ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Oscar marche rapidement dans les couloirs de l’université, il est en retard à son cours de dessin en dehors du campus. Depuis 3 mois, maintenant, l’université lui a ouvert les bras avec sa ribambelle de possibilités. Une petite chambre en coloc sur le campus, il a quitté ses parents pour une liberté qu’il savoure sans se priver. Les soirées un peu trop alcoolisées, le sport, les amies et aussi les filles, la découverte de ce petit plaisir. À 22 ans, il a du succès, il ne peut pas le cacher. Bon élevé, sportif accompli et sociable, tout mis bout à bout lui confère une certaine popularité au sein du campus, alors même qu’il n’est là que depuis quelques mois. La vie semble douce et bien plus simple qu’à l’époque de sa cohabitation familiale. Et puis il y a le dessin, la peinture, l’art qu’il n’a jamais osé investiguer qu’en imaginaire en regardant le talent des autres dans des musées.
Aujourd’hui, il peut, toutes les portes lui sont ouvertes.
Il se rend à son cours d’art, le prof est polyvalent, un homme haut en couleur, un peu lunatique, mais avec un grand cœur, qui lui apprend semaines après semaines à découvrir son potentiel et se désole de voir la si mauvaise image qu’Oscar a du dessin. Il pousse la porte de l’atelier pile à l’heure, mais avec un peu de vigueur, craignant d’être en retard. Et manque de percuter quelqu’un. Un simple frôlement de bras finalement, qui lui déclenche quand même un petit crissement de poil. « Désolé, Andréa, je ne regardais pas devant moi. » Un sourire un peu timide, cette fille l’impressionne. Elle n’est pas comme les filles du campus Andreas, elle a cette petite flamme en plus, ce regard des gens qui ont vécu. Cette étincelle qui a toujours passionné Oscar, elle l’intrigue et le passionne de loin. De loin, parce qu’il ne lui parle pas, assistante du prof, elle ne participe ni aux soirées ni aux conversations post-cours, s'éclipsant toujours une fois son travail terminé. Il connaît son nom parce que le prof le répète souvent. C’est tout ce qu’il sait d’elle. Et aussi qu’elle n’est pas sur le campus, il l’a assez cherché dans la foule pour en être sûr maintenant.
Il prend place sur son tabouret, un regard vers la jeune femme, un sourire complice. C’est la seule chose qu’ils échangent depuis des mois. Des regards, des sourires et quelques bonjours. Mais c’est décidé aujourd’hui : il va changer la donne. À peine le cours fini, il saute de son tabouret, prenant son courage à deux mains pour se rapprocher d’elle. « Andréa ? » Elle semble surprise de le voir si proche d’un coup. « On va boire un verre avec l’équipe, je me disais que tu voudrais peut-être te joindre à nous ? » L’équipe a bon dos, c’est avec lui qu’il veut qu’elle prenne un verre, mais il se dit que c’est déjà un premier pas. « Je peux t’aider à ranger ? Ça ira plus vite et comme ça, on peut y aller ensemble après ? » De loin, le prof semble les observer et Oscar recule d’un pas. Il sait qu’en tant qu’assistante, il lui reste encore un peu de travail avant de pouvoir être libéré, mais l’idée de passer les prochaines minutes dans cette salle avec elle ne le dérange pas le moins du monde… Enfin, c’est sans compter sur le prof de dessin qui ne semble pas prêt à quitter les lieux.
crédit gifs : peachspoongifs & lomapacks
call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
:
mon équipement :
Dernière édition par Oscar Sterling le Ven 4 Oct 2024 - 22:47, édité 2 fois
Andréa Eames
ÂGE : trente neuf ans - ♏︎ (01.11.1985) SURNOM : à force de se présenter sous le prénom d'Andy, c'est surtout ainsi qu'on l'appelle. STATUT : veuve depuis fin 2016, son époux est décédé durant une intervention policière ; depuis Andy broye du noir. Maman d'Emy, 18 ans et Hope, 7 ans. MÉTIER : Andy travaille au sein du Walker group en tant qu'architecte LOGEMENT : #570 highland terrace, à Toowong le quartier calme et familial . POSTS : 76 POINTS : 480
TW IN RP : décès, deuil, fausse couche, violence durant l'enfance, abandon, dépression, alcoolisme. ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ☆☆☆ ☆JAYLEN#1+ (the unknown father) ☆MAXWELL#1+ (the awful brother) ☆YASMIN #1+ (the best-friend) ☆OSCAR#2+ (the forbidden story) ☆ JOHN#1 (the first love, or the coward, who dumbed you many years ago) ☆ ELIJAH#1 (the man who believed on you) RPs TERMINÉS : ☆OSCREA#1AVATAR : Anne Hathaway CRÉDITS : onemoreparadise (avatar) + tonytopazs (gifs) DC : Helen Stenfield & Mokare Unaipon PSEUDO : JUJU INSCRIT LE : 12/09/2024
@Oscar Sterling mai 2009 ¤¤¤ crédits gifs (munsonseds) / code (boté du sud )
L'absence d'Aaron au quotidien est pesante. Un peu plus chaque jour, Andréa se sent seule. Heureusement, il y a Emy pour égayer les débuts et les fins de journée. Désormais âgée de trois ans, la petite fille a commencé l'école en début d'année, pour sa première année en maternelle. La séparation a été plus compliquée à gérer au début, il faut l'avouer, mais Andréa est ravie des progrès que peut réaliser sa fille qui vit désormais en collectivité. Et, mine de rien, il est désormais plus simple pour la jeune maman de se libérer du temps libre lorsqu'elle en a besoin... même si celui ci est souvent rythmé par quelques verres d'alcool, pour se donner un peu de courage, comme elle le dit si bien. Généralement, Andréa ne dépasse jamais le seuil qu'elle ne tolère pas, et qui vendrait la mèche sur une quelconque addiction à la boisson. Elle boit, mais sait rester discrète sur sa consommation. En tout cas, lorsqu'elle se rend à son boulot d'assistante d'un professeur en arts appliqués, Andy ne se montre jamais alcoolisée, bien qu'elle le soit. Elle garde le contrôle d'elle-même, elle est capable de tenir une conversation. Elle est juste un peu désinhibée par un ou deux verres avant de partir de chez elle. Pas de quoi être fière, hein. Mais, au moins, elle est apte à vivre sa vie, malgré le poids de l'absence d'Aaron, malgré ses soucis familiaux avec sa mère, la disparition de Maxwell. Sa vie n'est pas un long fleuve tranquille, et ne le deviendra probablement jamais. Tant qu'elle survit à son addiction, en réalité, Andy ne demande rien de plus. Prête pour assister le professeur pour un nouveau créneau composé d'élèves qu'elle commence à reconnaître visuellement, Andréa s'affaire à préparer le matériel listé sur la feuille qu'il lui a laissé, pour qu'il puisse commencer sereinement son cours. Alors qu'elle rassemble les feuilles au grammage souhaité derrière la porte de l'atelier, un corps s'entrechoque au sien, à la fois brutalement et délicatement. Car lorsqu'il la reconnait, Oscar amortit inexplicablement le choc grâce à son sourire. « Désolé, Andréa, je ne regardais pas devant moi. » Elle ne veut pas vraiment l'admettre, Andréa, mais ces lèvres ne la rendent pas indifférente. Cette voix suave non plus. Elle lui adresse le même sourire timide en retour, tout en soufflant : « C'est pas grave. » Au fond, elle sait que si Aaron n'était pas là, elle le prierait de continuer à la bousculer pour que leurs peaux se frôlent encore et encore. Mais Aaron est là, ses sentiments aussi. Pour Oscar, ce n'est qu'une attirance. Elle ne lui a jamais vraiment adressé la parole, parce qu'elle a ce sentiment d'interdit, à cause de ces pensées qui la traversent sur le physique charmant de l'étudiant. Andy se contente de quelques regards en coin, et parfois elle rencontre celui d'Oscar, ce qui l'intrigue toujours plus. Ils se sourient dans ces cas-là, mais rien ne laisse présager que son attirance est réciproque. Andréa met cela sur le coup de la politesse, et elle essaie de freiner ses envies de l'observer lorsqu'il est concentré sur le dessin. Et aussi, techniquement, Andy tente de faire correctement son travail. C'est toujours plus difficile quand Oscar est dans la même pièce, mais la jeune femme connait néanmoins ses limites. Elle aime Aaron, point final. Alors, comme à chaque fin de cours, Andréa se prépare à quitter les lieux. Elle range ce qui est nécessaire à ranger, sauf que l'homme s'approche d'elle, pour la première fois : « Andréa ? » Ses yeux papillonnent, plutôt surprise de cette approche. Elle acquiesce néanmoins, curieuse de ce qu'il va suivre. « On va boire un verre avec l’équipe, je me disais que tu voudrais peut-être te joindre à nous ? » Personne avant lui ne l'a un jour invité à boire, comme si elle faisait elle-même partie de ce groupe. Le professeur lui permet certes d'accéder à pleins de connaissances, lui laissant même une chance de prendre parfois la place d'élève à ses cours, mais jamais Andy ne s'est sentie intégrer à l'un des groupes d'étudiants. Est-ce la timidité, ou le fait d'être prise de court qui l'incite à hocher simplement de la tête à sa proposition ? Son esprit fuzze à mille à l'heure, elle sait en tout cas qu'elle a un peu de temps pour aller boire un verre avec eux. Même si, honnêtement, elle se fiche du reste de l'équipe. « Je peux t’aider à ranger ? Ça ira plus vite et comme ça, on peut y aller ensemble après ? » - « Oui, bien sûr. Je vais prévenir le professeur avant qu'il ne parte. » Aussitôt dit, aussitôt fait. Andy se rapproche du professeur qui les regardait justement du coin de l'œil, la jeune femme lui assure donc qu'elle va se charger de lui ranger son atelier avec l'aide d'Oscar. Il acquiesce, le sérieux d'Oscar en classe lui donne visiblement les faveurs de l'enseignant qui quitte finalement la pièce sans broncher. Il n'y a aucune raison pour craindre qu'il fasse n'importe quoi. De toute manière, Andréa est là pour le superviser. Elle revient donc aux côtés d'Oscar, tandis que la porte de l'atelier se referme sur eux. Ils ne sont que tous les deux, tout le reste des étudiants est sorti également. « Je te remercie de m'aider, c'est la première fois qu'on me le propose. » Elle apprécie forcément le geste, et l'intérêt qu'Oscar a pour que le rangement aille plus vite grâce à son aide. « Je crois que le professeur t'apprécie suffisamment pour te laisser toucher à toutes ses affaires. Il faut dire que tu es très consciencieux lorsque tu dessines, c'est une qualité qu'il recherche chez ses étudiants. » Andréa se rend compte un peu trop tard qu'elle admet presque l'observer lorsqu'il laisse le crayon effleurer sa feuille, alors elle tourne la tête au même moment, prenant le prétexte de ranger des fusains déjà presque entièrement rangés, à l'exception de deux ou trois, mais ils ont soudainement toute son attention, le temps que le rosissement de ses joues ne tinte plus de trop son épiderme. « Qu'est-ce que tu préfères dessiner dans ce cours? » Le rouge de ses joues s'est estompé, alors Andy plante de nouveau son regard dans le sien. Elle est curieuse d'en connaître un peu plus sur cet homme qui l'intrigue et l'attire, alors elle se permet ces petites questions pour en apprendre davantage. Et peut-être qu'au court de la conversation, Andy se rendra compte que son attirance n'est que physique, et que discuter avec lui s'avèrera ennuyant... peut-être.
ஃ When the day has come but I've lost my way around and the seasons stop and hide beneath the ground. ஃ
Dernière édition par Andréa Eames le Mar 22 Oct 2024 - 15:42, édité 1 fois
Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
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NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Il a le cœur qui bat un peu plus vite, la sensation de palpitation dans sa poitrine qui lui donne l’impression plus que jamais d’être vivant. Il aime ça, cette adrénaline que lui procure le simple fait de lui adresser la parole. Ce n’est pas une sensation qu’il a souvent ressentie. Pourtant, il ne sait rien d’elle, si ce n’est son prénom et des bribes de son talent. Il en veut plus, se donnant les moyens de l’obtenir, forçant probablement un peu sa présence en lui proposant de l’aider, mais l’idée d’un refus lui est insupportable. Alors ce simple hochement de tête lui redonne le sourire, un sourire franc qu’il lui offre avec plaisir, elle qui semble d’un coup si timide, presque incertaine de la manière dont elle doit agir. Alors qu’Oscar est là, sur de lui, pas l’ombre d’une hésitation. « Oui, bien sûr. Je vais prévenir le professeur avant qu'il ne parte. » Elle l’a déjà quitté avant même qu’il n’ait le temps de lui répondre, elle semble vouloir lui échapper, et pourtant elle lui a dit oui, alors il patiente tranquillement. Se contentant d’un léger signe de tête quand le professeur relève les yeux pour le toiser un instant. Il le connaît assez pour savoir qu’il fera les choses consciencieusement, comme il l’est avec son art. Et quitte la salle, les laissant seuls.
« Je te remercie de m'aider, c'est la première fois qu'on me le propose. » Il se sent un peu bête de ne pas l’avoir fait plus tôt, ayant toujours favorisé son bien-être personnel et ses occupations sur le campus sans jamais que l'idée le traverse. « Ça me fait plaisir. » Ce n’est pas un mensonge, si le fait de ranger ne le met pas en extase, le fait de passer ce moment privilégié avec elle, par contre, l’enchante. Une manière peut-être d’en savoir un peu plus sur elle. Mais elle est plus rapide que lui et enchaîne déjà. « Je crois que le professeur t'apprécie suffisamment pour te laisser toucher à toutes ses affaires. Il faut dire que tu es très consciencieux lorsque tu dessines, c'est une qualité qu'il recherche chez ses étudiants. » Il est encore difficile pour lui de parler de sa pratique de l’art, qui reste un secret pour la plupart des gens qui le connaissent hors campus, même si aujourd’hui il ne le cache plus officiellement. « Je ne me suis pas permis pendant de longues années de pratiquer, alors je ne prends pas ces cours à la légère. » Il ne prend d’ailleurs aucun cours à la légère. Élève studieux, il a toujours mis un point d’honneur à être le premier dans toutes les matières, mais il s’est bien vite rendu compte que quand il est question d’art, une révision accrue ne peut pas suffire et qu’il lui faut livrer des parts de lui qu’il n’est pas toujours prêt à coucher sur le papier.
Il lui semble que les joues d'Andy ont rougi, et s’il ne commente pas, il s’amuse de ce constat, essayant de comprendre d’où lui vient cette gêne sans vraiment y parvenir, peut-être que sa présence suffit à la mettre mal à l’aise, ce qui n’est pas son intention. Dans le doute, il prend tout de même un peu de distance. Espérant qu’elle se sente à l’aise avec lui. « Qu'est-ce que tu préfères dessiner dans ce cours ? » Il attrape une feuille qui traîne encore sur l’un des bureaux, s’accoudant contre le pupitre pour lui faire face. « J’ai toujours beaucoup aimé les portraits, je crois que les humains me fascinent, plus particulièrement le regard, il est si profond, parfois, il me semble que je peux y lire une parcelle de vie… » Il laisse un tout petit silence, le regard sur le sol avant de le relever pour le planter dans le sien. « D’ailleurs… J’aimerais beaucoup faire ton portrait. » Si elle ne rougit pas avec ça, il n’est plus bien sur de ce qui pourrait le faire, mais laisse un sourire un peu charmeur se dessiner sur ses lèvres. « Tu es une femme bien intrigante, Andrea… Alors dis-moi et toi ? Qu’est-ce que tu aimes dessiner ? » Il espère que son audace ne la froissera pas. Parce qu'Andrea semble avoir l’effet d’un sérum de vérité sur lui. Il lui a déjà livré plus qu'il n'en donne à sa propre famille à qui il cache tout ce pan de sa vie.
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Andréa Eames
ÂGE : trente neuf ans - ♏︎ (01.11.1985) SURNOM : à force de se présenter sous le prénom d'Andy, c'est surtout ainsi qu'on l'appelle. STATUT : veuve depuis fin 2016, son époux est décédé durant une intervention policière ; depuis Andy broye du noir. Maman d'Emy, 18 ans et Hope, 7 ans. MÉTIER : Andy travaille au sein du Walker group en tant qu'architecte LOGEMENT : #570 highland terrace, à Toowong le quartier calme et familial . POSTS : 76 POINTS : 480
TW IN RP : décès, deuil, fausse couche, violence durant l'enfance, abandon, dépression, alcoolisme. ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ☆☆☆ ☆JAYLEN#1+ (the unknown father) ☆MAXWELL#1+ (the awful brother) ☆YASMIN #1+ (the best-friend) ☆OSCAR#2+ (the forbidden story) ☆ JOHN#1 (the first love, or the coward, who dumbed you many years ago) ☆ ELIJAH#1 (the man who believed on you) RPs TERMINÉS : ☆OSCREA#1AVATAR : Anne Hathaway CRÉDITS : onemoreparadise (avatar) + tonytopazs (gifs) DC : Helen Stenfield & Mokare Unaipon PSEUDO : JUJU INSCRIT LE : 12/09/2024
@Oscar Sterling mai 2009 ¤¤¤ crédits gifs (munsonseds) / code (boté du sud )
Dans un couple, qui n'a jamais ressenti une attirance pour une autre personne, sans jamais envisager de passer à l'acte de tromperie ? Andy a envie de croire que c'est même très sain de savoir rester objective et de trouver d'autres hommes charmants, et de ne pas être complètement aveuglée par l'amour en affirmant que seul son mari est beau. D'autres personnes l'est irrémédiablement, aux yeux d'autres individus, puisque la beauté a ce côté subjectif, forcément. Andy, elle, trouve Oscar charmant, sans nécessairement s'autoriser à croire que quelque chose de sérieux peut se passer entre l'étudiant et elle. D'ailleurs, avant qu'il ne lui propose un verre, la jeune femme n'a pas pour projet de tenter un quelconque rapprochement. Les regards et les sourires en coin lui suffisent, mais elle ne refuse cependant pas de sortir à ses côtés, grâce (ou à cause) d'une chose : la solitude qui la pèse. Aaron n'est pas à la maison à l'attendre. Emy est à l'école, et elle ira à la garderie jusqu'à ce qu'Andy n'aille la récupérer. Alors c'est plus facile pour elle de céder à la tentation d'une réponse positive. « Ça me fait plaisir. » A elle aussi, plus qu'elle ne veut vraiment l'admettre. Et puis, la perspective de boire un verre contribue à son enchantement, qu'on ne se le cache pas. Andy tente de contrôler ses émotions et lui exprime son ressenti face à la confiance du professeur envers Oscar, qu'il laisse manipuler ses affaires, même rien que pour les ranger. « Je ne me suis pas permis pendant de longues années de pratiquer, alors je ne prends pas ces cours à la légère. » Oscar semble être un étudiant sérieux, studieux et ambitieux. C'est ce côté qu'elle a tout de suite remarqué durant sa pratique en classe, lorsqu'elle agit en tant qu'assistante. Parfois, elle n'a rien de spécial à faire, alors l'espace de quelques minutes, elle laisse son regard balayer la pièce, et ses yeux foncés ont tendance à s'arrêter sur les traits concentrés de l'homme en face d'elle. C'est à cela, qu'elle a rapidement remarqué son attirance pour lui, sinon pourquoi l'intriguerait-il à ce point lorsqu'il dessine ? Pour cacher une certaine gêne face à l'aveu qu'il fait inconsciemment, Andréa s'affaire à ranger les premières affaires qui passent entre ses mains, tout en s'intéressant néanmoins de plus prêt à Oscar. « J’ai toujours beaucoup aimé les portraits, je crois que les humains me fascinent, plus particulièrement le regard, il est si profond, parfois, il me semble que je peux y lire une parcelle de vie… » Elle boit ses paroles, clairement. Elle s'est arrêtée de ranger, pour mieux lui accorder son attention. « D’ailleurs… J’aimerais beaucoup faire ton portrait. » Son cœur rate un battement, et ses joues s'enflamment aussitôt. Elle regrette vite de s'être arrêtée dans son élan, car Oscar est aux premières loges pour attester du changement précipité de couleur de son épiderme, traduisant sa gêne. « Heu... je... pourquoi pas. » Bredouille-t-elle finalement, incapable de jauger si rapidement quelle réponse est la bonne. Sa proposition ne frôle pas non plus l'indécence, Oscar ne lui propose pas de dessiner son portrait nu comme Jack dans le Titanic, alors pourquoi réagir comme si c'est le cas ? « Tu es une femme bien intrigante, Andrea… Alors dis-moi et toi ? Qu’est-ce que tu aimes dessiner ? » Heureusement qu'il lui renvoie la question, car Andréa est sur le point de perdre ses moyens en l'entendant dire qu'il l'a trouve intrigante. La jeune femme lui tourne le dos, prétextant vouloir ranger les crayons un à un dans un pot et en faisant mine de réfléchir, tandis qu'elle ferme les yeux pour imprimer le visage d'Aaron dans son esprit. Elle est mariée, les réactions dignes d'une lycéenne doivent s'arrêter, maintenant. « Mon cœur balance entre le croquis et les perspectives... les deux techniques sont à l'antipode l'une de l'autre, mais ça retranscrit parfaitement deux pans de ma personnalité : le croquis lorsque je me sens dépassée par le temps, avec ma petite fille qui me demande beaucoup d'énergie ; et la perspective lorsque j'ai la chance de pouvoir vraiment me poser et faire glisser le crayon dans mon carnet. » A son tour, sa passion pour le dessin la fait s'emporter dans ses explications. Lorsqu'elle termine de remplir le pot de crayons, Andy se retourne finalement vers Oscar, à qui elle a déjà confié bien des choses : « Pourquoi tu disais que tu ne t'étais pas permis de pratiquer pendant de longues années ? » Elle se montre curieuse, mais Andréa trouve certainement Oscar aussi intrigant. La jeune femme tente néanmoins de masquer cet intérêt un peu trop vif à son goût, mais elle ne peut pas s'empêcher de vouloir poursuivre la conversation avant qu'ils n'aillent boire ce fameux verre. A vrai dire, Andréa a surtout envie d'être en tête à tête avec lui, alors elle se freine tout à coup pour poursuivre le rangement. Mais dans un mouvement plus approximatif pour finalement ralentir la cadence, la jeune femme se retrouve à attraper la même pochette qu'Oscar, au même moment. Ses doigts s'agrippent alors au dos de sa main, et le contact la fait frémir malgré elle, avant qu'elle ne murmure un : « Oh pardon » et qu'elle ne s'éloigne de la chaleur de sa peau, qu'elle aurait volontiers continué à découvrir, si l'anneau autour de son annulaire n'était pas le signe d'une promesse faite à Aaron.
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Dernière édition par Andréa Eames le Mar 22 Oct 2024 - 15:42, édité 1 fois
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ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
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NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Il adore voir ses joues se teinter de rouge, la gêne qui semble monter en elle d’un coup lui arrache un petit sourire en coin. Elle est encore plus jolie comme ça, teinte de confusion. « Heu… Je… pourquoi pas. » Il s’étonne qu’elle accepte, mais ce n’est pas pour lui déplaire. « Cool. » Il l’observe maintenant avec une certaine intensité, sans trop de gêne, les courbes de son visage, les angles qui forment sa mâchoire, son nez fin et délicat, ses lèvres qui sont un appel au baiser, puis ses yeux. Il croise son regard et ne détourne pas les yeux, brûlant d’une envie soudaine de la dessiner, ou peut-être plus. Mais il ne veut pas aller trop vite, Andrea est de ces filles qu’il a envie de découvrir, de sonder, elle n’est pas de ces filles de passage qui oublient de marquer. Il est intrigué et ne manque pas de le lui dire, ce qui semble encore rajouter un peu à sa gêne.
« Mon cœur balance entre le croquis et les perspectives… Les deux techniques sont à l'antipode l'une de l'autre, mais ça retranscrit parfaitement deux pans de ma personnalité : le croquis lorsque je me sens dépassée par le temps, avec ma petite fille qui me demande beaucoup d'énergie ; et la perspective lorsque j'ai la chance de pouvoir vraiment me poser et faire glisser le crayon dans mon carnet. » Il l’observe en buvant ses paroles, haussant un sourcil alors qu’elle évoque sa petite fille. Il lui semble qu’un mur vient de tomber, une première explication qui semble lui ouvrir la porte de certaines réponses. « Tu as une fille ? Elle a quel âge ? » Il penche un peu la tête, a déjà presque oublié le sujet du dessin, c’est d’elle qu’il veut en savoir plus. « Pourquoi tu disais que tu ne t'étais pas permis de pratiquer pendant de longues années ? » Il se crispe un peu, se rendant compte qu’il lui en a déjà livré trop, lui donnant les clefs pour ouvrir certaines portes. Si sa première intention est de balayer le sujet, il se ravise, conscient que s’il veut en savoir plus sur elle, il est obligé de livrer une partie de lui. Que la relation ne fonctionnera pas dans un seul sens. « L’art est jugé comme futile dans la famille, je crois que j’ai moi aussi un peu cette idée. Mais j’essaie de la surpasser, en étant ici, par exemple, en acceptant cette envie qui me dévore depuis toujours. » Et même si la passion n’était pas encore pleinement assurée, il se sentait mieux entouré de gens qui ne le jugeaient pas sur son art ou sur ses envies.
Tous les deux semblent volontairement réduire la cadence, pas envie d’aller rejoindre les autres, il veut en savoir plus sur elle. Quand, dans un mouvement involontaire, leurs mains se frôlent, il sent le frisson délicieux de la passion lui parcourir l’échine, elle semble électrique, leur corps fait pour se rencontrer. « Oh pardon ». « Ce n’est rien. » Évidemment, il le pense, mais est maintenant un peu troublé. De loin, il n’avait jamais vu la bague à son doigt. Il s’approche pourtant un peu plus d’elle, sentant ce magnétisme entre eux. Sa main frôlant d’abord son bras, remontant lentement le long de son épiderme pour saisir délicatement sa main qu’il remonte un peu entre eux. « Tu es mariée ? » C’est une demande douce évidemment, il veut savoir, il sait que ça change la donne, mais cette perspective n’éteint pourtant pas ses sensations. « C’est une très belle bague. » Il arrive peut-être trop tard, il ne forcera rien, mais a tout de même envie d’en savoir plus sur elle.
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HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
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Andréa Eames
ÂGE : trente neuf ans - ♏︎ (01.11.1985) SURNOM : à force de se présenter sous le prénom d'Andy, c'est surtout ainsi qu'on l'appelle. STATUT : veuve depuis fin 2016, son époux est décédé durant une intervention policière ; depuis Andy broye du noir. Maman d'Emy, 18 ans et Hope, 7 ans. MÉTIER : Andy travaille au sein du Walker group en tant qu'architecte LOGEMENT : #570 highland terrace, à Toowong le quartier calme et familial . POSTS : 76 POINTS : 480
TW IN RP : décès, deuil, fausse couche, violence durant l'enfance, abandon, dépression, alcoolisme. ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ☆☆☆ ☆JAYLEN#1+ (the unknown father) ☆MAXWELL#1+ (the awful brother) ☆YASMIN #1+ (the best-friend) ☆OSCAR#2+ (the forbidden story) ☆ JOHN#1 (the first love, or the coward, who dumbed you many years ago) ☆ ELIJAH#1 (the man who believed on you) RPs TERMINÉS : ☆OSCREA#1AVATAR : Anne Hathaway CRÉDITS : onemoreparadise (avatar) + tonytopazs (gifs) DC : Helen Stenfield & Mokare Unaipon PSEUDO : JUJU INSCRIT LE : 12/09/2024
@Oscar Sterling mai 2009 ¤¤¤ crédits gifs (munsonseds) / code (boté du sud )
L'atmosphère est palpable, une sorte de tension existe inéxorablement entre l'assistante et l'étudiant, mais la jeune femme ne veut pas clairement se l'avouer et surtout, elle ne veut pas se l'autoriser. Andy est mariée, elle est profondément amoureuse d'Aaron, même si c'est un mari absent à cause de son travail. Il ne faut pas qu'elle tente de vouloir oublier la solitude dans les bras d'un autre homme, ce n'est pas elle, ça. Et pourtant, plus elle regarde Oscar, et plus son corps frissonne rien qu'à l'idée un peu sensuelle de le toucher, ou même de le laisser la regarder très longuement pour qu'il puisse dessiner son portrait. Il y a comme une part d'érotisme dans l'interprétation de sa demande et, au fond, ça ne lui déplaît pas... « Cool. » Il lui fait perdre ses moyens, et sa voix assurée, plus grave et suave encore, la fait fondre silencieusement à ses côtés. Heureusement, Andréa trouve le courage nécessaire pour garder son sang froid et répondre à la question qu'il lui retourne à propos de ce qu'elle aime dessiner. Les mots s'emballent dans sa bouche, la jeune femme parle avec une vive passion, comme lui tout à l'heure. Le dessin, ça les anime, ça se ressent, et ils comprennent mutuellement cette réaction l'un chez l'autre. Ils se comprennent déjà si vite. « Tu as une fille ? Elle a quel âge ? » - « Oui, Emy. Elle a trois ans. » Répond-t-elle avec cette lueur de maman fière. Son enfant, c'est tout pour elle. C'est la prunelle de ses yeux, c'est sa raison de vivre, de respirer. C'est aussi grâce en partie à Emy qu'Andy tente toujours de contrôler la quantité d'alcool ingurgitée, car elle s'en voudrait trop de mettre continuellement la vie de sa fille en danger. « L’art est jugé comme futile dans la famille, je crois que j’ai moi aussi un peu cette idée. Mais j’essaie de la surpasser, en étant ici, par exemple, en acceptant cette envie qui me dévore depuis toujours. » Dès qu'Oscar ouvre la bouche, c'est comme si le temps se met sur pause. Comme si le monde d'Andy ne tourne plus et qu'elle se concentre uniquement sur cet homme qui l'attire beaucoup trop. Les quelques verres descendus avant le cours y sont peut-être pour quelque chose, mais son attirance est véritable, sincère et authentique malgré tout. « Ton talent est incontestable, alors j'espère que tu préféreras écouter la petite voix dans ta tête que celle de ta famille. » Souffle-t-elle, en relevant le regard vers lui, surplombé de ses longs cils foncés. Si Andy pouvait passer le reste de la journée à le regarder et à faire sa connaissance ici, elle accepterait volontiers. La jeune femme n'a pas vraiment envie de quitter cette pièce pleine de tension, elle n'a pas envie que d'autres personnes n'aient le monopole de la conversation avec Oscar. C'est égoïste et c'est surtout ridicule de penser cela, pour une femme mariée. Elle ne le prononce pas à voix haute, mais tout son corps freine la cadence pour leur éviter de ranger trop rapidement les affaires du professeur. Quitte à ranger une deuxième fois certaines choses, ou à faire exprès de vérifier son classement, un contact entre leurs mains l'électrise et lui fait perdre pied. « Ce n’est rien. » Sa voix n'a pas raisonné dans la pièce depuis presque une minute, et ça lui a déjà manqué. Andy s'apprête à ouvrir la bouche pour reprendre la parole, mais le nouveau contact avec Oscar la pétrifie. Cette fois-ci, il est volontaire, puisqu'il s'empare de sa main pour mettre en avant la bague qu'elle porte à son annulaire gauche : « Tu es mariée ? » Pourquoi a-t-elle envie de se cacher ? Pourquoi aurait-elle préféré qu'il ne remarque rien ? Dans quel merdier est-elle en train de se fourrer ? « Depuis 4 ans. » Souffle-t-elle après un délicat hochement de tête, sans retirer sa main de la sienne. Andy a envie qu'il continue de la toucher, son corps aime déjà beaucoup la manière dont il a d'effleurer sa peau. « C’est une très belle bague. » Andréa soutient son regard lorsqu'il dit cela, car elle essaie de comprendre la raison de cette remarque. Le pense-t-il vraiment ? Est-il déçu ? Pourquoi ne lâche-t-il pas sa main, maintenant ? Quelques secondes plus tard, ses billes foncées se posent sur la main gauche d'Oscar où elle ne constate aucune bague de son côté. Alors, prise de l'envie fulgurante de rester en contact, la jeune femme s'empare à son tour de son avant bras pour appuyer ses mots : « Pas de mariage à l'horizon de ton côté ? Tu as quelqu'un ? » Sa question est peut-être trop déplacée, trop pleine de curiosité, mais Andy a envie de savoir. S'il lui dit qu'il est en couple, peut-être que cela calmera ses ardeurs, qui ne sont pas freinés par sa propre bague malgré cette petite voix qu'elle laisse l'atteindre, mais qui ne doit pas crier suffisamment fort pour qu'elle ne l'entende lui intimer d'arrêter.
ஃ When the day has come but I've lost my way around and the seasons stop and hide beneath the ground. ஃ
Dernière édition par Andréa Eames le Mar 22 Oct 2024 - 15:42, édité 1 fois
Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
C’est étrange d’imaginer Andrea comme mère, il n’avait pas envisagé cette option. Il n’avait pas imaginé grand-chose probablement, s’étant contenté de l’observer de loin, de la déshabiller du regard. « Oui, Emy. Elle a trois ans. » Elle a l’air fière, son visage qui s’illumine alors qu’elle parle de sa fille, il trouve ça mignon, un peu touchant. Il lui semble qu’elle lui ouvre aussi la porte à un pan d’intimité. Ça lui plaît. « C’est chouette. Elle aime peindre avec toi ? » Lui se dit que quand il aura des enfants, il pourra probablement se sentir plus libre de montrer sa passion. Qu’il ne veut pas reproduire les erreurs de ses parents, même s’il ne connaît pas d’autre manière de faire. Il ne veut pas que les passions des futurs minis lui soient considérés comme futile, comme en trop. « Ton talent est incontestable, alors j'espère que tu préféreras écouter la petite voix dans ta tête que celle de ta famille. » Il voudrait en être capable, mais le challenge semble loin d’être atteint pour lui. Il est pourtant touché par ce compliment. « Venant de ta part, avec ton talent, je le prends comme un très beau compliment. » Pas loin de rougir lui aussi. Pourtant il ne croit qu'à moitié ce qu’elle lui dit.
S’il peut y avoir quelque silence, Oscar s’en délecte, il lui semble qu’ils mettent plus encore en avant cette pression palpable entre eux, cette électricité qui plane dans l’air. Il ne bronche pas quand elle l’effleure, au contraire, il en voudrait plus, il ne se gêne pas d’ailleurs, va chercher sa main, ce contact délicieux de sa peau. Évidemment, la bague à son doigt ne lui plaît pas spécialement, il n’avait pas envisagé qu’elle puisse être mariée. Si ça devrait sans doute le calmer, ce n’est pourtant pas vraiment le cas. « Depuis 4 ans. » Elle ne retire pourtant pas sa main, laisse ce contact persister. Le regard foncé de la jeune femme planté dans celui d’Oscar, son souffle qu’elle semble presque retenir. Il ne rebondit pas sur l’information, n’a surtout pas envie de parler de son mari. « Pas de mariage à l'horizon de ton côté ? Tu as quelqu'un ? » Un sourire en coin s’affiche sur le visage du jeune homme. Il sait que ce qu’il s’apprête à dire est un peu déplacé, mais le fait tout de même. « Pas de mariage non, pas de copine, en ce moment toutes mes pensées sont absorbées par une femme. » Son regard ne quitte pas celui de la brune qui semble accroché à ses lèvres.« Elle est dans mon cours de dessin, mais il semblerait qu’elle soit déjà prise. » Le sourire qu’il lui adresse en dit long, il sait qu’elle a compris. Lâche finalement sa main, comme pour mettre fin à ce moment d’intensité, afin de ne rien forcer. Elle est mariée tout de même.
« Tu veux aller rejoindre les autres ? » Il lui demande alors qu’il range les derniers crayons, la salle étant presque comme neuve. « C’est un bar bruyant, et on y mange mal. » Évidemment, il se cherche des excuses. « Je connais un endroit sympa pas loin. » Juste pour lui et elle, c’est un jeu dangereux, mais qu’il est prêt à jouer. « Ils y servent une bonne bière et des tapas. » Et l’ambiance est un peu plus calme, de quoi continuer à en savoir plus à son propos.
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ÂGE : trente neuf ans - ♏︎ (01.11.1985) SURNOM : à force de se présenter sous le prénom d'Andy, c'est surtout ainsi qu'on l'appelle. STATUT : veuve depuis fin 2016, son époux est décédé durant une intervention policière ; depuis Andy broye du noir. Maman d'Emy, 18 ans et Hope, 7 ans. MÉTIER : Andy travaille au sein du Walker group en tant qu'architecte LOGEMENT : #570 highland terrace, à Toowong le quartier calme et familial . POSTS : 76 POINTS : 480
TW IN RP : décès, deuil, fausse couche, violence durant l'enfance, abandon, dépression, alcoolisme. ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ☆☆☆ ☆JAYLEN#1+ (the unknown father) ☆MAXWELL#1+ (the awful brother) ☆YASMIN #1+ (the best-friend) ☆OSCAR#2+ (the forbidden story) ☆ JOHN#1 (the first love, or the coward, who dumbed you many years ago) ☆ ELIJAH#1 (the man who believed on you) RPs TERMINÉS : ☆OSCREA#1AVATAR : Anne Hathaway CRÉDITS : onemoreparadise (avatar) + tonytopazs (gifs) DC : Helen Stenfield & Mokare Unaipon PSEUDO : JUJU INSCRIT LE : 12/09/2024
@Oscar Sterling mai 2009 ¤¤¤ crédits gifs (munsonseds) / code (boté du sud )
« C’est chouette. Elle aime peindre avec toi ? » Andréa apprécie qu'un homme s'intéresse vraiment à elle. N'importe quel autre homme se serait d'ailleurs probablement enfui en abordant la présence de sa fille. Non pas qu'Andy cherchait à le draguer, et à trouver un nouveau conjoint... loin de là. Néanmoins, ce que la jeune femme constate régulièrement, c'est que les hommes aiment parler d'eux. Et surtout pas des enfants des autres, en tout cas. L'intérêt d'Oscar lui fait plaisir, et l'incite alors à s'ouvrir très facilement à lui sur ce pan de sa vie privée : « Une vraie artiste. Mais ses toiles sont plus abstraites que les miennes, dirons-nous. » Elle lui adresse un clin d'oeil entendu, parce qu'Oscar doit certainement comprendre qu'un enfant de cet âge-là n'a pas encore toutes les capacités pour représenter les choses fidèlement. Les peintures d'Emy sont désordonnées... et pourtant, lorsqu'elle lui décrit ce qu'elle a voulu représenter, tout ce qu'elle lui montre à un sens pour elle, une signification parfaitement rationnelle. Vous savez le fameux "tu as fais un carré ?", et où l'enfant répond "mais non, c'est la maison, et là il y a..." et patati et patata. « Venant de ta part, avec ton talent, je le prends comme un très beau compliment. » Ses joues recommencent à virer au rouge. Ses mots la touchent et continuent de la perturber encore plus. Oscar sait les utiliser à bon escient pour l'atteindre, il est très doué. Le pire, dans tout ça, c'est qu'elle a envie qu'il l'attire encore plus vers lui. Un certain jeu s'est installé entre eux, qui est difficile à nier. C'est celui-là qui les invite tous les deux à ralentir le mouvement dans le rangement, c'est celui-ci qui la pousse à ne pas défaire ce contact entre leurs mains lorsqu'il s'en empare, au moment où il l'interroge sur son mariage. Oscar ne rebondit pas là-dessus, et Andy la remercie silencieusement. Elle se sait à deux doigts de craquer pour ses lèvres charnues qui lui semblent encore plus proches d'elle que tout à l'heure, alors s'ils venaient à parler d'Aaron... l'atmosphère ne serait plus aussi excitante et lourde de séduction. Et pourtant, il faudrait qu'elle retrouve ses esprits, puisqu'elle est toujours une femme mariée, ça n'a pas changé, même si Oscar n'a pas souhaité en savoir plus à ce sujet. « Pas de mariage non, pas de copine, en ce moment toutes mes pensées sont absorbées par une femme. » Andy sent que ce doux moment en suspens s'arrête au moment où il évoque la présence d'une femme, mais finalement Oscar la raccroche aussitôt à cette ambiance électrique entre eux : « Elle est dans mon cours de dessin, mais il semblerait qu’elle soit déjà prise. » L'assistante n'est pas dupe, elle comprend rapidement qu'Oscar parle d'elle. Il est très explicitement en train de lui avouer son attirance pour elle, et ça lui envoie aussitôt une décharge dans le creux de son ventre. Andy lâche un discret soupir de plaisir en entendant cette déclaration, alors qu'elle regrette qu'il mette un terme à ce contact entre leurs mains. « Tu veux aller rejoindre les autres ? » Non, et peut-elle lui préciser que c'est lui, qu'elle veut, maintenant ? « C’est un bar bruyant, et on y mange mal. » - « J'ai envie de calme, avant de retrouver ma petite tempête. » Souffle-t-elle sincèrement, espérant secrètement qu'Oscar lui propose donc un moment plus intime. Pour son plus grand plaisir, il lui fait une autre proposition : « Je connais un endroit sympa pas loin. Ils y servent une bonne bière et des tapas. » Elle joue avec le feu... mais savoir qu'elle plaît à Oscar la pousse à jouer encore davantage (en plus de l'alcool qui lui fait un peu perdre les pédales + le manque qu'elle ressent face à l'absence continue d'Aaron). Être désirée par un autre homme, ça la rend prête à céder à la tentation... « Je n'ai pas très faim de tapas... » Très consciemment, la brune s'est encore un peu plus rapprochée d'Oscar, avec une idée précise en tête : arrêter de fantasmer sur cette bouche, et en connaître enfin le goût. « J'ai envie de goûter à autre chose... » En même temps, ses yeux foncés s'arrêtent sur les lèvres d'Oscar, pour qu'il comprenne qu'elle avait faim de lui, tout simplement. Dos au bureau du professeur, son bras se presse plus explicitement contre l'épaule d'Oscar, tout en gardant sa tête tournée vers lui. Andy a envie de franchir les derniers centimètres qui la séparent de sa bouche, alors elle laisse son visage pencher un peu plus en leur direction, avec impatience...
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Oscar Sterling
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ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
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Étonnamment, le fait qu’Andrea ait une fille la rend presque plus séduisante, il comprend mieux maintenant pourquoi elle a cette aura un peu à part qu’il émane d’elle quelque chose qu’il ne reconnaît pas. « Une vraie artiste. Mais ses toiles sont plus abstraites que les miennes, dirons-nous. » Un sourire en coin, un léger rire. « Je peux bien imaginer. Qu’est-ce qu’elle aime peindre ? » Oscar est persuadé que ce que l’on aime dessiner en dit long sur les gens, un fait qui s’est rapidement confirmé quand il a commencé à prendre des cours de peinture et à voir le profil de chaque artiste.
Il est facile pour Oscar de se rapprocher de la belle brune, comme un aimant, elle semble l’attirer, l’envie de la toucher le saisissant au trip. Plus difficile, par contre, de prendre ses distances à nouveau. Il veut être sûr de ne rien forcer. S’il sent l’envie de son contact, il a conscience que c’est une femme mariée et ne souhaite pas la pousser à l’adultère. Pour autant, ce n’est pas lui qui la repoussera, tant pis pour la morale. Il continue d’ailleurs de lui tendre des perches pour faire durer leur tête-à-tête. « J'ai envie de calme, avant de retrouver ma petite tempête. » Il lui semble que ce n’est pas la réponse d’une femme qui craint de franchir la ligne. Et le sourire revient sur son visage. « Le calme, c’est possible… » Il a d’autres idées en tête, pourtant, peut-être moins calmes que ce qu’elle imagine. Mais ne les énonce pas à haute voix, préférant doucement réduire la distance qui les sépare à nouveau.
« Je n'ai pas très faim de Tapas… » La voix d'Andrea semble avoir changé d’un coup, plus assurée, plus féminine, elle plante son regard dans le sien et il comprend rapidement que la nourriture n’est plus le sujet. Son corps se rapprochant dangereusement de celui de la jeune femme. « J'ai envie de goûter à autre chose… » Son regard est brûlant d’envie maintenant, ce qui a le don de faire naître un puissant désir en lui. Déjà, leurs peaux se touchent à nouveau, la pression du bras de la jeune femme contre lui, le somme de s’approcher. Il la surplombe un peu, assez pour gérer la progression lente de son visage vers le sien. À quelques centimètres de ses lèvres, il murmure. « C’est un plat qui pourrait très bien me contenter. » Avant de venir s’emparer de ses lèvres. Sa main qui se glisse dans le cou de la jeune femme pour accentuer la pression de ses lèvres sur les siennes. Sa langue qui vient chercher la sienne alors qu’il passe son autre bras autour de sa taille pour la soulever un peu et la faire s’asseoir sur le bureau, se frayant une place entre ses jambes. Il voudrait accentuer un peu plus encore le baiser, mais se décroche un peu d’elle, lui laissant le temps de bien saisir ce qui est en train de se passer et de lui confirmer qu’elle en a envie autant que lui.
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TW IN RP : décès, deuil, fausse couche, violence durant l'enfance, abandon, dépression, alcoolisme. ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : ☆☆☆ ☆JAYLEN#1+ (the unknown father) ☆MAXWELL#1+ (the awful brother) ☆YASMIN #1+ (the best-friend) ☆OSCAR#2+ (the forbidden story) ☆ JOHN#1 (the first love, or the coward, who dumbed you many years ago) ☆ ELIJAH#1 (the man who believed on you) RPs TERMINÉS : ☆OSCREA#1AVATAR : Anne Hathaway CRÉDITS : onemoreparadise (avatar) + tonytopazs (gifs) DC : Helen Stenfield & Mokare Unaipon PSEUDO : JUJU INSCRIT LE : 12/09/2024
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« Je peux bien imaginer. Qu’est-ce qu’elle aime peindre ? » Malgré le côté abstrait de ses oeuvres, Emy sait toujours expliquer ce qu'elle a souhaité représenter, avec beaucoup de détails. C'en est amusant, de l'entendre raconter l'histoire qui s'est déroulé dans sa tête, et qu'elle a tenté ensuite de retranscrire à l'aide de la peinture. Ce sont des moments qu'Andy chérit, et qui lui permettent de se sentir mieux, malgré l'absence pesante du père d'Emy à la maison. Sans elle, la jeune femme n'est pas certaine qu'elle serait restée. « La maison, le chat, nous... » Souffle-t-elle, le regard bloqué sur celui d'Oscar. Leur petite fille aime peindre les choses qu'elle aime le plus, sa famille. Mais sur une note plus amusée, elle précise : « Après il y a toujours tout un tas de précisions derrière, on en a pour au moins dix minutes d'explications : "Là c'est Pompom (notre chat), qui a fait tomber le vase, et là c'est l'eau parterre, et là c'est moi qui saute dans l'eau, et là Pompom il est monté dans la chambre, et là c'est toi maman qui est en colère... Tout ça, avec le langage d'une petite fille de trois ans, bien sûr. » Autrement dit, moins compréhensible, même si Emy a bien développé sa capacité à créer des phrases qui ont du sens, et plus ou moins articulées entre elles. Quel petit bout en train, quand même.
Mais pour l'heure, la peinture n'est plus un sujet qui l'intéresse particulièrement. Ni le rangement du bureau du professeur qui est déjà en ordre depuis plusieurs minutes déjà. Tout ce qu'elle veut, Andy, c'est un peu plus d'intimité avec Oscar. Elle sait qu'elle ne devrait pas, elle sait que c'est mal... mais cela fait plusieurs semaines qu'Aaron n'est pas rentré de mission. Ce n'est pas une excuse valable, certes, mais cela explique néanmoins pourquoi la jeune femme se sent encore plus attirée par Oscar à ce moment. Se sentir désirée par un autre homme, ça a déclenché tout un tas de choses en elle. Andréa n'a pas envie que ça s'arrête, elle veut continuer de sentir Oscar la déshabiller du regard comme il le fait. « Le calme, c’est possible… » Il semble comprendre qu'elle n'a pas du tout envie de rejoindre une bande d'amis qu'elle ne connait pas, et qu'elle n'a pas envie de connaître. Ce qui l'importe, c'est lui. Être avec lui. Être contre lui, ce serait encore mieux. Alors la jeune femme lui fait savoir qu'elle n'a pas faim de tapas. Tout son corps frémit d'impatience et d'envie à l'idée de retrouver son contact, elle l'a tant aimé tout à l'heure. Sentir leurs visages se rapprocher est grisant, Andy retient son souffle lorsqu'Oscar reprend la parole, sentant son propre souffle contre ses lèvres qui se pressent d'envie : « C’est un plat qui pourrait très bien me contenter. » Andy n'a pas le temps de répliquer que la bouche d'Oscar se plaque enfin contre la sienne. Dans un soupir de soulagement et de plaisir intense, les doigts de la jeune femme se posent contre sa mâchoire marquée, savourant avec délectation chaque seconde de ce baiser tant attendu. Il est à la hauteur de ses espérances, Oscar l'embrasse avec fougue, visiblement aussi impatient qu'elle depuis que l'atmosphère s'est un peu plus électrisé entre eux. Aaron est bien loin, l'esprit de l'assistante ne se concentre que sur la douceur et le goût divin de la bouche de l'homme qui n'a aucun mal à la soulever pour qu'elle s'assoit sur le bureau derrière elle. Elle écarte un peu les jambes pour le laisser se rapprocher d'elle, collant sa poitrine contre son torse l'espace de quelques secondes seulement. Un nouveau soupir s'échappe de ses lèvres, mais cette fois-ci de frustration lorsqu'il s'éloigne légèrement d'elle pour l'observer. Andy comprend qu'il cherche son approbation, et elle lui donne, sans se laisser de réfléchir. Parce que si elle saisit cet instant pour tergiverser, le visage d'Aaron va revenir à la charge dans sa tête. Et elle n'en a pas envie. L'assistante est prête à franchir cette ligne interdite, à s'offrir cette parenthèse dans sa vie. Parce qu'Oscar l'attire de trop, parce qu'il fait naître des décharges dans son corps, à la fois douloureuses et savoureuses. Sa bouche retrouve la sienne, sans hésitation, et ses mains gourmandes de curiosité descendent de ses épaules musclées jusqu'au bas de son tee-shirt, qu'elle relève discrètement. Dans la pièce, on n'entend rien d'autres que le frottement de leurs corps encore habillés et la fougue qu'ils mettent à travers leurs baisers. Mais subitement, la porte s'ouvre, dans un gros brouhaha qui la sort de cet état d'enivrement, gênée qu'une bande d'étudiants l'aperçoit assise sur le bureau du professeur, les joues rougies par un tel moment de sensualité, un étudiant entre ses jambes. Un autre enseignant fait irruption dans la pièce, lui laissant tout juste le temps de redescendre du plan de travail. Andy le connaît rapidement, puisqu'elle a régulièrement l'occasion de se rendre dans la salle commune des professeurs en tant qu'assistante : « James nous prête sa salle, elle est plus grande que la mienne. » Embarrassée, Andréa acquiesce machinalement, avant de filer récupérer son sac qui est resté posé sur l'un des tabourets près du bureau. Elle ne sait plus parler, bien trop chamboulée par les événements... par ces baisers dont elle regrette déjà l'absence. Mais elle ne peut pas, c'est une femme mariée. Elle le sait depuis le début de leur conversation, sauf qu'elle s'est enfin réveillée pour le réaliser. Sans prononcer un mot, la jeune femme s'avance vers la porte, ne sachant pas vraiment si Oscar la suit, car elle n'ose plus le regarder, à vrai dire. Elle a honte d'elle-même, d'avoir été si faible devant le désir de cette homme, qui continue malgré tout de l'attirer. Son regard foncé se pose sur lui et elle ouvre la bouche, avant de la refermer, lorsqu'ils arrivent à l'extérieur de la salle de classe. « Désolée, je ne peux pas... » La jeune femme joue nerveusement avec la bague qui habille son annulaire, pour se donner le courage de le repousser complètement. Elle ne peut pas tromper Aaron, ce n'est pas correct. « Merci pour le coup de main... » Souffle-t-elle, se sentant stupide d'échanger une telle banalité après ce qu'ils viennent de partager. Mais c'est ainsi, elle ne doit pas se donner une nouvelle raison de tomber à nouveau sous le charme d'Oscar. Alors elle lui adresse un simple signe de main, qui veut tout dire. Elle le plante là, avec l'agréable souvenir de la douceur de ses lèvres en tête, tout en espérant néanmoins le revoir à ce même cours les jours suivants...
ஃ When the day has come but I've lost my way around and the seasons stop and hide beneath the ground. ஃ
Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Il l’écoute, parle de sa fille avec attention, aime voir son regard qui semble s’illuminer alors qu’elle décrit ce qu’elle dessine, ce qu’elle aime, ce qu'elle pense, il se fait le constat mental que si elle a parlé du chat et de la mère, le père lui semble aux abonnés absents. Sa curiosité l’inciterait presque à poser des questions, il voudrait en savoir plus, comprendre quel type de relation elle a avec son mari. Mais il ne veut pas risquer de voir ce moment s’éteindre, cette électricité qui semble parcourir leurs deux corps et leur donner l’impulsion de se rapprocher. Il a à peine le temps de s’éloigner d’elle qu’à nouveau une force obscure semble l’attirer à la brune, une envie dévorante de la posséder. Ce regard qu’elle pose sur lui fait monter une sorte d’excitation en lui, le fait qu’il soit dans un lieu public ne fait que rajouter un peu de tension. C’est loin de le déranger.
Quand son corps retrouve le contact de la brune, il lui donne l’impression qu’il n’aura plus jamais envie de la lâcher. Ses baisers s’intensifient, ses mains, qui découvrent son corps, le caressent avec douceur et fougue. Il lui laisse le temps de se retirer si elle le veut, mais elle n’en fait rien, ce qui fait monter un peu plus la pression dans la pièce. Les mains d’Andrea qui se promène sur lui pour venir remonter son T-shirt, lui donnant un aperçu de ce que pourrait être le reste de la soirée, les lèvres d’Oscar dans son cou, qui la dévore. Puis le bruit de la porte. Il réagit à peine, mais Andrea, elle est déjà debout. Alors qu'Oscar a à peine le temps de comprendre ce qui se passe, encore coincé dans l’euphorie du moment. « James nous prête sa salle, elle est plus grande que la mienne. » Il ne sait pas qui est cet homme, mais Andrea semble le savoir, elle quitte la pièce aussi vite qu’elle le peut, Oscar à ses trousses qui exprime juste un faible. « Bonne soirée. » À l’homme qui les a interrompus. À peine, dehors, elle prend la parole. « Désolée, je ne peux pas… » Il remarque ce tic nerveux. Sa main qui touche son alliance. « Je comprends. » Il savait que c’était une possibilité, il pourra faire sans. « Merci pour le coup de main… » Il comprend que l’entrevue est finie, déjà, elle lui fait un signe de main. « À la prochaine, Andy. » Il lui crie presque alors qu’elle a déjà le dos tourné. Il espère qu’elle sera là la semaine prochaine, qu’il n’a pas tout gâché avec ce baiser. Elle l’intrigue assez pour qu’il n’ait pas envie d’arrêter là.
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call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet