ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1160 POINTS : 100 TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS :
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
CAM you pin me to the ground, eight years old with a replica gun pushin' in my skull saying you're gonna kill me if I tell, never did and I never will, that house was living hell.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
daisy#1 -- marceline#4 -- spencer#20 -- margot#3.
uas, fbs : spencer - ua slasher -- spencer ua trophy wives -- spencer - ua fwb -- spencer - ua vampires -- spencer fb#19. RPs TERMINÉS : spencer n°1 -- marceline n°1 -- spencer n°3 -- marceline n°2 -- eleonora n°1 -- spencer n°4 -- spencer n°5 -- spencer n°6 -- spencer n°7 -- spencer n°2 (flashback) -- spencer n°8 -- spencer n°9 -- winx club n°1 -- spencer n°10 -- spencer n°11 -- spencer n°12 -- spencer n°13 (fb) spencer n°14 -- margot n°1 -- marceline n°3 -- spencer n°15 -- margot n°2 -- AVATAR : hailee steinfeld CRÉDITS : harley (avatar), harley (crackships) DC : elena esteves, sloane jarecki, eden veliz. PSEUDO : princesse mononoprix/monononucléose/ mononoski INSCRIT LE : 09/01/2022 | (#)Mer 2 Oct 2024 - 19:46 | |
| T'es sûrement partie crever dans un coin : voilà quelle a été ma première pensée au réveil, avec le soubresaut qui accompagne la réalisation que je t'ai pas vue rentrer chez moi par effraction pour me voler des trucs depuis quatre jours. Quatre jours, Cam, c'est putain d'énorme, à ton échelle, tu sais pas t’arrêter, y a toujours un truc que t'oublies. Des crêpes Waooh, un pinceau tombé de ta poche, une taie d’oreiller propre. Des fois, tu me donnes l'impression de vivre dans un dépotoir, à dormir à même tes toiles et à te couvrir de gouache pour repousser le froid la nuit, avec une douche par semaine quand ça commence à trop attirer les mouches ; d'autres fois, je me prends à espérer que c'est que des excuses que tu trouves parce que t’as envie de passer du temps avec moi, mais que tu sais plus comment le dire. Peut-être que je vois la mort partout : peut-être que j'ai fait la connerie de t’imaginer aussi fragile que mon père ou aussi destructrice que Spencer, parce que je sais pas sur quoi d'autre calquer un comportement que je comprends pas sinon avec mon propre référentiel un peu flingué. Peut-être que t’as juste besoin de distance, ou que t’as volé assez de Waooh pour me laisser une semaine de congé semi-parental. Je devrais sûrement te foutre la paix, attendre une semaine et, à l'issue de celle-ci, t'envoyer un sms pour te demander si tout va bien. Peut-être que ça collerait mieux avec ce que me dit ma psy (oui : j’ai repris rendez-vous) quant à mes comportements parfois erratiques ; laisser de l'espace ne signifie pas toujours être oubliée, et c'est parfois même quelque chose de formidable. Sauf que malgré moi, je te revois clamsée par terre avec un pinceau dans la gorge, et il faut que j’intervienne.
C'est possible que j'aie un peu abîmé le revêtement de ta porte de garage en cognant avec ma bague (elle, elle va bien) : je me note de te laisser 30 balles sur la table une fois que j'aurais fini de te passer une soufflante. Non, je me morigène d’emblée en voyant ta gueule d’intervenante au Manoir de Paris, pas de soufflante aujourd'hui, t’as déjà l'air suffisamment malmenée. Et au moins, t’es vivante. « Coucou ! » Je change de musique, j’accorde mon violon, je mets de l'eau dans mon amertume : appelle mon ton mielleux et mon sourire bancal comme ça te chante. Je te balance d'office un vieux pull dans les bras (y a deux crêpes dedans : une par poche) et je rentre comme si j'étais chez moi, examinant poliment les environs jusqu'à constater avec horreur qu'il y avait pas de seconde chaise sur laquelle poser mon cul. Ça m'apprendra à trahir ma psy, je suppose. « Ça fait longtemps que je t'ai pas vue », que je lâche sur le ton de la conversation, prête à devancer ton impassible bah, trois jours, quoi que je sens déjà poindre dans ton regard interrogateur. Est-ce que t’as l'air fatiguée, ou est-ce que l'état de la pièce m’influence ? « Genre. Ça va ? Le boulot, la vie et tout ? » Je me demande quand est-ce que j'ai arrêté de savoir comment m’adresser à toi sans avoir peur de ta colère ou de ton indifférence. Je me demande si j'ai déjà su le faire un jour.
@Cameron Miller |
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