ÂGE : trente et un ans SURNOM : il ne sait pas trop pourquoi mais les gens adorent l'appeler par son nom de famille plutôt que par son prénom STATUT : célibataire qui ne se prend pas la tête MÉTIER : animateur télé (mais il préfèrerait qu'on le considère comme un journaliste) LOGEMENT : redcliffe. #58 hughton avenue POSTS : 534 POINTS : 490
TW IN RP : aucun pour le moment. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : il est issu d'une classe sociale aisée (merci papa) ≈ c'est un adepte des applications de rencontre, mais il ne compte pas y trouver de relation sérieuse ≈ déteste les bruits de bouche lorsqu'il est à table ≈ il a participé à l'émission Big Brother en 2014, c'est ce qui lui a donné envie de faire de la télévision ≈ l'émission ABC qu'il co-anime avec Harper, c'est son premier vrai job en tant que présentateur télé et il a peur de ne pas être a la hauteur ≈ il a vécu à Londres de fin 2020 à debut 2024, il est de retour à Brisbane pour de bon ... la tête pleine de rêvesDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : cadetblue RPs EN COURS :
Son agent ne lui avait donné que très peu d'informations lorsqu'il lui avait glissé le rendez-vous dans son agenda la semaine précédente. L'heure, le lieu tout au plus, mode casual mais pas trop et une mention spéciale : aucun retard accepté. La semaine ayant été particulièrement chargée, sur le moment Aaron n'avait pas cherché à en savoir plus sur ce mystérieux rendez-vous, mais maintenant que nous étions à quelques heures de l'événement, il cogitait. Il avait du mal à s'imaginer son agent faire une blague - ce qui n'était pas arrivé depuis le début de leur collaboration d'ailleurs - ni une surprise… Les quelques messages qu'il lui envoya pour démystifier cette histoire restant sans réponse, il abdiqua et commença à se préparer. Il enfila son jean préféré, fait d'un tissu bleu clair un peu délavé - mais pas troué - et d'une coupe suffisamment large pour être confortable. S'ensuivit le passage d'un tank blanc, simple, qu'il couvrit d'un blazer anthracite, ample lui aussi, délibérément laissé ouvert. Il replaça correctement sa bague en argent au pouce, donna deux trois coups dans ses cheveux puis prit une photo de lui dans le miroir de l'entrée. Une nouvelle habitude qu'il avait prise sur conseil de son fameux agent : il fallait qu'il soit plus bavard sur les réseaux sociaux. Il posta la photo en story Instagram avec la mention "Hello Sunshine" accompagné d'un gif plus que ridicule. Avant d'éteindre son téléphone, il envoya un message préméditatif à Olive "On ne se moque pas !!" Elle était si prévisible qu'Aaron l'imaginait déjà se taper un fou rire devant cette photo absolument pas naturelle. Et en même temps quand ça venait d'elle, il voulait bien recevoir toutes les moqueries du monde. Son devoir fait, il regarda sa montre : 14 h 23, il était dans les temps, mais il ne fallait pas qu'il traîne non plus. Enfilant sa paire de Nike blanche préférée et sa banane en bandoulière, il quitta son appartement peu de temps après. Il mit quelque sminutes seulement à trouver un taxi qui veuille bien le prendre en charge, et fila donc tout azimuthe en direction de Toowang. Une bonne demi-heure plus tard, il se retrouva devant les portes d'une école primaire. Un lieu surprenant pour un rendez-vous professionnel d'une personne de plus de trente ans. Très vite un homme d'âge mûr habillé en costard sans cravate vint à sa rencontre. « Monsieur Fowler, merci d'avoir accepté notre invitation… Je me présente je m'appelle Angus Roi, je suis le directeur de cette école. » Aaron sera la main qu'on lui tendait, mais toujours avec cet air perplexe dessiné sur le visage. « Ça ... » commença Aaron très vite interrompu par monsieur le directeur. « Nous sommes très reconnaissants de vous compter parmi nous… Venez suivez-moi, les élèves ne vont pas tarder à rejoindre l'amphithéâtre » Sans un mot, il suivit le vieil homme. Sur le chemin, il jeta un coup d'œil à son téléphone : "Sorry mec, je savais que tu refuserais si je te donnais plus d'infos… Tu vas pouvoir améliorer ton impro' ET ça va faire du bien à ton image fais-moi confiance ;)" pouvait-il lire en guise de dernière notification. « Nous y sommes presque » lui lança Mr Roi tout en lui tenant l'immense porte du bâtiment principal, laissant derrière eux la cours d'école pour faire place à un couloir d'au moins 50 m. À peine entré, Aaron remarqua un poster accroché au mur : "Inclusiv'day, come as you are" y était inscrit en énorme, avec la date du jour et en évidence le visage de Mabel Griffiths. Un nom qui était ancré dans les plus récents cauchemars du Fowler. C'est seulement après y avoir regardé de plus près qu'il aperçut son nom. Récupérant une nouvelle fois son téléphone, il tapota sur son écran énergiquement un "Je te hais" puis cliqua sur envoyer. Son agent allait lui payer ça, c'est sûr.
À peine cinq petites minutes plus tard, ils arrivèrent dans un amphithéâtre décoré à la manière d'une kermesse. Aaron déposa son regard un peu partout, jugeant au passage le manque de goût évident des personnes qui avaient décoré cette pièce, avant de se voir salué par toute une horde de personnes inconnues au bataillon. À leurs têtes, il était prêt à parier sur des professeurs. Il termina sa course par l'agent de Mabel - présent(e), elle - pour enfin se retrouver en face de l'actrice. Ils ne s'étaient pas revus depuis cette fameuse interview pour le film "Nine". Une entrevue complètement foirée par Aaron et que le jeune présentateur avait encore du mal à évoquer. Il avait encore en tête les hurlements qui avaient suivi l'émission en direct, mais aussi le regard noir de Mabel fasse à son manque de professionnalisme. Il espérait qu'elle lui en porterait un différent aujourd'hui « Bonjour » lui lança-t-il tout en avançant vers elle sa main un peu moite. Il ne voulait pas montrer son stress, mais ce dernier était palpable. « Bon, je n'ai pas besoin de vous rappeler que nous sommes aujourd'hui réunis pour la bonne cause, et que pour l'occasion, nous recevons deux invités de marque… » D'où il se tenait sur la scène, Monsieur Roi, les pointa tous les deux du doigt. « Et bien, je ne pensais pas retourner à l'école si vite » ironisa Aaron. Un moyen comme un autre de détendre l'atmosphère bien trop pesante à son goût. Tandis que monsieur le directeur continuait son speech sur le but de l'événement, à savoir parler de l'inclusivité sous toutes ses formes à l'école, un technicien commença à s'agiter autour d'eux. Il dépouilla Aaron de son tank dans le pantalon pour venir y placer un micro, puis fit de même pour Mabel. « C'est du sérieux dis donc » Il tentait la discussion avec maladresse, espérant que Mabe y serait réceptive.
codage par aqua
❝ wild beasts wearing human skins❞ you were not born of stardust, darling, stardust was born from you, it’s why the stars feel your sorrow and aching heart, they are the fragments of your lost soul, scattered across an endless galaxy, but don’t be afraid, darling, maybe life has broken you, but it can never destroy you.
Mabel Griffiths
les moyens des ambitions
ÂGE : 34 ans (15.08.1990) SURNOM : Bel, Bella, la Sorcière (par Maddy), Mab (par Rhett) STATUT : Mère d'une petite Rosalie. Aiden a laissé les addictions gagner et est parti en laissant son cœur en miette derrière. MÉTIER : Mannequin, Chanteuse, Actrice confirmée LOGEMENT : Spring Hill, #516 Water Street, dans une jolie villa à l'abri des regards POSTS : 13507 POINTS : 800
TW IN RP : Alcoolisme (plus si ancien), anorexie, biphobie / homophobie, famille toxique, grossesse / maternité GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Allergique aux oranges ≈ Cache sous sa mesquinerie et ses piques une grande sensibilité qu'elle dévoile peu ≈ Accro à la caféine ≈ Donner aux centres aidant les queers, c'est un des trucs les plus importants qu'elle fait de son argent, et la seule chose sur laquelle elle n'appuie pas pour se faire de la bonne publicitéCODE COULEUR : Sème du drama en #76448A RPs EN COURS :
Griffiths ∆ I don't know half of you half as well as I should like; and I like less than half of you half as well as you deserve.
Marceline ∆ This is the problem with having a best friend who is also your cousin, and has known you since you were born. She's always trying to stomp on your dreams.
Maddy ∆ Sister. She is your mirror, shining back at you with a world of possibilities. She is your witness, who sees you at your worst and best, and loves you anyway. She is your partner in crime, your midnight companion, someone who knows when you are smiling, even in the dark. She is your teacher, your defense attorney, your personal press agent, even your shrink. Some days, she's the reason you wish you were an only child.
Maden ∆ This ain't for the best ; my reputation's never been worse, so you must like me for me
Carmine ∆ Make it last forever, friendship never ends
Marley ∆ The best way to destroy an enemy is to make him a friend.
Rhebel ∆ Your words up on the wall as you're praying for my fall ; and the laughter in the halls and the names that I've been called ; I stack it in my mind and I'm waiting for the time ; when I show you what it's like to be words spit in a mic
AVATAR : Jennifer Lawrence CRÉDITS : (Avatar by fassylovergallery ; Image signa by ghaniatreides ; Userbars by loonywaltz) DC : Olivia Welch (Emma Stone) ∆ Poppy Leigh (Emma Myers) PSEUDO : Lucy INSCRIT LE : 13/10/2021
And I ain't trying to mess with your self-expression ; but I've learned the lesson that stressin' ; and obsessin' 'bout somebody else is no fun ; and snakes and stones never broke my bones so ∆ Taylor Swift, You need to calm down
C'était assez étrange de devoir pénétrer dans une école primaire. Mabel avait espéré avoir quelques années encore - plus qu'une, honnêtement - avait de devoir y revenir, rencontrer de nouveaux professeurs et s'assurer que sa fille s'y plaisait plus qu'elle à son âge. Mais elle s'était aussi dit que c'était une opportunité de pouvoir visiter l'école et voir si leurs valeurs s'alignaient avec celles que Mabel enseignait à sa fille.
L'inclusivité était importante pour elle, surtout alors que la Pride de Brisbane venait de se finir. Le directeur lui avait d'ailleurs montré les travaux que les enfants avaient mené à ce sujet tout le mois de septembre, et elle avait adoré l'idée. Elle avait presque hâte de voir Rosalie lui montrer avec fierté ses œuvres maintenant. Tout en voulant la garder bébé un peu plus longtemps... Un sentiment étrange, à se sentir partager entre l'envie de la voir grandir et évoluer, et celle de vouloir garder son petit bébé innocent.
Elle se tendit un peu quand elle se retrouva dans l'amphithéâtre pour que l'événement ne commence, et qu'elle constate qu'Aaron Fowler avait été lui aussi invité. Peut-être qu'il était quelqu'un de bien, mais elle ne pouvait s'empêcher de repenser au fiasco de Nine chaque fois qu'elle voyait son visage, l'associant à cette interview qui avait mal fini. Elle garda pourtant un visage impassible, espérant ne pas avoir à trop s'approcher de lui.
« Bonjour monsieur Fowler » se contenta-t-elle de dire, un sourire poli au visage.
Elle serra sa main, tâchant de paraître stoïque et ne pas laisser voir qu'ils se connaissaient déjà. Inutile de ressasser les mauvais souvenirs, surtout au milieu d'un groupe qui n'avait aucune idée de la façon dont s'était déroulée leur dernière entrevue.
Sauf qu'Aaron semblait avoir d'autres idées en tête. Enfin, il ne voulait sans doute pas parler de son interview catastrophique, mais il voulait visiblement parler avec elle, poliment, pendant que le directeur faisait son speech - Mabel aurait été bien incapable d'en dire le sujet, tant les essais de discussions du journaliste l'avaient perturbée.
« Il essaye de former des enfants à plus de diversité dans le monde dans lequel ils vont grandir. Et certains ont sans doute des parents qui font tout pour leur apprendre le contraire à la maison. »
Elle savait de quoi elle parlait, elle avait fait partie de ses enfants dont les parents prônaient que le couple, c'était un homme et une femme, et que deux personnes du même sexe ensemble était une terrible erreur. Elle avait mis des années à se défaire de ces préjugés qu'ils avaient tenté de lui inculquer.
« Et puis c'est des enfants. Ils attendent la moindre faille pour rire et passer à autre chose. Je serai incapable de ne pas craquer à sa place ! »
Déjà que juste face à Rosalie, elle avait du mal à ne pas se faire avoir... Peut-être que c'était justement parce que c'était sa fille qu'elle était si prête à tomber dans le piège, et que face à des enfants inconnus, elle n'aurait pas de problème. Elle ne fréquentait pas assez d'enfants dans sa vie personnelle pour le savoir.