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 (yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles

Yasmin Hikmet
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
l'ombre des soupçons
  
ÂGE : trente-six ans (14.04)
SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche
STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne
MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres
LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille
(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles Tumblr_inline_pb08j7VGHQ1so10o6_250
POSTS : 105 POINTS : 590

TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité.
TW IRL : maltraitances animales.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andrea
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : #a56525
RPs EN COURS : (yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles Oagc
YASMEN #3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry

(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles 20543bede025685ce2217e46e58ac7753bc9012c
HIKWELLS #2 (fb) ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone


(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles Mg54
WILMEN #1 ¤ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand, you see it's not the wings that make the angel, just have to move the bats out of your head. for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide

kip#2 ¤ atlas #1 ¤ bel #2 ¤ lincoln #2

(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles G1ii

AVATAR : melisa asli pamuk.
CRÉDITS : ©senatoramidallas (gif profil) ¤ crackshipandcrap (gif hikwells) ¤ ©marnerwrites ©isadorahart (gif yasmen) ¤ ©gifsociety ©neonhelper (gif wilmen)
DC : i. da silva & m. mayers
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/09/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t55924-yasmin-if-you-want-peace-work-for-justice#top
https://www.30yearsstillyoung.com/t55951-yasmin-you-save-everyone-but-who-saves-you#2913687

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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptyDim 22 Sep 2024 - 15:26

Helen Stenfield adore ce message


forcing laughter, faking smiles
@Helen Stenfield • septembre 2024, ST VINCENT'S HOSPITAL


(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles 1f6a9 tw : violences conjugales

En passant les deux portes automatiques de l’hôpital, les quatre agents de police savent très bien ce qui les attend de l’autre côté des murs silencieux, qui ne laissent rien présager de l’horreur qui se déroule dans le service des urgences. Ils passent devant les rangées de chaises qui accueillent des familles courbées, pressées les unes contre les autres, dissimulées derrière un mouchoir pour éponger les larmes, suspendues à un téléphone portable pour maintenir le lien avec ceux qui ne peuvent pas être présents, ou qui attendent, regards fixés au loin, que la sentence tombe, se préparant au pire tout en espérant le meilleur. À leur approche, le sas s’ouvre pour les laisser passer et une infirmière, sans leur accorder un regard, zieute à droite à gauche dans le couloir avant d’annoncer, d’une voix claire mais basse : ‘’Il ne veut pas quitter sa chambre, mais elle est en train mauvais état… Elle a plusieurs os cassés et…’’ - ’’Conduisez-nous à la chambre de la victime, s’il vous plaît.’’ le lieutenant Hikmet le demande d’une voix polie mais inflexible, qui invite à ne pas s’étendre davantage sur les détails pour l’instant inutiles : savoir que la femme battue a plusieurs os cassés ne changera pas la mission qu’elle est venue honorer, et sa priorité absolue est qu’elle n’hérite pas d’autres blessures pendant qu’ils discutent dans le couloir. Partageant un bref regard entendu avec ses collègues, ils marchent d’un pas rapide derrière l’infirmière qui traverse le corridor à une vitesse pressée, et plus le cortège se rapproche de la chambre, plus la tension monte entre les policiers. Toutefois, l’infirmière n’a pas besoin de désigner la porte pour qu’ils comprennent que c’est derrière celle-ci que le mari violent s’époumone, faisant sûrement valser un plateau de chirurgie — du moins, le tintement aigu du fer donne cette impression même depuis le couloir, sous les cris et les pleurs de sa femme qui le supplie de se calmer. ’’On y va.’’ elle ne peut pas être celle qui s’adresse directement au mari abusif, souffrant de sa condition féminine et de la vision que l’homme possède de celle-ci, elle s’abstient : assurément, même si elle lui demandait de s’immobiliser et de mettre ses mains au-dessus de la tête avec toute l’autorité qu’elle possède, son stupide égo viril ne supporterait pas de devoir ployer face à une femme alors, c’est son collègue qui se charge de s’avancer le premier, mains légèrement relevées près de ses épaules, comme pour apaiser la nervosité palpable : ‘’Monsieur Burke… Votre femme…’’- ‘’Elle est tombée ! Cette empotée incapable de faire les choses correctement !’’ une main posée sur son holster, encore dissimulé par le bas de sa veste en cuir, et ne le quitte pas des yeux : les siens sont injectés de sang, il ressemble à une véritable bête déchaînée, incapable de se calmer tant ses veines se dessinent sur son crâne en menaçant d’exploser. Puis, pendant que son collègue tente de le convaincre de quitter la chambre, elle dévie son regard sur la femme en larmes au fond de son lit, et sur les deux personnes en blouse blanche qui s’affairent autour d’elle. La femme a le visage en sang, les cheveux emmêlés, le bras dans un mauvais état semble-t-il, le plus urgent, donc, est d’extirper la menace pour qu’elle puisse être soignée comme il se doit mais, l’homme ne semble pas être disposé à coopérer…
crédits/takemehome-tothestars
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Helen Stenfield
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
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ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90)
SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce"
STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme.
MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total.
LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement
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(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles Gs30
☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles 1728150393-yasmen1
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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptyLun 23 Sep 2024 - 20:33

Yasmin Hikmet adore ce message



let it go
@Yasmin Hikmet st vincent - fin septembre 2024
¤¤¤
crédits gifs (purplespoiler) / code (boté du sud :l:)



De l'action dans un hôpital, il y en avait tous les jours. De l'agitation aussi, il était rare de voir les couloirs de cet endroit vides de chirurgiens, de médecins, d'infirmières ou encore d'aides soignants en train de courir. Un hôpital, malgré les morts annoncés chaque jour, était un lieu vivant et animé. Néanmoins, des maris violents prêts à battre leur femme dans sa propre chambre, ça ne courrait pas non plus les rues, même si le nombre de féminicides ne cessait d'augmenter chaque année. Cela faisait à peine deux heures qu'Helen était arrivée au St Vincent, qu'on l'avait bipé au sujet d'une femme dont les os étaient cassés, probablement à cause de coups répétés de la part de son époux. La surprise, pour cette situation bien précise, était la présence de l'homme dans la chambre de la jeune femme, qui hurlait et pleurait de douleur, mais aussi de peur. Comment l'homme qu'on a aimé, et qu'elle était probablement encore en train d'aimer, pouvait-il agir de la sorte avec elle ? Comment pouvait-il normaliser le fait de la violenter dans un lieu public ? Heureusement qu'il ne se cantonnait pas qu'à la sphère privée, auquel cas la police n'aurait pas pu être appelé en urgence face à sa hargne et son comportement rempli de haine à l'égard d'une femme fatiguée, désemparée, mais forte, qui tentait de rester debout malgré ses blessures. Helen était dans la chambre, sans savoir quoi faire. L'homme était hors de lui, et la présence de deux policiers dans la pièce n'arrangea pas immédiatement les choses. Fort heureusement, grâce à beaucoup de diplomatie, l'homme s'écarta de son épouse, permettant à Helen et sa collègue de s'affairer autour de la femme en détresse pour tenter d'analyser le plus important dans sa prise en charge. Son visage était en sang, ses cheveux emmêlés et elle maintenait son bras meurtri contre elle, son cœur brisé en miettes sur le sol de cette chambre. Le mari fou mit un certain temps avant de coopérer, si bien qu'Helen n'osa pas tout de suite toucher la jeune femme, de peur de représailles directes, puisqu'il n'était encore qu'à quelques mètres d'elle. Le policier homme réussit à le coffrer et à le faire sortir de la chambre, permettant au corps médical de faire correctement leur travail. Sans se préoccuper tout de suite de la présence de la police pour lui prodiguer les soins nécessaires à ses blessures, Helen fit simplement son travail, néanmoins rassurée que la jeune femme derrière elle ne se jette pas sur la victime pour l'interroger. De toute façon, la chirurgienne quémanda rapidement un sédatif pour l'aider à se détendre, si bien qu'elle finit par s'endormir au plus d'une vingtaine de minutes, épuisée par toutes les émotions. Lorsqu'Helen jugea qu'elle avait fait tout le nécessaire pour permettre à la jeune femme de se remettre au moins physique de ces violences, la chirurgienne s'approcha de la policière qui était restée discrète, ce qui la rendit agréable. Le cas contraire, Helen n'aurait pas apprécié qu'elle se jette sur elle pour obtenir des réponses à ses questions, tel un interrogatoire mené. « J'ai stabilité son bras pour le moment, j'imagine qu'il faudra l'opérer. Nous allons attendre que ça aille mieux psychologiquement, une opération maintenant serait de trop. » La situation n'était déjà pas facile pour la victime, alors si elle devait passer sur la table d'opération, Helen ne garantissait pas qu'elle tienne sur le plan psychologique et affectif. « C'est horrible ce qu'elle vient de vivre. Je suis désemparée pour elle... » De l'empathie, beaucoup d'empathie. Voilà ce qu'Helen ressentait à l'instant T. « Vous ne pourrez l'interroger que demain... je lui ai donné quelque chose pour dormir. » Sans aide, aurait-elle réussi à trouver le sommeil ? Pas certain. « J'aimerais vous dire "rassurez-moi, ce n'est qu'un cas isolé", mais j'imagine bien que c'est un phénomène courant dans votre quotidien, non ? De notre côté, on accueille souvent des femmes battues, mais jamais leur mari n'est là pour menacer tout le monde, comme lui vient de le faire. » Elle lançait la conversation, d'un ton calme et posé. La présence des gendarmes n'étaient pas toujours vue d'un très bon œil par les patients, qui souhaitaient vivre leur séjour entre les murs de l'hôpital de manière sereine. Malheureusement, leur intervention comme aujourd'hui était parfois nécessaire, et une collaboration s'avérait être un enjeu important pour la résolution de situations comme celle ci.



it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.

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Yasmin Hikmet
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PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andrea
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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptyMer 25 Sep 2024 - 18:08

Helen Stenfield adore ce message


forcing laughter, faking smiles
@Helen Stenfield • septembre 2024, ST VINCENT'S HOSPITAL


(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles 1f6a9 tw : violences conjugales

La tension est à son comble durant le laps de temps où son collègue tente d’apaiser la nervosité de celui qui, poings rougis, ne prend pas la mesure de ses actes, ne se rend peut-être même pas compte à quel point il terrifie sa femme et les médecins qui s’affairent autour d’elle pour la soigner, pour réparer toutes les blessures qu’il lui a infligé. Ses yeux sont infectés de sang, grossis par la colère, ses sourcils sont tellement froncés que le milieu disparait derrière ses paupières et il est agité, très agité, au point que les policiers en arrière se tiennent prêts à intervenir si le besoin s’impose mais, miraculeusement, celui qui a le rôle de négociateur parvient à le neutraliser sans provoquer d’esclandre. Une fois sorti de la pièce, l’homme est ceinturé et menotté par deux policiers qui se chargent de le faire décamper, l’emportant bien de la chambre de celle qu’il n’a que trop blessé déjà ; les deux autres se lancent un regard entendu avant de se faire le plus discrets possible dans la pièce où la tension est toujours palpable, mais où celle-ci a considérablement diminué suite à son départ. Le haut de son dos appuyé contre le mur près de la porte, elle croise ses bras contre son buste féminin en mordillant nerveusement l’intérieur de sa joue, également traversé par des élans de compassion et de tristesse qu’elle ne peut partager, qu’elle ne doit pas partager, puisque l’empathie, chez les policiers, doit être discrète. Attendant patiemment dans son coin, Yasmin lève de temps en temps le menton pour zieuter en direction de la patiente éplorée, qui trouve un peu de repos quand on lui administre un calmant — pas de quoi arranger les affaires de la police, puisque cela retarde leur enquête, mais la lieutenant ne parvient pas à le regretter totalement, comprenant fort bien que c’est préférable pour la victime et, pour tout le monde, elle est bien l’unique priorité. « J'ai stabilité son bras pour le moment, j'imagine qu'il faudra l'opérer. Nous allons attendre que ça aille mieux psychologiquement, une opération maintenant serait de trop. » pressant ses lèvres l’une contre l’autre, elle lance un regard bienveillant vers la blessée avant de reporter ses iris sombres sur le visage de la doctoresse. ’’Elle va devoir rester à l’hôpital, alors… Il vaudrait mieux que l’on s’assure qu’il ne puisse pas revenir.’’ la vraie question est « comment », puisque tout le monde sait que les hommes coupables de violences conjugales ne sont que rarement punis à la hauteur de leurs crimes « C'est horrible ce qu'elle vient de vivre. Je suis désemparée pour elle... » Yasmin est davantage proche de la colère envers le mari, mais c’est une colère qu’elle a appris à museler au fil des années, sans toutefois parvenir à s’en détacher ’’Elle est forte, elle survivra. Elle a appelé à l’aide, elle sait qu’il est dangereux… Je ne crois pas qu’elle le laissera revenir cette fois.’’ puisque ce n’est pas la première fois que l’homme est épinglé pour des faits similaires, mais d’habitude ce sont les voisins qui appellent les flics ’’Cette fois, je crois qu’elle a compris qu’elle devait partir. Il faut qu’elle parte.’’ relâchant l’étreinte de ses bras, elle fronce brièvement ses sourcils en appuyant ses mains sur ses hanches, soupirant d’un mélange de frustration, de colère et de tristesse. « Vous ne pourrez l'interroger que demain... je lui ai donné quelque chose pour dormir. » son collègue s’apprête à émettre un mot de protestation mais elle le coupe en prenant la parole plus rapidement que lui, pour le faire taire ’’On comprend. Elle est la priorité, on repassera demain pour prendre sa déposition.’’ évidemment, son collègue n’est pas ravi de se faire rabattre le caquet par une femme, même si celle-ci est sa supérieure, mais Yasmin l’ignore en gardant les yeux rivés sur la médecin, à laquelle elle accorde un minuscule sourire complice, malgré les circonstances. « J'aimerais vous dire "rassurez-moi, ce n'est qu'un cas isolé", mais j'imagine bien que c'est un phénomène courant dans votre quotidien, non ? De notre côté, on accueille souvent des femmes battues, mais jamais leur mari n'est là pour menacer tout le monde, comme lui vient de le faire. » - ’’Malheureusement, oui…’’ inutile de mentir, elles ont au moins ça en commun : elles côtoient la mort, le sang, les larmes, mais elles font ces métiers parce que, parfois, l’histoire se termine bien. ’’Je crois que j’ai besoin d’un thé… Vous pouvez m’indiquer la cafétéria ? Je vais rester un peu ici pour m’assurer qu’elle est en sécurité.’’
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Helen Stenfield
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Suite au départ de l'homme violent, la tension commençait déjà à retomber dans la chambre d'hôpital. La peur s'évaporait peu à peu, consciente que le danger était écarté, au moins pour un temps. Sans la présence de la police, la situation aurait été complètement ingérable pour le corps médical, qui n'aurait certainement pas pu immobilisé la personne violente. En tout cas, pas sans un risque. Désormais, la priorité était la santé de la jeune femme, qui subissait un profond traumatisme psychologique à cause des coups portés, en plus de la douleur causée par son bras cassé. Helen s'était déjà affairée pour lui stabiliser, et lui avait administré un calmant pour qu'elle puisse respirer de ce choc subi. Elle en fit d'ailleurs part à la policière encore présente dans la chambre, alors que la victime commençait déjà à s'endormir. « Elle va devoir rester à l’hôpital, alors… Il vaudrait mieux que l’on s’assure qu’il ne puisse pas revenir. » « Est-ce qu'un de vos collègues pourrait éventuellement rester à l'hôpital ? Pour s'assurer qu'il ne revienne pas ? » C'était peut-être une procédure extrême pour une "inconnue", alors que c'était généralement le cas lorsqu'une personnalité pouvait être amenée à vivre un séjour à l'hôpital. Mais la situation était grave, alors la présence d'une figure d'autorité devant sa porte dissuaderait certainement l'homme de revenir, non ? En tout cas, Helen avait beaucoup de peine pour cette jeune femme en pleine souffrance. Les violences envers les femmes étaient si normalisées dans l'esprit de certains hommes, que ça lui en donnait la chair de poule. Elle avait envie de vomir face à tant de colère et d'envie de faire mal à la personne qu'on est censé aimer. « Elle est forte, elle survivra. Elle a appelé à l’aide, elle sait qu’il est dangereux… Je ne crois pas qu’elle le laissera revenir cette fois. » Il fallait l'espérer, oui. « Cette fois, je crois qu’elle a compris qu’elle devait partir. Il faut qu’elle parte. » Helen acquiesçait délicatement de la tête, en maintenant le regard de la policière. Elle voulait croire qu'elle avait raison, que la victime ne referait pas l'erreur de se remettre avec une telle personne. « Je l'espère de tout cœur. Je peux comprendre que parfois, l'amour est si fort qu'on a envie de pardonner... mais tant de violence, c'est impardonnable. » Helen avait une certaine expérience en matière de pardon, puisqu'elle n'arrivait pas à pardonner à Sam son infidélité. La situation n'était certes pas comparable, mais elle était à même de comprendre le côté des sentiments encore présents pour un homme qu'on ne veut plus dans sa vie. « On comprend. Elle est la priorité, on repassera demain pour prendre sa déposition. » C'était la meilleure chose à faire, oui. La femme avait besoin de se reposer, pour être entièrement disponible pour leur interrogatoire. Son collègue semblait moins compréhensif, à en juger par la réaction de son corps face à la remarque de la lieutenant, mais c'était ainsi. Elle était en effet la priorité. Sans état de conscience, pas d'interrogatoire, ça tombait sous le sens. N'étaient-ils pas habitués à confronter ce type de situations ? Comme Helen le disait justement, ces incidents de violence étaient plus fréquents que ce que l'on pouvait croire, et la policière le lui confirma, à contrecœur. « Je crois que j’ai besoin d’un thé… Vous pouvez m’indiquer la cafétéria ? Je vais rester un peu ici pour m’assurer qu’elle est en sécurité. » « Bien sûr, je vous y accompagne. Suivez-moi. » Lui répondit-elle, tandis que son collègue partait dans la direction opposée, visiblement peu enclin à tenir compagnie à sa partenaire de travail. Alors, alors que les deux femmes longeaient le couloir pour rejoindre l'ascenseur, la chirurgienne se risqua à faire remarquer, motivée par le sourire complice que la policière lui avait adressé quelques secondes plus tôt :  « Votre collègue n'a pas l'air très ravi. » C'était un euphémisme, s'il avait pu manifester son désaccord, certainement qu'il l'aurait fait de manière peu agréable. « Je vous rassure, à l'hôpital aussi il y a des hommes qui ne supportent pas que des femmes mènent la danse au bloc opératoire. » Car c'était une question d'égo, rien de plus. C'était évident.



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Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.

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Yasmin Hikmet
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
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ÂGE : trente-six ans (14.04)
SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche
STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne
MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres
LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille
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POSTS : 105 POINTS : 590

TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité.
TW IRL : maltraitances animales.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andrea
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
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RPs EN COURS : (yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles Oagc
YASMEN #3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry

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HIKWELLS #2 (fb) ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone


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WILMEN #1 ¤ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand, you see it's not the wings that make the angel, just have to move the bats out of your head. for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide

kip#2 ¤ atlas #1 ¤ bel #2 ¤ lincoln #2

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AVATAR : melisa asli pamuk.
CRÉDITS : ©senatoramidallas (gif profil) ¤ crackshipandcrap (gif hikwells) ¤ ©marnerwrites ©isadorahart (gif yasmen) ¤ ©gifsociety ©neonhelper (gif wilmen)
DC : i. da silva & m. mayers
Femme (elle)
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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptyMar 1 Oct 2024 - 19:27

Helen Stenfield adore ce message


forcing laughter, faking smiles
@Helen Stenfield • septembre 2024, ST VINCENT'S HOSPITAL


(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles 1f6a9 tw : violences conjugales

« Est-ce qu'un de vos collègues pourrait éventuellement rester à l'hôpital ? Pour s'assurer qu'il ne revienne pas ? » hochant lentement son menton de haut en bas, elle accueille la demande de la chirurgienne avec un sourire qui se veut compréhensif au regard de la situation, puisque la peur est légitime et partagée ’’Pour l’instant, si ça peut vous rassurer, il va passer la nuit en garde-à-vue. Après, ça ne dépendra plus de nous… Tout dépend de la victime, de si elle porte plainte ou non, et si le procureur veut engager des poursuites ou pas.’’ le fait que l’horreur de la réalité soit établie mais pas forcément suivie de conséquences peut paraître frustrant d’un point-de-vue extérieur — et ça l’est, mais Yasmin a suffisamment élimé le cuir de sa consternation pour l’accepter avec une résilience qui ne masque rien d’autre que la malheureuse habitude d’être confrontée à ce genre de situations tragiques. ’’Tout ce que vous mettrez dans son dossier d’hospitalisation pourra être utile pour la justice, en tous cas.’’ elle hoche de nouveau son menton sans que cela ne soit un encouragement quelconque à extrapoler les blessures de la victime, songeant que celles-ci sont largement suffisantes pour conduire à une procédure mais, elle ne peut pas affirmer avec aplomb que l’homme sera jugé et puni à la juste mesure de ses actes. Combien d’hommes ont été arrêtés et sont revenus ensuite fair le travail par vengeance ? Beaucoup trop à son goût, mais elle garde cette information pour elle, Yasmin, ne voulant pas que cette menace plane au-dessus de l’hôpital. ’’Pour l’instant, nous allons rester ici pour nous assurer que la victime est en sécurité.’’ relâchant l’étreinte de ses bras pour les envoyer dans son dos, elle esquisse un petit sourire réconfortant avant de pencher son menton sur le côté, toutes deux étant bien d’accord sur la nature impardonnable des actes de l’époux menotté. Malheureusement, il n’y a rien de plus courant que les femmes victimes de violences, et la lieutenant a arrêté de croire qu’elle pouvait, à elle seule, endiguer ce phénomène abject. Tout ce qu’elle peut faire, à son niveau, c’est limité la douleur et s’assurer que la victime est hors de danger. Et comme elle se colle à cette mission, elle n’hésite pas à demander à la belle brune où elle peut trouver son carburant préféré : du thé ! « Bien sûr, je vous y accompagne. Suivez-moi. » la laissant passer la première, Yasmin suit docilement Helen à travers les couloirs de l’hôpital, en étant un peu gênée de grappiller son temps si précieux de médecin pour une formalité aussi risible qu’un gobelet avec de l’eau chaude mais, avant qu’elle puisse lui dire qu’elle va se débrouiller toute seule pour trouver la cafétéria, la chirurgienne relance la conversation sur un tout autre sujet « Votre collègue n'a pas l'air très ravi. » elle s’exclame d’un « ah » qui feint la surprise, et qui dessine un sourire amusé sur ses lippes tandis qu’elle fourre ses mains dans les poches de sa veste en cuir. ’’Ça… J’ai l’habitude.’’ - « Je vous rassure, à l'hôpital aussi il y a des hommes qui ne supportent pas que des femmes mènent la danse au bloc opératoire. » levant un regard complice vers celle qui porte une blouse blanche, Yasmin marmonne ’’Pourquoi je ne suis pas surprise ?’’ le collègue en question remet en doute sa position hiérarchique parce qu’elle est une femme, et parce qu’il croit toujours qu’elle a tué un homme qu’il admirait mais, ça, c’est une information qu’elle compte bien garder pour elle. ’’Ils ne vous pensent pas assez qualifiée pour tenir un bistouri, et moi un flingue. Finalement, nos situations sont assez similaires.’’ c’est un amusement aigre qui fleurit sur ses lèvres, et elle s’avance d’un pas pour pousser la porte de la cafétéria, tenant la porte pour que Helen puisse y passer la première si elle le souhaite, même si Yasmin n’est pas sûr que la jeune femme ait la possibilité de s’attarder. ’’Vous avez le temps pour un thé ? Qu’on puisse médire sur nos collègues masculins avec de quoi soulager nos gorges…’’ tenant toujours la porte, elle plante ses yeux dans ceux d’Helen en lui adressant un sourire mutin, auquel personne ne peut résister pas vrai ?
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çoğu gün kendimi tanımadığımı söylemek kolay değil. eskisi gibi değilim ama bu doğru, o kızı hala hatırlıyorum: kusurlu ama çabalıyor, iyi ama yalan söylüyor, kendine karşı sert, kırılmış ve yardım istemiyor, dağınıktır ama naziktir, çoğu zaman yalnızdır, o düşündüğünden daha güçlü, güven banae.

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Helen Stenfield
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
la mécanique du cœur
  
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90)
SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce"
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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptyLun 7 Oct 2024 - 22:29

Yasmin Hikmet adore ce message



forcing laughter, faking smiles
@Yasmin Hikmet st vincent - fin septembre 2024
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tw : violences conjugales



« Pour l’instant, si ça peut vous rassurer, il va passer la nuit en garde-à-vue. Après, ça ne dépendra plus de nous… Tout dépend de la victime, de si elle porte plainte ou non, et si le procureur veut engager des poursuites ou pas. » Toutes ces procédures judiciaires ne lui étaient pas nécessairement connues, alors Helen apprécia que la lieutenant la rassure quant à l'éventualité qu'il ne revienne pas. La chirurgienne espérait très fort que la victime ose porter plainte contre cet homme violent, peu importe la nature de ses sentiments. Evidemment, la brune n'était pas en mesure de lui partager son avis, et elle ne le ferait pas. Loin d'elle l'idée de vouloir la convaincre de la faire, mais elle espérait qu'il y ait suffisamment de rancœur, de déception, de tristesse et de souffrance dans son cœur pour qu'il manifeste l'envie de le tenir éloignée à jamais d'elle. C'était tout ce qu'il méritait. « Tout ce que vous mettrez dans son dossier d’hospitalisation pourra être utile pour la justice, en tous cas. » Helen n'était pas certaine de comprendre si elle lui intimait d'aggraver la situation dans son rapport, mais sa remarque ne tombait néanmoins pas dans l'oreille d'une sourde. Elle hocha en douceur la tête, car elle garderait à l'esprit ces mots lorsqu'elle rédigerait le compte-rendu de son intervention auprès de la victime. Si Helen pouvait l'aider, d'une certaine façon, elle n'hésiterait pas à accentuer un peu l'état de ses blessures, même si ces dernières étaient très graves. « Pour l’instant, nous allons rester ici pour nous assurer que la victime est en sécurité. » Le professionnalisme de la jeune femme faisait naître un véritable sentiment de sûreté chez la chirurgienne, qui se sentait rassurée par ses paroles. Combien de fois était-elle tombée sur un flic bien gras, à peine concerné par les sentiments d'une femme battue ? Helen savait qu'en face d'un homme, sa décision de plonger la victime dans le sommeil pour se remettre de ses émotions aurait été très mal perçue, comme le laissant croire le collègue de la policière. Pour le coup, la chirurgienne ne lui répondit rien, se laissant juste bercer par sa voix rassurante, puis elle accepta de l'accompagner jusqu'à la cafétéria. En chemin, le policier emprunta un autre couloir, laissant les deux jeunes femmes libres de parler tranquillement. La brune se confia alors au lieutenant, lui affirmant que la machisme existait aussi au sein de cet hôpital. « Pourquoi je ne suis pas surprise ? » Elles s'adressent un sourire entendu, même si finalement ce sont des choses plutôt tristes à entendre. Au jour d'aujourd'hui, il existait pourtant des hommes qui continuaient à se croire encore si supérieur aux femmes. C'était parfois très écœurant. « Ils ne vous pensent pas assez qualifiée pour tenir un bistouri, et moi un flingue. Finalement, nos situations sont assez similaires. » Tout à fait, leurs situations étaient vraiment similaires. « C'est bien triste, d'être si bas d'esprit. » Si bête, si ridicule, si con, en fait. Malheureusement pour la policière, Helen imaginait qu'un homme devait encore moins bien respecter une femme flic qu'une femme chirurgienne. Sûrement en utilisant le prétexte de : flic, c'est un boulot d'homme. Écœurant, pensait-elle déjà tout à l'heure. « Vous avez le temps pour un thé ? Qu’on puisse médire sur nos collègues masculins avec de quoi soulager nos gorges… » La proposition tombait à point nommé, Helen ne s'imaginait pas vraiment repartir si vite en consultation après ce qu'il venait de se passer. « Avec grand plaisir, j'ai besoin que la pression retombe complètement, en plus de ça. » La surprise, la peur commençaient déjà à être bien loin, mais elle ne doutait pas que partager un thé avec la policière l'aiderait à se sentir définitivement mieux. Alors, la chirurgienne passa la porte de la cafétéria qu'elle tenait toujours, l'invitant à passer devant elle. Helen l'attendit néanmoins deux pas plus loin, pour qu'elles puissent continuer à marcher l'une à côté de l'autre. Il n'y avait personne, alors elles arrivèrent très rapidement proche du comptoir. A force de se croiser tous les jours, ou presque, la personne en charge de la cafétéria lui adressa un large sourire, tandis qu'Helen passa commande à voix haute : « Deux sachets de ton meilleur thé noir. » Ironisa-t-elle, en adressant un sourire en coin à la policière qui avait certainement compris que sa commande dépassait largement la réalité du terrain : « Ce n'est pas digne du salon de thé du coin, mais on finit par s'y faire à force. Tu mets ça sur mon ardoise de la semaine. » Elle lui tendit deux gobelets remplis d'eau chaude, ainsi que deux sachets de thé qu'elles auraient tout le loisir de faire infuser elles-mêmes, en s'installant à une table. Helen lui emboîta d'ailleurs le pas, en tenant les deux récipients chauds, et choisit une table tout à fait au hasard. Seule, Helen se serait affalée contre le dossier de sa chaise en soupirant. Accompagnée de la policière, elle se tint correctement, sans laisser une seconde de répit à ses zygomatiques, puisqu'Helen lui souriait toujours. « Sacré histoire quand même... mon chat va encore me ramasser à la petite cuillère ce soir en rentrant. » Pauvre Miketi, Helen se confiait toujours à elle quand quelque chose n'allait pas au travail, puisqu'elle était toujours une oreille attentive, sans jamais se plaindre de ses propres plaintes. D'un côté, elle était dénuée de paroles, alors c'était facile pour elle d'écouter sans montrer un quelconque mécontentement d'entendre des histoires aussi terribles. « M'enfin, vous devez voir des choses bien pires encore... vous avez tout mon respect pour ça. » Et pour tout ce que la police faisait tous les jours, bien entendu. Pas que pour ça.



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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptyMer 9 Oct 2024 - 0:33

Helen Stenfield adore ce message


forcing laughter, faking smiles
@Helen Stenfield • septembre 2024, ST VINCENT'S HOSPITAL


(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles 1f6a9 tw : violences conjugales

« C'est bien triste, d'être si bas d'esprit. » elle a un bref haussement de sourcils qui semble signifier que cela ne l’étonne même pas, puisque les domaines médicaux et juridiques ont longtemps été l’apanage des hommes, et il apparaît nettement que certains n’apprécient que moyennement que les armes et les bistouris puissent être également distribués aux femmes désormais. ’’Les femmes étaient cantonnées aux rôles d’infirmière ou de secrétaire, maintenant qu’on joue dans la même cour, les rapports de force ont changé.’’ sur papier, on vante l’égalité parfaite mais, il ne faut pas être dupe : elle ne subirait pas autant le mépris de ses collègues si elle était un mec. Personne ne remettrait ses capacités en question, et personne n’oserait remettre sa parole ou ses directives en doute. Il y a encore du progrès à faire, c’est clair, mais il y a également quelque chose de réconfortant à savoir que le problème est généralisé, et s’étend au-delà de sa sphère professionnelle. Helen n’est pas flic mais n’est pas épargnée pour autant, c’est bien le problème ne vient pas de leur propre personne, pas vrai ? Chassant ces sombres pensées de son esprit, la lieutenant se redresse en osant inviter la jeune chirurgienne à se joindre à elle pour une pause bien méritée, et des deux, c’est la plus jeune qui semble en avoir le plus besoin. Est-ce la première fois qu’elle fait face à un homme qui bat sa femme ? Yasmin ne doute pas du fait qu’elle a dû voir tout un tas de choses horribles entre ces murs, mais peut-être que se confronter à l’horreur primitive est plus difficile qu’elle ne l’avait pensé. « Avec grand plaisir, j'ai besoin que la pression retombe complètement, en plus de ça. » elle esquisse un petit sourire encourageante adoucissant son regard lorsque ses billes foncées glissent sur les traits de la demoiselle, qui semble véritablement secouée. Elle ne juge pas, Yasmin, consciente que sa faculté à endosser le poids du malheur n’est pas donnée à tout le monde. Elle non plus, au début de sa carrière, n’aurait pas supporté la scène qui vient de se dérouler. On s’y fait. Peut-être est-ce une mauvaise chose, finalement, de côtoyer la douleur de si près au point d’y être presque immunisée, mais comment continuer sinon ?

Les bras croisés contre son buste féminin, elle avance aux côtés de la belle brune au sein de la cafétéria presque déserte, ne prenant conscience de l’heure tardive qu’en voyant la salle silencieuse, dont les tables rondes sont quasiment vides. ’’Pratique qu’elle soit ouverte même la nuit.’’ dit-elle simplement pour faire la conversation et penser à autre chose, en regrettant de ne pas avoir la même chose au commissariat — quoique, non, mauvaise idée, elle y passerait encore plus de temps. « Deux sachets de ton meilleur thé noir. » dubitative, elle lance un regard à la personne derrière le comptoir avant de bifurquer vers Helen, finissant par lui adresser un sourire amusé sous la mise en scène qu’elle lui offre « Ce n'est pas digne du salon de thé du coin, mais on finit par s'y faire à force. Tu mets ça sur mon ardoise de la semaine. » - ’’Je bois le café infect d’un distributeur dans un couloir, alors…’’ sous-entendu « je suis immunisée à tout » ’’Merci, c’est très gentil.’’ leur commande récupérée, elles s’installent à une petite table au calme, ce qui n’est pas une denrée rare dans cette vaste salle dépeuplée, si bien que Yasmin a presque peur que sa voix résonne quand elle reprend la parole pour lui répondre ’’J’échange votre chat contre ma fille de huit ans.’’ découpant l’emballage en papier pour en extraire le petit sachet de thé qu’elle met aussitôt à infuser, appuyant ensuite son coude sur la table pour que son menton puisse se nicher dans sa main ‘’Je l’ai élevée seule alors je crois que je lui ai passé un peu trop de caprices…’’ elle tord le coin de sa bouche sur le côté en ayant l’air d’avouer sa culpabilité, même si la discussion légère lui fait du bien après cette soirée difficile, qui l’est peut-être moins que d’habitude d’ailleurs. « M'enfin, vous devez voir des choses bien pires encore... vous avez tout mon respect pour ça. » elle hausse les épaules en jouant distraitement avec le fil en tissu de son sachet de thé, se réconfortant de la chaleur qui émane du gobelet tandis que, finalement, elle se laisse choir sur sa chaise sans grande retenue, elle ’’Comme vous, je pense… On est confrontées au pire, toutes les deux. Mais je crois que ça a du sens. Du moins, on ne fait pas ce métier sans que ce soit une vocation… Ce serait trop difficile à supporter sinon, vous ne pensez pas ?’’ du moins, c’est ce qu’elle croit naïvement, Yasmin.
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çoğu gün kendimi tanımadığımı söylemek kolay değil. eskisi gibi değilim ama bu doğru, o kızı hala hatırlıyorum: kusurlu ama çabalıyor, iyi ama yalan söylüyor, kendine karşı sert, kırılmış ve yardım istemiyor, dağınıktır ama naziktir, çoğu zaman yalnızdır, o düşündüğünden daha güçlü, güven banae.

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Helen Stenfield
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
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ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90)
SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce"
STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme.
MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total.
LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement
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GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas.
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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptySam 12 Oct 2024 - 22:21

Yasmin Hikmet adore ce message



forcing laughter, faking smiles
@Yasmin Hikmet st vincent - fin septembre 2024
¤¤¤
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Leur passage à la cafétéria allait permettre à la chirurgienne de souffler un peu après ces événements assez déroutants. La lieutenant avait eu des paroles plus ou moins rassurantes quant au fait que l'époux violent ne reviendrait certainement pas de si tôt, et tant mieux. Mais pour le coup, maintenant, Helen avait envie d'une discussion plus légère, et de moins se concentrer sur ce qu'il venait de se passer sous ses yeux. Au bout du compte, il n'y avait pas eu d'heure de décès à déclarer, chose qu'un chirurgien faisait pourtant presque tous les jours, à son plus grand désarroi... mais, n'était-ce pas pire que la mort, d'ailleurs ? De se faire frapper dessus, sans rien pouvoir oser dire, et juste encaisser ? Bref, il fallait que la brune songe à autre chose pour l'instant. « Pratique qu’elle soit ouverte même la nuit. » Oh oui, heureusement ! Comment ferait-elle, sans la cafétéria la nuit ? Elle le savait, hein. Il lui faudrait se tourner vers le café des distributeurs mais... même si celui-ci ne valait pas le bon torréfacteur du coin, celui de la machine à café était bien pire encore. « Je bois le café infect d’un distributeur dans un couloir, alors… » - « Aïe » Glissa-t-elle, comprenant parfaitement sa douleur, puisque les machines à café se valaient certainement d'un endroit à l'autre. Il lui paraissait impensable qu'il puisse y avoir un meilleur café qu'un autre dans ces horribles machines, qui n'avaient certainement pas dû être conçues par de véritables humains. Ou alors par des humains dénués de goût. Helen accueillit les remerciements de la policière avec un sourire, avant que les deux jeunes femmes ne s'installent à une table. Même si la chirurgienne avait besoin de penser à autre chose, elle ne pouvait s'empêcher de commenter ce qu'il venait de se passer, précisant au passage à la policière qu'elle n'avait personne à la maison pour vraiment l'épauler dans ce genre de situations. Enfin, de toute manière, elle n'avait plus vraiment de maison... C'était Sam qui habitait dedans, et il était hors de question qu'elle y retourne un jour. « J’échange votre chat contre ma fille de huit ans. » Helen imitait les gestes de la policière avant de faire infuser son sachet de thé également, tandis qu'un rire discret s'échappait de ses lèvres. L'échange était-il vraiment équitable ? Helen appréciait fortement les enfants, mais elle ne connaissait encore aucun de cet âge-là dans son entourage. A vrai dire, ses ami(e)s étaient tous de jeunes parents. Par ailleurs, la policière ne semblait pas bien âgée, et pourtant sa fille avait huit ans. Ou alors, peut-être ne faisait-elle pas son âge ? A vu d'œil, là comme ça, Helen ne lui donnait pas plus de trente deux ans. « Je l’ai élevée seule alors je crois que je lui ai passé un peu trop de caprices… » La chirurgienne haussa légèrement des épaules, avant de répliquer : « Ne soyez pas trop dure avec vous-même, ça ne doit pas être simple d'élever un enfant seule... » A partir du moment où sa fille n'agissait pas telle la princesse de Brisbane, il n'y avait pas de raisons de se reprocher à soi-même d'avoir laisser passer des caprices. « Excusez ma curiosité, mais vous l'avez eu très tôt ? Vous paraissez très jeune aussi. En soi, ça doit être super d'avoir un enfant avant vingt-cinq ans, on est encore fraiche et dynamique, non ? » Ce qui ne sera jamais son cas, ça, c'était la seule chose dont elle était certaine concernant ses propres enfants. Helen n'avait pas pour ambition de froisser la jeune femme concernant son âge, et elle espérait qu'elle ne prenne pas mal sa remarque. A côté de cela, la chirurgienne lui manifesta tout le respect qu'elle avait pour sa profession. « Comme vous, je pense… On est confrontées au pire, toutes les deux. Mais je crois que ça a du sens. Du moins, on ne fait pas ce métier sans que ce soit une vocation… Ce serait trop difficile à supporter sinon, vous ne pensez pas ? » Sans le vouloir, la policière touchait un point sensible chez Helen depuis un long moment. Aujourd'hui, Helen aimait son travail, et elle s'investissait corps et âme en tant que chirurgienne. Mais pouvait-elle vraiment parler de vocation dès son plus jeune âge ? Pas du tout. « L'amour pour ce métier est vraiment arrivé pendant mon internat, je plaide coupable. Pour être honnête, si on parle de vocation, la mienne était d'organiser des mariages. » Se confier à la policière était si facile, dis-donc. « Après, on doit en voir de sacrées histoires dans ce boulot aussi... combien de marié.es laissé.es à l'autel, avant même de pouvoir prononcer le fatidique "oui" ? » Un long soupir s'échappa de ses lèvres, alors qu'elle observait le sachet de thé qui flottait à la surface de l'eau fumante. « Et tous ces divorces prononcés, à cause de maris infidèles, hein ? » Marmonna-t-elle, prise subitement dans ses pensées. La revoilà qui s'emportait sur son propre mariage. Il fallait qu'elle s'arrête dès maintenant. « Excusez-moi, vous n'avez pas non plus demandé à m'entendre raconter tous les détails de ma vie. » Elle fit une très courte pause avant d'ajouter : « Vous, vous avez toujours souhaité être policière ? » L'entendre parler d'elle l'aiderait davantage à voir la vie plus positivement, encore plus après l'agression de la jeune femme tout à l'heure.



it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.

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Yasmin Hikmet
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
l'ombre des soupçons
  
ÂGE : trente-six ans (14.04)
SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche
STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne
MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres
LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille
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POSTS : 105 POINTS : 590

TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité.
TW IRL : maltraitances animales.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andrea
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YASMEN #3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry

(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles 20543bede025685ce2217e46e58ac7753bc9012c
HIKWELLS #2 (fb) ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone


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WILMEN #1 ¤ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand, you see it's not the wings that make the angel, just have to move the bats out of your head. for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide

kip#2 ¤ atlas #1 ¤ bel #2 ¤ lincoln #2

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Helen Stenfield adore ce message


forcing laughter, faking smiles
@Helen Stenfield • septembre 2024, ST VINCENT'S HOSPITAL


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« Ne soyez pas trop dure avec vous-même, ça ne doit pas être simple d'élever un enfant seule... » il est vrai, mais la lieutenant ne se pense pas à plaindre : Derya n’a jamais été une enfant particulièrement difficile, ne faisant que trop peu de caprices et ne rechignant jamais à aller dormir ou prendre son bain. Assurément, se retrouver toutes les deux après la mort de Derek avait tissé un lien spécial entre les deux, comme si la petite fille avait compris que sa mère faisait tout ce qu’elle pouvait pour préserver leur foyer, et qu’elle avait décidé de lui faciliter la tâche. ’’En réalité, je suis ingrate.’’ dit-elle avec douceur en baissant les yeux vers l’eau de son gobelet qui a pris une jolie teinte verdâtre. ’’Ma fille est très facile, mais elle commence à être dans cette période où je n’ai plus le droit de rentrer dans sa chambre sans frapper, mais elle a le droit de me piquer mon maquillage.’’ ses lèvres se courbant avec amusement, elle hausse ses sourcils en observant la jolie chirurgienne, qui n’en a guère besoin, elle, de maquillage. Elle est suffisamment belle sans artifice, même après des heures de garde et une session musclée auprès d’une patiente victime de violences conjugales. « Excusez ma curiosité, mais vous l'avez eu très tôt ? Vous paraissez très jeune aussi. En soi, ça doit être super d'avoir un enfant avant vingt-cinq ans, on est encore fraiche et dynamique, non ? » surprise, elle espace ses lèvres de quelques degrés en soufflant un petit rire du fond de sa gorge, son égo venant irrémédiablement se ressaisir tant il est revigoré ’’J’ai trente-six ans, vous savez…’’ se remettant correctement sur sa chaise (on vient de la rajeunir, ça nécessite une meilleure posture voyez), elle reprend ’’Donc le fraîche et dynamique est très loin.’’ et elle ne cherche nullement la flatterie avec cette affirmation, puisque Yasmin n’a pas vraiment le temps de songer aux affres du temps sur son visage ; entre son boulot et sa fille, elle n’a pas franchement la place pour un quelconque narcissisme. Ridé ou lisse, maquillé ou naturel, son visage doit être la flic et la mère qu’on attend qu’elle soit.

Et dans le fond, ça lui convient très bien, tout ça. Yasmin n’a jamais eu la moindre hésitation concernant son métier, pas même lorsque ses collègues voyaient en elle une tueuse sanguinaire. Elle aurait pu être dégoutée de sa plaque et de son grade mais, la réalité est qu’elle a été franchement heureuse quand on lui a rendu son insigne et son arme. « L'amour pour ce métier est vraiment arrivé pendant mon internat, je plaide coupable. Pour être honnête, si on parle de vocation, la mienne était d'organiser des mariages. » ses sourcils se rapprochent sous l’étonnement que cette affirmation lui procure, mais elle soulève d’abord son gobelet pour tremper ses lèvres dans son thé avant d’oser demander : ’’Pourquoi ne pas avoir poursuivi dans cette voie, alors ?’’ curieuse, elle rajoute ’’Médecin est très éloigné de wedding planner…’’  comment est-elle arrivée à tenir un stéthoscope alors qu’elle voulait organiser des réceptions romantiques et époustouflantes ? Soufflant au-dessus de sa boisson, elle attend la réponse sans quitter la demoiselle des yeux. « Après, on doit en voir de sacrées histoires dans ce boulot aussi... combien de marié.es laissé.es à l'autel, avant même de pouvoir prononcer le fatidique "oui" ? » - ’’Quelle horreur !’’ qu’elle lance dans un demi éclat de rire, vraiment terrifiée à l’idée de vivre la même chose — heureusement que le mariage n’est pas au programme de sa vie. Mais elle calme rapidement les effusions joyeuses lorsque résonne le « Et tous ces divorces prononcés, à cause de maris infidèles, hein ? » qui résonne avec beaucoup de mélancolie dans la bouche de la chirurgienne, trop pour que la police n’en déduise pas l’évidence. ’’Je suis désolée.’’ sincère, elle presse ses lèvres l’une contre l’autre en sentant son coeur s’adoucir d’un élan de compassion suave pour cette femme qui semble avoir le coeur en lambeaux, pour un mal qu’elle ne connait que trop bien. La trahison amoureuse. « Excusez-moi, vous n'avez pas non plus demandé à m'entendre raconter tous les détails de ma vie. » elle secoue son menton pour enlever toute gravité à cet épanchement émotif, qui n’est en rien gênant à ses yeux, mais elle n’a pas le temps de le formuler puisque Helen surenchérit presque aussitôt « Vous, vous avez toujours souhaité être policière ? » reposant calmement son gobelet sur la table, elle hoche vaguement son menton de haut en bas avant de répondre, l’air nostalgique ’’Mes parents vous diront que je poursuivais déjà les voleurs quand j’étais gamine.’’ donc oui, elle a toujours voulu faire ce métier, sans aucun doute possible ’’Mais ils n’étaient pas ravis quand je me suis inscrite à l’école de police… Ils m’ont soutenue, mais ils auraient préféré que je fasse un métier moins risqué.’’ comme tous les parents, elle suppose, du moins elle ne sera pas enchantée si Derya devient policière à son tour, elle doit bien l’admettre. ’’Et pour ce que ça vaut… Le père de ma fille était un infidèle notoire aussi. Un mec fidèle, vous pensez que ça existe ?’’ levant légèrement le menton d’un air faussement pensif, elle apporte son gobelet à ses lèvres pour en boire une petite gorgée, en appuyant son dos contre la chaise, visiblement amusée par la tournure que prend la discussion. ’’Je crois que c’est une espèce en voie de disparition.’’
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« En réalité, je suis ingrate. Ma fille est très facile, mais elle commence à être dans cette période où je n’ai plus le droit de rentrer dans sa chambre sans frapper, mais elle a le droit de me piquer mon maquillage. » A vrai dire, Helen pourrait écouter la lieutenante lui parler de sa fille pendant des heures. Écouter les autres parler de leurs enfants, c'était un vrai plaisir pour Helen qui s'intéressait vraiment pour les petits êtres humains qui rendaient la vie dure à leurs parents. Et comme la chirurgienne ne connaissait aucun enfant de huit ans dans son entourage, la jeune femme était bien curieuse de connaître le caractère de cette petite fille, que sa mère semblait décrire comme facile, mais dans une nouvelle période d'affirmation. « Pleine d'autorité, comme sa mère ? » Sourit-elle, en faisant allusion à ce qu'il s'était passé tout à l'heure, sous ses yeux un peu effrayés. La peur l'avait désormais complètement quitté, si bien qu'elle s'était facilement pris au jeu de la conversation avec la policière. Malgré la fatigue et le flots de sentiments tout à l'heure, Helen était à même de discuter normalement, sans faire trop de gaffe. Avouons-le, c'était toujours un peu intimidant de se confier à une figure d'autorité. Le compliment qu'elle lui fit sans se rendre compte à propos de son âge, était parfaitement involontaire, promis. « J’ai trente-six ans, vous savez… » Helen crut qu'elle allait avaler sa gorgée de travers, surprise par l'âge de la jeune femme en face d'elle. « Donc le fraîche et dynamique est très loin. » - « Non, vraiment ? » Demanda-t-elle, en laissant planer un silence quelques secondes ensuite, le temps de réaliser l'information : « C'est pas vrai, je vous aurai à peine donné le début de la trentaine, si vous ne m'aviez pas parlé de votre fille de huit ans. » Helen ne cherchait pas à la flatter, mais elle était carrément sérieuse en sous-entendant que la policière paraissait plus jeune que son âge véritable. « Wow, je suis jalouse. C'est quoi, votre secret ? » Être mère, certainement ? Helen n'était pas prête de l'être, oh non.

A moins que ce soit le travail ? Pourtant, les missions de policière devaient être suffisamment stressantes pour faire naître prématurément des rides au coin des yeux, de la bouche, sur le front. Mais Helen n'en remarquait aucune, la jeune femme en face d'elle était magnifique, tout simplement. Alors qu'elle devait ressembler à un as de pique, après les heures de travail enchaînés. Ce travail qu'Helen n'avait pas choisi elle-même, et c'était ce qu'elle lui expliquait très justement à l'instant. « Pourquoi ne pas avoir poursuivi dans cette voie, alors ? Médecin est très éloigné de wedding planner… » Sa remarque fit naître un soupir, qui mourut entre ses lèvres. « Très éloigné, oui. Mes parents ne l'auraient jamais laissé arriver. Aujourd'hui, encore, pour tout vous dire. » Pourtant, ça ne la dérangerait pas de vivre de cette passion, même en étant confrontée à la situation qu'elle décrivait, de ces jeunes femmes qui finissent seules devant l'autel, parce que le marié (ou la mariée) n'a pas daigné se pointer. Des déceptions, elle y ferait face également. « Quelle horreur ! » Son exclamation l'interpella, à la fois amusée et intriguée. Etait-elle réfractaire au mariage dans son ensemble, ou simplement craignait-elle qu'un homme ne la plante elle aussi devant toute la famille réunie ? Elle ne se montra néanmoins pas trop curieuse, appréciant par la suite ses excuses lorsqu'elle comprit qu'Helen était elle-même en instance de divorce, à cause de l'infidélité de son époux, Sam. Ne souhaitant pas avoir à penser à ce dernier, surtout pas après une telle soirée, Helen préféra diriger la conversation sur la policière, à qui elle retourna la question sur le choix de son métier : « Mes parents vous diront que je poursuivais déjà les voleurs quand j’étais gamine. Mais ils n’étaient pas ravis quand je me suis inscrite à l’école de police… Ils m’ont soutenue, mais ils auraient préféré que je fasse un métier moins risqué. » - « ça peut s'entendre. » Répondit-elle, en haussant brièvement les épaules. Ses propres parents auraient fait une crise cardiaque à leur place, et l'auraient attaché dans sa chambre pour qu'elle ne puisse jamais se rendre à l'école de police. « Et pour ce que ça vaut… Le père de ma fille était un infidèle notoire aussi. Un mec fidèle, vous pensez que ça existe ? » Helen apprécia son aveu sur un pan plus personnel de sa vie. Elle n'était pas obligée de le préciser, et trouva en cette remarque un moyen pour tenter de lui remonter le moral, après qu'elle eut essayé de bifurquer au mieux l'attention vers la policière. « Je crois que c’est une espèce en voie de disparition. » - « Ohh... les mecs fidèles, les mecs sérieux et pas jaloux, les mecs attentionnés. Bref, j'élargirai plutôt votre question : un mec bien, est-ce que ça existe ? » Un léger rire résonna dans la cafétéria, même si son constat était véridique et malheureux. Sa dernière tentative en date de trouver le bonheur auprès d'un homme s'était résumé à un nouvel échec, alors... Helen était complètement dépité en amour. « J'en viendrai presque à me dire que c'en est terminé des hommes. Trop de déceptions. » Se tournerait-elle pour autant vers un autre profil de personne ? Les femmes, par exemple ? Rien qu'à l'idée de laisser une chance à une nouvelle personne, que son identité soit masculine ou féminine, Helen se sentait défaillir. Elle n'était juste pas prête pour entamer une énième relation, quelle qu'elle soit. « Pour le moment, ma relation exclusive avec mon chat me convient très bien. Elle ne me déçoit jamais... enfin si, sauf quand elle vomit sur mes chaussons. Là je dois avouer que ça m'énerve aussi. » La conversation prenait une tournure tellement personnelle, mais Helen était ravie de pouvoir parler d'autre chose que du travail entre les murs de l'hôpital. Et la compagnie de la lieutenante était charmante, même si elle venait à l'instant de réaliser qu'elle ne connaissait même pas son prénom. « Au fait, je m'appelle Helen. » Et vous, avait-elle envie d'ajouter, mais la policière pouvait-elle au moins le révéler ?



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Yasmin Hikmet
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
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ÂGE : trente-six ans (14.04)
SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche
STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne
MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres
LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille
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TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité.
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ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andrea
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YASMEN #3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry

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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptyLun 28 Oct 2024 - 1:44

Helen Stenfield adore ce message


forcing laughter, faking smiles
@Helen Stenfield • septembre 2024, ST VINCENT'S HOSPITAL


(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles 1f6a9 tw : violences conjugales

« Pleine d'autorité, comme sa mère ? » elle souffle un petit air amusé en reculant son menton de quelques degrés, songeant combien la vivacité d’esprit de la belle chirurgienne est plaisante. Elles ne se connaissent pas — n’ont même pas encore partagé leurs prénoms, mais la discussion est facile, simple, limpide, sans besoin d’être forcée, et Yasmin a l’impression que cela fait une éternité qu’elle n’a pas fait une rencontre d’une façon aussi naturelle. ’’Il parait que c’est une Mini-Moi, en effet.’’ d’après les dires de ses parents du moins, mais elle ne sait jamais si c’est un compliment ou non. Ce qui l’est, en revanche, ce sont les paroles de la chirurgienne, qui semble considérablement la rajeunir — ce n’est pas pour lui déplaire mais elle s’emploie à rectifier le tir en disant la vérité sur sa sombre vieillesse, quitte à ne profiter que brièvement de la jeunesse qu’on lui accorde « Non, vraiment ? » - ’’Eh oui’’ qu’elle souffle en hochant son menton pour mettre une emphase sur ses paroles, presque attristée de rompre le sortilège qui lui ôtait quelques années « C'est pas vrai, je vous aurai à peine donné le début de la trentaine, si vous ne m'aviez pas parlé de votre fille de huit ans. » inclinant brièvement son menton sur le côté, Yasmin effectue une petite moue appréciable avant de boire une petite gorgée de son thé, se rendant compte qu’elle n’est plus habituée aux compliments puisque, actuellement, elle a l’impression que cela faisait une éternité qu’elle n’en avait plus reçu « Wow, je suis jalouse. C'est quoi, votre secret ? » - ’’Alors là…’’ ses sourcils font un bond quand elle avance ses coudes sur la table, tenant toujours son gobelet auprès de son visage ’’Dormir très peu, être stressée beaucoup et manger plein de conneries ?’’ parce qu’on ne peut pas dire qu’elle soit l’exemple à suivre en matière de nourriture : c’est même tout le contraire !

Elle s’apprête à lui retourner le compliment — sincèrement, quand Helen est tout simplement magnifique, mais en entendant que le métier choisi n’est pas celui qu’elle aurait voulu faire, Yasmin redescend. Ce n’est pas franchement joyeux, comme remarque, et ça doit l’être encore moins pour celle qui est cantonnée à un métier qui doit lui laisser un goût amer « Très éloigné, oui. Mes parents ne l'auraient jamais laissé arriver. Aujourd'hui, encore, pour tout vous dire. » pour celle qui a grandi avec des parents aimants, qui n’ont jamais questionné ses choix ou ses goûts, c’est une véritable incompréhension. Elle ne se permettrait pas de dire tout haut ce qu’elle pense tout bas mais, à quel moment les parents vont comprendre qu’on ne fait pas des enfants pour qu’ils soient des pions ? Surtout que le métier de prédilection de la jeune femme est tout à fait louable, si bien que Yasmin ne comprend pas bien pour ses parents s’y sont opposés. ’’Je suis désolée pour vous… Je me rends compte que j’ai de la chance, les miens m’ont toujours soutenue.’’ même quand elle leur a annoncé, de but en blanc au milieu du repas, qu’elle s’était découverte une attirance pour les femmes. Pas de quoi les empêcher de poursuivre le repas, du fait.

La conversation se poursuit avec de nouvelles confidences de la part de la chirurgienne, visiblement victime d’un homme tout aussi incapable que Derek. Décidément, c’est une épidémie chez la gent masculine, et il n’y a pas de remède. « Ohh... les mecs fidèles, les mecs sérieux et pas jaloux, les mecs attentionnés. Bref, j'élargirai plutôt votre question : un mec bien, est-ce que ça existe ? » la chirurgienne émet un petit rire tout à fait délicieux et Yasmin grimace, n’étant pas sûre de pouvoir répondre favorablement à sa question. ’’J’en connais très peu,’’ Samuel et Mando, notamment, mais l’un est casé avec Anna et l’autre risque sa vie tous les quatre matins ’’Mais je crois que vous avez plus de chances de jouer au loto que d’en trouver un.’’ sur cette note fataliste, elle termine son thé et abandonne son gobelet sur la table, glissant sa main dans ses cheveux pour repousser ses ondulations en arrière. « J'en viendrai presque à me dire que c'en est terminé des hommes. Trop de déceptions. » la lieutenant arque un sourcil en ayant un petit sourire aux coins des lèvres, sans véritablement s’appesantir d’un quelconque sous-entendu : pour elle, l’attirance ne se décide pas par dégoût d’un autre genre, et donc il y a peu de chances que Helen trouve son bonheur avec une femme si c’est simplement parce qu’elle est écoeurée des hommes. « Pour le moment, ma relation exclusive avec mon chat me convient très bien. Elle ne me déçoit jamais... enfin si, sauf quand elle vomit sur mes chaussons. Là je dois avouer que ça m'énerve aussi. » ses lippes se décrochent pendant qu’elle émet un petit rire franc, et elle pointe ensuite Helen du doigt en disant, amusée ’’Ma fille veut un chat, je vais utiliser cet argument la prochaine fois qu’elle m’en parle.’’ ce serait forcément un argument de poids « Au fait, je m'appelle Helen. » en la regardant, Yasmin pense au fait que c’est un beau prénom et qu’il lui va très bien, mais elle n’a pas le temps de répondre puisque son téléphone, dans sa poche, vibre. Elle le sort alors avec rapidité pour voir que c’est un appel de son coéquipier, ce qui lui indique qu’elle est sûrement attendue devant la chambre de la victime ’’Je vais devoir y aller…’’ elle le souffle en rangeant son portable dans sa poche, reposant ensuite son regard sur la fameuse Helen ’’J’ai été ravie de faire votre connaissance, Helen. Moi c’est Yasmin.’’ élargissant son sourire, elle appuie ses deux paumes sur la table avant de se lever, en rajoutant ’’Merci pour le thé, merci pour la conversation, pour… Tout.’’ elle s’attarde quelques secondes, continue de lui sourire en ne sachant pas tellement comment achever cette rencontre et puis, comme son téléphone continue de sonner, elle soupire en marmonnant un petit « j’y vais » et, joignant le geste à la parole, elle s’éclipse en direction de la sortie, apaisée d’avoir fait cette belle rencontre. Peut-être pourront-elles se recroiser, qui sait ?
crédits/takemehome-tothestars




çoğu gün kendimi tanımadığımı söylemek kolay değil. eskisi gibi değilim ama bu doğru, o kızı hala hatırlıyorum: kusurlu ama çabalıyor, iyi ama yalan söylüyor, kendine karşı sert, kırılmış ve yardım istemiyor, dağınıktır ama naziktir, çoğu zaman yalnızdır, o düşündüğünden daha güçlü, güven banae.

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Helen Stenfield
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
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ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90)
SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce"
STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme.
MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total.
LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement
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TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas.
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☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
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☆ YASMEN #3 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2

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Message(#)(yasmen #1) ♢ forcing laughter, faking smiles EmptyMar 29 Oct 2024 - 22:48

Yasmin Hikmet adore ce message



forcing laughter, faking smiles
@Yasmin Hikmet st vincent - fin septembre 2024
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« Il parait que c’est une Mini-Moi, en effet. » La curiosité piquée au vif, Helen se demanda soudain à quoi pouvait bien ressembler la fille de la lieutenante. Ce côté "Mini-Moi", elle le retrouvait en Delilah et Sloane, en Emilia et Clarence. Alors, Helen voulait bien croire que la fille de la policière soit une version miniature d'elle, physiquement, comme pour des côtés de sa personnalité. D'un côté, quoi de plus étonnant ? Elle était son modèle, la personne qui l'avait élevé. N'était-ce pas normal qu'une part de soi-même soit transmis à son enfant ? Helen était persuadée que si, et d'un côté, c'était ce genre de détails qui lui donnait hâte de connaître le rôle de mère un jour. Malgré ses trente-quatre ans, la chirurgienne vivrait peut-être ce moment. Une chose était certaine, en tout cas : la policière ne faisait absolument pas son âge. Elle paraissait bien plus jeune, et Helen le lui fit savoir, sans aucune gêne puisque ça sonnait plutôt comme un compliment, dans ce sens-là. « Alors là… Dormir très peu, être stressée beaucoup et manger plein de conneries ? » Un rire amusé s'échappa d'entre ses lèvres : « Je vais m'y essayer à partir de maintenant alors. » Quoique, manger des conneries, c'était aussi son truc. Elle, qui était si nulle en cuisine.

La suite de la conversation prend une tournure moins amusante et agréable, puisqu'Helen en venait à faire des aveux sur le monopole qu'avaient ses parents sur sa propre vie. Rien de glorieux, Helen n'était pas très fière de ça... mais, c'était ainsi. Aujourd'hui, elle avait pris le pli. Elle écoutait ses parents, alors qu'elle ne devrait plus. Parce qu'elle craignait de perdre leur affection, si elle venait à entrer en contradiction et en conflit avec eux, sur ses choix de vie. Pourtant, Helen méritait de vivre pleinement ses rêves, à trente quatre ans. « Je suis désolée pour vous… Je me rends compte que j’ai de la chance, les miens m’ont toujours soutenue. » - « Ce n'est rien, ça me rassure que tout le monde n'est pas dans le même cas que moi. » Peut-être oserait-elle un jour... peut-être. Mais pas maintenant, alors que sentimentalement parlant, c'était déjà difficile de s'en remettre. Perdre le contact avec ses parents là, ce n'était pas le bon timing.

En parlant de déception amoureuse, les deux jeunes femmes embrayèrent sur le sujet, et Helen fut rassurée lorsque la policière lui avoua connaître très peu d'hommes bien. « Mais je crois que vous avez plus de chances de jouer au loto que d’en trouver un. » C'était le discours d'une femme aussi désespérée qu'elle, et ça faisait un peu mal au cœur de le constater. Pourquoi les hommes étaient-ils tous les mêmes ? Helen n'avait pas un palmarès de conquêtes, bien au contraire. Mais pour le coup, elle se rendait compte que les hommes n'étaient peut-être pas faits pour elle. A part Izan, la chirurgienne avait le sentiment d'être continuellement déçue par la gent masculine. La meilleure solution qu'elle trouvait pour le moment, c'était d'arrêter de vouloir retrouver le bonheur maintenant ; que ce soit auprès d'un homme, ou pas. « Ma fille veut un chat, je vais utiliser cet argument la prochaine fois qu’elle m’en parle. » Oups, sans s'en rendre compte, Helen allait contribuer à la tristesse d'une petite fille. « Elle vomit pas tout le temps non plus, heureusement. » C'était ridicule de vouloir rétablir un peu de vérité, pour que la policière laisse une chance à sa fille d'obtenir cet animal de compagnie qu'elle-même ne regrettait absolument pas d'avoir adopté. Après cela, la jeune femme songea au fait qu'elle ne lui avait pas communiqué son prénom, chose qu'elle rétablit dans la seconde. Helen s'attendit à ce que la policière lui fasse connaître le sien en retour, mais son téléphone les coupa dans leur conversation. Elle n'y répondit pas, mais cela annonça indéniablement la fin de leur moment : « Je vais devoir y aller… J’ai été ravie de faire votre connaissance, Helen. Moi c’est Yasmin. » Jusqu'à entendre les derniers mots de sa phrase, la chirurgienne crut un instant qu'elle ne lui dévoilerait pas son prénom, par oubli. Mais non, elle s'appelait donc Yasmin. C'était vraiment un très joli prénom. Sauf qu'à bien y réfléchir, cette information ne lui serait probablement d'aucune utilité. Allaient-elles se revoir ? Aucune raison ne lui laissait croire que c'était le cas, excepté si Yasmin rodait dans l'hôpital à propos de la victime tout à l'heure. « Merci pour le thé, merci pour la conversation, pour… Tout. » - « Plaisir partagé. » Déclara-t-elle, en la regardant se lever. Helen restait assise, ne voulant pas laisser croire qu'elle la suivait, alors que le travail l'appelait de nouveau. De son côté, elle y retournerait d'ici encore quelques minutes. Lorsqu'elle s'éclipsa, la chirurgienne l'observa de dos, ravie de ce moment partagé avec la policière. Mine de rien, cela lui avait grandement permis de redescendre. Le stress et la peur n'existaient plus en elle, et ce, en grande partie grâce au sourire de Yasmin.



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