ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
mend all my broken pieces @James Beauregard + Samuel Wellington lieu: chez james, residences, toowong
Te calmer n’avait pas été chose simple. Tu n’étais même pas certain d’être réellement calme à l’heure actuelle, alors que la visite d’Hadley remontait à plusieurs heures maintenant. Rien ne semblait être en mesure de faire sortir le trop plein de colère qui continuait de couler dans tes veines alors que votre conversation se rejouait dans ton esprit, cette manière presque simpliste qu’elle avait eu de se pointer chez toi comme si vingt ans ne s’étaient pas écoulés depuis la dernière fois que tu avais posé les yeux sur elle. Tu te souvenais encore de cette journée comme si c’était hier, les détails encore vifs dans un esprit qui avait pourtant tout tenter pour oublier. Elle s’était enfuie pendant la nuit, quand ton corps avait complètement à la fatigue suprême que provoquait ton horaire de fou entre votre fille, tes études en musique et un boulot qui servait au mieux à payer les factures. Ce sont les habillements de ta fille qui t’ont réveillé ce matin-là, Delilah à peine âgée de six mois, qui avait déjà l’habitude de se réveiller avec un sourire aux lèvres. Little sunshine, à l’image même de sa mère, c’est comme ça que tu l’appelais. Jusqu’à ce que tu réalises que Hadley était partie, ne laissant qu’une maigre lettre derrière et aucune adresse, aucune façon de la rejoindre. Tu fermes tes yeux avec force, tentes de chasser le souvenir de ta mémoire mais il n’y a rien à faire, depuis que tu l’as vu, il n’y a qu’elle qui prend toute la place et tu la détestes presque, d’être encore capable d’avoir un si grand impact sur ta personne. Mais jamais autant que tu la détestes de te faire perdre la carte encore aujourd’hui en quelques minutes à peine, un talent que seul Hadley Chapman, ou devrais-tu plutôt dire Hadley Wellington, ne possède.
Tu fulmines encore sur cette histoire de nom et de mariage lorsque tu arrives chez James, bières en main comme tu lui avais dit. Lors de ton arrêt au BWS, tu avais eu envie d’acheter plus que de la bière, mais tu avais trop peur que si tu tombais dans la bouteille de fort ce soir, tu n’allais pas t’en relever indemne et tu refusais de retomber dans de vieilles habitudes. Pas alors qu’il y avait tant en jeu. Anna, Delilah. Tu ne pouvais pas laisser le fantôme d’Hadley, aussi réelle qu’il pouvait être désormais, alors que tu pouvais encore sentir la douceur de sa peau contre tes joues, là où elle avait poser ses mains sans ton consentement. Une simple caresse qui semblait encore brûler ta peau après plusieurs heures, que tu voudrais effacer, ignorer sans jamais y parvenir et tu te détestes toi-même pour ça. Alors évidemment que c’est vers James que tu te retournes pour tenter de faire du sens de tout ça. Parce qu’il connaît Hadley, mais surtout qu’il a été aux premières loges pour voir à quel point son départ, son abandon t’a brisé le cœur. Pendant des mois, des années même tu n’étais que l’ombre de l’homme que tu avais été avec elle, recollant tes morceaux tant bien que mal simplement pour pouvoir ouvrir le mieux à ta fille, qui se retrouvait déjà bien trop tôt avec le pire. Si tu cognes quelques fois contre la porte d’entrée de ton ami, tu n’attends pas une réponse quelconque de sa part avant d’ouvrir la porte qui n’est pas barrée, comme tu t’en doutais, et faire comme chez toi. Comme promis, des boîtes de pizza prennent place sur la table et tu viens y déposer les bières avant de chercher ton meilleur ami du regard. « Dis-moi que c’est qu’un putain de cauchemar. Que j’vais me réveiller et que rien de tout ça ne sera arrivé. » James ne sait pas encore ce qui s’est passé, ce qu’elle t’a dit, mais il te connaît assez pour présumer de ton état vis à vis du retour de la blonde. Tu t’approches de lui et lui montre la carte d’affaire de la blonde. Là où le nom Wellington trône en lettres bien rondes. « Elle se fait appeler Wellington. Elle est à Brisbane depuis je sais pas quand et elle utilise mon nom comme si de rien était. J’en reviens pas James. » Et il faut que tu te rappelles de respirer calmement sinon les risques que tu perdes à nouveau la carte se font drôlement élevés.
(james) mend all my broken pieces
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