if i'm all dressed up they might as well be lookin' at us (marose #13)
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2677 POINTS : 380
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- if i'm all dressed up they might as well be lookin' at us - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/ventvnni & stefansalvatored
Mavis a pris le va te faire foutre d’Ambrose au pied de la lettre en refusant de répondre à tout ce qu’il a débité ensuite pour se donner bonne conscience. Elle l’a royalement ignoré, le laissant jouir de son statut de grand garçon comme il l’entendait en le laissant partir sans le retenir, surtout en le laissant dans le flou concernant l’invitation qu’il lui a faite tout en sachant au fond qu’elle s’y rendrait, à ce fichu pique-nique, et ce pour lui prouver qu’elle est plus adulte que lui ne le sera jamais. Il se planque derrière des remixes de c’est celui qui dit qui est qu’elle ne supporte pas simplement parce que ça lui fait penser à Ruben et qu’elle exècre l’idée d’avoir un type d’hommes dans le viseur. Plus elle y réfléchit, plus elle comprend que, dans chacune de ses relations, elle doit d’être celle qui relève le niveau, c’est évident. Ils ont belle allure ses amants, ils sont ambitieux, ils sont talentueux, mais Dieu qu’ils sont stupides, c’est la pensée qui lui traverse l’esprit lorsqu’elle descend de sa voiture avec une boîte de petits gâteaux qu’elle a été cherché à la pâtisserie ce matin très tôt en espérant que, l’ayant laissée dans le réfrigérateur des internes pendant ses premières heures de travail, personne n’y mette le nez avant qu’elle ne puisse en disposer. Elle ne sait pas ce qui l’attend en se rendant ici, et finalement, elle s’en moque un peu. Elle n’a pas fait l’effort de se changer, et sous son manteau gris chiné, c’est ce qui lui fait fi d’uniforme qu’elle porte ; blouse et pantalon bleu sur des tennis blanche, elle a laissé sa blouse blanche au vestiaire. Rien d’extraordinaire, elle peut sans doute faire bien mieux — encore que, elle est à l’aise elle, dans cette tenue — mais au moins, on se retourne sur elle ; les médecins font cet effet, elle le sait, elle adore ça. Ce n’est pas important de toute façon, comment elle est habillée. Elle ne compte pas s’éterniser, juste démontrer qu’elle est la plus mature entre Ambrose et elle, c’est tout.
Elle passe au travers du monde qu’il y a, sourcils froncés, mine plus fermée que ceux qui sont là, à profiter du beau temps et de l’opportunité. Elle tient la boîte qu’elle a apporté à plat sur sa paume telle une serveuse slalomant au milieu des tables et repère la silhouette du jeune homme après un instant à camper pour faire le point sur son environnement. Elle n’attend pas qu’il tourne la tête dans sa direction, elle s’avance avec résolution, puis s’annonçant sans un bonjour, elle lui adresse comme entame "Je savais pas si je devais apporter quelque chose, alors je suis allée au plus simple." Elle pose la boîte remplie de gâteaux sur la table pas loin d’eux, évite un instant de le regarder dans les yeux pour se concentrer brièvement sur ce qu’il y a autour et constater à voix haute "Il y a du monde." Et ça lui fait une belle jambe, aussi elle lui explique en se recentrant sur ce qu’elle a amené "C’est du sucré, j’espère que ça fera l’affaire." Et ça aussi, ça lui fait une belle jambe. Au pire, elle trouvera quelqu’un pour les apprécier si personne n’arrive en s’en contenter. Enfin, elle lève la tête pour le regarder, enfonce ses mains dans les poches de son manteau et le prévient sans rien de particulier à noter dans sa façon de se tenir, si ce n’est une volonté, justement, de se tenir à une distance raisonnable de lui parce qu’elle n’a pas oublié, Mavis, et qu’elle n’oubliera pas aussi facilement "Je passe juste en coup de vent. J’ai du travail."
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Dernière édition par Mavis Barnes le Jeu 10 Oct 2024 - 16:22, édité 1 fois
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Une toute petite part de lui-même craignait que Mavis lui fasse un dernier pied de nez en refusant de se présenter au rendez-vous mais il est heureux de ne pas avoir eu raison d’en douter davantage. L’instant est décisif même s’il n’en donne pas l’air, et justement il n’a aucune envie de laisser Mavis le comprendre, pour une infinité de raisons qu’il juge n’appartenir qu’à lui. "Je savais si je devais apporter quelque chose, alors je suis allée au plus simple." Elle fait la discussion sans s’y intéresser ; il se concentre un instant sur le bout de profil qu’elle daigne lui laisser entrevoir, à défaut de lui accorder un regard. Ambrose avait prévu de quoi manger pour deux, évidemment, et elle le savait sans doute déjà. Il veut croire que cette boite de biscuits, aussi insignifiante est-elle, est un drapeau blanc commençant à se hisser entre eux. "Il y a du monde." Hm, hm. "C’est du sucré, j’espère que ça fera l’affaire." - « C’est parfait. » Ils s’en moquent tous les deux, si bien qu’il finit par tirer un paquet de cigarettes de sa poche pour en placer une entre ses lèvres et l’allumer. "Je passe juste en coup de vent. J’ai du travail." Un discours qu’il connaît déjà, elle n’a rien à craindre. « Je sais. » qu’il lui répond donc simplement, sobrement.
Il ne fait pas davantage une scène que Mavis et les laisse plutôt ressembler à un simple couple se retrouvant après une dispute - puisqu’il faut bien avouer que la discussion est aussi froide que le regard que Mavis lui dédie. Ce dernier n’empêche pas Ambrose de prendre le temps de s’asseoir sur l’herbe, ses jambes ramenées devant lui, le ton de sa voix ne s’élevant pas plus qu’à son habitude : si elle veut l’entendre, elle va avoir à s’asseoir à son tour. « Qu’est-ce que tu penses de Cassie ? » Son regard se relève en direction de la blonde un instant, avant qu’il ne priorise l’ouverture de la boîte et, avec elle, le vol éhonté d’un biscuit ramené par ses soins. Il est calme, bien plus calme que lorsqu’elle le piquait au vif à lui reprocher ses réactions face à Ruben. Il est aussi assez calme pour qu’elle puisse comprendre qu’il n’est pas en train de chercher à jouer la corde de la jalousie. Trop peu pour lui. Ambrose s’étire doucement tel un chat, plaçant sa main plus loin dans l’herbe pour tenir son buste ramené en arrière. « Tu m’as dit que je parlais pas assez d’elle, et c’est vrai. » Elle n’a jamais dit “pas assez”, parce que cela aurait sous entendu une idée dont elle se tient loin, mais elle n’a jamais retenu pour elle l’idée qu’il parlait cependant très peu de son ex-fiancée. Et une fiancée, merde, c’est pas rien. « C’est quoi ton hypothèse ? » Sur son silence, sur son besoin de surprotéger une Cassie à qui elle ne ferait de toute façon rien. Elle a sûrement pensé à la question plus d’une fois et il est sincèrement curieux de savoir où auraient pu la mener les indices qu’il aurait pu égarer ici ou là.
Sa contemplation de Mavis cesse déjà alors qu’il se redresse pour vider le contenu de son propre sac sur une nappe de fortune ramenée par ses soins. Il veut discuter avec elle, oui, mais il ne le fera pas sans lui proposer une repas digne de ce nom qu’elle ferait bien d’avaler au milieu de ses heures de boulot, avant de ne déjà plus en avoir l’occasion.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2677 POINTS : 380
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- if i'm all dressed up they might as well be lookin' at us - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/ventvnni & stefansalvatored
Elle n’a sincèrement pas envie d’être là. Mavis n’est pas certaine de vouloir régler quoi que ce soit au sujet de ce qui s’est passé la veille dans le grenier de ses parents. T’avais déjà compris que t’allais plus réussir à le garder entre tes cuisses bien longtemps, elle l’entend encore lui cracher ces mots, et ça lui a fait du mal. Parce que si elle, elle a pensé que pour Ruben, il n’est rien d’autre qu’un gigolo, elle ne lui a pas dit pour ne pas lui faire du mal alors que lui, il n’a pas hésité un seul instant à la qualifier, avec un semblant d’élégance, encore que, ça reste discutable, comme rien de moins qu’une putain. On dira que c’est elle qui a commencé à frapper la première, que dans l’initiative d’Ambrose d’en savoir davantage sur sa soeur, il ne fallait retenir que l’idée qu’il lui a donné que c’était pour apprendre à mieux la connaître. Sauf qu’elle a ruminé sur ça aussi, et qu’elle en est venue à la conclusion que c’est faux. Ambrose a la mémoire courte, il oublie sans doute qu’ils traînaient déjà ensemble à l’époque où Marion était toujours en vie et que leur petite amourette, elle, elle a seulement eu lieu juste après : en d’autres termes, tout comme Dan, tout comme Millie, il la connaît mieux que quiconque l’ayant rencontrée après la disparition de sa soeur — comme, au hasard, Ruben —, et qu’il ne pourra rien apprendre de plus que ce qu’il ne sait déjà au fond. Ça la laisse perplexe, mais admettons, elle ne reviendra pas dessus, uniquement là pour lui montrer qu’elle en a plus sous la semelle qu’il n’en aura jamais et que s’il faut définir l’un d’eux comme étant le plus mature, c’est surement elle. Ça prouve quelque part le contraire, son entêtement à vouloir le lui faire comprendre, mais elle préfère encore ne pas y penser. Elle le regarde à peine, arrêtant ses yeux sur tout et son contraire en se demandant comment tous ses gens peuvent se permettre d’être présents à une heure pareille, et glisse ses mains dans les poches de son manteau avec la ferme intention de ne pas réellement bouger de là. Elle ne réagit donc pas vraiment lorsqu’elle daigne regarder Ambrose s’installer, mais a un léger mouvement de sourcils à la manière dont il entame le dialogue. Elle a envie de rire et de lui dire que c’est original, comme façon de s’excuser, de parler de son ex-fiancée le lendemain d’une dispute, mais elle ne le fait pas, consent tout simplement à lui répondre après un instant de contemplation des alentours qu’elle termine par un haussement d’épaules :
"Tu veux que j’en pense quoi ? Aux dernières nouvelles, je ne la connais pas." Et ce n’est pas de la mauvaise foi, c’est la stricte vérité. Que devrait-elle penser d’une femme dont elle ne connait même pas le visage ? Si ce n’est que son prénom illustre l’impression de secret qui persiste autour d’elle et de la relation qu’elle entretenait avec le jeune homme qui continue à s’adresser à elle, et à qui elle rétorque en retirant sa main de sa poche pour la dresser devant elle, un index répressif se pointant dans sa direction "J’ai jamais dit que t’en parlais pas assez, j’ai précisément dit que t’en parlais jamais." Et la nuance n’en est pas une à prendre à la légère, il serait bien insolent de le prétendre. Elle incline la tête sur le côté, rencontre ses yeux pour les éviter l’instant d’après, et le regarde s’étirer sans aucune autre réaction que celle de rester là, debout devant le coin d’herbe qu’il a décidé d’investir pour leur déjeuner. Elle n’a pas envie de s’asseoir, de supporter la fumée de sa cigarette qu’il fume avec impudence, ou de se demander plus longtemps pourquoi il semble tourner autour du pot, alors elle campe là, déterminée, jouant l’indifférence quand il lui pose une nouvelle question qui fait prendre à ses lèvres des allures de sourire inversé, traduction évidente de sa perplexité "J’ai pas d’hypothèse. Je pense juste qu’elle n’existe pas, et que tu te sers de ces pseudo-fiançailles pour vendre ta fiabilité à ton entourage professionnel." Elle n’a pas vue une seule photo de cette Cassie, comment est-elle supposée croire qu’elle existe ? A nouveau, elle hausse les épaules "C’est vrai, dans ton milieu, ça fait bon genre d’avoir des projets d’avenir. Ça prouve que tu te projettes, c’est un bon point quand on promeut un programme politique." lui fait-elle remarquer sans y connaitre grand-chose, certes, elle a toutefois été élevée avec des gens qui sont capables de prospecter auprès de riches mécènes pour obtenir des financements pour leurs projets de recherches, alors quelque part, la politique, ça lui parle un peu, à elle aussi.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Elle reste debout et, tel un parent faisant face à une crise aléatoire de son enfant, il agit comme si de rien n’était. Il dresse un semblant de nappe sur le sol, y ajoute les éléments de la couleur orange, définie selon ce qu’il arrivait au mieux à rassembler dans ses placards en dernière minute. "Tu veux que j’en pense quoi ? Aux dernières nouvelles, je ne la connais pas." - « Et donc tu penses absolument rien de toutes les personnes que tu ne connais pas ? » Il demande à nouveau, calme et posé mais aussi curieux de savoir ce qu’elle pense réellement de Cassie avec le peu d’informations à sa disposition. Ambrose n’a jamais été bavard à son sujet et s’il sait pourquoi, il y a fort à parier qu’il n’en est pas de même pour Mavis, qui n’habite pas dans son esprit - et tant mieux. "J’ai jamais dit que t’en parlais pas assez, j’ai précisément dit que t’en parlais jamais." Entrer dans les jeux de nuance ne lui apparait nullement comme étant une bonne idée pour le moment, si bien qu’il n’en dit rien de plus. Pourtant, il est certain d’avoir assimilé quelques adjectifs à la personne de Cassie, et c’est au moins un petit quelque chose auquel elle aurait pu se raccrocher, non ?
"J’ai pas d’hypothèse. Je pense juste qu’elle n’existe pas, et que tu te sers de ces pseudo-fiançailles pour vendre ta fiabilité à ton entourage professionnel." Elle ne fait pas d’hypothèses, mais elle en donne une toute de même, et cette seule idée suffit à faire sourire Ambrose qui projette son regard sur son visage en même temps qu’il tire un peu plus longuement sur sa cigarette, cette fois. "C’est vrai, dans ton milieu, ça fait bon genre d’avoir des projets d’avenir. Ça prouve que tu te projettes, c’est un bon point quand on promeut un programme politique." - « Elle existe. » Il ne sait pas ce qu’il pense de son envie de croire le contraire, mais il sort son téléphone de sa poche pour lui laisser libre accès à ses photos pour prouver le contraire. Celles estampillées avec la reconnaissance faciale de Cassandra ne sont pas particulièrement nombreuses mais elles montrent quelques moments de vie quotidien d’un temps révolu. « Mais non, en effet, je l’ai jamais aimée. » Il a appris à l’apprécier, ça oui, mais il n’y a jamais eu ce quelque chose pour basculer vers un sentiment différent. Après avoir vérifié la distance nécessaire des autres personnes à côté d’eux, il reprend. « Son père est dans la politique, elle sait ce que c’est. On avait un plan, tous les deux. » Ils voulaient du pouvoir, chacun à leur niveau. Il ne dit pas “pseudo-fiançailles”, il ne dit pas “mensonges”, mais le discours sous-jacent n’en est pas moins différent. « Parce qu’on a choisi notre carrière avant le reste. » Le bonheur, par exemple. Ses joues se creusent au moment où il tire une dernière fois sur sa cigarette déjà bien trop entamée, laquelle il finit par écraser dans un petit conteneur prévu à cet effet. « J’ai déjà choisi ma carrière avant tout le reste, et si c’était à refaire je le referais. » A l’époque plus que tout, il en avait besoin. « On se ressemble plus que ce que tu penses. » Loin du fait qu’ils ont Ruben en commun, et sans même penser à lui un seul instant pour une fois. Ambrose est capable d’aller au bout de ses envies et idéaux, contrairement à ce qu’elle semble penser tant il met toujours sa vie en pause au moindre papillonnement de cils du chirurgien. Il y a un peu de ça, évidemment, mais il n’y a pas que ça. Il ne peut pas être résumé à ces faits, il refuse. « T’en fais ce que tu veux. » Mais lui, il estime qu’ils méritent d’exister, eux deux.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2677 POINTS : 380
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- if i'm all dressed up they might as well be lookin' at us - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/ventvnni & stefansalvatored
"Qu’est-ce que ça changerait, que j’en pense quoi que ce soit ?" Elle est décidée à ne pas flancher, la jeune femme. Ambrose est mignon, Ambrose est gentil, Ambrose est l’image parfaite de l’homme avec qui elle pourrait envisager de faire sa vie parce qu’il est ambitieux, par-dessus le marché, mais Ambrose pense que ces trois qualités le prémunissent de la rancune, et Mavis n’a pas envie de lui pardonner ses paroles trop facilement. Elle lui en veut d’être celui qui prétend que c’est elle le maître du jeu quand c’est lui qui est venu la chercher à peine son oncle mort. Elle lui en veut aussi de prétendre qu’elle a tout fait pour le mettre dans son lit quand c’est lui est venu cueillir ses lèvres après bien des années à ne pas les avoir goûtées. A chaque fois, elle n’a fait que répondre à ses sollicitations, et si elle en a évidemment largement profité, qu’il invoque le contraire, ça la déçoit encore plus que ça ne la blesse. Peut-être n’est-ce pas important, mais elle s’en moque : il lui a fait de la peine, elle entend bien lui en faire en retour en se montrant froide et inaccessible. Il veut qu’elle lui fasse confiance ? Il va être servi.
Une autre chose dont elle se moque au fond, c’est de Cassie. Si elle existe, elle ne la rencontrera jamais de toute façon. Campant sur ses positions, elle intercepte le regard d’Ambrose et finit par ne pas le lâcher, restant à l’orée de la nappe qu’il a dressé pour faire fi de table à laquelle elle n’a pas envie de s’installer, se sentant comme une intruse vers qui il penche uniquement parce que personne d’autre qu’elle n’est disponible. Elle ne se demande pas pourquoi la couleur dominante de la pseudo-tablée est le orange, ce n’est qu’un détail qu’elle oublie vite, et remue à peine une oreille quand, confirmant que son ex-fiancée existe bel et bien, il lui tend son téléphone portable. Dans un gros soupir échappé par le nez, elle le saisit, réfléchit brièvement à la possibilité de lui faire remarquer qu’il pourrait avoir trouvé ces photos n’importe où, et garde le silence un instant. À la place, elle préfère lui faire, aussi fermée que ça la démange trop pour qu’elle se contraigne à ravaler sa réplique "Il semblerait que t’aies un type." Toi aussi, ça, elle ne l’ajoute pas, fronçant les sourcils en lui rendant son téléphone "D’accord, et qu’est-ce que tu veux que je fasse de cette information exactement ?" Celle qu’il lui donne au sujet de ses sentiments pour cette jeune femme. Il ne l’a jamais aimée, et après ? Ça aussi, c’est censé lui prouver quoi que ce soit ? L’amour, c’est une mesure qui n’a pas grande-valeur finalement. Il suffit de voir comment Ruben traite les gens qu’il aime pour savoir que ce n’est pas important, et qu’on fait souvent plus souffrir ces gens-là qu’on ne fait souffrir les autres, alors que ça devrait être le contraire, non ? Elle ne s’appesantit pas, perd patience et incline la tête en écoutant la suite des mots d’Ambrose qui, cette fois, la fait tiquer en parlant de plan. Ça ne l’intrigue pas autant que ça le devrait — ou en tout cas, elle fait mine que ça ne l’intrigue pas autant que ça. Toutefois, elle consent à lui demander "Quel genre de plan ?" Ça ne la fait pas s’asseoir pour autant. En fait, ça la fait même reculer puisque, dans un souci de ne pas être trop proche de lui, elle préfère aller poser ses fesses sur le bord de la table de pique-nique qui est installée à deux pas. Mavis, une fois qu’elle est blessée, elle ne se laisse plus approcher. Elle ne devient pas sauvage, mais elle considère son entourage comme des menaces, et Ambrose en est soudainement devenu une. Elle le fixe, ne répond pas grand-chose à ce qu’il ajoute, et pas uniquement parce qu’elle réfléchit plus longuement à ce qu’il est en train de lui dire et qui, au bout d’un moment, la fait lâcher un tout petit rire "Parce qu’on se ressemble, on doit être ensemble ?" Logique de cour de récréation, il ne manquerait plus qu’il lui offre une bague de distributeur à bonbons "Et pour faire quoi au fond ?" Cette question est authentique, posée avec la volonté de sonder son âme dans laquelle elle s’enfonce, ses yeux plantés à distance dans les siens "Tu cherches une remplaçante pour remettre en marche ce mystérieux plan et, quel honneur, c’est moi l’élue ?" Elle tiendra donc toute sa vie la place de suppléante ?
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Dernière édition par Mavis Barnes le Sam 12 Oct 2024 - 21:01, édité 1 fois
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Son téléphone entre les mains de Mavis, il mime de ne pas s’en faire le moins du monde, là où il prie surtout tous les Dieux qu’elle ne cherche pas à aller voir ses messages échangés avec Ruben. "Il semblerait que t’aies un type." Elle n’est pas en dehors de son spectre d’intérêt, Cassie, il faut bien l’avouer. Même s’il n’a jamais imaginé la possibilité de quoi que ce soit avec elle, il ne lutte pas contre l’idée que ça aurait été plus que possible et qu’il n’y aurait vu aucun mal. Au passé, évidemment, parce qu’il n’y aurait que Ruben pour lui donner tort quant au fait qu’il est un homme fidèle. Sans un mot de plus, il reprend donc son téléphone. "D’accord, et qu’est-ce que tu veux que je fasse de cette information exactement ?" Il n’est pas aussi pressé qu’elle l’est pour lui donner les explications nécessaires, si bien qu’il n’ajoute pas de flux de parole plus rapide. "Quel genre de plan ?" - « Le genre qu’on s’est promis de jamais ébruiter. » Le genre qu’il est le premier à avoir fait promettre à Cassie de ne jamais ébruiter, par ailleurs, et avec une certaine ironie à cela.
"Parce qu’on se ressemble, on doit être ensemble ?" « C’est la seule chose qui te ferait vouloir qu’on soit en couple ? »
Il rétorque sans cacher être blessé par l’axe de sa réponse. Il ne la considère pas comme l’amour de sa vie, il n’a pas pleuré toutes les larmes de son corps la veille au soir, et pourtant il ne cache pas tenir à elle et ce au point d’imaginer simplement vouloir faire d’elle sa petite-amie. Ou continuer à la considérer comme tel, si tant est qu’il en aurait encore la possibilité. "Et pour faire quoi au fond ?" A distance, il ne déloge pas ses yeux de ceux de Mavis, son pouce venant chasser une gêne invisible contre ses propres lèvres. "Tu cherches une remplaçante pour remettre en marche ce mystérieux plan et, quel honneur, c’est moi l’élue ?" - « Tu crois que c’est ce à quoi je pensais quand on a repris contact ? » Pourquoi est-ce qu’elle cherche soudainement à poser un dessein sur chacune de ses actions, au juste ? Il cherche à comprendre à son tour son mode de fonctionnement, pas certain d’être sur la même longueur d’onde qu’elle sur ce point en particulier. « On s’est fiancés parce que j’avais besoin d’attirer l’attention ailleurs que sur les scandales. » C’était ça, le plan. Un petit couple trouvé rapidement, un joli petit portrait dessiné à la va-vite mais qui n’en faisait pas moins l’affaire. « Et elle le savait dès le début. Donc non, ce n’est pas le plan avec toi. » Cassie a signé ce plan dès le départ, parce qu’elle était d’accord sur l’idée de ne jamais nourrir de sentiments l’un pour l’autre au risque de tout compliquer. Avec Mavis, il n’a jamais été question d’une telle chose.
Mais en réalité, il sait qu’il n’y a pas que ça. Il sait qu’il y a un autre problème, sur lequel il n’a jamais su la rassurer. « Ecoute, je sais que j’ai pas été juste avec toi. » Il a eu des mots bas et égoïstes parce qu’il voulait lui faire mal plus qu’autre chose, sur l’instant. Il le sait. « Et j’ai l’impression que t’as besoin d’entendre que je vais pas t’abandonner, même s’il le demande. » Il étant toujours le même homme, comme à leur habitude. « C’est pas le cas. » Peu importe ce qu’elle a pu voir ou entendre, et peu importe à quel point il est particulièrement doué pour ployer le genou face à Ruben et s’agenouiller pour une raison ou pour une autre. Il lui laisse passer beaucoup de choses, bien plus qu’à n’importe quelle autre personne, mais il est encore capable de réfléchir pour lui-même, pour son couple aussi. « Je peux être un pilier si t’en as besoin, tu sais. » Il n’est pas faible, il n’est pas malléable, et si le moment est mal choisi pour assurer qu’il est capable de prendre des décisions horribles pour le bien de sa carrière, il n’en pense pas moins et l’étend même au bien de son couple. S’ils peuvent effectivement parler d’eux avec ce terme.
:
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2677 POINTS : 380
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- if i'm all dressed up they might as well be lookin' at us - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/ventvnni & stefansalvatored
Ça commence à l’agacer. Elle n’aime pas le mystère qu’Ambrose fait autour de ce qu’il veut lui dire, et elle le lui fait entendre, soufflant d’abord assez fort pour que le message parle de lui-même, bien qu’elle ajoute juste après, histoire d’être bien claire "Écoute, j’ai autre chose à faire que de jouer aux devinettes avec toi, d’accord ?" Elle pourrait s’en aller, elle devrait s’en aller, et l’idée ne fait pas que lui traverser l’esprit : elle s’implante, et la fait remuer sur ses jambes qu’elle tend, les fesses toujours posées au bord de la table qu’elle a rejoint. Rien ne l’amuse dans la conversation qui est en train d’avoir lieu, et ça peut-être parce qu’elle n’en contrôle ni les tenants ni les aboutissants. Elle n’en sait rien. Tout ce qu’elle sait, c’est que ça lui tape sur le système, et une chose est certaine : jouer avec la patience de Mavis, c’est dangereux. Ruben peut en témoigner, il n’a qu’à l’appeler si ça lui chante, c’est sa spécialité "C’est à moi que tu poses cette question alors que c’est toi qui parles de plan, de ressemblances, et de je ne sais quoi d’autre encore ?" Pourquoi l’a-t-il fait venir ? Non seulement, il commence à l’agacer plus que jamais, mais en plus de ça, elle a l’impression qu’il la fait sciemment tourner en bourrique en oubliant à nouveau qu’il est le seul à parler en codes et qu’elle, elle ne fait qu’apporter ses réflexions à ses énigmes qu’elle tente tant bien que mal de comprendre. Elle aime le challenge, Mavis, elle ne vit que pour ça. Seulement, elle n’aime pas que l’arbitre change les règles au fil de ce qui l’arrange pour que lui, il avance ses pions à son aise ; il n’y a rien de fair-play là-dedans, et quand bien même elle est elle-même loin de l’être de façon générale, qu’Ambrose se joue d’elle, ça fait bouillir son sang dans ses veines.
Ça la fait légèrement sourire, qu’il semble s’offusquer qu’elle puisse remettre en doute ses intentions "C’est pas très agréable d’être taxé de manipulateur, hm ?" lui demande-t-elle sans attendre de réponse. Elle est une manipulatrice, elle est pourtant la seule à pouvoir le revendiquer, le prenant comme une insulte quand ce sont les autres qui la pointent du doigt pour le lui faire remarquer — c’est ce qu’Ambrose a fait la veille, et il en paye actuellement le prix. Cette fois, elle croise les bras sur sa poitrine, complètement fermée, refusant d’ouvrir la moindre porte à un Ambrose qu’elle ne sait plus comment considérer, pas même quand, enfin, il en vient au fait. Elle opère une pause mentale, finit par plisser les paupières pour mieux faire le point sur lui et son visage qu’elle observe toujours à distance, s’entêtant à ne pas vouloir l’approcher "Votre plan, c’était de fausses fiançailles ?" Elle a envie de rire, mais elle ne le fait pas. Dans quel monde Ambrose Constantine se croit-il assez important pour penser que faire semblant de se marier lui sauverait la mise des scandales entourant sa personne ? Maintenant qu’elle y pense, ça commence à faire beaucoup d’infamies pour un seul homme. Dire que, hier, il se définissait comme le pauvre petit agneau qu’elle tachait de corrompre… elle se recale contre la table, penche la tête sur le côté pour le regarder selon un angle nouveau sans trop savoir si ça lui plaît ou non tandis que, sans délai, elle lui demande "Et c’est quoi le plan avec moi ?" Il lui dit qu’avec elle, il est différent de celui mis en place avec Cassie. Mais en même temps, il ne lui dit pas qu’il y en a pas, n’est-ce pas ?
Elle se mord l’intérieur de la joue lorsqu’elle sent le redoux pointer. Elle, elle reste glaciale, mais détourne les yeux quand il lui fait savoir qu’il a conscience de l’injustice dont il l’a allouée la veille. Elle ne veut pas de ses excuses, elle ne veut pas non plus du discours qu’il tend à lui déclamer et qui part d’une observation de sa part qu’elle niera être juste : elle ne l’est pas, il se fait des idées. Revêche, mais calme, elle lui rétorque après avoir de nouveau tourné la tête dans sa direction "Bien sûr que c’est le cas. T’attends que ça, qu’il se réveille un matin et qu’il te dise que c’est toi qu’il veut jusqu’à la fin des temps." À qui croit-il faire avaler les salades que lui-même recrache tant elles sont assaisonnées des illusions dont ils se bercent par pure hypocrisie ? Il la déçoit, c’est une certitude qui la rebute autant qu’elle lui fait du mal. Elle secoue la tête, refuse à nouveau de se laisser attendrir par ce qu’il ajoute, et sur quoi elle médite un instant parce qu’il sait, Ambrose, que Mavis n’a jamais pu compter sur personne ; que tous autour d’elle partent du principe qu’elle n’est pas l’autre, alors qu’elle n’a qu’une chose à faire, et c’est de se débrouiller — pour exister, pour avoir le droit d’être elle-même et de réussir à la hauteur de ce dont elle sait être capable. Elle le déteste d’utiliser cet argument qu’il sait très bien être le meilleur pour la toucher en plein coeur. Sauf qu’elle n’a pas l’intention de ployer, et qu’en ce sens, elle lui répond sans ciller "Et moi, tu veux que je sois quoi pour toi ?" Peut-être sentira-t-il la réplique arriver. Elle n’en à rien à faire, elle la lui donne sans pitié "Celle qui écarte les cuisses parce qu’elle ne sait faire que ça ?" Ce n’est pas ce qu’il a dit, elle le sait mieux que personne. Néanmoins, elle tort le sens de sa verve de la veille pour la remanier et lui faire comprendre qu’il a eu tort de la désigner de cette façon, et qu’à moins de ramer fort et longtemps, elle ne compte pas lui pardonner son excès de zèle.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Écoute, j’ai autre chose à faire que de jouer aux devinettes avec toi, d’accord ?" Plus le temps avance et plus elle annonce avoir bien d’autres (et meilleures) choses à faire plutôt que de lui accorder quelques dizaines de minutes de son temps, de toute évidence. L’idée pousse Ambrose à ronger son frein, lui dont la patience trouve rapidement ses limites. "C’est à moi que tu poses cette question alors que c’est toi qui parles de plan, de ressemblances, et de je ne sais quoi d’autre encore ?" Elle est celle qui se borne à ne pas vouloir comprendre alors qu’il ne remettrait jamais en question son intelligence alors oui, c’est bien ce à quoi Ambrose occupe son temps, nourrissant en parallèle l’impression de nage à contre courant et se battre pour des idéaux qui ne sont pas partagés. Peut-être qu’il devrait occuper ce temps à se battre dans le cadre de son travail, justement ; au moins il pourrait quantifier les résultats autrement qu’avec des sentiments qui, eux, ne sont évidemment pas quantifiables. "C’est pas très agréable d’être taxé de manipulateur, hm ?" Non, en effet, mais elle connaît déjà la réponse face à cette question. N’importe qui la connaîtrait, en réalité.
"Votre plan, c’était de fausses fiançailles ?" Il hoche la tête. Peu importe ce qu’elle en pense aujourd’hui, tel était bien leur plan. Il était perfectible, évidemment, mais il avait le mérite d’exister, et il pense qu’il a réellement contribué à amener la lumière médiatique au moins un petit peu plus loin que ses propres scandales. "Et c’est quoi le plan avec moi ?" - « Y’en a pas. » Passer deux jours sans se disputer devrait déjà être un plan, en réalité, et ils peinent à l’atteindre. Il n’a rien prévu d’autre avec Mavis, aucun plan sur la comète, aucune demande dénuée de sentiments. « Qu’on soit normaux, c’est déjà un plan. » Ne pas passer le plus clair de leur temps à recoller les morceaux d’une relation construite sur des fondations particulièrement fragiles et une troisième personne particulièrement à même de tout foutre en l’air.
"Bien sûr que c’est le cas. T’attends que ça, qu’il se réveille un matin et qu’il te dise que c’est toi qu’il veut jusqu’à la fin des temps." « Si c’est tout ce que je voulais, j’aurais pu l’avoir, là. »
Quand il s’est pointé chez eux en expliquant à quel point Ambrose le déçoit, quand il s’est fait mettre à la porte par sa propre femme, quand il l’a retrouvé au plus bas chez une amie à lui. Il n’a pas essayé, mais il aurait pu tenter de le rallier à sa cause à nouveau en agitant sous son nez les réminiscences de leur douce histoire. Rien ne dit que le plan aurait marché et qu’ils auraient pu retrouver cette relation abandonnée, mais il le croit dur comme fer, sans doute bien plus grâce à son ego que par objectivité quelconque. "Et moi, tu veux que je sois quoi pour toi ? Celle qui écarte les cuisses parce qu’elle ne sait faire que ça ?" - « Tu sais que je suis désolé. » Et que même si elle a factuellement ouvert les cuisses, face à lui autant que face à Ruben, il concède évidemment qu’elle ne peut pas se résumer à ça, surtout maintenant alors qu’il ne parle plus avec sa seule colère.
« De quoi t’as besoin, Mavis ? » Si tout ce qu’il lui dit ne suffit pas, ou est interprété de travers avec toute la mauvaise volonté du monde, alors Ambrose préfère encore lui demander directement ce qu’elle attend de lui plutôt que de leur faire perdre un temps précieux à tous deux. « Je peux me battre pour nous, mais j’ai besoin de savoir si tu penses que ça en vaut la peine. » Ils peuvent prendre le temps, ils peuvent discuter clairement de millier de sujets, mais il refuse qu’ils prennent autant de temps et d’énergie à ça si jamais elle a déjà acté l’idée que cela ne sert à rien et qu’il n’y aura plus jamais de “nous”. Il ne cherche pas Ruben à travers elle, il cherche encore moins Cassie, et il ne comprend pas comment après tout ce temps elle puisse encore être capable de douter de sa légitimité, ou Dieu sait quoi d'autre.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2677 POINTS : 380
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- if i'm all dressed up they might as well be lookin' at us - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/ventvnni & stefansalvatored
Le rire est goguenard, et la réplique qu’elle ravale, elle est amère. On ne sera jamais normaux. Ils auraient pu l’être s’ils ne s’étaient pas perdus de vue lorsqu’ils avaient quatorze ans et qu’ils s’en étaient tenus à leurs songes d’enfants. Leurs ambitions d’abord, d’accord, mais aussi une histoire d’amour qu’ils chérissaient avec timidité et dont ils auraient aimé vivre chaque instant au point de vouloir la concrétiser selon un rituel sacré, celui qui consiste à se passer un anneau au doigt et à envisager de perpétuer une lignée qui en aurait eu, elle aussi, du charisme et du pédigrée. Mais rien ne s’est passé comme prévu, et aujourd’hui, ils ne seront jamais normaux pour une raison, et une seule : ils ne sont pas deux dans leur histoire, mais ils sont trois. Mavis pense sincèrement que ce n’est pas un problème — elle ne croit pas en la monogamie, c’est une évidence qui s’est présentée à elle au fil de ses errances sentimentales qui n’ont, certes pas été nombreuses, qui ont existé cependant, et qui lui ont fait réaliser qu’un couple conventionnel, ce n’est pas forcément ce qu’elle recherche. Là n’est pas la question ; problème il n’y aurait pas en vérité si le dénominateur commun à tous leurs soucis n’était pas aussi contrôlant, égocentrique, et jaloux. Mais c’est tout le contraire, Ambrose s’aventurerait-il à le nier, lui qui aime tant se cacher derrière les oeillères qu’il porte lorsque Ruben est concerné ? En ça, ils ne pourront jamais être normaux, tant à cause des défauts de celui qui s’immisce dans leur histoire pour leur rappeler que c’est lui, qu’ils doivent aimer, que dans l’obstination d’Ambrose à ne pas l’abandonner malgré ces mêmes défauts. Elle, elle l’a fait, et elle ne s’en porte pas plus mal, est-ce que ça ne devrait pas l’inciter à au moins caresser l’idée d’enfin lâcher prise ?
Il dit ne pas avoir de plan la concernant, il dit que son allégeance à Ruben n’en est pas réellement une, et Mavis a envie de le croire, mais une force monstre en elle l’en empêche. Elle lui en veut de ses paroles de la veille, elle aimerait baser sa réticence à le croire sur cette rancune qu’elle nourrit goulument depuis la nuit dernière, mais il ne s’agit pas que de ça, elle le craint "Ça sert à rien d’être désolé." Ne dit-on pas faute avouée à moitié pardonnée, pourtant ? "Tu l’as dit, et je vais pas faire semblant de ne pas l’avoir entendu." Elle ne devrait pas se défendre d’avoir qui que ce soit entre les cuisses, la blonde. C’est vrai : personne ne reproche à Ruben d’enchaîner les conquêtes si ce n’est son épouse, personne ne reproche à Ambrose d’avoir la bouche grande ouverte à la moindre occasion offerte par le chirurgien… par contre, tout le monde — les deux susnommés en tête — pointe du doigt l’idée que Mavis, jeune et libre, passe du bon temps avec des hommes consentants. C’est toujours la femme la salope, et ça se confirme ici aussi, alors qu’en effet, elle est jeune et libre. Elle a eu le culot de tomber enceinte qui plus est, c’est double peine pour elle, l’insouciante, la catin. Enfin, elle n’a pas envie de jouer cette carte-là, ce n’est pas son genre, mais l’injustice est réelle, et elle lui reste en travers de la gorge.
"Qu’est-ce que tu veux que je te réponde ?" Elle lui renvoie une question puisqu’au fond, elle n’en sait rien de quoi elle a besoin. Ambrose, il vient avec ses bras chargés de bonnes intentions, mais elle ne lui a rien demandé au fond, si ce n’est de ne pas lui poser de questions sur sa soeur. Juste ça : elle ne veut pas parler de Marion, elle ne veut pas se replonger dans leur vie de jumelle fusionnelles, pourtant rivales, est-ce que c’est trop demandé ? Elle ne comprend pas comment une discussion autour de ça a pu dériver dans ce sens-là ; à lui qui remet la confiance qu’elle lui voue en doute — à raison, elle n’a pas confiance en ce qu’il lui vend, la somme de ses promesses lui paraissant colossale en comparaison à ce qu’elle le croit capable de respecter —, et elle qui a tellement été blessée qu’elle ne sait même plus exprimer le fond de sa pensée étant donné qu’elle sait qu’elle aura besoin de temps avant d’à nouveau se sentir à l’aise aux côtés de quelqu’un qui l’a somme toute insultée. Elle pince les lèvres, déloge ses yeux de ceux d’Ambrose pour prendre une respiration d’abord, et la parole ensuite "Si je te dis que j’ai besoin que tu me choisisses pour de bon, tu vas me répondre que c’est déjà ce que t’as fait." Elle le dit avec plus de lassitude que d’agressivité, haussant les épaules avant d’ajouter, baissant la tête dans sa direction pour le regarder à nouveau, et lui avouer "J’ai pas envie de jouer cette carte-là." Celle de l’ultimatum. Ce n’est pas digne d’elle, elle sait sa valeur plus importante qu’un c’est lui ou c’est moi "Mais plus j’y pense, et plus ça me semble évident, pas à toi ?" Elle annonce, ne rompant pas le contact de ses yeux avec les siens "Le seul truc qui m’empêche de croire que toi et moi, on a de l’avenir, c’est lui." Et là encore, elle ne le cite pas, mais il plane sur toutes leurs conversations depuis des mois. Elle poursuit, prend le temps cette fois de le faire en faisant battre retraite à son regard qui se relève "Comme je connais déjà ta position à ce sujet, je suppose qu’on peut en conclure que t’as plus besoin de, comment t’as dit ?" Elle sait très bien comment il a dit, elle se donne le temps d’avaler ce qu’elle a dans la gorge et qui passe mal, très mal "Te battre pour nous ?" termine-t-elle.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Ça sert à rien d’être désolé. Tu l’as dit, et je vais pas faire semblant de ne pas l’avoir entendu." Ce n’est plus tant qu’il se sent désabusé face aux paroles de Mavis, laquelle lui répond plus ou moins qu’il est toujours à côté de la plaque, mais c’est bien qu’à force il en ressent une certaine colère. Il n’est plus si certain que ça qu’elle a à coeur qu’ils arrivent à construire quelque chose à deux, ou si peut-être elle préfère simplement utiliser tout son temps libre pour lui donner tort et prendre un malin plaisir à ça. Il est désolé, il est sincère sur ça ; du reste, elle en fait ce qu’elle veut. "Qu’est-ce que tu veux que je te réponde ?" La vérité serait trop demandée ? Avoir pour une fois le retour de ce qu’elle pense au plus profond de son cœur ? Il n’attend rien de particulier, mais il attend au moins quelque chose ; un axe de conduite. « Juste la vérité. » Il n’y a même plus besoin de faire dans la dentelle désormais.
"Si je te dis que j’ai besoin que tu me choisisses pour de bon, tu vas me répondre que c’est déjà ce que t’as fait." Et effectivement, il n’en pense pas moins. Il continue de voir Ruben, mais elle est celle auprès de qui il est le plus clair de son temps. Imprégné de sa propre mauvaise foi et de son même aveuglement, il ne comprend donc pas pourquoi cela ne lui suffit pas, pourquoi elle n’est pas tout simplement heureuse de cette façon de faire qui lui donne le feu des projecteurs du cœur d’Ambrose. "J’ai pas envie de jouer cette carte-là." Mais elle le fait quand même. Elle dit “non”, elle va agir comme “oui”, et elle va oser le faire en montrant à Ambrose à quel point elle vient de lutter contre elle-même pour le sauver d’une telle idée. Mavis n’a encore rien dit, mais il le voit venir, la mâchoire plus que jamais serrée. "Mais plus j’y pense, et plus ça me semble évident, pas à toi ?"De toute évidence, non, pas à lui. Leur équilibre avait ses défauts, mais il lui plaisait. Et déjà, il se rend compte en parler au passé. "Le seul truc qui m’empêche de croire que toi et moi, on a de l’avenir, c’est lui." Et enfin, Ambrose baisse les yeux. Il n’abandonne pas déjà, mais il prend le temps de la réflexion ; il prend aussi le temps d’accepter la faute. Sa propre faute, celle de Ruben aussi. Sa jalousie excessive, son besoin de contrôler tout son entourage comme s’il était le maître des pantins. Il ne l’aime pas moins, et il se sent minable pour ce fait, mais il n’est pas aveuglé face à ses défauts. Il le déifie, évidemment, mais pas à ce point, encore moins depuis la scène qu’il a osé faire chez Mavis. "Comme je connais déjà ta position à ce sujet, je suppose qu’on peut en conclure que t’as plus besoin de, comment t’as dit ? Te battre pour nous ?" Il a un rire aussi noir que bref et un sourire en coin qui parle la même langue emplie d’amertume. « Je vais parler à Ruben. » Il ne s’avance pas sur une conclusion en particulier, ça non, mais il admet sans mal que la situation ne peut plus durer entre eux trois. Simplement, il a besoin de poser une dernière question à Mavis, une question qui le taraude et qui ne le fera, ma foi, détester qu’à peine un peu plus que tel est déjà le cas. « Tu veux que toi et moi on ait un avenir, ou tu veux t’assurer que lui n’en ait aucun ? » Elle se bat pour eux, elle aussi, ou elle se bat avant toute chose contre Ruben ? Parce qu’en réalité, la réponse devrait être aussi évidente qu’elle ne l’est pas le moins du monde dans son esprit.
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Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2677 POINTS : 380
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
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Son regard se bloque à celui d’Ambrose et ne s’en déloge plus. Mavis est certaine que quelque part ce pataquès qu’il lui fait au sujet de son ex-fiancée-pas-si-fiancée que ça et le reste, ce n’est que le résultat de quelque chose qu’il a envie d’explorer tandis qu’elle, c’est tout le contraire. Il parle de vérité, et au sujet de ce qu’elle pense de l’histoire qu’il continue de vivre avec Ruben, il la connaît parfaitement, sa vérité. Elle trouve ça malsain à bien des niveaux, et quand bien même ça ne la regarde pas, elle a le droit de le penser, de le dire encore plus, même si de son côté, rien n’a jamais été sain non plus, avec le docteur. De ce fait, qu’essaye-t-il de vraiment lui soutirer comme espèce de vérité ? Elle reste interdite quelques secondes, et puis prenant toute la mesure de son agacement, elle finit par lui poser la question sans faillir, se contente de quatre mots puisqu’elle n’a pas envie d’en dire plus, de toute façon "La vérité sur quoi ?" Qu’il porte ce qu’il a entre les jambes à la fin, et qu’il arrête de lui faire perdre son temps en se comportant comme il le fait.
Au sujet de ses requêtes, elle est certaine qu’il n’y aura pas grand changement dans tous les cas. Ambrose se satisfait d’être le gigolo de Ruben, c’est lui-même qui lui a déjà dit ; pas en ses termes, mais elle a décidé de réinterpréter à sa sauce une bonne majorité de ses paroles étant donné qu’elle est en colère contre lui, et qu’à ce stade, elle ne voit pas comment elle pourrait moins l’être. Qu’il fasse ce qu’il veut, c’est ce qu’elle se dit en l’entendant rire à la fin de la phase qu’elle lui offre tandis qu’il lui répond quelque chose qui la fait rire, elle aussi, hausser les sourcils, puis lui rétorquer dans le même temps "Bonne chance, je suppose." Il va parler à Ruben, et ? Ça se terminera comme toutes les fois où il lui a parlé, elle en est persuadée. Elle n’a aucune confiance en la capacité d’Ambrose à se montrer ferme avec quelqu’un qui le tient dans le creux de sa main. Si elle le lui avoue, il lui dira probablement qu’il s’est montré ferme lorsqu’il l’a chassé de chez elle la fois où il leur a fait son grand numéro de cirque, mais elle lui répondre que franchement, il aurait pu faire bien mieux que ça.
Si Ambrose s’était tut, elle n’aurait rien eu d’autre à dire, et elle serait partie sans regrets. Mais il enchaine avec quelque chose qui la fait se redresser et lui faire, déterminée "Tu sais, je reste pas tapie dans l’ombre à attendre de pouvoir lui pourrir la vie, si c’est ce que tu penses." Et c’est vrai. Mavis, une fois qu’elle a eu conscience que Ruben était celui qu'il était, elle a battu en retraite : elle est restée loin de lui tant que faire se peut. Sa seule bévue, ça a été d’approcher Nina pour se gargariser avec le plaisir que ça lui faisait de savoir qu’elle était en train de s’adresser à celle que son mari rejoignait bien plus souvent qu’il ne la rejoignait elle, autrement, elle n’a jamais fomenté de coups concrets pour détruire Ruben ; elle l’a plusieurs fois menacé de le faire, mais elle connaît ses limites à son contraire, et il les a dépassé bien assez de fois pour qu’en retour, elle tente de se protéger. Qu’il tente de la faire passer pour le démon sur son épaule, c’est du grand Ruben, et qu’Ambrose prenne le temps de vouloir démanteler ses boniments en la confrontant sans aucune délicatesse, c’est une instance bien trop répétitive à son goût, surtout ces derniers temps. Elle ajoute "Chaque réaction de ma part, il les a obtenues parce qu’il est incapable de rester loin de moi, tout comme toi, t’es incapable de rester loin de lui." Il comprendra la comparaison, il jaugera ainsi bien mieux de l’intensité de que Ruben ressent pour elle ; ça lui parlera, elle en est persuadée "Moi, j’ai été claire : je ne veux plus rien avoir à faire avec lui." Ferme sur ses appuis, c’est d’un coup sec qu’elle tend les côtés de son manteau qu’elle replace correctement sur son buste. Elle glisse enfin de nouveau ses mains dans ses poches et ajoute "Je me moque de ce qui peut lui arriver, est-ce que ça, c’est assez clair pour toi ?" Elle traite avec Ruben dans le cadre de son travail, et c’est déjà bien assez pénible comme ça pour qu’en plus, elle s’efforce à vouloir lui gâcher la vie ; il ne fait plus partie de la sienne, ça lui semblait plutôt évident, mais apparement, ça en l’est pas pour tout le monde — il prendra sa réponse comme il l’entend, elle ne compte pas lui faire de grande déclaration.
rp terminé.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.