(midas #1) There's a hole inside me and it's shaped like you
Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Avoir un vrai jour de congé était un luxe qu’Oscar ne se payait pas souvent. Pour être plus honnête, c’était une plaie qu’il évitait le plus possible. Remplir son emploi du temps, lui permettant d’éviter un maximum la maison et surtout sa principale occupante, sa tendre femme. Avec les années, ils étaient tous les deux devenus champions pour s’éviter, et sans se concerter, les journées étaient découpées de manière à ce qu’ils ne se croisent que tard dans la nuit, quand Oscar finissait par se décider à venir rejoindre le lit conjugal. Mais aujourd’hui Oscar avait congé, il avait été bien obligé d’éviter le travail ce matin-là pour un rendez-vous de contrôle chez le médecin, rien de grave : Une simple ablation d’un grain de beauté « un peu déformé », selon son médecin. Évidemment, il aurait pu par la suite reprendre le travail, mais pour une raison qui lui semblait inconnue et incompréhensible aujourd'hui, il avait décidé de prendre congé. Après avoir visité un musée, lavé sa voiture de fond en comble et couru 15 km, il s’était finalement rendu à l’évidence : il allait devoir passer un peu de temps chez lui. En rentrant de son footing, il avait imaginé s’enfermer dans son bureau pour se pencher sur un projet en cours, en congé oui, mais pas trop quand même.
Pourtant, en poussant la porte de sa maison, il s’était retrouvé face à une situation inattendue : Elisa au téléphone semblait se crisper alors qu’elle faisait des allers-retours dans le salon, non loin d’elle se tenait Posy, sa jeune nièce jouait avec Charly, leur berger australien de 3 ans. Calme et adorant les enfants, ce dernier avait une relation spécialement fusionnelle avec la petite fille. Comme quoi il n’y avait peut-être pas que sa femme qui avait fait un transfert sur Posy de cet enfant qui n’existerait jamais. Pour Oscar, c’était tout autrement : s’il n’avait aucune animosité envers sa nièce, il l’avait toujours évitée, cette dernière lui rappelant trop douloureusement ce que son frère avait et que lui n’aurait probablement jamais. « Ah tu es là. » Difficile de dire si l’expression sur le visage d’Eli est du soulagement ou de l’agacement de le voir, peut-être un mélange des deux. « Il faut que tu gardes Posy, j’ai une urgence au travail et ton frère est en retard. Je ne peux pas rester. » Ce n’est pas une question et il l’a bien compris. D’ailleurs, à peine a-t-elle fini sa phrase qu’elle se dirige vers la jeune fille, lui chuchotant quelques mots puis l’embrassant sur le front. Un geste qui, le temps d'une seconde, fend le cœur d’Oscar. Il voit là ce qu’il ne pourra jamais lui offrir, ce dont il l’a privé. Elle passe ensuite proche de lui pour se diriger vers la porte. Pour lui, il n’y aura pas de baiser, il n’y en a plus depuis longtemps. La main sur la porte de la poignée, elle se fige pourtant un instant, se retournant comme si elle avait oublié quelque chose en lui lançant un timide. « Merci. » Puis elle quitte la pièce.
Les choses se sont passées tellement vite qu’il a à peine réalisé qu’elle était loin et qu’elle l’avait laissé avec cette enfant dont il avait d’un coup la responsabilité. Une enfant dont il ne connaît finalement rien, si ce n’est qu’elle apprécie son chien et que son père est en retard. Il soupire d’ailleurs, maudissant son frère et sa légèreté habituelle. À peine capable d’être à l’heure pour récupérer son enfant, et c’est à lui que l’univers a fait le don d’une fille. Ça lui semble encore aujourd’hui être une vaste blague. Mal à l’aise, il finit tout de même par aller s’asseoir sur le canapé non loin de Posy et Charly. Heureusement pour lui, la petite fille est bien trop occupée par le chien pour faire attention à son oncle, avec qui elle est habituée à n’avoir que peu de contact. Finalement, la délivrant de la sonnette d'entrée arrive. Il se lève rapidement pour ouvrir la porte à son frère. « Salut Midas » Il voit bien l’étonnement sur le visage de son frère, habituellement Oscar s’arrange toujours pour ne pas être là quand son frère est dans les parages. « Elisa a eu une urgence, elle ne pouvait pas attendre. » Il aurait pu sans doute s’arrêter là, mais glisse tout de même. « Et comme tu étais en retard… » La phrase reste en suspens, le propos derrière est très clair, une pique à peine cachée sur la manière dont Midas gère sa vie. « Posy est dans le salon avec Charli, tu peux entrer. » Il l’invite à entrer, mais au fond de lui, il espère qu’il ne restera pas longtemps. Cette étrange sensation l’envahit à nouveau, comme à chaque fois qu’il est avec son frère, un malaise indescriptible qui lui rappelle qu’il ne sait plus qui est Midas, qu’il ne sait presque plus rien de sa vie. Alors qu’ils sont frères, alors pourtant que la relation n’a pas toujours été comme aujourd’hui. Et même s’il en est le principal responsable, il n’est pas prêt de l’avouer.
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call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
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mon équipement :
Midas Sterling
la nuit des temps
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
« On peut boucler ça vite ? J’dois… » Je me coupe au beau milieu de ma phrase, réalisant que je ne suis pas simplement avec mes équipes restreintes – qui savent tout de qui est Posy et dont j’ai l’assurance qu’ils seront muets comme des tombes – mais que la réunion qui se tient a lieu en présence de représentant du label. « J’ai des obligations. » Je rectifie donc le tir, ravale mon je dois aller chercher Posy pour quelque chose de plus neutre, plus frustrant aussi. Je n’aime pas donner l’impression que je cherche à fuir les préparatifs de la tournée et mes responsabilités professionnelles dans leur ensemble. On m’assure que c’est bientôt fini, on me passe la pommade et on me traite comme si j’étais une diva sans que cela n’ait rien de surprenant – tenu au secret concernant l’existence de ma princesse, je suis obligé de laisser les gens penser que quitter la réunion au plus vite tient du caprice – et je ronge mon frein. Je jette des coups d’œil fréquent à ma montre et lorsque tout le monde fini par conclure que nous en avons terminé, je me lève d’un bond et quitte la pièce en frôlant le manque de politesse. Je m’excuse brièvement, rappelant dans ma barbe que je suis attendu ailleurs et plus vite qu’il n’en faut pour le dire, je suis installé à l’arrière de la berline où mon chauffeur m’attend dans le parking souterrain du bâtiment. Banalisé et équipé de vitres teintées, le véhicule me permet de circuler en minimisant le risque d’être repéré et ce n’est pas par hasard que mon employé a pris place à l’intérieur de celui-ci pour me conduire. Posy est mon secret le mieux gardé.
Lorsque la voiture se gare devant chez mon frère, j’observe un instant la rue avant de quitter l’habitacle. Ce n’est qu’une fois les contrôle de routine effectués – pas de badaud susceptible de me repérer – que je sors du véhicule pour me diriger rapidement vers la porte d’entrée du domicile d’Oscar. Ce n’est pas lui que je m’attends à voir. Nous n’avons que des échanges courtois dans le cadre de nos obligation familiales respectives. Mais Elisa est raide dingue de Posy et je suis ravi à chaque fois qu’elle peut passer un peu de temps dans ma famille ; cela me donne l’impression d’être presque un père normal pour elle. Pourtant, ce n’est pas mine souriante de ma belle-sœur qui m’accueille, mais bien l’air lugubre – j’exagère à peine – de mon frère. Evidemment, je suis décontenancé. « Salut Midas. Elisa a eu une urgence, elle ne pouvait pas attendre. » Mal à l’aise, je me gratte l’arrière du crâne. Oscar possède de toute évidence un talent particulier pour me donner l’impression que je ne suis encore qu’un gamin qu’il convient de réprimander, cette fois pour mon retard, mais de façon générale pour tout un tas de raison, de choses que je fais sur lesquelles il trouve toujours quelque chose à redire. « Et comme tu étais en retard… » - « Merde, je suis désolé. J’ai fait aussi vite que j’ai pu avec les gars du label. » Sans doute s’imagine-t-il qu’on ne travaille pas, dans un milieu comme le mien, que mon quotidien se compose uniquement de soirées et de moments où je rêvasse sur ma guitare. Il y a bien longtemps que j’ai cessé de tenter d’expliquer à mon ainé que sa vision de mon monde était réductrice. « Posy est dans le salon avec Charli, tu peux entrer. » - « Merci. » J’adresse un hochement de tête à mon employé resté dans la voiture pour lui signifier que je ne serais malgré tout pas long. De toute façon, il est parfaitement habitué à m’attendre aussi longtemps que nécessaire. « Tu présenteras mes excuses à Elisa. » Dis-je à l’adresse de mon frère que je suis dans le couloir jusqu’à la pièce principale. « Hey, princesse ! » Je tends mes bras à ma fille que je retrouve en pleine séance de câlins avec le chien de la famille. Elle m’adresse à peine un regard : toute son attention est focalisée sur l’animal qu’elle cajole et qu’elle n’a pas l’air d’avoir envie de quitter. « Bon, le chien, un, Midas, zero. » Adressé-je à mon frère, en lui adressant un sourire contrit. « T’avais pas d’obligations de ton côté ? » Je résiste au besoin de m’excuser une fois de plus. Après tout, il n’y a pas mort d’homme. « J’espère que ça t’a pas trop bloqué. » - « Papa, je peux avoir un chien chez toi aussi ? C’est grand, il y aurait la place ! » Ma fille daigne enfin noter ma présence et la friponne me dévisage à présent avec ces yeux qui lui permettent de tout obtenir de ma part ou de celle de sa mère. Sauf que cette demande-là, je sais qu’elle est peu raisonnable ; je suis à l’autre bout du continent ou du pays la moitié du temps. « Euh, on verra. Tu devais pas déjà en avoir un chez ta mère ? » La gamine secoue la tête peu décidée à me donner le fin mot de l’histoire. Sans doute est-ce une mystérieuse stratégie de sa part mais je décide de ne pas entrer dans son jeu. Je me retourner à nouveau vers mon frère. « Faudra qu’on vérifie qu’elle parte pas avec. Je te jure, elle sait comment s’y prendre cette gamine. »
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Oscar observe son frère, il a grandi, mais pour lui, pas changé. Il lui semble toujours être ce gamin un peu paumé qui se dit qu’il devrait sans doute chercher sa place sans vraiment le faire, une nonchalance qui a toujours eu le don d’exaspérer Oscar. « Merde, je suis désolé. J’ai fait aussi vite que j’ai pu avec les gars du label. » Évidemment, son frère a une excuse, il y en a toujours une, mais il a cessé d’y croire depuis longtemps. « Mhhh » lancé avec un petit hochement de tête, ce simple son sans accompagnement de mot résonne comme réprobateur. Mais il se retient tout de même de lancer les hostilités. Midas n’est pas le seul à avoir des responsabilités, et sa vie de star n’a pas à primer sur celle des autres. Mais pourquoi se presserait-il ? Il est évident qu’Elisa n’allait pas laisser sa fille seule, elle est bien trop consciencieuse pour ça. Il se demande d’ailleurs si c’est la première fois que son frère fait le coup. Ou si cette vie de pop star qu’il mène est une excuse récurrente. « Tu présenteras mes excuses à Elisa. » Il y a peu de chances qu’il le fasse au vu de l’absence de conversation entre lui et sa femme, mais elle répond tout de même. « Je le ferais. » Plus simple que de s’étendre sur le sujet complexe de sa vie conjugale.
Avant de rentrer dans la maison, Midas fait un léger signe de tête à quelqu’un dans la rue. Tendant un peu le cou, Oscar aperçoit alors un homme installé dans une berline noire. Constatation qui lui décroche un petit hochement de tête réprobateur. Il ne s’y fera jamais à la célébrité de son frère. Midas a toujours été le frère d’Oscar, c’est comme ça qu’on les présentait, dans cet ordre : arrivé premier dans la fratrie, Oscar avait toujours eu ce privilège d’être cité en tête. Les choses avaient changé quand son frère avait gagné cette émission, quand Oscar était devenu le frère du célèbre Midas Sterling… Il avait eu l’impression d’y perdre aussi un peu de son identité. Heureusement, il y avait toujours les parents pour lui rappeler qu’il était encore l’élu.
De loin, il regarde la scène, Midas avec sa fille. Son expression semble se détendre un peu en observant le regard protecteur et aimant que son frère pose sur sa fille. Il est envieux, mais aussi heureux de voir que Midas semble finir par trouver une place de père auprès de Posy. « Bon, le chien, un, Midas, zero. » La réflexion lui déclenche un petit rictus amusé. « Charli a cet effet-là sur tout le monde, ne le prend pas pour toi. » Il ne s’étonne pas que son frère n’insiste pas auprès de la jeune fille, voire un brin d’autorité chez le blond l’aurait étonné. « T’avais pas d’obligations de ton côté ? » Même si ce n’était pas le cas, il se serait sans doute passé de cet aparté avec Posy. « J’espère que ça ne t’a pas trop bloqué. »Il lui semble maintenant que son frère en fait trop. Ce qui a le pouvoir de le détendre un peu, au moins Midas se soucie des conséquences de ses actes, ce qui est déjà un point à relever. « C’est bon, Midas, ne t’inquiète pas, j’étais disponible et Posy était tellement occupé par Charli qu’elle ne m’a même pas calculé. » Il le dit avec un sourire, pas de ton réprobateur cette fois.
L’échange entre Midas et sa fille continu d’accrocher un sourire sur ses lèvres. Charli a remplacé l’enfant qu’il n’a jamais et rapidement trouvé une place dans son foyer, et aujourd’hui, on le lui enviait même.« Faudra qu’on vérifie qu’elle ne parte pas avec. Je te jure, elle sait comment s’y prendre cette gamine. » C’est vrai, et elle a aussi un père qui ne semble pas pouvoir lui résister. « Il me semble que ta fille a toutes les compétences pour te convaincre d’en avoir un à elle. » Il lui adresse le premier regard complice de la journée, peut-être même de l’année, quand il y pense. Oscar semble se détendre un peu. « Tu veux boire quelque chose ? » Il sait qu’en proposant ça, il l’invite à rester un peu, ce qui est un geste inhabituel. « Au moins, maintenant, je sais ce que je peux lui offrir pour son prochain anniversaire si je veux être promu au rang de meilleur oncle ». Si c’était vraiment un rang qu’il souhaitait avoir, il pourrait déjà commencer par passer du temps avec Posy. Idée pour le moins inenvisageable dans les circonstances actuelles.
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ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
« Je le ferais. » Je n’ajoute rien : je suis parfaitement étranger à la relation qu’entretiennent Oscar et son épouse. J’ai assisté à leur mariage, je les croise ensemble aux fêtes de familles, mais les choses s’arrêtent là. Je trouve souvent Elisa de meilleure composition que mon frère, mais je n’en suis pas proche pour autant : j’ai toutefois assez confiance en elle pour lui laisser Posy mais comment pourrait-il en être autrement, étant donné le regard empli d’une affection sincère et profonde qu’elle pose sur ma fille ? Elle semble être faite pour être mère, la compagne d’Oscar. Toutefois, je n’ai jamais osé leur demander à elle ou au brun ce qu’ils attendent. La réponse ne me regarde pas, et je suis certain que ma mère et ma tante le font déjà bien assez pour toute la famille. Difficile de leur en vouloir : elles ont toutes deux eu quatre enfants, elles s’attendaient certainement au moins au double de petits enfants à voir grandir et n’ont été graciées que de Posy, de la fille d’Amos, et autrefois Sofia et ni les Taylor ni moi-même ne semblons être sur le point de mettre en route un enfant. Elle doit toujours espérer voir Nina enceinte dans l’année, ceci-dit, puisque cette dernière tient à garder le secret sur le naufrage que vit actuellement son mariage.
« Charli a cet effet-là sur tout le monde, ne le prend pas pour toi. » Je referme mes bras avant d’avoir l’air trop idiot et, puisque je ne suis ni triste ni atteint, je me contente de hausser les épaules et de sourire à mon frère. Ma fille aime passer du temps avec moi et me le montre assez pour que je ne prenne pas la mouche pour si peu. Je me souviens ce que c’est que d’avoir son âge. « Je me souviens ce que c’est que de supplier les parents de prendre un chien. J’étais à peine plus jeune qu’elle, si je me rappelle bien. » Notre mère et notre père n’avaient à l’époque pas cédé, au plus grand désespoir de la fratrie complète qui, pour une fois, s’était unie dans ce combat. Mais nous étions des enfants : moi, je n’avais même pas encore l’âge d’apprendre à écrire ; j’étais alors loin de me douter que nous ne resterions pas si unis pour toujours. « C’est bon, Midas, ne t’inquiète pas, j’étais disponible et Posy était tellement occupée par Charli qu’elle ne m’a même pas calculé. » Oscar sourit, mais il y aura toujours ce petit quelque chose chez mon frère qui me donne l’impression que je dois m’excuser, je suis incapable de faire autrement lorqsu’il s’agit de lui. Peut-être que cela s’explique tout simplement le fait que, lorsque je pose les yeux sur lui, je suis bien incapable de devenir ce qu’il peut bien penser, contrairement à Olive ou, dans une moindre mesure, à Nina. Je ne suis pas proche de ma sœur aînée, mais elle est plus facile à lire que mon frère ou, en tout cas, je le pensais jusqu’à récemment. « Merci. » Je n’ajoute plus rien, sentant que je pourrais l’agacer en dépassant le stade de la simple politesse attendue dans ce genre de cas de figure.
« Il me semble que ta fille a toutes les compétences pour te convaincre d’en avoir un à elle. » - « Elle est maligne. » Et si Posy ne peut pas vraiment être considérée comme une enfant bavarde - elle a mis si longtemps à faire des phrases complètes, faute à sa timidité - que nous avons même craint qu’elle ait un problème, elle a de la suite dans les idées. Par de simples mots, elle mène son monde à la baguette avec une discrétion inégalée. « Mais elle vient chez moi que pendant les vacances et un week-end sur deux et encore, quand je suis disponible. » Et pas à l’autre bout du monde en tournée, pour enregistrer une interview ou participer à une remise de prix. Je fais au mieux pour elle, mais je ne suis pas aussi présent que je le voudrais. « On sait très bien qui se retrouverait à s’occuper du chien. » Moi, autrement dit : je milite pour qu’elle tente de convaincre sa mère de céder à ma place. « C’est pas la première fois qu’elle essaie, mais j’ai pas le temps ou même l’organisation nécessaire pour prendre un chien. » Tout le temps qu’arrive à dégager, je préfère le consacrer aux gens que j’aime. Posy, Olive… Et Jo, mais je n’ai pas envie de parler de Jo depuis notre dispute, pause ou rupture, ce mot immonde que je ne veux pas prononcer.
« Tu veux boire quelque chose ? » - « Y’a aucune chance pour que t’aies un redbull au frigo ? » Mon studio d’enregistrement jonché de canettes de boissons énergétiques atteste de mon obsession pour ces boissons. Seulement, cela ne me semble pas coller à Oscar. Oscar offre certainement des cafés serré, des limonades artisanales ou du thé glacé maison fait par Elisa, pas ce genre de cochonnerie, comme disait ma mère lorsque j’étais un adolescent. Elle le dit d’ailleurs certainement encore, simplement plus en face de moi. « Au moins, maintenant, je sais ce que je peux lui offrir pour son prochain anniversaire si je veux être promu au rang de meilleur oncle. » - « Si tu t’arranges avec sa mère pour que le chien vive avec elle, tu as carte blanche. » Je lève mes paumes en mains en signe d’innocence, un sourire sur les lèvres. Harleen serait capable d’accepter autant que de refuser, imprévisible comme elle est. « Tu sais… » Je me mords l’intérieur de la joue, sentant déjà que je vais regretter mes prochains mots. « Si tu veux décrocher ce titre-là, tu pourrais commencer par venir à ses anniversaires… » Tous organisés chez moi en grandes pompes, le budget laissé à Harls pour organiser cette journée étant illimité. La famille et les proches uniquement ont le droit de passer le pas de la villa lorsque je fête ma gamine, évidemment. Mais Oscar ne serait pas recalé sur le palier de la porte. Elisa passe toujours déposer un cadeau pour ma princesse, de leur part à tous les deux officiellement, parce que ça fait joli, parce que ça fait lisse, mais ne s’attarde que rarement. « Je suis sûre qu’elle serait contente de t’y voir. Et puis… T’as pas beaucoup de concurrence, en plus de ça. » Harleen n’a pas de frère et moi je n’ai que lui. Toutefois, ma phrase est pensée comme un trait d’humour davantage que comme autre chose. Je ne reproche rien à mon aîné. « La place est facile à prendre. » Il suffirait qu’il tende la main et s’en saisisse.
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
« Je me souviens ce que c’est que de supplier les parents de prendre un chien. J’étais à peine plus jeune qu’elle, si je me rappelle bien. » Un combat de fratrie qu’ils avaient perdu malgré toutes leurs supplications. Il espère donc pour sa nièce qu’elle aura plus de chance qu’eux, il faut dire qu’elle a déjà l’avantage d’avoir un père moins inflexible que celui des deux frères. « Elle est maligne. » Il ne peut que le croire, aurait été finalement bien incapable de donner un seul qualitatif pour décrire Posy, au vu de la distance qu’il avait volontairement instauré entre eux. « Mais elle ne vient chez moi que pendant les vacances et un week-end sur deux, et encore, quand je suis disponible. » La réflexion lui arrache une grimace, le ramenant à ce que lui ne peut pas avoir, il aurait donné si cher pour s’investir totalement dans la paternité, mais c’est à Midas que la vie avait fait ce cadeau, et Oscar doutait qu’il ne réalise vraiment pas sa chance. « On sait très bien qui se retrouverait à s’occuper du chien. » Bien qu’Oscar se doute que son frère parle de lui, il glisse un peu cyniquement. « Probablement un de tes assistants, ou le molosse qui t'attend dans ta voiture. » Il n’a jamais vraiment compris la célébrité de son frère et toutes les fioritures qui vont avec. N’ayant pour tout dire jamais vraiment essayé non plus. « C’est pas la première fois qu’elle essaie, mais j’ai pas le temps ou même l’organisation nécessaire pour prendre un chien. »Il hoche la tête compréhensif, tentant tout de même un petit mot de soutien pour sa nièce. « Dans 15 ans, elle se dira sans doute comme nous aujourd’hui que c’était une grande injustice. » Mais elle s’en remettra, comme eux.
« Y a aucune chance pour que t’aies un Redbull au frigo ? » Il regard son cadet incrédule, se demandant bien qu’elle genre d’hygiène de vie il peut bien avoir, celle d’un ado de 16ans apparemment. « Effectivement, je n’ai pas ça dans mon frigo. Mais je dois avoir un verre de coca. » C’est probablement le truc le plus industriel qui traîne de son frigo. « Ou une bière. » Plutôt adepte de vin, il s’en permet tout de même une parfois.
Le sujet du chien semblant être une zone de confort pour les deux jeunes hommes, il est rapidement remis sur la table, preuve qu’ils n’ont sans doute plus grand-chose à se dire après toutes ces années. « Si tu t’arranges avec sa mère pour que le chien vive avec elle, tu as carte blanche. » Autant dire que si ces relations étaient presque inexistantes avec son frère et sa nièce, c’était sans parler de la mère de cette dernière avec qui il avait tout au plus échangé 10 mots depuis la naissance de Posy. « Tu sais… Si tu veux décrocher ce titre-là, tu pourrais commencer par venir à ses anniversaires… » La constatation lui pince le cœur alors qu’il pose pour la première fois de la journée un regard attendri sur Posy. « Je suis sûre qu’elle serait contente de t’y voir. Et puis… T’as pas beaucoup de concurrence, en plus de ça. La place est facile à prendre. » Cette conversation le met d’un coup mal à l’aise, incapable de s’imaginer s’investir plus dans cette relation. « Oui, je ferais un effort. » Pour les anniversaires, il pourrait bien le faire, du moins pour faire bonne figure, pour le reste, il ne peut rien promettre. « C’est juste pas trop mon truc ce genre de grosse fête. » Un mensonge à peine crédible, puisqu’il passe une bonne partie de son temps en soirée mondaine à peine moins bondée. Il pourrait se trouver encore bien d’autres excuses pour ne pas exprimer la vérité, mais préfère rapidement changer de sujet. Chercher un point d’ancrage pour avoir quelque chose à dire à son jeune frère. « Les parents m’ont dit que tu étais allé à Kilcoy en mai. Comment va la famille là-bas ? » Il n’avait pas pris de nouvelle depuis trop longtemps. « Ça fait une éternité que je n’y ai pas remis les pieds. » Peut-être devrait-il y penser d’ailleurs. « Ta fille est venue avec toi ? » C’est un endroit super pour un enfant, il le sait d’expérience.
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call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
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mon équipement :
Midas Sterling
la nuit des temps
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
« Probablement un de tes assistants, ou le molosse qui t'attend dans ta voiture. » Un rire amusé m’échappe et je secoue la tête. De la part de mon frère, je sais pourtant que cela n’a rien d’une plaisanterie amusante mais tout d’une raillerie. Ce qui la motive ? Je l’ignore. A force de vivre ce genre de quotidien, j’en oublie presque que cela n’a rien ne normal, ne serait-ce que d’avoir un chauffeur. « C’est juste mon chauffeur. » Pas un molosse. Pas un agent de sécurité non plus : je ne suis pas en déplacement officiel qui nécessiterait que je sois entouré à ce point. Je n’ai pas envie de devenir ce genre de célébrité, incapable de toucher terre et de se souvenir de quoi est constitué la réalité de la majorité de la population. « Mais ouais, je suis pas certain qu’emmener un chien en tournée et lui faire passer son temps l’avion soit la meilleure des choses. » Le pauvre animal ne serait peut-être pas malheureux mais, moi, mes envie d’animal me sont passées en même temps que j’ai quitté l’enfance et l’adolescence pour l’âge adulte. « Dans 15 ans, elle se dira sans doute comme nous aujourd’hui que c’était une grande injustice. » - « Peut-être que d’ici là elle aura réussi à faire céder sa mère. » Je ne le dis pas trop fort ; j’aime bien l’idée de refiler ce genre d’ennui à Harls, mais je ne lui souhaite pas non plus d’être harcelé par notre petite fille à laquelle j’aurais refilé ce genre d’idée. Quoique. « A quatre on a pas réussi, mais elle a de la suite dans les idées. » C’est étrange, d’évoquer du bout des lèvres des souvenirs d’enfance avec mon frère. Nous n’avons plus grand-chose en commun, si ce n’est cette période où nous n’étions pas encore si différents que ça, lui et moi.
« Effectivement, je n’ai pas ça dans mon frigo. Mais je dois avoir un verre de coca. Ou une bière. » - « Un coca, ce sera parfait. » Je préfère les boissons énergétiques, moins sucrées, mais je m’en contenterai. J’ai pris l’habitude d’en boire bien trop pour rester concentré, mais aussi pour tenir pendant les longues soirées de promotion ou post concert. Je ne suis pas un génie, mais j’ai rapidement vu le piège que constituait la consommation d’alcool lors de ce genre d’événement. Je n’ai pas voulu tomber dedans et il s’agit là de la seul foi dans ma vie où j’estime avoir été particulièrement malin. « Je bois très peu. C’est trop facile de tomber là-dedans, aux événements où je vais. » Je le confie à mon frère sans la moindre forme de honte à ce sujet.
« Oui, je ferais un effort. » Je suis sincèrement surpris. Je lève même un sourcil, trop naïf pour me demander si Oscar me mène ne bateau, mais me demandant toutefois à quel point il est honnête. Je ne lui demande pas d’être le meilleur oncle qu’ait porté la planète terre. J’aurais simplement voulu qu’il ne semble pas rejeter Posy sans raison apparente, ou sans raison que je ne comprenne en tout cas. Je ne réponds rien, de crainte de me faire trop d’espoir ou d’en faire trop, mais je lui adresse un sourire malgré tout, un peu gêné par sa réponse à laquelle je ne m’attendais pas. « C’est juste pas trop mon truc ce genre de grosse fête. » - « C’est chez moi, mais ce sera juste avec la famille et les enfants tu sais. » Sa fête d’anniversaire en compagnie de ses amis, elle la fera chez sa mère et sans moi, même si cela me fait mal au cœur : je ne peux pas être identifié par l’un des enfants ou, plus vraisemblablement, pas l’un des parents. Les festivités que j’évoque seront donc en petit comité, avec nos sœurs, nos parents et nos cousins. Rien qui ne me semble réellement constituer une bonne excuse pour Oscar pour décliner l’invitation. « T’es même pas obligé de rester toute l’après-midi. Tu peux juste passer une heure et lui souhaiter un bon anniversaire, ce sera suffisant pour lui faire plaisir. » Je fais un pacte avec moi-même : je n’insisterai pas plus que ce que je ne l’ai déjà fait. Je saurai accepter un "non" si c’est ce qu’il m’offre. J’ai l’habitude avec mon frère.
« Les parents m’ont dit que tu étais allé à Kilcoy en mai. Comment va la famille là-bas ? Ça fait une éternité que je n’y ai pas remis les pieds. » - « Ouais, Jo a rencontré Bill et Maggie. J’étais avec elle. » J’adore ma tante et mon oncle – surtout ce dernier, j’aime ma tante mais elle peut parfois être une vraie garce – mais ma visite avait surtout pour but de nous permettre de nous couper du tumulte de notre existence. Jo, surtout Jo, avait besoin de prendre un peu de recul. Toutefois, en plein déni de notre pause – je me répugne à qualifier notre dispute de rupture – je n’ai pas envie de parler de ça. J’ai mal au cœur rien que de prononcer son prénom à voix haute. « Ta fille est venue avec toi ? » - « Non, on était juste tous les deux. Mais Posy va souvent au ranch, Abe lui apprend à monter à cheval. » Comme Bill nous l’a enseigné lorsque nous étions enfant. Le plus traditionnel de mes cousins reprend le flambeau familial avec brio. « Elisa aime pas la campagne ? » Ou bien est-ce lui le problème ? Nous avons pourtant tous de formidable souvenirs, là-bas, non ?
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Oscar Sterling
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ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
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NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Il aurait pu essayer, il le sait, il aurait dû sans doute. Ranger ces sentiments et s’intéresser à son frère, à sa fille, à sa musique et à sa célébrité, c’est ce qu’aurait fait un frère aimant… Mais il n’en avait pas été capable. Rongé par une jalousie maladive à l’idée que son jeune frère ait ce qu’il avait perdu, il s’était renfermé, jusqu’à ne plus rien savoir de Midas, jusqu’à passer pour ce frère froid et sans sentiment à son égard. Une réalité qu’il regrettait, mais était aussi incapable de changer. « C’est juste mon chauffeur. » Juste – Ça le fait sourire un peu jaune. Son petit frère ne semble plus se rendre compte de ce qu’est une vie normale. Pourtant, ils sont tous partis de rien, ou presque. Et même Oscar l’oublie parfois. « Mais oui, je ne suis pas certain qu’emmener un chien en tournée et lui faire passer son temps dans l’avion soit la meilleure des choses. » Il acquiesce, se laissant emporter à répondre sans trop réfléchir. « Tu pourrais toujours l’emmener ici si besoin. » S’étonnant lui-même de le proposer si spontanément. « Enfin bref… De toute façon, il n’y aura pas de chien. » Qu’il n’aille pas donner des faux espoirs à sa nièce. Mais l’idée d’un compagnon sporadique pour Charly ne lui déplaît pas totalement. « Peut-être que d’ici là, elle aura réussi à faire céder sa mère. À quatre, on n’a pas réussi, mais elle a de la suite dans les idées. » Il se sent un peu nostalgique d’un coup, un sentiment de plus en plus présent ces dernières semaines, sans doute en lien avec le tri du grenier engagé par leur mère.
« Un Coca, ce sera parfait. » Oscar sert un verre à son frère et se décide à en prendre un aussi. Il n’en boit presque jamais, mais se dit que l’accompagner serait sans doute le mieux, son regard attiré par la petite tête de Posy qui se relève. « Je crois que ta fille a entendu l’appel du sucre. » Il rit un peu, incertain sur la conduite à tenir, restant la bouteille à la main en attenant les directives de son frère. « Je bois très peu. C’est trop facile de tomber là-dedans, aux événements où je vais. » Cette déclaration lui déclenche un sentiment étrange, une forme de fierté sans doute un peu mal placée, car ce n’est clairement pas grâce à lui si son frère a cette mentalité. « C’est un milieu à risque, j’imagine, on t’a déjà proposé des… trucs ? » Il s’y connaît si peu en drogue que c’est presque risible, et se dit qu’il est sans doute bien naïf s’il pense que ça n’a jamais été le cas, déjà dans son milieu, la cocaïne était monnaie courante pour tenir le rythme effréné des délais.
« C’est chez moi, mais ce sera juste avec la famille et les enfants, tu sais. » Il voudrait clore le sujet maintenant, n’a pas envie de s’engager plus, incapable de dire s’il pourrait tenir ses promesses. « Tu n’es même pas obligé de rester toute l’après-midi. Tu peux juste passer une heure et lui souhaiter un bon anniversaire, ce sera suffisant pour lui faire plaisir. » « Mhmh » Il marmonne dans sa barbe, un peu mal à l’aise, hochant la tête aux paroles de son frère. « Tu m’enverras une invitation. » Il aimerait que les choses soient plus simples pour lui, mais ça n’est pas le cas, et il n’a jamais su l’expliquer à son frère. À bien y réfléchir, il n’a jamais demandé non plus, comme si les choses étaient actées de cette manière et qu’il n’y avait pas à en discuter. Ou alors Midas s’était-il peut-être trouvé ses propres explications, et celle de son frère ne lui avait jamais semblé nécessaire. Les choses avaient lentement coulé entre eux, sans que personne ne tente de rafistoler la barque.
« Ouais, Jo a rencontré Bill et Maggie. J’étais avec elle. » Jo, il a déjà entendu ce nom, peut-être qu’il l’a lu à la hâte quelques fois, quand une image de son frère lui attirait l’œil dans un magazine. « C’est ta… copine ? » Il se fait la sensation d’un vieux daron un peu trop curieux, mais tente comme il peut de s’intéresser à la vie de Midas, se disant que s’il l’a cité, c’est que ça doit être quelqu’un d’important pour lui. « Non, on était juste tous les deux. Mais Posy va souvent au ranch, Abe lui apprend à monter à cheval. » Il sourit à cette image qui lui rappelle les souvenirs de sa propre enfance. « Elisa n’aime pas la campagne ? » Il se laisse un peu surprendre par la question. « Si, si … oui… elle aime. Enfin… » Il bégaie presque un peu, se reprenant comme il peut. « On est juste très occupé et… il faudrait qu’on y retourne. » Il y avait peu de chances pour qu’il convainque sa femme de passer un week-end en amoureux avec lui. « Elisa est débordée, mais je vais essayer de prévoir un week-end pour y aller, je suis sûr que l’endroit plairait à Charly. » Il se rendait compte qu’il n’était plus retourné voir son oncle et sa tante depuis bien des années, n’ayant jamais emmené son chien là-bas. « Il faudrait presque organiser un cousinage. » Il ne sait pas bien quelle mouche l'a piqué d’un coup, la nostalgie décidément lui fait sortir bien des idées farfelues.
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ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
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olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
Il n’y aura pas de chien, ce n’est pas la peine d’épiloguer autour de ce fait. La proposition d’Oscar de laisser le chien chez lui n’était de toute façon qu’une phrase dictée par sa politesse, je ne suis pas assez naïf pour penser qu’il s’agit d’un pas dans ma direction de sa part. Il n’a jamais rien voulu avoir à faire avec Posy, pourquoi d’un coup ferait-il preuve d’affection à l’égard d’un animal hypothétique qui m’appartiendrait ? Si c’était le cas, je trouverais presque ça insultant, dans les faits. Je suis donc mon frère dans la cuisine sans rien ajouter à ce sujet, conscient que le sujet s’est clos sur des paroles aussi creuses que inconséquentes et, lorsque mon frère débouche la bouteille de coca et que le bruit de la pression relâchée familier se fait entendre, ma petite fille fille relève la tête et nous rejoint avec les yeux qu’elle utilise dès qu’elle veut quelque chose de moi. A croire que sa mère lui a appris tous ses meilleurs tours. « Je crois que ta fille a entendu l’appel du sucre. » Je ris doucement et pose une main sur l’épaule de la petite tête châtain de ma princesse. « Tu peux lui en donner un peu. Un tiers de verre ou à peu près. » Pas davantage. Je ne suis peut-être pas le père de l’année, mais je suis au moins conscient qu’il y a des petits plaisirs dont il vaut mieux éviter que les enfants abusent. Je n’ai pas besoin de dire à Posy de remercier son oncle : elle le fait naturellement de sa petite voix fluette lorsqu’il lui tend son verre. J’ignore si le fait qu’elle soit si douce et bien élevée a quelque chose à voir avec son éducation ou si je dois m’estimer chanceux qu’elle soit si facile. Je suppose que, tant que je n’aurais pas réitéré l’expérience de la paternité, j’ignorerais s’il s’agit d’un coup de chance ou si je sais au moins un peu faire mon travail.
« C’est un milieu à risque, j’imagine, on t’a déjà proposé des… trucs ? » Je hoche la tête, un air triste sur les lèvres. « Oh ouais, plus d’une fois. Et tout un tas de trucs. » Que je ne saurais pas forcément nommer puisque je refuse tout de go sans m’intéresser aux produits et à leurs "bénéfices". Je n’ai pas envie de mettre le moindre doigt dans cet engrenage dangereux. J’admire les rockeurs des années quatre-vingt, pas leur mode de vie. « C’est vraiment la merde pour ça comme milieu. Et vu que ça commence souvent avec l’alcool. » Je présente la paume de mes mains, dans un geste qui signifie très peu pour moi. Je voudrais pouvoir renvoyer l’ascenseur à Oscar. Je voudrais m’intéresser à son milieu professionnel et à ses centres d’intérêt. Sauf que je réalise qu'au-delà de ne pas avoir la moindre idée de ce à quoi peut ressembler un job de bureau, je ne connaîs même pas assez l’homme qu’il est devenu pour ça.
« Mhmh. Tu m’enverras une invitation. » « Ouais, d’accord. »
Mes épaules s’affaissent en entendant sa conclusion. Je sais ce que veut dire tu m’enverras une invitation. C’est une façon polie de détourner la conversation, le genre qu’il m’arrive d’employer lorsqu’un artiste, production ou collaborateur me tient trop la jambe et que j’ignore comment refuser poliment. Oui, c’est ce que c’est, j’en suis convaincu, un refus poli. Je tente de ne pas le prendre pour moi et de ne pas être blessé, pas plus qu’en temps normal, mais je ressens malgré tout une pointe de déception. L’espace d’un instant, j’ai cru qu’il faisait un pas dans ma direction. Mais force est de constater que je ne l’intéresse même pas assez pour qu’il sache qui est Jo. Peut-être que je suis également à l’origine de notre éloignement, toutefois, je reste hermétique à cette explication-là. Pour moi, Oscar se fiche tout simplement de ce que je vis, tout comme il se moque bien d’Olive et de son quotidien. « C’est ta… copine ? » Un rire mi-figue mi-raisin s’échappe de ma gorge et je hoche la tête. « Oui Oscar, c’est ma copine. Depuis un peu plus d’un an. » Je ne parle pas de notre pause. Je n’ai pas besoin que mon frère me fasse la morale, et j’ai encore moins envie de fondre en larme devant lui. Rien que de parler de la brune, j’ai l’impression qu’une pierre coule dans mon estomac. Jo est ma copine, tant que je n’aurais rien formalisé d’autre que ça, cela restera la vérité. « On se connaît depuis des années en réalité. C’est la candidate qui était en face de moi quand j’ai fait l’émission. On s’était perdus de vue. » C’est un résumé qui ne nous rend pas justice, mais c’est déjà beaucoup de détail pour un homme qui n’a certainement pas regardé le télé-crochet qui m’a fait découvrir et qui ignorait jusqu’à il a quelques secondes que j’avais une petite-amie. Je lui adresse un sourire bienveillant, peu désireux malgré mes pointes de sarcasme d’entrer dans un débat qui tournerait à la dispute entre frères.
« Si, si … oui… elle aime. Enfin… On est juste très occupé et… il faudrait qu’on y retourne. » - « Je suis certain que Maggie et Bill seront ravis de vous recevoir. » Mon oncle et ma tante adorent la visite. Comme beaucoup de parents dont les enfants se sont envolés depuis bien longtemps, ils disent souvent que la maison leur paraît bien vide et ce même si Abe habite encore à Kilcoy. « Elisa est débordée, mais je vais essayer de prévoir un week-end pour y aller, je suis sûr que l’endroit plairait à Charly. » - « Ouais. Parfois, je me dis qu’Abe est le plus intelligent d’entre nous d’être resté à la campagne. » Mon ainé ne partagera certainement pas mon point de vue mais je ne peux pas m’empêcher de le penser de mon côté : la plupart de mes soucis me semblent bien moins pesants lorsque je profite de l’air frais de Kilcoy. « Il faudrait presque organiser un cousinage. » - « Je serai de la partie si je peux, en tout cas. » Même si j’ai un pincement au cœur à l’idée que ce genre de réunion n'ait jamais eu lieu alors que nous sommes des adultes depuis des années, des adultes vivant tous à moins d’une heure de voiture les uns des autres. « Le spectacle sera intéressant pour les plus un. »
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
C’est une conversation qu’il pourrait avoir avec un quasi-inconnu, voilà ce qu’il se dit alors qu’il échange des banalités avec son frère. Dans les films, la fraternité ne ressemble pas à ça, il lui semble aussi que dans les autres familles, c’est différent. Si au fond Oscar sait bien qu’il aime son frère, dans les actes, c’est imperceptible : il ne fait rien pour le montrer, rien pour vraiment s’intéresser à lui, tout pour garder cette distance bien établie depuis des années, dans laquelle il a fini par se complaire. Alors ils parlent de drogue dans le milieu, des infos qu’il pourrait tout aussi bien aller chercher sur le net. « Oh ouais, plus d’une fois. Et tout un tas de trucs. » Ça ne redore évidemment pas l’idée qu’il a du milieu, mais peut-être un peu celle de son frère qui semble hermétique aux tentations. « C’est vraiment la merde pour ça comme milieu. Et vu que ça commence souvent avec l’alcool. » Il hoche un peu la tête. « Ouais, t’as raison. » Ne sait pas quoi rajouter, pourtant ce ne sont en général pas les mots qui lui manquent, plus bavard avec les étrangers qu’avec son propre frère.
« Oui Oscar, c’est ma copine. Depuis un peu plus d’un an. » « Ah d'accord… » Il perçoit la lassitude dans sa voix, comprend qu’il devrait la savoir depuis longtemps. Mais ne s’excusera pas. « On se connaît depuis des années en réalité. C’est la candidate qui était en face de moi quand j’ai fait l’émission. On s’était perdu de vue. » « Mhhh » Il la remet d’un coup, même s’il n’avouera pas à son frère qu’il a regardé leur émission toutes les semaines, enfin presque n’ayant loupé que la finale qui a été son sacre. Alors bien sûr, il voit qui elle est, une autre starlette, une fille de son milieu. « Oui, je crois que je vois qui c’est. » Une fois de plus, le constat est décevant : sa famille de Kilcoy, bien qu’éloignée, le connaît mieux que lui. Il se dit que finalement, c’est plus simple d’assumer son manque de relation quand il ne le voit pas tout simplement.
La famille du ranch, Maggie et Bill, les cousins et cousines, les souvenirs de leur enfance, c’est finalement la seule chose qui leur reste. « Je suis certain que Maggie et Bill seront ravis de vous recevoir. » Lui est son chien, plus de femme, pas d’ami. Renfermé dans sa solitude et son mutisme, c’est ce qui lui reste finalement. « Ouais. Parfois, je me dis qu’Abe est le plus intelligent d’entre nous d’être resté à la campagne. » Et pourtant, Midas a choisi une vie aux antipodes de la vie tranquille de la campagne. « C’est sûr que c’est loin de ton mode de vie… Mais si c’est bien pour les vacances, je ne suis pas sûr qu’une vie à la campagne soit très stimulante. » Lui n’y avait jamais vraiment vu l’intérêt, contrairement à ses frères et sœur. S’il était content de mettre les pieds à la campagne, il l’était encore plus de retourner à la ville. « Je serai de la partie si je peux, en tout cas. » Il ne sait pas vraiment pourquoi il a lancé cette idée, conscient qu’il ne l’organisera sans doute jamais. « Le spectacle sera intéressant pour les plus un. » Est-ce qu’il viendrait avec cette fameuse Jo ? Oscar ne sait pas trop ce qu’il pourrait bien partager avec elle, sans doute pas plus qu'avec Midas. « Je suis sûr que certains ne se gêneraient pas pour ressortir des anecdotes pour le moins gênantes. » Et il y en avait à se mettre sous le coude. Finalement, le sujet clôturé, le silence était retombé entre les frères, un silence qui semblait s’étirer un peu, devenant même pesant pour Oscar, qui amenait de temps à autre sa canette à sa bouche en tournant son regard vers Posy pour ne pas affronter celui de son frère. Évidemment, il pourrait continuer à le questionner, c’est ce qu’il aurait fait habituellement, mais il se rendait compte que ça sonnait faux et que ça ne briserait pas le fossé créé entre eux.
crédit gif : rampld2
call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
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mon équipement :
Midas Sterling
la nuit des temps
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
« Ah d'accord… » Je vois bien qu’Oscar n’était pas au courant, tout comme je vois sans mal qu’il est gêné par cette conversation qui met en évidence le fossé que les années - mais pas uniquement - ont creusé entre nous. Est-ce que je suis embarrassé ? Pas vraiment. Moi au moins, je connais le prénom de son épouse et si je ne fréquente pas assez le couple pour prétendre être son ami ou quoi que ce soit s’en rapprochant, je saurais quoi lui offrir si j’avais à lui acheter quelque chose pour noël ou une autre occasion. Oscar ne sait rien de Jo parce qu’il ne s’est pas intéressé à elle - ou plutôt, à ma vie privée - pas parce que j’ai fait de ma petite amie un secret. Au contraire, je la regarde avec un regard bien trop énamouré pour que notre couple soit autre chose qu’une évidence aux yeux de quiconque posant les yeux sur nous. Du reste, je l’aime maintenant depuis presque huit ans. « Mhhh. » Parce que je ne suis pas un mauvais bougre, je tente toutefois de l’aiguiller, de lui donner des indices ou, au moins, de quoi se raccrocher aux branches. Je ne suis pas assez idiot pour croire ou même espérer qu’Oscar ait regardé mes prestation de l’époque. « Une petite brune. » Avec un sacré tempérament. « Oui, je crois que je vois qui c’est. » J’esquisse un sourire, et le laisse s’en tirer à si bon compte. Je n’ai pas l’intention de le challenger pour tenter de mettre en lumière un potentiel mensonge. Je ne vois pas ce que j’y gagnerais, si ce n’est à devoir parler de la fameuse pause que nous traversons Jo et moi. « Je te la présenterai si ça t’intéresse. » Pour l’instant, j’y suis allé progressivement. Ce n’est pas ma famille que j’ai tentée de ménager à cause du tempérament de la chanteuse, mais bien l’inverse. Ma relation était assez précieuse pour que je la garde à l’abri sous une cloche de verre.
« C’est sûr que c’est loin de ton mode de vie… Mais si c’est bien pour les vacances, je ne suis pas sûr qu’une vie à la campagne soit très stimulante. » - « Tu sais, ce qui me plais vraiment dans mon mode de vie, c’est pas tant les projecteurs et tout ce qui va avec. » Je choisis sans conteste le calme de la campagne à l’agitation de mes tournées. Mais là où il n’a pas tort, c’est que le contact avec les fans me manquerait : j’aime la scène, je ne suis juste pas très à l’aise avec tous les à côté. « C’est surtout la musique et le contact avec les autres. » L’argent et le confort sont deux côtés sur lesquels je ne crache évidemment pas. Mais je suis tout aussi bien au ranch familial que dans mon fastueux domaine ; je crois même que je suis bien mieux chez les Taylor, tout compte fait. « Mais ouais, on a toujours été différents là-dessus. » Notre divergence d’opinion ne date pas d’hier et ne me surprend pas. Oscar continuera toujours à penser qu’il est le plus chanceux d’entre nous pour sa belle vie bien rangée et moi, je continuerai à lorgner sur le destin du plus campagnard de mes cousins.
« Je suis sûr que certains ne se gêneraient pas pour ressortir des anecdotes pour le moins gênantes. » - « C’est définitivement le genre de Jo de vouloir tout savoir à ce sujet. » Plus parce qu’elle est une grande adepte du dialecte qui dit que qui aime bien châtie bien. A chaque fois que je la vois échanger avec d’autres que moi, je prends conscience d’à quel point elle fait des efforts lorsque cela me concerne. Oscar en revanche, je ne donne pas cher de sa peau face à la petite brune. Il ne tiendrait pas une minute face à ma petite amie, et la pensée m’extirpe un sourire amusé. Un sourire flotte sur mes lèvres un instant, un silence s’installe comme pour nous démontrer une fois de plus que nous n’avons pas grand-chose à nous dire, que nous sommes devenus deux inconnus. Moi, cela me rend triste, comme à chaque fois, et je crois que c’est pour ça que j’ai appris à l’éviter. « Bon, je vais pas te déranger plus longtemps. » J’interpelle ma fille, lui demande si ses affaires sont prête et au terme d’une négociation - je lui promets que le congélateur de la maison est rempli de glaces - j’obtiens d’elle qu’elle se décolle du chien de mon frère. « Merci pour l’accueil. » Je lève la boisson gazeuse pour la désigner, avant de finir la canette d’un trait et de la déposer sur le comptoir immaculé d’Oscar. « Et merci d’être resté pour attendre avec Posy. Je ferai attention la prochaine fois. » Je ne maîtrise pas réellement ce genre d’imprévu, mais je suis le genre d’homme taillé pour passer son temps à s’excuser.
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Il ne fait pas vraiment d’effort, il s’en rend bien compte. Il est très probable qu’Elisa ou qu’une autre personne de sa famille ait déjà glissé ce nom dans une conversation. Peut-être même Midas lui-même. Mais il n’a pas retenu, il a occulté, comme tout ce qui touche de près ou de loin à son frère, à bien y penser. « Une petite brune. Je te la présenterai si ça t’intéresse. » Il hoche tout simplement la tête, ne souhaite pas s’avancer plus sur le sujet, il suspecte de toute façon que Midas le propose par pure politesse, il y a peu de chance qu’il veuille présenter sa copine à son taciturne grand frère avec qui il n’a pour ainsi dire plus de relation.
« Tu sais, ce qui me plaît vraiment dans mon mode de vie, ce n’est pas tant les projecteurs et tout ce qui va avec. » Oui, il le sait, ou en tout cas, il a déjà entendu ce discours dans la bouche de son frère. Discours qui sonne un peu faux à son goût. « C’est surtout la musique et le contact avec les autres. » Midas, l’altruiste, le petit frère parfait. Celui qui tente de recoller les choses. Oscar n’y croit pas vraiment. Lui aussi a jeté l’éponge, il n’a jamais tenté de savoir, et comme ça arrangeait bien Oscar, il n’a rien dit. « Mais oui, on a toujours été différents là-dessus. » Pas que là-dessus. « C’est sûr. » Ils ne se sont jamais totalement compris, à une époque pourtant, il avait encore sa place de grand frère protecteur dans la vie de Midas. Aujourd’hui, avec ses gardes du corps, chauffeurs et compagnie, il n’a plus besoin de lui de toute façon.
Le sujet de la cousinade qui n’aura jamais lieu est clôturé, comme tous les autres sujets. Il semble qu’ils ont épuisé leurs idées de discussion, laissant le silence traîner un instant avant que Midas ne donne le ton pour les au revoir. « Bon, je ne vais pas te déranger plus longtemps. » Ce n’est pas lui qui le retiendra. « Merci pour l’accueil. Et merci d’être resté pour attendre avec Posy. Je ferai attention la prochaine fois. » Il hoche la tête. « Très bien. » Est-ce que c’est vraiment comme ça qu’il souhaite clôturer la conversation avec son frère ? Probablement pas. Et pourtant, il le fait, se permettant tout de même de glisser un « Bonne fin de journée à vous deux. » Pour clore avec politesse avant de refermer sa porte sur ses hôtes et de clore cette parenthèse étrange.
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HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet