(hadel #3) our maladies were such we couldn't cure them
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Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : tu préfères qu'on t'appelle Wells à Sam, mais tu te retournes dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer ton quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur que tu refuses de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel tu refuses d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de ton groupe Broken Strings t'emmène une notoriété à laquelle tu te fais difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir ta fille, là où tu n'as pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 279 POINTS : 1400
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
our maladies were such we couldn't cure them @Hadley Wellington + Samuel Wellington lieu: the sixteen antlers, spring hill
Dès que tu avais accepté de rencontrer Hadley, tu t’étais mis à douter de cette décision. Elle t’avait assuré que ce dont elle voulait te parler n’avait rien à voir avec votre fille, ni avec vous, des sujets que tu ne te sentais toujours pas prêt à aborder avec elle malgré la dizaine de jours qui s’étaient écoulés depuis le moment où elle s’était pointée chez toi soudainement. Tu n’étais pas certain de voir de quoi d’autre elle pourrait vouloir te parler, tu doutais presque de la véracité de ses propos, inquiet que ce ne soit qu’un plan comme un autre pour tenter de te voir, de forcer des choses pour lesquelles tu n’étais pas prêt. Ce que tu détestais le plus toutefois, c’est de mentir à ta fille. Presque deux semaines maintenant que tu savais pour la présence de sa mère à Brisbane, et tu ne trouvais toujours pas le courage de lui en parler, de lui dire qu’elle était là, qu’elle était revenue, qu’elle souhaitait être dans sa vie. Comment étais-tu censé lui dire tout ça après plus de vingt ans passés sans nouvelle, vingt ans de moments manqués, vingt ans de questions auxquelles elle pourrait enfin recevoir des réponses. Tu savais au fond de toi que tu ne pouvais pas garder ça pour toi encore bien longtemps, mais pour l’instant, tu ne pouvais t’empêcher de vouloir la protéger, et ça, ça voulait aussi dire de la protéger de sa mère à la vue des circonstances si particulières entourant votre famille. Alors oui, tu avais hésité, tu avais pris ton téléphone par cent fois, ouvert la conversation en cherchant mille et un prétextes pour annuler la rencontre, sans jamais trouver le courage d’aller jusqu’au bout. Il était bien là tout ton problème en ce moment : tu manquais constamment de courage.
Tu manquais de courage avec Delilah. Tu manquais de courage avec Hadley. Tu manquais même de courage avec Anna, que tu gardais au courant de tout, mais avec qui tu ne te sentais pas non plus complètement honnête. C’était tellement difficile pour toi de te rendre vulnérable lorsqu’il était question d’Hadley, et la dernière chose que tu souhaitais, c’était de faire du mal à la Constantine de quelque façon que ce soit. Alors tu encaissais. Tu comprimais. Tu tentais de garder le tout enfoui dans le plus profond de ton être pour ne pas déranger personne, pour laisser croire que tu gérais alors que tu te sentais pourtant complètement dépassé. Même une fois devant le pub où ton (ex-)femme t’avait donné rendez-vous, à quelques minutes de l’heure donné de votre rendez-vous, tu hésitais à te rendre. Assis dans ta voiture, tes doigts pianotaient contre ton volant, dans des mélodies que tu espérais distrayantes, apaisantes, mais ça n’aidait pas. Rien ne pouvait aider. Tu ne pouvais faire qu’une seule chose en ce moment : faire face à la musique. C’est à reculons que tu t’approches du bar, c’est les mains moites que tu ouvres la porte d’entrée et c’est avec une boule dans le fond du ventre que ton regard balaie la place à la recherche d’une chevelure blonde que tu connais encore trop bien malgré les années. Elle est déjà assise à une table, son haut coloré et sa queue de cheval longue et lisse attirant l’attention de plusieurs autour d’elle, comme c’était déjà le cas il y a vingt ans de cela. Tu enfonces tes mains dans tes poches avant de te diriger vers elle, un léger grognement dans le fond de ta gorge témoignant de ta présence à la jeune femme. « Hadley. » C’est tout ce que tu lui offres comme salutations, pas de poignée de mains, certainement pas de bise sur la joue. Une distance entre vous deux, c’est exactement ce que tu te dois de conserver. « Je n’ai pas beaucoup de temps alors si ça te fait rien, on va s’en tenir à l’essentiel. » Rester évasif, neutre. C’était la meilleure (et la seule, vraiment) technique que tu avais pour passer au travers de ce moment. « J’ai dû mal à savoir de quoi tu pourrais vouloir me parler qui ne pouvait pas attendre que je te contacte à nouveau, mais je suis là. Qu’est-ce qu’il y a? » On repassera pour le complètement neutre et évasif, hein…
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