(ashan #20) pausing the world to stay right where we are.
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire depuis peu, la décision de rompre les fiançailles a été prise d'un commun accord, mais ça ne l'empêche pas d'avoir le coeur brisé. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1918 POINTS : 10
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : (ashan#20) › sometimes we're right, sometimes we're wrong. sometimes the lines just never been drawn. lay on the floor, sleep in your arms. pausing the world to stay right where we are. close all the blinds, lock all the doors. things fall apart and i'm wanting you more, you are everything i'm living for.
because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
pausing the world to stay right where we are @Izan Da Silva & Asher ThorhillConservatoire de musique
Parfois, l’anglais se demandait comment il avait fait pour en arriver là. Travailler au conservatoire de musique était tout de même différent de ce qu’il avait fait par le passé. Il se comptait chanceux d’y avoir été accepté comme professeur de guitare, alors qu’il ne possédait pas de diplôme en enseignement. Il avait simplement impressionné les bonnes personnes et ça n’avait pas de prix pour lui. Ash aidait les jeunes à s’améliorer et il avait un meilleur environnement et de meilleures ressources pour y parvenir. Il se disait parfois qu’il aurait probablement dû tout de même faire des études en enseignement. Il possédait toutes les qualités nécessaires pour guider les jeunes vers un meilleur avenir. Lui-même avait eu des professeurs patients et grâce à leur patience sans fin, il avait réussi à obtenir son diplôme du secondaire. Si on l’avait pris pour un délinquant, ce qu’il n’était absolument pas, il aurait lamentablement échoué. Ce n’était vraiment pas facile de vivre avec un déficit d’attention et de légers tics. Il en avait mis de l’énergie pour s’en sortir. Il aurait aimé que ce soit la même chose à l’université, mais il était allé droit dans un mur. Ash était trop jeune et bien trop naïf à cette époque pour s’en sortir, alors il n’avait jamais eu de diplôme d’études supérieures. Cela resterait en partie un de ses plus grands regrets. Ça et le fait de devoir supporter le jeune qui se trouvait en face de lui. « il faut être délicat avec les cordes de la guitare. » Mais en disant cela, une corde brisa à nouveau. Le jeune devait avoir environ douze ans. Il n’écoutait absolument rien de ce que disait Ash et en plus, il se la jouait en mode « rockstar ». Bien malgré lui, l’anglais laissa échapper un petit soupir. La patience était une vertu et heureusement, il en était doté et il n’était pas prêt d’en manquer. Il en avait vu des vertes et des pas mûres depuis qu’il enseignait la guitare. Il y en avait de toutes les sortes, des petits cons comme des je-sais-tout, mais heureusement, il avait eu beaucoup de bons élèves pour compenser tous ceux qui lui avaient fait se demander s’il avait fait le bon choix. Nicholas ou plutôt, Niko, comme il voulait se faire appeler, ne faisait pas partie de ses élèves doués. Heureusement, Ash se félicitait de ne pas enseigner les percussions. Ce serait le comble du malheur pour leurs oreilles à tous les deux. En fait, probablement qu’il deviendrait sourd à la longue. « ça donne très bien, je vais te montrer comment changer une corde… » De peine et de misère, il réussit à le lui montrer et il changea de lui-même la fameuse code. « à chaque fois que tu en casseras une, c’est désormais toi qui va la changer. » - « t’es vraiment pas drôle toi. je vais dire à mes parents que t’es pas gentil avec moi. ils vont arrêter de te payer. » Ash ne put s’empêcher de sourire à ces paroles. Il se pencha devant le jeune qui eut un mouvement léger de recul. « ça ne me dérange pas que tu ne me trouves pas drôle, mais quand on apprend à jouer d’un instrument, il faut le traiter avec respect. Et ça commence par l’entretien. ça ne me dérange pas que tu refuses de changer tes cordes, mais jouer avec une corde en moins, ça ne fait pas un beau son. Sur ce, es-tu prêt à continuer? » Le jeune le toisa du regard pendant quelques secondes et mis la guitare sur le sol, avant de diriger vers la batterie. « okay, fais ce que tu veux… » Il alla s'asseoir sur un banc plus loin et le regarda s’épuiser sur les percussions jusqu’à l’épuisement. Après tout, il restait une heure au cours. Il allait se tanner avant, non? non?
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : fiançailles rompues d’un commun accord, le désordre ambulant est de nouveau célibataire, le coeur en miettes MÉTIER : pianiste émérite mondialement connu, compositeur et interprète, vagabonde (plus trop) sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées (vraiment) trop bruyantes LOGEMENT : #547 Bayside, un appartement qu'il partage avec sa meilleure amie & trois chats POSTS : 1190 POINTS : 0
TW IN RP : crise d'angoisse, pression familiale, désamour parental, burn-out, addiction aux médicaments, langage vulgaire. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ›› cynophobe depuis l’âge de six ans ›› les bonbons acidulés en intraveineuse ›› ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ›› insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ›› insulte les gens en espagnol ›› mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ›› ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ›› vit avec deux chats : sol & luna.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ashan#20 • all i want is nothing more to hear you knocking at my door ‘cause if i could see your face once more i could die as a happy man i’m sure. when you said your last goodbye i died a little bit inside, i lay in tears in bed all night, alone without you by my side. ‘cause you brought out the best of me, a part of me i’d never seen, you took my soul wiped it clean, our love was made for movie screens
izen#9 & ua (dj) • lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. please swallow your pride if have things you need to borrow, for no one can fill those needs that you won't let show. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load if you call me
jayzan#5 • and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before, i'll be there for you 'cause you're there for me too. no one could ever know me, no one could ever see me seems you're the only one who knows what its like to be me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
samzan#3 • if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
sierra(scénario) • i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
AVATAR : taylor zakhar perez. CRÉDITS : daikunart (profil + sign) ›› baiedor (jayzan) ›› henryofwales (ashan) DC : maeve wang & yasmin hikmet INSCRIT LE : 11/06/2024
Il a l’impression qu’on le prend pour un idiot, Izan, alors qu’il est presque sûr qu’il n’en est pas un (du moins pas tout le temps). Davantage quand il s’agit du piano et la façon dont il doit tenir sa main au-dessus du clavier — aux dernières nouvelles, c’est avec celle-ci qu’il a joué pendant presque trente ans, donc l’idée-même qu’on puisse vouloir lui (ré)apprendre à courber sa paume autrement l’oblige à rouler des yeux avec une insensibilité qui fait soupirer celui qui est chargé de sa rééducation musicale. ‘’Essaie, au moins.’’ l’homme, d’un certain âge, à la bonhomie généreuse et au crâne dégarni, doit sûrement regretter d’avoir accepté de s’occuper du prodigue mais, patient, il appuie ses coudes de l’autre côté de l’instrument en encourageant le plus jeune d’un mouvement du menton. Râleur mais pas de mauvaise foi (du moins partout le temps bis), l’hispanique gonfle ses joues pour soupirer avant de s’exercer comme on lui demande, même si les notes délicates produites par ses doigts sont rapidement recouvertes par un tonnerre de percussions qui traversent le mur comme un fracas informe. ‘’Pourquoi tu t’arrêtes ?’’ les yeux rivés vers le mur sur sa gauche, ses sourcils font un bond sur son front avant de redescendre pour se froncer, abasourdi que son professeur n’entende rien du tumulte chez le voisin ‘’Le bruit…’’ qu’il souffle en pointant du doigt la fameuse pièce à côté, sans que cela ne bouscule le professeur qui, se tournant brièvement vers le mur, balaye ces intrusions sonores de quelques mouvements de la main. ‘’On entend presque rien, recommence à jouer.’’ il n’est pas sérieux ça c’est ce qu’il se dit et c’est ce que sa grimace perplexe retranscrit, puisqu’il est tout bonnement incapable de se concentrer avec un tel tapage juste à côté de son oreille. Il n’est pas sourd, lui.
Se levant du banc en soupirant d’agacement — autant que pour le boucan que pour le professeur qui n’entend rien, Izan marmonne quelque chose d’incompréhensible qui doit ressembler à un « il faut tout faire soi-même ici », et dont il achève la composition quand il frappe contre la porte mitoyenne à la sienne dans le couloir. Appuyant son épaule contre l’encadrement de celle-ci, il regarde de l’autre côté du corridor en attendant que le battant s’ouvre et, lorsque le mouvement est effectué dans son champ visuel périphérique, il ondule du menton en posant ses yeux sur la personne qui lui fait face, dans un battement de cils. Et là, il y a une détonation qui résonne mais il est convaincu que c’est seulement dans sa tête ; quelqu’un d’autre l’a entendu ?
Il mentirait s’il affirmait ne pas avoir l’impression que son coeur est tombé dans son ventre comme un ascenseur défaillant, lâché à toute vitesse dans sa cage ; il y a forcément eu un court-circuit quelque part, un mauvais contact qui a fait grésiller son cerveau parce qu’il est incapable de choisir entre « salut » (trop impersonnel, trop nonchalant, trop court) et « mais qu’est-ce que tu fous ici » (trop personnel, trop impliqué, trop long), alors les deux se battent en duel mais pour pas grand-chose puisque, ses lèvres espacées gardent le silence lorsque ses iris mordorés glissant sur le côté, par-dessus l’épaule du guitariste. C’est un autre musicien qui attire son attention, d’une dizaine d’années seulement mais s’illustrant déjà comme le futur-musicien-fou ça c’est clair ’’J’étais venu pour me plaindre mais, en fait, c’est toi qui es à plaindre.’’ il ne s’en réjouit pas le moins du monde, mais il ne peut s’empêcher d’observer le gamin qui traverse la pièce pour aller récupérer sa guitare, enfilant la hanse épaisse autour de son buste frêle avant de venir en leur direction avec une démarche déterminée, n’ayant aucun scrupule à pousser son professeur pour tendre sa main vers Izan, afin de se présenter avec une assurance qui ne peut que laisser incrédule « Niko, enchanté ! » soufflant un petit air à la fois déconcerté et amusé, le pianiste baisse d’abord les yeux vers la main qu’on lui tend avant de la saisir, n’ayant pas le temps de dire son nom que « T’aurais des lunettes de soleil ? C’est mieux pour le style rockeur ! » là, Izan penche légèrement son menton sur le côté sans perdre son sourire quelque peu crispé, lançant un regard vers Asher en ayant l’air de demander lui aussi, il est sérieux ?’’Des lunettes de soleil, tu dis ? Eh non, désolé…’’ le gamin grogne, ou râle, le bruit n’est pas clairement identifié mais il n’est pas content et il s’éloigne en martyrisant sa pauvre guitare. ’’Il a l’air… Sympa.’’ finalement, le prof sourd, c’est pas si mal. Décollant son épaule du mur pour se redresser, il donne un petit coup de menton en direction du fameux Niko, tandis que ses yeux accrochent ceux du (vrai) guitariste. ’’Tu pourrais raconter ça à ta guitare ? Qu’elle sache que je ne suis pas le pire élève que tu aies eu.’’ et pile au moment où il dit, Niko s’emporte dans sa frénésie rock en frottant vigoureusement ses doigts un peu partout contre les cordes, faisant cligner des cils l’hispanique qui fait de son mieux pour ne pas éclater de rire. ’’Bon, j’te laisse t’as l’air occupé avec Kurt Cobain Jr…’’ il doit se retourner dans sa tombe, oui ’’…Il faudrait juste descendre d’un volume, ce serait sympa.’’ parce que sinon il rejoint Cobain dans sa tombe, voilà.
crédits/sweetfridays
c’est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, j’suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j’m’en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, j’ai tout raté je l'atteste mais il me reste ce que vous ne voyez pas. mais parait qu'j'en vaux pas la peine, moi, la peine, je la porte déjà. les démons qui me malmènent me ramènent à ce que je ne veux pas,
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(ashan #20) pausing the world to stay right where we are.
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