ÂGE : Trois décennies, mais l'temps c'est comme le vent; de vivre, y a qu'ça d'important. (Trente trois) SURNOM : Arsi', Sisi, Sinoé - don't call her, it's easier this way. STATUT : le radeau de la Méduse - de l'espoir à l'abandon, it comes and goes in waves. MÉTIER : illégitime d'Asclépios (medicine student - diagnostic crew, St Vincent's hospital), Hygie défibrille (volunteer paramedic) - bénévole au dispensaire, danseuse ponctuelle de cabaret et chapardeuse noctambule (l'aumône pour les pauvres) LOGEMENT : l'exil, la bohème (foyer social) - pourrait squatter ton canap' un d'ces quatre. POSTS : 127 POINTS : 40
TW IN RP : Langage vulgaire, instabilité émotionnelle, noyade, phénomènes climatiques meurtriers, gang & violence associée, meurtre, alzheimer, drogues (addiction), TCA, sexe, hallucinations.. Liste amenée à évoluer. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : se déplace essentiellement à moto, ou en rollers ☼ trimballe souvent une perruche sur son épaule, Harley ☼ possède un nécessaire de secours dans son sac.. et des outils d'effraction ☼ clean depuis plus de six mois, effrayée par l'idée d'replonger ☼ aime sauter dans les flaques d'eau ☼ rêve d'une belle histoire d'amour, mais demeure convaincue que personne ne saurait la supporter ☼ joue du piano, essentiellement dans les lieux publics ☼ multi-tatouages, option longues dreads et septum en prime ☼ active aux soupes populaires et évènements communautaires ☼DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
La sobriété est un choix que je fais chaque jour. Telle est la pancarte qui orne sa porte de chambre en foyer, et sur laquelle Arsinoé passe sa main avant de partir en vadrouille; au même titre qu'un athlète se motive chaque jour pour devenir meilleur, la bahamienne se discipline en conséquence pour éviter la rechute. Cette lutte, qu'elle pensait terminée, lui tord de nouveau les boyaux et, sans l'assistance de sa vie surbookée, Quinzel estime qu'elle aurait déjà perdu le fil de sa motivation. Quitter l'hôpital pour rejoindre les paramédics n'avait finalement rien d'un choix précipité, dénué de sens : la caserne teste régulièrement ses éléments et tout faux pas entraîne une suspension, ainsi qu'une sale note sur le dossier - en conséquence, elle doit rester droite dans ses bottes, pour le bien de son métier.
L'alcool et les joints sont les pires remèdes à la mélancolie, sans parler des antidouleurs qui rendent son corps pareil au coton, et lui donnent la sensation de planer; le cerveau est une vilaine frappe, qui n'a de cesse de lui rappeler les pernicieux bienfaits des petites pilules, d'autant plus pratiques qu'elles ne sont pratiquement pas testées dans les rapports toxicologiques. Problème supplémentaire du travail : la proximité des seringues et des petites fioles de substances magiques.
En permanence ce jour, Arsinoé dépose son patient aux urgences, plus touchée qu'elle ne veut l'admettre par un cas pourtant banal d'overdose; ce n'est ni le premier, ni le dernier auquel elle sera confrontée. Ce type qui va graviter en soins intensifs est le reflet du risque qu'elle encoure, ou le présage de son avenir, si le diablotin ne cesse de murmurer sur son épaule. J'veux pas finir comme lui, a-t-elle pensé durant le trajet; sans forcément croire aux signes du destin, Sinoé a tout de même pris cette intervention comme un fortuit avertissement, le rappel de tout ce qu'elle avait pu être, et de l'état dans lequel elle ne doit surtout pas revenir.
- J'te rejoins à l'ambu', j'vais faire le plein. déclare-t-elle à son acolyte, tenant entre ses doigts les produits utilisés qui seront échangés avec l'infirmière responsable de la pharmacie. Peut-être apportera-t-elle également des cafés, carburant nécessaire à tout bon spécialiste de l'urgence. Légèrement absorbée par sa réflexion, c'est une silhouette familière qui la tire de nouveau à la réalité. - Izan ? impossible de le rater, alors qu'elle l'a revu quelques semaines plus tôt. Elle se souvient lui avoir donné son numéro, mais pas d'avoir obtenu la moindre nouvelle depuis; Sinoé ne lui en tiendra pas rigueur, consciente qu'il a mille choses plus importantes à faire dans sa vie d'artiste émérite. Seulement, en parlant du pianiste.. Difficile de ne pas remarquer l'attelle qu'il porte au poignet. - Merde alors.. Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ? peu importe le reste, la santé restera toujours la grande priorité.
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such a beautiful mess
she's in the clouds, heavy and dark, waiting to fall like rain ¤ she was both love and storms of pain, all heartbeats and hurricanes .•°¤ Mags.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
Certains se lèvent en lisant la sobriété est un choix que je fais chaque jour et d’autres n’ont même pas (encore) conscience qu’il y a un choix à faire. Il n’a pas fait de choix, Izan. Il ne s’est pas levé avec l’idée de sombrer dans quelque chose qu’il ne comprend pas tellement, il n’a pas sciemment décidé qu’il allait se laisser happer dans un engrenage infernal qui se referme un peu plus sur son corps en le faisant maigrir et pâlir, mais il est forcé de composer avec cette relance incessante de son esprit qui réclame les médicaments qui ont une espérance de vie bien trop courte entre ses mains. Il chasse une descente par une autre montée, entretenant l’illusion de la paix intérieure qu’il gagne après chaque petite pilule blanche avalée, troquant la dureté de sa réalité pour le confort moelleux de son paradis artificiel, qui cache peut-être l’enfer qu’il va devoir affronter. À l’intérieur, il se noie dans ses travers, il suffoque sous ses méfaits, incapable de les enrayer, victime d’une douleur qu’il ne nomme pas encore ; la dépendance est invisible, elle se déguise sous la normalité et il est bien difficile de la débusquer. Peut-être faut-il être passé.e par ce terrain miné pour savoir où et comment mieux marcher.
Mais pour l’heure, c’est son poignet qui va avoir besoin de rééducation ; il le sait, il l’anticipe autant qu’il le redoute, nourri l’espoir fou que tout sera comment avant tout en craignant d’être à peine capable d’écarter les doigts sans trembler. Des aiguilles piquent son coeur quand il songe à sa carrière bafouée, relayée au rang de douloureuse incertitude. Et si ? Et s’il n’est plus en capacité de jouer comme autrefois ? Et s’il met des années à s’en remettre ? S’il n’est plus le pianiste, qui est-il ?
Les yeux perdus dans le vague, il attend l’heure de sa consultation en faisant les cent pas dans le hall, étant — pour une fois dans sa vie — largement en avance sur l’heure de son rendez-vous avec Helen. Elle va déterminer si oui ou non il peut enlever son attelle, et il ne sait pas trop ce qu’il espère entendre comment jugement, tout en sachant qu’il ne pourra pas rester indéfiniment dans le déni. ’’Izan ?’’ il entend son prénom à travers le brouhaha de la foule mais ne relève pas immédiatement les yeux vers la source de ce bruit, ayant besoin de quelques secondes supplémentaires — le temps que Arsinoé fende les quelques marcheurs pressés pour le rejoindre, alors que son bras valide surpasse son ventre pour en étreindre les noeuds. ‘’Arsi ?’’ s’il ne le formule pas aussi franchement, Izan aborde l’expression de celui qui se dit « qu’est-ce que tu fous là ? » sans oser le demander à voix haute. ’’Merde alors.. Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?’’ il suit la trajectoire de son regard mais n’avait pas besoin d’effectuer cette traversée visuelle pour savoir de quoi elle parle, et devant son poignet gauche immobilisé il hausse simplement ses épaules avec une nonchalance factice, feignant de ne pas être touché outre mesure par sa blessure. ’’C’est rien.’’ pour preuve, il effectue un geste de la main pour balayer la gravité de la fracture, préférant se concentrer sur la demoiselle que sur sa propre personne ’’Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu vas bien ?’’ l’inquiétude, l’envie de la protéger, de prendre soin d’elle. Toujours.
crédits/azianxpersuasionwrites
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Arsinoé Quinzel
la vilaine petite tornade
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La surprise est partagée, mais Izan a toujours le don de tomber à point nommé. Ses apparitions ne semblent jamais hasardeuses, et remettent le goût du "destin" dans les songes d'Arsinoé. Il est là, et le plaisir de revoir sa silhouette éclipse un tant soit peu les contours rutilants de ses illustres démons; c'est son pouvoir, son don inné, celui dont elle profitait jadis et qui lui donnerait presque, aujourd'hui, la sensation de rajeunir. Izan est la définition du sourire spontané qui orne les lippes, et vient éphémèrement embellir le visage de la bahamienne. - ça n'a pas l'air d'être "rien". ce n'est pas qu'un plâtre, sous-entend-elle, l'air de dire "et pour le piano ?" Il resterait excellent d'une main, à n'en pas douter, mais pour la scène internationale.. Qu'est-ce que cela signifie concrètement ? A-t-il basculé sur ce terrain que Quinzel connait si bien, elle qui rêvait d'être une étoile avant que sa cheville ne brise son ascension ? Elle n'en dira pas plus - pour l'instant, mais n'en pense pas moins; ce qui n'était qu'une question - avec une inquiétude tout à fait sincère, se transforme en script dramatique, le scénario qu'elle lui éviterait à tout prix, et qui verrait sa carrière compromise des suites d'une blessure.
- Oui oui, ça va. Je travaille ici. ses mains désignent rapidement l'uniforme, la petite radio portative portée en bandoulière jusqu'aux bottines d'intervention, pour un ensemble qui massacre parfaitement toute féminité. Elle va bien, c'est promis; elle fait de son mieux, elle le jure. - T'as besoin d'aide pour quelque chose ? en tant qu'ex-médecin, connaisseuse des urgences et d'une flopée de services internes, elle pourrait se le permettre; en tant qu'amie - ou peu importe le titre qu'ils puissent détenir, c'est d'autant plus important. - J'vais finir par croire qu'on est abonnés aux entrevues fortuites. le sourire est léger, atténue le questionnement sous-jacent : Izan avait mieux à faire, et elle le comprend. Toujours est-il que dans son monde en pleine bascule, alors qu'Elena s'est encore enfuie et qu'elle remet en question sa venue en Australie, Arsinoé peine à se redresser, et à se raccrocher aux connaissances de cette contrée. Les choses ne sont pas si différentes de Détroit et, quelque part, c'est bien ce qui l'inquiète. Elle ne sera jamais que la fille d'à côté. Une énième roue du carrosse; par delà toutes les substances, celle qui la boufferait vivante demeurera toujours le syndrome de l'imposteur. A killer.
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IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
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SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
’’ça n'a pas l'air d'être "rien’’ elle a raison, Arsi’, et il baisse un regard déconfit sur son poignet emmuré dans une attelle grise, qu’il espère voir déguerpir de son bras aujourd’hui même. Ce n’est pas rien. Ça ne peut pas être rien puisque ça fout en l’air toute sa vie, sa carrière, son avenir. Tous les projets qu’il nourrissait pour la suite de son parcours sur les plus grandes scènes internationales ; ne lui restent que les compositions qu’il pourra produire pour d’autres, mais la perspective de voir ses partitions jouées par autrui lui donne la nausée. ’’Ce n’est qu’un poignet cassé.’’ il le ravale en levant son menton pour pouvoir la regarder, d’un air plus doux, d’un oeil plus bavard : en silence, il lui intime tout ce qu’il n’est pas capable de dire. Ce n’est pas rien. C’est toute sa vie qui fout le camp. Il est foutu, il le sait. Il l’a su à l’instant où Sam lui a porté le coup fatal, il l’a su avant même d’arriver à l’hôpital, il l’a su avant même que Helen confirme l’odieux constat. Le diagnostic est tombé : sa carrière est condamnée.
Elle peut le comprendre, Arsi. Il sait qu’elle est parfaitement capable d’entendre et deviner à quel point il est dépassé par tout ça, à quel point la situation le ronge, lui qui n’avait que le piano comme échappatoire, comme façon d’exister, comme étendard. Et maintenant ?
Maintenant, il ravale sa salive en haussant mollement les épaules, l’air de dire n’en parlons plus, (je) ça n’en vaut pas la peine ’’Oui oui, ça va. Je travaille ici.’’ elle lui pardonnera sans doute l’air étonnée qu’il prend lorsque ces mots s’élèvent entre eux, mais il se souvient rapidement de ce qu’elle lui avait dit, l’autre nuit, sous les étoiles. Elle n’était pas sûre que ce soit une voie judicieuse à emprunter mais, force est de constater qu’elle a su trouver le chemin de sa décision. ’’Et ça te plait, pour l’instant ? Tu as arrêté de danser ?’’ curieux de savoir où elle en est, il incline son menton sur le côté en passant la pointe de sa langue sur ses lèvres, véritablement heureux de voir qu’elle a su se faire suffisamment confiance pour suivre son instinct ’’T'as besoin d'aide pour quelque chose ?’’ qu’elle le propose aussi généreusement le fait sourire — un vrai sourire, pas ces choses factices qu’il délivre pour qu’on le laisse tranquille, mais il secoue sa figure sur la négative en disant ’’Ça va, je connais le chemin. Et mon médecin est une amie… Tu la connais peut-être, elle s’appelle Helen ?’’ il devrait peut-être rajouter son nom de famille pour être plus précis mais l’idée ne lui vient même pas. ’’Tu bosses dans quel service, toi ?’’ elle a su rebondir, Arsi. Elle a mille et uns talents. Mais lui, privé de son piano, qu’est-ce qu’il peut faire ? ’’J'vais finir par croire qu'on est abonnés aux entrevues fortuites.’’ cette phrase a le mérite de le faire un peu rire, d’un élan coupable qui fait chuter sa nuque pour qu’il observe l’espace au sol entre leurs pieds ; cette fois, il aurait préféré que ce soit dans d’autres circonstances. ’’Ce serait plus simple si on se donnait rends-vous quelque part, pour se voir… D’ailleurs, t’as le temps de boire un truc ? Je suis en avance donc, si jamais…’’
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c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Arsinoé Quinzel
la vilaine petite tornade
ÂGE : Trois décennies, mais l'temps c'est comme le vent; de vivre, y a qu'ça d'important. (Trente trois) SURNOM : Arsi', Sisi, Sinoé - don't call her, it's easier this way. STATUT : le radeau de la Méduse - de l'espoir à l'abandon, it comes and goes in waves. MÉTIER : illégitime d'Asclépios (medicine student - diagnostic crew, St Vincent's hospital), Hygie défibrille (volunteer paramedic) - bénévole au dispensaire, danseuse ponctuelle de cabaret et chapardeuse noctambule (l'aumône pour les pauvres) LOGEMENT : l'exil, la bohème (foyer social) - pourrait squatter ton canap' un d'ces quatre. POSTS : 127 POINTS : 40
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C'est un mensonge dont elle ne tiendra pas rigueur. Peut-être a-t-il besoin de mentir, peut-être est-ce le déni, peut-être n'est-elle simplement pas la bonne personne avec qui partager ses angoisses, et tous les non-dits qu'un "poignet cassé" suppose. Arsinoé n'est pas magicienne, ni Oracle d'aucune sorte, mais jamais n'a-t-elle oublié la sensation de sa psyché en ébullition, après sa propre blessure; lorsque le corps est une composante, voir l'outil de travail à proprement parler, aucune plaie n'est à minimiser. Son regard confirme ce qu'il ne dit pas, tandis que le sien, empathique et désolé, lui assure qu'elle comprend. Elle a dû se réinventer, après être tombée du ciel - c'était sans doute plus facile pour un oiseau de son genre, qui flirte avec tous les horizons, sans fixer de limites à son ciel; elle ne connait pas de comparaison avec un virtuose tel qu'Izan, et ne peut donc qu'imaginer l'étendue de sa détresse. - Si seulement ce n'était qu'un poignet.. soupire-t-elle, sans s'attendre à une ouverture de son côté. Elle est là, c'est tout ce qui compte. Potentiellement au bon moment, selon les augures nuancés qui planent au dessus de leurs têtes.
Le faire parler serait une bonne stratégie, et c'est même là tout ce qui intéresse la bahamienne; réparer les autres, à défaut de s'aider soi-même, c'est complètement dans ses cordes. Mais elle fera la conversation, pourvu que cette dernière les ramène à l'épicentre du problème d'envergure : lui, sa carrière, ses espoirs, tout ce que sa tête renferme et qu'elle voudrait entendre, pour ne pas l'y laisser seul. - J'ai opté pour une carrière de médic, en caserne. Ça m'empêchera pas de revenir prêter main forte ici, mais j'ai un sérieux penchant pour l'adrénaline des premiers secours. pour une fois, elle tente la stabilité, sans regarder ailleurs pour ne pas influencer ses folles idées. - Je danse toujours, mais c'est pour le plaisir. On va dire que c'est un exutoire qui aide les fins de mois. une façon d'exprimer sa féminité, l'art et le langage corporel, une façon d'affirmer sa confiance et d'apprécier le regard extérieur sur ses courbes, si longtemps diabolisées.
Néanmoins, Sinoé tente de ramener la conversation à sa personne, lui laissant une porte ouverte pour créer entre eux une jonction. Quelle surprise que d'apprendre qu'Helen est son amie; après Sloane, c'est Izan qui apparait dans le cercle de leurs liens communs. Son visage ne cache pas, d'ailleurs, le sentiment qui l'étreint; - Helen ? Oui, je travaille parfois avec. On apprend encore à se connaitre, et à s'apprivoiser. les débuts ont été musclés, minaude son regard, plutôt fier d'avoir réussi à outrepasser quelques désaccords de principe. - J'étais au pôle des diagnostics, mais j'ai fait aussi les urgences.. Principalement. avec une autre médecin, tout aussi têtue et sulfureuse qu'avait pu l'être Helen. Ils sont efficaces, c'est tout ce qui importe.
- Tant que je ramène un café à mon collègue, tout va bien, j'peux prendre quelques minutes. sourire de connivence, invite le pianiste à la suivre jusqu'aux distributeurs. - Il faut que j'te redonne mon numéro ? taquine-t-elle, la commissure étirée de bon gré, passant son badge sur le lecteur pour leur permettre de bénéficier d'un choix à prix réduit. - Fais ton choix, c'est pour moi. J'vais pas te lâcher cette fois, même si tu m'donnes du fil à retordre. tout à fait sérieuse sur ce coup : Arsinoé peut être une alliée de taille, celle qu'on attend pas, mais qui se damnerait volontiers pour ses proches. Me laisseras-tu être présente pour toi ?
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DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
Il n’a pas besoin d’en parler, ou pas envie de s’étaler sur cette réalité trop brutale qui est comme un tremblement de terre provoquant l’écroulement de tous les bâtiments aux alentours ; dans le paysage de son quotidien, sur la terre craquelée de ses habitudes, il a l’impression d’être un survivant qui ne parvient pas à se réjouir de sa condition. Ça aurait pu être pire, c’est ce qu’on lui martèle pour tenter de le faire relativiser : ça aurait pu être sa main, oui, mais il ne se sent pas particulièrement chanceux pour autant. Car Izan n’est dans le déni, ayant bien conscience que son poignet estropié ne va pas se rétablir miraculeusement si on ôte l’attelle qu’il porte, mais peut-être est-ce moins douloureux de ne pas poser de mots trop précis sur ce qu’il lui arrive en ce moment, même s’il sait, au fond, que Arsi’ est l’une des rares personnes qui peut comprendre ce qu’il traverse, elle-même ayant emprunté le chemin difficile du renoncement. ’’Si seulement ce n'était qu'un poignet..’’ le sous-entendu n’a pas besoin d’être plus explicite pour qu’il abaisse davantage le menton en ravalant de nouveau sa salive, dans une volonté peut-être inconsciente d’encaisser sans laisser transparaître tout ce qui découle de cette blessure : lui-même ne discerne pas encore à quel point les racines du malheur sont en train de s’étendre, mais il est trop mal-à-l’aise pour s’accorder aux confidences alors qu’ils sont au milieu d’un hall d’hôpital, leurs mots offerts aux oreilles indiscrètes qui traversent devant eux. ’’Je sais.’’ il le conclue avec un sourire attristé qui chasse le sujet pour un autre, bien plus réjouissant, et il s’emploie à le faire perdurer pour que ses tourments ne reviennent pas sur le tapis. ’’J'ai opté pour une carrière de médic, en caserne. Ça m'empêchera pas de revenir prêter main forte ici, mais j'ai un sérieux penchant pour l'adrénaline des premiers secours.’’ les derniers mots ricochent sur ses lèvres avec un sourire amusé, qui va de paire avec le ton de sa voix lorsqu’il demande ’’Pourquoi ça ne me surprend pas ?’’ qu’elle ait réussi et qu’elle aime l’adrénaline, parce qu’elle a toujours été ainsi, Arsi’, en quête de quelque chose de puissant, de plus fort qu’elle, qui puisse la transporter, qui la fasse vibrer et qui la passionne autant qu’elle l’est elle-même, et le pianiste préfère largement qu’elle trouve cette euphorie dans quelque chose de positif, cette fois. ’’Je danse toujours, mais c'est pour le plaisir. On va dire que c'est un exutoire qui aide les fins de mois.’’ un hochement du menton, simple, qui assimile l’idée sans la trouver hors-de-propos : là encore, il n’est pas tellement surpris car elle a toujours été une muse, Arsi, et il est bien placé pour le savoir. Elle est la seule à l’ignorer.
’’Helen ? Oui, je travaille parfois avec. On apprend encore à se connaitre, et à s'apprivoiser.’’ la dernière formule employée lui arrache un petit rire allusif qu’il maintient bas en secouant légèrement son menton, puisqu’il a l’impression que la danseuse n’ose pas vraiment nommer la chose clairement, utilisant d’un subterfuge de l’euphémisme alors qu’il sait très bien de quelle façon sa meilleure amie est nommée entre ces murs, et il n’en prendra pas ombrage si Arsi’ déligote sa langue pour dire tout haut ce qu’elle pense ’’Elle ne fait pas trop son tyran avec toi ?’’ n’est-ce pas précisément en ces termes que la chirurgienne est appelée ? Avec raison ou non, ça, il s’en fiche pas mal puisque ça le fait plus rire qu’autre chose. À ses côtés, Helen n’est que douceur et malice, n’ayant jamais eu la portée d’une quelconque malveillance ou cruauté, alors il a peut-être beaucoup de mal à s’imaginer que la belle brune peut être autre chose que la personne merveilleuse qu’elle lui montre au quotidien, si bien que le parfum de méchanceté qui l’entoure lui semble lointain… trop, peut-être, pour qu’il le prenne au sérieux ’’J'étais au pôle des diagnostics, mais j'ai fait aussi les urgences.. Principalement.’’ il presse ses lèvres pour réprimer un sourire de candeur, ses yeux examinant plus attentivement le visage de la bahamienne comme s’il lui transmettait toute sa fierté par son regard mutique. C’est assez risible et étrange de se dire qu’il est fier de ce qu’elle accomplie au quotidien — puisqu’il n’en récupère aucune satisfaction à titre personnel, mais c’est pourtant ainsi qu’il le ressent en cet instant : il est fier de tout ce qu’elle réalise pour s’en sortir, pour se réinventer, pour se sauver de ses démons. C’est bien la preuve que c’est possible, non ?
Elle peut prendre quelques minutes et cela suffit à raviver la courbure de son sourire, qui n’en demandait guère plus. ’’Il faut que j'te redonne mon numéro ?’’ le reproche atténué par le ton de l’humour, néanmoins légitimement relaté par le silence sous lequel il s’est illustré depuis leurs retrouvailles, lui octroie un sourire coupable qu’il ne cherche guère à dissimuler ’’Désolé.’’ il tourne son menton vers elle en avouant sa faute - il sait qu’il est un mauvais ami, il est même capable de le reconnaître, tordant sa bouche dans une grimace qui n’admet pas le regret mais plutôt navré ’’Fais ton choix, c'est pour moi. J'vais pas te lâcher cette fois, même si tu m'donnes du fil à retordre’’ s’il assimile plutôt bien pourquoi elle lui fait remarquer qu’il a fait le mort, il ne comprend pas l’accusation dont il est la cible et il fronce lentement ses sourcils en penchant son menton sur le côté ’’Moi ?’’ il mime tellement l’innocence qu’on a presque envie de le croire, et c’est en appuyant sur un bouton au hasard qu’il garde les yeux braqués sur elle. ’’J’suis pas de très bonne compagnie, en ce moment.’’ parce que d’habitude oui, si jamais certain.e.s se posent la question ’’Et j’ai pas envie de t’inonder avec ma bonne humeur.’’ lui aussi utilise le sarcasme et l’humour pour absoudre des vérités trop difficile à avouer crument ; une chose qu’ils ont un commun, pour le meilleur ou pour le pire, ça reste encore à deviner.
crédits/azianxpersuasionwrites
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.