ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 474 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
Non, mais pour vrai! qu’est-ce que tu fous? Tu te posais la question à tous les jours de ta vie. Désastre sur deux jambes, tu revenais tout juste de compléter - ou pas, un contrat (ouais, non, en fait tu avais tout fait foiré encore une fois). Une femme enceinte qui voulait des photos d’elle dans un décor enchanteur. Il s’agissait de quelque chose que tu faisais régulièrement. Mais ce qui t’avait emmerdé dans cette histoire, c’était que le père n’était présent nulle part. Lorsque tu lui avais posé la question, elle était restée évasive, mais il était évident que le géniteur ne serait jamais dans la vie de cet enfant à naître. Probablement que cette femme ne te ferait pas une belle publicité, mais à ta défense, la situation avait déclenché chez toi une colère sans nom. Tu avais vraiment essayé d’être sympa, de faire semblant que tu étais heureux pour elle malgré tout, mais la tempête en toi avait débordé sans que tu puisses la retenir. Les commentaires de toutes sortes avaient fini par s’extirper de ta bouche et au final, elle n’avait plus voulu que tu la prennes en photo et elle était simplement partie. Tu avais failli lancer ton appareil photo dans le lac en signe de rage. Mais il s’agissait plutôt de désespoir. Le sommeil t’avait manqué la nuit précédente. L'infirmière de ta mère t’avait appelé pour te mentionner que cette dernière n’avait pas passé une très belle journée. Tu savais très bien que la fin était proche, mais chaque jour, tu avais peur de recevoir ce fameux appel, te mentionnant qu’elle était partie. Naïvement, tu espérais pouvoir être présent lorsque ça allait se produire. Les chances étaient minces, puisque tu ne pouvais pas passer vingt-quatre heures sur vingt-quatre à ses côtés. C’était impossible et c’était en partie le fond du problème. Lorsque Linnea allait partir, une très grosse partie de toi allait mourir avec elle. Tu n’étais pas prêt. D’ailleurs, personne n’était jamais prêt à voir partir un de ses parents, surtout lorsqu’ils en avaient encore besoin. Et tu ne pouvais pas compter sur ton connard de père. Il n’avait jamais été là pour toi. Voilà pourquoi tu t’étais projeté dans l’histoire de cette femme dont tu ne connaissais pourtant rien de sa vie. Garant ta voiture sur la rue, tu décidais qu’il était temps pour toi d’aller boire un café. Peut-être que ça t'aidera à te remettre les idées en place. Mais lorsque tu ouvris la porte de l’établissement, une brunette à la peau pâle décida de jouer au football américain avec toi et elle te heurta de plein fouet, renversant son café sur toi par la même occasion. Il était encore heureux que tu sois dramatiquement plus grand qu’elle sinon elle aurait brisé ton appareil photo dans la mésaventure. Sur le coup, tu allais sortir un paquet d’injures, mais tu te retins de justesse. Tu n’avais aucune envie de reproduire la scène de tout à l’heure, alors tu te forçais à sourire. « est-ce que ça va? » Des mots qui étaient difficiles à prononcer de manière sympathique vu la tension qui habitait chaque centimètre de ton corps.
ÂGE : 28 ans (09.04.96) SURNOM : Aucun en liste, à vous de m'en trouver un STATUT : perdue entre deux eaux, bercée d'illusion et cherche à retrouver la raison. MÉTIER : Photographe professionelle et accessoirement voleuse de contrat LOGEMENT : #24 Sherwood Road, Toowong, dans une jolie petite maison cosy. Elle y héberge son frère en ce moment pour l'aider à traverser sa période difficile POSTS : 414 POINTS : 200
TW IN RP : anxiété, il peut y avoir des allusions à la drogue (soft) au sexe, à certains mots qui peuvent heurter. mais n'hésitez pas à venir me voir s'il y a un souci. TW IRL : En général, je joue absolument tout, il ne suffit que d'en discuter au préalable. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : crimson RPs EN COURS : Asher #1 • You're the most important person in my life. The only one that knows me as if you knitted me. I'll always be there for you, you can count on me.
Mikael • This is a forbidden story. The stars are against us. We've never met, and yet you haunt my thoughts.
Cette journée s’annonce catastrophique. Depuis ce matin, ça n’arrête pas. On pourrait m’appeler Mademoiselle la gaffe, mademoiselle catastrophe. Une bêtise n’attend pas l’autre, entre échapper mon téléphone portable dans la cuvette de la toilette ce matin, passant par me reverser la cheville puisque je n’ai pas fait attention à la fissure dans le bitume. J’ai envie de pleurer, rien ne se passe comme prévu et je n’ai hâte que d’une seule chose : que cette affreuse journée se termine pour que je puisse aller me rouler en boule dans mon lit et dormir jusqu’à demain. Mais avant tout, je dois encore attendre. Par chance que mes contrats sont terminés pour aujourd’hui et que je pourrai aller vaguer à mes occupations personnelles. Les courses notamment afin de pouvoir concocter ce repas promis à Asher ce soir. Ça me fera du bien de me retrouve seule avec lui, il a toujours le moyen de me remonter le moral, lorsque rien ne va. En direction du supermarché, je décide de m’offrir un délicieux café que je crois avoir tout de même bien mérité. Peut-être que cette délicieuse boisson chaude pourra m’aider à me remettre les idées en place. C’est ce que je croyais, du moins, mais c’est sans compter ma malchance qui continuât à faire des siennes. La file d’attente était beaucoup trop longue et pour couronner le tout, l’homme devant moi sens un mélange de sueur de de poisson pourri. Rien de bien ragoûtant. J’ai dû attendre un bon quinze minutes avant de pouvoir me faire servir et bien entendu, il s’agissait de quelqu’un en formation. Résultat, le service était énormément lent. Je n’ai tout de même pas flanché, fidèle à moi-même j’aborde un joli sourire, tout en lui octroyant toute la patience que je possède. Il y a un début à tout.
Une fois mon latté en main, je m’accorde une gorgée avant de refranchir la porte d’entrée prête à me rendre au supermarché. Et bien évidemment, ce qui devait arriver, arriva, avec ma chance légendaire de la journée. J’entre de plein fouet dans quelqu’un, renversant mon latté qui éclabousse partout. « Merde ! » dis-je sur le coup de la surprise, me raccrochant à ce que j’ai pu pour ne pas tomber, c’est-à-dire ton bras, me ressaisissant de justesse pour ne pas jouer à la crêpe sur le sol. Relevant la tête, je remarque le dégât que j’ai fait. Malgré ton sourire, qui soit dit en passant est tout à fait charmant, je vois que tes traits ne sont pas très joyeux. Je n’arrive même pas à répondre à ta question, je me confonds toute suit en excuses. « Oh mon dieu, pardonne-moi. » Dis-je en premier lieu, prenant dans mon sac à main un mouchoir commençant à éponger le dégât que j’ai fait. Les larmes me montent automatiquement aux yeux. « Je suis vraiment désolée. J’espère que je ne vous ai pas ébouillanté. Laissez moi me faire pardonner en vous invitant. Que voulez-vous ? » Je dois m'acheter un nouveau latté et de toute façon c'est la moindre des choses de lui offrir, je regarde derrière moi, pour m’apercevoir que la file d’attente était tout aussi longue que tout à l’heure. Un soupire franchi ma gorge, mais c’est ma faute, je dois réparer mon erreur.
▬ the night breeze carries something sweet, a peach tree
Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 474 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
Maintenant que tes vêtements, un hoodie bleu foncé et des jeans, étaient tachés de liquide brûlant, tu te disais que ta journée ne pouvait pas aller plus mal, n’est-ce pas ? Il ne fallait pas lancer des défis à l’univers parce que ce dernier n’avait pas fini de t’envoyer des claques en plein visage. « Merde ! » Tu ne t’imaginais pas que la jeune femme allait sortir un mot comme cela de sa bouche, alors tu regrettas peut-être un peu de ne rien avoir dit à haute voix de tout ce qui avait résonné dans ta tête. Pourtant, les mots avaient fusé dans ton esprit, mais c’était avant de poser les yeux sur . En fait, la surprise passée, tu remarquas qu’elle était très jolie. Tu n’étais pas assez pris dans tes problèmes pour ne pas voir la beauté du monde. Et tu ne la voyais pas qu’au travers de ton appareil photo. Tu avais des yeux quand même! La jeune femme s’était raccrochée à ton bras pour ne pas tomber à la renverse. Toi, tu n’aurais pas bougé malgré la force de l’impact et heureusement, parce que tu l’aurais probablement écrasé sous ton poids. « Oh mon dieu, pardonne-moi. » Tu ne réagis pas sur le coup lorsqu’elle se met à éponger le liquide en se confondant en excuse. Cela pouvait arriver à tout le monde, mais il fallait que ça tombe sur une journée qui t’était particulièrement désagréable. En fait, tout ce que tu voyais, c’était les larmes qui semblaient lui monter aux yeux. Tu étais particulièrement sensible à la douleur des autres. Habituellement, la tristesse était plus facile à voir pour toi au travers de ton appareil, mais là, c’était évident. « Je suis vraiment désolée. J’espère que je ne vous ai pas ébouillanté. Laissez moi me faire pardonner en vous invitant. Que voulez-vous ? » - « ne t’en fais pas avec ça. j’ai toujours froid de toute façon, alors involontairement tu m’as aidé en me réchauffant? » Il était difficile pour toi de voir le bon côté des choses, mais tu allais faire un effort pour cette inconnue. Tu ne savais pas pourquoi tu te préoccupais d’elle et de ses sentiments, mais tu ne voulais certainement pas la voir pleurer pour ça. Ce n’était qu’un café renversé de toute façon. Et elle n’avait pas brisé ton appareil. C’était cela le plus important. La tension dans ton corps s’amenuisait et le calme était revenu à l’extérieur, bien qu’à l’intérieur, la tristesse battait toujours son plein. Étonnamment, la colère t’avait fuit dès que tu avais posé ton regard sur elle. Il ne fallait pas chercher à comprendre. « je prendrais bien un café noir avec peut-être un expresso aussi. Ma journée ne se passe pas aussi bien que je le pensais. Mais ne t’en fais pas, ça n’a aucun rapport avec le latté que tu m’as renversé dessus. » Tu te dirigeas vers la file d’attente qui était incroyablement longue. Vous n’étiez visiblement pas sorti du bois. « je m’appelle Eli au fait et toi? » Tu n’étais pas du genre à vouvoyer les gens qui semblaient avoir ton âge, à moins que ce ne soit un client. Et elle n’en était pas un. « où allais-tu en mode aussi pressée? si je peux me permettre, bien sûr. » Autant discuté si vous en aviez pour un moment.
ÂGE : 28 ans (09.04.96) SURNOM : Aucun en liste, à vous de m'en trouver un STATUT : perdue entre deux eaux, bercée d'illusion et cherche à retrouver la raison. MÉTIER : Photographe professionelle et accessoirement voleuse de contrat LOGEMENT : #24 Sherwood Road, Toowong, dans une jolie petite maison cosy. Elle y héberge son frère en ce moment pour l'aider à traverser sa période difficile POSTS : 414 POINTS : 200
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Tu ne peux pas croire être aussi maladroite que ça. Déjà lorsque les événements ne concerne que toi-même, t’es capable d’accepter les maladresses, mais lorsque ça heurte d’autres personnes, c’est autre chose. Pauvre homme qui vient de se retrouver taché de ton délicieux latté aux épices d’automne. En ce moment même, tu aimerais pouvoir te rouler en boule dans un coin et y rester jusqu’à demain, mais au lieu de ça, tu dois garder la tête haute. T’entends les paroles de ton frère qui te dit de rester forte et fière, que rien n’arrive pour rien dans la vie. Et les paroles de Tulio qui te dit de foncer et de lui offrir sa recette pour t’excuser. Alors oui, tu te fonds en excuse, bien décider à passer par-dessus ton malaise. Ce qui ne t’empêche tout de même pas d’avoir les larmes aux yeux. « ne t’en fais pas avec ça. j’ai toujours froid de toute façon, alors involontairement tu m’as aidé en me réchauffant? » Pouffant à ses dires, tu ne te sentais tout de même pas mieux, même si tu dois avouer que tu le trouve charmant à réagir de la sorte. Lèvres pincées, regard rivé sur le sien, tu attends néanmoins ce qu’il allait prendre afin de pouvoir recommencer cette queue, espérant que cette fois, cela prendra moins de temps. Quoi que, passer un moment avec lui ne te dérange pas non plus, il a ce côté apaisant qui te plais bien. Mine de rien, tu viens tout juste de le rencontrer et tu te sens, si tu peux t’exprimer ainsi, en confiance avec lui. Bizarre de ressentir ça n’est-ce pas? Toi qui a de la difficulté à faire confiance à autrui. « je prendrais bien un café noir avec peut-être un expresso aussi. Ma journée ne se passe pas aussi bien que je le pensais. Mais ne t’en fais pas, ça n’a aucun rapport avec le latté que tu m’as renversé dessus. » Petit hochement de la tête, bien que légèrement timide, tu t’efforces de passer par-dessus ta gêne, lui offrant un sourire, même si ce dernier n’est peut-être pas aussi convainquant que tu ne le voudrais. Tu as de la difficulté à croire que ta gaffe n’a aucun lien avec sa mauvaise journée. « je m’appelle Eli au fait et toi? » « Miss Catastrophe! » dis-tu du tact au tact, secouant la tête, avant de reprendre. « Moi c’est Aubrey, je te dirais bien enchantée, mais j’aurais préféré te rencontrer dans d’autres circonstances. » Petit rire qui sort du fond de ta gorge, tu te fonds de nouveau de patience face à ce lineup. « Ce soir j’ai une soirée avec mon frère! » Toute suite, tes yeux s’illuminent, il peut voir d’ore et déjà qu’Asher a une très grande importance dans ta vie. « Je lui fais une recette spéciale que notre mère nous faisais lorsque nous étions jeunes. » Tu as tout en tête dans ta tête, tu sais exactement ce dont tu allais préparer, mais il te tardais également de pouvoir passer à autre chose. Il faut croire que vos deux journées laissent à désirer. « Mais… je voulais me dépêcher de rentrer chez moi, puisque tout comme toi, ma journée a été pourrie de chez pourrie. » Un nouveau soupire sort de ta cage thoracique. « On est pas sorti d’ici… La fille à la caisse est en formation. » Tu te retourne pour le regarder, relevant la tête « Qu’est-ce qui t’as fait passé une si mauvaise journée? Si je peux me permettre. » Il te l’as demandé, pourquoi ne pourrait-il pas te répondre en retour? Tu te surprends même à le regarder, plus attentivement que tu ne le devrais. Vite Aubrey, chasse ses pensées de ta tête! « Oh mais... t'es photographe ? » dis-tu remarquant son appareil dans son cou, passant du coq à l'âne aussi rapidement. Cette fois-ci, il s'agit d'un vrai sourire que tu abordes.
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ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 474 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
Bien malgré toi, tu réussis à lui extirper un éclat de rire. C’était bien mieux que les larmes en tout cas. Si elles avaient couler, tu n’aurais pas su quoi faire. Il était bien plus facile pour toi de gérer la colère. Cette bête assoiffée de sang te narguait constamment et elle était prête à bondir au moindre écart. Mais jamais au grand jamais, tu ne ferais de mal à une femme. Tu faisais étonnamment preuve d’une grande retenue. Parfois, c’était les mots qui fusaient à prime abord, pas les coups. Les larmes, la tristesse, c’était un flot continu. Tu y étais habitué, puisqu’elle t’habite depuis presque neuf ans à présent, mais chez autrui, tu ne peux pas la contenir. Tu n’as pas les bons mots, tu n’as pas le bon discours pour rassurer les autres. Tu n’aurais pas su quoi lui dire et le fait qu’elle t’était encore totalement inconnue n’aidait en rien la situation. Ce que tu savais, c’était qu’elle était visiblement maladroite, mais tu ne considérais pas cela comme un défaut pour le moment. Désormais en file d’attente, la brunette posa son regard sur le tien et sourit. Tu voyais bien qu’elle était timide. Toi, tu ne l’étais pas vraiment. Malgré tout, tu possédais une grande confiance en toi et tu ne laissais personne te brimer. Après tout, tu avais décidé depuis longtemps que tu n’avais absolument plus rien à perdre. Tu décidas de te présenter dans le but de pouvoir mettre un prénom sur le visage de la brunette. « Miss Catastrophe! » Les mots étaient sortis rapidement de sa bouche et un sourire amusé franchi tes lèvres. Tu n’eus pas le temps de répliquer qu’elle se présenta finalement comme il se devait. « Moi c’est Aubrey, je te dirais bien enchantée, mais j’aurais préféré te rencontrer dans d’autres circonstances. » Finalement, un rire sortit de sa bouche ce qui te fit sourire davantage. « Moi, je suis enchanté de faire ta connaissance. Si tu ne m'étais pas littéralement rentré dedans de manière aussi cavalière, je ne t’aurais probablement pas remarqué. Et je ne dis pas cela parce que tu ne sors pas du lot. En fait, c’est bien tout le contraire, je te trouve très jolie, mais c’est surtout parce que tu fais une tête de moins que moi… » Un air sérieux habitait désormais ton visage, mais à la fin de ton petit discours, tu ne pus t’empêcher de rire à ton tour. Elle était toute petite en comparaison de ta personne. Mais bon, du haut de ton un mètre quatre-vingt cinq, il était rare que les femmes étaient plus grandes que toi.
La conversation se poursuivit avec Aubrey qui te racontait la raison pour laquelle elle était aussi pressée. « Il est chanceux ce frère dis donc! » Toi, tu ne savais pas cuisiner et tu pourrais même faire brûler quelque chose dans le micro-onde, rien de moins. Tu ne relevas pas le fait qu’elle parlait de sa mère. En fait, tu fis comme si tu n’avais rien entendu. Tu ne voulais pas fuir la conversation, alors évidemment, tu espérais qu’elle ne la mentionne plus. « Mais… je voulais me dépêcher de rentrer chez moi, puisque tout comme toi, ma journée a été pourrie de chez pourrie. » - « oh je ne suis pas la première personne que tu secoues ainsi? je te taquine… bien sûr. » Elle te retourna la question sur ta journée pourrie ce qui te valu une grimace. Tu plantas tes ongles malgré toi dans la paume de ta main pour essayer de te calmer et ne rien montrer de ton désarroi. « disons que ça s’est mal passé avec la cliente que j'avais tout à l’heure. » L’envie de continuer de lui parler était heureusement plus forte que le malaise qui t’avait de nouveau envahi. « Oh mais... t'es photographe ? » Sans le vouloir, Aubrey t’offrait la porte de sortie dont tu avais besoin. Un réel sourire illumina ton regard lorsqu’elle te posa la question. Ça, c’était bien un sujet dont tu aimais tout particulièrement parler. « oui, je suis photographe professionnel. Si tu veux, je te montre un peu mon travail pendant qu’on attend? » Aubrey avait raison, la file n’avançait pas particulièrement rapidement, alors vous aviez le temps. Tu retiras le précieux appareil de ton cou et tu commenças à lui montrer les diverses photos des journées précédentes. Tu prenais bien soin de ne pas t’attarder sur les clichés des clients, mais plutôt ceux que tu prenais pour le plaisir. Il s’agissait là de l’art qui te rendait le plus fier.
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« Moi, je suis enchanté de faire ta connaissance. Si tu ne m'étais pas littéralement rentré dedans de manière aussi cavalière, je ne t’aurais probablement pas remarqué. Et je ne dis pas cela parce que tu ne sors pas du lot. En fait, c’est bien tout le contraire, je te trouve très jolie, mais c’est surtout parce que tu fais une tête de moins que moi… » Trop d’informations pour ton tout petit cerveau. Pas que tu n’es pas intelligente, mais il a le don de t’offusquer et de te complimenter à la fois. Par chance qu’il s’est rattrapé en te disant que tu fais une tête de moins que lui, parce que tu crois que ça t’aurait blessée. Tu ne sais pas si tu peux le croire, après tout vous ne vous connaissez pas. Il dit peut-être tout ce qu’il pense et il s’est aperçu que dire à une femme qu’il ne la remarquerait pas en temps normal, ça ne se fait pas ? Quoi qu’il en soit, les paroles ont été dites et on ne pouvait pas revenir en arrière. Tout ce que tu pouvais faire désormais est de lui laisser le bénéfice du doute. Tu te demandes pourquoi ça te fait tout de même un petit pincement au cœur tout ça. Tu n’es pas supposée te fier à ce que les autres penses de toi et voilà que cet inconnu te met dans un drôle d’état. Tu essayes néanmoins d’y faire abstraction, vous plaçant dans la file d’attente dans l’espoir d’être servis tôt. Pas trop tout de même, sachant que ce Eli exerce sur toi une drôle de sensation, si tu peux dire euphorique, qui te fait sentir bien, à l’aise.
La conversation va dans tous les sens, jusqu’à ce que tu voies accroché à son cou l’appareil photo qui illumine ton regard. Serait-ce un fabuleux hasard que vous avez la même passion ? Ça serait trop beau, puisque si tel est le cas, la conversation sera animée et enjouée. Et comme si la terre te donnait un coup de pouce avec cette nouvelle rencontre. « Oui, je suis photographe professionnel. Si tu veux, je te montre un peu mon travail pendant qu’on attend ? » À cette révélation, le petit sourire qui t’animait s’agrandit. Combien y avait-il de chance pour qu’il ait la même profession que toi ? Tu fis l’erreur de te coller plus à lui pour voir ses clichés. Erreur, puisqu’il sent divinement bon. Tu dois te faire violence pour ne pas te coller un peu plus que ça. « Oh, j’aime celle-ci, l’arrière-plan est si magnifique. Tu fais de la photographie depuis longtemps ? » Pendant que tu regardes ses photos, tu sors de ton sac, ton propre appareil, de façon très subtile, afin qu’il ne remarque pas tes gestes… Dès lors que tu vois une ouverture, sans qu’il puisse dire quoi que ce soit, tu prends un cliché de lui, souriant de toutes tes dents. Tu aimes les effets de surprises que tu peux procurer aux gens. Dans ce temps, nous voyons la vraie personne. Cliché pris sur le vif, c’est meilleur qui soit. Ouais, tu es à l’aise en sa compagnie et ça paraît, sinon tu n’aurais jamais osé. Tu n’es pas en mesure de comprendre, par contre, la raison pour laquelle tu te sens si bien, à l’aise. « Je suis également photographe professionnelle à mon compte. » dis-tu en regardant l’image que donne ton appareil. « Wow! De toute beauté! » Tu venais de prendre cette photo aléatoirement, mais tu dois avouer que l’appareil photo aimait beaucoup Eli. Il est très photogénique. « Quelles sont tes sources d’inspiration dans ton travail ? » lui demandes-tu tout en lui montrant l’image que tu as fait de lui. Son regard est perçant, il a, selon toi, une certaine aura de mystère que tu aimerais percer à jour. Si tu regardes un peu plus son visage, tu as l’impression qu’il fait preuve d’une grande souffrance intérieure, mais tu ne saurais dire de quoi il s’agit exactement. Oui, ce Eli te donne plusieurs émotions, toutes aussi vraies les unes des autres et ça te plaît. Si les astres te donnent cette chance, tu aimerais bien en apprendre plus sur cette fabuleuse personne qui se tient à tes côtés, aujourd’hui.
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ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 474 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
Tu étais visiblement maladroit dans les mots que tu employais. Il n’y avait pas d’insulte dans ce que tu disais. Il s’agissait plutôt d’un compliment, mais tu ne réalises pas qu’en fait cela peut être mal perçu. T’es un mec après tout. Il t’était difficile d’interpréter les émotions d’autrui, et pas juste celles des filles. Mais bon, le sujet tourna finalement vers quelque chose qui te rendait plus bavard, c’est-à- dire la photographie. La petite brunette sembla aussi bien plus à l’aise de changer de sujet, alors tout était parfait, non? Dans tous les cas, elle était vachement jolie avec l’enthousiasme dont elle fit preuve lorsque tu lui mentionnes que tu es photographe professionnel et que si elle voulait tu pouvais lui montrer ton travail. Après tout, tu avais désormais du temps à tuer dans cette file d’attente et la compagnie semblait être intéressante. Ton appareil à présent dans tes mains, tu fis défiler quelques photos pour lui montrer un peu ce que tu faisais. « Oh, j’aime celle-ci, l’arrière-plan est si magnifique. Tu fais de la photographie depuis longtemps ? » Un sourire, un vrai, apparaît sur tes lèvres. Mais parler de ta passion voulait aussi dire de parler de ta mère, mais tu n’allais rien lui dire par rapport à son état actuel. Tu n’en avais pas envie et tu n’avais aucune envie de voir le sourire d’Aubrey disparaître. Elle était un petit vent de fraîcheur dans ta journée. « on m’a offert mon premier appareil à l’âge de douze ans et je n’ai pas arrêté depuis. je l’ai d’ailleurs encore à la maison, mais c’est plus facile avec un appareil numérique pour les photos professionnelles. Mais rien ne remplace un bon appareil traditionnel. j’adore développer les photos manuellement. » Tu avais d’ailleurs une chambre noire à ton domicile et personne n’avait le droit d’y entrer sauf toi. Il s’agissait de ton petit sanctuaire de paix.
À ta plus grande surprise, alors que tu étais concentré sur les clichés qui défilaient, la brunette te prit elle-même en photo. Elle avait également sorti un appareil photo de son sac. Une photographe elle aussi? « hey! » Tu semblas brièvement offusqué, mais ce n’était véritablement pas le cas. Un sourire amusé éclaira tes lèvres. Cela ne te dérangeait pas qu’on te prenne en photo, même si personnellement, tu te disais que tu n’avais rien d’intéressant. Bien sûr, tu t’étais déjà pris en photo et tu avais eu comme projet de dessiner à partir de ces portraits. Ces croquis étaient à quelque part dans la pagaille qui régnait chez toi. Ils étaient tous en noir et blanc et on aurait pu appeler cette série tristesse. Tu ne les avais montrées à personne. « Je suis également photographe professionnelle à mon compte. » Un air surpris s’afficha sur ton visage. Les chances que ça pouvait arriver étaient pas nulles, mais proches. Le hasard faisait quand même bien les choses. « tu as un studio? » Curieux de nature, tu te demandais si ce n’était pas elle qui récoltait les contrats que tu ratais. Mais cette pensée, tu l’effaças de ton esprit. Même si c’était le cas, était-ce grave? bonne question. « Wow! De toute beauté! » - « tu trouves? Moi, je crois que tu risques plus de briser ton appareil si ma photo reste dessus? je peux voir? » Non, tu n’allais pas lui demander de l’effacer de ton appareil. Ça ne t’avait même pas traversé l’esprit. « tu prends aussi des photos des gens à leur insu? Je fais pareil. Je trouve que ça rend vachement mieux que les photos où ils prennent la pose. Mais je prends des photos de tout et n’importe quoi, pas juste des gens. Je dois faire des photoshoots pour gagner ma vie, bien évidemment, mais mes photos préférées sont celles que je prend des gens qui n’en ont aucune idée. Ils ne savent pas à quel point ils peuvent être intéressants sans même le savoir… » Les seuls moments où tu t’accordais un moment de répit dans ton esprit malade, c’était en te préoccupant des autres. Il y avait tant à apprendre sur autrui au travers des clichés. Peut-être que même ces personnes ne savaient même pas ce qu’elles dégageaient. « je trouve que je vois mieux les gens au travers de mon appareil en fait. » Ils avaient tous une façade et elle s’effaçait lorsque tu les voyais au travers de l’objectif. Le monde était définitivement plus beau et c’était ton souhait au plus profond de toi, créer un univers bien plus joli que ce qu’il était en réalité. « est-ce que je pourrais voir tes photos moi aussi? et si l’idée t’en dit aussi à un moment, je pourrais te montrer mes photos préférées? » Ces dernières n’étaient pas dans cet appareil, mais bien chez toi accroché aux murs de l’appartement. Elles n’étaient pas affichées par prétention, mais bien parce que tu avais jugé que les individus anonymes méritaient d’être vu par d’autres yeux que les tiens. D’ailleurs, tu te surpris même à vouloir la voir, elle au travers de ton appareil, mais elle avait les yeux constamment posés sur toi et la prendre comme ça en photo ne transposerait probablement pas la délicatesse qui se dégageait de sa personne.
ÂGE : 28 ans (09.04.96) SURNOM : Aucun en liste, à vous de m'en trouver un STATUT : perdue entre deux eaux, bercée d'illusion et cherche à retrouver la raison. MÉTIER : Photographe professionelle et accessoirement voleuse de contrat LOGEMENT : #24 Sherwood Road, Toowong, dans une jolie petite maison cosy. Elle y héberge son frère en ce moment pour l'aider à traverser sa période difficile POSTS : 414 POINTS : 200
TW IN RP : anxiété, il peut y avoir des allusions à la drogue (soft) au sexe, à certains mots qui peuvent heurter. mais n'hésitez pas à venir me voir s'il y a un souci. TW IRL : En général, je joue absolument tout, il ne suffit que d'en discuter au préalable. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : crimson RPs EN COURS : Asher #1 • You're the most important person in my life. The only one that knows me as if you knitted me. I'll always be there for you, you can count on me.
Mikael • This is a forbidden story. The stars are against us. We've never met, and yet you haunt my thoughts.
Pendue à ses lèvres, les mots délicats, voire maladroits employés plus tôt chassés de ton esprit, tu l’écoutes avec un très grand intérêt pour lui et de sa passion pour la photographie. C’est bizarre de dire que le destin l’a placé sur ta route. C’est impossible que ça ne soit pas relié à quelque chose te concernant. Tu n’as aucun mal à dire ou penser qu’il prendra une très grande place dans ta vie. En date d’aujourd’hui, tu ne saurais déterminer la façon, mais cela t’importe peu pour l’instant. Tu ne le connais à peine, mais il te tarde de le découvrir davantage. Tu as tendance à dire que tu veux tout connaître de lui. Ses joies, ses peines, ses moments de rages, un peu comme ce que tu as cru apercevoir dans son visage lorsque tu as eu le culot de lui renverser ton latté sur ses vêtements quelques minutes auparavant. Mine de rien, tu ne comprends pas l’ampleur de l’effet qu’il te fait, alors que ça ne fait même pas encore une heure que tu connais son existence.
Quoi qu’il en soit, il continue de te montrer ses clichés, que tu regardes avec un grand plaisir, jusqu’à ce qu’une bulle passe dans ton cerveau et que tu prennes une photo de lui sur le vif. Il semble surpris en premier lieu, mais se détend peu à peu lorsque tu lui annonce être également photographe professionnel. « Non, je n’ai pas de studio, mais ça serait dans mes plans sur le long terme. Je peine même à trouver des chambres noires pour développer le tout. » lui racontes-tu en riant malgré tout. Ce qui était dommage en quelque sorte puisque tu peines, par moment, à afficher la beauté des gens, comme le montre ce cliché pris sans qu’il ne s’en attende. « Arrête ça ! » dis-tu d’une voix grave, lui donnant un léger coup de poing sur son épaule, sans force bien évidemment. De toute façon avec la force que tu as, tu ne lui aurais aucunement fait mal. « Ne dis pas de telles choses fausses. Regarde-toi, t’es magnifique ! » Une teinte rosée s’est certainement invité sur tes pommettes à ces mots. Tu lui tends ton appareil pour qu'il le regarde lui-même. Si lui te regarde attentivement, il pourra voir le pétillement dans tes prunelles. Signe que tu dis strictement la vérité. Tu le trouves, en réalité, beaucoup plus que magnifique. Il est totalement ton genre d’homme. « Je photographie les gens, les animaux, même les paysages. Les feuilles qui tombent des arbres en automne, le courant des court d’eau, la faune… Tout ce qui m’inspire en fait. » Tandis que toute l’explication qu’il t’a donnée par la suite, tu approuves à cent dix pourcents. Tu n’aurais pas dit mieux toi-même. Vous avez vraiment la même vision des choses et tu lui fais bien comprendre d’un hochement de tête.
Un léger mouvement de recul se fait ressentir lorsqu’il te demande de voir tes photos. Ça ne te dérange pas, bien au contraire, mais pour toi c’est assez personnel et tu n’es pas certaine de toi. Tu as toujours eu cette crainte au ventre que ton travail n’est pas apprécié. Évidemment, ton talent est admirable, tu es au courant de tout ça, mais il est tellement important pour toi qu’à toutes les fois où il est temps à d’autres de voir ou juger ce que tu fais, l’anxiété s’invite à la partie, sans que tu ne demandes quoi que ce soit. « Hum oui bien sûr ! Si tu veux. » dis-tu sans grande conviction. Il re faut un grand courage pour le lui permettre, mais il faut au début à tout si tu veux t’ouvrir aux autres et si tu veux exposer tes œuvres à un moment donné. Autant qu’il te donne une opinion franche de ce que tu fais. « Tu peux regarder, ils sont tous dans mon appareil pour le moment. Et oui, ça serait avec plaisir de voir tes préférées. Ce n’est pas tous les jours que je rencontre quelqu’un de passionnée en photographie. » Cette fois, ta voix était beaucoup plus sereine, beaucoup plus joyeuse. « Elles se retrouvent où tes préférées ? » Certainement pas dans son appareil, sinon il t’aurait proposé directement de tout te montrer. Ce qui veut dire que vous allez vous revoir ? Un certain sentiment d’euphorie se fait ressentir en toi. Il te fait plus d’effet qu’il ne le devrait et ça fait assez peur. Tu as tendance à trop t’attacher, beaucoup trop rapidement aux autres, mais Eli… vous avez des points communs. On dirait que ton ressentiment est amplifié. Au même moment, un autre membre du personnel vient aider la nouvelle hôtesse, réduisant le temps que vous passerez ensemble. « Nous sommes les prochains. Je te donne mon numéro de téléphone ? J’aimerais bien te revoir. » Après tout il le faudra s’il veut te montrer ses photographies préférées. « Et je pourrai profiter de ce moment pour te présenter mon portefolio, si ça t’intéresse. » Tu lui offre un sourire et commande vos boissons, en faisant très attention pour ne pas lui renverser dessus une nouvelle fois. Ça serait fâcheux.
▬ the night breeze carries something sweet, a peach tree
Eli Caldwell
le reflet des âmes
ÂGE : vingt-huit ans, mais tu possèdes la maturité d'un ado. (21/02/1996) SURNOM : il serait surprenant que vous trouviez plus court que eli, mais vous pouvez toujours essayé? STATUT : célibataire, mais tu te surprend à vouloir enfin laisser entrer la lumière. MÉTIER : photographe professionnel, mais qui rate souvent des contrats pour cause de retard. LOGEMENT : 85 kurilpa street, west end. POSTS : 474 POINTS : 680
TW IN RP : abandon (père), maladie/soins de fin de vie (mère), dépression, blessure auto-infligée (n'est pas à proprement parlé de l'auto-mutilation) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mesure 1,85 • aime faire du sport (course, boxe & haltères) • fan des jeux vidéos (zombies. surtout) • ne sait pas cuisiner • s'occupe souvent de sa mère malade • fredonne toujours des chansons et porte un écouteur à son oreille en plus de son appareil photo à son cou ou dans son sac • ne sait pas nager • toujours en retard • constamment fatigué • dépressif, colérique, mais possède un cœur d'or. il sourit d'ailleurs beaucoup malgré tous ses malheurs. et malgré son immaturité flagrante, on peut toujours compter sur lui.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : eli est immature en #669999 (et il écrit à la 2e personne ;) ) RPs EN COURS : elorah#2 • so open your eyes and see the way our horizons meet, all of the lights will lead into the night with me. i know these scars will bleed but both of our hearts believe all of these stars will guide us home.
Parler de tes passions était toujours quelque chose qui ravivait la vie en toi. Tu pouvais parler pendant des heures des différentes techniques que tu employais que ce soit pour le développement des photos ou bien même des différents accessoires que tu utilisais pour améliorer tes clichés. Pour ce qui était de ta technique de photographie en tant que tel, tu te fiais principalement à ton instinct. Il ne t’avait jamais déçu et à vrai dire, même si tu avais pris des cours pour te perfectionner, il n’y avait rien qui expliquait ce talent naturel chez toi. Et ce n’était aucunement dans le but de te vanter que tu pensais ainsi. Chaque individu possédait un talent quelconque, il suffisait de le trouver et ensuite, de l’exploiter. Tu avais eu de la chance de trouver ta passion aussi jeune. Tu avais aussi eu de la chance que ta mère vise juste. Elle te connaissait si bien. Votre lien était si spécial. C’était encore plus déchirant de savoir que plus jamais tu ne pourrais lui parler de tes journées ou des rencontres que tu faisais. Allais-tu lui parler de cette rencontre fortuite avec Aubrey? Tu ne savais pas encore, mais il était évident que tu n’allais pas l’oublier. Elle possédait un charme indéniable et elle semblait très attachante. « Non, je n’ai pas de studio, mais ça serait dans mes plans sur le long terme. Je peine même à trouver des chambres noires pour développer le tout. » - « oh, moi j’ai réglé le problème, j’en ai une chez moi. » Les chambres noires étaient essentielles dans leur métier, surtout lorsqu’ils utilisaient encore les bonnes vieilles méthodes. Peut-être qu’un jour, tu l’autoriserais à la voir. Il n’y avait que les photographes qui pouvaient s’intéresser aux méthodes de développement et les seuls également à avoir du respect pour le matériel. Voilà pourquoi personne n’était autorisé à entrer dans cette pièce sans ton autorisation. À présent, il n’y avait que ta meilleure amie dans la coloc, alors c’était désormais plus facile de gérer.
« Arrête ça ! » s’exclâma la jeune femme lorsque tu lui mentionnas qu’elle risquait fort bien de briser son appareil si ton visage y restait imprégné. Tu fus surpris de sa réaction parce que tu avais dit cela sans réelles raisons et tu n’avais aucune tendance à te déprécier. Mais des cernes et une pilosité de quelques jours n’étaient en rien charmant selon ton point de vue. « Ne dis pas de telles choses fausses. Regarde-toi, t’es magnifique ! » Tu apprécias le compliment et un sourire étira tes lèvres. « je vais devoir te croire sur parole jolie Aubrey, parce que là, je ne vois que mes cernes. » Tu eus envie de rire un peu et le ton que tu avais employé était amusé. D’ailleurs, tu avais bien besoin de ton café parce que tu ne voulais absolument pas lui faire l’affront de bailler devant elle, parce qu’elle était tout sauf inintéressante. Tu ne la connaissais que depuis peu, mais tu avais envie de la connaître. Votre passion commune pour la photo était un gros plus et elle était tout particulièrement attachante surtout lorsqu’elle rougissait. Tu avais cru d’ailleurs que c’était ce qui s’était produit quelques instants auparavant, mais tu n’étais pas indélicat. Tu n’allais pas la taquiner sur ce point pour la rendre mal à l’aise. « Je photographie les gens, les animaux, même les paysages. Les feuilles qui tombent des arbres en automne, le courant des cours d’eau, la faune… Tout ce qui m’inspire en fait. » Cela représentait des sujets fort variés et cela était très intéressant. Elle sembla d’ailleurs approuvée ta façon de faire concernant les photos prises sur le vif. Tu lui fis d’ailleurs un grand sourire, qui ne sonnait pas faux pour une fois.
Ce dernier s’effaça légèrement de tes lèvres lorsque tu sentis un mouvement de recul de sa part lorsque tu lui demandas si tu pouvais à ton tour voir son travail. Peut-être était-elle gênée? Ce n’était pas tout le monde qui voulait constamment exposer au grand jour leur travail personnel. Il y avait en effet certains de tes projets que tu gardais sous silence parce que justement ils étaient bien trop personnels. « Hum oui bien sûr ! Si tu veux. » Tu ne pus t’empêcher d’entendre le manque de conviction dans sa voix. Tu la regardas quelques secondes sans rien dire, puis elle se décida à te tendre son appareil pour que tu puisses regarder. Tu commenças à parcourir les différentes photos et il était plus qu’évident qu’elle aussi possédait un grand talent. Après quelques instants, tu revins un peu en arrière pour lui montrer celle que tu préférais dans le lot. « j’aime tout particulièrement celle-ci. On voit vraiment l’émotion transparaître autant au niveau d visage du sujet que dans le décor. Mais honnêtement, tout ton travail me semble parfait! je suis impressionné! » Et tu ne disais pas cela pour lui faire plaisir. Tu étais sincère en disant ces quelques mots. « Et oui, ça serait avec plaisir de voir tes préférées. Ce n’est pas tous les jours que je rencontre quelqu’un de passionnée en photographie. » Tu lui fis un sourire. « elles sont chez moi. je ne les trimballe pas sur moi parce qu’elles sont exposées sur les murs de mon appartement. » Peut-être que tu pourrais l’y inviter à un moment, mais pas aujourd’hui. Elle avait bien à faire et toi, tu avais besoin de ranger ton bordel avant que quelqu’un n’y mette les pieds. Quoi que ta meilleure amie avait sûrement passé derrière toi entre temps, mais il ne fallait pas trop la prendre pour acquis. Elle pourrait bien te jouer un tour.
Tes idées s’éparpillaient déjà et que tu n’avais pas remarqué que la file avançait plus rapidement. « Nous sommes les prochains. Je te donne mon numéro de téléphone ? J’aimerais bien te revoir. » - « avec plaisir, je ne t’aurais pas laissé te sauver sans pouvoir prendre de tes nouvelles. » Tu rangeas ton appareil, puis tu sortis ton téléphone pour rentrer son contact. Sans qu’elle s’en aperçoive tu pris une photo d’elle juste après pour ne pas oublier son sourire, mais tu ne lui montras pas. Tu ne souhaitais pas la gêner, bien au contraire. « Et je pourrai profiter de ce moment pour te présenter mon portefolio, si ça t’intéresse. » - « j’en serai ravi! » Leur tour arriva enfin et breuvage désormais en mains, tu te tournas vers elle. « j’ai été ravi de faire ta connaissance jolie Aubrey. Je te souhaite une belle soirée en compagnie de ton frère. Profite en bien! » Prenant bien soin de ne pas être l’instigateur d’un dégât potentiel à ton tour, tu viens lui déposer un baiser sur sa joue avant de t’éloigner. « à bientôt…. » Un dernier sourire, puis un clin d'œil et te voilà disparu dans les rues de Brisbane pour aller récupérer ta voiture. La fureur dont tu étais pris quelques instants auparavant avait complètement disparu. Tu te surpris même à être un peu plus serein, un sentiment que tu n’avais pas connu depuis fort longtemps.