ÂGE : 35 ans (01.02.1989) SURNOM : Jude, Judy STATUT : célibataire, pas faute d'essayer pourtant MÉTIER : développeuse de contenu narratif dans les jeux vidéos LOGEMENT : 203 - Fortitude Valley, ça fait 3 ans qu'elle y habite et deux ans et dix mois qu'elle dit qu'elle va bientôt déménager. Elle n'investie pas son appartement parce qu'elle n'aime pas y rester. Aucun décoration particulière, c'est austère et fait fuir tout le monde. POSTS : 341 POINTS : 6660
TW IN RP : on est feel good nous GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : collectionneuse de nouveaux hobby - touche à tout et à rien - a tenté d'être une arnaqueuse dans la vie mais ne sait pas comment s'y prendre sans se faire chopper - dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, pas toujours à bon escient - déborde de créativité - est quelqu'un d'extremement sociable, très entourée et pourtant se sent terriblement seule. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Judy pense tout haut en #996699 RPs EN COURS : Nicola#1
« Vous avez perdu connaissance, Madame. » elle fronçait les sourcils et regardant autour d’elle. Ce gamin penché au-dessus d’elle avait tout juste l’âge de sa sœur et encore… peut être bien qu’il était même pas majeur. Elle penchait la tête vers la droite, comme si ça allait lui permettre de mieux y voir. « Bougez pas !! » elle fit les gros yeux, surprise de la manière dont il lui avait parlé avec aplomb. « faut pas bouger… c’est… c’est au cas où… » qu’il fit à nouveau, cette fois de manière plus apaisée, comme s’il s’était lui-même rendu compte du ton qu’il avait pris et en même temps, il avait pas l’air bien sûre de lui non plus. « Vous êtes tombée et votre tête a frappé le trottoir, vous vous êtes assoupie quelques minutes. » il secoua son téléphone sur le nez de Judy pour lui montrer, il avait chronométré. « 3 minutes 59 secondes. Presque 4 min. » ca semblait avoir été les 4 minutes les plus longues de la vie du gamin, Judy elle, se disait qu’elle n’avait plus qu’à se relever et s’en aller. « Et la première chose que t’as fais, c’est dégainé ton téléphone pour chronométré… » étrange comme reflex. « Bon, sympa tout ça, mais j’ai pas que ça à faire. » elle se redressa surement un peu trop rapidement et se sentie à nouveau partir, comme si un malaise la guettait. « Bon, ok. » elle resta allongée au sol. « Tire sur ma robe, s’il te plait. » elle sentait les cailloux du béton qui lui rentrait dans la peau, sensation très désagréable. Le jeune homme, gêné, s’exécuta cependant. « Les secours arrivent… j’vous ai dis de pas bouger… » il haussa les épaules. « Vous avez d’la chance, j’ai fais une formation à l’école. De secourisme… c’est pour ça, le chronomètre. Faut toujours chronométrer… c’est pour les secours après… » il était si fier de lui. « Bravo gamin, fais gaffe où tu met tes pattes ! » il avait toujours sa main posé sur sa robe, il s’en était pas rendu compte et la retira en une fraction de seconde. « Désolée m’dame. » « Appelle moi m’dame encore une fois et je trouve la force nécessaire pour t’en coller une. » elle lui sourit de toutes ses dents, enfin, pas trop fort, ça tire sur les tempes…
Lorsque les secours sont là, elle entend le gamin qui raconte la scène de son incroyable chute. « Ça m’apprendra à toujours avoir le nez sur mon téléphone… » elle souffla avant qu’on ne l’embarque dans le véhicule, prête à aller vers l’hopital le plus proche. « Vous êtes sûrs que c’est nécessaire ? Ca va beaucoup mieux, j’suis en pleine forme. » elle gesticule dans tous les sens pour montrer la véracité de ses propos, loin de mesurer les risques qu’elle encoure réellement. Judy a souvent tendance à tout dédramatiser et être dans le déni concernant sa santé de manière générale, fait partie du pack. Pas d’examen, pas de maladie, aussi simple que ça. « Vous êtes tombées sur la tête, vous avez perdus connaissance. Qu’est ce que vous préférez ? Rentrer chez vous ou faire ce que vous avez à faire pour la dernière fois ou perdre deux ou trois heures à l’hôpital tout en étant sûre de ne pas vivre le dernier jour de votre vie ? » elle grimaçait, les deux options étaient tentantes en vrai. Peut être que vivre ce jour comme si c’était le dernier, lui donnerait une toute autre saveur. Elle profiterait de chaque instant jusqu’à ce que la faucheuse ne vienne la chercher. Tiens, qu’est ce qu’elle ferait, si elle devait réellement mourir à la fin de cette journée ? A vrai dire, elle n’avait pas envie de se poser la question, alors autant se dire qu’elle avait encore toute la vie devant elle « Toujours un mot pour faire sourire, je vois. C’est bon, on y va… » elle leva les yeux au ciel et soufflait davantage. « Roule ma poule… » visiblement, elle n’avait pas le choix, question de vie ou de mort.
« Faudrait faire un scanner. » le dossier de Judy passait de main en main une fois arrivée à l’hôpital. Elle avait pu donner toutes ses informations le temps du transport pour ne pas perdre de temps une fois arrivée. Il fallait apparemment aller vite pour s’assurer d’aucune lésion interne et de voir si elle avait perdu quelques neurones – sans doutes – même si ses facultés ne semblaient pas altérées au moins. Un examen de contrôle, elle pourra se rassurer ensuite et pourra aller voir Dany, comme prévu. « Non, non non ! » elle tapait sur son téléphone comme si ca allait lui redonner suffisamment de batterie pour qu’il ne s’éteigne pas. « Excusez-moi, quelqu’un a un chargeur de téléphone ? » elle leva son engin en l’air, comme si on allait se soucier de réanimer son smartphone. Et c’est là que son regard se posa sur celui de quelqu’un qui lui était pas inconnue. Leslie. Elle n’était pas vraiment capable de dire si elle était contente ou non de la voir. Disons, plutôt gênée et en même temps, Judy qui détestait les docteurs de manière générale – enfin l’ambiance hôpital, ça pue la mort quoi. – elle était pas mécontente de tomber sur elle. « Ah, finalement, je serai pas venue pour rien. Oh Docteur, j’me sens mal. » elle feinta le malaise, toute assise dans son fauteuil roulant, devant la brune qu’elle devait d’ailleurs revoir le lendemain. Pas sure que ce soit le meilleur moyen de s’assurer que leur date soit bien maintenu du coup. « C’est toi qui va t’occuper de mon cas ? Y parait que j’suis tombée dans la rue, parce que j’étais sur mon téléphone, je regardais pas devant moi, j’ai loupé un trottoir, je suis tombée et … trou noir. D’ailleurs, j’me souviens même pas d’être tombée ! Mais ça va… » elle n’avait pas perdu l’usage de sa langue, c’est qu’elle devait réellement se sentir bien. « Lui aussi aurait besoin d’un petit coup d’énergie… il se meurt. » peut être que Leslie pourrait lui venir en aide.
My head's on the run
tu regardes le papier peint vieillir et tu veux toujours t’éblouir, dans des nuits si longues que les jours devaient rétrécir, oui tu ne les as pas vu venir, c’est peut-être le moment de s’enfuir
:
Leslie Cohen
la légèreté de l'être
ÂGE : 42 ans (28.06.1982) STATUT : célibataire, maman d'Ella et d'Abby ; un peu marié à un parfait inconnu MÉTIER : médecin urgentiste de retour au pays à son plus grand malheur LOGEMENT : #322 Beachcrest Road, Bayside POSTS : 165 POINTS : 510
TW IN RP : milieu médical , alzheimer GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : vie professionnelle très organisée, vie personnelle chaotique • workaholic • carbure à la caféine et au cache cerne • elle a travaillé pour l'armée australienne (2010 à 2016) et revient d’une mission humanitaire d’un an au costa rica • dépassé par son rôle de mère • toujours en retard • tient rarement ses promesses sans que ce ne soit volontaire • insouciante puissance 1000, rien n'est jamais graveDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : leslie ne tient pas ses promesses en indigo RPs EN COURS : (11)hadley #1 • finnley #1 • kipplin #1 • jaylen #1 • sergio #1 • joshua #1 • olivia #1 • judith #1 • eve #6 • hadley #2 & chris #3 • helen #1
EVE + baby we built this house on memories, take my picture now, shake it til you see it, and when your fantasies, become your legacy, promise me a place, in your house of memories
FINNLEY + last night we let the liquor talk, i can't remember everything we said, but we said it all, you told me that you wish i was somebody you never met, but, baby, baby, something's tellin' me this ain't over yet
AVATAR : Morena Baccarin CRÉDITS : littlewilding DC : Elisa Sterling INSCRIT LE : 08/09/2024
On lui avait fait rapidement le topo de l’ambulance en route : une femme mi-trentaine qui a fait une chute en pleine rue. À première vue, son état général semblait plutôt bon. Aucune lésion, mais le coup a tout de même été assez brutal pour lui faire perdre connaissance pendant quelques minutes. Aucun vomissement en cours de chemin, mais aucun risque n’était à prendre avec le cerveau qui joue parfois de vilain tour. Elle devait passer un scanner pour s’assurer qu’aucun dommage interne n'avait été fait. Un petit cas facile. Elle l’examinerait rapidement, l’enverrait en graphie, et elle pourra sans doute rentrer chez elle. Ce qui est marrant avec le service des urgences, c'est qu'on y croise toute sorte de monde. Et le plus souvent, on croise des visages familiers. Souvent, c'est des personnes qu'on a pas envie de voir, pour des problèmes qu’on a encore moins envie de s'occuper. Puis, parfois, c'est au contraire, quelqu’un qu’on a très envie de voir, mais sûrement pas entre ses quatres murs blancs. Leslie n'avait pas particulièrement porté attention au nom sur le dossier. De toute façon, pas certain qu’elle aurait fait le lien entre Judith et Judy. Alors, oui, elle a été plus que surprise lorsqu’elle l'a vu arriver en fauteuil roulant. « Ah, finalement, je serai pas venue pour rien. Oh Docteur, j’me sens mal. » Leslie ne put s'empêcher de laisser échapper un rire sous la comédie de Judy. Elle fit signe à l’infirmier qui poussait sa chaise de la faire entrer dans la salle d’examen, puis, elle referma la porte derrière eux. Avec Judy, c'est tout nouveau. Elles en sont encore au stade où elles veulent se plaire. Le cadre professionnel fait tâche pour un mode séduction. « C’est toi qui va t’occuper de mon cas ? Y parait que j’suis tombée dans la rue, parce que j’étais sur mon téléphone, je regardais pas devant moi, j’ai loupé un trottoir, je suis tombée et … trou noir. D’ailleurs, j’me souviens même pas d’être tombée ! Mais ça va… » Elle la regarde déblatérer son histoire sans presque prendre le temps de respirer. Elle a l'air totalement en forme. Son cas ne t'inquiète pas du tout, mais, encore là, aucune chance à prendre. Judy risque pas de la rappeler si elle ne s'occupe pas d’elle convenablement. « Je vois que ça va pas trop mal, oui. » qu’elle lui répond en souriant.
« Lui aussi aurait besoin d’un petit coup d’énergie… il se meurt. » Est-ce qu’elle est vraiment plutôt en train de s'inquiéter de la mort de son téléphone plutôt que de son coup sur la tête ? On dirait bien oui. C'est qu'elle doit vraiment attendre un message important… ou qu’elle veuille absolument poster ses frasques sur les réseaux sociaux. Va savoir, Leslie ne l'a connaît pas plus qu’il le faut. « On va commencer par regarder ta tête et après on verra ce qu’on peut faire de lui. » qu’elle lui répond en se disant qu’elle s'en fout un peu de son cellulaire… sauf qu’elle finira bien par lui trouver un fils pour le brancher. Qu’est-ce qu’elle ferait pas pour ses beaux yeux ? Leslie s'approche de Judy pour vérifier par elle-même qu’elle n'a aucune blessure. Aucune trace de sang séché dans sa chevelure, c'est déjà bon signe. « On m'avait encore jamais fait le coup de la commotion pour annuler un rendez-vous. » Parce qu’elle risque d'avoir un assez gros mal de tête pendant les prochains jours. Rien qui lui donnera envie de sortir. « Ou pour le devancer ? J’avoue que je suis un peu confuse. » qu’elle ajoute avec un sourire en coin. Elle tasse délicatement ses cheveux pour vérifier le fond de sa tête. « La bonne nouvelle du jour, c'est que j'aurais pas besoin de te raser les cheveux pour te faire des points de sutures. » Ce qui aurait été franchement dommage.
Judith Banks
la solitude en écho
ÂGE : 35 ans (01.02.1989) SURNOM : Jude, Judy STATUT : célibataire, pas faute d'essayer pourtant MÉTIER : développeuse de contenu narratif dans les jeux vidéos LOGEMENT : 203 - Fortitude Valley, ça fait 3 ans qu'elle y habite et deux ans et dix mois qu'elle dit qu'elle va bientôt déménager. Elle n'investie pas son appartement parce qu'elle n'aime pas y rester. Aucun décoration particulière, c'est austère et fait fuir tout le monde. POSTS : 341 POINTS : 6660
TW IN RP : on est feel good nous GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : collectionneuse de nouveaux hobby - touche à tout et à rien - a tenté d'être une arnaqueuse dans la vie mais ne sait pas comment s'y prendre sans se faire chopper - dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, pas toujours à bon escient - déborde de créativité - est quelqu'un d'extremement sociable, très entourée et pourtant se sent terriblement seule. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Judy pense tout haut en #996699 RPs EN COURS : Nicola#1
Judy était plutôt satisfaite de la situation, malgré son arrivée aux urgences dans un fauteuil roulant. En dépit de la chute, elle se sentait plutôt bien. C'était une de ces petites mésaventures qui avaient plus de potentiel pour l’amuser que pour l’inquiéter, surtout avec Leslie qui était de garde ce soir-là. Elle savait que leur relation en était à ses balbutiements et qu’elles jouaient encore ce jeu de séduction léger, celui où chaque mot pouvait être interprété, chaque geste étudié. Alors, se retrouver là, à « jouer » la patiente devant Leslie, cela relevait d’une ironie délicieuse.
Quand elle l’a vue rire de sa petite plaisanterie, Judy a ressenti une douce satisfaction. Elle aimait faire rire Leslie, et la situation, bien que peu romantique, avait cet effet inattendu d’épaissir la connexion entre elles. « On va commencer par regarder ta tête et après on verra ce qu’on peut faire de lui. » Leslie avait raison, les choses serieuses d'abord. Les urgences n’étaient certes pas le lieu rêvé pour des rapprochements, mais elle sentait que cette proximité forcée créait quelque chose de presque intime et étonnant à la fois. Leslie prenait son travail très au sérieux, ce qui n’empêchait pas Judy de remarquer son sourire en coin et cette douceur particulière dans son toucher lorsqu’elle lui examinait la tête.
« On m'avait encore jamais fait le coup de la commotion pour annuler un rendez-vous. Ou pour le devancer ? J’avoue que je suis un peu confuse. » l'excuse était parfaite pour jouer le coup monté et feinter avoir tellement envie de revoir Leslie quelle en avait simulé une chute au point de s'en cogner la tete et perdre connaissance. " Je suis a découvert..." elle penchait doucement la tete pour se laisser manipuler et grimaçait à certains endroit, surement la ou elle avait touché le trottoir. « La bonne nouvelle du jour, c'est que j'aurais pas besoin de te raser les cheveux pour te faire des points de sutures. »quel soulagement! Manquerait plus qu'en plus d'avoir été conduite aux urgences avec force, elle en ressorte sans un poil sur le caillou. " dieu merci... par contre... juste la" elle accompagnait ses paroles d'un geste pour montrer l'endroit qui lui faisait mal. " c'est assez douloureux quand meme" Judy devait avouer qu'elle appréciait l’idée de se laisser dorloter par Leslie. Cela la rassurait de savoir qu’elle était entre de bonnes mains. Au fond, cette chute imprévue lui offrait une opportunité rare d’être vulnérable, mais sans inquiétude. Et Leslie, douce et précise, semblait apprécier de jouer le rôle de celle qui prend soin de l'autre, ou alors peut être qu'elle faisait simplement son taf, avec professionnalisme. " J'ai toujours dis que les blouses ou les uniformes n'avaient rien de sexy, pardonnez moi, je change d'avis." Et si Judy pouvait laisser traîner un peu le temps pour profiter davantage de la vue, elle s'imaginait bien qu'elle n'allait pas pouvoir trop en abuser. " tu finis à quelle heure?" Simple curiosité.
My head's on the run
tu regardes le papier peint vieillir et tu veux toujours t’éblouir, dans des nuits si longues que les jours devaient rétrécir, oui tu ne les as pas vu venir, c’est peut-être le moment de s’enfuir
:
Leslie Cohen
la légèreté de l'être
ÂGE : 42 ans (28.06.1982) STATUT : célibataire, maman d'Ella et d'Abby ; un peu marié à un parfait inconnu MÉTIER : médecin urgentiste de retour au pays à son plus grand malheur LOGEMENT : #322 Beachcrest Road, Bayside POSTS : 165 POINTS : 510
TW IN RP : milieu médical , alzheimer GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : vie professionnelle très organisée, vie personnelle chaotique • workaholic • carbure à la caféine et au cache cerne • elle a travaillé pour l'armée australienne (2010 à 2016) et revient d’une mission humanitaire d’un an au costa rica • dépassé par son rôle de mère • toujours en retard • tient rarement ses promesses sans que ce ne soit volontaire • insouciante puissance 1000, rien n'est jamais graveDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : leslie ne tient pas ses promesses en indigo RPs EN COURS : (11)hadley #1 • finnley #1 • kipplin #1 • jaylen #1 • sergio #1 • joshua #1 • olivia #1 • judith #1 • eve #6 • hadley #2 & chris #3 • helen #1
EVE + baby we built this house on memories, take my picture now, shake it til you see it, and when your fantasies, become your legacy, promise me a place, in your house of memories
FINNLEY + last night we let the liquor talk, i can't remember everything we said, but we said it all, you told me that you wish i was somebody you never met, but, baby, baby, something's tellin' me this ain't over yet
AVATAR : Morena Baccarin CRÉDITS : littlewilding DC : Elisa Sterling INSCRIT LE : 08/09/2024
" Je suis a découvert..." Un sourire s’affiche automatiquement sur le visage de la brune. Leslie n’aurait absolument pas compris pourquoi Judy se serait défilée de son rendez-vous du lendemain. Leur premier s’est très bien déroulé et elles n’ont presque eu aucun contact depuis qu’elles ont parlés de se revoir. Aucune chance pour que Leslie ait pu dire quelque chose qu’il ne fallait pas. Elle a quand même bien trop d’expérience dans les nouvelles rencontres pour savoir que, parfois, les choses se terminent sans qu’on ne comprenne vraiment pourquoi. Les gens ne disent pas réellement ce qu’il pense sans doute. Quelque chose que Leslie ne comprend pas vraiment. Elle ne risque pas de se vexer si on lui dit ne pas avoir envie de la revoir. Elle s’en fout, Leslie. Parfois, c’est l’histoire d’un soir, et c’est pas plus mal. D’autre fois, le courant passe assez bien pour avoir envie de renouveler l’expérience comme c’est le cas avec la belle brune en face d’elle. " dieu merci... par contre... juste la" Leslie reprend un regard plus sérieux en regardant l’endroit exact que Judy lui indique. Même si l’envie d’y aller pour une conversation plus légère est là, son boulot et le bien-être de sa patiente passe avant tout le reste. " c'est assez douloureux quand meme" C’est sûrement l’endroit où sa tête à cogné le coin du trottoir. Elle observe avec attention, mais, encore une fois, ce n’est pas ouvert. Quand, elle passe délicatement sa main dessus, elle peut toutefois sentir la bosse qui n’est nullement dangereuse, mais qui reste sensible au touché pendant quelques jours. « Tu mettras de la glace chez toi. » Et déjà demain, la zone devrait être moins sensible. « J’vais quand même t’envoyer passer un scan cérébrale pour être certaine, mais j’crois tu vas survivre. » qu’elle lui répond d’un ton plus léger en lui souriant. Elle s’éloigne de Judy pour retourner vers son bureau où elle attrape la bonne ordonnance qu’elle remplit pour qu’elle puisse aller passer l’examen en question. Lorsqu’elle aura les résultats, Judy sera libre de retourner chez elle pour se reposer.
" J'ai toujours dis que les blouses ou les uniformes n'avaient rien de sexy, pardonnez moi, je change d'avis." Leslie laisse échapper un rire. Elle peut sentir le regard de Judy lui brûler chaque parcelle de sa peau, et elle adore ça. L’uniforme ne fait bien à personne. Tout le monde à l’air en phase terminale avec ce vert dégueulasse. C’est à ce demander si ceux qui ont choisi la couleur ne l’ont pas fait exprès. « C’est encore mieux sans. » qu’elle lui répond en redressant le regard vers elle. Leslie manque absolument de professionnalisme en lui laissant parfaitement voir le désir dans ses yeux. Elle se fait le remarque qu’elle aimerait cent fois mieux être ailleurs qu’ici. Une remarque qu’elle n’a que très rarement. Il faut croire que Judy lit dans ses pensées. " tu finis à quelle heure?" Question innocente qui n’a rien d’innocent. Leslie regarde l’heure, comme si elle ne connaissait pas déjà la réponse. Elle est en temps supplémentaire depuis déjà deux bonnes heures. Ces collègues seraient quand même pas content qu’elle se tire comme ça sans avertir d’avant, mais elle en a tout à fait droit. Elle est là pour donner un coup de main et non par obligation. « Ça dépend. Ça vaudrait la peine que je termine dans cinq minutes ? » qu’elle questionne aussi innocemment qu’elle. « Tu sais qu’en cas de commotion, c’est important d’avoir quelqu’un qui veille sur nous toute la nuit ? » qu’elle ajoute par la suite. Leslie n’est pas celle qui veillera sur elle une nuit entière. Elle ne reste jamais une nuit entière, mais elle est prête à se proposer volontaire pour couvrir la moitié de cette dite nuit. Par pure professionnalisme, évidemment.