ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
the hurt just leaves me scared Oscar & @Midas Sterling ☆ crédit/rampld2
Plongé, la tête dans son projet, Oscar n’a pas entendu son portable sonner, ce n’est que lorsque ses yeux semblent lui faire défaut, que sa vue se brouille, qu’il se décide à sortir de son bureau pour aller boire un verre d’eau et prend le temps de consulter son portable. Un seul message, celui d’un collègue de travail, qu’il ne porte pour ainsi dire pas dans son cœur. « Qu’est-ce qu’il me veut, celui-là ? » Qu’il grogne un peu dans sa barbe, comme déjà agacé par un message qu’il n’a même pas encore lu. Pourtant, quand le message s’affiche devant ses yeux, son sang ne fait qu’un tour. « C’est pas ton frère ? Désolé pour ta perte mec. » Il ouvre le lien sans réfléchir, le gros titre le frappe directement en plein cœur. "Midas Sterling, retrouvé mort d’une overdose dans sa demeure." Il lui semble d’un coup que le souffle lui manque, qu’une partie de lui s’échappe. La main tremblante, il cherche le numéro de son frère dans son portable. Il n’y arrive pas, le choc rendant tous ces mouvements complexes, son cerveau incapable de former une pensée. Enfin, il tombe sur son nom, lance l’appel, son cœur qui bat à la chamade. Pas de réponse, seul le répondeur lui indique de laisser un message. Alors il recommence. « Réponds Midas… » Les cent pas dans son appartement, l’angoisse qui le tient au corps. Mais Midas ne répond pas, il appelle encore et encore toujours rien. Ne sait pas quoi faire. Midas ne peut pas être mort, pas d'une overdose, ça ne peut être qu’une erreur, il lui a dit qu'il ne touchait pas à ces merdes. Sans réfléchir, il attrape les clefs de sa voiture, part en oubliant de fermer à clef, en oubliant son portable. Dans un éclair de lucidité, pourtant, il attrape son porte-monnaie, conscient que sans preuve de son identité, il n’obtiendra rien des gros bras en bas de chez Midas.
Il n’est pas en état de conduire, il le sent. Pourtant, avec les années de distance, il aurait pu penser que l’idée de la mort de son frère le laisserait de marbre. C’est loin d’être le cas. Sa voiture parquée de travers : il en sort presque en sautant pour s’annoncer au poste de sécurité. « Oscar Sterling, je viens voir mon frère, il va bien, n’est-ce pas ? Il va bien ? » L’homme le regarde de manière étrange alors qu’il attrape sa pièce d’identité. Il n’aura pas de réponse de sa part. Dans un premier temps, il se dit que c’est bon signe, que si ce n’était pas le cas, il lui aurait dit, il ne l’aurait pas laissé rentrer. Ou alors c’est l’inverse, il ne veut pas être celui qui va lui dire. Une fois devant la porte, il appuie sur la sonnette, encore, et encore. Se donne l’impression qu’il est devenu fou alors qu’il tape du poing sur la porte. Quand finalement elle s’ouvre sur la mine de Midas, qui semble ne pas comprendre ce qui se passe. « Putain… T’es en vie. » D'un coup, il lui semble que tout lâche en lui. Il s’avance vers son frère, sent les larmes qui pointent à ses yeux, qu’il retient comme il peut, le choc l’ayant privé de toute sa capacité de gestion des émotions. Il le prend dans ses bras, un geste qu’ils n’ont plus eu depuis bien des années, peut-être même depuis toujours. « Merde Midas… Faut pas qu’ils fassent des trucs comme ça, j’ai cru… » Sa voix s’étrangle un peu alors qu’il reprend un peu de distance gardant ses mains sur les épaules de son frère. « J’ai cru que t’étais mort. » Il souffle un grand coup, les mots sortent de sa bouche sans qu’il ne puisse plus les contrôler. « Tu ne peux pas mourir maintenant, d’accord… Pas maintenant. » Pas alors qu’il n’a rien su faire pour réparer leur relation, pas alors qu’il est un frère minable qui ne connaît rien de sa vie. Il ne peut pas faire ça.
call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
:
mon équipement :
Midas Sterling
la nuit des temps
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
Sans Posy et sans Jo, à peine rentré de tournée, il n’y a pas de dizaine d’endroits dans lesquels on peut me trouver. Le tableau est souvent le même : enfermé dans mon studio, celui qui donne envie à la femme de ménage de s’arracher les cheveux, ma guitare dans un coin, le clavier branché ou pas, en fonction de mon humeur et de ce sur quoi je travaille, des cahiers de notes répartés un peu partout dans la pièce et surtout, des cadavre de canettes de redbull abandonnés aux quatre coins de la pièce. Beaucoup de canettes de redbull.
La seule chose à laquelle je ne reste presque jamais sourd - le vibreur de mon téléphone n’a pas gagné le droit de faire partie du lot lorsque je suis en train de créer - c’est l’écran du dispositif de sécurité. Au travers de celui-ci, le poste de sécurité peut m’envoyer des alertes et me contacter quelle que soit la pièce dans laquelle je me trouve. Un bijou de technologie dans lequel je ne regrette pas d’avoir investi ; ma tranquillité d’esprit n’a pas de prix. Alors, lorsque les trois notes de musiques caractéristiques de l’objet retentissent dans la pièce, je lève mon nez de ma guitare avant de me lever tout court pour me diriger vers l’écran accroché à côté de la porte de la pièce. Quelqu’un à l’entrée, mon frère en l'occurrence. Les agents sont en train de vérifier son identité mais je n’ai pas besoin de ça pour reconnaître quelqu’un de mon sang. Aussi loin que je me souvienne, Oscar n’a jamais mis les pieds ici. Sans doute l’immense propriété aux services luxueux finira d’entériner dans son esprit que je me prends pour un dieu. Mais ce n’est pas ce qui me préoccupe. Non, je m’interroge surtout sur ce qui l’a mené ici pour la première fois de sa vie. Je m’inquiète même, mais n’aurais-je pas été prévenu s’il était arrivé quelque chose à l’un des membres de ma famille ? Je suis le premier qu’Olive aurait contacté s’il était arrivé malheur aux parents, ou même à Nina. Et si c’était à Olive que quelque chose était arrivé ? J’attrape mon téléphone pour constater que j’ai plusieurs appels en absence de mon frère, mais personne d’autre. Préoccupé - je ne peux pas m’empêcher de m’inquiéter pour les miens - je range le téléphone portable dans ma poche et me dirige rapidement vers la porte d’entrée du complexe.
J’ouvre la porte sur un Oscar qui semble vraiment dévasté. « Putain… T’es en vie. » Je ne m’attendais pas à ça, mais je ne prends pas encore vraiment le temps de m’attarder sur ce que cela signifie, ce qu’il a cru. Je me demande qui ne l’est pas, pour qu’il soit si inquiet que ça. Tout empire quand mon frère me tombe dans les bras. Je ne me souviens pas de la dernière fois qu’il m’a tenu contre lui - nous étions certainement des gamins - et, surpris et maladroit, je tapote doucement son dos. « Merde Midas… Faut pas qu’ils fassent des trucs comme ça, j’ai cru… J’ai cru que t’étais mort. » - « Hein ? » Surtout, je lâche mon frère pour reculer d’un cran. Je vais très bien - physiquement en tout cas, je ne fais pas mention de l’état de ma relation avec Jo que j’espère encore réparer, je m’y attellerai dès son retour de tournée et je m’y attelle déjà en lui envoyant plus de message que ces deux derniers mois de pause - et j’ignore ce qui a mis mon frère dans cet état. « Tu ne peux pas mourir maintenant, d’accord… Pas maintenant. » - « Heu, ouais, non j’en ai pas l’intention. » Mal à l’aise - je ne comprends pas vraiment ce qu’il se passe - je me frotte l’arrière de la nuque avec ma main droite, tique que je possède depuis aussi loin que je me souvienne. « Viens, entre. » Ca me rend tout drôle, de voir mon frère secoué, au bord des larmes et visiblement bouleversé. Ce n’est pas le genre de chose à laquelle Oscar m’a habitué, lui et son image toujours impeccable. « Tout le monde va bien ? Olive ? » J’ai pensé à elle en premier, c’est idiot mais je me suis dit que c’était la seule raison qui explique que je ne sois au courant de rien, la seule explication rationnelle. « De quoi tu parles ? » J’ai l’impression d’entendre et de voir Posy quand elle se réveille d’un cauchemar. « Qu’est-ce qui t’as mis dans cet état ? »
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
the hurt just leaves me scared Oscar & @Midas Sterling ☆ crédit/rampld2
Il y a sans doute de quoi être surpris, Oscar la montagne insensible, celui qui ne daigne même pas faire acte de présence à l’anniversaire de sa nièce, qui semble s’effondrer. Si son cerveau fonctionnait encore, il se dirait sans doute qu’il devient de plus en plus faible, de moins en moins capable de réguler ses émotions, avec son frère, sa sœur, sa femme. Son petit monde de mensonges qui semble petit à petit s’effriter. « Hein ? » Il ne lui en veut pas de ne pas comprendre, lui-même tente encore de démêler le vrai du faux, de se séparer de son frère, maintenant certain qu’il est bien là en chair et en os. Mais pas encore totalement calmé. « Heu, oui, non, j’en ai pas l’intention. » C’est tant mieux, parce qu’il a encore besoin de temps. Le temps, il semble en manquer pour sauver sa relation avec son frère, ou alors, ce sont simplement les moyens.
Midas semble mal à l’aise, ce qui n’est pas si étonnant, sans doute qu’Oscar le serait aussi s’il était capable de revenir à son état normal. De calmer son esprit en ébullition. « Viens, entre. » Il réalise qu’il n’a jamais mis les pieds ici, dans cette immense baraque qui semble presque démesurée pour abriter un si petit homme. « Merci. » Qu’il bredouille quand même, parce que pour le moment, il ne peut rien dire de plus, dévisageant son frère comme s’il le voyait pour la première fois, de quoi le faire flipper sans doute. Pourtant, son cœur semble se calmer lentement, retrouver un rythme normal. « Tout le monde va bien ? Olive ? » Il se rend compte qu’il y a probablement de quoi faire flipper son frère, tente de se reprendre comme il peut. « Oui, je… Désolé, je ne voulais pas te faire peur, tout le monde va bien. » Il en a la certitude maintenant.
Il se laisse guider, comme un enfant ravale gentiment les sentiments qui l’ont submergé, toujours un peu secoué tout de même. « De quoi tu parles ? Qu’est-ce qui t’as mis dans cet état ? » Acquiesce de la tête, sans que les mots ne sortent « T’as un peu d’eau ? » Il lui semble qu’il lui faut encore quelques minutes pour atterrir. Suit son frère qui lui donne un verre d’eau et lui montre un endroit pour s’installer, son regard toujours plein d’incompréhension sur Oscar. Il lâche finalement après quelques gorgées d’eau. « Quel con ce Josh… » Il en devient de plus en plus vulgaire.« Je ne l’ai jamais aimé, mais là… » À nouveau, il lève le regard, comprend que son discours est encore incohérent pour son frère. Il m’a envoyé un article avec ses condoléances. Il disait que tu étais mort… » Il avale à nouveau difficilement sa salive. « D’une overdose. » Il se sent honteux maintenant d’y avoir cru, de ne rien avoir vérifié, il n’est pas si stupide habituellement. « J’ai flippé, désolé… » Son regard sur son verre d’eau, il hésita à poursuivre. « Je ne voudrais pas que notre dernière conversation ait été à propos de la fille que tu fréquentes depuis des mois et que je ne connais même pas. » Est-ce qu’il ne peut ne s’en vouloir qu’à lui ? Sans doute…
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HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
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mon équipement :
Midas Sterling
la nuit des temps
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
« Merci. » Je m’efface et laisse donc passer mon frère, qui découvrira donc l’endroit où je vis pour la première fois dans des circonstances particulières. Pour l’instant, je ne parviens pas à être content qu’il soit là, ou étonné, ou même agacé ou un quelconque autre sentiment et pour cause : j’ai toujours trop peur qu’il soit venir jusqu’à moi pour m’annoncer une mauvaise nouvelle. Après ma fratrie, je songe à mon oncle et ma tante, à mes cousins ou même à l’un des enfants de la famille. Je m'accroche à l’idée que j’aurais été prévenu autrement que par un Oscar bouleversé venu directement jusqu’à chez moi s’il était arrivé le pire à quelqu’un à qui je tiens mais, en même temps, je ne peux m’empêcher de songer que pour justifier son agitation, quelque chose de terrible s’est forcément produit. « Oui, je… Désolé, je ne voulais pas te faire peur, tout le monde va bien. » Je pousse un soupir de soulagement et je laisse mes épaules qui s'étaient relevées sans que je ne le réalise retomber. Les bras le long du corps j’avance dans la pièce sans trop savoir si je dois inviter Oscar à s’installer, si je dois lui proposer à boire ou s’il n’est là qu’en coup de vent. Je ne sais pas pourquoi il est là : c’est aussi simple que ça. « T’as un peu d’eau ? » - « Ouais bien sûr, suis-moi. » L’entrée dépasseé, je conduis mon frère jusqu’à l’immense salon/cuisine coupé en deux pas un ilôt central en marbre blanc. « T’as qu’à t’installer sur le canapé, j’arrive tout de suite. » Joignant le geste à la parole, j’attrape un verre dans l’un des placards accroché au mur, avant de le remplir au distributeur intégré à mon frigo américain. Je rejoins rapidement Oscar un peu plus loin, avant de poser le verre devant lui sur la table basse et de m’asseoir face à lui. Que c’est étrange, de me retrouver face à mon frère dans cet environnement aussi aseptisé que notre relation.
« Quel con ce Josh… Je ne l’ai jamais aimé, mais là… » - « Tu m’expliques ? » Je l’encourage, sans exiger ; je marche toujours sur des œufs avec Oscar lorsque je discute avec lui - pas souvent, donc. « Il m’a envoyé un article avec ses condoléances. Il disait que tu étais mort… » - « Que j’étais mort ? » Je tente de faire refluer mon rire nerveux, réflexe développé après des années à lire tout et rien sur mon compte. « D’une overdose. » Mes yeux s’agrandissent de surprise. « T’as cru que j’étais mort d’une overdose ? » Je ne risque pas grand-chose à ce sujet : ma vie est bien plus ennuyante à mourir que celles que me prêtent les tabloïds. « Pardon, je suis pas en train de me foutre de ta gueule. C’est juste que. » Je passe ma main devant ma bouche comme pour effacer le rire qui y flottait encore il y a quelques secondes. « Ce genre de feuille de chou sait plus quoi écrire. Toutes les semaines ils trouvent quelque chose, quand c’est pas Jo qui est enceinte, on s’est marié aux Maldives en secret. » Songeur, j’ajoute. « L’overdose, ils avaient encore jamais fait. » Je n’en reviens pas de m’être inquiété, d’avoir cru qu’il pouvait être arrivé quelque chose à l’un des membres de ma famille simplement parce que Oscar, peu habitué à lire tout et rien à mon sujet, a vraiment cru que j’étais mort.
Oscar s’est inquiété. Oscar était même bouleversé, et ça, ça me touche bien plus que je ne pensais que c’était possible. « J’ai flippé, désolé… » - « T’excuse pas. » Je ne lui dis pas que cela me fait plaisir qu’il se soit mis dans tous ses états pour moi, je ne veux pas que ce soit mal interprété. « T’es pas habitué, c’est normal. Tu me déranges pas en plus. » Mon inspiration n’est pas si tenue qu’un rien m’en prive. D’ici une demie-heure ou une heure, il sera toujours temps de continuer à travailler sur cette chanson à laquelle j’ai pensé il y a deux nuits et qui m’obsède depuis. La page blanche est derrière moi et, une fois de plus, mon talent créatif s’est réveillé pour chanter mon malheur d’avoir perdu ou de craindre d’avoir perdu Jo. Rien de neuf sous les tropiques. « Je ne voudrais pas que notre dernière conversation ait été à propos de la fille que tu fréquentes depuis des mois et que je ne connais même pas. » Oscar ne m’a jamais rien dit d’aussi touchant depuis… Et bien, j’ignore quelle était la dernière fois qu’il m’a témoigné autant d’intérêt, qu’il m’a prouvé à ce point que malgré l’état de notre relation, je compte encore pour lui. « J’ai pas l’intention de me mettre à prendre de la coke, tu peux être tranquille. » Je ne peux pas lui affirmer que je vivrai encore de longues et belles années, personne ne peut promettre ce genre de chose, mais mon mode de vie ne présente pas plus de facteurs de risque que la moyenne, contrairement aux apparences. « Et je te proposerai bien de rencontrer Jo, mais on s’est disputé. » Je suis moins abattu que je l’aurais été si je lui avais dit la même chose il y a quelques semaines, mais j’ai repris espoir en dînant avec ma petite amie. C’est ce qu’elle est : personne n’a parlé de rupture, au contraire, nous parlons de réparer. « On a brisé la glace et on recommence doucement à se parler, mais sa tournée est pas terminée. Elle est en Europe, là. » Il faudra donc reporter les rencontres officielles. « Je désespère pas de l’amener à Kilcoy à Noël. » J’esquisse un sourire, sous-entendant qu’il pourra rattraper ça s’il le désire à ce moment-là. Je ne demande que ça, d’arriver à avoir un semblant de relation avec mon frère. J’apprécie de pouvoir échanger avec Amos lorsque j’en ressens le besoin, mais c’est différent et, surtout, cela ne fait que mettre en exergue l’état alarmant de ma relation avec Oscar.
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
the hurt just leaves me scared Oscar & @Midas Sterling ☆ crédit/rampld2
« T’as qu’à t’installer sur le canapé, j’arrive tout de suite. » Il est rentré un peu comme un zombie, hors de son corps, pas encore reconnecté à son esprit. Son envie de palper à son frère pour s’assurer qu’il est bien là, qu’il retient en se dirigeant vers le fameux canapé. Lui qui pensait avoir une maison luxueuse, ici tout est plus, tout est trop… grand. Il se demande comment son frère se sent ici, trouve que ça lui ressemble assez peu. Il le verrait mieux dans un petit terrier avec une guitare et un vieux sofa. Il oublie parfois que Midas est célèbre, connu, reconnu et que de toute évidence, il ne manque pas d’argent. Oscar n’est clairement pas le plus riche de la famille, même si leurs parents veulent s’en persuader.
Une fois son verre d’eau en main, il commence à recabler les neurones, se rend compte aussi de sa naïveté, qui ne manque pas d’être soulignée par l’attitude de son frère. « Que j’étais mort ? T’as cru que j’étais mort d’une overdose ? » Il voit bien que Midas fait des efforts, mais que la situation l’amuse et si les traits d’Oscar sont un peu sévères, ses sourcils froncés, un mince sourire s’affiche sur ses lèvres. Il donne un petit coup de main dans l’épaule de son frère. « Te fiche pas de moi ! Il m’a présenté ses condoléances, ce con ! J’ai pas réfléchi. » Oscar n’est pas un homme à gros mot en règle générale, mais l’émotion avait toujours eu le don de le rendre grossier, comme si les émotions trop fortes et incontrôlées pouvaient totalement le changer. « Pardon, je ne suis pas en train de me foutre de ta gueule. C’est juste que. » Il voit bien qu’il fait des efforts, mais il n’est pas fort. « Ce genre de feuille de chou ne sait plus quoi écrire. Toutes les semaines, ils trouvent quelque chose. Quand ce n’est pas Jo qui est enceinte, on s’est marié aux Maldives en secret. L’overdose, ils n’avaient encore jamais fait. » Un soupir quitte ses lèvres alors qu’il dodeline un peu de la tête. « J’aurais préféré qu’on m’annonce un faux mariage à choisir. » Sans doute que l’apprendre par un journal l’aurait peiné, mais bien moins secoué. « Je me suis fait avoir comme un bleu, n’est-ce pas ? » Il sourit maintenant, rassuré, et se sentait quand même un peu con. Il lui semble évident, maintenant que la pression est redescendue, qu’il aurait dû vérifier la source.
« T’excuse pas. T’es pas habitué, c’est normal. Tu ne me déranges pas en plus. » « Tant mieux. » Il n’aurait plus manqué qu’il arrive comme un cheveu sur la soupe à un moment inopportun. « Tu étais en train de faire de la... musique ? » Il n’y connaît tellement rien que c’est presque ridicule de poser la question de cette manière, composer ? Écrire ? Il ne sait pas vraiment ce que fait Midas… Mais c’est une donne qu’il essaye comme il peut de commencer à renverser. Tâtant le terrain, incertain de la réaction que son frère aura à ce revirement de situation. À bien y réfléchir, il doute d’avoir déjà questionné sérieusement sa passion. Arquer que le sujet ne l’intéressait pas, étant plus simple pour garder une distance de sécurité suffisante avec son frère. « Je n’ai pas l’intention de me mettre à prendre de la coke, tu peux être tranquille. » « Je crois que… c’était de l’héroïne. » Il lève des yeux un peu coupables vers son frère. Conscient qu’il n’aurait pas dû croire aveuglément de tel stupidité.
« Et je te proposerai bien de rencontrer Jo, mais on s’est disputé. » « Oh… » Le détachement avec lequel son frère l’évoque lui laisse penser que ce n’est pas une information récente. « On a brisé la glace et on recommence doucement à se parler, mais sa tournée n’est pas terminée. Elle est en Europe, là. Je ne désespère pas de l’amener à Kilcoy à Noël. » Il se dit que les relations longues distance comme ça doivent être un sacré challenge, lui n’est même pas capable de briser la glace avec sa femme qui est pourtant dans la même maison, parfois même dans le même lit que lui. « T’as l’air de tenir à elle. » Du moins, c’est ce qu’il a compris, et qui semble se confirmer aujourd’hui. « J’espère que ça va marcher pour vous. » Pour lui, en tout cas, si c’est ce qu’il souhaite. « Les relations de couple, c’est un truc complexe. Les parents ne nous ont clairement pas préparées à ça. » Les parents Sterling qui étaient du genre à ne jamais se brouiller devant les enfants, un couple parfait vu de l’extérieur. Aujourd’hui, quand il voit comme il est simple de berner le monde extérieur, il doute même de cette relation. « Tu me rediras pour Noël… Ça pourrait me plaire de le passer à Kilcoy. » Ça serait sans doute toujours mieux que de la passer ici, dans le silence de sa maison.
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call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
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mon équipement :
Midas Sterling
la nuit des temps
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
« Te fiche pas de moi ! Il m’a présenté ses condoléances, ce con ! J’ai pas réfléchi. » Dans les faits, je ne me moque pas vraiment de mon frère. Je regrette réellement qu’il soit tombé dans ce piège qui, de ma fenêtre, me paraît vieux comme le monde au regard du nombre de conneries que j’ai pu lire en ligne à mon sujet. Pour être au courant, il aurait fallu qu’Oscar s’intéresse à moi ou en tout cas à mon image médiatique ces huit dernières années et ai-je réellement besoin de préciser ce qui a déjà été attesté, à savoir que ce n’est pas vraiment le cas ? Je n’ai pas envie d’enfoncer le couteau dans la plaie, tout comme je n’ai pas envie que mon frère se méprenne sur ma réactions, si bien que je corrige vite, affirmant avec sincérité que je ne me moque pas, que je suis simplement amusé par sa réaction à cause de son aspect si incongru à mes yeux. « J’aurais préféré qu’on m’annonce un faux mariage à choisir. » Pas moi, pour tout un tas de raisons que je n’énoncerai pas à mon aîné qui n’est pas venu m’entendre parler de mes problèmes de couple. Le fait est que je ne suis pas certain non plus qu’il s’agisse du genre de chose que j’ai envie de partager avec lui, que son agitation me touche ou non, le sujet n’est pas là. « Je me suis fait avoir comme un bleu, n’est-ce pas ? » - « Ouais, désolé. Et maman a six ou sept ans d’avance sur toi. » La première fois que ma mère a gobé ce genre de chose, il s’en est fallu de peu pour qu’elle n’ait pas eu le temps de contacter une agence de pompes funèbres avant que je ne parvienne à la joindre. « Mais elle m’appelle toujours à chaque fois pour vérifier malgré tout, au moins, je suppose que toi t’auras appris ta leçon. » Avec empathie, j’ajoute. « S’il m’arrivait vraiment quelque chose, vous seriez pas mis au courant comme ça. » J’y ai veillé. Mon assistante possède le numéro de téléphone de chacun des membres de ma famille pour ce genre de cas de figure. Et quant à la probabilité d’un mariage, je jure ne jamais sauter le pas sans inviter toute la famille.
« Tant mieux. Tu étais en train de faire de la... musique ? » La maladresse d’Oscar ne lui ressemble pas, lui qui paraît tellement sûr de tout et surtout de lui-même. L’art n’est de toute évidence pas un domaine dont il maîtrise ne serait-ce que le vocabulaire. « Ouais, j’étais en train de composer. » Ou de réfléchir, ou de griffonner des pages entières de paroles sans liant les unes avec les autres ; le chaos a toujours fait partie de mon processus créatif sans que cela n’ait rien de négatif. C’est quand rien ne se passe avec moi qu’il faut s’inquiéter, pas quand je ne parviens pas à ordonner mes idées et envies. Ca, je le fais souvent dans un second temps avec l’aide de personnes bien plus structurées que moi. « Je crois que… c’était de l’héroïne. » - « Je saurais même pas où trouver de l’héroïne si je voulais essayer. » Je m’adresser à lui avec amusement, mais un brin de malaise motivé par une et une seule raison que je finis par expliciter. « Je ferais jamais ça à Posy, tu sais. » Mon frère pense peut-être que je ne suis pas un père investi et compétent pour le rôle, mais on ne m’enlèvera jamais que je ne ferais jamais rien susceptible de blesser ma petite fille. Au contraire, elle est souvent ma source de motivation principale lorsqu’il est question de m’améliorer en tant qu’être humain.
« T’as l’air de tenir à elle. » Là encore, nous continuons d’enfoncer les portes ouvertes et, mal à l’aise, je me frotte l’arrière de la nuque dans un geste qui est devenu un tic depuis bien des années. La formulation est de toute évidence un euphémisme, mais je suis bien trop pudique pour corriger mon frère et lui affirmer tout de go que je suis surtout fou amoureux de Joséphine Carter. « Oui, beaucoup. » Ce qui n’est pas faux en soi. Seulement, c’est loin de rendre toute leur noblesse aux sentiments que je ressens pour la piquante brune, mais c’est déjà un bon début pour mon frère qui ignorait son existence il y a quelques semaines encore. Nina ne s’intéresse pas beaucoup à ma carrière, mais sa sensibilité typiquement féminine lui a au moins permis de deviner que toutes mes chansons d’amour parlaient d’une et une seule femme, même si elle ne connaissait pas forcément son identité. Toutefois, pour être capable de ce genre de conclusion, il aurait fallu que mon frère suive un tant soit peu mon parcours dans l’industrie musicale. Je doute qu’il possède ne serait-ce qu’un de mes albums sans qu’il ne lui ai été offert par son épouse ou par les parents. Je n’offre quant à moi jamais ma musique, je trouve l’initiative bien trop prétentieuse. « J’espère que ça va marcher pour vous. Les relations de couple, c’est un truc complexe. Les parents ne nous ont clairement pas préparés à ça. » Si j’esquisse un sourire, c’est cette fois parce que je me rappelle m’être fait la remarque face à Nina, lorsqu’elle m’avouait alors que son mariage n’était qu’une illusion. Je me suis dit que si même elle qui donnait l’impression de vivre le conte de fée dont elle rêvait gamine traversait son lot de moments compliqués sans que nous soyons au courant, peut-être que j’ignorais encore beaucoup de choses sur les relations de couple. « Tu crois qu’eux aussi, ils font plus semblant d’être heureux qu’ils le sont ? » Puisque je n’ai pas le moindre soupçon quant à l’état du mariage de mon frère, c’est bien toujours celui de ma sœur aînée que j’utilise à titre de comparaison. « Nina m’a dit qu’elle vivait chez toi… » Je ne veux pas qu’il hésite de peur de me réveiller un secret qui n’en est plus un pour moi. « Elle va comment, pour de vrai ? » Elle a tenté de faire bonne figure face à moi, en partie parce que nous ne sommes pas proches, mais peut-être s’est-elle montrée un peu plus authentique avec le brun ? « J’arrive toujours pas à y croire. » Parce qu’ils avaient l’air heureux d’une part, et parce que Ruben était mon ami de l’autre, et que je ne le voyais pas comme le genre d’homme capable de se conduire comme il l’a fait. En plus d’avoir mal au cœur pour ma grande sœur, je suis déçu à titre plus personnel et, pour l’instant, je me suis focalisé sur ma propre relation pour éviter d’avoir à y penser.
« Tu me rediras pour Noël… Ça pourrait me plaire de le passer à Kilcoy. » La question me surprend et pour cause : mon frère a toujours été bien plus en contact avec nos parents que je ne le suis de mon côté. « Tu seras au courant avant moi, non ? » Je hausse les épaules, comme si cela ne me touchait pas, avant d’ajouter. « Je veux dire, je suis presque sûr que t’es plus haut que moi dans la liste de contact des parents. » Je tais que je serais heureux de l’y retrouver et de lui présenter celle que je considère comme la femme de ma vie, ce genre de déclaration n’a jamais eu sa place entre nous.
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
the hurt just leaves me scared Oscar & @Midas Sterling ☆ crédit/rampld2
Le stress d’Oscar avait eu paradoxalement l’effet de briser la glace : là où habituellement les deux frères se regardaient dans le blanc des yeux, n’ayant que peu de sujet de conversation, aujourd’hui, la fluidité était de mise. Oscar ayant mis son cerveau en veille pour se rapprocher un peu plus de ses émotions, et par la même occasion de son frère. On était très loin de l’entente amicale et sereine que l’on pourrait espérer, mais c’était déjà un pas important qui se devait d’être souligné. « Ouais, désolé. Et Maman a six ou sept ans d’avance sur toi. Mais elle m’appelle toujours à chaque fois pour vérifier. Malgré tout, je suppose que toi, t’auras appris ta leçon. » La mâchoire de l’aîné de la famille qui s’ouvre un peu plus. « T’es sérieux ? Mais ça arrive si souvent que ça ? » Il faut dire qu’Oscar n’avait pas vraiment été assidu pour suivre l’actualité de son frère, préférant fuir comme la peste toute information qui pourrait le concerner. Ce n’était évidemment pas une tâche facile, son frère semblant se glisser dans tous les coins de rue, tous les ascenseurs, toutes les radios. Midas n’était plus un étranger pour personne, ce qui n’avait pas augmenté l’intérêt d’Oscar pour autant, bien au contraire. « S’il m’arrivait vraiment quelque chose, vous ne me seriez pas mis au courant comme ça. » Les mots l’intriguent, puisque de toute évidence, il ne sera plus là pour le dire. Quelle est la procédure exactement ? « T’as quand même pas une personne engagée spécialement pour avertir ta famille de ton potentiel décès ? » C’était évidemment un peu naïf de penser qu’il puisse y avoir une personne dont le rôle serait uniquement celui-là, mais tout semblait tellement démesuré dans la vie de son frère qu’il est difficile de faire la part des choses pour Oscar.
Malgré tout, Oscar se sentait gêné d’être apparu dans l’espace privé de son frère, en grande trombe et sans le prévenir au préalable, c’était une attitude inhabituelle pour lui, et était soulagé d’apprendre qu’il ne le dérangeait pas. « Ouais, j’étais en train de composer. » Bien que la pensée de poser plus de questions lui passe en tête, Oscar se contenta de hocher la tête : être ici et faire la discussion avec son frère était déjà un effort qu’il n’avait pas imaginé fournir avant ce jour. Il restait certaines portes, qu’il n’était pas encore disposé à franchir. « Je ne saurais même pas où trouver de l’héroïne si je voulais essayer. » Un léger rire de gène franchit les lèvres d’Oscar, alors que son frère reprend déjà. Je ne ferais jamais ça à Posy, tu sais. » À vrai dire, il ne sait pas trop, n’a jamais vraiment compris la relation de son frère à sa fille, il sait toutefois qu’il est la première personne à blâmer pour ça. « Ouais, j’imagine… » Il ne peut faire que ça, imaginer ce que c’est que d’être lié à un enfant de la sorte, à son enfant, le fruit de sa chair. Ce triste constat qui le ramène toujours au même endroit, celui où il se renferme, parce que parler de sa nièce le renvoie à ses propres peines, celle qu’il ne partage pas. « J’imagine qu’elle passe avant tout… » Sa voix se perd un peu, il se gratte le fond de la gorge, comme pour prétendre que ce changement de ton n’est dû qu’à un chat dans la gorge. Espérant pouvoir rapidement trouver un sujet plus abordable.
Sa petite amie, ça semble être un sujet neutre, enfin du moins jusqu’à ce qu’il comprenne qu’elle ne l’est plus vraiment, une situation qui semble peiner son frère, qui pourtant garde une certaine contenance. « Oui, beaucoup. » Midas n’en dira sans doute pas plus, Oscar n’en demandera pas plus non plus, les étapes ne peuvent pas être toutes sautées d’un coup, ce n’est pas ce soir qu’ils reconstruiront des années de relations perdues. « Tu crois qu’eux aussi, ils font plus semblant d’être heureux qu’ils ne le sont ? » Les mots « eux aussi » lui donnent un petit coup de chaud, comme si son frère avait soudain eu le pouvoir de lire en lui. Il lui faut heureusement moins d’une demi-seconde pour comprendre qu’ils ne lui sont pas destinés, même si les protagonistes ne sont pas encore clairs. « J’en sais rien… Je préfère croire que ce n’est pas le cas. » Mais il connaît trop bien les faux-semblants aujourd’hui pour y croire totalement. Il se rassure tout de même en se disant que pour eux, la stérilité n’a jamais été un problème, preuve en est les 4 rejetons qu’ils ont pendus l’un après l’autre.
« Nina m’a dit qu’elle vivait chez toi… » À cet instant, la lumière s’allume dans son esprit. C’est eux le couple a faux semblants, en tout cas celui de la famille qui a déjà éclaté. Bien qu’aujourd’hui Oscar commence à douter de ses compétences, pour éviter que son couple ne suive le même chemin. « Elle va comment, pour de vrai ? » Cette fois, c’est un léger haussement d’épaule qu’Oscar lui donne comme réponse. « Difficile à dire… » Même pour lui, qui est sans doute le plus proche d’elle dans la fratrie et qui vit sous son toit. Nina et lui étant plus doués pour s’envoyer des vacheries que pour avoir des conversations sérieuses et profondes sur la vie l’un de l’autre. « Elle est fidèle et elle-même, elle va de l’avant et elle se blinde… Mais ça lui a foutu un sacré coup, je crois… » Pour qu’elle finisse par s’installer chez lui, c’est qu’il en fallait une tartine. La fierté étant un trait de caractère qu’ils partageaient tous les deux. « Je n’arrive toujours pas à y croire. » Il n’était pas sûr de pouvoir en dire de même, Ruben ne lui ayant jamais attiré une sympathie particulière. « Moi non plus, je ne peux pas croire que ce petit con se trouve une fille beaucoup trop bien pour lui, et qu’il se permet un truc pareil. Il est sans gêne ce type. » Et lui sans filtre quand il est question de son beau-frère. « Enfin… C’est ton pote, non ? » Ou c’était, Oscar reste incertain sur le camp de Midas dans cette histoire, pour peu qu’il ait eu le courage de se positionner.
L’évocation d’un Noël à Kilcoy lui semble d’un coup la parfaite échappatoire. Il lui semble impossible aujourd’hui de prédire ce que sera sa relation dans quelques mois, mais s’offrir une escapade loin de la demeure conjugale lui semble une idée alléchante. « Tu seras au courant avant moi, non ? Je veux dire, je suis presque sûr que t’es plus haut que moi dans la liste de contact des parents. » Un sourire amusé se fige sur le visage d’Oscar. « Je te le confirme, Midas. » La mine enjouée se veut taquine, bien qu’il y ait un fond de vérité. La célébrité n’achète pas tout, et dans leur cas, pas l’intérêt de leurs parents. « Mais c’est juste parce que je suis plus joignable. » Et surtout, toujours dans le coin, contrairement à Midas. « Ils font comme si ça ne leur plaisait pas d’avoir un fils célèbre, mais dans le grenier, j’ai trouvé un album rempli de découpure de journaux qui parle de toi… » Il semblerait que la fierté est finalement un truc de famille. Midas et Olive ayant peut-être réussi à en réchapper eux.
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ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790
TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
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olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
« T’es sérieux ? Mais ça arrive si souvent que ça ? » Pour peu que l’on prête attention à tout et n’importe quoi, oui. Les journaux people un peu plus sérieux ne publient que plus rarement des informations basées sur des rumeurs mais il n’en reste pas moins vrai que l’avènement des réseaux sociaux et de l’actualité en ligne sous toutes ses formes a fait primer la quantité sur la qualité. Alors, je renvoie à mon frère une mine désolée. « Ouais, mais pas sur des trucs crédibles. » Je suis certain que s’il était tombé lui-même sur l’article plutôt que s’il l’avait reçu de la part d’un autre, Oscar n’y aurait même pas prêté attention. Mais la réaction de son collègue a certainement apporté du poids à la rumeur et mon frère n’a pas réfléchi : il a foncé tête baissée. C’est classique et, dans un sens, je suis presque amusé que quelqu’un aussi sérieux et inflexible que mon aîné soit tombé dans ce genre de piège grotesque. « T’as quand même pas une personne engagée spécialement pour avertir ta famille de ton potentiel décès ? » - « Mais non. » J’éclate d’un rire franc et communicatif. « Mais mes équipes savent quoi faire s’il m’arrivait quelque chose. » Quand on passe son temps à l’autre bout du monde ou dans des avions, le moment où l’on pense à ce qu’il se passerait s’il nous arrivait quelque chose alors que des milliers de kilomètres nous séparent de notre famille arrive forcément. « Lidia, mon assistante - » Je précise puisque Oscar ne connait pas le prénom de la jeune femme et qu’il me semble inutile de le laisser se poser des questions qui n’ont pas lieu d’être. « - a tous vos numéros de téléphone. » Juste au cas où.
« Ouais, j’imagine… » Il a presque l’air dubitatif et cela me vexe. Nous ne nous connaissons pas réellement, Oscar et moi, ou pas comme deux frères devraient se connaître et, par conséquent, sa réaction ne devrait pas me toucher, mais c’est le cas et je n’y peux rien. Elle n’est que le revers de la médaille, les conséquences de tout le secret qui entoure l’existence de ma petite fille ; il est facile d’en conclure que je suis un père à moitié présent, alors que je fais tout pour faire partie de la vie de ma gamine, aussi compliqué que ce soit parfois, à cause des toutes les circonstances dans lesquelles j’évolue. « J’imagine qu’elle passe avant tout… » - « Bien sûr qu’elle passe avant tout. » Je l’affirme avec plus d’aplomb qu’il ne m’en connais, parce que je ne tolère pas qu’il subsiste le moindre doute à ce sujet. Je jongle entre mes obligations et ma vie de célébrité et le bien être de ma famille mais, si un jour je ne devais plus parvenir à concilier les deux, Posy serait le choix évident, je la choisirais elle en un battement de mes cils ridiculement long.
Oscar a presque l’air sur la défensive ou, en tout cas, il a l’air déstabilisé lorsque j’évoque le mariage de nos parents et que, à la lumière de tout ce que j’ai appris concernant celui de Nina, je me permets des questions et des hypothèses. Naïf, je n’envisage pas une seule seconde qu’il envisage que je parle de lui, puisque, de toute évidence, je ne sais rien concernant son propre couple. J’ai été invité au mariage d’Oscar et d’Elisa, et je crois qu’il s’agit encore aujourd’hui de la fois où j’ai eu le plus l’occasion de les observer ensemble. Ils avaient l’air heureux, et je me suis arrêté là. « J’en sais rien… Je préfère croire que ce n’est pas le cas. » Mal à l’aise, je finis par hausser les épaules. « Je me dis qu’ils ont toujours eu l’air heureux et que c’est pas possible de feindre à ce point pendant autant d’années. » Nous étions des gamins naïfs, mais des gamins naïfs vivants sous leur toit, je me fais la réflexion que nous aurions senti que quelque chose clochait si cela avait été le cas. « Je me suis toujours dit que tous les couples heureux devaient ressembler à ça. » Et je n’ai jamais cherché ou désiré remettre en question le modèle équilibré et sain que j’ai eu sous les yeux pendant toute mon enfance.
Et quand Nina et Ruben ont commencé à vivre une histoire d’amour, j’ai bêtement eu l’impression de reconnaître le genre de schéma équilibré avec lequel nous avions grandi, le même que celui qu’Oscar et Elisa semblent répéter eux aussi. Il n’y a que moi dans la famille pour vivre des histoires rocambolesques à ce niveau, tout du moins c’est ce que je croyais. « Difficile à dire… » Je relève vers lui un regard qui semble l’interroger et lui dire "même pour toi ?" J’espérais qu’il pourrait me rassurer, ou au moins me guider sur comment aider notre soeur puisque je l’aime autant que lui, même si nous ne sommes pas aussi proches. « Elle est fidèle et elle-même, elle va de l’avant et elle se blinde… Mais ça lui a foutu un sacré coup, je crois… » J'acquiesce, avant d’ajouter. « Tu te doutais qu’ils avaient des problèmes ? Elle s’est confiée à toi, ces dernières années ? » Lui a-t-elle dit que Ruben l’avait poussée à avorter, sans lui forcer la main, mais en lui faisant malgré tout comprendre que c’était lui ou le bébé ? Nina a-t-elle avoué ça à Oscar, ou me l’a-t-elle dit dans un instant de faiblesse ? Je préfèrerais que cela ne soit pas le cas : j’ai terriblement besoin de mon frère pour m’aider à y voir plus clair dans tout ça, pour partager avec moi le désarroi que j’ai ressenti face à la confession de la blonde. « Ils venaient de se marier. J’arrive vraiment pas à y croire. » Je pensais sincèrement que nos parents connaîtraient le bonheur de devenir à nouveau des grands parents dans l’année à venir. « Moi non plus, je ne peux pas croire que ce petit con se trouve une fille beaucoup trop bien pour lui, et qu’il se permet un truc pareil. Il est sans gêne ce type. » Je n’ai jamais vu les choses sous cet angle : j’ai grincé des dents quand Ruben a commencé à sortir avec ma sœur, mais en bonne pâte, je n’ai jamais souhaité autre chose que leur bonheur, malgré tout. Et je pensais sincèrement qu’ils étaient parfaits l’un pour l’autre. « Enfin… C’est ton pote, non ? » - « C’était mon pote, ouais. » Je n’envisage plus de le dire au présent pour l’instant. Je ne sais pas ce qu’il reste de notre amitié, pas alors que je suis déchiré entre ma loyauté envers mon sang et l’envie de comprendre. Je n’arrive pas à accepter de m’être simplement trompé sur l’homme que Ruben est réellement, qu’il a toujours été sans que je ne m’en rende compte. « Je l’ai pas revu depuis qu’elle m’a dit. » Je n’en ai pas envie ; je ne serais bon à rien d’autre qu’à lui coller mon poing dans la figure si je le faisais, et je n’aime pas les conséquences que mon geste pourrait avoir. Si je ressens toutefois le besoin de le préciser, c’est avant tout pour qu’Oscar ne doute pas une seule seconde de la personne à laquelle va ma loyauté. Quoi qu’il puisse en penser, la famille a toujours tenu une place importante dans ma vie.
Je suis le premier à regretter d’avoir une relation si compliquée avec mes parents aujourd’hui. Les non-dits ont fait pérécliter notre complicité, comme c’est le cas avec Oscar, et je me suis construit avec la douloureuse impression de ne pas vraiment être compris, bien qu’ayant réussi envers et contre tout. « Je te le confirme, Midas. » Je n’en avais pas besoin, tout comme je ne sais pas quoi faire de son ton amusé, mais mon visage conserve toute sa neutralité. « Mais c’est juste parce que je suis plus joignable. » Je me retiens de dire que cela dépend pour qui. « Ils font comme si ça ne leur plaisait pas d’avoir un fils célèbre, mais dans le grenier, j’ai trouvé un album rempli de découpure de journaux qui parle de toi… » Sa déclaration me coupe la chique et, pendant un instant, je ne sais pas quoi répondre. Je mentirais si je prétendais que cela ne me touche pas : mais est-ce que cela compense les mots parfois durs de mon père à mon encontre ? Je secoue la tête, perturbé, en proie à des émotions contradictoires. « T’étais pas là quand Olive leur a annoncé qu’elle avait arrêté ses études. Ils l’ont traité comme si elle était la pire des ratée. » Et ma sœur n’avait pas besoin de ça. « Alors qu’ils aient des photos ou pas, ça change pas le fait qu’on a le droit d’être en colère, elle comme moi. » De peur de devenir le vilain petit canard, comme moi, notre cadette a tenté de se plier à leurs attentes, avant d’être écrasée par un univers qui n’était pas fait pour elle et, pour ça aussi je leur en veux. « Malgré ça, on est tous les deux là à chaque noël et aux fêtes de famille les plus importantes. » Je jongle certes avec un emploi du temps compliqué, je ne suis pas chez eux tous les dimanches pour le déjeuner, mais je ne suis pas un fils indigne qui a abandonné ses vieux parents. « Merci de me l’avoir dit. » Parce que sa confession résonne en moi d’une certaine façon et que, sans oser l’avouer, je la chéris déjà. « Mais notre relation est pas celle qu’elle est parce que je suis trop occupé ou pas joignable. » Celle que j’entretiens avec nos parents, mais aussi la nôtre : le sous-entendu n’en est pas vraiment un.
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
the hurt just leaves me scared Oscar & @Midas Sterling ☆ crédit/rampld2
Oscar lui n’a jamais pensé à sa mort, qui préviendrait sa famille ? Elisa, sans doute, elle sera la première avertie. Aujourd’hui, il se demande ce que lui procurait cette information. Est-ce qu’elle se sentirait libérée, triste, soulagée ? Il n’est plus bien sûr, et cette pensée le perturbe assez pour déconnecter quelques secondes de la conversation et revenir quand son frère annonce. « Lidia, mon assistante, a tous vos numéros de téléphone. » Il lui semble que son frère a eu un rire, alors il laisse un sourire venir se figer sur son visage, ce doute qu’il a été un peu naïf à nouveau, que ce monde dont il ne connaît rien le fait passer pour un imbécile. Il déteste ce sentiment, comme il déteste à peu près tout ce qui touche de près ou de loin à la vie de son frère, sauf lui peut-être. De toute évidence. Il voudrait pouvoir en dire autant pour sa fille, mais il est encore loin de se considérer comme un oncle aimant. Heureusement, Midas semble lui avoir trouvé sa place auprès de cet enfant inattendu. « Bien sûr qu’elle passe avant tout. » Il le lui confirme encore, avec un aplomb qu’Oscar n’a pas souvent vu chez son frère. Lui n’a pas de certitude aussi forte, plus depuis des mois.
Il le sait, sans que Midas s'en aperçoive, cette conversation est une perche parfaite pour parler de ces problèmes. Il n’y en aura pas de meilleure, mais une fois de plus, il ne la saisit pas, se rassure de voir son frère rester sur les raies. Parler de ses parents, même de Nina et de son imbécile de mari. Ça, il peut le faire avec plus de facilité. « Je me dis qu’ils ont toujours eu l’air heureux et que ce n’est pas possible de feindre à ce point pendant autant d’années. » Il voudrait y croire aussi fort que son frère. Ses propres problèmes ont ébranlé ces certitudes depuis plusieurs mois maintenant. Il ne saurait pas dire depuis combien de temps Elisa et lui jouent à ce jeu de faux-semblants, mais sait qu’il peut maintenant le compter en années. Un cinéma probablement plus simple à jouer sans enfant dans le ménage. « Je me suis toujours dit que tous les couples heureux devaient ressembler à ça. » Oscar acquiesce. « Oui, moi aussi. » Le couple qu’il a pris comme modèle, ses parents qu’il a toujours eus en admiration. Ce point-là pourtant ne semble pas être partagé par son frère. Un point de discorde entre eux, resté pendant des années dans le silence. Un cisaillement dans la famille qui a créé des clans. Oscar et Nina, les ainés vaillants contre Midas et Olive, les cadets en perdition.
Une cassure que la fratrie essayait parfois de colmater, sans vraiment y arriver. Cet instant, à parler de Nina semblait être l’un d’eux. Une tentative de Midas de se rapprocher de sa sœur. « Tu te doutais qu’ils avaient des problèmes ? Elle s’est confiée à toi, ces dernières années ? » Il se racle un peu la gorge maintenant. Peut-être qu’il se sent coupable de n’avoir pas agi avant de n’avoir pas été le grand frère protecteur qui va enlever sa sœur au bras du méchant garçon. Il était plus simple d’estimer que ce n’étaient pas ses affaires, même s’il ne portait plus Ruben dans son cœur depuis longtemps. « Disons que oui… Ce n’est pas la première fois qu’il se montre décevant. » Depuis l’histoire de l’avortement, Ruben avait été tracé de la liste des personnes estimables à son goût. « Mais je n’ai jamais imaginé ça… » Parce que la tromperie était déjà un sujet sensible pour Oscar, et qu’il n’était, qui plus est, pas question d’une seule personne. La simple évocation de Ruben lui inspirant un dégoût profond. « Ils venaient de se marier. J’arrive vraiment pas à y croire. » Il s’en étonne pourtant, Midas connaissant Ruben bien mieux que lui. N’aurait-il pas dû être le premier à déceler une perversion certaine chez le chirurgien ? « Toi qui le connaît, il n’avait jamais fait un truc pareil avant Nina ? » Parce qu’il y a fort à parier qu’il n’est pas à son coup d'essaie « C’était mon pote, oui. Je ne l’ai pas revu depuis qu’elle m’a dit. » L’information le soulage tout de même, bien qu’il ne puisse que continuer à juger les choix amicaux de son frère. « C’est pas mon genre, mais… Je dois dire que l’envie de faire une descente chez lui pour lui faire regretter ses actions m’a traversé l’esprit. » Il ne doute pas que Nina aurait détesté qu’il s’en mêle, qu’il lui donne l’impression qu’elle n’est pas capable de gérer seule. Peut-être même que c’est lui qui en aurait payé les frais au final. « Mais je pense que perdre Nina est sans doute la pire des punitions pour lui, il ne trouvera pas mieux. » C’est son avis de frère, bien sûr. Encore faut-il que sa sœur ait le courage de ne pas y retourner.
Quand le sujet des parents vient sur le tapis. Il tente d'arrondir les angles. Lui-même ne croit pas vraiment à ces propos. Chez les parents Sterling, il n’a jamais été question de faux-semblants, et leur préférence pour leur ainé est une constante que tous les enfants connaissent. Même si son incapacité, à leur donner des petits-enfants avait commencé à ronger la corde de leur préférence. Oscar tente pourtant d’y apporter un peu de nuance, un moyen aussi de défendre leurs parents. « Tu n’étais pas là quand Olive leur a annoncé qu’elle avait arrêté ses études. Ils l’ont traitée comme si elle était la pire des ratées. » Le sujet qu’il lance est dangereux, et déjà, Oscar lève les yeux au ciel. « Je ne risquais pas d’être là… » Puisqu'il n’avait même pas eu le droit à l’information. Sa mère lui ayant expliqué le tout quelques jours après. Cette dernière s’effondrée à l’idée que sa fille n’utilise pas son potentiel. « Alors qu’ils aient des photos ou pas, ça ne change pas le fait qu’on a le droit d’être en colère, elle comme moi. » La moue d’Oscar est un peu agacée, le sujet est glissant, les a toujours opposés. « Ce n’est pas à moi qu’il faut dire ça. » Il n’a pas envie de l’entendre d’ailleurs, se retient de ne pas défendre ses parents contre le comportement de son frère, qu’il trouve exagéré et irrespectueux. « Malgré ça, on est tous les deux là à chaque Noël et aux fêtes de famille les plus importantes. » Il les trouve ingrats, ces cadets, de penser que ça suffit alors que leurs parents ont tout donné pour eux. « Merci de me l’avoir dit. Mais notre relation n’est pas celle qu’elle est parce que je suis trop occupé ou pas joignable. » Non plutôt parce que Midas l’a décidé de la sorte. Comme avec lui, sans doute, il faudrait qu’il fasse les efforts, là où son cadet se contente d’être lui-même et de leur faire comprendre que c’est tout ce qu’ils auront. « Ils veulent juste le meilleur pour vous. » Il ne peut pas s’en empêcher, sait pourtant que pour le bien des ménages le silence serait de mise. Il voudrait changer de sujet, mais se rend une fois de plus à l'évidence : Il n’a pas grand-chose à dire à son frère. « Enfin… Olive va bien sinon ? » Il pourrait sans doute lui demander lui-même, mais leur dernière entrevue n’a pas été des plus amicales et depuis le silence radio est de mise. Chacun campant sur ses positions.
1205mots
call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet