(stormwell#1) i only wanted to be part of something
Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 473 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
Tu pousses un profond soupir. La journée était magnifique, les nuages avaient fui le ciel et le bleu de ce dernier t’aurais presque arraché un sourire. Ouais, presque. Lorsque tu étais seul, ce dernier te fuyait, laissant place à un orage dans ton cœur qui ne semblait jamais vouloir te quitter. Tu avais mal, tu avais peur et tout ce que tu parvenais à faire pour te contrôler c’était de serrer les poings, tes ongles s’enfonçant dans ta chair déjà meurtrie. Il était difficile de croire que quelqu’un d’aussi jeune était déjà affecté autant par la vie, mais la maladie de ta mère t’avait mis sur un autre chemin. En présence des autres, tu agissais en enfant immature, riant de tout et rien, et même de la blague la plus idiote. Il s’agissait de ta manière de composer avec ta tristesse. Ton sourire et ton rire représentent tes uniques moyens de défense contre le monstre qui te guettait. Oh et il était effrayant et impressionnant ce monstre! Vêtu d’un hoodie noir, d’un jeans et de tes baskets un peu trop usées, tes yeux marrons étaient posés sur la porte principale de la bâtisse où se trouvait le Walker Group. Allait-elle finir par en sortir? Et est-ce que tu oseras cette fois-ci aller vers elle? Tu l’avais observé de loin pendant un mois. ouais, un mois mais tu n’avais pas su trouver le courage pour lui parler. Willow. Storm. Elle ne semblait pas avoir le sourire facile. Il y avait quelque chose chez elle qui te faisait penser à ta propre personne. En l’observant, tu avais bien compris que la vie n’était pas facile pour elle. Déjà, elle avait deux boulots. Elle avait aussi une fille de ce que tu avais compris. Une p’tite gamine qui était importante pour elle. Mais pourquoi t’intéressais-tu à cette blonde avec autant de ferveur? alors que tu avais du mal à t’occuper de toi-même? Bah, il s’agissait de la promesse faite à ta mère qui était sur son lit de mort. « je ne veux pas que tu te retrouves seul lorsque je disparaîtrai. » seul Un mot effrayant. T’étais pas certain de vouloir la rencontrer cette demi-sœur. Et si elle te détestait? Et si elle n’en avait rien à foutre de toi? Comme son père, comme ton père. Tu pris la clope qui se trouvait au niveau du haut de ton oreille et tu cherchas le briquet qui se trouvait dans ta poche. Évidemment, la blonde choisit pile ce moment pour sortir de la bâtisse. « il était temps… eh merde… » La clope était tombée sur le sol. Tu ne pris pas la peine de la ramasser, décidant de traverser la rue, manquant de te faire renverser par les voitures qui allaient un brin trop vite. C’était maintenant ou jamais. Il fallait que tu lui parles, mais encore une fois, les mots te manquaient. Il fallait se mettre à la place de la jeune femme. Comment réagirait-elle si elle venait à apprendre qu’elle a un demi-frère avec le crétin qui n’a même pas été présent pour la voir grandir? Mais elle n’avait rien manqué. Toi, tu avais des contacts avec lui et tu préférerais continuer de planter ton ongle dans la peau de ta peau pour l’éternité que de passer ne serait-ce cinq minutes en sa présence. «hey... » pathétique... littéralement pathétique.
ÂGE : vingt-neuf ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. STATUT : célibataire, peu intéressée par tout ce qui s'appelle relation amoureuse depuis presque dix ans maintenant. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 206 POINTS : 1530
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #4 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
i only wanted to e part of something @Eli Caldwell + Willow Storm lieu: devant le walker group, spring hill
La journée t’avait semblé interminable. Tu avais accompli des tâches toutes plus insignifiantes les unes des autres, et tu n’avais pas pu t’empêcher de réaliser le chemin que tu avais pu faire lorsque tu travaillais pour Arthur contrairement à ce que tu faisais désormais. Tu avais l’impression d’être revenue à la case départ, et même si tu demeurais reconnaissante de pouvoir continuer à travailler dans le monde de l’architecture avec ton absence de diplômes, tu n’en demeurais pas moins ennuyée par le manque de défi que t’offrait ton poste actuel. Tu n’avais qu’une envie aujourd’hui, enfin cocher les derniers items de ta liste du jour et pouvoir partir chez toi. Maintenant que tu habitais dans une colocation, rentrée à la maison n’était pas quelque chose que tu redoutais avec autant d’inquiétude et si ce n’était pas une situation idéale, tu t’adaptais mieux que tu l’aurais cru possible. Un jour, tu espérais être enfin assez confortable financièrement pour t’acheter quelque chose à ton nom, un pied à terre où ta sœur pourrait vivre avec toi, enfin loin des négligences de votre mère. Ce n’est pas pour tout de suite, tu te rappelles que tu dois prendre ton mal en patience et qu’en attendant, Jessie sait qu’elle peut toujours compter sur toi, même si tu ne peux pas être là vingt-quatre heures sur vingt-quatre. C’est à ta sœur que tu penses, la tête dans les nuages, alors que tu suis le chemin le long des corridors qui te mène vers la sortie. Ton regard passe furtivement d’un bord et de l’autre de la rue, ton attention soudainement attiré par un piéton qui traverse la rue sans regarder où il met les pieds, se faisant ainsi klaxonner à quelques reprises alors qu’il atteint ton côté de la rue passante. Tu l’observes de quelques mètres, reconnaissant vaguement le jeune homme sans être capable de dire pourquoi. Il s’approche, l’air légèrement énervé, paniqué et son regard est posé sur toi, mais ça ne se peut pas parce que tu ne le connais pas et s’il y a bien une chose que tu détestes dans la vie, ce sont les hommes qui pensent qu’ils ont le droit de t’aborder simplement parce que l’envie leur a pris. « Hey… » Tu fronces les sourcils, vraiment il n’y a plus de doute, et plus tu le regardes, plus tu cherches à te souvenir pourquoi il te semble si familier. Et puis ça te revient. Tu l’as déjà vu au bar où tu travailles, un appareil photo autour du cou, un peu comme en ce moment. Techniquement, il n’y a rien de spécial à croiser un client du bar en dehors de ce dernier, mais lui, tu as presque l’impression qu’il te suit, qu’il t’épie depuis quelques semaines lorsque tu travailles au bar, et là de le croiser devant le Walker Group, ça ne fait que t’alarmer encore plus. « J’sais pas ce que tu m’veux, mais je suis pas intéressée. » Personne ne pourrait dire que tu n’étais pas claire dans la vie. Lorsqu’il était question des hommes, le plus loin tu restais loin d’eux, le mieux tu te portais. Tu n’avais pas le temps pour les faux semblants, pour des conversations qui ne mènent à rien et surtout, tu ne cherchais pas à rencontrer qui que ce soit donc ce mec, peu importe qui il est, il est une nuisance à ta journée, quelqu’un dont tu préfères te débarrasser le plus rapidement possible. « J’suis pas mal certaine que t’as déjà pris ma photo avec le bidule autour de ton cou, donc c’est bon, tu peux suivre ton chemin. » Et ne jamais remettre les pieds au bar où tu travailles, ce serait bien aussi.
Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 473 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
Le bruit des klaxons t’avait agressé, mais tu t’étais retenu de peu de faire une scène, surtout que tu savais que la blonde avait ses yeux posés sur toi. Tu avais attiré beaucoup trop l’attention avec tes manœuvres stupides. Ta vie aurait pu s’arrêter là, maintenant. Est-ce que ça aurait été triste ou dommage? Non, pas vraiment. Peut-être que ta mère serait simplement partie plus vite pour te rejoindre? Il ne fallait pas penser à ce genre de chose, mais la dépression était ton quotidien. Des pensées intrusives qui ne voulaient pas te lâcher. La nervosité grandissait à mesure que tes pas te rapprochaient de ta demi-sœur. Tu ne savais pas vraiment à quoi t’attendre en abordant la jeune femme de la sorte. De son point de vue, t’étais probablement juste un pauvre mec qui l’abordait en public sans raison valable. Tu aurais dû mieux te préparer, mais la vérité c’était que tu n’avais jamais été confronté à ce genre de situation. Il n’y avait pas de manuel d’emploi pour rencontrer sa demi-soeur en bon et dû forme, surtout lorsque cette dernière n’était aucunement au courant de ton existence. Sur le coup, la saluer maladroitement t’avait paru la meilleure des idées, mais non, en fait. Tu t’étais planté en beauté, comme à ton habitude. Ses sourcils étaient froncés et cela n’augurait rien de bon visiblement. « J’sais pas ce que tu m’veux, mais je suis pas intéressée. » Tu pinças les lèvres et fronça toi-même les sourcils dans un signe de malaise. « ouch… » Décidément, tu t’adressais aux autres par monosyllabe aujourd’hui… « J’suis pas mal certaine que t’as déjà pris ma photo avec le bidule autour de ton cou, donc c’est bon, tu peux suivre ton chemin. » Tu posas un regard amusé sur elle, puisque tu venais de comprendre. « ah ouais, je prends des photos de tout et n’importe quoi… je suis photographe professionnel. Je sais, ça ne parait pas trop, mais je promet que je ne suis pas un harceleur. » Un sourire sincère s’installa sur tes lèvres, essayant tant bien que mal d’avoir l’air un peu plus sympathique. « mais oui, je sais que je ne pars pas sur de bonnes bases. oui, j’étais au bar où tu travailles, mais c’était parce que j’avais besoin de te parler et j’avoue que je ne savais pas trop comment. D’ailleurs, je ne sais toujours pas comment te dire, mais on a une personne en commun. » évasif much! « voudrais-tu venir prendre un café avec moi? c’est promis, ce n’est pas une manœuvre pour te séduire. On ne se connait pas, ça j’le sais aussi, mais bref, on a le même père. » aucune délicatesse. Il n’y avait pas vraiment de manière parfaite de le dire, alors voilà, les mots étaient sorti de ta bouche sans grande cérémonie. Tu ne savais pas quelle réaction elle aurait. Tu ne la connaissais pas et pour l'instant, elle ne semblait pas avoir une très belle opinion de toi. Tu ne savais pas si ça allait changer. Tu ne t'attendais à rien. T'étais là pour faire plaisir à ta mère, et peut-être un tout petit peu pour toi.
ÂGE : vingt-neuf ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. STATUT : célibataire, peu intéressée par tout ce qui s'appelle relation amoureuse depuis presque dix ans maintenant. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 206 POINTS : 1530
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #4 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
i only wanted to e part of something @Eli Caldwell + Willow Storm lieu: devant le walker group, spring hill
Tu n’as pas envie de te faire accoster dans la rue. Tu n’as jamais envie de faire face à la gent masculine de manière générale, mais ce soir vraiment, tu n’as pas la patience pour peu importe ce que ce mec espère soutirer de ta part. Tu n’as rien à offrir, aucun sourire, aucun charme, pas même la moindre politesse et avec un peu de chance, tu n’auras pas à te répéter pour lui faire comprendre le message. « Ouch… » Tu roules des yeux, tu n’as vraiment pas le temps de t’en faire pour son état d’esprit ou te questionner à savoir si tes mots ont pu le blesser ou atteindre son ego que tu présumes démesuré, comme celle de la majorité des hommes. Tu t’apprêtes à continuer ton chemin jusqu’à ta voiture, mais le grand brun ne semble pas décidé à vouloir se tasser de ton chemin, et c’est un nouveau soupir qui s’échappe de tes lèvres. « Ah ouais, je prends des photos de tout et n’importe quoi… je suis photographe professionnel. Je sais, ça ne paraît pas trop, mais je promets que je ne suis pas un harceleur. » C’est ta faute sans doute, d’avoir parler de son appareil photo comme si c’était une porte d’ouverture pour une conversation quelconque alors que tu ne continues à vouloir qu’une seule et unique chose : que l’on te fiche la paix. « T’as déjà pris ma photo et j’te permets pas de l’utiliser pour quoique ce soit, donc c’est bon, t’as compris là? » Mais il sourit l’imbécile, et tu décourages alors qu’il tente une fois de plus de te parler alors que tu es à deux doigts de te mettre les doigts dans les oreilles pour lui communiquer ton franc manque d’intérêt. « Mais oui, je sais que je ne pars pas sur de bonnes bases. Oui, j’étais au bar où tu travailles, mais c’était parce que j’avais besoin de te parler et j’avoue que je ne savais pas trop comment. D’ailleurs, je ne sais toujours pas comment te dire, mais on a une personne en commun. » Si jusqu’à maintenant, tu n’avais aucun intérêt aux mots qui sortaient de ses lèvres, tu t’attardes sur les derniers. Une personne en commun. Ton cercle est restreint, volontairement petit, alors ce serait mentir que de dire que ta curiosité n’est pas moindrement piqué. Tu fronces les sourcils et lui laisse la chance de t’en dire plus avant de l’envoyer promener une fois de plus. « Voudrais-tu venir prendre un café avec moi? C’est promis, ce n’est pas une manœuvre pour te séduire. On ne se connaît pas, ça j’le sais aussi, mais bref, on a le même père. » Si ce n’était pas des derniers mots, tu l’aurais envoyé chier. Honnêtement, tu le considères encore, surtout que la mention d’un père n’est rien pour te réchauffer à l’idée de connaître le brun qui te fait face. Alors évidemment, ta première réaction est de dénier. C’est impossible. Qu’importe ce que ce mec te veut, l’histoire d’un père en commun ne peut pas en être une qui s’applique à toi. « Tu fais erreur sur la personne. J’ai pas de père. » C’est vrai, bien que techniquement impossible. Tu n’es pas conne, tu sais que tu as un géniteur quelque part sur terre, peut-être ici à Brisbane, peut-être encore à Kilcoy, peut-être ailleurs en Australie ou même ailleurs dans le monde, ça n’a pas d’importance puisqu’il n’a jamais joué le moindre rôle dans ta vie et tu ne vois pas le jour où cela changera. « Je sais pas qui t’a parlé de moi ou ce qu’on t’a dit, mais tu fais fausse route, ok? » Ça a besoin d’être faux, parce que tu n’es pas certaine d’avoir ce qu’il faut pour gérer avec ce que cette nouvelle pourrait vouloir dire, sur toi, sur ton père, sur la vie que tu n’as pas eue et bien d’autres choses que tu préfères garder enfouies dans un coin barré de ton esprit.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 473 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
Tu ne savais pas sur quel pied danser, alors c’était littéralement ce que tu faisais, puisque tu étais incapable de rester à la même place à ne rien faire. La vérité, c’était qu’elle t’intimidait. Bah oui, elle était bien plus petite que toi, mais le regard qu’elle posait sur ta personne te faisait un peu peur. Il était évident qu’elle-même avait un passé. Entre âmes brisées, vous saviez vous reconnaître. Tu savais pertinemment qu’elle n’avait jamais côtoyé votre père. Elle avait eu le privilège qu’il parte de sa vie sans même vouloir accepter le fait d’avoir un enfant. Tu étais jaloux de sa situation. Savoir que ton paternel pouvait se pointer dans ta vie et repartir quelques instants à peine plus tard était bien plus pénible que de ne même pas savoir quel était son nom. En l’abordant ainsi, tu ne voulais absolument pas qu’elle le rencontre. Tu espérais même que la blondinette ne formule jamais ce genre de désir. Tu ne voudrais pas la mettre en relation avec lui, parce que probablement ne voudrait-il jamais lui adresser la parole? Tu ne la connaissais pas encore, mais tu ne voulais pas qu’elle souffre à cause de ce connard. Tu ne voulais pas mêler qui que ce soit à ses histoires de crétin monumental. Non, ce que tu voulais, c’était faire honneur à la promesse que tu avais faite à ta mère. L’idée d’avoir une sœur ne t’enchantait pas plus que ça, mais lorsque tu avais commencé à lui parler, tu savais que même si visiblement elle ne voulait rien savoir de toi, tu ne voulais pas la voir partir de si tôt. Les mots étaient donc sortis maladroitement et vous étiez désormais là à vous regarder. « Tu fais erreur sur la personne. J’ai pas de père. » Tu fixas son regard sur elle et puis, tu essayas de lui faire un sourire rassurant et surtout compréhensif, même si tu ne savais pas réellement comment réagir. Tu essayais de se mettre à sa place. Si on te disait la même chose, dans ces circonstances, possible que tu ferais juste rire et tu t’en irais continuer ta vie comme si de rien n’était. Mais avec la chance que vous aviez tous les deux, probablement que vous aviez d’autres frères et sœurs dans l’univers. Tu ne serais même pas surpris malheureusement. « Je sais pas qui t’a parlé de moi ou ce qu’on t’a dit, mais tu fais fausse route, ok? » Tu restas là à la fixer maladroitement. Comme tout, depuis le début, tu n’étais pas préparé. Il n’y avait pas de réels discours sages qui te viennent à l’esprit. Mais il fallait que tu parles sinon elle allait partir et la vérité, c’était que quelque part au fond de toi, égoïstement, tu voulais partager ta souffrance avec quelqu’un. « je ne t’ai pas contacté parce que je voulais que tu le rencontres. t’inquiète pas, tu le veux pas dans ta vie de toute façon. moi, j’ai cette chance et je veux pas de confusion, c’est du sarcasme pur et simple. Cet homme, c’est un connard. Ne va pas t'imaginer une seule seconde qu’il vaut la peine que tu t’intéresses à lui. En fait, j’avais juste envie de te connaître. » Autant être honnête. Tu t’étais dit que de toute façon, t’avais rien à perdre. « je m’imagine pas qu’on va devenir les meilleurs amis du monde, loin de là. j’aimerais juste te connaître en tant que soeur. J’espère que tu me laisseras cette chance. » Tu te retins de dire que dans quelques jours, ou semaines ou mois, elle serait ta seule famille vivante au monde - ouais, ton géniteur était en quelque sorte mort pour toi. Tu ne t’en rendais pas compte encore, mais l’anxiété de la voir partir te faisait te planter les ongles dans la peau de ta main. Cette dernière était derrière ton dos, elle ne verrait rien, mais la douleur physique était mieux que la douleur psychologique d’un futur abandon. « l’offre pour un café tiens toujours, mais je comprendrai que tu veuilles rien savoir de moi. Mais je te garantis que tu es bien ma demi-soeur. » Est-ce que ça la blesserait de savoir que ta mère avait cherché à connaître qui elle était, mais qu’elle n’avait rien pu faire pour l’aider? Elle n’en avait jamais eu le pouvoir, mais tu savais très bien que Linnea aurait probablement adopté la petite blondinette si elle avait pu. Mais la vie étant ce qu’elle était, on ne facilitait jamais la vie des enfants. Tu te tassas de son chemin pour lui laisser le choix. Tu ne pouvais pas la retenir indéfiniment à ton plus grand malheur. Et tu accepterais de la voir partir si c’était ce qu’elle souhaitait.
ÂGE : vingt-neuf ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. STATUT : célibataire, peu intéressée par tout ce qui s'appelle relation amoureuse depuis presque dix ans maintenant. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 206 POINTS : 1530
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #4 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
i only wanted to be part of something @Eli Caldwell + Willow Storm lieu: devant le walker group, spring hill
L’annonce du mec dont le nom t’échappe encore résonne encore dans ton esprit. On a le même père. On a le même père. On a le même père. Comment est-ce que tu es censée composer avec cette nouvelle réalité, maintenant?
Le garçon devant toi ne pourrait pas être plus différent de toi. Avec son teint olive, ses cheveux et ses yeux foncés, une bonne tête de plus que toi en termes de grandeur, il est évident que comme toi, il doit être le portrait craché de sa mère. Mais tu n’as rien sur quoi baser tout ça, parce que tu ne sais même pas à quoi il ressemble, ton père. Aucune photo ne t’a été offerte par ta mère, à peine quelques détails ici et là, mais rien d’assez concluant pour que tu puisses mener une recherche qui fait du sens. Non pas que tu aies particulièrement envie de le retrouver. Du peu que tu en sais, il ne semble pas être quelqu’un qui manque à ta vie. Un homme qui abandonne sa copine enceinte, un homme qui ne prend jamais de nouvelles, un homme qui fait possiblement le même numéro à plusieurs reprises, ce n’est pas un homme que tu as envie de connaître, pas un homme dont tu as envie de te vanter tenir la moitié de ton ADN. Mais tu ne sais rien de cet homme, ni de celui devant toi, et pour cette raison, tu ne peux pas prendre pour acquis ce qu’il dit, même si ça te force à penser à des choses que tu préfères ignorer, le genre de choses que tu préfères prétendre qui n’existe pas dans ton univers. « Je ne t’ai pas contacté parce que je voulais que tu le rencontres. T’inquiète pas, tu le veux pas dans ta vie de toute façon. Moi, j’ai cette chance et je veux pas de confusion, c’est du sarcasme pur et simple. Ne va pas t’imaginer une seule seconde qu’il vaut la peine que tu t’intéresses à lui. En fait, j’avais juste envie de te connaître. » En quelques phrases seulement, il te confirme le peu que tu pensais savoir connaître sur ton géniteur, mais tu ne sais pas si tu dois te sentir rassurée ou s’il est possible que ton cœur se brise encore un peu plus. Pendant quelques secondes, tu évites le regard du brun, refuses de laisser la moindre émotion paraître sur ton visage. « Je m’imagine pas qu’on va devenir les meilleurs amis du monde, loin de là. J’aimerais juste te connaître en tant que sœur. J’espère que tu me laisseras cette chance. » « J’ai déjà une sœur. J’me cherche pas plus de famille. » que tu réponds automatiquement, toujours aussi fermée à l’idée de te faire à ce qu’il est en train de t’annoncer. « Qui fait ça, accoster quelqu’un au beau milieu de la rue et prétendre être de sa famille? » Tu penses à haute voix, ne t’attends pas nécessairement à recevoir une réponse de sa part. « L’offre pour un café tiens toujours, mais je comprendrais que tu veuilles rien savoir de moi. Mais je te garantis que tu es bien ma demi-sœur. » « Comment est-ce que tu peux savoir ça? » Est-ce que ton père t’avait reconnu quelque part? Est-ce qu’il avait parlé de toi, de ta mère à quelqu’un? De toute évidence, sinon ce mec ne serait pas là devant toi, connaissant ton prénom et clamant partager la moitié de ton ADN. « Tu m’as même pas dit comment tu t’appelles. » Tu ne sais pas pourquoi tu lui dis ça, pourquoi tu veux savoir. Peut-être bien pour faire des recherches sur lui à ton tour, peut-être pour vérifier la véracité de ses propos. Pour l’instant toutefois, tu ne sais pas si tu te sens prête à aller prendre un café avec lui. Pas certaine que tu as le jus nécessaire pour une conversation de surface avec un inconnu, lien de sang ou non. « Tu le vois parfois, ou pas du tout? » Il a dit qu’il avait la chance de l’avoir dans sa vie, mais à quel degré? Assez pour le connaître? Assez pour que tu puisses le rencontrer toi aussi? Tu ne sais même pas pourquoi tu l’envisages. Ça ne peut pas être vrai tout ça. C’est un mauvais rêve. Une erreur stupide. Rien de plus.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.
Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 473 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
La blonde était définitivement difficile à lire. Probablement que même avec ton appareil photo, tu aurais du mal à déchiffrer ses émotions. Les mots que tu lui avais balancé à la figure semblaient cependant faire leur bout de chemin. Tu ne savais pas si elle allait partir ou si elle allait rester. Les possibilités restaient là, bien présentes et l’angoisse commençait à se faire sentir à l’intérieur de toi. Tes ongles s’enfonçaient dans ta chair à mesure que le temps défilait. Tu ne lui mentais pas. À quoi bon faire tout ça pour simplement ne pas être honnête? Ce n’était pas une arnaque, tu savais très bien qu’elle ne roulait pas sur l’or, du moins avec ce que tu avais pu observer de loin. Tu ne jouais pas avec ses sentiments non plus, ce n’était pas ton genre, même si cela, elle ne le savait pas. Son regard n’était plus posé sur le tien, alors tu ne pouvais plus y lire le moindre indice sur la suite des évènements. Il y avait quelque chose en toi qui te sommait de t’excuser d’avoir envahi son espace personnel comme ça. Tu ne lui barrais plus le passage, tu ne l'empêcherait pas de partir et si elle te demandait de ne plus jamais t’adresser la parole, peut-être le ferais-tu? Est-ce que ça avait été une si bonne idée après tout? Tu ne savais plus quoi penser. Le temps semblait suspendu tandis que le silence devenait pesant. Tu n’avais pas réalisé que tu avais cessé de respirer, que dans cette attente qui te semblait interminable, les battements de ton cœur s’étaient accélérés et que probablement tu finirais par frôler la crise de panique. Il s’agissait d’un sentiment que tu n’avais pas vécu souvent, mais sentir ce fameux poids sur ta poitrine ne t’intéressait pas. hey merde! dis quelque chose. « J’ai déjà une sœur. J’me cherche pas plus de famille. » Une sœur? Alors ce n’était pas sa fille? Tu t’étais trompé en beauté, mais au moins, cette petite n’avait pas le même père que vous. Mais visiblement, elle n’avait peut-être pas de père non plus. Tu comprenais désormais que tu étais tombé dans une famille bien plus dysfonctionnelle que tu le pensais, mais au lieu d’en avoir peur, désormais, tu étais prêt à plonger. D’où venait ce changement dramatique, tu ne savais pas? Mais tu avais de moins en moins envie qu’elle choisisse la fuite. Tu avais l’impression désormais de courir et tu n’étais pas en mesure de la rattraper. Cela ne faisait qu’empirer la tempête qui régnait en toi. Avant de pouvoir répliquer, la blonde enchaina, mais tu voulus lui dire mais moi je n’aurai plus personne bientôt… mais tu n’en eus pas le courage. « Qui fait ça, accoster quelqu’un au beau milieu de la rue et prétendre être de sa famille? » Elle avait définitivement les bons mots pour te rendre mal à l’aise. Le sourire que tu avais sur les lèvres, celui que tu avais essayé de brandir comme carapace s’était désormais effacé. Il laissait place à la perplexité et à un sentiment d’impuissance qui t’était bien trop familier. oui, qui faisait cela? Un con, voilà tout. Tu étais physiquement plus grand qu’elle, mais en ce moment précis, elle te semblait être une géante prête à t’écraser. « Comment est-ce que tu peux savoir ça? » Tu ne voulais pas lui expliquer ça tout de suite. Tu ne pensais pas que ça irait si tôt sur le tapis. Tu restas silencieux, ne voulant pas aborder le sujet. Tu ne voulais pas parler de ta mère. Tu ne voulais pas que ton armure ne se désagrège. Tu ne voulais pas affronter ta tristesse. Alors tu sautas sur sa prochaine question comme si tu te raccrochais à une pierre en tombant dans le ravin de ta détresse. « je m’appelle Eli Caldwell… Si tu ne me crois pas, demande le nom de famille de ton père à ta mère… Je l’ai gardé à mon plus grand détriment. Et ce, même s’il ne le mérite pas du tout. » Il y avait une ombre de colère sur tes traits ou c’était plutôt de l’agacement? Tu ne savais plus. Mais les paroles avaient été prononcées sur le ton de la neutralité. Cela ne servait à rien de jeter de l’huile sur le feu de la conversation. « Tu le vois parfois, ou pas du tout? » Parler de ton père ne t’enchantait guère. Tu n’étais absolument pas là pour ça après tout. « Il apparaît seulement quand il a besoin de quelque chose. Si tu te demandes s’il est déjà venu à un de mes anniversaires, la réponse est non. Il disparaît d’ailleurs très rapidement après, mais ça fait une bonne année que je l’ai pas vu. » En fait, parfois, il t’écrivait, mais ce n’était pas pour te demander des nouvelles. Tu ne savais même pas pourquoi il prenait la peine d'apparaître, puis de disparaître aussitôt. Se sentait-il coupable? Tu n’avais jamais su. Mais tu aurais franchement préféré qu’il ne fasse pas cela avec toi. « écoute, j’ai juste envie de te connaître toi. Je n’ai pas envie de parler de lui » Tu sortis une petite carte de ta poche, avec ton nom et ton numéro de téléphone. C’était la carte professionnelle de photographe. « je comprend que tu aies besoin de faire des recherches sur moi. je comprends aussi que tu as besoin de réfléchir à ce que je viens de te dire. je te force à rien. Mais mes intentions sont sincères. j’ai juste envie de te connaître. Écris moi ou appelle moi lorsque tu te sentiras prête. prend le temps qu’il te faut. Moi, je disparais pas. je ne suis pas comme lui. » Tu lui tendis ta carte en espérant qu’elle la prenne. Tu comprenais qu’il ne fallait pas insister. Tu lui fis un pauvre sourire avant de commencer à t’éloigner. Le poids commençait à t’écraser la poitrine et bientôt, tu aurais le plus grand mal à t’exprimer. Tu ne voulais pas qu’elle te voit faire une crise de panique parce que quelqu’un te voit vulnérable t’était insupportable.
ÂGE : vingt-neuf ans (26.11.1994) SURNOM : will pour tout le monde, c'est simple et efficace. STATUT : célibataire, peu intéressée par tout ce qui s'appelle relation amoureuse depuis presque dix ans maintenant. MÉTIER : nouvellement l'assistante de l'assistante au walker group de jour, barmaid dans un bar à la réputation douteuse en banlieue de brisbane de soir depuis plusieurs années maintenant. LOGEMENT : une toute nouvelle colocation au #200 hughton avenue, à redcliffe, avec trois inconnues qui deviendront peut-être des amies. POSTS : 206 POINTS : 1530
TW IN RP : abandon (père), négligences familiales et abus sur mineure, maladie. TW IRL : nc.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : mère négligente, père inconnu (ou presque), sa seule vraie famille est sa petite soeur jessie, onze ans (02.02.2013) › trop souvent victime d'abus à la main des hommes qui sont passés dans la vie de sa mère, éternelle insécure face à la grande majorité des hommes depuis › carapace qui se veut de roc, intérieur tout mou que bien peu peuvent clamer connaître › rêve d'une carrière en architecture, n'a pas les moyens de s'offrir la vie dont elle rêve depuis trop longtemps › économise chaque dollar dans le but de sortir sa soeur de la maison de leur mère.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Willow en dit le moins possible en #da1d81. RPs EN COURS :
allow #4 & sms ☽ come up to meet you, tell you i'm sorry. you don't know how lovely you are. i had to find you, tell you i need you. tell you i set you apart. tell me your secrets and ask me your questions. oh, let's go back to the start. runnin' in circles, comin' up tails. heads on a science apart. nobody said it was easy. it's such a shame for us to part. nobody said it was easy. no one ever said it would be this hard. oh, take me back to the start.
stormwell #2 ☽ you've taken the punches of a heavyweight, one by one they never hesitate. you've had worse beatings and you're still breathing. they'll tear you apart until there's nothing left, they'll pin you down and say, "it's over kid". you feel no fear. all day, all year. no one can make you change who you are. no one can take one beat from your heart. when you're standing tall, you're unbreakable. no one can make you bend, you won't fold. no one can take your shine, you're all gold. when you're standing tall, you're unbreakable.
willeve #1 ☽ there i was again tonight, forcing laughter, faking smiles. same old tired, lonely place. walls of insincerity, shifting eyes and vacancy. vanished when i saw your face. all i can say is it was enchanting to meet you. your eyes whispered, "have we met?". across the room, your silhouette starts to make its way to me. the playful conversation starts. counter all your quick remarks like passing notes in secrecy. and it was enchanting to meet you
wilmet#1 ☽ you could've bowed out gracefully but you didn't. you knew enough to know, to leave well enough alone but you wouldn't. i drive myself crazy, tryin' to stay out of my own way. the messes that i make but my secrets are so safe. the only one who gets me, yeah, you get me. it's amazing to me, how every day. every day, every day; you save my life. i come around all broken down and crowded out and you're comfort. sometimes the place i go is so deep and dark and desperate. but you pull me out.
i only wanted to be part of something @Eli Caldwell + Willow Storm lieu: devant le walker group, spring hill
« Je m’appelle Eli Caldwell… Si tu ne me crois pas, demande le nom de famille de ton père à ta mère… Je l’ai gardé à mon plus grand détriment. Et ce, même s’il ne le mérite pas du tout. » Il y a tellement de choses dans ces phrases que tu dois décoder, contre lesquelles tu voudrais contre-argumenter qu’au final, tu ne dis rien du tout, bouche bée, confuse et légèrement heurtée par cette rencontre que tu n’aurais jamais pu t’imaginer. Un frère. Un frère qui connait ton père. Qui a grandi avec cet homme dans sa vie, même si de toute évidence, ce n’était pas un cadeau. Tu te demandes si sa mère est aussi désastreuse que la tienne. Tu te demandes s’il a grandi avec aussi peu de stabilité que toi. Tu as trop de questions à poser, mais avant que tu ne puisses plonger dans tout ça, tu as besoin de temps. Tu as besoin de te faire à l’idée de cette nouvelle qui va nécessairement changer les choses, que tu aies envie ou non de te l’admettre pour l’instant. Parce que tu as déjà entendu ça, ce nom-là. Caldwell. Ta mère ne parle pas souvent de ton géniteur, mais quand tu étais gamine et que tu l’achalais de questions, elle a laissé tomber quelques informations, dont son nom et c’était celui-là. Un nom que tu n’aurais jamais pu oublier, même quand ta mère refuse d’en parler et de te donner d’autres détails. Si Eli a son nom de famille, ça veut dire que son père l’a reconnu légalement. Qu’il a au moins été présent pendant la grossesse de sa mère, assez pour qu’elle veuille inscrire son nom sur un acte de naissance. Et alors que ça fait à peine quelques minutes que tu connais le brun, que tu as conscience de son existence, tu es déjà jalouse, envieuse et ça, ça te tue de l’intérieur. Tu prends une grande inspiration, te retiens de prendre tes jambes à ton cou et de t’enfuir sans un mot de plus. Non, tu ne peux pas faire ça, parce que si tu fais ça, tu es aussi lâche que lui. Que votre père, dont ta curiosité augmente avec chaque seconde qui passe, sans que jamais tu ne l’assumes. « Il apparaît seulement quand il a besoin de quelque chose. Si tu te demandes s’il est déjà venu à un de mes anniversaires, la réponse est non. Il disparaît d’ailleurs très rapidement après, mais ça fait une bonne année que je l’ai pas vu. » Tu es vraiment jalouse de ça, Will? Ce n’est presque rien, et pourtant, c’est tellement plus que ce que toi, tu avais eu droit. Et tu t’en détestes, de jouer à ce jeu de comparaison malsain, tu sais que ça n’a rien à voir avec la situation et que tu ne peux pas blâmer Eli pour tout ça, mais c’est plus fort que toi. « Écoute, j’ai juste envie de te connaître toi. Je n’ai pas envie de parler de lui. » Mais pour toi, il n’y avait pas de Eli sans votre père, et tu n’étais certainement pas au point de pouvoir dissocier l’un de l’autre, même si tu pouvais comprendre la demande du jeune homme. « Je comprends que tu aies besoin de faire des recherches sur moi. Je comprends aussi que tu as besoin de réfléchir à ce que je viens de te dire. Je te force à rien. Mais mes intentions sont sincères. J’ai juste envie de te connaître. Écris moi ou appelle moi lorsque tu te sentiras prête. Prends le temps qu’il te faut. Moi, je disparais pas. Je ne suis pas comme lui. » Tu réalises que tu n’as rien dit depuis un moment maintenant, la conversation réellement un monologue de la part du photographe. Tu devrais dire quelque chose, n’importe quoi, mais tu ne t’en sens pas capable. Alors tu attrapes la carte qu’il te tend, observe son nom sur le papier avant de relever la tête vers lui pour le regarder partir. Tu te retrouves là comme une conne, avec sa carte, sans savoir quoi en faire, tes pensées partant dans tous les sens mais tes pieds collés dans le ciment. Il disparaît pas, mais toi, tu n’es pas encore certaine de vouloir apparaître.
i'm on a highway that leads to the end
these broken bones, this busted smile. my head it hurts i should be leaving now. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head. you say i'm wrong, you say i'm mad. if i stay here i'll never make it back. i hear your words, they call my name. i won't go back, you must be out of your head.