ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
La journée a été tranquille, en prévision d'une soirée plus agitée; presque un jour de repos, si l'on considère l'unique danse lascive proposée à un ponte d'elle ne-sait-quelle organisation, et les quelques heures passées comme une "fille normale", bouquinant dans son bain, un verre de blanc à la main. Oui, en somme, c'était une douce journée.
La somme, d'ailleurs, c'est bien là ce qui a motivé Danaë à accepter le rendez-vous, sorte de fête privée pour gentleman plein aux as. Son intérêt s'est arrêté sur le chiffre, un cadrat aux multiples zéros, suffisant pour qu'elle opine sans poser de questions. (elle aurait dû). La perche songeait à une sorte de numéro privé, le clou du spectacle, la cerise sur le gâteau; un illustre inconnu s'offrant ses faveurs pour terminer en beauté, à qui elle donnerait la sensation d'être tout puissant. Bien apprêtée, la belle doit commander un taxi pour se rendre dans une villa, aux abords de la ville; l'espace est grandiose, le chemin s'illumine devant sa silhouette, tandis qu'elle se déhanche jusqu'à l'entrée où l'attend son hôte.
Tout est digne des meilleurs clients de Raelyn : l'environnement, la prestance du costard, un sourire éclatant et une atmosphère propice à l'ivresse, cette opulence qui atténue légèrement le sentiment luxurieux, la décadence qui se profile devant leurs ombres viciées. Il la salue, glisse naturellement une main à sa hanche, là où la courbe de sa fesse se fait pressentir; aventureux sans être trop intrusif, quoique déjà confiant et rapace sur les bords. Elle se contente de suivre, découvre des pièces plus grandes les unes que les autres; une piscine d'intérieur, jointe à la remarque qu'elle pourrait - évidemment - s'y baigner nue, pour le plaisir de son regard carnassier.
Une porte s'ouvre sur une sorte d'appartement privé. Là, le sentiment change : une certaine tension s'immisce entre ses reins, accentuée par la brûlure d'une main étrangère; trois hommes sont présents, deux sont absorbés par une console de jeu quand le troisième, déjà torse nu, fume nonchalamment un cigare. - Effectivement, c'est d'la pute de premier choix que tu ramènes. commente ce dernier, se redressant avant de s'approcher. Le courant ne passe pas, le malaise se fait pressentir chez Danaë, qui ressert instinctivement les jambes, et se crispe plus que de raison. Le jeu est mis sur pause; Fifa ne peut rien contre les courbes graciles et aisément monnayées d'une donzelle à son image. - J'espère que sa beauté est proportionnelle à ses talents.. m'en faut pour mon argent ! faites comme si je n'étais pas là, merci... songe-t-elle, peu encline à adhérer au jeu, lorsque les vautours se mettent à battre des ailes à son côté. - Enlève ta robe, qu'on voit c'que t'as là-dessous ! pas franchement le temps d'obtempérer, d'autres mains agissent pour elle : guêpière et talons hauts, de quoi tirer une salve de sifflets contentés. Cette fois, elle a compris, et ce pseudo-argent facile dont elle rêvait se dissout dans l'acide réalité; on a mis le prix pour la faire tourner, pour l'utiliser comme une poupée, alors qu'elle n'a jamais accepté de plan à plusieurs. L'instinct lui dégote une réplique, avant que quiconque n'ait eu le temps de la mettre à genoux, ou de lui donner un ordre qu'elle ne pourrait refuser. - J'peux utiliser vos toilettes ? J'aimerais arranger un ou deux trucs.. Histoire que tout soit parfait. un sourire timide, consciente qu'un "non" lui ferait regretter d'avoir naïvement accepté le contrat.
Soulagement, un signe de la main indique la pièce adjacente. Elle y file en vitesse, son sac à main fermement agrippé de ses doigts. La porte fermée, le verrou enclenché, un accessoire de bain placé dans l'interstice - porte-sol - et Danaë dégaine son portable, pianotant à l'arrache jusqu'à composer le numéro de sa mentor. Raelyn, décroche. S'il te plait, décroche. Les secondes sont comptées, et chaque sonnerie est une torture; adossée à la fenêtre, prudemment ouverte, elle prie silencieusement pour entendre la voix de la blonde - sa seule option, l'infime barrière entre l'espoir et sa propre perdition.
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34323 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
Alors que nos lèvres dansent un tango lascif, je laisse mes bras glisser le long des épaules de l’homme tandis qu’il pose les siennes au creu de mes reins pour m’attirer contre lui. Le désir de - Jace ? Jackson ? Jaime ? quelque chose comme ça - devient une évidence, à l’instant où il presse mon bassin un peu plus proche du sien. Nos vêtements constituent une barrière qui, de toute évidence, l’incommode, puisqu’il cherche à présent et dans mon dos la fermeture éclair de ma robe moulante. Peu incline à le faire à sa place - un homme qui ne parvient pas à déballer son cadeau le mérite-t-il vraiment ? - je sépare toutefois nos lèvres pour pivoter et lui présenter mon dos. Je dois admettre que le brun s’y prend merveilleusement bien, en atteste la chair de poule sur mes bras lorsque, de ses lèvres, il suit le tracé du dessin noir encré le long de ma colonne vertébrale tout en descendant la fermeture éclair de ma robe. La première sonnerie de mon téléphone portable, abandonnée dans mon sac à main sur le meuble de l’entrée depuis que nous sommes rentrés du bar où j’ai rencontré mon partenaire du soir, ne m’incommode pas assez pour que je lui prête la moindre attention. Surtout pas alors que l’homme s’est redressé et dévore à présent de baisers mon épaule, puis la courbe de mon cou en collant son torse nu - il s’est à présent débarrassé de sa chemise - sans mon dos.
Mais l’appelant insiste et la sonnerie produite par ce maudit appareil parvient enfin à me tirer de l’agréable moment que je partage avec un l’inconnu. « Je vais l’éteindre. » Que je lui glisse dans un chuchotement, le timbre empreint de désir, en me dirigeant finalement vers l’entrée. Sauf qu’une fois que je tire le portable de mon sac à main, j’aperçois l’identité de l’appelant.
Danaë ne m’appelle pas pour discuter futilités. Il n’y a personne qui le fasse, hormis peut-être Alec mais qui sais toutefois qu’à partir d’une certaine heure il vaut mieux éviter de me déranger, et elle ne le ferait certainement pas alors que la soirée est plus qu’entamée et a même laissé place à la nuit. Alors, bien que je pousse un soupir, je décroche toutefois avant de porter le téléphone à mon oreille. Derrière moi, le brun m’a rejointe et glisse à présent ses doigts sous la robe ouverte mon caresser mes flancs en embrassant ma nuque. « J’espère que tu as une bonne raison de m’appeler. » A cette heure. Ou non, de m’appeler tout court. La jeune escort n’est pas auprès de l’un de mes "contacts" ce soir. Autrement dit, elle ne travaille pas pour moi et je prie tous ces dieux en lesquels je ne crois pas, pour elle, pour qu’elle ait une bonne raison de me déranger.
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Sam 2 Nov 2024 - 18:53, édité 3 fois
Danaë Lescaut
la petite mort
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
Quand apprendra-t-elle ? Quand cessera-t-elle de courir après l'argent ? Peut-être demain, si cette nuit ne la voit pas franchir le Styx avec Charon. Trompée par l'opulence, par le cadre à l'allure d'idylle, sa méfiance usuelle s'est gentiment étiolée, et le piège n'a pas manqué une occasion de venir l'enlacer. Danaë la naïve, fourvoyée par quelques billets de banque, par une construction mentale moins dégradante de son travail, alors que la réalité lui pète à la gueule dans toute sa laideur. La salle de bain sera bientôt son corbillard, à défaut de soutien extérieur. Raelyn est l'unique gardienne du monde des morts, qui peut encore accrocher sa main et faire mentir le sablier. Elle ne l'appelle jamais, se contente en général de répondre à ses demandes de rendez-vous, et de pointer à l'horaire et au lieu indiqués par message.
Répondeur. Répondeur.Répondeur.Décroche Raelyn, s'il te plait.Décroche, décroche. Danaë tenterait presque de se plier en vingt-cinq pour se glisser dans la petite poubelle du lavabo, pourvu qu'on lui foute la paix et qu'on la laisse repartir. Sa silhouette, dans le miroir dévoilée, est une ode pathétique, un poème scindé entre pitié et dépravation. Elle a besoin d'une clope, d'un joint, d'une bouteille d'alcool, ou d'une pilule pour s'endormir, pour ne pas sentir ce que les trois hommes s'apprêtent à lui faire. Réponds, je t'en supplie. Fredonne-t-elle dans sa tête, crispant ses phalanges sur le téléphone, alors qu'enfin, au bout du fil, tonne la voix de sa matrone. - j'suis dans la merde, Rae.. chuchote-t-elle, le souffle court, saccadé, jetant des coups d’œil par dessus son épaule pour vérifier la porte, scellée de visu. - j'ai b'soin que tu viennes me sortir d'un mauvais plan. ne pas pleurer, ne pas concéder les larmes de la panique au téléphone. - S'il te plait, s'il te plait, s'il te plait. Perds pas de temps, j'en ai pas beaucoup. et soudain, en concordance avec ses dires, une voix s'élève de l'autre côté; - t'as bientôt fini, beauté ? On est prêts à t'recevoir ! ça pue l'impatience, comme le poing qui s'abat sur la porte pour lui intimer de réagir. - Rae, Rae.. Ils vont m'violer, j'vais pas sortir vivante. Viens m'chercher, please please please.. les mains jointes entre le téléphone et sa tête pour couvrir sa voix, alors qu'une autre salve de frappes la fait sursauter. - Magne ton cul, pute ! il fera sauter les gonds avant qu'elle n'ait pu réagir, et Danaë ne peut que tenter d'acheter des secondes supplémentaires. - J'arrive..! Encore un peu de maquillage, et le tour sera joué..! mais sa voix a perdu de sa superbe, et l'homme est déjà prêt à venir la chercher lui-même. - Ouvre cette foutue porte, m'force pas à venir te traîner par les cheveux ! c'est l'instinct de survie qui pousse les doigts à pianoter une adresse, et à l'envoyer à sa mentor; elle n'est plus certaine d'entendre, ou d'être capable de focaliser son oreille sur le son de sa voix. Dans quelques minutes, ces hommes entreront, et finiront de briser son âme, en un millier d'éclats.
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Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34323 POINTS : 3130
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
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L’homme, j’aurais oublié son prénom demain. En revanche, j’aurais préféré avoir l’occasion de le connaître un peu plus intimement avant qu’il ne disparaisse de ma vie aussi vite qu’il y est entré. Comme tous ceux que je fréquente il ne représente pas grand-chose, il ne sert qu’à tromper la solitude, qu’à me donner l’impression que je vis, que j’ai quelque chose en dehors du Club qui me fait sécréter un peu d’endorphines. Mais il représentait une distraction plus intéressante ce soir que Danaë dont la voix chevrote au bout du téléphone. Aussi fragile qu’elle est insolente, la brune est intéressante de contradictions. Je me demande encore souvent si elle a ce qu’il faut dans le ventre pour perdurer dans l’univers froid et cruel des gangs, mais j’ignore même si elle vaut l’attention que je lui accorde, mais toute aussi sensible qu’elle soit, je ne l’ai jamais sentie si effrayée. Le mot est faible : au bout de la ligne, elle m’a même l’air terrorisée. Je ne suis pas empathique. Certains me qualifieraient même de cruelle. Mais bien que n’adhérant pas à 100% au mantra de Mitchell qui érige le Club en grande et même famille, je ne suis pas du genre à la laisser dans la merde dans laquelle elle s’est fichue, quelle qu’elle soit.
Et puis, Danaë est pratique. Loyale. Docile.
« J'suis dans la merde, Rae.. » Les doigts de ma main libre pincent l’arrête de mon nez tandis que je pousse un long et léger soupir. Je sais déjà que je vais devoir écourter mes plans qui impliquaient des préliminaires brûlant et une nuit agitée, pas une virée en voiture pour voler au secours d’un prostituée idiote alors que je suis plus qu’imbibée d’alcool. « J'ai b'soin que tu viennes me sortir d'un mauvais plan. » - « Qu’est-ce qu’il se passe ? » En guise de réponse, des coups sont portés sur une porte derrière elle. J’entends une voix masculine, mais je distingue mal les mots prononcés. Elle ne m’est pas familière, en tout cas. « S'il te plait, s'il te plait, s'il te plait. Perds pas de temps, j'en ai pas beaucoup. » - « Donne-moi le temps de m’organiser. » Ailleurs, je manque de la lucidité nécessaire réagir rapidement. Pour y parvenir, je m’écarte de mon compagnon du soir et pose une main à plat sur son torse, pour l’arrêter. Il fronce les sourcils, mais je ne me formalise ni de sa surprise, ni de son agacement. « Rae, Rae.. Ils vont m'violer, j'vais pas sortir vivante. Viens m'chercher, please please please… » Qu’elle exagère ou qu’elle n’exagère pas, la terreur dans sa voix n’a rien de simulée. Du reste, j’entends à nouveau des coups sur la porte, plus brutaux que les premiers, et des éclats de voix. Des insultes, il me semble. A présent, je crois même discerner plusieurs types. Je jure et amorce ma décuve alors que je semble saisir que la situation est préoccupante. « Tu es où ? » Je n’entends plus la voix de la brune. Seulement quelques cris de frayeurs étouffés alors que les coups sur la porte redoublent. « Dis-moi où tu es. » Je lâche un putain alors qu’un nouveau coup me fait sursauter. La communication coupe, et je détache mon téléphone de mon oreille. « On va devoir remettre ça. J’ai du boulot. » En parlant, je pianote un message à destination d’Eric, l’un des gros bras du Club qui fait souvent office pour moi de garde du corps, de bras armé et, accessoirement, de chauffeur. D’un geste du menton, j’enjoins avec fermeté l’homme – devenu intrus - à remonter la fermeture éclair de ma robe. Il s’exécute docilement et, rhabillée, j’arrange mes cheveux que je rejette en arrière. « Et toi, tu bouges. » Au cas où si ce n’était pas clair, il n’a plus rien à faire ici. Sourde à ses protestations, je l’abandonne pour traverser ma chambre et rejoindre mon dressing. J’enfile une veste en cuir ample par-dessus ma robe moulante noire, et je troque mes talons aiguilles pour une paire de bottes plus confortables. Je constate en regagnant le salon que le brun n’est plus là - parfait, il a compris - et qu’Eric d’une ponctualité remarquable puisque, déjà, mon téléphone vibre pour m’annoncer qu’il est en bas.
Alors que je m’installe à l’arrière du véhicule, je pianote du bout des doigts un message à l’intention de Danaë, je lui dis que j’arrive dans moins de dix minutes avant de donner la destination à l’imposante armoire à glace du Club : il ne peut pas m’arriver grand-chose à ses côtés. Il démarre dès que l’adresse passe la barrière de mes lèvres, et nous conduit jusqu’à l’hôtel indiqué par la brune pendant que je lui expose la situation : arrivés là-bas, il devra descendre avec moi et armé de préférence.
« La fille, elle est où ? » J’ai quitté la voiture à l’instant où Eric a coupé le moteur. L’homme de main a filé une correction à l’idiot qui nous a accueilli à l’entrée, qui a demandé si je venais pour rejoindre ma copine et, à présent, il tient deux autres abrutis en joue. Le propriétaire des lieux hurles des injures : pourtant, je sens à son aura qu’il est sur le point de se pisser dessus. « Je t’ai posé une question. Une question simple. » L’idiot numéro un ne répond pas. Une balle dans son genou rend en revanche l’idiot numéro deux plus bavard. Dès que j’ai l’information que je veux, je me dirige vers la pièce désignée par le rustre alors qu’Eric finit de leur faire passer l’envie de s’en reprendre à nouveau à la marchandise du Club. Pour moi, ils n’existent déjà plus. « Danaë ? » Du dos de ma main, je dépose un coup doux mais ferme contre le bois de la porte. « C’est moi. »
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Danaë Lescaut
la petite mort
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Du temps, elle n'en a pas. Ou trop peu. Tout juste assez pour se permettre de réfléchir, d'avoir un éclair de lucidité en partageant sa localisation à Raelyn. Du reste, l'issue probable semble sur le point de se concrétiser, puisque l'homme tente désormais d'enfoncer la porte. Les injures pleuvent autant que les coups sur le bois, mauvais remake de Shining en préparation. Danaë arrache le rideau de douche, qu'elle enroule grossièrement autour de ses hanches - comme si cela pouvait lui épargner quoi que ce soit, puis envoie valser son poing dans la glace du miroir, afin d'en obtenir un éclat. Pute, peut-être, mais pas moins sans ressources, et dangereuse. (ou du moins essaie-t-elle de s'en convaincre). Le plan est simple : elle visera les yeux, et les parties génitales. En réalité, seule l'adrénaline montée en flèche l'empêche de trembler, et tempère la crainte - euphémisme - qui étreint sa psyché.
Aussi brutalement qu'ils ont commencé, la pluie de coups cesse de s'abattre sur la porte. Le bois est légèrement gondolé, créant un interstice depuis lequel elle tente d'observer. Mais rien, elle n'entend rien. Les trois hommes semblent avoir quitté la pièce. Pas de quoi lui donner envie de sortir pour autant. A trop serrer son poignard de fortune, sa paume s'est ouverte, quelques gouttes carmines maculent le carrelage sous ses pieds; Naë s'en moque, tend l'oreille face au silence assourdissant, point assez audacieuse pour ouvrir et tenter de s'échapper. Soudain, un coup de feu. Pour toute réaction, la brune sursaute, manque de lâcher un cri. Puis, des bruits de pas, et le stress s'intensifie. Mille scénarios se jouent et se superposent dans sa tête; du moins bon au pire, jamais vers le meilleur. Pourtant, c'est bien la voix de Raelyn qui émerge de l'atmosphère pesante, un knock knock assuré et ô combien différent des lourdes frappes de ses assaillants. L'arme en main, sa vigilance n'en reste pas moins de mise et le loquet n'est déverrouillé qu'après avoir jeté un coup d’œil de l'autre côté. Tout à coup, la perche se sent affreusement conne, honteuse, d'avoir traîné Raelyn dans ce merdier, pour lui sauver les fesses d'un plan pourri. Honteuse, mais reconnaissante, malgré la distance qui sépare les deux femmes, et empêche la cadette d'étreindre son aînée. - Je.. Je suis désolée. le verre tombe à ses pieds, la main resserre ce qui lui sert de couverture ridicule, tandis que son regard peine à épouser celui de sa mentor. - ça s'reproduira pas. tente-t-elle d'affirmer, malgré son timbre à la stabilité douteuse; le corps trouve un temps durant le rebord de la baignoire, et une profonde inspiration est prise pour ne point sombrer, tant physiquement que psychiquement. Un instant, elle songe à lui demander de rester à son côté, de lui offrir une nuit en sécurité, avant de repenser à l'image qu'elle renvoie d'ores et déjà : celle d'une gamine effrayée, qui fait des choix douteux et manque de payer au prix fort les conséquences; une jouvencelle inconsciente, bien loin de l'image forte qu'elle tente de se construire. - Merci. finalement, à défaut de pouvoir dire les choses autrement, la simplicité est tout ce que sa tête parvient à dénicher pour faire valoir sa loyauté. Qu'a-t-elle d'autre à offrir, sinon son éternel dévouement ?
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Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34323 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
La scène a peut-être l’air surréaliste. Je n’ai jamais fait montre d’instinct de protection à l’égard de qui que ce soit, et encore moins d’instinct maternel. Il n’y a que peu de personnes pour lesquelles je me fais du souci, à vrai dire, il n’y en a qu’une : Alec, mais le grand brun est assez grand pour s’occuper de lui-même ainsi que pour savoir gérer ses problèmes. Pourtant, bien que je n’irai pas jusqu’à dire que je suis prise d’un élan de compassion et d’empathie envers la jeune femme, mon regard trahit qu’elle me fait un peu de peine, lorsque je le pose sur celle qui m’ouvre enfin la porte. Enveloppée dans un rideau de douche comme s’il l’aurait protégée en cas d’attaque, le bras qui brandit un morceau de verre et une lueur de détresse dans les yeux, elle me fait l’impression d’un oisillon brisé. Du sang coule le long de son avant-bras avant de venir s’écraser en gouttelettes sur le sol, et je l’observe un instant en restant silencieuse, sans trouver que dire. Je considère Danaë sous ma protection, d’une certaine façon. Et si personne ne s’en prend à quelqu’un sous ma protection sans prendre le risque d’avoir à faire à moi - question de crédibilité, ce n’est pas uniquement de ça qu’il s’agit. Je ne sais le contrôler : la brune possède une fragilité qui me projette plus d’une décennie en arrière et qui m’a poussée à répondre à son appel à l’aide. « Je.. Je suis désolée. » Ses doigts lâchent le morceau de verre. Il tombe à nos pieds et, les lèvres entrouvertes, je le suis du regard, interdite. « Ca s'reproduira pas. » Aussi surprenant que cela puisse paraître, je ne me préoccupe pas de ça pour l’instant. Avoir été dérangée alors que j’étais à l’aube d’une soirée prometteuse n’a pas la moindre importance, j’en connaîtrais d'autres. Je suis consciente de ce que ces types allaient lui faire, je n’ai jamais fermé les yeux devant la laideur du monde et du genre humain. Je suis contente d’avoir pu éviter un tel sort à une jeune femme imprudente et sotte peut-être, mais qui ne mérite pas ça. « Merci. » Sans aucun geste brusque, je m’anime finalement. Je tends la main pour attraper un ample peignoir de bain blanc qui sèche accroché au mur le plus proche de moi, avant de le tendre à Dani. Sa robe ne cache pas grand-chose et doit lui sembler bien trop impudique dans des circonstances telles que celles-là. « Viens. On va te sortir d’ici. » Du bout de mon escarpin, j’écarte le morceau de verre ensanglanté qu’elle a laissé choir, avant de reculer de quelques pas.
Dans la pièce d’à côté, Eric tient toujours les trois hommes en joues. Le malheureux dont la rotule est certainement fichue est au sol, ramassé sur lui-même et laisse échapper jurons et gémissements de douleur. Je les observe tous les trois d’un regard impavide, dégoûté par la faiblesse que leur soumission laisse transparaître. « Lequel ? » J’adresse ma question à la jeune femme. Lequel l’a traînée dans ce piège ? Lequel lui a fait le plus peur ? Lequel a tenté de lui faire du mal le premier ? Lequel hurlait derrière la porte au point que je l’entende dans le téléphone ? Elle choisira la question qu’elle veut, consciente - je l’espère pour elle - de ce que sa réponse entraînera. « Dans quelles pièces tu es allée ? » Il faudra toutes les nettoyer pour effacer sa présence, la mienne, celle du Club, de façon plus générale. « N’en oublie pas, c’est important. » L’endroit se transformera bientôt en scène de crime et je doute qu’elle veuille y être rattachée. Choisie Danaë, l’un de ces hommes se verra loger une balle dans le crâne en guise d’avertissement : on ne touche pas aux filles du Club. « C’est Steven qui t’a envoyé ici ? » Je ne la jugerai pas si elle effectuait une passe en solo et de son propre gré. J’ai besoin d’une réponse honnête pour déterminer le niveau d’emmerde dans lequel elle s’est fourré et avec quels arguments préparer sa défense, la mienne aussi, puisque cet enfoiré de maquereau avec une noix de cajou à la place de la cervelle est incapable de supporter l’idée qu’une femme - moi - soit bien plus capable de chuchoter à l’oreille de Mitch que lui. Il arguera que je m'immisce dans ses affaires, si j’abats son client. Toutefois, je me moque de ses attaques : voilà quatre ans qu’il tente de discréditer sans parvenir à rien d’autre qu’à avoir l’air d’être parfait idiot. Tout en posant mes questions à la brune, je balaye la pièce du regard. Il accroche une caméra de vidéosurveillance, que je pointe discrètement du menton à Eric. Les données stockées - si elle enregistre réellement, devront être effacées.
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Danaë Lescaut
la petite mort
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
La honte du travail, Danaë a toujours prétendu s'en être affranchie. Pourtant, c'est son propre reflet qu'elle évite lorsque, se redressant, elle enfile rapidement le peignoir que lui tend Raelyn. La petite pute aux atours immaculés entache le fin coton et le resserre prestement à sa taille, crispant les mâchoires pour refouler cet affreux tremblement qui fait valoir sa vulnérabilité. Je me déteste. Elle n'en dit rien. Tirer des conclusions, plus, des enseignements, est encore prématuré. Elle apprendra, à n'en point douter, plus tard, à tête reposée. Elle repensera à l'attrait des billets verts, à la fragrance illusoire d'une opulence superflue, qui aurait pu lui coûter ce qu'une vie ne saurait racheter : dignité, intimité. Quand a-t-elle pour la dernière fois juré se foutre de ces mots ? - Merci. d'être là, à l'image de Saint Martin offrant sa cape au mendiant, quoique Raelyn se passerait bien d'une telle comparaison.
Guère d'assurance dans la démarche féminine, lorsque celle-ci quitte son cachot d'infortune; le monde semble prêt à lui tomber dessus, une fontaine de dangers sur laquelle se promènent ses doigts, quémandant l'aumône et la brûlure. Trois hommes, vauriens surjouant l'élégance de pseudos gentleman, pourtant dévoués à briser une catin, tenus sous l'arme échafaud. Une punition de taille, faisant d'elle une complice, assassin indirect ayant sciemment désigné sa proie au Reaper, dont l'ombre glisse tour à tour sur leurs épaules affaissées. Qui ? - Lui. la vengeance est facile, laconique; un geste du menton placarde la cible sur le front du supplicié. Celui qu'elle jugea le plus intelligent, le plus sournois; une prestance qui avait valu à sa garde de s'échouer, et qui a peut-être coûté cher à d'autres avant elle. Une correction suffira aux autres, tant qu'elle est infligée aux précieux bijoux, cette indicible fierté masculine. - Seulement ces deux là. Je n'ai fait que passer dans les autres. affirme-t-elle, ne retrouvant qu'à peine de sa superbe. Danaë ignore les intentions de sa Matrone, et se contente de répondre avec toute l'honnêteté dont elle peut faire preuve. Ses plans sont toujours simples, et n'emploient (jamais) de pareilles complications; je veux partir, songe-t-elle, pour laisser derrière cette villa de malheur.
- Non.. C'était personnel. doit-elle reconnaitre, une grimace déformant sa commissure, tant elle se fustige d'avoir été si conne. - Il m'avait promis quatre fois le tarif habituel.. J'aurais dû voir venir l'affaire. après coup, cela lui semble tellement évident, comme une tâche acide au milieu d'une briquette dorée. - Est-ce qu'on peut partir ? J'veux.. Juste oublier tout ça. le regard, désabusé, ne descend qu'à peine sur celui de sa mentor, et se perd plutôt dans une brume hagarde; c'est un paysage qu'elle souhaite déserter, mais dont le souvenir persistera à vie dans sa mémoire.
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.