ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
let's fall in love for the night @Yasmin Hikmet + Samuel Wellington flashback 2018
Tu avais tout préparé. De la réservation au restaurant jusqu’au bouquet de fleurs que tu avais posé sur le siège passager de ta voiture, en passant par ta fille qui était déjà chez Yasmin, à s’occuper de Derya pour que tu puisses sortir ton amie de sa routine, le temps d’une soirée. Elle en avait bien besoin, et honnêtement, toi aussi. Tu avais envie de célébrer le fait qu’enfin – enfin! – ses stupides accusations contre elle soient tombées, pouvoir enfin mettre tout ce chapitre douloureux que Derek avait été dans sa vie derrière elle. Il y avait longtemps, bien trop longtemps, que personne n’avait traité celle que tu considères comme ta plus vieille et ta plus fidèle amie à une soirée qui en valait la peine, alors à défaut qu’elle se laisse à faire confiance à un autre homme, tu avais suggéré de te prêter au jeu. C’était sans doute un jeu dangereux, une idée qui risquait de raviver cette possibilité d’un quelque chose que vous aviez décidé d’étouffer il y a presque deux ans de cela, mais tu décidas de mettre tout ça de côté. Ta seule intention ce soir, c’était de la faire sourire. De raviver cette flamme qui semblait s’être éteinte chez elle dans les derniers mois, voire dans les dernières années. Quand Derek était encore là, et puis après aussi. Tu voulais l’entendre rire, la voir lâcher prise pour quelques heures, loin de son rôle de mère, de son rôle d’enquêtrice, et surtout lui faire oublier la réputation qu’elle tenait désormais auprès de ses compères. Le chemin entre ta maison et la demeure de la jeune femme en est un que tu connais, que tu empruntes si souvent qu’il se fait sans que tu n’aies besoin d’y penser un seul instant. Alors elles vagabondent d’un côté et de l’autre, tes pensées, mais tu laisses tous tes doutes derrière dès l’instant où tu sors de la voiture pour te rendre à la porte d’entrée. Tu témoignes de ton arrivée par quelques coups contre la porte, mais tu n’attends pas qu’elle vienne te répondre avant de tourner la poignée, une vieille habitude qui n’est certainement pas sur le point de changer. « Tu fais comme si j’étais pas là. J’souhaite bonne soirée aux filles et après j’retourne cogner à la porte, comme un vrai gentleman. » que tu t’exclames sans tourner ton regard vers Yasmin, voulant naïvement te garder la surprise de la voir dans sa robe lorsque votre ‘rendez-vous’ commencerait officiellement. Dans le salon, Delilah berce doucement Derya, et tu viens déposer un baiser sur la tête des deux filles, ta fille te souhaitant de passer une bonne soirée. « Rentrez pas trop tard. » qu’elle se moque ta fille, et tu lui fais une grimace avant de ressortir de la maison aussi vite que tu y es entrée, usant cette fois-ci de la sonnette, maintenant que tu sais que Derya ne dort pas. Les secondes filent soudainement au ralenti, jusqu’à ce que la porte ne s’ouvre à nouveau, Yasmin apparaissant sous tes yeux. D’une part, tu lui offres le bouquet de fleurs que tu avais laissé à l’entrée, avant de laisser ton regard descendre le long de son corps, prenant pleinement la vue qu’elle t’offre dans une robe que tu es certain de ne jamais avoir vu avant aujourd’hui. « Vous êtes magnifique, Mademoiselle Hikmet. » que tu ne peux t’empêcher de la complimenter, attrapant sa main libre pour venir y déposer un baiser. Tu te la joues vieux jeu, tu en mets sans doute trop, mais c’est que tu te laisserais presque tomber par les illusions du moment. « Prête pour votre rendez-vous galant? » que tu lui demandes, incapable de rester sérieux plus longtemps, un ricanement s’échappant de tes lèvres alors que tu ne peux t’empêcher de la couver du regard.
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 105 POINTS : 590
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andreaDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS : YASMEN#3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
HIKWELLS#2 (fb) ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMEN#1 ¤ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand, you see it's not the wings that make the angel, just have to move the bats out of your head. for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
’’J’ai l’air ridicule.’’ voilà ce qu’elle se dit devant le reflet renvoyé par son miroir, ne sachant que faire de ses cheveux, et encore moins de tout le panel d’instruments de maquillages que Delilah lui a conseillé d’acheter pour l’occasion. Qu’est-ce qu’elle a dit, déjà, Del ? Les couleurs complémentaires seront ton meilleur allié… Bon. Autant dire qu’elle ne se souvient plus de rien maintenant qu’elle est dans sa salle-de-bain comme une âme en peine, son peignoir éponge blanc noué à la taille. Son regard qui coulisse sur le côté et qui s’attarde sur les jouets de bains pour Derya lui renvoie davantage l’idée que cette mascarade est une bien piètre idée ; n’est-ce pas incongru de sortir fêter son… Quoi, d’ailleurs ? Elle n’est même pas soulagée de savoir que, enfin, on reconnaît son innocence dans cette sordide affaire, puisqu’elle sait très bien que ses collègues n’ont pas eu le mémo : pour Josh et ses sbires, elle est coupable qu’importe les conclusions de l’enquête interne, et le sms cinglant qu’elle a reçu un peu plus tôt dans la journée lui a bien fait comprendre. Soupirant de lassitude et d’une forme de désespoir accablant, qui la fait se sentir particulièrement ridicule mais, en un éclair, la situation se renverse et en observant son visage dans le miroir, elle se dit que ce serait les laisser gagner, Derek et ses tocards qui persistent à perpétuer sa vénération.
Fuck, elle les emmerde tous.
Alors, après avoir défait son dressing pour en extraire une robe noire aux manches courtes et fendue sur le côté, elle souligne discrètement les traits de son visage avec quelques soupçons de fards et de mascara, suffisamment pour ouvrir son regard et mettre en valeurs sa beauté naturelle, avant d’essayer de faire quelque chose avec ses cheveux — qui finissent plus ou moins ondulés. Après s’être parfumée avec parcimonie, elle chausse ses talons aiguilles noirs qui subliment ses jambes fuselées avant d’oser descendre les marches d’escaliers pour rejoindre le salon, en tenant sa pochette dans une main. ’’Tout va bien ? T’es sûre que je peux y aller ? Parce que tu sais, si jamais tu…’’ - « File ! » qu’elle grande avec douceur, l’adolescente qui maintient Derya contre sa peau, tout sourire aux lèvres pendant qu’elle la détaille des yeux, visiblement satisfaire du rendu final ’’Ça va ? C’est pas trop ?’’ qu’elle demande quand même d’une voix fébrile en lissant le tissu de sa robe, n’ayant même pas le temps de demander si elle doit changer de chaussures ou non que, déjà, Del l’expédie d’un « Tu es parfaite ! File maintenant, il t’attend dehors. » Yasmin lance un regard vers la porte avant de sentir tous ses doutes disparaître sitôt qu’elle aperçoit la silhouette de Wells sur le perron, et elle s’avance alors pour déposer un baiser sur le front de Del puis celui de sa fille, avant de sortir de la demeure pour rejoindre son ami, qui a orchestré cette soirée avec toute la douceur et la bienveillance qu’il recèle.
’’Salut…’’ qu’elle souffle d’une petite voix en refermant lentement la porte, ne pouvant s’empêcher de se formuler la pensée qu’il est incroyablement beau dans cette tenue, si bien qu’elle ne voit pas tout de suite le bouquet de fleurs qu’il lui tend. « Vous êtes magnifique, Mademoiselle Hikmet. » un regard caressant posé sur lui, elle sourit avec une douceur dévouée lorsqu’elle se saisit du bouquet avec toute la délicatesse du monde, l’apportant contre son buste sans le quitter des yeux, pas même lorsqu’il vient embrasser sa main en faisant définitivement fondre toutes ses réticences. Comment ne pas tomber sous le charme d’un homme comme Samuel ? ’’Je peux dire la même chose vous concernant, monsieur Wellington.’’ elle est sincère, Yasmin, ne cherchant pas le moins du monde à lui retourner le compliment par politesse, et puisqu’elle le dévore du regard, on peut considérer que sa franchise n’est plus à prouver. « Prête pour votre rendez-vous galant? » elle n’hésite aucunement mais, pour la forme, elle pousse ses lèvres en avant en jaugeant l’allure de son compagnon d’un soir, achevant d’un ’’Difficile de résister…’’ se retournant pour déposer son bouquet de fleurs sur la table de la terrasse, elle se promet de le mettre dans un vase en rentrant, avant de glisser sa petite main aux ongles vernis autour du biceps de Wells. ’’Où allons-nous, monsieur ?’’ qu’est-ce que le musicien a préparé pour leur escapade ?
crédits/crackshipandcrap
çoğu gün kendimi tanımadığımı söylemek kolay değil. eskisi gibi değilim ama bu doğru, o kızı hala hatırlıyorum: kusurlu ama çabalıyor, iyi ama yalan söylüyor, kendine karşı sert, kırılmış ve yardım istemiyor, dağınıktır ama naziktir, çoğu zaman yalnızdır, o düşündüğünden daha güçlü, güven banae.
Samuel Wellington
le magicien des arpèges
ÂGE : quarante-deux ans (22.03.1982) SURNOM : il préfère qu'on l'appelle Wells à Sam, mais il se retourne dans tous les cas. STATUT : les douces mélodies d'Anna viennent bercer son quotidien depuis deux ans maintenant, un bonheur qu'il refuse de prendre pour acquis. marié sur un papier auquel il refuse d'accorder de l'importance depuis plus de vingt ans maintenant. MÉTIER : violoncelliste de renom, le succès montant de son groupe Broken Strings lui emmène une notoriété à laquelle il se fait difficilement. LOGEMENT : #88 Agnes Street, à Bayside, dans une maison qui a vu grandir sa fille, là où il n'a pas attendu longtemps avant d'y accueillir Anna et Oscar. POSTS : 630 POINTS : 1060
TW IN RP : meurtre, deuil, violence. TW IRL : nc.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : papa d'une (trop) grande fille, Delilah › grogne plus qu'il ne parle › toujours légalement marié à Hadley, son retour dans sa vie est une onde de choc qu'il refuse de gérer › passionné de musique classique et de moto depuis l'adolescence, oui, les deux sont possibles en même temps › impulsif, excécrable, mais aussi un gros ours, attentif et attentionné avec ceux qui lui sont chersDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Wells grogne en sienna. RPs EN COURS :
wellingtons ♪ will you live like me, in a world run by desire? will you wake from worldly dream and not be tired? will you work like me to lift the conversation higher? will you be cool like water putting out the fire? how can you be free from all this sorrow? will the ones you love today be gone tomorrow? and if angels don't have answers to your prayers. oh, i will be there.
anna ♪ ever since i was a young boy running through grass. i was a dreamer, writing stories down the back of the class. now i sit at this piano with my heart in my hands. take my love and all my loss and get the darkness to dance. i knew that you were for me when you started to smile. time was slowing down, we could have been there a while. told me you were mine, already knew i was yours. so, isn't that worth something? i can't promise easy days and i can't keep the rain away. ain't got a song to sing without your loving. isn't that worth something?
hadley ♪ baby, baby, why'd you treat me so damn mean? when i gave you my love, more than you ever seen. baby, baby, oh, can't you see my pain? don't you undertsand what it's like to feel this way? baby, baby, don't you come my way no more cause it won't be like the way it was before. ours was just a love gone wrong. don't that sound like the same old song? this time i'm really moving on. cause baby i'm gone for good.
yasmin ♪ ecec.
james ♪ ecec.
izan ♪ you and me were always with each other. before we knew the other was ever there. you and me, we belong together, just like a breath needs the air. i told you if you called i would come runnin'. across the highs the lows and the in-between. you and me, we've got two minds that think as one. and our hearts march to the same beat.
let's fall in love for the night @Yasmin Hikmet + Samuel Wellington flashback 2018
Tu t’inquiéterais peut-être de laisser ton adolescente s’occuper d’une enfant de moins d’un an, mais Delilah et toi passez tellement de temps avec Yasmin et Derya que tu n’as pas le moindre doute que ta fille sait exactement ce qu’elle doit faire avec le jeune bambin. Ta capacité à réfléchir de manière cohérente disparaît de toute façon dès le moment où la porte s’ouvre à nouveau, t’offrant un visuel complet sur la jeune Hikmet. « Salut… » C’est difficile de rester de marbre devant Yasmin quand elle est au naturel, sa chevelure qui part dans tous les sens, les traits tirés d’une nuit au sommeil entrecoupé par les besoins d’un petit humain, mais alors là, quand elle est prête à sortir, son maquillage impeccable, pas un cheveux de travers, elle est tout simplement à tomber et c’est un peu plus compliqué de te rappeler que tout ça, ce n’est qu’une mise en scène pour qu’elle se sente bien, pour qu’elle mette enfin derrière elle la lourdeur des derniers mois sans être obligée de se trouver une autre raison de ce mettre sur son 31 qu’une soirée entre amis. Est-ce vraiment tout ce que vous êtes, des amis? C’est quelque chose dont tu essayes de te convaincre à tous les jours depuis quelques années maintenant. Une petite boîte dans laquelle tu t’efforces de la contenir parce que c’est plus simple comme ça. Parce que tu ne peux pas te permettre de perdre quelqu’un de plus dans ta vie, mais surtout, parce que tu ne peux pas te permettre de perdre quelqu’un d’aussi importante et d’aussi précieuse que Yasmin.
Parce que tu ne sais pas si tu peux te permettre de mettre ton cœur en jeu, pas après tout le dommage qu’Hadley y à causer lors de son départ. Tu ne sais pas si tu pourrais t’occuper d’elle de la manière dont elle le mérite, tu ne sais pas si tu es encore capable d’aimer, encore capable de faire preuve de cette vulnérabilité qui est pourtant essentielle au sein de toute relation. Alors tu tentes de rester dans le superficiel, dans la légèreté, quand bien même toutes les lignes sont brouillées entre vous et elles le sont depuis longtemps. Tu ne sais pas ce que ce soir apportera, tu n’es même pas certain de ce que tu espères vraiment; si ce n’est que de lui changer les idées, de lui apporter un peu de réconfort et de légèreté dans un quotidien qui a été bien trop lourd dernièrement. « Je peux dire la même chose vous concernant, monsieur Wellington. » La manière dont elle te dévore des yeux présentement n’aide en rien à calmer tes ardeurs – et d’autres parties de toi dont tu préfères ignorer les réactions – et c’est de peine et misère que tu tentes de te rappeler tes bonnes manières. « Difficile de résister. » proclame-t-elle en t’étudiant studieusement, avant de déposer le bouquet de fleurs que tu lui as acheté sur la table basse se trouvant sur la terrasse. « Où allons-nous, monsieur? » « J’ai fait une réservation à l’Esquire, si tu te sens fancy, mais tu sais que je n’ai jamais été du genre regardant sur les plans. » Elle n’avait qu’à te dire le mot, et si elle avait envie de quelque chose de plus, et surtout de moins public, tu n’hésiterais pas à abandonner tes plans de début de soirée pour te rendre au premier fast-food sur votre chemin avant de l’emmener au deuxième endroit prévu. « Mais pour la suite, je garde la surprise. » que tu lui annonces, un sourire espiègle sur tes lèvres.
Tu attrapes son bras et la guide jusqu’à ta voiture, et tel un vrai gentleman, tu lui ouvres la portière et tu t’assures qu’elle est entrée dans l’habitacle avant de le contourner et venir prendre place derrière le volant. Une fois le moteur en marche, tu engages la voiture sur la route et puis, une main toujours sur le volant et l’autre se posant sur la cuisse de la jeune femme, tu demandes son attention en élevant doucement la voix. « Tu as jusqu’à ce qu’on arrive au restaurant pour me parler de l’enquête, de ton ex et de comment tu te sens par rapport à tout ça. » que tu annonces, sans réellement lui donner l’opportunité d’argumenter avant d’ajouter : « Une fois rendu là-bas, il n’y a rien de tout ça qui n’existe, d’accord? Pas de Dereck, pas d’enquête interne, pas de collègues qui se permettent des commentaires qui me donnent envie de leur foutre un poing dans la gueule à chaque fois que je les croise. » Et si ton temps passé au poste n’était pas particulièrement élevé, ça t’arrivait assez souvent d’aller reconduire ou d’aller chercher la jeune femme sur son lieu de travail pour être conscient du climat moins qu’idéal dans lequel elle se devait de performer jour après jour depuis trop longtemps déjà. Et tu étais sérieux, pour Yasmin, tu n’hésiterais pas une seule seconde à retomber dans tes vieux patterns pour assouvir une soif de vengeance – et de violence, soyons bien honnêtes – qui bouillaient dans tes veines. « Une fois au restaurant, il n’y a que toi et moi, d’accord? » À un feu rouge, tu te permets de laisser tes doigts serrer un peu plus longuement que nécessaire la cuisse de la jeune femme, contre laquelle tu as droit à un contact direct vu la fente dans sa robe. Ton regard s’accroche au sien, tes yeux témoignant de tellement plus que ce que tes mots ne sauraient lui dire.
Yasmin Hikmet
l'ombre des soupçons
ÂGE : trente-six ans (14.04) SURNOM : lieutenant hikmet dans le cadre de son travail, mam's par sa fille de huit ans & yas par son entourage proche STATUT : mère célibataire qui se noie dans son travail, pas franchement le temps ni l’envie pour une nouvelle histoire - du moins, c'est ce qu'elle dit pour ne pas avouer qu'elle pense (un peu trop) à une certaine chirurgienne MÉTIER : lieutenant de police pire qu’un molosse sur un morceau de viande, mal considérée par ses collègues suite à de fausses accusations de meurtres LOGEMENT : une coquette maison au highland terrace #556 (towoong) avec sa fille POSTS : 105 POINTS : 590
TW IN RP : monde criminel et policier, relation abusive et infidélité (passé), dissimulation de paternité. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : conduit une bécane qui est le pire cauchemar de ses parents ¤ excellente cuisinière ¤ adore la pizza, les tacos, les lasagnes et les hamburgers : la mode healthy lui passe au-dessus du citron, et ne lui en proposez pas un, de citron, sauf si c’est dans un daïquiri ¤ engagement féministe ¤ passion lithothérapie, team oeil-de-tigre ¤ thé > café ¤ marraine d’emy, la fille d’andreaDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #a56525 RPs EN COURS : YASMEN#3 ¤ well you've got one choice, maybe two, you can leave with me or i'll go with you, i know you haven't even met me yet but you're gonna love me baby when you get to know me. right, you and me, we've got chemistry, baby you and me could this be that chemistry
HIKWELLS#2 (fb) ¤ i am here and i will be forever and ever and i know that there's nowhere you can hide it, i know the feeling of alone, trust me and don't keep that on the inside, soon you'll be locked out on your own, you're not alone
WILMEN#1 ¤ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand, you see it's not the wings that make the angel, just have to move the bats out of your head. for every step in any walk, any town of any thought, i’ll be your guide. for every street of any scene, any place you've never been, i’ll be your guide
Elle ne devrait pas le dévorer des yeux, elle le sait très bien mais les injonctions de son cerveau n’empêchent pas son regard, traître et irrévérencieux, de glisser sur les contours de cette silhouette masculine qu’elle connaît très bien, dont le caractère tout à fait séduisant ne lui saute pas aux yeux comme par enchantement. Bien sûr qu’elle a toujours su que Wells était un homme au physique avantageux, mais ils n’ont jamais été dans une configuration où elle pouvait se permettre de le noter aussi simplement : ce soir, plus que d’ordinaire, les frontières de leur relation semblent être brouillées, corrompues par l’attirance mutuelle magnétique qu’ils répriment depuis bien longtemps. Un instant, ses mains fourmillent des caresses qu’elle a envie de lui donner et ses lèvres chuchotent quelques plaisants secrets qu’elle aimerait souffler sur sa bouche mais, prenant une fine inspiration, elle se détourne de cette vision attrayante pour déposer le bouquet de fleurs sur la table basse derrière elle, en essayant de calmer les effusions brûlantes qui circulent dans ses veines, faisant poindre des images fiévreuses qu’elle n’a pas le droit de posséder — mais maintenant qu’elles sont là, qu’est-ce qu’on fait ? « J’ai fait une réservation à l’Esquire, si tu te sens fancy, mais tu sais que je n’ai jamais été du genre regardant sur les plans. » elle hausse ses sourcils pour noter le pan tout à fait élégant de cette soirée, que Wells a élaboré dans les moindres détails — une raison de plus de le rendre hautement désirable, n’est-ce pas « Mais pour la suite, je garde la surprise. » - ’’La surprise ?’’ qu’elle demande avant de faire une petite moue malicieuse, qui tend vers la tentative d’attendrissement quand elle fait remarquer : ’’Tu sais qu’il n’y a rien de pire pour un lieutenant de police ?’’ accrochant la anse de son sac sur son épaule, elle arque un sourcil en demandant, d’une voix un peu plus sensuelle qu’il ne le faudrait : ’’Vous ne voudriez pas que je vous fasse passer un interrogatoire, monsieur Wellington ?’’ la proposition lui semble alléchante, si bien qu’elle ne rechignerait pas, cette fois, à ce que l’interrogatoire en question traîne un peu en longueur — mais ça, elle ne l’avouerait même pas sous la torture.
Crochetant son bras au sien, elle fait claquer le talon de ses escarpins sur le bitume lorsqu’ils rejoignent le véhicule de Wells, dans lequel elle s’engouffre en le remerciant d’un sourire emplit de gratitude, vérifiant une dernière fois son maquillage dans le rétroviseur de la voiture, juste avant que son charmant compagnon la rejoigne dans l’habitacle. « Tu as jusqu’à ce qu’on arrive au restaurant pour me parler de l’enquête, de ton ex et de comment tu te sens par rapport à tout ça. » elle n’a pas écouté le début de sa phrase parce que toute son attention était portée sur cette main masculine posée sur sa cuisse frêle dissimulée sous un collant noir transparent, qui a fait naître quelques effusions enflammées dans son bas-ventre ; un simple geste, oui, mais pas de n’importe qui. « Une fois rendu là-bas, il n’y a rien de tout ça qui n’existe, d’accord? Pas de Dereck, pas d’enquête interne, pas de collègues qui se permettent des commentaires qui me donnent envie de leur foutre un poing dans la gueule à chaque fois que je les croise. » il ne l’aide pas, Samuel, à se montrer aussi protecteur et féroce quand il s’agit de la défendre, et elle lui porte un regard caressant en guidant délicatement sa main jusqu’à sa nuque pour caresser la naissance de ses cheveux pendant qu’il conduit. ’’Et si on faisait comme si tout cela n’existait pas, à partir de maintenant ? Hm ?’’ parce que c’est déjà le cas, pour elle, depuis qu’elle a passé la porte de sa maison et qu’elle l’a découvert sur le perron avec un somptueux bouquet de fleurs « Une fois au restaurant, il n’y a que toi et moi, d’accord? » - ’’Que toi et moi.’’ qu’elle lui intime d’une voix douce mais ferme en plantant ses yeux dans les siens, se perdant un peu dans la contemplation de ces deux billes qui semblent bien bavardes, tout à coup… Mais qu’est-ce qu’elles se disent, ces billes ? Il vaut peut-être mieux ne pas savoir… ’’Ça sonne plutôt bien, je trouve.’’ a-t-elle le temps de souffler, son pouce caressant la bordure de sa nuque tandis que ses autres doigts effleurent les quelques mèches courtes de ses cheveux, suspendue à ce visage, ce parfum, cette voix, cette présence… Jusqu’à ce qu’un klaxon furieux, à l’arrière, la fasse sursauter. Le feu est passé au vert depuis quelques secondes déjà, et l’intrusion de ce moteur hurlant a brisé l’échange silencieux mais ô combien doucereux dans lequel ils étaient plongés, alors elle retire sa main pour la ramener contre sa propre cuisse, en passant la pointe de sa langue sur ses lèvres naturellement nacrées. ’’Je meurs de faim.’’ de nourriture, oui. De nourriture, de nourriture, de nourriture. Promis juré. Ou pas.
(883 mots)
crédits/crackshipandcrap
çoğu gün kendimi tanımadığımı söylemek kolay değil. eskisi gibi değilim ama bu doğru, o kızı hala hatırlıyorum: kusurlu ama çabalıyor, iyi ama yalan söylüyor, kendine karşı sert, kırılmış ve yardım istemiyor, dağınıktır ama naziktir, çoğu zaman yalnızdır, o düşündüğünden daha güçlü, güven banae.