ÂGE : 33 ans ≈ né à brisbane le 10.04.1991, luke est un bon bélier comme il faut SURNOM : luke, mais il ne tire pas plus vite que son ombre, t'as capté - une jolie blonde aime l'appeler looser - il arrive que deux petites tornades l'appellent tonton STATUT : célibataire, briseur de coeur parfois, même du sien MÉTIER : ex-pompier, en reconversion LOGEMENT : fortitude valley, james street #30 POSTS : 853 POINTS : 820
TW IN RP : addictions, parents toxiques, incendies, maladie dégénérative TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sous ses airs nonchalants, c'est simplement un coeur tendre qui ne sait pas utiliser les mots ≈ fan de vieilles musiques et de vinyles ≈ on le croise souvent en balade en ville avec son chien, jazz ≈ écolo et végé, il adore parcourir les brocantes et fripes pour chiner de seconde main ≈ fume comme un pompier ≈ tromboniste amateur ≈ pas forcément le couteau le plus aiguisé du tiroir ≈ insomniaque depuis son accident en 2022 ≈ même s'il est réservé, il a tendance à user de ses charmes pour mettre une fille dans son lit ≈ se rend plusieurs fois par semaine aux NA depuis 2024DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #003333 RPs EN COURS : répertoire téléphonique : greta - joaquin - joshua - olive
how can you just walk away from me? when all I can do is watch you leave 'cos we've shared the laughter and the pain and even shared the tears ≈ mallen #7
just take my hand hold it tight i will protect you from all around you i will be here don't you cry ≈ millie #1
lady, running down to the riptide taken away to the dark side i wanna be your left-hand man ≈ mabel #5
can it be that it was all so simple then? or has time re-written every line? if we had the chance to do it all again, tell me, would we? could we? ≈ olive #4
we've taken different paths and travelled different roads i know we'll always end up on the same one when we're old ≈ joshua #2
Il a toujours du mal à croire qu’elle l’a suivi jusqu’ici. Cette jolie blonde, plutôt habituée aux magasins de haute couture et aux boutiques avec personnel shopper dans les rues huppées de Londres. Il trouve ça assez amusant de la voir errer au milieu de cette brocante, où les vieilleries et les bibelots remplis d’histoires jonchent le sol ou les tables disposées ici et là. Mais lui, il n’est pas venu pour ça. Son truc, à Lucas, c’est les vinyles. Il aime les brocantes, car c’est souvent l’occasion pour lui de trouver des raretés, à prix défiant toute concurrence. Et ça ne le dérange absolument pas de fouiller pendant plusieurs minutes, dans un bac où des disques plus vieux les uns que les autres, plus ou moins connus sont entassés. Le pompier scanne, fait passer les jaquettes les unes après les autres, dans l’espoir de dénicher une pépite. Le diable se cache dans les détails et on est jamais à l'abri d’une surprise ; une édition limitée, un disque sorti en très peu d’exemplaires… Rien n’est trop vieux pour sa collection personnelle. Soudain, il lève les yeux, sortant de son état quasi méditatif de chercheur de trésors. Il sent le regard de Greta sur sa nuque, postée à deux mètres de lui, Jazz assis juste à côté d’elle, la truffe en l’air. « Quoi ? », demande-t-il alors, essayant de décrypter l’expression de son visage. Il y voit un voile d’impatience, mais aussi autre chose, sans pour autant réussir à mettre le doigt dessus. Un sourire qu’elle tente de dissimuler par un faux regard sévère. Cela faisait vingt minutes qu’ils étaient arrivés et ils ne s’étaient arrêtés qu’à deux stands uniquement. « On sait jamais sur quoi on peut tomber, looseuse. », finit-il par dire, continuant sa recherche, distraitement. « Y a peut-être quelque chose qui vaut des centaines de dollars, là-dedans. » Il tente de la convaincre de l’importance de sa minutie et de sa persévérance, mais il a un doute quant à sa réussite. Le regard en travers de Jazz achève de le convaincre. Après tout, Greta ne l’a pas accompagné uniquement pour le regarder soulever de la poussière. Il le sait, mais essaie de retarder le moment où elle finira par aborder le sujet du retour de son frère à Brisbane. Une odeur de sucre caramélisé vient soudainement chatouiller ses narines et il tourne la tête. Un petit stand à quelques mètres de là propose des gaufres, crêpes et autres barbes à papa. L’occasion pour lui de se faire pardonner d’avoir trainé la blonde jusqu’ici. « Tu veux manger un truc ? C’est moi qui t’invite ! », lui propose-t-il, avec un sourire. Jazz, toujours à ses pieds, remue la queue à son tour. Peut-être qu’avec un peu de chance, il pourra participer à ce goûter improvisé, lui aussi.
i could run from it all but I'd only get lost oh, I've walked on the bridge that I shouldn't have crossed and I find myself, a user oh, I wake every day with addictions to feed they all call me a friend but I'll never be freed from the face of a faithless future
Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [09/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Sortir de sa zone de confort était l’un des points en haut de sa to do list lorsqu’elle était arrivée à Brisbane et si elle avait eu le sentiment de le faire à de nombreuses reprises, Lucas ne ratait jamais une occasion de la surprendre. Et c’était une sensation douce amère de le voir continuer sur une ligne continue une relation qui avait connu tant de haut et de bas. Il était probablement capable de le faire à nouveau maintenant que le temps avait fait son travail, mais il y avait certaines choses que Greta ne serait jamais capable d’oublier. La position qu’elle occupait face à lui était particulière, ils avaient choisi l’honnêteté et avaient bien failli devoir tirer un trait sur une amitié qu’ils savaient pourtant extrêmement importante pour leur équilibre. Bien sûr qu’il avançait sans elle, et c’était tant mieux, mais cette frontière qui s’était creusée la dérangeait parfois, alors prendre de ses nouvelles sous l’impulsion d’un Swann qui lui racontait ce qu’il jugeait nécessaire sans jamais dépasser les limites fixées de manière consensuelle entre deux amis - ou un kinésithérapeute et son patient - la rassurait. Malgré tout, chaque retrouvaille avec lui la rendait nerveuse, et elle était incapable de dire si cette sensation se dissiperait un jour.
« Quoi ? » « J’ai rien dit ! »
La situation l’amusait, et elle n’était pas vraiment las de l’observer ainsi concentré sur les vinyles dont les pochettes suffisaient à s’émerveiller. Elle devait se fondre dans la masse, prétendre qu’elle serait bel et bien excitée de tomber sur cette fameuse pépite qu’il mettait tant de cœur à dénicher. Les choses avaient plus de valeur pour lui qu’elles n’en auraient jamais pour elle, elle en était consciente, même si elle faisait de son mieux pour retrouver le plaisir de la simplicité. C’était ancré en elle, d’avoir accès à à peu près tout, et Lucas l’aidait à trouver son équilibre en la rappelant gentiment à l’ordre, ce qui avait eu pour effet de la faire rire. La blonde n’était pas connue pour être patiente, il le savait, et si elle avait fait des efforts elle semblait déjà avoir épuisé son quota pour la journée.« On sait jamais sur quoi on peut tomber, looseuse. » Pinçant les lèvres, elle avait levé le menton avant de le rabaisser rapidement pour venir confirmer tout en se moquant gentiment de son ami. « Y a peut-être quelque chose qui vaut des centaines de dollars, là-dedans. » « Difficile de trouver à ce rythme, tu sais que ça ferme à un moment, pas vrai ? » avait-elle répliqué, un sourcil arqué en sa direction et un sourire sur les lèvres. Elle avait besoin de cette distraction plus qu’elle ne l’avait réalisé avant d’arriver à la brocante. « Tu veux manger un truc ? C’est moi qui t’invite ! » Là encore, ses pieds s’étaient ancrés un peu plus sur terre, et elle avait accepté avec enthousiasme. « Je veux bien une gaufre, ça me donnera juste l’énergie dont j’ai besoin pour te faire patienter des heures pendant que je fouille dans les vêtements. » Elle exagérait pour plaisanter, dans un moment qu’elle chérissait parce qu’il était devenu trop rare. Lucas lui manquait, c’était une certitude, elle n’avait juste plus réellement l’occasion d’y penser encore moins de l’évoquer alors qu’Arthur avait pris toute la place dans son cœur et le sentiment se faisait plus vif maintenant qu’il l’avait à nouveau brisé. « Bon, je continue à faire semblant de pas savoir que t’as un truc à me dire ou on lance le sujet et comme ça c’est fait ? » avait-elle lancé, se balançant d’un pied à l’autre en attendant leur tour pour commander, déjà usée de ce début de journée qu’elle avait entamé perchée sur des bottines à talons. « Me regarde pas comme ça, fallait pas prendre tes séances de kiné chez mon meilleur ami si tu voulais éviter ce genre de fuites. » Les mains devant elle pour clamer son innocence, elle ne jetait pas réellement Swann sous les roues puisqu’il était évident que l’information venait de lui et qu’il n’avait rien dit de trop.
just know this too shall pass
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Lucas Allen
l'accident de parcours
ÂGE : 33 ans ≈ né à brisbane le 10.04.1991, luke est un bon bélier comme il faut SURNOM : luke, mais il ne tire pas plus vite que son ombre, t'as capté - une jolie blonde aime l'appeler looser - il arrive que deux petites tornades l'appellent tonton STATUT : célibataire, briseur de coeur parfois, même du sien MÉTIER : ex-pompier, en reconversion LOGEMENT : fortitude valley, james street #30 POSTS : 853 POINTS : 820
TW IN RP : addictions, parents toxiques, incendies, maladie dégénérative TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sous ses airs nonchalants, c'est simplement un coeur tendre qui ne sait pas utiliser les mots ≈ fan de vieilles musiques et de vinyles ≈ on le croise souvent en balade en ville avec son chien, jazz ≈ écolo et végé, il adore parcourir les brocantes et fripes pour chiner de seconde main ≈ fume comme un pompier ≈ tromboniste amateur ≈ pas forcément le couteau le plus aiguisé du tiroir ≈ insomniaque depuis son accident en 2022 ≈ même s'il est réservé, il a tendance à user de ses charmes pour mettre une fille dans son lit ≈ se rend plusieurs fois par semaine aux NA depuis 2024DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #003333 RPs EN COURS : répertoire téléphonique : greta - joaquin - joshua - olive
how can you just walk away from me? when all I can do is watch you leave 'cos we've shared the laughter and the pain and even shared the tears ≈ mallen #7
just take my hand hold it tight i will protect you from all around you i will be here don't you cry ≈ millie #1
lady, running down to the riptide taken away to the dark side i wanna be your left-hand man ≈ mabel #5
can it be that it was all so simple then? or has time re-written every line? if we had the chance to do it all again, tell me, would we? could we? ≈ olive #4
we've taken different paths and travelled different roads i know we'll always end up on the same one when we're old ≈ joshua #2
Lucas sourit en entendant la blonde répondre à son invitation par la positive - et aussi parce qu’elle semble finalement vouloir chiner quelques pépites vestimentaires. « Tu vois, tu commences à avoir envie de trouver un trésor, toi aussi ! », répond-il, avec enthousiasme. Rien ne lui ferait plus plaisir que de repartager quelque chose avec l’écrivaine, même si ce n’est qu’une simple passion pour les brocantes et les vieilleries. Leurs moments d’avant lui manquent - même s’il ne lui avouerait pas. Il a pris cette décision de garder ses distances, pour elle et pour lui. Pour autant, il essaie toujours de paraître à l’aise et détaché, de la taquiner, prenant sur ses épaules la charge de faire disparaître un quelconque malaise entre eux deux. Au bout de quelques mètres, ils se glissent dans la queue de personnes qui attendent patiemment pour commander. L’occasion parfaite pour Greta de le prendre au dépourvu, mettant directement les pieds dans le plat. Il ne peut pas dire qu’il ne s’y attendait pas - elle lui a envoyé un message précisément pour cette raison. Mais il a pensé, certainement naïvement, que le temps pour cette conversation allait attendre davantage. « J’imagine que ça dépend de ce que ton petit doigt t’a dit, hein ? » Déstabilisé, il n’a rien trouvé d’autre que de lui répondre par une autre question, l’air légèrement suspicieux. Il a besoin de savoir quelles informations elle a en sa possession. Malheureusement, sa tentative est un échec, puisqu’il n’apprend rien qu’il ne sait pas déjà. « Tu révèles tes sources comme ça, toi ? J’te félicite pas. », dit-il, en haussant un sourcil, sur un ton faussement offusqué. Évidemment, il ne s’agit pas là d’une surprise pour Lucas ; le kiné est la seule personne proche que lui et la blonde ont en commun. Il ne sait pas encore si cela l’embête que Swann lui ait touché un mot de ce qu’ils s’étaient dit pendant l’été. Il imagine bien que l’Anglais ne pensait pas à mal, mais le pompier se trouve maintenant dans une situation où il n’a pas toutes les cartes en mains, ne sachant pas exactement quels éléments le blond avait dévoilé à Greta. Le retour de son frère à Brisbane a été porté à sa connaissance, mais est-elle au courant pour le reste ? Vient alors leur tour de se faire servir, laissant ainsi davantage de temps à Lucas pour réfléchir à la stratégie à adopter. « Bonjour ! On va prendre une gaufre et une boule de glace vanille dans un pot, s’il vous plaît. », demande poliment le pompier, en adressant un sourire à la personne qui prépare les commandes. Une poignée de minutes plus tard, on lui tend la gaufre et sa boule de glace dans son réceptacle. Il fait signe à Greta d’aller s’installer avec Jazz à une table non loin, le temps pour lui de régler. Une fois assis avec elle, il glisse la gaufre sous son nez, avant de planter sa petite cuillère dans sa glace. Aucun d’entre eux n’a prononcé un mot, laissant planer un silence à peine gênant. Lucas décide alors de prendre son courage à deux mains et d’entamer la conversation. Ses yeux noisette croisent l’océan de siens et il tente de s’y accrocher pour ne pas se dégonfler. Le passé a appris au pompier que le mensonge était la pire des voies à prendre avec la blonde. « Et ouais, Joshua est bien de retour en ville. », finit-il par dire, appuyant sa joue contre son poing. « Avec sa femme, ses gosses, la totale. J'te raconte pas le nombre d’apparts et de maisons que j’ai visités. » Il donne quelques détails sans importance, voulant donner un ton léger à son récit. « Mais ils ont fini par avoir un coup de coeur sur une maison à Toowong, ils sont arrivés début juillet. » Il plonge de nouveau sa cuillère dans sa glace à la vanille, avant de la glisser entre ses lèvres. Il cherche comment continuer à raconter les derniers événements ; dans quel ordre, à quelle vitesse… Il décide que le plus simple est sans doute de commencer par ce qu’il ressent. « Ça fait trop bizarre qu’il soit là, maintenant. J'suis content, hein. Juste, je pensais pas qu’il finirait pas revenir ici avant plusieurs années. », explique le pompier, tout en jouant avec sa glace du bout de sa cuillère, distraitement. « Après on s’est pas vu tant que ça, depuis qu’il a emménagé. Je… Je l’ai un peu évité, j’avoue. », confesse-t-il. Car c’était bien ça, la vérité. Le retour de son frère est tout autant synonyme de joie que d’anxiété pour Lucas, qui n’a pas été cent pour cent honnête quant aux suites de son accident, deux ans plus tôt. « Il croit que je suis toujours pompier. » Lucas baisse les yeux, comme un enfant pris la main dans un paquet de bonbons. Certainement que la blonde en face de lui allait le sermonner, mais tant pis. Il a décidé de jouer la carte de l’honnêteté avec elle pour ne pas refaire les mêmes erreurs.
i could run from it all but I'd only get lost oh, I've walked on the bridge that I shouldn't have crossed and I find myself, a user oh, I wake every day with addictions to feed they all call me a friend but I'll never be freed from the face of a faithless future