ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1085 POINTS : 0
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. RPs EN COURS : PONY. « true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
FLASHBACK - Chez Pen&Tony « Merci d’être venu, Tony --- je sais que ce n’est pas facile pour toi, avec le boulot, avec Pénélope et ses enfants. J’apprécie que tu puisses te libérer pour donner un petit coup de main. Je ne m’en serais pas sortie sans toi », qu’elle dit tout en venant s’approcher de Tony. Juliet a la malice de préciser que les jumeaux ne sont pas ses enfants à lui mais bel et bien ceux de Pénélope. Et s’il avait déjà précisé une bonne vingtaine de fois que ces enfants étaient les siens, comme les siens, il avait fini par abandonner et la laissait parler comme ça pour ne pas s’épuiser. Économiser son énergie était devenue une priorité. « Je t’ai dit que je serais toujours là et que j’allais te donner un coup de main », réplique-t-il tout en se redressant, jetant un coup d’œil aux meubles qu’il venait de monter dans la chambre de son fils. Car, c’était ça le concept : il préparait l’arrivée du bonhomme et Juliet devait, selon les dires du médecin, se reposer et ne pas faire le moindre effort. Elle a un sursaut et vient poser les mains sur son ventre arrondi. « Quoi ? Qu’est-ce qu’il se passe ? » Elle sourit, attendrie et lui fait signe de s’approcher alors qu’elle est assise dans cette chaise à bascule dans la chambre pour enfants. « Donne-moi ta main, il vient de bouger, je crois qu’il est vérifié » et elle pose ses mains là où elle ressent le coup. Sans doute un pied qui est en train de pousser contre la paroi de son ventre. Le cœur de Tony se serre dans sa cage thoracique alors que son regard est rivé sur ce ventre qui le sépare de son fils. Attendri, ému, tout cela est si irréel et pourtant si --- réel. Impossible de ne pas penser qu’il va bientôt être père. Une fois de plus. Et que cet enfant aura ses gênes. « Je suis persuadée qu’il reconnaît quand tu es là, quand son père est là », dit-elle tout en caressant les mains du cuisinier qui est accroupie face à elle. Il restera trop longtemps avec elle, dans cette position. Trop longtemps.
C’est en début de soirée qu’il réapparaît chez eux. Il a cuisiné un petit plat pour Juliet et lui a même préparé un plat pour le lendemain --- il ne faut pas qu’elle fasse d’effort alors il essaie de s’occuper d’elle du mieux qu’il peut --- si bien que parfois, cela signifie qu’il a moins de temps pour sa famille, pour Pénélope et les jumeaux. La porte d’entrée s’ouvre. Il dépose sa veste sur le porte manteau et retire ses chaussures pour finalement constater que Pénélope est dans le salon. Il la rejoint et se laisse tomber à côté d’elle dans le canapé. « Je suis claqué », dit-il en se laissant tomber, les mains venant se poser sur le haut de son crâne. « Ça a été avec les jumeaux ? », qu’il demande en tournant la tête vers elle, « j’ai pas pu aller les chercher, ma mère a dû te le dire --- à peine j’étais là-bas, prêt à rentrer que Juliet a eu besoin d’un coup de main. J’ai pas eu le temps de lui demander comment ça s’était passé --- »
Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3075 POINTS : 90
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (06) › Pony#21 (FB) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Helen#2 (UA Jurassique) › Oscar#1 (UA Jurassique) › Izan#1 (UA Jurassique) › Pony#31 (FB) ›
La journée a été un enfer. Ce n’est pas tant les réunions qui ont été plus pénibles que d’habitude, c’est ce qui a suivi qui l’a été. Un homme est venu faire un scandale parce qu’on a accompagné sa fille de 18 ans (18 ans dans 2 jours !!) avorter la semaine dernière. Il m’a fallu une trop grosse dose de patience pour venir à bout de cet énergumène avec qui j’ai dû parlementer et surtout négocier son départ sans avoir à appeler la police. Il faut dire, aussi, que j’étais un peu sur les nerfs parce que j’attendais les résultats de mon doctorat. Et la thèse dont j’avais passé l’oral le 17 octobre alors oui, ma patience atteignait plus vite ses limites. Ma journée aurait pû se finir plus calmement parce que je savais que je n’aurais pas à courir chez mes beaux-parents pour récupérer les enfants puisque Tony s’en chargeait… Ah bah non, Tony ne s’en chargeait pas. Je l’apprenais à 17h alors que je me rendais à la mairie de Brisbane pour aller au conseil municipal. J’ai été obligé de planter Gloria suite à l’appel de la mère de Tony qui me disait que son fils avait eu une urgence au restaurant. L’urgence s’appelait probablement Juliet mais ça, je ne pouvais pas le dire – il n’en avait pas parlé avec ses parents – alors je me dépêchais de rentrer pour récupérer les enfants parce que les parents de Tony étaient invités chez des amis ce soir et ne pouvaient pas les garder plus longtemps. Et ça avait été la course. J’étais rentrée, à peine le temps de jeter mes escarpins dans l’entrée qu’il fallait déjà que je m’occupe de faire prendre le bain aux jumeaux, les faire manger, les coucher … ma soirée ne s’arrêtait pas là parce que je devais rédiger le compte rendu de la réunion de ce matin. Gloria devait le faire mais elle assistait déjà au conseil municipal où j’aurais dû aller ce soir donc je n’allais pas lui demander de faire ce compte rendu en plus.
J’étais vraiment fatiguée et ça m’agaçait d’autant plus de savoir Tony avec elle. Il lui avait promis d’être là pour l’aider, pour ce bébé et il n’était pas encore là cet enfant qu’il passait plus de temps avec elle qu’avec nous. Je m’étais préparée un bagel au saumon auquel je n’avais pas touché quand Tony rentra enfin à la maison. La soirée débutait à peine et j’étais toujours avec mon ordinateur sur les genoux, tapant frénétiquement sur les touches comme si ça pouvait me faire finir plus vite mon travail. Quand le Lewis pénétra dans le salon, je lui jetais un rapide coup d’œil avant de me concentrer sur mon écran. Je le sentis se laisser tomber dans le canapé. « Je suis claqué » - « Mmm » marmonnais-je, sentant l’agacement monter en moi.Moi aussi je suis claquée … et ma journée est pas encore terminée ! « Ça a été avec les jumeaux ? » Je referme mon ordinateur que je pose sur la table basse. « Ils ont pas trop dormi à la crèche cet après-midi, ils ont pas dormi, non plus, chez tes parents, ta mère les trouvait énervés et pourtant, j’ai eu un mal fou à les endormir ce soir. J’espère qu’ils se réveilleront pas trop cette nuit. » lui répondis-je tout en me laissant aller dans le dossier du canapé, « j’ai pas pu aller les chercher, ma mère a dû te le dire --- à peine j’étais là-bas, prêt à rentrer que Juliet a eu besoin d’un coup de main. J’ai pas eu le temps de lui demander comment ça s’était passé --- » Je me retiens de pousser un long soupir de frustration ou même de lever les yeux au ciel. « Oui … Quand ta mère a parlé d’une urgence au restaurant, je me suis doutée que cette urgence s’appelait Juliet. » Je passais ma main dans ma lourde chevelure blonde. « ça pouvait pas tomber plus mal ce soir. J’aurais dû aller au conseil municipal de la ville pour présenter un appel à projet et tes parents étaient invités chez des amis ce soir alors j’ai dû partir en catastrophe du boulot. » j’essayais de cacher le reproche mais franchement c’était compliqué. Je lui avais promis d’être compréhensive et je pense que, jusqu’à présent, je l’étais, mais là … « Si t’as faim, j’ai fait un bagel au saumon … J’ai pas faim, je te le laisse. Je vais aller me doucher. » Et me laver les cheveux parce que hier soir, il était resté tard chez Juliet et les jumeaux avaient réclamé toute mon attention. J’avais à peine eu le temps de prendre une rapide douche, sans réussir à me laver la tête que Mattéo s’était mis à pleurer, puis Eva … Quand Tony était réapparu, il était pas loin de 23h et j’étais partie me coucher. 832 mots
Spoiler:
The touch of your hand
... says you'll catch me wherever I fall. It's amazing how you can speak right to my heart without saying a word, you can light up the dark. ( ☽☽ )
mon équipement!:
Making mistakes (Pony #31)
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