ÂGE : 35 ans (01.02.1989) SURNOM : Jude, Judy STATUT : célibataire, pas faute d'essayer pourtant MÉTIER : développeuse de contenu narratif dans les jeux vidéos LOGEMENT : 203 - Fortitude Valley, ça fait 3 ans qu'elle y habite et deux ans et dix mois qu'elle dit qu'elle va bientôt déménager. Elle n'investie pas son appartement parce qu'elle n'aime pas y rester. Aucun décoration particulière, c'est austère et fait fuir tout le monde. POSTS : 342 POINTS : 6660
TW IN RP : on est feel good nous GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : collectionneuse de nouveaux hobby - touche à tout et à rien - a tenté d'être une arnaqueuse dans la vie mais ne sait pas comment s'y prendre sans se faire chopper - dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, pas toujours à bon escient - déborde de créativité - est quelqu'un d'extremement sociable, très entourée et pourtant se sent terriblement seule. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Judy pense tout haut en #996699 RPs EN COURS : Nicola#1
Judith & @Mia Bosko appartement de Judy - fortitude valley
Il y a ceux qu’on ne croisera qu’une seule fois dans sa vie, ceux qu’on ne remarquera même pas, dont les regards n’auront la chance de se marquer au fer rouge, ceux qu’on frôle sans la moindre attention, ceux qui sont dans l’ombre pour la vie. Puis, il y a ceux sous le feu des projecteurs, sous une boule à facette, cette lumière qui attire le regard, qui passe et repasse sur votre visage comme un phare perdu au bout d’une péninsule. Ils vous attirent, vous marquent, vous bousculent. Gamine, perdue dans la foule, seule et vulnérable. Elle tangue, bouscule, frôle. Certains ne la remarqueront pas, d’autres l’ignoreront, d’autres encore grogneront. Ils rodent, ils survolent et resserrent leurs griffes autour d’une proie qu’ils sont certains de ne pas voir filer, parce qu’il est impossible qu’elle puisse leur échapper. Judy n’aime pas se mêler de ce qui ne la regarde pas – elle n’avouera le contraire qu’à deux personnes : Charlie et Harper, elle leur a démontré bien trop de fois qu’elle n’était pas en accord avec ses propres paroles. Bien sûre que Judy adore se mêler de ce qui ne la regarde pas. Mais, bien plus qu’un ragot, bien plus qu’un fait divers dont elle ignore tout des protagonistes, quand elle voit que se déroule sous son nez le danger, la perversion des hommes, impossible pour elle de ne pas interagir. Et il fallait croire que ces trois cosmopolitans lui avaient donné davantage la force et le courage d’intervenir. « J’ai jamais compris ce qui pouvais exciter des mecs à tourner autour d’une nana qui visiblement se souviendra même pas d’eux au réveil. Elle serait capable de s’endormir d’une minute à l’autre et toi, t’es prêt à la monter comme si t’étais le mec le plus sexy de la boite. Dégage d’ici, et pas seulement d’ici… » elle montre un périmètre restreint autour d’eux. « mais de cette boite tout court, si non j’appelle la sécurité. » qu’il dégage, qu’il rentre la queue entre les jambes et surtout, qu’il ne fasse pas de vague et ne s’avise pas à tourner autour d’autres nanas. « Je serai ton ombre toute la soirée et crois moi, ce sera la pire punition que tu pourrais connaitre. » Judy était l’une des plus âgée de cette boîte et elle avait presque l’impression d’être super nanny, un sentiment qu’elle vivait de plus en plus mal d’ailleurs et qui l’obligeait à revoir ses lieux de fréquentation très rapidement. Le gamin s’en alla juste après avoir craché sur les chaussures de Judy, sans avoir eu un seul mot en répartie. « PAR-FAIT ! » qu’elle hurle en se doutant que le son de sa voix ne faisait pas le poids face à la musique en fond sonore. « J’vais te donner à boire. » de l’eau, de l’eau c’est très bien et à voir ses pupilles, elle avait besoin de s’hydrater plus qu’autre chose. Après quelques gorgées, elle se sentirait déjà mieux. Judy tendu son verre en plastique recyclée à une gamine qui passait à côté, lui demander d’aller lui chercher de l’eau, chose qu’elle exécuta avec un air de solidarité sur le visage. Elle était rapidement de retour, d’un signe de la tête et d’un sourire, Judy lui répondit pour dire merci. « Tiens… » elle approchait le gobelet à ses lèvres et l’aider à boire un peu. « Est-ce que tu veux rester ici ? » la jeune femme n’avait pas un mot qui sortait de ses lèvres mais fit un signe négatif de la tête. « Est-ce que tu es d’accord si je t’emmène te reposer un peu chez moi ? » et cette fois ci, elle répondit positivement. Judy avait la chance d’habiter à trois cent mètres de cette boite urbaine. Mais cette fois ci, les trois cent mètres étaient particulièrement pénible avec la sensation d’avoir un poids mort à bout de bras, mais elles étaient tout de même parvenues à se réfugier chez Judy. Elle l’avait laissé dans sa chambre, s’étant réfugier elle dans le bureau où il y avait également un canapé qu’elle pouvait laisser en guise de chambre d’ami à qui voulait bien venir dormir là. La réalité était que peu de personne s’aventurait chez Judy en temps normal car elle n’aimait pas y ramener du monde. Donc, cette pièce n’avait d’une chambre d’amie, que le nom. Elle avait pris soin de laisser un petit mot sur la table de nuit de la jeune femme avant d’aller se coucher elle-même : Ne panique pas, il ne t’es rien arrivée hier soir. Tout va bien. Parce qu’elle se doutait qu’elle n’allait pas savoir où elle allait être au réveil et sans doute que Judy serait encore en train de dormir, ou au mieux, dans sa salle de bain ou en train de boire un café.
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Judy sortie de son bureau à une heure assez tardive, elle se demandait si la jeune demoiselle ramenée en plein milieu de la nuit était toujours là ou si elle avait vite déguerpi en comprenant qu’elle n’était pas chez elle. Dans cet appartement qui manquait cruellement d’âme qui vive et de chaleur, elle aurait pu facilement paniquer et encore plus si elle n’avait pas fait attention au mot laissé par Judy. La trentenaire vint coller son oreille à la porte de sa chambre, tentant d’y entendre un bruit pour savoir si quelqu’un était encore vivant la dedans.
My head's on the run
tu regardes le papier peint vieillir et tu veux toujours t’éblouir, dans des nuits si longues que les jours devaient rétrécir, oui tu ne les as pas vu venir, c’est peut-être le moment de s’enfuir
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Mia Bosko
le goût du risque
ÂGE : 23 ans. SURNOM : Mia, c'est déjà bien assez court comme ça. Certains en trouvent parfois, mais c'est bien rare, et c'est mieux comme ça. STATUT : Célibataire, bien plus décidée à l'idée d'enchaîner les coups d'un soir et les brèves histoires qu'autre chose. L'attachement, c'est définitivement pas fait pour moi. MÉTIER : Actuellement serveuse dans un bar de la ville. Ce n'est pas nécessairement le bar le mieux fréquenté, mais au moins ça paye les factures. LOGEMENT : Un appartement en colocation dans le nord de la ville, à Fortitude Valley. C'est grâce à ça que j'ai rencontré ma coloc', Bel, qui me tire dans ses travers en même temps que je la tire dans les miens, une bénédiction pour mon addiction à l'adrénaline. POSTS : 223 POINTS : 1380
TW IN RP : langage cru, alcool, tabagisme (addiction), relations familiales difficiles, absence familiale, dépression, accident de la route, mort, deuil TW IRL : Je joue de tout, tant qu'on peut en discuter s'il y a un problèmeGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : adrenaline junkie ≈ adepte et professionnelle des coups d'un soir ≈ aime tester mes limites et celles des autres ≈ provocatrice à temps plein ≈ dessinatrice en secret ≈ addict aux tatouages ≈ consommatrice aguerrie d'alcool et de tabac ≈ adepte des bars et des boîtes de nuit ≈ professionnelle de l'autodestruction et du sabotageDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : Bel#2 & #3 ≈ taste of danger
be safe crédit gif - rampldgifs & patchthatqueenbitch Mia Bosko & @Judith BanksAppartement de Judy
The human touch is that little snippet of physical affection that brings a bit of comfort, support, and kindness. It doesn’t take much from the one who gives it, but can make a huge difference in the one who receives it.
Bordel, j’ai mal au crâne. C’est la première pensée qui me passe par la tête avant même que je n’ouvre les yeux. Mon crâne tambourine plus que violemment et, sans même avoir besoin d’essayer de me rappeler de la veille, je me doute déjà d’une chose : j’ai trop bu hier soir. Pas manqué, alors que j’essaye de me rappeler des évènements d’hier soir, rien ne me revient, une bonne partie de la soirée n’est rien d’autre qu’un trou noir. Bon, tant pis. C’est pas comme si c’était la première fois et ça sera surement pas la dernière, c’est pas bien grave de toute manière, il s’est surement rien passé. Toujours sans rouvrir les yeux, je m’enfonce d’autant plus sous la couette, bien décidée à ne pas me lever tout de suite. Le reste de l’appart’ est silencieux lui aussi, donc Bel doit encore être dans sa chambre, ou alors elle n’est juste pas à l’appart. Est-ce qu’elle était là quand je suis rentrée ? Aucune idée, mon retour chez moi et comme le reste, un trou noir.
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Quand je me réveille un peu plus tard, la première chose que je remarque, c’est qu’en plus d’avoir mal au crâne, j’ai faim. Bon, c’est un bon début, ça veut dire que ça évolue tranquillement. Je prends le temps de m’étirer, grimaçant avant même d’ouvrir les yeux : je sais que ça va faire mal. Pas manqué, dès que j’ouvre les yeux, je me sens agressée par la luminosité qui, pourtant, n’est pas si élevée que ça. Bordel, j’ai vraiment trop bu hier soir, hein ? Mes yeux se sont refermés instinctivement mais je les réouvre tout de suite, persuadée que quelque chose ne va pas là où je suis. Pas manqué, j’sais pas où je suis. Merde. Qu’est-ce que je fous là bordel ? Et surtout, je suis où en fait ? Ok, bon, l’hypothèse la plus probable, c’est que j’ai fini chez une nana quelconque après qu’on se soit draguées et chauffées au bar. Sauf qu’il suffit que je soulève le drap qui est encore sur moi pour remarquer que c’est impossible : je porte encore mes fringues d’hier. « Merde, merde, merde. » Jurons murmurés sans trop y réfléchir, je continue de regarder autour de moi, à la recherche de la moindre information ou du moindre indice. Mais après un bon moment à regarder autour de moi, le constat est toujours le même : rien. Ah, si, un petit mot. Je m’en saisis sans réfléchir, le lisant directement. Ne panique pas, il ne t’est rien arrivé hier soir. Tout va bien. Hm. Bon, ça m’indique pas grand-chose ça, y a même pas le nom de la personne. Je me prends la tête entre les mains, le simple fait de réfléchir à tout ça suffisant à me donner la migraine et un début de nausée. Bordel mais qu’est-ce que j’ai foutu ? Bon, je vois une seule solution face à tout ça : me casser d’ici, peu importe où ce ici est.
Je me débarrasse finalement de la couverture, cherchant mes chaussures avant de les enfiler. Bordel mais quelle mauvaise idée c’était de porter des talons hier soir, ça fait mal aux pieds ces merdes. Bon, pas grave, je les mettrai plus tard. Je les reprends à la main et, directement, je me précipite vers la porte de sortie, l’ouvrant à la volée, manquant de foncer dans quelqu’un alors que j’avance. Merde, mais c’est qui elle hein ? Celle qui m’a ramenée ici et a écrit sur le bout de papier qu’il y avait sur la table de nuit ? Je la regarde de haut en bas avant de finalement prendre la parole. « Où est-ce que je suis au juste ? » Je remarque bien que mon ton est froid et sec, mais je m’en tape. Je sais pas qui c’est cette nana et je sais pas non plus ce que je fous là. Si je dois la remercier de quoique ce soit, je le ferai en temps voulu, mais en attendant.. « Puis t’es qui, d’ailleurs ? » Parce qu’on va pas se mentir, son visage me dit pas grand-chose. Je l’ai peut-être déjà croisée mais, si c’est le cas, elle m’a clairement pas marquée. Ce n’est qu’au moment où je regarde autour de moi que je me rappelle où je suis : au niveau de la porte de sortie de la chambre dans laquelle j’ai visiblement dormi. Ce qui veut dire que…. « Attends, t’écoutais à la porte ? »Damn, en plus d’être carrément perturbant, c’est aussi carrément flippant. Mais bordel, qu’est-ce que je fous là au juste ? J’ai envie d’en savoir plus hein, mais j’ai aussi surtout envie de me casser, de préférence le plus vite possible.
be safe - Mia#1
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