why should I worry about rocking a sinking boat? | arthur
Murphy Rowe
ÂGE : 25 ans, née un 10 avril 1999. SURNOM : "Cours" quand y'a les flics, "pétasse" quand elle verse son verre sur la tête d'un connard en boîte. STATUT : En couple avec son audience dont elle entretient les fantasmes, célibataire malheureuse derrière l'écran. MÉTIER : L'influenceuse méprisée par l'influenceuse que tu méprises. Vit de cadeaux et de ses formations écrites avec ChatGPT - c'est loin de la célébrité qu'elle s'imaginait, mais on a ce qu'on mérite. LOGEMENT : Au #10 sur Victoria Street à Redcliffe, dans un appartement pourri qu'elle range quand elle a besoin de filmer du contenu. POSTS : 158 POINTS : 0
TW IN RP : Consommations de drogues, abandon, hypersexualisation, sexisme internalisé, tabagisme, violence physique et verbale. TW IRL : Thématiques sensibles non renseignées. Autres : powerplay, trauma dumping.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : s'est déjà battue au couteau › n'est officiellement sortie qu'avec des hommes et n'embrasse son attirance pour la gente féminine que sous l'influence de diverses substances › malheureuse en couple, malheureuse en solitaire, malheureuse en amitié... attend le déclic pour changer › croit être à l'aise dans le chaos, ne se rend pas vraiment compte que sa vie est un enfer › incapable de gérer une amitié plus de deux semaines, a pour habitude de disparaître sans laisser de tracesDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ken #1 (fb) › arthur #1
L’Electric, Murphy y a toujours ses quartiers. Elle connaît mieux l’endroit que certains coins de la ville. La blonde est née à Brisbane, mais Murphy telle qu’on la connaît aujourd’hui est née dans un endroit comme celui-là. Après une énième vidéo dans laquelle elle présente un plat de « sa conception » – la restaurant italien en bas de la rue est vraiment versatile et a le mérite de faire des plats à emporter – postée sur ses réseaux, elle s’est décidée à sortir un peu.
La boîte lui est plus familière que son propre appartement. Quand elle était loin – et certainement très défoncée – Murphy rêvait de nuits passées entre les murs de l’Electric. Ironie du sort, les plus belles soirées écoulées en Australie sont celles dont la jeune femme ne se souvient pas.
« Bouge pas, j’reviens ! » qu’elle hurle par-dessus là musique à sa prise de la soirée, un type dans la trentaine dont elle a vaguement retenu le surnom : J.K. ? D.K. ? C’était un truc du genre. Ce qui intéresse la blonde, de toute façon, c’est la montre qu’il porte au poignet, une sublime Montignac qui se revendra à merveille. De quoi arrondir les fins de mois pour une Murphy qui vit au-dessus de ses moyens.
La piste tangue. Murphy aligne un pied devant l’autre avec difficulté. Elle échoue bien vite contre le bar, commande deux verres. Son regard éméché se porte sur l’autre côté du comptoir. Médusée, Murphy doit froncer les sourcils pour remettre la personne qui se trouve à deux mètres d’elle. Arthur. Il lui faut quelques secondes pour comprendre que ce fantôme arraché au passé pourrait la voir. Sans attendre sa boisson, Murphy file à travers la foule. Il fallait que ça arrive un jour ou l’autre, le passé qu’elle a laissé à Brisbane ne pouvait pas rester sagement à l’état de vagues souvenirs. Toute la culpabilité du monde n’a pas liquéfié ces personnages que Murphy a essayé d’oublier. Le plus grand traître, c’est son maudit cerveau. Alors qu’elle file vers l’air de la nuit, Murphy ne peut que penser au visage d’Arthur. Avec un peu de chance, il est trop ivre pour l’avoir suivie.
I took a knife and cut out her eye. I took it home and watched it wither and die. Well, she's lucky that I didn't slip her a smile. That's why she sleeps with one eye open, oh, but that's the price she'll pay.
Arthur Coventry
la chute d'Icare
ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860
TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06)greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
La musique est trop forte, l’alcool est bon marché et pas franchement à son goût. Il n’a jamais réellement apprécié l’Eletric, mais c’est le seul endroit où personne ne viendra le chercher, justement. Ce n’est pas qu’il se cache, pas vraiment, mais Arthur préfère cuver son vin sans être reconnu par qui que ce soit. Le voir ici ne s’éloigne pas réellement du schéma habituel, même s’il avait abandonné les soirées en semaine depuis un bon bout de temps. Il n’a que ça à faire désormais. Boire, se défoncer. Et recommencer dès le lendemain. Le naturel qui revient au galop, les habitudes qui se répètent et tous les clichés qui s’en suivent. Il n’en a franchement plus grand-chose à faire.
Le glaçon que le barman a glissé dans son verre noie son whisky, le mec à côté de lui pue la transpiration mélangée à une vieille odeur de cendrier froid et s’il était assez fou, Arthur aurait probablement dégainé son portable pour écrire à Greta. Il est presque devenu une poule mouillée à ce jeu-là. Tant pis. Une nuit de plus dans cet hôtel minable, il aura bien le temps de voir demain. Ou jamais. Est-ce qu’elle voudra encore de lui-même ? S’envoyant le fond de son verre, il remarque une fille qui l’observe depuis l’autre côté du bar. Sa silhouette est floue, mais ce regard… Il l’a déjà vu quelque part et d’assez près pour s’en souvenir. « Merde alors ! » Ils se sont reconnus en même temps.
Elle gagne un train d’avance quand il chancèle en se redressant de son tabouret. Il lui faudra une minute pour trouver quelques billets dans le fond de sa poche. Sûrement pas assez pour couvrir toutes ses consommations, mais ce n’est pas comme s’il en avait quelque chose à faire. La brune va s’échapper et il veut la rattraper. Il a besoin de s’amuser et puis elle lui doit quelque chose. Il s’échappe par la porte arrière, elle n’aurait jamais utilisé la sortie officielle. S’il titube légèrement sur le trottoir, il finit par la rattraper sans trop de mal. « Eh ! » Sa voix déraille après des heures à ne pas parler, d’une main il cherche une cigarette dans le fond de sa poche, de l’autre il stoppe sa course. « Je pensais avoir vraiment trop bu. » Il ricane, preuve ultime de son abus de boisson. « Mais je rêve pas, Murphy Rowe revenue d’entre les morts ! » Son sourire se veut aussi abstrait que sa vision, mais il n’a pas franchement l’intention de la laisser partir. Sa soirée était mortelle, les plans venaient de changer. « Je crois t’es parti avec ma montre. » La dernière fois qu’ils se sont vu, alors qu’elle s’échappait d’entre ses draps pour disparaître et ne jamais revenir. Ça l’avait énervé sur le moment, ce soir ça le fait rire comme un con.
take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel
Murphy Rowe
ÂGE : 25 ans, née un 10 avril 1999. SURNOM : "Cours" quand y'a les flics, "pétasse" quand elle verse son verre sur la tête d'un connard en boîte. STATUT : En couple avec son audience dont elle entretient les fantasmes, célibataire malheureuse derrière l'écran. MÉTIER : L'influenceuse méprisée par l'influenceuse que tu méprises. Vit de cadeaux et de ses formations écrites avec ChatGPT - c'est loin de la célébrité qu'elle s'imaginait, mais on a ce qu'on mérite. LOGEMENT : Au #10 sur Victoria Street à Redcliffe, dans un appartement pourri qu'elle range quand elle a besoin de filmer du contenu. POSTS : 158 POINTS : 0
TW IN RP : Consommations de drogues, abandon, hypersexualisation, sexisme internalisé, tabagisme, violence physique et verbale. TW IRL : Thématiques sensibles non renseignées. Autres : powerplay, trauma dumping.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : s'est déjà battue au couteau › n'est officiellement sortie qu'avec des hommes et n'embrasse son attirance pour la gente féminine que sous l'influence de diverses substances › malheureuse en couple, malheureuse en solitaire, malheureuse en amitié... attend le déclic pour changer › croit être à l'aise dans le chaos, ne se rend pas vraiment compte que sa vie est un enfer › incapable de gérer une amitié plus de deux semaines, a pour habitude de disparaître sans laisser de tracesDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ken #1 (fb) › arthur #1
Murphy fuit dans la nuit. Ce n’est pas bien compliqué, elle est habituée à cette sensation affreuse qui vient avec le fait de prendre la tangente. L’horrible réalisation que Brisbane ne l’a pas attendue pour vivre lui rend immédiatement sa sobriété. Elle qui croyait que le paysage des visages allait se renouveler… Les bras serrés autour du corps, drapée dans une veste fine, Murphy chancelle jusqu’à la route. Elle se voit déjà échouée dans un taxi, sonnée par cette rencontre avortée. Avant de s’endormir, assommée par le cocktail illicite qu’elle a pu s’enfiler dans la boîte de nuit, elle ira fouiller dans les méandres de ses souvenirs : les messages échangés avec Arthur, les photos qu’elle a gardées de lui. Elle fera un inventaire anxiogène de tout ce qu’elle ne lui a pas dit, du silence dans lequel elle l’a laissé. Et puis, demain tout sera oublié. Murphy fera sa vie autant que lui, il oubliera. Dans son souvenir, il a mieux à faire que de reprendre contact avec une fille avec qui il a presque dix ans d’écart.
« Eh ! » Murphy continue de marcher, mais elle sait parfaitement à qui appartient cette voix. Comment l’oublier ? Incapable de se retourner pour faire face à Arthur, Murphy poursuit sa route. Elle est bien vite stoppée par une main intrusive qui met tout son corps en alerte. « Je pensais avoir vraiment trop bu. » « Lâche moi. » qu’elle marmonne, trop bas certainement pour qu’il l’entende. Veut-il seulement écouter ? En a-t-elle seulement quelque chose à faire ? « Mais je rêve pas, Murphy Rowe revenue d’entre les morts ! » La revenante fait volte-face, détaille d’un regard éméché le visage de son poursuivant. C’est dingue, il n’a pas l’air d’avoir changé. Les quelques années écoulées ont été clémentes, bien qu’elle croit déceler une certaine fatigue sur les traits du trentenaire. « T’as l’air défoncé. » Là-dessus, ils sont à égalité. Ce constat arrache à Murphy un sourire moqueur. Après tout, coincée pour coincée, foutue pour foutue, il vaut mieux en rire qu’en pleurer. Elle n’a pas arraché son bras à la poigne d’Arthur, convaincue qu’un geste brusque pourrait changer le ton de la discussion – ou bien agréablement surprise par la familiarité du geste.
« Je crois t’es parti avec ma montre. » « Je l’ai vendue. » qu’elle répond du tac-au-tac, comme si la vérité était ici la bonne réponse à sortir. De toute façon, Arthur ne la croira pas si elle commence à se défendre. Oui, cette montre, elle s’en est séparée juste avant de rentrer en Australie. C’est l’un des derniers objets de son passé qu’elle s’est résolue d’abandonner. « J’en ai tiré assez pour revenir te hanter. Quelque part, t’es responsable de mon retour d’entre les morts. » Son ton piquant masque un mensonge éhonté : la montre d’Arthur, elle a eu du mal à s’en séparer. Pour revenir en Australie, elle avait accumulé assez de ressources. Mais il fallait se débarrasser des fantômes du passé. Curieux qu’ils reviennent ce soir malgré tout. « ‘Crois pas que je vais coucher avec toi pour la rembourser, par contre. » Sur cette réplique, Murphy tire vers elle son bras, tentative un peu molle de récupérer ce qui lui revient de droit.
I took a knife and cut out her eye. I took it home and watched it wither and die. Well, she's lucky that I didn't slip her a smile. That's why she sleeps with one eye open, oh, but that's the price she'll pay.
Arthur Coventry
la chute d'Icare
ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860
TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06)greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
Il est quasi certain d’halluciner. Jusqu’à ce que leurs regards se croisent et que la silhouette, si familière, cherche à s’échapper dans la nuit. Il se fiche des conversations en cours, de ceux à qui il a promis une nuit faite d’aventures en tout genre, il claque un billet sur le comptoir et abandonne ses connaissances d’un soir. Pour quoi ? Chasser un fantôme ? Il veut simplement en avoir le cœur net, être certain de la rattraper, juste pour… La voir ? Lui demander des comptes ? Non, elle ne lui devait rien. C’est un temps révolu, des plaisirs qui ne reviendront plus. Il n’a rien oublié d’elle, malgré les années, malgré le silence. Il se souvient des soirs à la belle étoile, des rires qui accompagnaient leurs actions toujours plus discutables. Il veut juste voir, de ses propres yeux, qu’il s’agit bien d’elle.
« Lâche moi. » Ses doigts enserrent à peine sa peau. Il ne défait pas son étreinte malgré tout, son pouce caressant sa peau, pour rendre sa présence tangible. Il n’avait pas tant abusé, il faut croire, encore assez lucide pour ne pas rêver d’ancienne conquête. Qu’est-ce que tu fais là, Murphy ? C’est ce qu’il aimerait lui demander, mais la conversation verse dans un truc improbable, à la hauteur de leur intoxication mutuelle. « T’as l’air défoncé. » Il rit plus fort qu’elle encore. « Faut croire qu’il y a des choses qui ne changent pas. » Il l’est, défoncé. Autant par l’alcool que par la drogue. Un savant mélange qui l’aide à tenir la tête hors de l’eau, le temps d’une soirée, pour ne pas prendre conscience de tout ce qu’il devra réparer lorsqu’il sera redescendu de son petit nuage. Il la laisse récupérer son bras, se tenant à distance de celle qui l’observe presque avec crainte. Un sourire se dessine au coin de ses lèvres alors qu’il évoque directement le passé. Autant reprendre là où tout s’était subitement arrêté.
« Je l’ai vendue. » Il n’en est pas étonné. Elle était comme ça Murphy. Il hausse les épaules alors qu’elle se justifie. « J’en ai tiré assez pour revenir te hanter. Quelque part, t’es responsable de mon retour d’entre les morts. » Il rit à nouveau. « Chouette. » Est-ce un signe du Destin, qui lui dit de franchir la limite, de se perdre à nouveau dans ce genre de vie. Celle où il ne se souciait pas du lendemain, où il vivait à l’instant présent, enivré par de l’alcool, de la drogue et du sexe avec une fille aussi volage qu’elle. Il pourrait, ce serait si simple, cela mettrait un terme à tout ce qu’il avait bâti entre temps et qui s’évertuait à s’écrouler autour de lui. « Crois pas que je vais coucher avec toi pour la rembourser, par contre. » Il aurait pu tomber la tête la première, mais son instinct premier fut de rire à nouveau. « J’ai quelqu’un dans ma vie maintenant. » Il n’est plus le célibataire sans attache qu’elle avait connu et même sous influence, Arthur n’oubliait pas Greta et la seule promesse qu’il s’était promis de tenir auprès d’elle. Il ne lui sera pas infidèle. « Faut croire que je me suis rangé après que tu te sois tiré. » Il hausse les épaules, comme si la fatalité n’était pas si terrible qu’ils l’avaient envisagée à une époque. « Donc, je coucherais pas avec toi, même pour se remémorer le bon vieux temps. » qu’il ajoute pour la blague, qui tombe un peu à plat, il faut avouer. « Qu’est-ce que tu fais là, Murphy ? » Il est curieux désormais d’entendre ses raisons, au milieu de cette rue vide, dans la pénombre.
take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel