ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
’’Le bowling alors que j’ai le bras dans une attelle, c’est vraiment moche comme idée.’’ il râle parce que c’est à peu près la seule chose qu’il peut faire maintenant que « jouer du piano » est devenu mission possible — ce qui ne l’empêche pas d’essayer pour autant, en dépit des remontrances formulées par Helen. ’’En plus tu triches, j’suis sûr.’’ il lance l’accusation sans véritablement regardé le principal concerné et sans avoir d’autres arguments pour étayer son inculpation, tirant simplement sur sa paille pour aspirer une longue gorgée de sa boisson sucrée pendant qu’il regarde autour de lui, sans trop savoir ce qu’il espère voir dans le décor beaucoup trop coloré à son goût. Il est plus chiant que d’habitude mais, attention, ce n’est pas sans raison valable ; s’il avait un certificat médical celui-ci comporterait les mentions « fracture du poignet », « carrière mise en pause et incertaine » et enfin « tendance à avaler les médocs anti-douleur comme s’il s’agissait de simples bonbons ». Le dernier point étant sans nul doute le plus préoccupant mais, comme il se voile encore la face sur le problème qui se profile à l’horizon et qu’il va sûrement se prendre en pleine figure d’ici peu de temps, il fait tourner les glaçons dans son gobelet à l’aide de sa paille en levant le menton pour soutenir le regard de Mateo, n’ayant pas retrouvé sa délicatesse depuis la dernière fois qu’ils se sont croisés ’’Bon, t’en est où avec Diego ?’’ il aborde le sujet sensible aussi frontalement parce qu’il ne compte pas abîmer la seule main qu’il lui reste avec une boule de bowling — et parce qu’il est désespérément nul à ce jeu mais il ne compte pas l’avouer de sitôt, en espérant que le sujet principal de la conversation reste concentré sur son ami, puisque tous les sujets qui se rapportent à sa propre personne l’angoissent par avance : ses fiançailles, sa blessure, sa carrière ou même son état de fatigue évident, qui creuse jusqu’aux cernes sous ses yeux, ne sont rien de ce qu’il souhaite aborder en cet instant. Il ne sait pas trop où il va, Izan, mais peut-être que Mateo peut l’aider à retrouver son chemin, qui sait.
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c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Mateo Alvarez
le schtroumpf farceur
ÂGE : vingt six ans (18/02/1998) et pas encore peur de vieillir. SURNOM : certains de ses plus vieux amis l'appellent mat, comme quand ils étaient plus jeunes. "ce con d'alvarez" ça marche aussi. STATUT : sa priorité n'est clairement pas de trouver l'amour mais s'il pouvait comprendre ce qui est en train de se passer avec diego, ça l'arrangerait pas mal. MÉTIER : assistant conservateur à la qagoma (queensland art gallery and gallery of modern art) depuis la fin de ses études il y a presque deux ans, dans le bâtiment dédié à l'art moderne. LOGEMENT : il vit depuis septembre 2022 dans un appartement au n°29 hardgrave road, west end, dans une colocation dont il est le seul représentant de la gent masculine. POSTS : 2882 POINTS : 670
TW IN RP : consommation d'alcool, mort d'un proche, deuil, état dépressif. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne trouve aucun intérêt aux réseaux sociaux › joueur, il ne refuse jamais un défi surtout s'il croit pouvoir le gagner › n'a presque aucune nouvelle de sa mère depuis qu'il est parti pour faire ses études › son amie d'enfance, lucia, s'est suicidée suite à du harcèlement vécu après son coming-out. CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
maego › to tell the truth, i'm the fraud in the room and i know that, but you never will. i will be your shoulder to cry on, i will make you laugh if you need, i will play the part if you say so, but you'll never know what's broken inside of me.
there's a peace i can't define @Izan Da Silva & Mateo Alvarez
« Le bowling alors que j’ai le bras dans une attelle, c’est vraiment moche comme idée. » Les râleries d'Izan allaient bon train mais Mateo ne pouvait pas le contredire : la sortie bowling ce n'était peut-être pas la meilleure proposition a faire à quelqu'un dans sa situation. L'idée ne venait pas de lui initialement, il n'avait fait que suivre le mouvement, mais malheureusement l'instigateur de cette soirée avait annulé au dernier moment. « J'y peux rien moi, de base c'était une idée de Raf et il est même pas venu. » Faisant de Mateo la seule personne ce soir sur laquelle Izan avait tout le loisir de râler, et si d'habitude il appréciait particulièrement sa compagnie même dans les parts les plus négatives de sa personnalité, il fallait bien admettre qu'aujourd'hui il mettait un point d'honneur à se montrer sous son plus mauvais jour. Heureusement, Mateo avait suffisamment de caractère pour subir ses plaintes sans se laisser miner pour autant - et sans s'énerver de la mauvaise foi d'Izan. « En plus tu triches, j’suis sûr. » Il avait levé les yeux au ciel avant de rire en se moquant ouvertement de lui. Non, il ne prendrait pas de pincettes avec lui pour un jeu malgré sa mauvaise humeur palpable. « Non je suis juste super bon, fais pas comme si tu le voyais pas. » Peu importe l'humeur de son ami Mateo ne se priverait pas de jouer comme d'habitude au mec arrogant ; c'était sans doute son rôle préféré, surtout parce qu'il comportait une part de vrai. Après tout, son esprit de compétition était ce qui le poussait dans beaucoup de situations et il était parfaitement ressorti ce soir, même si l'adversaire n'était pas dans les meilleures conditions. « Bon, t’en est où avec Diego ? » Mateo, qui était en train d'observer sa boule toucher les dernières quilles qu'il avait à faire tomber, s'était retourné instantanément vers Izan à l'évocation du prénom de Diego. « C'est pas parce que je t'ai avoué qu'il se passait un truc que c'est un sujet dont j'ai envie de parler, hin. » Oui, Izan avait finit par découvrir la vérité sous les regards échangés avec Diego et Mateo avait finit par lui raconter le plus gros de leur histoire, mais ça ne voulait sûrement pas dire que les choses étaient suffisamment claires pour que Diego soit un sujet aussi simple à aborder que ça. Pour autant et puisque les choses se passaient pour le mieux depuis son retour de voyage, un sourire s'étirait sur ses lèvres. « Ça se passe bien, en fait. » Qu'il lançait presque fièrement. « Mais c'est toujours pas censé se savoir, donc tu seras mignon de pas en parler comme si de rien était. » Mieux valait ne prendre aucun risque. « Tu m'demandes parce que ça t'intéresse vraiment ou juste pour essayer d'éviter que je te pose des questions ? » Parce qu'avec sa mine déconfite et sa morosité palpable, il était clair que Mateo allait finir par l'interroger sur son état, d'autant plus que la dernière fois qu'ils s'étaient croisés il semblait nager dans le bonheur.
when the goin' is getting tough, were all about giving up. things that we never thought we'd say gunna say em. games that we never thought we'd play gunna play em. it ain't perfect but its worth it.
make me feel this way so i can breathe again
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
« J'y peux rien moi, de base c'était une idée de Raf et il est même pas venu. » il dit vrai, Mateo, mais pas de quoi raisonner celui qui hausse ses épaules avec nonchalance en donnant l’impression de balayer purement et simplement cette vérité énoncée ’’Tu te cherches des excuses.’’ qu’il lance d’une voix malicieuse en levant un regard presque taquin vers son ami, s’amusant volontiers de leurs échanges légers même si, à chaque fois, il a un petit pincement au coeur en pensant à Lucia. Il devrait peut-être pas, Izan, puisque l’instant est aussi insouciant que joyeux, et voir son ami lui offre une pause largement salvatrice dans toutes les turbulences de sa vie mais, c’est plus fort que lui. Ce qui prime, après un suicide, c’est la question du pourquoi ; pourquoi elle n’a pas demandé de l’aide, pourquoi elle n’a pas parlé de son mal-être, pourquoi elle n’a pas dit qu’elle allait mal. Il s’est posé ces questions, à l’époque. Il a aujourd’hui les réponses.
Et il ne compte pas communiquer son propre mal-être, le pianiste qui n’est plus capable de jouer et qui ne le sera probablement plus jamais, il fait semblant, même face à Mateo qu’il connaît depuis des années, se pare d’un masque de normalité qui détourne l’attention, exagère même les contours de sa raillerie pour qu’on ne devine pas l’ombre de la souffrance cachée derrière elle. Personne ne doit savoir, personne ne doit voir. « Non je suis juste super bon, fais pas comme si tu le voyais pas. » pilant toujours la glace au fond de son verre, il esquisse un petit sourire qui plisse légèrement ses paupières pendant qu’il le suit du regard en répondant, sur le même ton que précédemment : ’’On parle toujours de bowling ?’’ mimant l’incertitude en plissant ses paupières, il fend ensuite son masque de sérieux en laissant l’hilarité défaire ses lippes, même si la blague douteuse le conduit sur un sujet inévitablement sensible. Diego. Depuis le temps qu’il est ouvert, ce dossier, il sera peut-être temps d’en accélérer le traitement. « C'est pas parce que je t'ai avoué qu'il se passait un truc que c'est un sujet dont j'ai envie de parler, hin. » dans le dos de Mateo, les quilles qui tombent en concorde n’inspirent aucune émotion à celui qui lève légèrement le menton, tout-à-coup grandement intéressé par la discussion. ’’Mais moi, oui.’’ non, sérieux, Mateo croit vraiment pouvoir échapper à cette conversation maintenant ? Il a prétendu qu’il ne voulait pas en parler, l’Alvarez, mais sa langue se délie sans que l’hispanique n’ait besoin d’insister pour lui arracher les mots de la bouche. « Ça se passe bien, en fait. » Izan partage son sourire, son soupçon de fierté et de satisfaction, puisqu’il est véritablement heureux pour son ami. ’’Tu vois, je te l’avais dit.’’ et c’est bien la preuve qu’il a toujours raison, oui, ne cherchez pas à le contredire.
Tirant un peu sur la paille de son gobelet, il aspire une petite gorgée de sa boisson avant de se replacer correctement sur sa chaise, en ignorant volontairement la bulle de notification qui vient d’illuminer l’écran verrouillé de son téléphone, puisqu’il est hors de question qu’il déserte le débat maintenant que le sujet croustillant est sur le tapis ’’Va falloir être un peu plus précis sur « il s’est passé un truc » par contre.’’ il le réclame en aspirant une nouvelle gorgée, les yeux braqués sur l’homme qu’il interroge. « Mais c'est toujours pas censé se savoir, donc tu seras mignon de pas en parler comme si de rien était. » pourquoi diable tout le monde s’évertue à lui rappeler la notion de garder un secret ? ’’Je suis une tombe.’’ ou il a déjà un pied dedans, c’est au choix, et il l’affirme en relevant sa main valide comme pour jurer de sa bonne foi « Tu m'demandes parce que ça t'intéresse vraiment ou juste pour essayer d'éviter que je te pose des questions ? » l’avancée de la conversation menace de ne plus lui être favorable alors son sourire chahute un peu sur ses lèvres avant de se raviver, puisqu’il est hors-de-question qu’il laisse entendre la moindre fausse note. Pas maintenant que Mateo lui délivre son bonheur naissant. ’’Tu sais très bien que ton histoire avec Diego m’intéresse depuis le début,’’ et ce n’est même pas un mensonge, les nombreuses fois où il a relancé le sujet par le passé sont là pour le prouver ’’Et je ne vois pas pourquoi je t’empêcherais de me poser des questions.’’ il sait très bien pourquoi, mais donner la possibilité à Mateo de le faire va peut-être l’apaiser sur ce point ; de toute façon, il a dit qu’il ne l’empêcherait pas de poser des questions, il n’a jamais promis d’y répondre.
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c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Mateo Alvarez
le schtroumpf farceur
ÂGE : vingt six ans (18/02/1998) et pas encore peur de vieillir. SURNOM : certains de ses plus vieux amis l'appellent mat, comme quand ils étaient plus jeunes. "ce con d'alvarez" ça marche aussi. STATUT : sa priorité n'est clairement pas de trouver l'amour mais s'il pouvait comprendre ce qui est en train de se passer avec diego, ça l'arrangerait pas mal. MÉTIER : assistant conservateur à la qagoma (queensland art gallery and gallery of modern art) depuis la fin de ses études il y a presque deux ans, dans le bâtiment dédié à l'art moderne. LOGEMENT : il vit depuis septembre 2022 dans un appartement au n°29 hardgrave road, west end, dans une colocation dont il est le seul représentant de la gent masculine. POSTS : 2882 POINTS : 670
TW IN RP : consommation d'alcool, mort d'un proche, deuil, état dépressif. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne trouve aucun intérêt aux réseaux sociaux › joueur, il ne refuse jamais un défi surtout s'il croit pouvoir le gagner › n'a presque aucune nouvelle de sa mère depuis qu'il est parti pour faire ses études › son amie d'enfance, lucia, s'est suicidée suite à du harcèlement vécu après son coming-out. CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
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D'habitude, Mateo était doté d'un instinct qui lui permettait presque à coup sûr de saisir les états émotionnels de son entourage. Il parvenait bien souvent à les comprendre plus facilement qu'il ne se comprenait lui même, et se faisant, il était difficile pour lui de passer à côté du fait qu'Izan n'allait pas très bien. Quiconque le connaissant un minimum aurait pu s'en apercevoir même s'il s'obstinait à plaisanter et à cacher ses souffrances derrière un masque qu'il devait penser parfaitement hermétique. Ce qu'il traversait était dur, un coup de massue même. Mais à part essayer de le faire sortir pour lui changer les idées et lui montrer qu'il n'était pas seul, Mateo ignorait comment il pouvait tenter d'agir pour essayer d'aider son ami. Ils se connaissaient depuis bien longtemps maintenant mais entre eux la dynamique était plutôt aux chamailleries qu'aux grandes conversations à cœur ouvert, même si de ce côté là, Izan avait su trouver sa place surtout lorsqu'il s'agissait de parler de Diego et ceux même si le sujet était encore sensible. Malgré la mauvaise humeur très mal dissimulée derrière une incroyable quantité de râleries, Mateo gardait le sourire, ne se formalisant pas plus que ça des remarques critiques d'Izan quand lui même n'était pas à l'origine du choix du lieu où ils s'étaient retrouvés. ’’Tu te cherches des excuses.’’ Mais à tout ce qu'Izan pouvait bien lui dire, sur son esprit de compétition surtout, Mateo ne pouvait que répondre en prétendant être tout simplement meilleur que lui. Et c'était peut-être délicat vu qu'il disait ça à quelqu'un avec le bras immobilisé, mais à son sens ça rendait la chose plus drôle encore. ’’On parle toujours de bowling ?’’ Il avait pouffé instantanément, bien trop ravi de voir que l'humour d'Izan ne s'était pas terni. « Maintenant que tu le dis non, c'est vrai, je suis bon dans tout un tas de domaines. Merci de le souligner. » Les laisser tous les deux ensemble sans garde fou c'était l'assurance de finir par les entendre bien trop vite tourner n'importe lequel de leurs sujets de conversation en sous entendus grivois, mais puisqu'ils s'en amusaient où était le mal ? Mateo aurait d'ailleurs préféré que leur conversation se poursuive sur ce ton plutôt que les plaisanteries ne donnent à Izan l'idée de poser des questions sur Diego. ’’Mais moi, oui.’’ Il avait fini par admettre que les choses évoluaient dans le bon sens, un sens auquel il n'aurait pas pensé mais duquel il était plutôt satisfait maintenant que les choses étaient en place. ’’Tu vois, je te l’avais dit.’’ Son air satisfait aurait pu être agaçant si Mateo n'était pas lui même en train de sourire rien qu'à penser à son mexicain. ’’Va falloir être un peu plus précis sur « il s’est passé un truc » par contre.’’ Il levait les yeux au ciel, embêté devant son insistance même s'il était loin d'en être surpris : il avait fait pareil au début de sa dernière relation. « Parce que tu veux les détails en plus ? » Qu'il lançait en riant bien que la question était évidemment rhétorique. « On en est au stade où j'ai des fringues qui traînent chez lui et où Netflix est vraiment plus qu'un fond sonore. Je te connais assez bien pour savoir que t'as pas besoin que je te fasse de dessins pour comprendre. » Et même s'il lui faisait assez confiance pour cet aveu et qu'il arrivait à en plaisanter, Mateo tenait à rappeler à Izan à quel point ce qu'il savait devait rester un secret pour leurs amis en commun. ’’Je suis une tombe.’’ Jusqu'à ce qu'une plaisanterie finisse par laisser trop d'indices autour d'eux très certainement, mais Mateo savait qu'Izan ne dévoilerait jamais rien, en tout cas pas intentionnellement. ’’Tu sais très bien que ton histoire avec Diego m’intéresse depuis le début,’’ Ceux à quoi il avait hoché la tête machinalement pour approuver son propos. ’’Et je ne vois pas pourquoi je t’empêcherais de me poser des questions.’’ Ça c'était une autre histoire, mais il préférait rebondir sur autre chose avant de voir s'il avait le courage d'aborder ce sujet. « Le problème c'est que t'as grillé le truc avant même que ce soit "une histoire" mais oui, je sais que ça a piqué ta curiosité depuis un moment. Je voulais juste t'emmerder. » Avouait-il, un sourire discret sur ses lèvres, avant de reprendre un air plus sérieux. « Et tu pourrais ne pas vouloir que j'pose des questions parce que t'aurais pas envie d'y répondre. » Il avait certainement choisi les meilleurs mots pour faire retomber l'ambiance, mais au moins les choses étaient dites. « Je vais pas te forcer à parler si t'en as pas envie mais je vois que ça va pas et ça me fais chier. » Et un peu d'honnêteté ne pourrait pas faire de mal après tout.
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ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
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ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
« Maintenant que tu le dis non, c'est vrai, je suis bon dans tout un tas de domaines. Merci de le souligner. » il n’a rien souligné du tout, le pianiste, mais il ne s’attendait pas à autre chose que l’humour à peine libidineux de celui qui est pris dans ses filets, et auquel il ne tarde pas à soumettre un ’’Diego est du même avis, j’imagine ?’’ accompagné d’un haussement de sourcil tout aussi interrogateur que le reste, même s’il tente de lisser son image de fouine en reprenant son verre pour en aspirer une fine gorgée avec la paille, juste pour avoir de quoi rafraîchir sa gorge employée à mener l’enquête, désireux d’obtenir des réponses à la romance qui retient Brisbane en haleine depuis trop longtemps : l’histoire d’amour secrète et mystère de Mateo et Diego, peut-être enfin concrétisée, qui sait ? « Parce que tu veux les détails en plus ? » il se demande brièvement si c’est une véritable question et, si oui, comment l’assistant conservateur ose lui faire un tel affront ; il ne le connait pas si bien que ça, de toute évidence ! ’’Bien sûr que oui.’’évidemment, qu’il se retient de rajouter en se rapprochant de la table pour s’y accouder, la mine intéressée et un sourire flottant près de ses lèvres pour lui conférer un air enfantin qui convient tout à fait à sa curiosité sans filtre. « On en est au stade où j'ai des fringues qui traînent chez lui et où Netflix est vraiment plus qu'un fond sonore. Je te connais assez bien pour savoir que t'as pas besoin que je te fasse de dessins pour comprendre. » ses yeux s’écarquillent de surprise et il hausse ses sourcils en inclinant son menton sur le côté, véritablement épaté par l’aveu qu’il n’attendait pas ; il s’imaginait quelques baisers échangés à l’abri des regards — cela aurait été déjà digne du miracle, mais une telle matérialisation de leur relation, officielle et assumée, clairement pas. ’’Non, sérieux ?’’ il a besoin de la confirmation de Mateo pour y croire, puisqu’il oscille entre l’idée d’être convaincu et celle d’être pris pour un parfait idiot, mais puisque son ami porte un sourire niais aux lèvres, il se laisse persuadé par l’idée que les deux crétins ont enfin sauté le pas. ’’Je vous ai sous-estimé. Je visais ce stade pour… Allez, en étant optimiste, 2030.’’ il souffle un petit rire sarcastique en mordillant l’extrémité de sa paille, bien plus heureux pour eux qu’il ne le laisse paraître — principalement parce que leur moyen de communiquer est celui de l’humour, et rarement celui de l’affection établie avec clarté. « Le problème c'est que t'as grillé le truc avant même que ce soit "une histoire" mais oui, je sais que ça a piqué ta curiosité depuis un moment. Je voulais juste t'emmerder. » - ’’Tocard.’’ qu’il prononce d’une voix enchevêtrée par la paille qu’il presse entre ses lèvres, ses yeux prenant un air rieur « Et tu pourrais ne pas vouloir que j'pose des questions parce que t'aurais pas envie d'y répondre. Je vais pas te forcer à parler si t'en as pas envie mais je vois que ça va pas et ça me fais chier. » il a perdu son sourire progressivement, savamment éteint par la mise en relief des afflictions qu’il cache visiblement mal, et cela est suffisamment pour qu’il détourne le regard en faisant tourner son verre sur la table, de sa main valide. ’’Qu’est-ce que tu veux que je te dise ?’’ il hausse les épaules avec mollesse, les yeux braqués sur la surface polie de leur table abîmée à certains endroits. ’’Mon poignet est cassé donc je vais probablement devoir tirer un trait sur ma carrière,’’ abattu, fataliste avant l’heure, il gonfle ses poumons d’air mais l’élan est douloureux tant son thorax est comprimé, envahi par l’angoisse qui fait son nid quelque part dans son sternum ’’Et c’est à peu près la seule chose que je sais faire, jouer du piano. Donc.’’ il est lourd, ce dernier mot, lourd du sens qu’il porte, lourd de l’incertitude qu’il retrace, lourd de la douleur qu’il engendre. ’’Mais sauf si t’es capable de réparer mon poignet fracturé…’’ il le dit avec une ironie légère en relevant son avant-bras emmuré ‘’…En parler ne changera pas grand chose.’’ donc autant ignorer le sujet ; c’est tout à fait le message.
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crédits/dadzixgifs
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.