Some painters transform a yellow spot into the sun (Auden #1)
Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Plusieurs de ses compagnons de cours lui avaient venté les mérites de cet atelier proposé à la galerie. Pour Oscar, pourtant, il avait fallu plusieurs mois pour se convaincre de passer le cap. Premièrement parce qu’avant sa rencontre avec Norah, son inspiration l'avait tout bonnement quitté, mais surtout parce que quand il était question de son art, il n’aimait pas la nouveauté. Fait qui contrastait avec ses habitudes. Se rendre à un nouvel endroit, s’exposer à la vue de nouvelles personnes étaient un exercice difficile, et qu’il n’avait que peu souvent exécuté, préférant se contenter de retourner dans des ateliers connus. Ce qui lui assurait la sécurité de ne croiser que peu de nouvelles têtes ainsi qu'une certaine facilité à scinder vie privée et vie artistique. Il avait pourtant fini par se laisser convaincre, son prof actuel Henry étant tout à fait talentueux. Il lui semblait pourtant qu’il avait atteint les limites de ce qu’il était capable de lui transmettre et Oscar en voulait plus aujourd’hui. Bien sûr, il avait les compétences de développer des choses par lui-même, mais souvent pas la confiance d’aller totalement au bout de son œuvre. Puis il avait toujours été inspiré par l’art des autres, ce qui le poussait à passer de nombreuses heures dans les musées, galeries et expositions qu’il pouvait trouver sur sa route.
Alors quand finalement, il avait mis un pied dans la salle de cours, son sang n’avait fait qu’un tour en comprenant qui animait l’atelier. Pendant quelques secondes, il avait imaginé faire demi-tour, pas du tout enthousiaste à l’idée de montrer cette parcelle de vie à celui qui était, il n’y a pas si longtemps un de ses clients. Mais son regard avait croisé celui d’Auden et il avait été trop tard pour faire demi-tour. Un sourire de façade accroché au visage, il s’était rapproché de l’homme, lui offrant une poignée de main amicale. « Auden, je ne savais pas que c’était vous qui animiez cet atelier. » Leur relation avait toujours été amicale, bien que restant professionnel, puisqu’il n’avait jamais pris la peine de pousser les relations plus loin que le contexte de reconstruction de maison de son prof. Travail qui l’avait occupé plus que de raison, probablement. « Je ne vais pas m’en plaindre, votre talent n’est plus à prouver. » Évidemment, il fait bonne figure, mais ce n’est pas un mensonge pour autant, il a toujours admiré son travail. Et le lui avait confié très rapidement à leur rencontre. « Tout va bien dans votre maison ? » Il ne s’en inquiète pas vraiment, mais aime toujours s’assurer que le travail est bien fait. Pas de doute pourtant sur le fait que si ce n’était pas le cas. Il serait déjà au courant.
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet
code broadsword.
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mon équipement :
Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
Animer l’atelier des adultes n’est généralement pas ma passion, parce qu’ils sont tous éteints et dénués de toute forme de talent, mais ça n’en reste pas moins une activité que je continue d’exercer, parce que les ateliers sont la seule chose continuant de me relier à la galerie. Alors, ils continuent, qu’ils soient pour un public un brin plus imaginatif ou pour les adultes qui ont vraisemblablement trop de temps à tuer dans leur quotidien. Ce soir, pourtant, la figure familière d’Oscar capte mon regard sans que je ne cherche à poser mon ailleurs où que ce soit d’autre. La délicatesse n’a jamais été mon fort, la timidité ne m’a jamais habitée non plus. Le mélange des deux n’est qu’une vague définition de ma personnalité, laquelle ne suffirait pas à faire comprendre à autrui la personne que je suis réellement. Mais peu importe ; Oscar me connait assez pour savoir à quoi s’attendre. « Auden, je ne savais pas que c’était vous qui animiez cet atelier. » Pourtant, je suis à peu près certain que cela a constitué en la publicité première des ateliers. Je garde étonnamment mon commentaire pour moi et le noie au travers d’une poignée de main impersonnelle, qui est due uniquement parce que c’est à sa rapidité que je dois ma nouvelle maison - et surtout celle de Sloan.
« Je ne vais pas m’en plaindre, votre talent n’est plus à prouver. » Évidemment. « Tout va bien dans votre maison ? » - « J’ai pas pour habitude de voir passer des architectes par ici. » Parler poliment de ma nouvelle maison pour donner le change ne m’intéresse pas et il n’en sera sans doute pas étonné. Si je ne me plains de rien, cela signifie par extension qu’il n’y a rien nécessitant cette réaction de ma part. Ce n’est pas un sujet que je trouve intéressant outre mesure, si bien que je passe la politesse de mise pour me concentrer sur ce qui importe réellement. Ou sur ce qui m’importe moi, du moins. « T’es le bienvenue, mais je suis étonné. » Le tutoiement est de mise dans l’enceinte de ma galerie, et il est de façon plutôt générale de mise avec quiconque à qui j’adresse la parole. La bienséance n’est pas un concept que je peux suivre aveuglément, de toute évidence. Il ne m’intéresse pas le moins du monde. « Un trou soudain dans ton agenda ? Il faut que je te trouve un nouveau projet ? » J’ironise, déjà à peu près certain qu’il n’a pas besoin de mes demandes excentriques pour remplir son agenda. Il a sûrement même une liste de clients à ne plus savoir quoi en faire et des commandes par dessus la tête, raison pour laquelle sa présence ici est davantage pour m’interroger plutôt que quoi que ce soit d’autre - et puisque je m’interroge, je le formule à voix haute, trop peu habitué à ne pas obtenir ce que je désire.
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Oscar Sterling
la tour de babel
ÂGE : Trente-sept ans SURNOM : « Ozi » mais seuls sa femme et certains membres de sa famille se risque à le surnommer. STATUT : Marié depuis 2014, 10 ans d'un mariage d’amour dont il est très fier, mais qui aujourd’hui n’est plus que façade. MÉTIER : Enseignant en architecture à l'université du Queensland depuis 2021, il a gardé un pourcentage dans un cabinet d'architecture LOGEMENT : 162 edward street - Spring Hill POSTS : 593 POINTS : 3470
TW IN RP : fausse couche -infertilité - évocation de violence physique - sexualité TW IRL : aucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Ainé d’un fratrie de quatre élevé par de parents aimant et exigent ≈ Passionné de peinture et de dessin, intérêt qu’il cache à ces proches. ≈ Social et plutôt extraverti, il accorde pourtant difficilement sa confiance. ≈ Après un fausse couche en 2016, son couple a tenté désespérément d’avoir un enfant en vain ≈ Petit dormeur et superactif, sa vie est aujourd’hui rythmée principalement par le sport, son travail, son chien mais aussi par ses engagements au sein d’associations. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #999900 RPs EN COURS : ELISA ♡ I remember it now, it takes me back to when it all first started. But I only got myself to blame for it and I accept it now. It's time to let it go, go out and start again, but It's not that easy. › Oscali #5
FRATRIE STERLING ♡ Let me be your shelter, never leave you all alone.I can be the one you call when you're low. Let me be your fortress,when the night winds are driving on, be the one to light the way bring you home. › Nina #2 › Midas #2 › Olive #1
ANDREA ♡ The people who are meant to be in your life will always gravitate back towards you, no matter how far they wander. › Oscrea #3
NORAH ♡ There is a charm about the forbidden that makes it unspeakably desirable. › Norah #3
Plus Oscar est mal à l’aise, plus il comble les silences. Il a appris depuis longtemps à parler de la pluie et du beau temps, et à s’en satisfaire si besoin. Il est loin d’être de ceux qui rechignent à avoir des discours de complaisance, dans les soirées qu’il fréquente, elles sont trop souvent de mise, alors il a pris le pli depuis longtemps. La plupart des gens le décrivant comme une personne sociable et agréable. Excepté probablement, les gens les plus proches de lui, qui lui renvoyait en général une image de lui bien plus sombre et complexe. Pour Auden, Oscar n’est que l’architecte qui a travaillé sur sa maison. Et si l'artiste ne répond pas à ces questions, Oscar se fait une raison, ça non plus, ça ne le touche pas vraiment. Auden est de ceux qui vont droit au sujet qui les intéresse, il l’a compris. « Je n’ai pas pour habitude de voir passer des architectes par ici. » Cette remarque l’interpelle, il lui semble pourtant que ce ne sont pas des sujets si éloignés, ses anciens collègues de promotion ayant souvent décrit un intérêt pour l’art, sans doute bien moins prononcé que le sien, mais tout de même. « Et, je n’ai pas pour habitude de faire comme les autres. » Il tente de se donner une certaine posture, avouer qu’il est en fait mal à l’aise de se trouver ici en compagnie d’une personne qui le connaît dans sa vie privée n’est pas à l’ordre du jour.
« T’es la bienvenue, mais je suis étonné. » Le tutoiement d’Auden lui confirme qu’ici les lignes directrices sont différentes de son milieu professionnel, et sans lui demander, il prend le train en marche. « Si ce n’est pas moi, quel est le profil type des gens qui viennent à ton atelier ? » Il l’intrigue maintenant, n’a jamais eu l’impression de détonner totalement dans ses cours, bien qu’il se soit souvent trouvé entouré de gens bien plus marginaux que lui. Oscar étant plutôt terre-à-terre, son travail la ramenant souvent à la réalité et à la perspective des choses. Un axe de dessin qu’il tentait de casser en participant à ce type de cours. « Un trou soudain dans ton agenda ? Il faut que je te trouve un nouveau projet ? » Évidemment, il n’avouera pas non plus que ce cours est une raison de plus pour quitter son foyer. Pour ne pas avoir à faire face à sa femme et à la mort de leur relation. « Si tu en as un sous le coude, je suis toujours preneur. Même si je dois bien avouer que tu as été l'un de mes clients les plus exigeants. » Le travail pour la maison d’Auden ayant été fastidieux, il n’avait pas été mécontent d’en arriver à bout. Mais Oscar avait toujours aimé être challengé dans son travail, bien qu’actuellement et comme à son habitude, le travail ne manquait pas. « Soit dit en passant, j’espérais au moins recevoir une œuvre signée de ta main pour mon excellent travail sur ta maison. » S’il peut douter de son art, Oscar ne doute pas de ses talents dans son travail, son acharnement étant pour beaucoup dans sa réussite. Toutefois, il n’est pas sans savoir que plus une toile signée de la main de son ancien client n’est sortie depuis des mois.
call me a dinosaur
HE’D LEARNED TO BE ALONE, WALKING. AND IT WAS STILL GOOD NOW AND THEN. FOR THOUGHT. FOR RECOGNITION. - Lydia Millet