ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
(st anthony's school) De l’autre côté de la vitre de la voiture les ramenant chez eux, l’école où Ambrose a grandi se dessine, infiniment différente que dans son souvenir, changée par vingt années d’évolution démographique et urbaine. Il desserre sa cravate de sa main libre, l’autre nouée autour des doigts de Mavis qui a accepté de l’accompagner à une énième soirée cocktail où l’objectif n’est en rien de simplement profiter du buffet offert. Les réunions et autres soirées du genre s’enchainent pour Ambrose depuis que son agenda politique s’est affiné et qu’il existe enfin réellement, pour la première fois de sa courte vie. Il brigue un poste qu’il espère sincèrement ne pas garder jusqu’au restant de ses jours mais un poste qui ne lui donne pas moins de pression sur les épaules et de personnes à contenter. Il aura (le conditionnel n’est même pas nécessaire) un rôle important pour la communauté, lequel se constitue en un véritable tremplin pour en arriver à d’autres, infiniment plus intéressants. Le conseil municipal n’est qu’une première étape : Mavis le sait, tout le monde le sait ; et pourtant, il ne peut pas se permettre de rater ces prémices, supposées être particulièrement faciles d’accès. Le reste constituera le véritable défi, plus tard.
Après avoir mâché ses mots un bon millier de fois au cours de la soirée, il ne sait plus y faire et réfléchit désormais à voix haute. « Habite avec moi. » Il lâche enfin du regard l’édifice plongé dans le noir pour plutôt poser ses yeux sur Mavis, de toute évidence éreintée par la soirée qui s’accumule à ses propres heures de travail. Et c’est justement de ça aussi dont il a réfléchi. « On court tout le temps à droite et à gauche toi et moi, ça rime à rien qu’on vive séparément en plus de ça. » Parce qu’ils ne passent finalement que peu de temps ensemble, voilà ce à quoi il a surtout réfléchi, sans doute un brin guidé par l’idée d’une famille à ainsi passer devant un ensemble scolaire. Ce sujet-là, il est bien conscient qu’il serait infiniment trop tôt pour l’aborder, lui-même ne se sentant absolument pas prêt à l’idée d’un tel rôle. Diriger le pays, ça oui ; élever un marmot, c’est une toute autre histoire. « Non ? » La décision ne peut de toute évidence pas être prise de façon unilatérale, alors il l’interroge dans un second temps, après avoir avancé ses maigres arguments et déjà convaincu qu’il n’y a de toute façon pas beaucoup d’arguments à avancer tant cela lui semble être évident. « Je pense qu’on y gagnerait. » Ambrose finit par ajouter, un ton plus bas, animé par ses propres pensées. S’ils passaient davantage de temps ensemble, ils laisseraient moins de temps à l’interprétation et peut-être que leur temps serait enfin moins occupé par de sempiternels disputes et autres pseudo-ruptures.
:
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- only here to sin - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/niccolos & gifpacksbysummer
Mavis est perdue dans ses pensées à l’instant où Ambrose rompt le silence relatif de l’habitacle qu’ils partagent. Elle a la jouée posée contre le haut de son siège dans lequel elle est confortablement installée, les yeux suivants les traînées sombres du paysage qui passe devant la vitre assombrie par le jour qui est tombé il y a bien longtemps désormais, à se demander à quel moment des jeunes comme eux, elle et Ambrose, ont perdu leur insouciance au point de préférer mener une vie de quarantenaire au lieu de profiter pleinement de leur jeunesse. Elle ne le regrette pas, mais tout à l’heure, alors qu’elle serrait des mains à des hommes de l’âge de son père et qu’elle s’évertuait à complimenter la tenue de femmes de l’âge de sa mère, elle s’est mise à réfléchir, surtout à penser à ses anciens camarades de classe qui voyagent, qui découvrent et expérimentent. Elle, a moins de trente ans, elle en est déjà à accompagner son petit ami dans une lutte contre le pouvoir en place histoire qu’il y accède à son tour et fasse de ce monde un endroit meilleur — en gros, peut-être extrapole-t-elle, mais une part d’elle est convaincue que c’est de cette manière qu’Ambrose dorlote son ambition : en la traitant comme la solution à quelque chose qui empoissonne le quotidien de ses concitoyens. Elle adore ça, elle serait une fieffée menteuse si elle se défendait du contraire, alors elle ne le fait pas, le suivant sans rechigner, s’intéressant à ce qu’il envisage, autant appâté par le jeu qu’il semble l’être. Mais tout de même, il y a quelque chose de triste qui la rend prompte à l’introspection durant ce trajet jusqu’à la maison, et elle n’a en vérité pas le temps de s’y plonger plus sérieusement donc, la voix d’Ambrose la ramenant dans la réalité qui est la leur et qui rejoint curieusement celle dans laquelle elle s’était perdue un court instant.
"Hm ?" Elle a parfaitement compris ce qu’il lui a dit, elle veut simplement gagner un peu de temps avant de lui accorder une réponse en plus de son attention. Il lui demande une réponse immédiate, elle le sent dans sa manière de poser sa voix et d’ergoter. Ça la fait sourire de son côté, un sourire un peu ensommeillé, comme si son cerveau n’attendait qu’une chose, c’est qu’elle s’autorise à sombrer. Elle s’en empêche, se focalise sur sa voix, sur sa bouche qu’elle voit briller quand elle remue en contre-jour de la portière de son côté. A nouveau, ça lui fait se demander : comment ils peuvent autant avoir envie de se poser à leur âge, alors qu’il y a quelques semaines de ça à peine, leur duo était davantage un trio, l’incertitude planant au-dessus de leur tête les menant à rien de moins qu’une débâcle passagère, mais réelle ? Elle le regarde encore un instant dans la pénombre, remue leurs mains jointes pour les poser sur ses propres genoux, et lui demande presque tout bas "C’est sérieux comme proposition, ou t’y penses juste comme ça ?" Etant donné la manière dont il lui expose les choses, elle connaît déjà la réponse. De ce fait, elle n’attend pas qu’il lui en donne une pour ajouter, sa joue retombant contre le siège, sa tête toujours tournée vers lui "C’est pas un peu trop tôt ?" Bien sûr que ça l’est, à nouveau, la question ne se pose même pas en vérité. Elle le fait tout de même, s’appliquant toujours à vouloir acquérir des certitudes qui l’empêcheront d’être déçue. Plus fixement encore, elle regarde sans le lâcher un seul instant pendant qu’il défonce des portes ouvertes et soulève des évidences qui la font sourire plus distraitement encore, à moitié emportée par l’épuisement de plusieurs jours intenses à l’hôpital, et lui fait après la fin de sa phrase "On y gagnerait ? Explique-moi." Elle n’a pas besoin d’être convaincue, elle veut juste connaître son cheminement de pensée. Ainsi la requête est douce, amenée par une réelle envie de comprendre en quoi ça changerait tout pour eux de vivre tous les deux.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
:
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Hm ?" Il conçoit que ses mots sortent assez de nulle part pour qu’elle éprouve le besoin de réfléchir dessus une seconde de plus ; temps qu’il lui accorde sans y penser à deux reprises. Son pouce caresse légèrement l'arête de son doigt, comme pour la persuader muettement de tendre en son sens. "C’est sérieux comme proposition, ou t’y penses juste comme ça ?" Il y pensait juste comme ça il y a dix secondes, mais tout est devenu sérieux au moment où il l’a formulée. « Je suis sérieux. » qu’il précise, sans savoir si cela la rassure ou la fait fuir. Ils n’ont jamais parlé de vivre ensemble, ils n’ont même jamais réellement parlé de leur avenir, éternellement trop occupés à se déchirer sur le présent et le passé. Sans doute pense-t-il qu’il est aussi temps de travailler sur ça, enfin, et d’aborder le problème sous le bon angle. Ou de justement faire en sorte qu’il ne s’agisse plus d’un problème.
A défaut de lui donner son avis - et une réponse - pour l’heure, elle lui donne au moins toute son attention en laissant sa joue se reposer contre le siège en cuir et son regard, il le devine, se poser sur lui. "C’est pas un peu trop tôt ?" - « Je te mets pas le couteau sous la gorge. » Ambrose répond calmement, sans que ce soit la réplique d’un homme vexé. Bien sûr qu’il est tôt, bien sûr que la proposition sort de nulle part, et pour ces deux raisons il comprendrait sans mal qu’elle souligne le besoin d’avoir à y réfléchir davantage avant de lui donner une réponse définitive. "On y gagnerait ? Explique-moi." Bien qu’il pense qu’elle n’a pas le moins du monde besoin de ses explications pour comprendre les mots qu’il emploie et le choix de ces derniers, il se plie au jeu sans y réfléchir davantage, bataillant une seconde contre sa ceinture pour tourner son torse en direction de Mavis. Il pose son coude entre les deux accoudoirs des sièges ainsi que la paume de sa main contre sa tête qu’il laisse s’y reposer. « T’es souvent à l’hôpital et moi à Canberra. » Ils ont chacun leurs aspirations et rien dans ses mots ne représente l’entame d’une négociation pour qu’un des deux renonce à son rêve pour le bien de leur couple - ce serait un non sens absolu. « Et nos trains de vie sont pas vraiment sur le même rythme. » Justement parce qu’ils n’ont pas réellement de rythme, ni l’un ni l’autre, et que le mélange des deux ne produit pas une réponse miraculeuse à ce problème. Problème pour lequel Ambrose est persuadé d’avoir la solution. « On passerait moins de temps à se triturer la tête pour se retrouver dix minutes par ci et une heure par là. » Ou à faire d’une soirée comme celle-ci un moment pseudo-qualitatif entre deux personnes d’un couple, par exemple. Ambrose n’aurait pas refusé l’invitation, pour rien au monde, mais s’ils vivaient ensemble alors il aurait sans doute été capable de se concentrer sur les raisons politiques de sa présence plutôt que sur Mavis et tout ce qui se rapproche d’elle. « On se marcherait pas dessus pour autant. L’appartement est grand. » Ils ne passeraient pas de “rien” à “tout” en un claquement de doigts, si jamais cela représente un possible frein dans l’esprit de Mavis alors il tient déjà à l’enrayer. L’appartement est grand, leur rythme de vie respectif n’est pas prêt de changer non plus. La proposition vient seule ; il n’est pas question de parler fiançailles ou bébé, ou Dieu sait quoi encore.
:
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- only here to sin - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/niccolos & gifpacksbysummer
Il est sérieux, et sur l’instant, elle ne sait pas quoi faire de ça. Mavis ne s’est jamais projetée avec personne… enfin si, le paradoxe veut que ce soit avec lui qu’elle se soit projetée lorsqu’ils n’étaient encore que des minots, et puisqu’elle a toujours l’impression de l’être un peu de temps à autre, et ce malgré celle qu’elle a aussi de jouer à la grande dame, c’est un peu déstabilisant de revenir en arrière de cette façon. Tout a changé, ils ne parlent plus en possibilités étant donné que, en dépit du sentiment qu’elle couve de faire tout plus vite que les jeunes de son âge, ils sont de vrais grands qui tâtonnent un peu certes, qui avancent assurément, et qui tachent de le faire ensemble. Sans se faire prier, elle laisse le doigt d’Ambrose courir le long du sien et l’observe en silence, quémandant des raisons qui justifieront sans doute cette proposition qu’il lui fait sans crier gare. En vérité, rien n’a besoin d’être justifié, non ? Ils sont un couple, ils veulent que ça fonctionne, alors pourquoi ne pas franchir le pas ?
Parce que ça fait peur, voilà pourquoi "Non, bien sûr, je sais." Elle le rassure quand il parle de couteau sous la gorge. Une chose est sûre, elle ne se sent pas menacée par ce qu’il lui propose. En revanche, c’est vrai, elle redoute de se sentir vulnérable, et si ça ne la rebute pas complètement, ça l’inquiète. Mavis n’est foncièrement pas réticente, elle est juste pragmatique, curieuse aussi, de savoir si sa réflexion est amenée par une réelle envie ou par autre chose. Il lui prouve beaucoup de points en ce moment, Ambrose, et chaque fois, il le fait sans qu’elle ne s’y attende. Ça a le don de la désarmer, elle qui se targue d’avoir un coup d’avance sur chaque individu qu’elle côtoie. Avec lui, c’est la surprise à chaque fois, au point qu’elle se retrouve sans défense — vulnérable, donc —, complètement à nue. Elle aimerait trouver ça agréable, seulement ça la sort de sa zone de confort, aussi elle a besoin de s’adapter. Il s’agite sur son siège, malmène sa ceinture de sécurité qui zip zip dans l’habitacle, se tourne vers elle ; elle voit se dessiner sa silhouette dans le siège d’à côté, perçoit la ligne de ses traits grâce aux lumières qui dardent de l’extérieur, et ça, ça lui plaît, cette façon qu’il a de se préparer avec détermination pour lui expliquer les tenants et les aboutissants d’un plan qu’il semble avoir mûri — si ce n’est pas le cas, il fait bien semblant, chose sur laquelle elle ne médite pas, se redressant elle aussi, sa main quittant la sienne pour se poser avec nonchalance d’abord contre sa joue qu’elle caresse brièvement, ensuite sur son épaule qu’elle sent robuste sous la paume de sa main "Bien observé, Sherlock." s’amuse-t-elle lorsqu’il débute son explication en pointant du doigt les lieux où ils passent leur temps séparément. Pour anticiper une rebuffade malicieuse, elle lui tire la langue, mais retrouve vite son sérieux en même temps qu’il poursuit. Elle ponctue ses mots d’annotations verbales inutiles, qui illustrent toutefois très bien ce qu’il tente d’argumenter en parlant de leur rythme "Tu vis plutôt le jour, et je vis… aléatoirement, je dirais." Elle tranche, lui laisse la place de dérouler son fil de pensée qu’elle stoppe avec un très léger rire "A se triturer la tête, ou à se prendre la tête ? Tu peux le dire que tu veux gagner l’assurance de ne pas terminer célibataire tous les quatre matins en me proposant qu’on vive ensemble, tu sais." Étant donné leur attachement aux apparences, ils ne se risqueraient pas à vivre ensemble pour se séparer la minute d’après ; ils trouveraient rapidement des solutions après avoir boudé une heure, ou deux, ou trois. Depuis quelques temps maintenant, ils fonctionnent de cette façon ; à ne jamais savoir si quand ils vont se voir, ils vont finir sur le ring, ou au lit — l’une des conjonctures est plus agréable que l’autre, de toute évidence. Elle cesse de rire, pince les lèvres, puis avance, maline "En fait, tu veux passer plus de temps avec moi, hm ? C’est une bonne synthèse ?" lui fait-elle après un petit temps à examiner ses traits "Et pas nécessairement dans une soirée, pardon je t’aime, je respecte ton choix de carrière, mais —" Le je t’aime passe comme un bonjour, la suite le chassant dans la seconde où son sourire éclaire doucement son visage — ce n’est franchement rien, seulement une façon de parler "— ennuyeuse à mourir comme celle à laquelle on vient d’assister ?" Elle fronce le nez, taquine, entend ce qu’il ajoute, et recale sa joue contre le siège en cuir. Sa tête rebondie tout doucement, son regard ne quitte pas celui du jeune homme quand, dans un sérieux retrouvé tout aussi rapidement que les fois précédentes, réfléchissant à la dernière munition qu’il utilise pour parfaire son argumentaire, elle lui fait "Est-ce que j’aurais mon propre bureau ?"
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
:
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Il aime qu’on reconnaisse qu’il est grand et fort et qu’il est un homme, un vrai et pourtant il aime aussi le contact de la main de Mavis contre sa joue, doux et délicat, amené avec la précision d’une femme qui a été éduquée pour être ainsi. Dans l’intimité de leur couple, il se contente d’un sourire rapide, ponctué par sa propre main qui enveloppe la sienne lorsqu’elle se trouve contre sa joue et la laisse à nouveau vaquer à ses occupations à l’instant où elle dérive contre son épaule. "Tu vis plutôt le jour, et je vis… aléatoirement, je dirais." C’est sans doute le meilleur résumé qui pourrait être fait de leur vie, et quand bien même il est heureux de la tournure prise par leur deux carrières, il y a des choses qui pourraient être améliorées au sein de leur couple. "À se triturer la tête, ou à se prendre la tête ? Tu peux le dire que tu veux gagner l’assurance de ne pas terminer célibataire tous les quatre matins en me proposant qu’on vive ensemble, tu sais." - « Un peu des deux, faut le dire. » Cela ne sert à rien qu’il lutte à clamer l’inverse : bien sûr qu’il est rongé par l’idée que leur dernière dispute en date soit la dispute de trop, celle allant de paire avec un sans-retour. Il aurait amené l’idée de vivre ensemble différemment si la personne face à lui n’était pas aussi celle qui a catalysé toutes ses dernières disputes des mois passés, mais pour l’heure ce serait une stratégie mentale qui lui demanderait de l’énergie sans rien lui apporter en retour. Il s’en passe donc.
"En fait, tu veux passer plus de temps avec moi, hm ? C’est une bonne synthèse ?" Evidemment, oui. Derrière ses mots se trouve le désir de passer un peu plus de temps avec elle, quitte à ce que cela se matérialise par un lit qu’ils partageraient à peine une heure ou deux et des discussions de complaisance qui se résumeraient à des balbutiements selon l’heure. Mais c’est une idée à laquelle il a déjà pensé et un quotidien qui lui semble malgré tout attrayant. « Hm, je sais pas. » Il minaude. "Et pas nécessairement dans une soirée, pardon je t’aime, je respecte ton choix de carrière, mais ennuyeuse à mourir comme celle à laquelle on vient d’assister ?" Le je t’aime est doux, mesuré. Il a sa place au milieu d’une longue phrase où il s’y noie, il s’y perd, et pourtant il n’est pas oublié et il passe encore moins inpaerçu. Preuve en est d’Ambrose qui en oublie presque tout le reste, même s’il sourit allègrement à sa remarque à laquelle il ne peut pas donner tort - ce n’est pas passionnant, c’est un fait. « Je t’aime, ça veut dire oui ? » Il s’avance doucement pour ne pas laisser croire à la ceinture qu’il s’agit d’un accident mais il s’avance aussi doucement pour pouvoir murmurer ces mots contre le visage de Mavis, ne prenant pas la peine de s’approcher de son oreiller mais plutôt de sa bouche, qu’il embrasse l’instant suivant. "Est-ce que j’aurais mon propre bureau ?" - « A ce qu’on dit, il y en a un qu’on peut adapter selon tes goûts. » On parle d’un appartement autrefois habité par Norman ; bien sûr qu’il y a un bureau dans lequel il a passé plus de temps que sa chambre, et bien sûr qu’il est aujourd’hui inoccupé pour de nombreuses raisons un peu trop sentimentales. Que Mavis l’utilise serait au contraire une bonne idée pour lui redonner vie, pour lui faire plaisir, et pour faire plaisir à Ambrose en parallèle. « J’espère que vivre ensemble sera autre que, qu’est-ce que tu as dit déjà ? Ennuyant à mourir ? » Il se souvient parfaitement de ses mots, évidemment, et se contente de s’amuser de la façon si particulière qu’elle a eue de lui dire. En réalité, ce n’est pas un point qui soulève de véritables craintes ou même questionnements chez lui. Il ne fait que tenter de dédramatiser l’instant, parce que la décision a beau être importante, elle n’est pas révélatrice pour le reste de leur existence. Ils avancent à leur rythme, malgré ce qui pourrait être pensé d’un côté ou de l’autre - malgré ce que Ruben en pensera, à commencer par là. « Tu peux y réfléchir si tu veux. Pour de vrai, hm. » Parce qu’elle voit sans doute la situation sous un angle différent, il lui laisse une dernière issue de secours, soucieux de son bien-être au-delà de ses propres caprices personnels. « Mais si c’est bon pour toi… T’as déjà les clés. » Il ne lui reste plus qu’à amener toutes ses affaires, juste ça. Et à partir de ce moment-là, Ambrose espère sincèrement qu’ils auront trouvé la réponse à tous leurs problèmes.
:
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- only here to sin - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/niccolos & gifpacksbysummer
Mavis fait mine de réfléchir, s’empare de la réponse d’Ambrose en la manipulant dans tous les sens et finit par lui dire "C’est un piège pour me contraindre à bien me comporter et à bien te traiter, hm ?" Elle plaisante cette fois, elle ne fait que ça. Elle ne voit pas la proposition d’Ambrose comme un piège, loin de là. Elle tente juste de gagner du temps pour faire le point dans son esprit et décider si oui ou non, il s’agit là d’une bonne idée. Elle imagine la vie qu’il lui propose soudain, et c’est agréable. Au-delà de leurs disputes, leurs moments de redoux sont délicieux, elle mentirait si elle avançait le contraire ; elle mentirait si elle avançait ne pas y avoir pris goût et y songer tout au long de la journée, exactement comme une collégienne qui apprend ce que c’est vraiment de tomber amoureuse. La perspective de partager le même espace sans avoir besoin de se donner rendez-vous, c’est un luxe qui n’est pas rare, qui reste tout de même assez précieux pour qu’elle ne veuille pas le souiller en se précipitant. Ils se connaissent depuis la nuit des temps, ils ne se connaissent pourtant pas encore par coeur, et peut-être que ce ne sera jamais le cas s’ils continuent à se tenir à distance l’un de l’autre. Elle réfléchit. Elle est mitigée, elle ne sait pas tout à fait si ça lui plairait de partager son quotidien avec quelqu’un. Mais en même temps, vivre seule lui pèse très souvent sur la conscience, cette dernière en profitant pour se manifester sous la forme des erreurs qu’elle a commises et qui se rappellent à elle chaque fois que le silence retombe et qu’elle est obligée de se rendre à l’évidence : elle a un problème. Oui, mais lequel ? Serait-elle prête à le déterminer avec quelqu’un qu’elle aime autant qu’Ambrose ? La question se pose, et la réponse n’est pas évidente, elle le craint.
Mais elle mûrit dans sa tête, elle mûrit dans son coeur, celui qu’elle sent battre un peu plus fort dans sa poitrine lorsqu’elle le voit devenir taquin. La pénombre appelle le vice et si elle est bien élevée, elle n’est pas pudique pour autant, alors ça l’échauffe un peu, cet éclat fugace dans ses yeux. Leur chauffeur est concentré sur la route, la voie est libre… mais non, le sérieux reprend ses aises. Quand il l’embrasse après avoir minaudé, elle se demande s’il n’essaye pas tout simplement de la soudoyer avec la promesse de quelque chose qui suivra tout à l’heure, quand ils seront rentrés, leur intimité bien protégée, mais ce qu’il lui dit lui fait prendre conscience qu’elle a dit quelque chose qui a dépassé sa pensée en vérité, et que d’une certaine façon, il la remercie ; elle ne s’en est même pas aperçue. Sa deuxième main s’ajoute à la deuxième sur le visage d’Ambrose qu’elle recule du sien avec une moue dubitative, celle qui lui fait froncer ce nez qui rebondit sur le sien quand elle lui souffle tout bas "J’ai pas dit je t’aime." Bien sûr que si, et un retour rapide en arrière le lui fait réaliser pour de bon — ça la fait même très subtilement rougir dans le noir qui les enveloppe et ne pas savoir si elle doit réitérer, ou continuer à nier. Elle peut difficilement nier en vérité, alors elle lui fait en se redressant doucement et en ne cessant de murmurer "Je t’aime ça veut dire ce que ça veut dire." Ce n’est pas une réponse, non. C’est une délicate instance à laquelle elle n’a pas pensé, c’est tout.
En revanche, elle pense à ce qu’elle peut négocier avant de réellement répondre à la proposition d’Ambrose. Là encore, c’est pour gagner un peu de temps. Le bureau est la première chose à laquelle elle pense, et il le lui accorde sans même réfléchir. D’abord, ça l’étonne. Tout ce qui a trait à Norman et sa présence est sacré pour Ambrose, et comme l’appartement était le sien, elle sait qu’il parle de celui qu’il occupait lorsqu'il était encore en vie. Ensuite, ça la touche, elle ne veut pas qu’il se sente obligé par ailleurs, ainsi elle lui demande "Tu regretteras pas ? C’est plein de souvenirs, je veux pas les gâcher pour toi." Les souvenirs sont plus importants pour Ambrose qu’ils ne le sont pour Mavis, leur petite escapade dans le grenier de la propriété Barnes étant un sujet qui n’a pas besoin de revenir sur le tapis. Elle rit à ce qu’il ajoute, cherche ses yeux dans l’obscurité pour préciser, à propos de l’ennui qu’elle a mentionné tout à l’heure "T’es pas encore un homme politique d’une soixantaine d’année, et puis en toute objectivité, t’es plutôt de bonne compagnie tu sais, sois pas si dur avec toi-même." Sa joue retrouve le cuir du siège sur lequel elle a remué pour mieux se retourner vers Ambrose dont elle a lâché le visage pour attraper l’une de ses mains qu’elle effleure, qu’elle caresse, qu’elle dirige pour qu’il la glisse sur sa cuisse, juste en dessous de l’ourlet de la fente de sa robe pour que sa peau entre en contact avec la sienne ; la pression qu’il y exerce la pousse un instant à fermer les yeux. Elle se perd à nouveau dans sa tête pour réfléchir et apporter enfin un semblant de réponse à tout ça tandis que lui, il lui en laisse le temps — elle ne le trouvera pas, ils ont déjà établi que son emploi du temps était plus chargé que le sien, elle repoussera à chaque fois, elle est assez honnête pour se l’avouer au moins à elle-même. Sa seule fenêtre, elle se tient ouverte ici et maintenant. De ce fait, elle rompt enfin le silence pour lui faire "Les beaux meubles de Norman vont en prendre un sacré coup à cause du chat. Elle va devoir s’habituer, ça va prendre un peu de temps." Le chat est déjà habitué à Ambrose, c’est déjà ça. Du reste, elle appréciera la surface plus engageante que le duplex de sa maîtresse qui conclut "Pas de regret non plus à propos de ça ?"
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
:
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"C’est un piège pour me contraindre à bien me comporter et à bien te traiter, hm ?" « Le piège fonctionne dans les deux sens. »
Quand bien même il voudrait préciser une fois de plus qu’elle est bien plus que lui celle qui a l’idée que “tout est fini” que lui, mais c’est un véritable débat qu’ils pourraient (devraient) avoir une autre fois. Pour l’heure, ce n’est en rien la priorité de l’instant. Malgré tout, il pense sincèrement cette idée qu’une vie commune pourrait faire ressortir le meilleur de chacun d’eux ou, tout du moins, les amener à se montrer bien plus raisonnés et raisonnables - quand bien même tout émanait d’une blague, il pense que les mots n’en sont pas moins venus avec un certain fond de vérité. "J’ai pas dit je t’aime." - « Non, bien sûr. » Il ironise sans forcer davantage et la laisse se recroqueviller dans l’obscurité de l’habitacle du véhicule. "Je t’aime ça veut dire ce que ça veut dire." Elle est têtue, évidemment, et cela n'apparaît en rien comme une surprise. « Moi aussi, Mave. » Il l’aime aussi, et s’il n’est sans doute pas totalement prêt à lui dire mot pour mot sur l’instant, il n’en pense pas moins. Seulement, il a beaucoup appris de l’histoire d’Icare.
Alors, ils doivent d’abord acter l’idée de vivre ensemble. "Tu regretteras pas ? C’est plein de souvenirs, je veux pas les gâcher pour toi." - « La pièce est faite pour être utilisée. » Il lui dirait qu’elle gâche tout si elle la met sans dessus dessous, ça oui, mais puisque ce n’est pas une possibilité qui lui semble justement plausible, il ne s’en fait pas. Norman aurait aimé que l’endroit continue de vivre après son départ, et il aurait sans doute été d’autant plus heureux qu’il soit partagé par une personne qu’Ambrose chérit personnellement. "T’es pas encore un homme politique d’une soixantaine d’année, et puis en toute objectivité, t’es plutôt de bonne compagnie tu sais, sois pas si dur avec toi-même." Il ne dit rien et se contente d’un sourire, sans doute déconcentré par le geste amené par Mavis et la main qu’elle amène contre sa cuisse, où il reste posé, laissant uniquement sa main envelopper sa peau. "Les beaux meubles de Norman vont en prendre un sacré coup à cause du chat. Elle va devoir s’habituer, ça va prendre un peu de temps. Pas de regret non plus à propos de ça ?" - « Ça va aller Mavis, je te le promets. » Il ne va pas revenir sur sa décision à caus d’un chat, il ne va pas non plus tout planter parce que le souvenir de son père d’adoption le hante plus que l’affection qu’il lui porte, à elle. Toutes leurs décisions de couple portaient jusque-là la marque du fantôme de Ruben, il ne veut pas qu’elles portent aujourd’hui celles de Norman - surtout alors qu’il est sur son piédestal et n’a aucune raison d’en chuter. « Si toi t’en as envie, le reste est déjà réfléchi. » Et quand bien même il n’a pas longuement pesé le pour et le contre du reste, il est persuadé de ne pas en avoir besoin. Cela représente une suite simple, logique, naturelle. « Je suis loin d’y voir que des possibles inconvénients. » Comme le démontre sa main qu’il fait dangereusement remonter sous sa robe et le baiser qu’il va chercher à poser jusque dans son cou. Il n’a pas encore soixante ans, elle l’a dit elle-même, et il voit très clairement bien d’autres avantages que de simplement la voir à l’idée qu’ils habitent ensemble. « On peut y aller à notre rythme quand même, le temps que tu t’installes. » Elle n’est pas piégée à partir de ce soir et jusqu’à la fin des temps ; si elle souhaite emménager uniquement dans quelques jours ou dans quelques semaines, il n’aurait rien à y redire. Tout ce qu’il veut, c’est que pour une fois tout se passe bien, sans accrocs, sans règlement de compte. Juste une fois.
:
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
- only here to sin - @Ambrose Constantine ↣ crédits gifs/niccolos & gifpacksbysummer
"T’es pas obligé de me le dire parce que je te l’ai dit. J’ai pas besoin de l’entendre." Elle hausse les épaules dans le noir de l’habitacle "C’était juste comme ça." Elle n’en fait pas toute une histoire de ce je t’aime, elle ne veut juste pas que ça fasse peser quoi que ce soit de plus sur leur relation. Ça devrait être le contraire, mais ils ne sont pas câblés pour faire les choses comme tout le monde. Elle n’a pas besoin de déclaration de toute façon, elle a besoin de l’assurance de ne pas être jetée comme un mouchoir usager. Ambrose s’applique depuis quelques temps à lui prouver qu’elle ne l’est pas, et ce n’est pas seulement parce que ça lui fait du bien qu’elle veut y croire, c’est parce qu’elle sait qu’il est un homme de paroles qui n’essaye pas de l’endormir pour profiter de certains avantages qu’elle lui offre. Elle sait les reconnaître ce genre d'hommes : ils portent une blouse blanche et se prennent pour le Tout-Puissant.
Elle tourne autour du pot, elle essaye de gagner du temps quand c’est inutile, en vérité. Elle n’a pas le couteau sous la gorge, ça rend plus agréable encore la perspective d’accepter ce qu’Ambrose lui propose "Je sais." Que ça va aller. Qu’il lui promette, ça la sécurise, cependant "J’hésite pas, je veux juste être sûre que… tu sois sûr." Sa tournure de phrase est mignonne, un peu maladroite, un peu… hésitante, finalement, et le fait qu’elle y pense la fait rire doucement pendant qu’elle s’empare de la main d’Ambrose pour la sentir sur elle. Il la rassure encore dans l’intervalle, et il lui semble plutôt sûr de lui, en effet, pour qu’elle y puise une authentique certitude, celle que l’idée n’est pas mauvaise, qu’elle lui plait autant qu’elle plaira à ses parents. C’est triste, qu’elle songe à eux à cet instant quand ils se ficheront probablement d’apprendre la nouvelle en arguant qu’ils lui font confiance au sujet de son avenir, qu’elle a toujours su faire les bons choix. C’est vrai, dans l’espoir de ne pas les décevoir. Résultat, ils n’en ont que faire, et ils n’en auront que faire de savoir que la relation de leur fille est assez sérieuse pour qu’elle emménage avec l’homme qu’elle aime comme ça "D’accord." Comme son je t’aime ça lui échappe, et comme son je t’aime, c’est entrecoupé par un baiser qu’Ambrose dépose dans son cou en même temps qu’il fait remonter sa main sous sa robe. Elle ne s’y dérobe pas, elle l’a cherchée, même si l’espace d’un échange de regard avec le chauffeur de leur voiture dont elle intercepte l’attention dans le rétroviseur intérieur, elle songe à calmer le jeu pour garder le meilleur pour le moment où ils rentreront. Elle y songe seulement, parce que d’une pression contre la nuque d’Ambrose, puis d’une légère glissade sur son siège pour mieux sentir ses doigts contre sa peau, elle l’incite au contraire à ne pas faire mentir les avantages qu’il voit à cette collocation qui les attend. Elle lui demande quand même dans un murmure "Tu comptes me montrer à quel genre d’avantages t’as pensé au juste ?" Quand ?, ne lui demande-t-elle pas, ses propres doigts filant dans la manche qui recouvre cette main qu’il a plongé sous sa robe, enserrant son poignet qu’elle ne retient pas, qu’elle accompagne, au contraire, et ce à la limite du raisonnable tout en lui disant l’air de rien "Ça va être l’enfer de prévoir de faire des cartons entre deux gardes." Elle esquisse un sourire "Mais tu m’aideras, hm ?"
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
:
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"T’es pas obligé de me le dire parce que je te l’ai dit. J’ai pas besoin de l’entendre. C’était juste comme ça." « J’ai pas non plus de couteau sous la gorge. »
Il reprend avec autant de sérieux que Mavis, déjà loin du pseudo-rougissement qui avait été le sien au moment de lui partager ses propres sentiments. Il ne dirait pas qu’elle est l’amour de sa vie, il ne se considérerait pas non plus comme fou amoureux d’elle, et pourtant il n’en désire pas moins passer autant de temps que possible en sa compagnie, plaisante au possible. Elle n’est pas un trophée, elle n’est pas non plus de tout repos, mais les avantages et les inconvénients à passer du temps ensemble et à (ré)apprendre à se connaître le font indubitablement pencher vers un doux sentiment amoureux. Il n’a jamais réellement connu ça de façon juste et mesurée - parce qu’avec Ruben ça n’avait rien de juste ni de mesurée, et parce qu’il n’a pas connu le sentiment avec quiconque d’autre. Ce qu’il dit, finalement, il le dit uniquement parce que ça lui semble assez certain et évident pour être stipulé à voix haute, sans en faire toute une cérémonie, sans se promettre monts et merveilles à tout va. Elle est une personne formidable, intelligente, intéressante, (belle, évidemment) et Ambrose est heureux de partager au moins un pan de son histoire avec Mavis. Tout ça et si peu à la fois dans le “moi aussi” murmuré simplement, juste comme ça.
Pour vivre ensemble, c’est un peu différent. Cela ne peut même pas être un mensonge proféré pour faire plaisir : c’est un engagement, un vrai. Il ne tient pas forcément pour une vie entière, mais il tient au moins pour un quotidien. "J’hésite pas, je veux juste être sûre que… tu sois sûr." Elle n’hésite pas, donc. Il ne cherche pas à avoir le dernier mot et se contente d’un sourire parfaitement conquis partagé en sa direction. "D’accord." Et enfin, il a l’impression de gagner un argumentaire qui n’en était pas réellement un, à commencer parce que Mavis n’avait pas besoin d’arguments pour être convaincue des avantages à vivre ensemble. Ambrose se contente de laisser son contentement prendre la forme d’un baiser et d’un autre, sans doute bien moins intéressé par la discussion qu’il l’était encore il y a quelques minutes. "Tu comptes me montrer à quel genre d’avantages t’as pensé au juste ?" La main que Mavis accompagne dangereusement sous sa robe n’est qu’une preuve supplémentaire qu’elle n’a certainement pas besoin de lui pour imaginer ce à quo il pensait et ce à quoi ils sont désormais deux à penser. "Ça va être l’enfer de prévoir de faire des cartons entre deux gardes. Mais tu m’aideras, hm ?" - « Homme politique et déménageur, ça c’est un éventail. » Et ça, c’est surtout le cadet des soucis de l’un comme de l’autre sur l’instant, une chose dont ils sont assurés tant la discussion ne porte pas plus loin, ni maintenant ni même au moment où ils arrivent enfin chez Ambrose - chez eux - et pas même ensuite. L’idée est actée, ils en avaient fait le tour, n’est-ce pas ?