième assistant, qui l'emmena derrière les écrans du plateau, juste à côté d'une silhouette qu'il ne reconnaissait que trop bien. Harper. « Souris, on a l'impression que quelqu'un est mort » balança-t-il, probablement pas la phrase d'excuse attendue. Mais Aaron, il était comme ça : maladroit socialement et terriblement impertinent. Un deux trois les écrans devant eux s'écartèrent pour les laisser entrer sur le plateau. Dans un élan de comédie, Aaron attrapa la main de Harper et se mit à marcher en direction du présentateur qui les attendait. Il salua de sa main libre le public, rien ne laissait à penser qu'à quelques minutes près, il aurait foutu en l'air cette belle mise en scène.
codage par aqua
wild beasts wearing human skins. you were not born of stardust, darling, stardust was born from you, it’s why the stars feel your sorrow and aching heart, they are the fragments of your lost soul, scattered across an endless galaxy, but don’t be afraid, darling, maybe life has broken you, but it can never destroy you.
Harper Ackerman
ÂGE : trente-sept ans, le temps passe si vite, mais on te donne facilement cinq ans de moins, pour ton plus grand bonheur. SURNOM : Boobies - harpie entre autre. STATUT : célibataire, t'es pas prête à te mettre en couple, à faire confiance, à aimer un homme et à te montrer vulnérable. Tu as parfois des relations sans lendemain, même si tu n'as pas échangé un seul baiser avec un homme depuis 8 mois. MÉTIER : tu es présentatrice télévision depuis peu mais avant tout animatrice radio. POSTS : 339 POINTS : 680
TW IN RP : grossophobie - relation toxique - troubles alimentaires TW IRL : pédophilie - les violences envers les animaux - le violGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. CODE COULEUR : #cc3366 RPs EN COURS : charlie x best friends
RPs TERMINÉS : helen x winston x lincoln (MATCH) x aaron #1 x nicholas (FB) x olive (INSTA)AVATAR : la sublime Nicola Coughlan CRÉDITS : izzy25 (avatar) prev. dani-clayton (gif) tiny heart (sign) DC : aucun PSEUDO : paupiette INSCRIT LE : 15/06/2024
Tu as l'impression de perdre le contrôle. Tu ne maitrises plus rien, ni l'interview, ni ton corps en réalité. Parce que là, maintenant, tout de suite, tu aurais aimé voir ton très cher partenaire de crime de télé, à tes côtés, mais non au lieu de cela. Il n'est pas là, il ne te répond pas et tu ne sais pas si tu dois en rire, en pleurer, le haïr, ou lui demander s'il n'a vraiment aucun respect pour ta personne. Tu réfléchis, et tu te demandes à quel moment tout à basculer, où tu l'as pris en grippe, ou il t'a nommé son ennemi numéro 1. Parce que tu n'es pas dupe, il ne t'apprécie pas. Et en même temps, peux-tu lui en vouloir ? Tu as été une parfaite garce à ses côtés, une personne que tu n'es pas. Et tu as beau te dire, que tu es exigeante et que tu voulais la même chose pour lui, qu'il soit aussi exigeant que toi dans ton travail.. Hors, alors que tu es derrière, nouant nerveusement tes doigts entre eux, maudissant la terre entière, lui en voulant cruellement. Mais à quoi bon ? Tu te disais au fond de toi, qu'il avait une bonne raison, tu n'étais pas le centre de l'univers, sa carrière à lui aussi était en jeu, il avait cette pression de réussir, alors bordel de merde. Pourquoi n'était-il pas à tes côtés ? Tu allais vomir. Tu avais envie de vomir.
Un ingénieur du son est en train de mettre le bottier de ton micro dans ton dos, tu passes une main nerveuse dans les cheveux, cherchant une excuse de la disparition de ton binôme. Tu bougeais plusieurs fois les lèvres afin de détendre les muscles de ton visage. Tu faisais toujours cela quand tu avais une émission que, les caméras s'allumaient, pour te donner du courage. Tu étais bourrée de superstitions et tu avais beau avoir une petite expérience dans le domaine, rien à faire, aujourd'hui encore tu continuais, encore plus quand tu ne maitrisais absolument rien.
« Souris, on a l'impression que quelqu'un est mort. » Tu restes interdite.
Tu le fixes, trop longtemps surement, un soulagement parcourant l'intégralité de ton corps. Il est là, plus besoin de sortir une fausse excuse concernant son absence, tu ne vas pas faire semblant de comprendre son absence. Il est là. Et en même temps, le rouge te monte aux joues, ceux de la colère et de l'incompréhension. Aaron n'était pas du genre ponctuel en règle général mais aujourd'hui, il venait de battre un record. Tu allais rétorquer quelque chose, lui fermer sa jolie bouche histoire qu'il arrête de te mettre hors de toi, cependant pas le choix.. Les écrans s'ouvrent, show must go on. Tu aimerais être aussi forte que Freddie Mercury affrontant son sida, mais tu ne l'es pas, et sous de nombreuses couches de professionnalisme, de sarcasme, de bouderie, t'es grave une fille hyper sensible, effrayée, et en plein doute. Oui ? Tous ses efforts en valent-ils la peine ? Comme pour t'achever, Aaron te prend la main, vous vous approchez du présentation, saluant le public d'un sourire chaleureux.
« Bonsoir Harper, Bonsoir Aaron, nous sommes tellement heureux de vous accueillir dans notre émission. » Tu souris. Nerveusement. « Merci Jack, c'est toujours un plaisir de vous voir. » Tu souris, tu te tournes vers Aaron et tu fronces les sourcils. Tu lui chuchotes alors que vous vous installez sur le canapé. « Tu transpires, tout va bien ? » Tu lui tends discrètement le mouchoir que tu avais glissé dans ta poche.
Avant de te retournes face caméra et tu t'installes. Tu as clairement envie de le bombarder de questions, qui sont clairement pas professionnelles. Parce que tu meurs d'envie de savoir pourquoi est-il arrivé telle une fleur alors que vous deviez préparer vos réponses. Et qui plus est, il joue son rôle à la perfection. Tu dois te focus, tu t'ordonnes de le faire, tu n'as tout simplement pas le choix, vos carrières en dépendent. « Merci Jack, c'est toujours un plaisir de vous voir. »
« Vous êtes magnifiques, tous les deux. Comment vous sentez vous ? » Tu ricanes malgré toi, il demande. Mal, des tendances meurtrières et nauséaseuses. Au lieu de dire cela, tu te tournes vers Aaron, posant la question. « C'est vrai, comment vas-tu Aaron ? » Sourire de circonstance, envie meurtrière.
( Vous n’allez jamais laisser des empreintes de pas qui durent si vous marchez toujours sur la pointe des pieds. )
Aaron Fowler
ÂGE : trente et un ans SURNOM : il ne sait pas trop pourquoi mais les gens adorent l'appeler par son nom de famille plutôt que par son prénom STATUT : célibataire qui ne se prend pas la tête MÉTIER : animateur télé (mais il préfèrerait qu'on le considère comme un journaliste) LOGEMENT : redcliffe. #58 hughton avenue POSTS : 600 POINTS : 940
TW IN RP : aucun pour le moment. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : il est issu d'une classe sociale aisée (merci papa) ≈ c'est un adepte des applications de rencontre, mais il ne compte pas y trouver de relation sérieuse ≈ déteste les bruits de bouche lorsqu'il est à table ≈ il a participé à l'émission Big Brother en 2014, c'est ce qui lui a donné envie de faire de la télévision ≈ l'émission ABC qu'il co-anime avec Harper, c'est son premier vrai job en tant que présentateur télé et il a peur de ne pas être a la hauteur ≈ il a vécu à Londres de fin 2020 à debut 2024, il est de retour à Brisbane pour de bon ... la tête pleine de rêvesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : cadetblue RPs EN COURS :
josie (scenario in progress) ≈ link to your competitors and say nice things about them. remember, you're part of an industry.
+charlie RPs TERMINÉS : harper #1 ; olive #1AVATAR : luke newton CRÉDITS : avatar: myself, signature: ASTRA DC : aucun. PSEUDO : (em)manue(lle) INSCRIT LE : 22/06/2024
Il les entendait d'ici, les conclusions hâtives qui déroulaient dans la tête de Harper tandis qu'il se battait contre-la-montre pour ne pas arriver après le début de leur interview. Elle devait le prendre pour un amateur. Un égoïste. Un mec qui n'en avait rien à foutre de tout ça. Qui prenait leurs engagements pour un jeu, au même titre que leur émission. Mais elle n'avait sûrement pas idée des insultes qu'il s'infligeait à lui-même en silence. Bien plus fortes. Bien plus amères. Il s'en voulait tellement. Mais tellement. Il s'en voulait de ne pas réussir à additionner les deux mondes qui lui ouvraient grand les bras. De ne pas réussir à dire non à son père. Et plus que tout de ne pas réussir à parler de ses priorités avec ce dernier. Il était comme coincé. Son rêve d'un côté. La fierté de celui qui lui avait donné la vie de l'autre. Comme pour beaucoup de chose dans sa vie, Aaron était incapable de faire un choix, de mettre des limites. Et puis il détestait décevoir ceux qu'ilsaimaient. Il avait encore en tête le visage de son père quand il avait annoncé son départ de Londres. Jamais il n'avait vu autant d'émotions différentes traverser le regard de son père en si peu de temps. Lui le Fowler impassible, avait fait tomber le masque pour faire part à son fils de sa déception profonde. Il n'avait pas prononcé un seul mot lors de leur dernière discussion en face à face. Aaron aurait sans doute préféré des mots, des cris même. Mais rien. Alors Aaron avait promis de ne pas abandonner son père, faisant des plans sur la comète en promettant de regarder la possibilité d'ouvrir une branche du cabinet ici, à Brisbane. Une promesse qui l'avait rattrapée plus tôt que prévu. Depuis il jonglait donc entre ses activités de présentateur et les exigences de son père. Il bossait jour et nuit, sans compter ses heures et en faisant bien attention à ne pas faire déborder une de ses activités sur l'autre… Malheureusement ce qu'il redoutait arriva ce jour-là. Il s'était fait prendre à son propre piège.
Dans le taxi, il avait réfléchi à de nombreuses manières de se faire pardonner par Harper pour son manquement. Il avait même tenté de préparer des excuses… Et puis finalement une fois arrivé à ses côtés, il avait joué la carte de la provocation. Du Aaron tout craché. Il n'y avait qu'avec Harper qu'il se transformait en ce 'monstre' insensible, probablement parce qu'elle lui en faisait vivre de toutes les couleurs depuis qu'on les avait mis en duo. Contre toute attente Harper ne lui répondit rien, laissant Aaron sur sa fin. Il avait laissé les assistants faire leur travail, mais aucun d'eux n'avait pensé à la sueur qui coulait le long de son front, stigmate de son dernier sprint. Pas le temps d'y penser, les écrans s'étaient ouverts devant eux, les exposants à un public en folie. Un exercice auquel le jeune Fowler se risquait pour la première fois, son émission avec Harper étant - pour le moment - sans audience en plateau. À peine les spots s'étaient tournés vers eux A. était entré dans la peau de son personnage, jouant le coprésentateur attentionné et complice en attrapant la main de Harper dans la sienne. Un conseil de son agent pour faire parler de leur duo. « Bonsoir Harper, Bonsoir Aaron, nous sommes tellement heureux de vous accueillir dans notre émission. » Pour serrer la main qui lui était tendue par le présentateur, il lâcha celle de Harper. « Merci Jack, c'est toujours un plaisir de vous voir. » commença sa collègue ce à quoi Aaron ajouta un ]« Merci de nous recevoir » accompagné de son plus beau sourire vers la caméra qui leur faisait face. Devant l'invitation gestuelle du présentateur à aller s'installer, Aaron tourna le dos à la caméra, moment que choisis Harper pour enfin lui adresser la parole. « Tu transpires, tout va bien ? » Il lui fit un signe de la main voulant dire 'laisse tomber', qu'il accompagna d'un « Rien d'important » Ce n'était certainement pas à Harper qu'il allait confier son secret d'agent double. Et encore moins alors que micro et caméra sont braqués sur leurs silhouettes. Il alla s'enfoncer dans le canapé, en face de lui et réafficha son sourire parfait. « Vous êtes magnifiques, tous les deux. Comment vous sentez vous ? » Il le remercia en se penchant légèrement vers l'avant, la main sur le cœur. Et puis comme d'habitude Harper pris les devants. . « C'est vrai, comment vas-tu Aaron ? » Faisant mine de ne pas remarquer l'attaque, il se retourna vers le public qui applaudissait toujours pour lancer un « Wow, quel accueil ! Ça ne peut aller qu'à merveille, merci à tous. » Puis il releva ses deux mains au ciel en signe de gratitude. Moment que choisit le chauffeur de salle pour relancer une nouvelle le public dans ses applaudissements. Il était bon acteur le Fowler. Bon stimulateur de foules également.
Le reste de l'émission se passa plutôt bien. Comme d'habitude, Harper avait pris le contrôle de l'échange en mettant un point d'honneur à répondre en premier à l'ensemble des questions. Aaron, quant à lui, avait tenté d emarquer les esprits en jouant la carte de l'humour. Ils se complétaient bien au final, dommage que la mésentente et la jalousie gâche tout entre eux. Après quarante-cinq minutes de questions/réponses, Jack les congédia. De retour en backstage l'assistant son qui s'était occupé de lui plus tôt le pris Aaron en charge pour lui retirer micro et veste. « Je peux avoir une serviette froide mouillée s'il vous plaît ? » Il n'était pas du genre à faire sa diva, mais là, il avait besoin de rafraîchir. En attendant sa dite serviette, il n'osa même pas se retourner vers Harper, par peur de se confronter à un regard noir. À son jugement. Mais il lui lança tout de même un « Tu as bien géré ! » d'encouragement. Comme si elle en avait besoin… ou même prêtait une quelconque attention à ce que pouvait penser Aaron…
codage par aqua
wild beasts wearing human skins. you were not born of stardust, darling, stardust was born from you, it’s why the stars feel your sorrow and aching heart, they are the fragments of your lost soul, scattered across an endless galaxy, but don’t be afraid, darling, maybe life has broken you, but it can never destroy you.
Harper Ackerman
ÂGE : trente-sept ans, le temps passe si vite, mais on te donne facilement cinq ans de moins, pour ton plus grand bonheur. SURNOM : Boobies - harpie entre autre. STATUT : célibataire, t'es pas prête à te mettre en couple, à faire confiance, à aimer un homme et à te montrer vulnérable. Tu as parfois des relations sans lendemain, même si tu n'as pas échangé un seul baiser avec un homme depuis 8 mois. MÉTIER : tu es présentatrice télévision depuis peu mais avant tout animatrice radio. POSTS : 339 POINTS : 680
TW IN RP : grossophobie - relation toxique - troubles alimentaires TW IRL : pédophilie - les violences envers les animaux - le violGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. CODE COULEUR : #cc3366 RPs EN COURS : charlie x best friends
RPs TERMINÉS : helen x winston x lincoln (MATCH) x aaron #1 x nicholas (FB) x olive (INSTA)AVATAR : la sublime Nicola Coughlan CRÉDITS : izzy25 (avatar) prev. dani-clayton (gif) tiny heart (sign) DC : aucun PSEUDO : paupiette INSCRIT LE : 15/06/2024
The show must go on, inside my heart is breaking, my make-up may be flaking, but my smile still stays, whatever happens I'll leave it all to chance. Tu chantes la chanson dans ta tête, afin de calmer l'angoisse qui monte en toi. Mais vous allez réussir, un sourire, une salutation vers le public, un beau sourire face caméra, un clin d'oeil pétillant. Tu sais de toute manière que demain, on viendra surement commenter ton décolleté, plus que le contenu de l'émission. Et tu te demandes encore pourquoi tu continues ? Parce que tu aimes ce que tu fais, quand tu le fais. Et là, tu es perdue dans ce que tu veux dire. Tu joues une belle comédie, n'est-ce pas ? Il lâche ta main, tu la bouches, comme si tu avais des fourmis à l'intérieur, et tu t'installes, dans une position divine. Assise quoi. « Merci de nous recevoir. » Il parle en plus de cela, tu as beau lui souffler quelque chose, tu sondes son regard, tu cherches une excuse valable. Si ça se trouve quelque chose de grave, ce que tu ne lui souhaites pas du tout. Mais là, en le regardant tu ne vois rien, hormis un certaine "Je m'en foutisme" Mais qui es tu pour juger ? « Rien d'important. » Tu le fixes, tu ne tireras rien le concernant, mais il transpire il a couru, il a bien intérêt de s'être dépêché pour être devant la caméra. La maquilleuse doit être en PLS et je suis désolée pour elle. La pire crainte d'une maquilleuse. Tu réponds rapidement à la première question, bien curieuse de voir ce qu'il va dire pour sa défense. Si tu pouvais, tu sortirais un détecteurs de mensonge afin de pouvoir tirer le vrai du faux. T'imagine un films des années 30 en noir et blanc, cloque au bec, afin de connaitre pourquoi Mr Fowler était-il en retard ? Alors ? « Wow, quel accueil ! Ça ne peut aller qu'à merveille, merci à tous. » Mais aucune réponse... Bien sur que non. Tu le regardes faire, du Aaron tout craché. Il gère, même dans les cas extrême il gère tellement bien, que tu l'envies. Quand toi, tu t'acharnes, tu bosses, tu travailles pour arriver au petit niveau où tu es, lui, c'est complètement naturel. Il est dans son élément et il ne s'en doute même pas, vu que c'est naturel. Tu ne sais pas pourquoi mais tu l'envies, de pouvoir être lui même sans même se forcer. L'émission glisse avec une telle facilité que ça en est déroutant. Vous échangez, comme si vous étiez tellement complice que tu trouves cela presque écoeurant. Parce que c'est faux, ce n'est pas une seule seconde la relation que vous avez une fois la lumière off allumée. Tu détestes cette sensation, de ne pas être réellement la personne que tu désires. Tu fais l'émission, en luttant contre ton naturel, en essayant de briller et ça ne marche pas, tu as l'impression que ça ne fonctionne pas. Tu souris, tu brilles, tu fais de l'humour, tu réponds rapidement aux questions, mais ça ne fonctionne pas. Au fond de toi.
Une fois l'émission terminée, tu t'éloignes prenant une bouteille d'eau, tu meurs de soif. Puis, tu rumines, en silence, essayant de calmer la boule de colère qui gronde en toi depuis quarante-cinq minutes. A vrai dire, tu remets tout en question depuis quarante-cinq minutes. Où est-ce que ça a merdé au juste ? Parce que tu ne sais plus à quel moment tu t'es sentie obligé de lui aboyer dessus. Tu as envie de lui aboyer comme une forcenée, lui demander s'il est du genre à s'auto saboter parce que pour le coup il est bien parti pour cela et tu ne veux pas être pris dans la spirale, égoïstement, bien évidemment. Sauf que tu ne penses pas qu'à ta gueule pour la première fois que tu le connais, tu ne penses pas qu'à toi, mais à lui. Il était sensé être motivé par le poste, vouloir devenir animateur ? Alors pourquoi fait-il tout de travers ? Tu dois en avoir le coeur net. Tu décidais de le rejoindre, inspirant fortement. Tu croisais une assistance qui te souriait, tu renvoyais le sourire, avant d'arriver à sa hauteur, les mains sur les hanches, tu cherchais comment réagir. « Je peux avoir une serviette froide mouillée s'il vous plaît ? » Tu grimaçais. La première intuition, cette folle envie primitive de lui hurler dessus comme aurait pu faire une mère avec son enfant ayant eu peur de le perdre dans un grand magasin. Sauf que tu n'avais rien perdu. Sauf, la crainte de commencer une émission sans lui. Tu n'avais pas confiance en lui, mais tu te doutais bien que lui aussi.
Comment étiez vous sensé faire si aucun des deux n'était capable de se faire confiance mutuellement. Tu freinais la sensation que tu avais et tu tentais de chercher les mots. « Tu as bien géré ! » Ses mots t'achevèrent. Tu n'avais rien géré du tout, tu te sentais perdue, incapable de maitriser quoique ce soit. Tu avais eu la folle envie de prendre la parole en première non pas pour le dominer et l'écran mais uniquement pour maitriser l'interview. Tu avais détestée cela, faire semblant d'être épanouie et heureuse dans ce duo alors que vous vous détestiez mutuellement. Tu as bien géré ? Mais merde quoi. « Tu parles... J'ai rien géré du tout. J'étais en roue libre et j'ai détesté cela. » Ta voix était sèche, tendue et en colère. « Tu as bien géré Aaron. Vraiment, pour une personne qui arrive 1 seconde avant le direct. Je te tire mon chapeau. » Tu étais piquante et tu le savais mais tu en avais marre, de devoir sans cesse affronter ça, tu avais l'impression de répéter un discours déjà bien rodé. Tu prenais une profonde inspiration avant qu'il ne dise quelque chose, comme quoi sa vie privée ne le regardait que lui, et blablabla... « Je suis sincère, tu as super bien géré Aaron, ils n'y ont vu que du feu, tu es à l'aise, tu prends la lumière, tu es drôle, séduisant, érudit et tu contrastes avec mon professionnalisme maladif. Mais ça ne peut pas être comme cela à chaque fois, je n'y arriverai pas. » Tu te mordais légèrement la lèvre en disant cela, avant d'ajouter. « Tu n'as aucune obligation me concernant, mais la prochaine appelle moi, envoie moi un message, dis quelque chose si tu n'arrives pas que je ne me retrouve pas comme une pauvre idiote, à attendre que tu arrives... JE sais pas faire ça. » Tu te retournes parce que tu parles trop. Beaucoup trop. Tu vois l'assistant là avec la serviette fraiche pour Aaron. tu le laisses le lui donner avant qu'il ne s'éclipse. Tu le suis du regard avant de te pincer l'arrête du nez, pour remettre dans l'ordre tes pensées.« Sais-tu pourquoi je suis aussi chiante avec toi ? » Tu mettais les pieds dans le plat, parce que là de suite maintenant tu avais besoin de mettre les choses à plat, hors de question, de revivre ce genre de situation. Etre prise pour une conne, tu l'avais été pendant trop longtemps par le passé, tu ne voulais plus être ce genre de nana, loin de là.
( Vous n’allez jamais laisser des empreintes de pas qui durent si vous marchez toujours sur la pointe des pieds. )
Aaron Fowler
ÂGE : trente et un ans SURNOM : il ne sait pas trop pourquoi mais les gens adorent l'appeler par son nom de famille plutôt que par son prénom STATUT : célibataire qui ne se prend pas la tête MÉTIER : animateur télé (mais il préfèrerait qu'on le considère comme un journaliste) LOGEMENT : redcliffe. #58 hughton avenue POSTS : 600 POINTS : 940
TW IN RP : aucun pour le moment. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : il est issu d'une classe sociale aisée (merci papa) ≈ c'est un adepte des applications de rencontre, mais il ne compte pas y trouver de relation sérieuse ≈ déteste les bruits de bouche lorsqu'il est à table ≈ il a participé à l'émission Big Brother en 2014, c'est ce qui lui a donné envie de faire de la télévision ≈ l'émission ABC qu'il co-anime avec Harper, c'est son premier vrai job en tant que présentateur télé et il a peur de ne pas être a la hauteur ≈ il a vécu à Londres de fin 2020 à debut 2024, il est de retour à Brisbane pour de bon ... la tête pleine de rêvesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : cadetblue RPs EN COURS :
josie (scenario in progress) ≈ link to your competitors and say nice things about them. remember, you're part of an industry.
+charlie RPs TERMINÉS : harper #1 ; olive #1AVATAR : luke newton CRÉDITS : avatar: myself, signature: ASTRA DC : aucun. PSEUDO : (em)manue(lle) INSCRIT LE : 22/06/2024
Quarante-cinq minutes d'interview - ressenti actuel : un marathon. Aaron venait de passer les trois quarts d'heures les plus intenses de sa vie. Son cerveau s'était mis en mode autopilote tout le long, ne laissant à son propriétaire aucune chance d'en profiter. Il se rappelait vaguement des applaudissements au début de l'émission, de son nom crié par des jeunes femmes du premier rang - sans doute gracieusement rémunérées pour apparaître en guise de fanclub ... Mais après ça, c'était le black-out total. Comme si cet épisode ne comptait pas, ou qu'Aaron avait naturellement voulu l'effacer de sa mémoire. Un système d'autodéfense inventé de toute pièce par le jeune Fowler pour s'éviter une énième turbulence côté confiance en lui. Cette dernière ayant atteint un stade bien trop bas au cours des dernières semaines, pour qu'il se permet de la laisser décroître encore. Pouvait-il en vouloir à quelqu'un d'autre qu'à lui-même finalement ? Non… Faire coller ces deux jobs, c'était tout simplement équivalent à une équation à trois inconnus. Un truc insolvable, qu'il s'entêtait pourtant à vouloir résoudre pour ne déplaire à personne. Pas étonnant qu'il soit le premier déçu alors… Il se sentait si minable d'avoir loupé la préparation. De ne pas avoir eu le temps de consolider et d'orchestrer ses réponses avec celles de Harper. Elles auraient sans doute eu plus de sens que les quelques vannes malheureuses qu'il avait réussi à placer de-ci de-là. Même les "good job" lâché par les assistants qu'il croisait dans le couloir n'avaient aucune saveurs. Félicitation de quoi ? D'avoir improvisé son speech de a à z ne permettant aucune contenance ? Ou bien d'avoir encore réussi à se mettre Harper à dos ? À juste raison cette fois. Si les rôles avaient été inversés, probablement, aurait-il pété un boulon sur le plateau ... Mais comme d'habitude, elle avait été d'un professionnalisme à toute épreuve. Elle avait géré et il tenait à lui dire, même si elle n'en avait surement rien à foutre de son avis.
Il s'attendait à faire face à un silence aussi froid que celui qui l'avait accueilli un peu plus tôt. À de l'ignorance, mais surement pas à ça. Un déversement de cris et de rancœur. Elle en avait des choses à lui dire apparemment. « Tu parles… J'ai rien géré du tout. J'étais en roue libre et j'ai détesté cela. » Il la comprend, il a ressenti la même chose. « Tu as bien géré Aaron. Vraiment, pour une personne qui arrive 1 seconde avant le direct. Je te tire mon chapeau. » Il lève les yeux devant son sarcasme évident. Puis il regarde autour d'eux un peu gêné de voir que tous les visages se tournent vers ce pitoyable spectacle. Il se sent petit. Tout petit, dans cet immense hall qui sert de backstage. « Je suis sincère, tu as super bien géré Aaron, ils n'y ont vu que du feu, tu es à l'aise, tu prends la lumière, tu es drôle, séduisant, érudit et tu contrastes avec mon professionnalisme maladif. Mais ça ne peut pas être comme cela à chaque fois, je n'y arriverai pas. [...] Tu n'as aucune obligation me concernant, mais la prochaine appelle moi, envoie moi un message, dis quelque chose si tu n'arrives pas que je ne me retrouve pas comme une pauvre idiote, à attendre que tu arrives... JE sais pas faire ça. » Il s'approche d'elle et lui attrape l'avant-bras, avant de murmurer sans articuler, au risque qu'on puisse lire sur ses lèvres. « Arrête. » Il marque une pause « Tout le monde nous regarde » Certes il avait cette soif de notoriété, mais il ne voulait pas faire la une des torchons à scandales pour autant. Et il savait très bien que Harper non plus. Il relâcha son emprise sur sa collègue, brusquement par peur là encore qu'une mauvaise interprétation mène à sa perte. Tout était une question d'image, et la sienne était en train d'en prendre un sacré coup. Fort heureusement pour lui, pour le moment, il n'avait aperçu aucun téléphone se dresser autour d'eux. Tandis qu'il était intéressé à sauver sa réputation, leur réputation, Harper continua dans sa folie d'un « Sais-tu pourquoi je suis aussi chiante avec toi ? » Il commence à faire les cent pas devant elle, la crise d'angoisse le guette face à une scène qu'il ne contrôle pas. Il aimerait l'inviter à aller en discuter ailleurs, dans une loge par exemple, mais avec au regard qu'elle lui jette, il sait que c'est trop tard. Alors une nouvelle fois, il s'approche… De toute sa hauteur, il la toise et lui assène un « Parce que je ne suis qu'un petit con gâté qui a volé ton émission, c'est ça ? » plein d'aigreur. « Je le sais tout ça Harper… je le sais » Ces mots se radoucissent quand son visage, lui, se creuse, devenant de plus en plus dur, fermé. « Tu crois que j'ai été en retard pour le plaisir ? ... Hein ?! » Il n'attend aucune réponse, mais il veut qu'elle comprenne qu'il en a marre d'être son bouc émissaire. Tout le temps. « Eh ben non ! Ça ne m'a pas fait plaisir ! Je n'ai pas fait ça pour te rendre furieuse, ni pour te foutre dans la merde… J'.. je » Il se rééloigne d'elle la main sur le front. Il est à deux doigts de se confier, mais tout lui indique de ne pas le faire. Alors comme simple conclusion, il lui lâche un « J'ai merdé ok ? Je le sais et je m'en excuse ! » Les termes sont dits.
codage par aqua
wild beasts wearing human skins. you were not born of stardust, darling, stardust was born from you, it’s why the stars feel your sorrow and aching heart, they are the fragments of your lost soul, scattered across an endless galaxy, but don’t be afraid, darling, maybe life has broken you, but it can never destroy you.